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Assemblée générale statutaire : Le mardi 22 avril à 13h au A-M050
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Les membres du SPPEUQAM sont convoqués à leur Assemblée générale statutaire le mardi 22 avril à 13h au A-M050. Les postes de sept des treize officiers syndicaux, excluant le comité de négociation, seront alors en élection, soit • la vice-présidence à la convention collective, • la vice-présidence aux relations intersyndicales, • le secrétariat général, • la trésorerie, • une agente ou un agent du comité de relations de travail et • deux conseillères ou conseillers du comité mobilisation-intégration. Il y aura également des élections pour une ou un membre du comité de surveillance des finances, une officière ou officier d'élections ainsi qu'à neuf comités paritaires ou institutionnels, soit • perfectionnement et stabilisation, • vérification du double emploi, • développement international, • révision du Règlement no 5 des études de premier cycle, • Politique no 2 sur la liberté académique universitaire, • infractions de nature académiques, • respect des personnes, prévention et intervention en matière de harcèlement, • contre le sexisme et les violences à caractère sexuel et • programmes de formation à l'enseignement. Vous pouvez présenter votre candidature à l'un de ces postes. Le budget du Syndicat pour 2025 sera également présenté. Un lunch sera servi dès 12h30 et un cocktail suivra la tenue de l'assemblée.
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Délégation SPPEUQAM au Tour de l’île de Montréal 2025
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À la suite de l’atelier-vélo ayant été offert aux membres du SPPEUQAM lors des trois dernières années, le SPPEUQAM vous invite plutôt cette année à participer au 40e Tour de l’île de Montréal. Le dimanche 1er juin, nous aurons donc une belle délégation SPPEUQAM qui participera au Tour de l’île classique. « Le parcours régulier, idéal pour les familles avec des enfants ou les amateurs de vélo de ville, ce parcours offre un choix d’itinéraires allant de 28 à 50 km, dans des rues sans autos, à travers les plus beaux endroits de Montréal. » Pour infos supplémentaires et vous inscrire. On invite les membres du SPPEUQAM à choisir la troisième plage horaire (9h45-10h15). Gardez votre preuve d’inscription, car le syndicat vous remboursera 20$, après l’activité. Lorsque vous aurez procédé à votre inscription, écrivez un courriel à Simon Leclerc afin qu’il vous ajoute sur la liste officielle de la délégation SPPEUQAM du Tour de l’île 2025. Il vous réécrira quelques jours avant l’activité pour vous donner les détails (heure et point de rencontre, etc.). Au plaisir de pédaler avec vous le 1er juin prochain!
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Atelier d’information sur la retraite le 7 mai
Un atelier d’information sur la retraite sera présenté le mercredi 7 mai, dès 12 h 30. La séance se tiendra en ligne via ce lien zoom. Cet atelier s’adresse particulièrement aux membres du Syndicat en fin de carrière à l’UQAM afin, entre autres, de choisir le bon moment et de prendre les bons moyens pour en bénéficier le plus possible. Toutes et tous les membres du Syndicat peuvent y participer. L’atelier sera animé par Marie Bouvier, membre du Comité de retraite du Régime de retraite des chargés de cours du réseau de l’Université du Québec (RRCCUQ), ex-trésorière du SPPEUQAM, maintenant chargée de cours retraitée. Une période d’échanges et de questions est prévue à la fin de la présentation. Pour informations supplémentaires sur cette activité du comité mobilisation-intégration, on communique avec Laurence Castonguay Emery par courriel.
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Chronique des relations de travail : Pour notre travail et notre santé, participez!
Vous avez reçu le 11 mars dernier un courriel de Guylaine Landry, vice-rectrice du Service au développement humain et organisationnel de l'UQAM. Ce courriel vous invite à remplir un questionnaire d'identification des risques à l'intégrité physique. Avec les autres syndicats de l’UQAM, le SPPEUQAM siège au Comité santé et sécurité (CSS) qui a la responsabilité de conformer l'UQAM à la loi sur la santé et sécurité en milieu de travail. L’UQAM a jusqu'au mois d'octobre 2025 pour ce faire et ce, en établissant un programme de prévention des risques et en nominant des personnes représentantes en santé et sécurité. En raison de l’importance de ce questionnaire, votre syndicat vous invite fortement à participer à l'exercice en y répondant. Il prend entre 15 et 20 minutes à compléter, selon la nature de notre ou de nos tâches de travail au sein de l’UQAM. Le questionnaire sur les risques à l’intégrité physique sur le milieu de travail est jusqu'au 28 mars 2025.
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Des nouvelles de la négo : textes finaux et plaintes
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Depuis l’entente de principe suspendant le déclenchement de la grève le 3 février, les deux parties travaillent à finaliser les textes de l’entente. Votre comité de négociation est d’ailleurs en réunion aujourd’hui et demain pour analyser les derniers commentaires et contrepropositions de l’employeur. L’objectif syndical est d’obtenir des textes conformes à ce qui a été négocié avant la fin avril. Les négociations ayant été ardues, deux plaintes ont été déposées vers la fin du processus. Le SPPEUQAM en a déposé une le 30 janvier pour ingérence et entrave contre l’employeur qui a riposté avec une plainte pour négociation de mauvaise foi à l’encontre du Syndicat après la conclusion de l’entente de principe. Nous considérons cette plainte non fondée en fait et en droit, mais étant en attente d’un avis juridique de la CSN, nous ne pouvons pas commenter publiquement le contenu des deux plaintes à ce moment-ci. Elles seront entendues simultanément le 27 mai par le Tribunal administratif du travail.
