Nouvelles du SPPEUQAM – 28 novembre 2024 ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏
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Entre vous et moi
Je tiens à saluer la nomination de Pauline Marois à titre de chancelière de l’Université pour un premier mandat de cinq ans. Mme Marois, une femme d’exception, a à cœur les conditions des femmes et une ouverture certaine aux plus précaires. Près de la moitié des membres du SPPEUQAM sont des femmes et nous sommes majoritairement des précaires. Si elle ne renie pas ses valeurs profondes elle devrait être une alliée pour les personnes chargées de cours. Et Mme Marois peut commencer dès maintenant en s’adressant au recteur pour qu’il s’assure que son comité de négociation de l’enseignement en ligne reconnaisse et rémunère le travail additionnel qu’exige l’adaptation des cours en ligne; établisse des balises au développement des cours en ligne pour qu’il ne se fasse pas au détriment des cours en présence; et qu’il s’assure que les groupes-cours demeurent à taille humaine. Le recteur a écrit jeudi : «Comme toutes les parties, je souhaite ardemment une solution négociée. Nous sommes engagés avec nos partenaires syndicaux dans un processus de conciliation qui suit son cours. J’ai confiance qu’il nous permettra d’en arriver prochainement à un règlement négocié.» Je pourrais être d'accord avec lui si le comité de négo patronal faisait preuve d'ouverture sur les trois enjeux cités précédemment. Mme Marois, la balle est déjà dans votre camp et vous pouvez faire en sorte que les personnes chargées de cours n’exercent pas le mandat de grève qu’elles se donneront le 2 décembre et préserver ainsi la paix sociale à L’UQAM. Bonne lecture, Richard Bousquet Vice-président à l’info du SPPEUQAM
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Assemblée générale le lundi 2 décembre : changement de local
Les membres du SPPEUQAM sont conviés à une assemblée générale le lundi 2 décembre à 12h30 à l'Espace Quartier latin (AD-S1300), 1280, rue Saint-Denis. On a changé de local parce qu'on craint que le local R-M120 soit trop petit. Un lunch sera servi dès midi. À l'ordre du jour : • Rapports des comités de mobilisation et de négociation de nos conditions d'enseignement en ligne • Présentations du fonds local de grève et de lockout du SPPEUQAM et du fonds de défense professionnelle (FDP) de la CSN • Présentation du mandat de grève et vote secret Nous vous y attendons en grand nombre.
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La FNEEQ appui le SPPEUQAM dans sa négociation de l'enseignement en ligne
Réunis en conseil fédéral, les syndicats membres de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) ont adopté unanimement mercredi une résolution d'appui au SPPEUQAM dans sa négociation pour de bonnes conditions liés à l'enseignement en ligne. C’est tout le milieu de l’éducation qui regarde ce qui se passe à l'UQAM. C’est toute la force de la FNEEQ-CSN qui se déploiera au besoin si la direction persiste dans son manque de vision sur un enseignement en ligne de qualité à l’UQAM. Jeudi, les syndicats membres de la FNEEQ ont soutenu les syndiqué.e.s du Zoo de Granby, de l'hôtel Pur à Québec et de l'hôtel Côte-de-Liesse à Montréal. Les trois syndicats ont été mis en lock-out par leur employeur respectif.
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Mobilisation des syndicats de l’enseignement contre l’austérité caquiste
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L’entente du Front commun a permis de diminuer l’écart de rémunération
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Publication des Carnets 46 de la FNEEQ, automne 2024
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Absentéisme en hausse au cégep : les étudiants réclament l’abandon des sanctions
Alors que l’absentéisme est en hausse au cégep, les étudiants réclament l’abandon de toutes les sanctions liées aux retards et aux absences dans le réseau collégial. De leur côté, les enseignants craignent les abus depuis que Québec a demandé de ne plus exiger de billet médical pour une absence de moins de cinq jours. Les cégépiens sont de plus en plus nombreux à s’absenter de leurs cours, admet Antoine Dervieux, président de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ). De son côté, la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) n’a pas pris formellement position concernant les mesures punitives reliées à l’absentéisme, mais réitère que la place d’un étudiant, c’est en classe. «Ça fait partie du travail d’étudiant d’être présent à ses cours», affirme son vice-président, Yves de Repentigny, au Journal de Montréal. La directive du gouvernement Legault émise ce printemps pourrait ouvrir la porte à des abus, craint la FNEEQ-CSN.
