Quand un groupe d’universitaires se penche sur la littérature québécoise


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Car il faut bien finir par en revenir… dans les romans du moins. Le combat du Québec pour son indépendance, tel qu’incarné dans sa littérature des années 1960 et 1970, a toujours fasciné le professeur de lettres Peter Klaus, de la Freie Universität Berlin, qui était de passage cette semaine au pays pour recevoir l’Ordre national du Québec des mains de Philippe Couillard. C’était mercredi dernier. Avec passion et détermination, l’homme fait rayonner en effet la littérature québécoise en Allemagne depuis le début des années 1980. Il a fréquenté Gaston Miron, Dany Laferrière, Jacques Lanctôt, Marie Laberge, et tant d’autres.

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