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Sondage sur l'utilisation de l'IA dans les établissements d'enseignement
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L’intelligence artificielle (IA) s’implante de plus en plus dans les réseaux de l’éducation et de l’enseignement supérieur, influençant la façon de travailler ainsi que les conditions de travail du personnel. Afin de mieux comprendre l’ampleur de son déploiement, les enjeux qu’elle soulève et les pratiques syndicales en la matière, les fédérations de la CSN représentant des membres en éducation et en enseignement supérieur vous invitent à répondre à ce court sondage anonyme d’une dizaine de minutes. Vos réponses permettront à la CSN et à ses organisations affiliées de brosser un portrait précis de la situation et de mieux outiller les syndicats pour défendre les intérêts des travailleuses et travailleurs face à ces transformations technologiques. De plus, la FNEEQ-CSN met à la disposition de ses syndicats un outil sur les 8 principes fondamentaux pour soutenir le travail syndical parce que la Fédération observe une croissance des établissements d’enseignement intéressés à se doter d’un nouveau cadre réglementaire. L’utilisation responsable, éthique, durable et sécuritaire de l’IA dans les domaines de l’éducation et l’enseignement supérieur doit reposer sur une approche critique, basée sur le principe de précaution. Des balises claires doivent être établies autour de valeurs centrales : l’humanisme, la collégialité, la liberté académique, l’équité, la diversité et l’inclusion. »
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Recherche : l’actualité commande de recourir aux savoirs des chargé·e·s de cours
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Concordia : les auxiliaires d’enseignement et de recherche obtiennent une augmentation de 20 %
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PL89 : La FTQ, la CSN et la CSQ interpellent le premier ministre François Legault
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Après avoir réclamé tour à tour, en commission parlementaire la semaine dernière, le retrait du projet de loi 89 du ministre du Travail, Jean Boulet, la FTQ, la CSN et la CSQ demandent aujourd’hui une rencontre avec le premier ministre François Legault à ce sujet, et ce, dans les meilleurs délais. « Dans le contexte de grande incertitude et d’imprévisibilité que l’on connaît actuellement sur le plan économique, nous sommes extrêmement inquiètes, comme organisations syndicales qui représentent près d’un million de travailleuses et de travailleurs québécois, de constater que le ministre Boulet continue à faire fi de nos appels répétés au retrait du projet de loi», ont insisté Magali Picard, présidente de la FTQ, Caroline Senneville, présidente de la CSN et Éric Gingras, président de la CSQ. « Nous souhaitons rencontrer dès que possible M. Legault à ce sujet, car l’heure est grave. Nous voulons discuter avec lui des enjeux, puisque la paix sociale est actuellement compromise par ce projet de loi qui vient brimer les travailleuses et les travailleurs dans leur capacité à améliorer leurs conditions de travail », ont poursuivi les porte-parole. Autres textes liés au monde syndical : • Les débuts dans la profession – Prof, ma fierté! Le Balado. • Mandat de grève adopté à 97 % au centre de distribution Jean Coutu. • FTQ | l’assurance-emploi : Ottawa suspend le délai de carence; une décision responsable. • Le syndicat des ingénieurs du gouvernement dépose une plainte d’entrave contre Québec. • Lancement du livre Sauver Hydro : notre avenir énergétique en jeu. • Campagne électorale fédérale : La FTQ fera entendre sa voix. • L’intelligence artificielle ne sauvera pas notre système de santé. • Revenu Québec : Le personnel professionnel mobilisé pour dénoncer la négociation ardue. • Les routes sont « dangereuses » sans contrôleurs, dit la SAAQ. • Mandat de grève pour les chauffeurs d'autobus Fleur de Lys à Shawinigan. • Une nouvelle convention collective pour les cols blancs de Lachute. • Entente de principe acceptée aux Autobus Gil-Ber.
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L'IRIS analyse les faux prétextes derrière le PL89
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Lettre ouverte : Résistons aux menaces de Donald Trump
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Nous, soussignés, citoyens et citoyennes du Québec de toutes allégeances, tenons à exprimer notre indignation contre la volonté affichée par le président américain, Donald Trump, de nous étrangler avec ses tarifs douaniers et son chantage, dans le but d’inciter à notre annexion aux États-Unis. Il n’est absolument pas question pour nous du Québec de devenir américains. Qu’on se le tienne pour dit ! Nous sommes trop attachés aux valeurs démocratiques, culturelles et sociales développées au cours des ans par notre société. Il n’est pas question pour nous de reculer sur l’égalité hommes-femmes, leurs droits comme le droit à l’avortement, à l’équité salariale, les droits à la diversité sexuelle des LGBTQ+ et les mesures pour contrer la discrimination raciale et pour favoriser la diversité. Nous ne voulons pas importer ici une société qui consacre l’inégalité entre les plus démunis et les plus riches de la société. Ainsi, il n’est pas dans nos plans d’établir des soins de santé payants et privés, ou encore de renoncer à se faire soigner, faute de moyens. De la même façon, nous ne voulons pas que les jeunes soient tenus de rembourser leurs dettes d’études jusqu’à la retraite. Nous tenons également à notre réseau de services de garde éducatifs et à nos congés parentaux. Nous résisterons collectivement afin de préserver notre liberté de penser, de débattre, de produire et de diffuser des connaissances et des savoirs diversifiés, nécessaires pour édifier une société plus juste, tolérante et équitable. Autres textes liés à la menace américaine : • Coupes budgétaires américaines : La vaccination des pays pauvres ciblée. • «La guerre de l’eau a déjà commencé» avec les États-Unis, dit un expert. • «Il y a un risque à critiquer le gouvernement Trump». • Trump soulève les passions en classe.