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Des enseignants du cours Culture et citoyenneté québécoise à bout de souffle
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Privés de manuels, des enseignants du nouveau programme Culture et citoyenneté québécoise (CCQ) doivent préparer leurs leçons à la petite semaine, avec les moyens du bord, ce qui entraîne une surcharge de travail. La première étape de l’année scolaire est à peine terminée que des professeurs sont déjà au bord de l’épuisement. Leur syndicat tire la sonnette d’alarme. Le cours CCQ a remplacé le programme Éthique et culture religieuse dans les écoles primaires et secondaires du Québec. Il est enseigné dans toutes les classes, à l’exception de la troisième année du secondaire. Après une année d’implantation facultative en 2023-2024, le cours est devenu obligatoire cette année. «Les enseignants ont besoin d'avoir des assises, d'avoir un manuel, un cahier d'exercices, une base sur laquelle s'appuyer pour ne pas tout le temps être en mode création, mais plutôt en position de gestion de classe, où on peut donner toute son âme puis tout son cœur au cours qu'on enseigne, plutôt que d'être préoccupé puis en surcharge parce que t'es en train de construire l'avion en vol», plaide en entrevue à Radio-Canada le vice-président de la FNEEQ, Léandre Lapointe.
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Le prix Pierre-Vadeboncoeur est remis aux chercheures Julia Posca et Anne Plourde
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Le jury du prix Pierre-Vadeboncoeur a décerné le prix de l’édition 2024 à deux chercheures, mesdames Julia Posca et Anne Plourde, qui abordent dans leurs essais des questions qui sont en phase avec les conditions de travail des travailleuses et des travailleurs de même que les risques courus par le régime public en santé. Créé en 2011 et décerné par la Confédération des syndicats nationaux (CSN), ce prix est doté d’une bourse de 5000 $, une somme que chacune des autrices recevra. La centrale syndicale québécoise a voulu ainsi rendre hommage à Pierre Vadeboncoeur, qui y a milité durant 25 ans et qui est considéré comme l’un des plus importants essayistes québécois. Les lauréates recevront leurs prix à l’occasion du Conseil confédéral qui se réunira à Rivière-du-Loup le 4 décembre. C’est la secrétaire générale de la CSN Nathalie Arguin qui remettra les prix aux lauréates. Le conseil rassemble environ 200 délégué-es des fédérations et des conseils centraux affiliés à la CSN. Ce prix souligne la qualité d’un essai produit par une autrice ou un auteur québécois et édité par une maison d’édition québécoise. Une quinzaine de maisons ont soumis plus d’une cinquantaine d’essais cette année.
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Francisation : « Des drames humains derrière la fermeture des classes »
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Plusieurs milliers de personnes réunies contre le privé en santé
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Sous le thème Pas de profit sur la maladie, le rassemblement contre la privatisation du réseau de la santé et des services sociaux a réuni plusieurs milliers de militantes et militants de la CSN au Colisée de Trois-Rivières, samedi. « C’est une véritable démonstration de force qu’on a réalisée. Que le gouvernement se le tienne pour dit : les Québécoises et les Québécois ont à cœur leur réseau public et sont prêts à se mobiliser pour le défendre », s’est exclamée la présidente de la CSN, Caroline Senneville. Lors de l’événement animé par la comédienne Eve Landry, on a pu voir la rappeuse Sarahmée, le groupe Valaire et l’humoriste Christian Vanasse sur scène, en plus de la chercheuse Anne Plourde et de la Dre Élise Girouard-Chantal de Médecins Québécois pour un régime public (MQRP), qui se sont adressés à la foule. Gabriel Nadeau-Dubois, porte-parole de Québec solidaire et Paul St-Pierre-Plamondon, chef du parti Québécois et se sont également joint à l’événement. Autres textes liés à la santé : • Gel d’embauche dans l’équipe volante, selon la FSSS-CSN. • Réseau public de santé : Un déficit de 1,5 milliard si rien n’est fait, met en garde Santé Québec. • Soins à domicile : « Impossible de tenir longtemps ainsi ». • L’Outaouais a besoin de services de santé publics financés adéquatement.
