Partenariat transpacifique (PTP) : un mauvais choix pour le Québec et le Canada, démontre une nouvelle étude


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Le Centre canadien de politiques alternatives (CCPA) a rendu publique, mardi, une étude démontrant que l’accord de Partenariat transpacifique (PTP) aura des conséquences globalement néfastes pour l’économie canadienne et québécoise. Réalisée grâce au soutien financier du Réseau québécois sur l’intégration continentale (RQIC), l’étude du chercheur John Jacobs contrecarre plusieurs mythes. «Les élites politiques et économiques manipulent l’opinion publique en prétendant que le PTP permettra au Canada d’accéder à de nouveaux marchés de 800 millions de consommateurs. L’étude démontre clairement que plus de 97% des exportations canadiennes transitent déjà libres de tarifs au sein des pays du PTP», explique Pierre-Yves Serinet, coordonnateur du RQIC.

Moins de discrimination salariale pour les femmes, les Autochtones et les membres d’une minorité visible dans le secteur public


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Les femmes, les travailleurs autochtones et les membres d’une minorité visible font l’objet d’une discrimination moindre au chapitre de la rémunération dans le secteur public que dans le secteur privé, selon une étude dévoilée mercredi par le Centre canadien de politiques alternatives (CCPA). «Les salaires sont plus élevés dans le secteur public précisément pour les groupes qui vivent le plus de discrimination dans le secteur privé – parce que le secteur public fait davantage pour corriger ces pratiques discriminatoires, d’affirmer la chercheure principale Kate McInturff. Il en découle non pas des salaires plus élevés, mais plutôt un système de rémunération plus égal.»

Droits de scolarité : les étudiants doivent travailler plus que jamais


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Afin de payer leurs droits de scolarité, de nombreux étudiants universitaires canadiens doivent travailler jusqu’à six fois plus au salaire minimum qu’il y a 40 ans, selon des données de Statistique Canada compilées par le Centre canadien de politiques alternatives. Les données montrent qu’en 1975, les étudiants devaient travailler, en moyenne, durant 230 heures au salaire minimum pour payer des études de premier cycle. En 2013, ils devaient travailler deux fois plus, soit 570 heures, en moyenne.

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