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Budget : On demande aux Québécois-es de s’habituer à des services insuffisants
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La CSN est soulagée que le ministre des Finances, Éric Girard, ait fait le choix d’augmenter le déficit pour l’année 2025-2026. « Nos services publics sont déjà en lambeaux et notre économie doit se préparer à encaisser un grand choc, il aurait été catastrophique de continuer sur cette lancée. Mais 2025-2026, c’est une photo. Avec un gel d’embauche dans le secteur public maintenu jusqu’en avril 2026, si on regarde le film que nous propose le gouvernement Legault pour les prochaines années, on ne rira pas beaucoup ! », déclare la présidente de la CSN, Caroline Senneville. La CSN est en effet d’avis que le ministre des Finances aurait dû saisir l’occasion de ce budget pour mettre de côté sa stratégie trop rapide de retour à l’équilibre des finances publiques, qu’il maintient pour 2029-2030. « Pour atteindre cet équilibre en 2029-2030, on parle de résorber l’écart de 1 milliard en 2027-2028 et de 2,5 milliards en 2028-2029 et 2029-2030. Pendant ce temps, on continue de verser des milliards dans le Fonds des générations, privant le Québec de plus de 2,2 milliards par année, alors que les objectifs ayant justifié sa mise en place ont déjà été atteints. Les deux mains de notre gouvernement doivent travailler ensemble ! », continue la présidente. Autres textes liés au même sujet : • La FTQ réagit au budget : La CAQ nous enfonce dans l’austérité et les compressions. • SPGQ | Pour un Québec fort : moins de sous-traitance pour retourner à l’équilibre budgétaire. • CSQ | Budget 2025-2026: les travailleuses et les travailleurs laissés à eux-mêmes. • La Presse | Budget du Québec 2025 : Un régime minceur, un gros pari sur Trump. • Le Devoir | Le budget du Québec en un coup d’œil. • Un budget «qui ne rassure pas» en éducation et en enseignement supérieur. • Compressions en éducation. • Coup de frein dans les dépenses en santé. • Dépenses en infrastructures : L’héritage des années 1960 pèse de plus en plus lourd. • Québec apporte du répit pour les arts dans son budget. • Un « coup dur » pour le métro de Montréal, déplore Valérie Plante. • Budget du Québec : Pourquoi le milieu du transport collectif s’alarme-t-il ?
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Abolition du poste de numéro 2 de Santé Québec : Une décision préoccupante
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Le Point syndical, édition printemps 2025
La CSN vient de publier le numéro printemps 2025 de son journal Le Point syndical. Au sommaire : • Amazon : le retour du syndicalisme brutal • Dossier : Se faire agresser au travail, un fléau qui gagne du terrain • Éditorial : Déclarations de guerre • Tarifs américains : Notre économie en état d'alerte • CBC/Radio-Canada : Un service public menacé? • CPE : Négocier pour remettre le réseau sur pied • UQAM : Pour un enseignement en ligne plus humain • Agents correctionnels fédéraux : Exercer son rapport de force dans le maintien de l'ordre • Renaud-Bray : La pauvreté en librairie • Privatisation en santé : Des cas concrets.
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Le droit à l’eau, ça coule de source! Et pourtant…
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Mobilisation nationale pour les services publics d'électricité
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Des milliers de personnes à travers la province ont participé à une mobilisation nationale pour dire au gouvernement du Québec qu’elles veulent des services d’électricité publics. Sur le thème « Toujours possible! », les participants et participantes ont rappelé que c’est toujours possible d’être maîtres chez nous, que c’est toujours possible de rapatrier l’éolien et le solaire sous contrôle public. Les rassemblements se sont tenus simultanément à Baie-Comeau, Chibougamau, Chicoutimi, Rimouski, Rouyn-Noranda, Sept-Îles, Trois-Rivières, Québec et Montréal. « Les Québécoises et Québécois savent que nous serons mieux servis avec un vrai service public national et malheureusement le projet de loi 69 du gouvernement ne va pas dans ce sens », de dire Frédéric Savard, président du Syndicat des employé-e-s de métiers d’Hydro-Québec (SCFP 1500). Les syndicats, les groupes communautaires et la population générale sont dans la rue pour que l’électricité demeure abordable pour tous et toutes, mais aussi pour que l’expertise hydro-québécoise reste au service de la population du Québec. Hydro-Québec doit continuer d’être un levier public au bénéfice du bien commun de notre Belle Province. • «Sauver Hydro» dénonce la mainmise de la CAQ sur l’avenir d’Hydro-Québec.