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La SAQ et ses employés ont conclu une entente de principe
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Le visage de la pauvreté change
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Alors que la pauvreté ne cesse de gagner du terrain au Québec, il faut s’attaquer à ses causes, plaide Rosalie Dupont, coordonnatrice de la Table d’action contre l’appauvrissement de l’Estrie (TACAE). Or, les mesures gouvernementales sont loin d’être suffisantes pour y arriver, a-t-elle expliqué au balado Prendre les devants, animé par le président de la CSQ, Éric Gingras. Depuis la pandémie, et avec la flambée des prix, la pauvreté a fait un bond au Québec. Ainsi, les personnes les plus vulnérables sont encore plus précaires qu’avant, a constaté Rosalie Dupont. Les travailleuses et les travailleurs sont aussi de plus en plus nombreux à avoir du mal à joindre les deux bouts. En fait, selon les chiffres rapportés par la coordonnatrice du TACAE, sur dix personnes en situation de pauvreté, quatre occupent un emploi : « La plupart d’entre elles travaillent à temps plein. À cause de salaires trop faibles, de mauvaises conditions de travail, elles ne sont plus capables de subvenir à leurs besoins. Une personne doit travailler 47 heures par semaine au salaire minimum si elle veut sortir la tête hors de l’eau et gagner au-delà du seuil de pauvreté, a-t-elle poursuivi. Même les personnes gagnant 22 $, 23 $ ou 24 $ l’heure vont se retrouver sous le seuil de pauvreté, même si elles travaillent à temps plein », a-t-elle expliqué.
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Quelques pages d'histoire syndicale en novembre
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Nous publierons une fois par mois un texte recensant quelques pages marquantes de l’histoire syndicale. Ce texte est réalisé en collaboration avec l’Association internationale des machinistes et des travailleurs et des travailleuses de l’aérospatiale et le chargé de cours Michel-Philippe Robitaille. 2 novembre (1936) : Création de la CBC Le premier réseau radiophonique du Canada est constitué de six stations exploitées par la Compagnie de chemins de fer nationaux. Il est à toutes fins pratiques sur le bord de disparaître en 1929, et des intérêts américains se mettent à acheter des stations indépendantes pour ensuite les inonder de programmation américaine. La Commission Aird propose un système public de radiodiffusion en 1929. En 1932, le gouvernement crée la Canadian Radio Broadcasting Commission (CRBC), qui prend le contrôle des six stations du CN. En 1936, la CBC voit le jour en vertu de la Loi canadienne sur la radiodiffusion. Pour plus d’information, consultez cet article de L’Encyclopédie canadienne.
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Monde social et de l'Éducation
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Les 12 jours contre les violences envers les femmes
Du 25 novembre au 6 décembre se déroulent chaque année les 12 jours d’action contre les violences faites aux femmes. Cette campagne est coordonnée par la Fédération des femmes du Québec (FFQ) et est organisée par le Comité 12 jours qui rassemble plusieurs groupes et organisations féministes. Les 12 jours incluent deux dates particulièrement importantes : le 25 novembre, Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, et le 6 décembre, déclarée Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes. Cette année, la campagne des 12 jours aborde la violence en ligne sous le thème : Ni en ligne, ni hors ligne: luttons contre les cyberviolences genrées. Les cyberviolences genrées constituent un fléau discret, mais pernicieux. Elles touchent les femmes ainsi que les personnes issues de minorités de genre, religieuses ou en situation de handicap, et ce, dans tous les aspects de leur vie quotidienne.
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140 femmes ont été victimes de meurtre chaque jour dans le monde en 2023
Au moins 85 000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde en 2023, pour la plupart par des proches, selon des chiffres publiés lundi par l’ONU, « un niveau alarmant » pour des meurtres qui pourraient pourtant être « évités ». « La maison reste l’endroit le plus dangereux » pour les femmes, 60 % d’entre elles ayant été victimes de « leur conjoint ou d’autres membres de leur famille », relève ce rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU Femmes. Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un phénomène « qui dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge », les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique étant les régions les plus touchées, devant l’Asie, rapporte L'Agence France-Presse.
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Liberté de l’enseignement au cégep : Pour en finir avec l’autocensure
La lecture d’un roman de Michel Jean contestée par un cégépien parce que le bouquin évoque un viol et un suicide dans un pensionnat autochtone. Un enseignant accusé de racisme après avoir affirmé que des pays d’Afrique étaient plus pauvres que ceux d’Amérique du Nord. Une enseignante traitée de femme « frustrée » pour avoir mis au programme des œuvres féministes… Ce sont là quelques-uns des conflits désolants qui ont éclaté dans des classes de cégeps, au cours des derniers mois, aux quatre coins du Québec. Ils ont été dévoilés la semaine dernière par la Fédération de l’enseignement collégial (FEC-CSQ). Face à la multiplication de ces incidents, le syndicat demande au gouvernement d’agir pour mieux assurer la liberté de l’enseignement au collégial. Une chronique d'Isabelle Hachey dans La Presse.
