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Entre vous et moi
Le recteur nous a transmis ses amitiés de Marrakech jeudi, où il entame la troisième partie de sa mission au Maroc. Le wifi ne doit pas bien se rendre puisqu’il ne semble pas avoir reçu nos nombreux courriels l’enjoignant d’exercer son influence en donnant des mandats à son comité de négociation afin d’en arriver à une conclusion positive de la négociation de nos conditions encadrant l’enseignement en ligne. On lui rappelle que nos principales demandes sont de maintenir l’offre de cours en présence tout en développant l’offre de cours en ligne; de limiter la taille des groupes-cours dans le cadre de ce développement; et de rémunérer adéquatement les personnes chargées de cours pour la surcharge de travail qu’occasionne l’enseignement en ligne. On lui rappelle, finalement, que s’il reste les bras croisés, les membres du SPPEUQAM seront contraints le 2 décembre de prendre une décision lourde de sens en vue d’exercer éventuellement leur droit de grève, ce qui mettra fin à la paix sociale à l’UQAM. Je ne peux pas croire qu’il ne peut pas trouver un endroit bien alimenté pour recevoir ces courriels et nous répondre. Bonne lecture, Richard Bousquet Vice-président à l’info du SPPEUQAM
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Assemblée générale le lundi 2 décembre : vote de grève à l'ordre du jour
Les membres du SPPEUQAM sont conviés à une assemblée générale le lundi 2 décembre à 12h30 au R-M120 (Pavillon des Sciences de la gestion). Un lunch sera servi dès midi. À l'ordre du jour : • Rapports des comités de mobilisation et de négociation de nos conditions d'enseignement en ligne • Présentations du fonds local de grève et de lockout du SPPEUQAM et du fonds de défense professionnelle (FDP) de la CSN • Présentation du mandat de grève et vote secret Nous vous y attendons en grand nombre.
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Chronique de la négo : Bientôt en grève ?
Votre comité de négo a rencontré la partie patronale pour une 15e fois, le mercredi 20 novembre, dans le cadre de la négociation sur l’enseignement en ligne, toujours en présence du conciliateur. En voici un bref compte-rendu, en attendant plus de détails lors de l’assemblée générale. Des discussions qui avancent, d’autres qui s’enlisent L’impasse demeure toujours sur les éléments prioritaires des demandes des membres. Les discussions ont piétiné car l’employeur refuse de reconnaitre la surcharge de travail et il refuse toujours de reconnaitre notre droit d’avoir notre mot à dire sur la taille des groupes ou les balises au développement de l’enseignement en ligne.
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Saviez-vous que… à propos des formations rémunérées pour l’enseignement en ligne
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Saviez-vous qu’à titre de chargé.e de cours, vous avez droit à 3 ou 6 heures de formation en ligne rémunérées? En effet, lors de la négociation de la convention collective en vigueur, l’UQAM et le SPPEUQAM ont signé une lettre d’entente sur l’enseignement en ligne (présente dans la convention collective, LE-22-017, p.156). Celle-ci comprend, entre autres choses, la rémunération de formations en ligne pour les personnes chargées de cours. Ces formations sont offertes par le carrefour techno-pédagogique de l’UQAM. Il s’agit de formations spécifiques à l’enseignement en ligne, par exemples : La pédagogie hybride : fondements et pistes d’application (2 h); Concevoir, produire et diffuser des capsules pédagogiques : vidéos et balados (2 h) ; Planifier une ou plusieurs séances à distance (1 h 30) . Une personne chargée de cours qui est embauchée depuis moins de 12 mois a droit à un maximum de 6 heures de formations rémunérées, alors que ce sont 3 heures rémunérées qui sont octroyées à une personne chargée de cours à l’emploi de l’UQAM depuis plus de 12 mois. Voici la liste des formations disponibles ainsi que le formulaire de paiement. Nous suggérons fortement de suivre ces formations. Vous y avez droit, elles sont rémunérées et elles sont très utiles. Dépêchez-vous car les heures accordées pour 2024 doivent être utilisée avant la fin décembre.
