Investir (le moins possible) dans ses enfants


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Depuis 2007, le gouvernement libéral semble plus intéressé par le marché des services de garde que par la qualité de ceux-ci. Et on a une étude qui le démontre. Que ce soit avec l’augmentation du crédit d’impôt remboursable, la modulation des tarifs ou la baisse des subventions, les garderies subventionnées ne sont clairement plus la priorité du gouvernement. C’est qu’ils ont un nouveau chouchou. À partir du moment où Monique Jérôme-Forget est nommée ministre des Finances, c’est le développement des garderies privées non subventionnées qui devient l’objectif premier du gouvernement.

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