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Les étudiantes désertent la formation d’éducatrice à la petite enfance
Recruter des éducatrices qualifiées dans les centres de la petite enfance (CPE) est de plus en plus difficile pour le gouvernement Legault. Malgré l'octroi de bourses, les inscriptions ont diminué dans le programme d'études au cégep et des données inédites, obtenues par Radio-Canada, montrent que le nombre d'abandons explose pendant la formation. Au Cégep de Sainte-Foy, sur 82 étudiants inscrits à l'automne 2021 au DEC - Techniques d'éducation à l'enfance, seuls 13 ont obtenu leur diplôme à l'hiver 2024. Au Cégep de l'Outaouais, c'était 6 sur 40 et au Cégep de Valleyfield, 1 sur 25. Certains étudiants terminent le programme en plus de trois ans, mais «on peut dire que c’est le tiers des étudiants qui restent et qui terminent la technique. Donc, si on a 60 inscriptions, c’est très rare qu’on ait plus de 20 étudiants qui vont terminer», explique la trésorière de l’Association des enseignantes et des enseignants en Techniques d'éducation à l'enfance (AEETEE) du Québec, Mélanie Rousseau.
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Table ronde : Nos droits sont-ils en danger? Libérer la démocratie des chaînes du libre-échange
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Attac Québec et le Réseau québécois pour une mondialisation inclusive (RQMI) vous convient à une table ronde sur le thème «Nos droits sont-ils en danger? Libérer la démocratie des chaînes du libre-échange», organisée dans le cadre des Journées québécoises de la solidarité internationale le vendredi 29 novembre, de 14h à 16h, à la salle Roger-Poirier du Centre Saint-Pierre, 1212, rue Panet à Montréal. Entrée libre. Dans un contexte mondial marqué par la montée de l’autoritarisme et par la réduction de l’espace civique, les accords de libre-échange posent des défis majeurs à la démocratie et à la participation citoyenne, ici comme ailleurs. Qu’en est-il du protectionnisme et de l’ouverture des marchés aujourd’hui, notamment en lien avec l’élection de Donald Trump aux États-Unis et la révision de l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACÉUM) prévue en 2026 ? Face à plusieurs accords conclus dans la période d’expansion du néolibéralisme, comment obtenir des changements, dans une perspective progressiste et solidaire, dans le contexte actuel ? Cette table ronde proposera des réflexions sur les nouvelles orientations du commerce international à défendre.
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Des enfants de moins en moins autonomes
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Le logement pour faire reculer l’itinérance
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Webinaire | L’insécurité alimentaire : quelles solutions durables?
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Pour la troisième année consécutive, l’Observatoire québécois des inégalités tiendra un webinaire sur l’insécurité alimentaire, un sujet plus que jamais d’actualité. L’événement aura lieu le 27 novembre 2024, de 12 h à 13 h 30. L’événement permettra d’aborder les enjeux du dépannage alimentaire au quotidien, les constats marquants du Bilan-Faim 2024, les répercussions de la crise du logement sur l’insécurité alimentaire et les effets potentiels d’un programme d’alimentation scolaire universel. Pour en savoir plus sur les défis actuels et les pistes de solutions durables face à l’insécurité alimentaire, l’Observatoire a invité les panélistes suivants : • Tasha Lackman, directrice générale, Le Dépôt centre communautaire d’alimentation; • Martin Munger, directeur général, Banques alimentaires du Québec; • Jacob Parisée, vice-président, Fédération étudiante collégiale du Québec; • Sandy Torres, chercheuse à l’Observatoire québécois des inégalités et • Danie Martin, coordonnatrice du Collectif québécois de la Coalition pour une saine alimentation scolaire. Les personnes intéressées à participer à l’événement doivent s’inscrire en ligne. Pour en savoir plus, consultez la page Facebook de l’événement.
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Encadrer le numérique : mission impossible?