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Quelques pages d’histoire syndicale et politique en mars
Nous publions une fois par mois un texte recensant quelques pages marquantes de l’histoire syndicale et politique. Ce texte est réalisé en collaboration avec l’Association internationale des machinistes et des travailleurs et des travailleuses de l’aérospatiale et le chargé de cours Michel-Philippe Robitaille. 4 mars : 58 cheminots meurent dans une avalanche au col Rogers en Colombie-Britannique alors qu’ils déblayaient la neige sur les rails du CP (1910) L’alternance des températures chaudes et froides était propice aux temps doux et aux importantes chutes de neige la nuit.Des douzaines d’employés s’affairaient à déblayer la neige accumulée au cours d’incidents précédents sur la ligne principale du chemin de fer du Canadien Pacifique lorsqu’une avalanche soudaine et inattendue est descendue sur eux, semant la mort et la désolation sur son passage. Pour plus d’information, lisez lisez l’article du RevelstokeCurrent(en anglais seulement).
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Monde social et de l'Éducation
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Des leçons à tirer de la nouvelle politique scientifique américaine
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Depuis que Donald Trump a repris le pouvoir aux États-Unis, son gouvernement a mis en marche une révolution conservatrice et autoritaire, démantelant ce qu’il restait de politiques fédérales un tant soit peu sociales-démocrates ou, comme on dit, « progressistes ». Or, les principales décisions prises depuis janvier par cette administration sont présentes depuis 2023 dans un rapport de près de 900 pages, Mandate for Leadership. The Conservative promise 2025, publié par le think tank conservateur Heritage Foundation. La recherche scientifique n’est pas épargnée par les coupes radicales prônées dans ce document, puisque la moitié des fonds de recherches des universités américaines proviennent du fédéral. On peut se demander s’il est « équitable » et éthiquement acceptable que les universités québécoises, qui peinent à embaucher des professeurs et à maintenir leurs bâtiments en état, profitent de cette occasion pour se mettre en avant et annoncer soudainement qu’il faut tirer profit de cette « crise » pour attirer ici quelques chercheurs américains pris dans la tourmente, comme si le vivier local était insuffisant ou même pas suffisamment « excellent » ? On ne devrait pas avoir besoin d’invoquer l’épouvantail Trump pour justifier d’investir dans nos universités et notre système de recherche, soutient Yves Gingras dans un texte publié par Le Devoir.
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Recherche universitaire : L’ombre de Trump
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RSRI : La recherche comme baume à l’incertitude économique
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En ces temps incertains pour la recherche et l’économie, Québec a annoncé lundi le renouvellement du financement des Regroupements sectoriels de recherche industrielle (RSRI), qui favorisent l’innovation dans neuf secteurs clés de l’industrie québécoise. Le ministre délégué à l’Économie, Christopher Skeete, a confirmé l’octroi de 21 millions de dollars sur trois ans pour assurer le bon fonctionnement de ces pôles qui touchent à plusieurs secteurs clés comme l’énergie électrique, l’aluminium, l’aérospatiale, les technologies médicales ou encore les bioprocédés industriels. « Les RSRI jouent un rôle important pour tout ce qui touche la recherche collaborative. Ils vont monter des projets, accompagner les PME, permettre de faire atterrir leur projet. Le résultat de leur intervention, c’est plus d’innovation, plus de capacité [de production], plus de productivité », a mentionné le ministre Skeete en entrevue avec Le Devoir. Développés il y a une vingtaine d’années, les RSRI jouent un rôle d’intermédiaire et de financement de la recherche et développement. Ils mettent en relation de grosses entreprises et des PME, mais aussi des instituts de recherche et des universités dans différents projets d’innovation.
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Portrait fidèle ou pas de leur état, un réinvestissement est réclamé dans les cégeps et les universités
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Si un portrait plus juste de l’état des besoins en maintien des actifs immobiliers dans les universités et cégeps vieillissants de la province ne sera dévoilé que l’an prochain, des élus d’opposition et le milieu collégial pressent Québec d’investir dès maintenant dans la réalisation des travaux nécessaires pour contrer la dégradation, bien réelle, de ces établissements. « Que l’on revoie la méthode de calcul, c’est une chose, mais cela ne change en rien l’urgence d’investir », martèle, dans une déclaration acheminée vendredi au Devoir, la présidente-directrice générale de la Fédération des cégeps, Marie Montpetit, qui rappelle que « le déficit de maintien des infrastructures est majeur et s’aggrave à cause d’un sous-financement chronique ». Mme Montpetit réagissait ainsi à un reportage publié vendredi dans nos pages dans lequel on apprend que ce n’est que dans le budget de l’an prochain, soit en mars 2026, que l’on connaîtra les résultats d’une révision en cours de la méthode de calcul des besoins pour remettre en état les cégeps et les universités de la province. Il faudra entre-temps se baser sur celui de l’an dernier pour avoir une idée de l’ampleur des travaux à réaliser, qui sont évalués à 1,43 milliard dans les immeubles du réseau universitaire et à 700,5 millions dans ceux du réseau collégial. Un portrait qui n’est pas « fidèle à la réalité », selon la ministre de l’Enseignement supérieure, Pascale Déry.