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L'IA s'invite à la Journée nationale des chargées et chargés de cours
La Journée nationale des chargées et chargés de cours est l’occasion de souligner le travail des chargé·es de cours qui mettent le cœur à l’ouvrage. Dans le cadre de cette journée, la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ) organise une conférence suivie d’une discussion en ligne, intitulée : L'humain face à l'IA en enseignement supérieur : quels impacts? Conférence et discussion avec les membres du comité école et société de la FNEEQ, dont font partie Ricardo Penafiel et Stéphane Daniau du comité exécutif du SPPEUQAM. Pour vous inscrire, voici le lien Zoom. Les membres SPPEUQAM doivent s’inscrire afin de pouvoir accéder et participer à l’événement Web, mais ils peuvent également assister à l'événement en personne puisque les membres du comité école et société donneront leur conférence du local syndical, A-R540, de midi à 14h, et un lunch sera servi.
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Grèves étudiantes vendredi : quoi faire?
Selon les informations que nous avons, l’Association facultaire étudiante des sciences humaines (AFESH) l’Association facultaire étudiante de Science politique et de droit (AFESPED), l’Association facultaire étudiante des arts (AFÉA) et l’Association des étudiantes et étudiants de la Faculté des sciences de l'éducation (ADEESE) seront en grève le vendredi 22 novembre, en soutien au peuple palestinien et en opposition à la militarisation des relations internationales et à l’impérialisme colonial que représente l’OTAN. L’ensemble des cours offerts par ces facultés seront donc levés à l’exception des stages. Nous vous rappelons que vous avez l’obligation de vous préparer et de vous présenter à votre cours, comme prévu. Toutefois, si les conditions pédagogiques pour donner ledit cours ne sont pas réunies (absence d’un nombre important d’étudiant-es, levées de cours, etc.), vous devez avertir votre département que le cours ne pourra être donné. Si vous désirez rapporter un incident ou si vous êtes confronté à une situation délicate, vous pouvez appeler le Syndicat : 514 987-3495 ou contacter un membre du CAART. Pour le détail des activités des grèves étudiantes.
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Tractage : opération réussie
Les membres du SPPEUQAM ont tenu une opération de tractage mardi midi à l'agora du pavillon Judith-Jasmin afin de sensibiliser les étudiantes et les étudiants au mauvais déroulement de nos négociations sur l'enseignement en ligne. Ce fut une réussite : nous avons distribué 2000 tracts en moins d'une heure. Au-delà du fait que l'UQAM ne veut pas nous payer correctement pour préparer un nouveau cours en ligne, nous leur avons expliqué qu'on se battait également pour elles et eux en réclamant d'avoir toujours le choix entre des cours en présence et des cours en ligne bien préparés et de pouvoir donner des cours en ligne dynamiques et adaptés pour des groupes à taille humaine. Nous les avons invités à participer à l'envoi massif de courriels au recteur actuellement en cours afin d'appuyer nos revendications.
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Célébration noëllesque du SPPEUQAM le 13 décembre
Les membres du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l'UQAM sont cordialement invité.es à la célébration noëllesque du SPPEUQAM, qui aura lieu à l’ITHQ, le vendredi 13 décembre dès 18 h. Au menu : cocktail, souper, jeux animés, prix de présence, hommage aux collègues retraité.es en 2024 et danse! Vous pouvez réserver votre place par ce bref formulaire avant le 27 novembre. Une fois inscrites, les personnes qui ont un empêchement sont priées de nous en aviser pour qu'on puisse céder leur place à un.e autre membre. L’ITHQ (Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec) est situé au 3535, rue Saint-Denis, Montréal (métro Sherbrooke). Le cocktail d’accueil aura lieu dès 18 h au 6e étage de l’Institut; suivra ensuite l’excellent repas, toujours au 6e étage. Du plaisir garanti dans la proverbiale solidarité qui anime les membres du SPPEUQAM. L’équipe du Comité mobilisation-intégration du SPPEUQAM
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La CSN invite ses membres et leur famille au grand rassemblement syndical de l'année
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Le gouvernement Legault fait le choix de l’austérité
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La CSN salue le plan de Québec pour un meilleur accès à l’avortement
La Confédération des syndicats nationaux (CSN) accueille favorablement le plan d’action gouvernemental sur l’accès à l’avortement de la ministre responsable de la Condition féminine, Mme Martine Biron, qui vise à protéger le droit à l’avortement des Québécoises. Ce plan, qui comprend 28 mesures, a officiellement été lancé à 10 h ce matin. Le Comité de la condition féminine de la CSN a toujours milité, entre autres, pour que les femmes aient le plein contrôle de leur corps. « À cet égard, les militantes de la condition féminine de la centrale syndicale manifestent depuis longtemps pour une plus grande accessibilité à l’avortement et à des méthodes abortives, partout en province. La CSN appuiera certainement les mesures du plan de la ministre Biron qui visent à améliorer et diversifier de tels soins en région », confirme Mme Caroline Senneville, présidente de la CSN.