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Pendant des années, au nom d’un idéal de liberté, bien des gens ont voulu dire et faire n’importe quoi sur l’internet. Or, aujourd’hui, des gouvernements qui ont refusé de s’en mêler depuis 25 ans font tout en leur pouvoir pour encadrer et réglementer le numérique. Est-ce la bonne solution ? Y arriveront-ils ? Un dossier d’Alain McKenna, dans La Presse. « Nous croyons que l’internet constitue un complément au système traditionnel de radiodiffusion. Toute intervention que nous pourrions faire ne ferait que nuire à l’innovation », écrivait dans une note expliquant la position du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) son président, Konrad Von Finckenstein, en 2009. Les choses ont bien changé en un quart de siècle. « Aujourd’hui, le CRTC mène une consultation sur les contributions que les services en ligne devront apporter pour soutenir le système de radiodiffusion canadien », annonçait en mai 2023 l’organisme fédéral, dans une volte-face spectaculaire. • L’internet est obèse et c’est un problème de taille.
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Le climat de la planète sacrifié pour une question d’argent à la COP29?
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Prix d’excellence 2024 en sciences humaines pour Marie-Josée Daviau et Gabriel Magnan
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La Faculté des sciences humaines a souligné, le 20 novembre dernier, l’excellence des réalisations de ses membres à l’occasion de la célébration annuelle Les sciences humaines en tête et en fête, qui en est à sa 13e édition. Au cours de cette soirée festive, qui a réuni plus de 100 personnes, deux personnes chargées de cours ont été honorées pour leurs contributions à la mission de leur département, de la Faculté et de l’Université. Chargée de cours depuis 2013 au Département de linguistique, Marie-Josée Daviau a aussi une formation en éducation. Elle a participé à des projets de recherche-action en milieu scolaire et a rempli des mandats de formatrice en milieu professionnel et de consultante en formation spécialisée. Chargé de cours au Département de géographie depuis 2016, Gabriel Magnan est aussi agent de recherche au laboratoire C-PALEO du centre interuniversitaire Geotop, lequel s’intéresse aux milieux humides des régions tempérées, boréales, subarctiques et arctiques de l’Amérique du Nord.
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Cinq personnes chargées de cours au Salon du livre de Montréal
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Plusieurs Uqamiennes et Uqamiens dont cinq personnes chargées de cours sont en vedette lors de l’édition 2024 du Salon du livre de Montréal. L’événement a lieu au Palais des congrès du 27 novembre au 1er décembre. L’ouvrage Porter plainte (Cheval d’août) de la chargée de cours du Département de science politique Léa Clermont-Dion est en lice pour le Prix littéraire Janette-Bertrand. L’autrice sera en séance de dédicaces les 29 novembre (14 h) et 30 novembre (15 h). La chargée de cours du Département d’études littéraires Fanie Demeule prendra part à des séances de dédicaces le 29 novembre (15 h) et le 30 novembre (15 h) pour son roman Dents de fortune (Hamac). La chargée de cours Yolande Brunelle y sera aussi pour une séance de dédicaces les 29 et 30 novembre (12 h 30) pour son essai Cap sur les maternelles 4 ans (XYZ). Le chargé de cours du Département de psychologie Mathieu Guénette participera à une séance de dédicaces le 30 novembre (13 h 30) pour son essai Relations difficiles au travail? (Édito). Le chargé de cours du Département de science politique Guillaume Lamy y sera également le 29 novembre (17 h) pour l’ouvrage Ce que savoir veut dire (Septentrion). D'autres détails sur Actualités UQAM.
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La classe d'Anne-Sophie Miclo à la Fondation Guido Molinari
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Un texte de Reem Alameddine sur l'éducation à la sexualité
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Enfants en perte de compétences : Pascale Bourgeois commente le texte de La Presse
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Daniel Crespo Villarreal commente des défaillances du TAL
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Laurence Grondin-Robillard commente le désistement de Tik Tok de la Commission sur les écrans
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La mode : Des indices sur la popularité de mouvements sociaux et politiques ?
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Steve Ambler compare le prix des billets de Taylor Swift à ceux de Jenny Lind en 1851
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Luc Renaud répond à la question devrions-nous cesser de voyager à Cuba dans des tout-inclus?
Pénuries nombreuses, inflation catastrophique, deux pannes de courant majeures : c’est la réalité à laquelle fait face la population cubaine. Est-ce donc une bonne idée de choisir cette destination pour se prélasser au soleil? D’un autre côté, le tourisme est la deuxième source de revenus de l’île. Marie-Julie Gagnon se penche sur cette question à l'émission moteur de recherche, à l'antenne de Radio-Canada. Elle se demande si la consommation des touristes prive les Cubains et les Cubaines de denrées et s’intéresse également aux propriétaires d’hôtels. Elle a interviewé le chargé de cours Luc Renaud, auteur d'un documentaire sur le sujet intitulé Playa Coloniale.
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