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Les restrictions migratoires plombent l’attrait des écoles d’art du Québec
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Depuis la pandémie, les étudiants étrangers sont beaucoup moins attirés par les écoles supérieures d’art du Québec. L’École nationale de cirque de Montréal, l’École de danse contemporaine de Montréal et l’École nationale de l’humour ont noté ces dernières années une baisse des candidats étrangers, surtout non francophones, rapporte Le Devoir. Pourtant, la virtuosité, souvent plus aiguisée dans les écoles préparatoires de l’étranger, est essentielle pour maintenir le niveau d’excellence de nos écoles d’art. Nos portes artistiques sont-elles en train de se fermer ? Le directeur de l’École nationale de cirque de Montréal, Éric Langlois, avait l’habitude de voir chaque année une trentaine d’aspirants aux auditions de son école à Paris. « Ils étaient 17 cette année, déplore-t-il. Des Suisses, des Français, des Belges, mais très peu de non-francophones. On constate la même chose pour nos auditions à Montréal. » À l’École de danse contemporaine, en 2020, on comptait 170 candidats. De ceux-là, 64 venaient de l’étranger. Cette année, sur les 128 qui se présentent, 40 sont de l’étranger. Les entraves migratoires, depuis la pandémie, se sont additionnées, posées par le gouvernement fédéral comme provincial.
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Femmes en science : Les étudiantes de l’UQAM en quête de parité
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Certaines étudiantes en sciences à l’UQAM ont exposé leurs activités de vulgarisation scientifique, le 15 février, lors d’un événement organisé par le Centre des sciences. Celui-ci souligne la Journée internationale des femmes et filles de science. Les uqamiennes avec qui le Montréal Campus s’est entretenu constatent un changement positif dans la place des femmes en sciences par rapport à l’inégalité des sexes dans le domaine. « Les inégalités commencent après avoir terminé les études », remarque Yara Akoum, étudiante à l’UQAM en résonance magnétique, expliquant qu’il y a majoritairement des femmes dans ses classes. Cette année, bien que le nombre total d’inscriptions à la Faculté des sciences de l’UQAM reste le même, 124 femmes de plus se sont inscrites comparativement à il y a 10 ans, selon les services des communications de l’UQAM. Les uqamiennes mentionnent que la parité homme-femme sur le marché du travail n’est pas encore atteinte, puisque certain(e)s pensent que les femmes ne peuvent pas combiner une carrière et une vie de famille. « Juste ce matin, beaucoup [de visiteurs et visiteuses qui se sont arrêté(e)s à notre activité] ont demandé si à un moment ou à un autre on voulait des enfants », expliquent Jennifer Fisher et Lucine Gonnet.
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Troubles alimentaires : L’UQAM en fait-elle assez?
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Le Bureau des services-conseils de l’UQAM ne propose aucune forme de soutien psychologique spécialisé pour les étudiant(e)s aux prises avec des troubles de comportements alimentaires (TCA). C’est ce qui a poussé une étudiante à fonder le centre de ressources COPAIN, pour accompagner les uqamien(ne)s qui vivent avec des TCA, rapporte le Montréal Campus. « Une des raisons pour lesquelles j’ai voulu créer COPAIN, c’est qu’il y a zéro ressource [à l’UQAM], mais beaucoup de besoins », explique l’ancienne nutritionniste et maintenant doctorante en psychologie à l’UQAM, Juliette Casgrain. En étant au fait de l’important nombre d’étudiant(e)s qui ont recours à de l’aide psychologique à l’extérieur de l’université chaque année, elle a fondé le Centre d’orientation pour les problèmes alimentaires, l’image corporelle et la nutrition de l’UQAM (COPAIN). Il est surprenant, selon Sophia Zito, ambassadrice de l’organisme Anorexie et boulimie Québec (ANEB) et mère d’une jeune femme qui souffre d’anorexie depuis dix ans, que l’UQAM n’offre aucunes ressources spécialisées. Elle souligne que la grande majorité des 300 000 Québécois(es) qui souffrent de TCA ont entre 14 et 25 ans.
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HEC Montréal ouvre une école en Côte d’Ivoire pour former des dirigeants africains
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HEC Montréal a désormais pignon sur rue en Côte d’Ivoire. L’école de gestion québécoise a ouvert à l’hiver son premier établissement satellite dans la capitale du pays, Abidjan, afin de « former les dirigeants africains », rapporte Le Devoir. L’École des dirigeants Afrique a ouvert ses portes à la fin de février en Côte d’Ivoire. Des formations de courte durée sont offertes à tous les gestionnaires du Sénégal, de la Mauritanie, de la Guinée, du Mali — bref, de toute « l’Afrique de l’Ouest francophone » —, avance son directeur, Serge Lafrance. « On se démarque avec notre côté francophone d’Amérique. Les gens aiment l’aspect d’Amérique et sa correspondance avec l’aspect business. Et puis, le côté francophone joue sur une corde en Afrique de l’Ouest. » Quatre secteurs de l’économie africaine profiteront de l’expertise montréalaise. Les formations se spécialiseront dans le monde des banques, des télécommunications, de l’agriculture et de la gestion gouvernementale. Des professeurs québécois prendront donc l’avion pour aller enseigner outre-mer. Plusieurs d’entre eux ont déjà de l’expérience sur le continent africain et sont sensibilisés aux différences, indique le directeur.