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Un vaste soutien populaire pour les travailleuses en CPE
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Les quelque 12 500 travailleuses en centres de la petite enfance (CPE), affiliées à la Confédération des syndicats nationaux (CSN), ont déposé à l’Assemblée nationale une pétition de tout près de 20 000 signatures en appui à leurs revendications, parrainée par le député des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau. Ces travailleuses sont actuellement en négociation avec le gouvernement et elles proposent des solutions pour régler la pénurie de personnel et les bris de services qui menacent le réseau. Cette action de visibilité coïncide aussi avec la Journée mondiale de l’enfance. « Les travailleuses sont épuisées par la surcharge de travail et voient leurs conditions d’emploi se détériorer d’année en année. D’ailleurs, elles sont de plus en plus nombreuses à délaisser la profession », explique la représentante du secteur des CPE de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS–CSN), Stéphanie Vachon. Le gouvernement de la CAQ devrait faire des pieds et des mains pour convaincre le personnel d’expérience de demeurer dans le réseau et attirer la relève. Malheureusement, il travaille à l’envers. • CSQ : Solidarité pour les intervenantes en petite enfance! • Trois jours de grève dans des CPE en décembre.
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Le journal l’Unité du CCMM-CSN du mois de novembre
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Le Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM-CSN) vient de publier son journal l’Unité du mois de novembre. Au sommaire : • Un spectre d'austérité hante le Québec • Le 23 novembre 2024 : votre participation est essentielle au grand rassemblement vraiment public ! • Le mot de la rentrée : luttes et solidarité ! • Syndicats en conflit : STT en intervention communautaire -CSN-Centre l'Entre-ToiT, Syndicat des chargé-es de cours de l’École de technologie supérieur serv. des enseignements gén.(SCCÉTS-SEG), Syndicat des employé-es de magasins et de bureaux de la SAQ (SEMB- SAQ–CSN) • Négociations dans l'hôtellerie : STT de l’Hôtel Côte-de-Liesse - Hôtel Radisson et STT de l'hôtel Reine-Élisabeth • Central de Gas, Mexique : Une lutte contre la corruption et l’intimidation • Campagne pour la régularisation des statuts et la justice migrante • Ensemble pour un métro accessible ! • La victoire de Trump n'est pas une surprise • Journée de réflexion sur le capitalisme et les inégalités sociales • Pourquoi faut-il connaître le réseau Atlas ?
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Le CCMM-CSN appuie les militants environnementaux et la lutte du peuple palestinien
Le Conseil central du Montréal métropolitain a adopté deux résolutions lors de son assemblée générale du 6 novembre : contre la criminalisation des militants environnementaux et en appui à la lutte du peuple palestinien. Cette dernière a été précédée d'une conférence du professeur associé de l'UQAM Rachad Antonius portant sur un processus assumé d’appropriation de la terre de Palestine par le mouvement sioniste dans le cadre d’un processus commencé il y a plus de cent ans, et un nettoyage ethnique violent, nécessaire pour réaliser cet objectif. Voici les deux résolutions :
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Pourquoi les grèves sont-elles en hausse au Québec?
Lockout au port de Montréal, débrayages surprises à la SAQ, grève à Postes Canada : les conflits de travail ne cessent de faire les manchettes au Québec. D’un secteur à l’autre, les travailleurs entrent en grève — ou menacent de le faire —, espérant améliorer leur rémunération et leurs conditions de travail. Comment expliquer cette résurgence des conflits de travail ? Décryptage. « On voit un accroissement assez énorme des conflits de travail depuis la fin de la pandémie et une explosion des chiffres en 2023 avec la grande grève du secteur public », fait remarquer d’emblée Jean-Philippe Warren, sociologue à l’Université Concordia. Depuis une vingtaine d’années, la moyenne d’heures de travail perdues en grèves ou en lockout au Québec ne dépassait presque jamais le cap des 50 000 heures par mois. L’an dernier, ce chiffre a été multiplié par quatre, pour atteindre près de 225 000 heures, d’après les données obtenues par Le Devoir auprès de Statistique Canada.
