Sandrine Ricci, chargée de cours en sociologie et en études féministes, vient de déposer sa thèse de doctorat en sociologie concentration en études féministes, sous la direction de Francine Descarries. Sandrine est aussi chercheuse affiliée à la Chaire de recherche sur les violences sexistes et sexuelles en milieu d’enseignement supérieur et membre de l’Institut de recherches et d’études féministes de l’UQAM. Sa thèse est intitulée Culture du viol : Circulation, représentations et (dé)légitimations d’une catégorie utile d’analyse sociologique. L’université comme champ de bataille, 469 pages de dur labeur maintenant livré.