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Sécurité en ligne : ChatGPT n’est pas votre ami
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Résumés, conseils d’affaires, idées de stratégies, traduction, rédaction de courriels, confidences… Quelles questions posez-vous à ChatGPT et autres robots conversationnels ? Ces outils puissants sont utiles – mais ce ne sont pas « nos amis », rappellent les experts. Et si on leur en disait trop ? Les outils d’intelligence artificielle générative comme ChatGPT, Gemini ou Copilot sont très populaires au Québec. Selon l’enquête NETendances 2024 de l’Académie de la transformation numérique de l’Université Laval, un internaute sur trois les utilise. Chez les 18-34 ans, le chiffre atteint 58 %. « Il faut se souvenir qu’on échange avec une machine et non un psychologue, un médecin ou un ami », dit Laurent Charlin, membre principal à l’institut MILA. Le fait que les réponses fournies soient si précises et personnalisées peut confondre certains utilisateurs, avance Marc-Olivier Killijian, professeur au département d’informatique de l’Université du Québec à Montréal. Il rappelle que toutes les données échangées avec les outils d’intelligence artificielle générative sont « analysées, enregistrées, stockées et utilisées », en entrevue à La Presse. Elles servent à entraîner le modèle, à le perfectionner, à tester les versions suivantes. « En fait, on travaille pour eux. Le modèle d’affaires de ces entreprises est basé là-dessus : on améliore leurs produits et ils le vendent ensuite. » Autres textes sur l'intelligence artificielle et le Web : • UQAM : Trois nouveaux programmes en marketing numérique et intelligence artificielle. • Quelle place pour l’IA dans les écoles ? • ChatGPT désormais capable de créer des images inspirées du Studio Ghibli sans licence. • « Juste la pointe de l’iceberg » : l’IA et la course à l’électricité. • L’intelligence artificielle recrute du personnel. • Élections fédérales : Les partis restent muets sur l’utilisation de l’IA durant la campagne. • Ces applications d’IA stimuleront votre productivité. • Le combat de Marie-Claude Barrette contre Meta et les publicités frauduleuses. • Meta a utilisé des livres québécois piratés pour alimenter son IA. • L’IA s’est entraînée avec Janette Bertrand, Michel Jean et India Desjardins. • Insuula crée un album avec l’aide de l’IA pour secouer l’industrie musicale. • Des voisins que l’on gagne à connaître au Québec grâce à l’économie de partage. • Les entreprises doivent se préparer à la menace de l’informatique quantique. • Plus de 900 000 $ de publicités achetées à Meta avant le début de la campagne.
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Livre blanc sur l’éducation : Debout pour l’école lance une consultation publique
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Pour améliorer le système scolaire québécois, le collectif Debout pour l’école met en ligne une consultation publique afin de recueillir le maximum d’avis sur son Projet de livre blanc citoyen sur l’éducation. L’éducation est un enjeu social majeur qui concerne l’ensemble de la population, comme en témoigne l’engagement de divers groupes de citoyennes et citoyens, dont la CSQ. En 2023, cette organisation a tenu une vingtaine de forums sur l’avenir de l’éducation au Québec. Ces rencontres ont permis d’identifier les principaux enjeux et défis à relever. Debout pour l’école a par la suite organisé des rencontres à travers le Québec afin d’explorer des pistes de solutions possibles. À partir des idées recueillies lors de ces discussions, le collectif a rédigé un projet de livre blanc qui servira à revendiquer des changements en éducation auprès du gouvernement. Dans le but d’enrichir ce document, le collectif lance une vaste consultation publique. Une plateforme de participation est en ligne depuis le 17 mars 2025 et permet aux personnes intéressées de s’exprimer sur le sujet jusqu’au 25 avril 2025. Plus de détails sur la démarche sont disponibles sur le site du collectif Debout pour l’école. Vous pouvez également consulter le Projet de livre blanc sur l’éducation et participer en ligne à la consultation.
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En route vers le Forum social mondial des intersections
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Le FSMI est un processus transnational, menant à l'événement phare du 29 mai au 1er juin 2025. Nous avons besoin de vous pour poursuivre la mobilisation ! Proposez des activités, inscrivez-vous, participez à l'organisation, suivez-nous sur Instagram et Facebook, diffusez l'événement partout dans vos réseaux, toutes les manières de s'impliquer contribuent à la réussite du forum. Ce sont les efforts collectifs qui permettront de créer ensemble des changements systémiques. Le FSMI est un processus qui a débuté en avril 2023 et qui a comme horizon le prochain Forum social mondial qui aura lieu au Bénin en 2026. Depuis, de nombreuses activités ont eu lieu et vont continuer de se dérouler dans diverses régions du monde, portées par différentes entités collectives. Ces activités permettent d’ancrer la mobilisation dans différents territoires, mais aussi de pallier certaines limites à l’organisation d’un événement dans le Nord global, notamment en ce qui concerne l’accessibilité et les questions de visas.
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Enfants priorisés selon la religion : Nouveau ménage dans les critères des garderies
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Quelle pertinence pour Radio-Canada dans l’avenir médiatique du Québec?