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Prelco-Montréal : Entente de principe adoptée à 96 %
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Monde social et de l'Éducation
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Québec doit réduire la place de l’anglais au cégep et à l’université, avance un rapport
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Le gouvernement du Québec doit réduire la part de l’enseignement en anglais dans les cégeps et universités pour que 85 % des étudiants suivent leurs cours en français, selon le commissaire à la langue française, Benoît Dubreuil. Sans quoi, « les tendances défavorables » au maintien de la langue risquent de s’accentuer, a-t-il dit, mercredi. Le commissaire a rendu public en matinée son plus récent rapport sur l’avenir de la langue française. Le document, intitulé Comprendre le recul, inverser les tendances, se veut une réponse aux données rendues publiques par l’Office québécois de la langue française, l’an dernier. Il contient huit recommandations, rapporte Le Devoir. Selon M. Dubreuil, la proportion actuelle d’étudiants suivant des cours en anglais au cégep ou à l’université (22,4 %) est « trop élevée ». Réduire graduellement la fréquentation de cours en anglais dans le réseau de l’enseignement supérieur « permettrait d’assurer la prédominance du français dans l’enseignement supérieur, y compris à Montréal, tout en reconnaissant l’importance d’accorder à l’anglais un espace raisonnable ». • Manque de soutien pour les élèves autochtones.
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Le Canada perd 35% de ses immigrants francophones, surtout au Québec et en Ontario
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Le livre québécois au seuil d’être trop cher
Le prix du livre québécois a longtemps résisté à l’inflation. On a presque cru qu’il résisterait encore et toujours à cet envahisseur. Mais la réalité rattrape les éditeurs — et par effet domino, toute la chaîne du livre. De 2014 à 2024, le prix moyen de vente en librairie a augmenté de 19 %, selon une étude dévoilée par la Société de gestion de la banque de titres de langue française (BTLF). Des éditeurs estiment qu’ils devront bientôt franchir « le seuil psychologique » du prix de leurs livres. Certains grugent déjà leurs marges de rentabilité. Pour la même période, la hausse de l’Indice des prix à la consommation a été de 30 % au Québec — nettement supérieure à celle du prix du livre. En librairie québécoise en 2018, le prix moyen du livre francophone d’édition canadienne était de 17,86 $. En 2021, il atteignait 19,85 $, selon le bilan Gaspard. Pour 2024, jusqu’à maintenant, il est de 21,22 $. Une hausse constante, constate Le Devoir.
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L’avenir des enfants de 2050 « en péril », alerte l’UNICEF
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Transition démographique, impacts grandissants du réchauffement, menace des technologies connectées : ces « grandes tendances » dessinent un avenir sombre pour les enfants de 2050, alerte l’UNICEF, qui appelle à agir maintenant pour construire un destin meilleur à l'intention de la jeunesse de demain, rapporte l'Agence France-Presse. «Les enfants font face à une multitude de crises, des chocs climatiques aux risques en ligne, et ces menaces devraient s'amplifier au cours des prochaines années», a mis en garde mardi Catherine Russell, directrice générale de l'agence onusienne chargée de l'enfance. «Des décennies de progrès, en particulier pour les filles, sont en péril», poursuit-elle dans un communiqué à l'occasion de la publication du rapport phare de l’UNICEF qui aborde tous les ans un thème différent. Cette année, l’UNICEF se projette en 2050, cernant trois «grandes tendances» qui – en plus des conflits, difficiles à prédire – menacent «gravement» les enfants si les décisions nécessaires ne sont pas prises à temps. Autres textes liés à l'environnement : • COP29 : Les tractations s’intensifient en vue d’un nouveau texte vendredi. • COP29 : sale temps pour le climat. • La chaleur record des océans a aggravé les ouragans de l’Atlantique en 2024. • Des déversements d'eaux usées de plus en plus intenses en 2023.
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Pour devenir riche, mieux vaut être un homme avec des parents riches
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La santé mentale au Canada serait « trois fois plus précaire » qu’avant la pandémie
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Itinérance : « le communautaire ne peut pas être seul au front », s’indigne le RAPSIM
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La section alimentée par et pour les membres du SPPEUQAM
La section Membres en action veut rendre compte de la contribution des membres du SPPEUQAM dans des événements (colloque, congrès, exposition, etc.), dans les médias, de celles et ceux qui publient un ouvrage ou qui soutiennent leur thèse. Si c'est votre cas, faites-nous le savoir… on n'a pas des yeux tout le tour de la tête. Faites connaître votre réalisation par courriel au Syndicat.
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Éric Duchemin participe à une mission au Maroc sur l’agriculture urbaine
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Alexandra Dumont recommande de faire attention aux jeux mobiles pour enfants!
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Vanessa Mardirossian contribue à relancer l’industrie de la laine au Québec
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