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Le chef du Parti conservateur du Canada, Pierre Poilievre, suggère de « définancer CBC » alors que les compressions et les fermetures se multiplient au sein des médias privés dans le contexte d’une crise de leur modèle d’affaires. En se basant sur l’état des connaissances actuelles, la note de l'Institut de recherche et d'informations socioéconomiques analyse les conditions qui ont contribué à façonner cette crise de même que ses conséquences sur le paysage médiatique québécois. Elle met en lumière deux principaux enjeux : la diminution significative de la production d’informations locales et la domination des plateformes numériques (GAFA) dans le secteur de l’information. Elle s’attarde aussi au sous-financement chronique de CBC/Radio-Canada, qui fait désormais pâle figure en comparaison des services publics médiatiques similaires ailleurs dans le monde. Étant donné le rôle essentiel de la production et de la diffusion d’informations de qualité pour la vitalité démocratique, elle recommande de stabiliser le financement de la société d’État afin qu’elle puisse jouer un rôle central dans la stratégie de maintien des médias d’information. Autre publication de l'IRIS : • L'IRIS propose un nouvel impôt sur le patrimoine.
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«La classe locataire» : Le logement, une lutte des classes
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La crise du logement au Canada n’est pas vraiment une « crise », mais plutôt une lutte. Une lutte des classes au sein de laquelle les citoyens devraient choisir leur camp, selon l’économiste politique Ricardo Tranjan, auteur de l’essai La classe locataire, traduit récemment en français chez Québec Amérique. « Quand on utilise le terme “crise”, ça ne nous aide pas à avoir un débat politisé sur la question, parce que ça nous amène à penser que ce n’est la faute de personne, que tout le monde est dans le même bateau », explique le chercheur au Centre canadien de politiques alternatives, à Ottawa, en entrevue avec Le Devoir. Êtes-vous d’accord pour qu’un petit groupe d’entreprises et de personnes bien nanties accapare une immense portion des salaires d’environ un tiers de la population canadienne ? C’est cela que permettent et même encouragent les lois, les institutions et les normes morales en place, souligne M. Tranjan. Cette dynamique, par laquelle des propriétaires font du profit sur le dos des locataires, est pourtant occultée des débats publics actuels et des stratégies de logement gouvernementales, remarque-t-il. À ceux qui sont tentés de rester neutres, M. Tranjan lance un message dès les premières pages avec une citation de Myles Horton et Paulo Freire : « La neutralité n’existe pas. Les gens qui utilisent ce terme sont ceux qui, sans le savoir, pour la plupart, soutiennent majoritairement le statu quo. » Autres textes sur l'itinérance et le logement : • Ottawa versera 50 millions à Québec pour des projets de lutte contre l’itinérance. • Itinérance et criminalité : Des dizaines de policiers bientôt en renfort dans le Village. • Hypothèque : Cinq règles d’or pour les premiers acheteurs.
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Le Canada toujours loin de sa cible climatique 2030
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Le Canada est toujours loin du compte s’il veut atteindre sa cible de réduction d’émissions de gaz à effet de serre (GES) pour 2030, selon ce qui se dégage du plus récent bilan disponible, qui a été publié vendredi. Les émissions de l’exploitation pétrolière et gazière, qui pèse lourd dans le bilan, ont fortement augmenté au cours des dernières années. Selon le Rapport d’inventaire national 2025, publié vendredi après-midi, les émissions de GES du Canada atteignaient 694 millions de tonnes (Mt) en 2023, soit le plus récent bilan disponible, rapporte Le Devoir. Il s’agit d’une réduction de 65 Mt (8,5 %) par rapport à 2005 et d’une diminution de 6,0 Mt (0,9 %) par rapport à 2022. Le Canada est donc toujours très loin de sa cible pour 2030, soit un recul de 40 % à 45 % par rapport au niveau de 2005. Cela signifierait d’émettre de 419 Mt à 457 Mt. Autres textes liés à l'environnement : • « Dans l’œil du cyclone » : reconstruire après une catastrophe climatique. • La « prochaine crise » viendra du monde agricole, croit le patron de Desjardins. • Coca-Cola : plus de 600 000 tonnes de déchets plastiques dans l’eau d'ici 2030. • Toutes les régions glaciaires ont vu leur masse fondre l’an dernier, selon l’ONU. • Les changements climatiques bouleversent notre perception du printemps. • La foresterie pollue plus que les transports, dénonce une ONG. • Stablex a détruit des milieux naturels sur le terrain qu’elle veut maintenant protéger. • Opération de sauvetage sans précédent pour un habitat de la rainette à Longueuil. • Électrification et transport lourd : Plus de six mois dans le néant. • Grand Montréal : Le vélo prend de la vitesse aux dépens du transport collectif. • Véhicules électriques : Où s'en va Québec ? • Legault dit non à une évaluation de la gestion des déchets dangereux au Québec. • Guerre commerciale : Et le climat dans tout ça ? • Une taxe pour les citoyens qui n’ont pas d’arbre sur leur terrain. • L’actualité verte de la semaine.
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Mort d’une boxeuse mexicaine : les craintes du coroner et de Bachir Sirois-Moumni
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Maude Lafleur publie En forme de fille(s)
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Maude Lafleur (elle/iel) enseigne, écrit et édite. Chargé·e de cours et titulaire d’un doctorat en études littéraires, iel signe plusieurs textes au sein de collectifs ou de revues spécialisées. En forme de fille(s) est son premier roman qu'elle/iel publie aux Éditions Leméac. Résumé : « Commence ainsi ma quête identitaire illicite ; les livres empruntés à la bibliothèque en gardant les yeux au sol, les films attrapés à la télévision par hasard et regardés dans la crainte d’être surpris·e. J’aime les femmes comme d’autres apprennent le japonais, dans l’espoir d’un éventuel séjour qui n’arrivera peut-être jamais. » Le·a protagoniste non binaire et neuroatypique peine à trouver des repères à travers les différents codes auxquels on l’intime tacitement, de l’enfance à la vie adulte, à se conformer. Une seule constante permet d’orienter ses errances : iel gravite vers des filles, voudrait s’en approcher toujours davantage, n’arrivant pas à départager la complicité, l’amour romantique et l’obsession. Dans la distance qui se creuse immanquablement autour de ses fascinations, iel développe d’autres amitiés, ennuyeuses mais utilitaires. Tenaillé·e par une faim insatiable, iel suit un chemin de miettes conduisant à des amours jamais réciproques, dans l’espoir de se construire au détour.
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Des étudiantes et étudiants de Sylvain Drouin brillent au Cas GTH 2025
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Immersion journalistique en communauté autochtone avec Guy Bois
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L’UQAM offre plusieurs possibilités d’études estivales, au Québec comme à l’étranger dont une en communauté autochtone. Activité d’immersion de deux semaines, l’école d’été se déroulera du 5 au 20 juillet, dans la communauté innue de Uashat Mak Mani-Utenam. Elle vise à améliorer la qualité de la couverture médiatique des dossiers autochtones chez les futurs journalistes, mais aussi à faire naître des vocations journalistiques au sein des jeunes des Premières Nations du Québec. Plus spécifiquement, elle a pour objectifs d’initier les personnes étudiant en journalisme aux grands dossiers autochtones, d’intéresser les journalistes autochtones aux techniques de base du journalisme (écriture journalistique, reportage, entrevue) et de rapprocher les futurs et actuels journalistes autochtones et allochtones. L’école d’été est réalisée grâce à l'apport du chargé de cours Guy Bois en collaboration avec l’Institut Tshakapesh (institut culturel de la Nation innue), le programme Art et technologie des médias du Cégep de Jonquière ainsi qu’Espaces autochtones de Radio-Canada.
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Denis Farley participe à une expo rétro pour le 40e anniversaire de VOX
Pour ses 40 ans, le centre d’artistes VOX présente 1985. Mondes-images. Cette exposition hommage aux images et pratiques des années 1980 qui ont contribué à transformer le monde regroupe une trentaine d’artistes, dont le chargé de cours Denis Farley, rapporte Actualités UQAM. C’est la commissaire Marie J. Jean, directrice artistique et générale de VOX et professeure associée au Département d’histoire de l’art, qui a réuni tout ce beau monde. Le fil conducteur de cette rétrospective, c’est l’esprit des années 1980, cette époque marquée par les images, le postmodernisme, la mode, le design et le vidéoclip qui émerge comme médium. «À l’occasion de notre 40e anniversaire, nous avons souhaité faire un retour sur l’époque à laquelle VOX a émergé, indique la commissaire. Il y avait tellement de bon matériel dans les années 1980. La sélection n’a pas été facile.»
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Les principaux scénarios plausibles en Ukraine, selon Rafael Jacob
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Donald Trump se vantait plus tôt cette semaine d’appels « très productifs » avec Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky sur un cessez-le-feu partiel entre la Russie et l’Ukraine. Reste qu’il est encore justifié de se demander comment cette guerre qui ravage l’Ukraine depuis plus de trois ans peut cesser. Pour y répondre, on doit d’abord comprendre les perspectives russe, ukrainienne et américaine dans le conflit — et où le processus de pacification accroche, explique Rafael Jacob dans un texte publié par L'actualité. Ce que le régime de Poutine veut empêcher, depuis la première heure, c’est que l’ensemble de l’Ukraine devienne un « vassal » des États-Unis qui pourrait le déstabiliser. toute fin des combats — qu’elle soit temporaire ou plus définitive — ne peut être envisagée pour les Ukrainiens sans, au minimum, une forme de garantie de sécurité de la part des principaux pays occidentaux, assurée idéalement par les États-Unis. L’inverse serait une invitation lancée à la Russie de s’attaquer à nouveau, tôt ou tard, à son voisin. Et c’est précisément là où réside tout le problème : on a fondamentalement affaire à une rupture de confiance quasi totale entre deux voisins, qui ne voient dans l’autre que la menace existentielle qu’il représente.
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Justine Lalande commente l'acte de vandalisme contre Tesla à Montréal
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Bruno Boulianne parle du documentaire Maurice, du réalisateur Serge Giguère
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André Lamoureux répond à la question : À quoi s’attendre de la campagne électorale?
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Entrevue avec Julien Tourreille | Les États-Unis courtisent-ils la Russie?
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