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Entre vous et moi
Mon billet ressemble beaucoup à celui de la semaine dernière, il y a peu de changements dans le paysage, mais des infos importantes pour les nouvelles personnes chargées de cours. Le blitz de rencontres de formation, d’information et de discussion se poursuit. Nous vous convions à des ateliers d’information sur les projets d’acquisition d’EQE pour la stabilisation le 24 février et sur la procédure de reconnaissance d’EQE les 26, en ligne, et 27 février, en présence. Un lunch sera fourni. La période de demande annuelle d’EQE suivra du 8 au 13 mars. On est aussi dans une ronde d’assemblées d’unité, le meilleur moment de rencontrer les collègues de votre département pour discuter entre vous de la dynamique de votre département ou école, le tout autour d’un bon repas fourni. C’est aussi le moment idéal pour les nouvelles personnes chargées de cours de s’intégrer au groupe. Vous trouverez les dates des assemblées dans l’Agenda qui suit. D’autres dates s’ajouteront la semaine prochaine. Dernière journée demain pour la période d’affichage des charges de cours pour le trimestre d’été 2025. Que vous appliquiez ou non sur des charges, je vous rappelle qu’il est important de mettre à jour votre statut d’emploi, une nécessité pour d’autres demandes dont les mises à jour de connaissances et les projets de perfectionnement. Bonne lecture, Richard Bousquet Vice-président à l’info du SPPEUQAM
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La ronde des assemblées d'unité : L'occasion de vous voir et de discuter entre collègues
Le comité mobilisation-intégration du SPPEUQAM a commencé cette semaine la ronde des assemblées d'unité. Une trentaine sont à l'horaire (voir l'Agenda ci-dessus). D'autres s'ajouteront dans les prochains jours. C'est l'occasion de discuter entre collègues d'un même département ou école autour d'une bonne bouffe de sujets concernant votre travail dans votre département et de partager plusieurs informations sur notre vie syndicale et les dossiers en cours. Vous recevrez un bref rapport de vos représentant.e.s siégeant aux diverses instances ou comités de votre département et procéderez à l'élection de vos représentant.e.s locaux pour la prochaine année. C'est un excellent moment pour vous initier à la vie départementale, s'il s'agit de votre première fois. Vous devez vous inscrire parce qu'un dîner vous est offert.
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Atelier d’information sur les projets d’acquisition d’EQE pour la stabilisation le 24 février
Une séance d’information aura lieu le lundi 24 février, dès 12 h 30, en présence au local du Syndicat, A-R540, pour les membres qui souhaitent en savoir davantage sur le dépôt de demande de financement afin d’obtenir de nouvelles exigences de qualification pour l’enseignement (EQE), dans le cadre de projet d’acquisition d’EQE pour la stabilisation. Un lunch sera servi. On confirme sa présence en écrivant à Benoit Coutu, agent de relation de travail. Ces demandes doivent être déposées lors de la procédure annuelle, du 8 au 13 mars, ce qui est impératif afin de pouvoir postuler à ces charges de stabilisation aux trimestres d’Été et d’Automne 2025 et à celui d’Hiver 2026. Ce processus d’acquisition d’EQE pour la stabilisation constitue un acquis historique de notre récente négociation de notre convention collective, en vigueur depuis le 22 décembre 2022. Toutes et tous les membres du Syndicat peuvent y participer. Au plaisir de vous voir et d’échanger avec vous!
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Séances d’information sur la procédure de reconnaissance d’EQE les 26 et 27 février
Deux séances d’information auront lieu en ligne le mercredi 26 février (voici le lien pour y accéder) et en présence au local du Syndicat, A-R540, le jeudi 27 février, dès 12 h 30, pour les membres qui désirent obtenir de nouvelles exigences de qualification pour l’enseignement (EQE). On y abordera, entre autres, la nouvelle possibilité issue de notre dernière négociation pour notre convention collective, soit de postuler sur des EQE d’autres unités académiques que celle(s) habituelle(s). Toutes et tous les membres du Syndicat peuvent y participer. On confirme sa présence en écrivant à Benoit Coutu, agent de relations de travail. Un lunch sera servi le 27 février. Au plaisir de vous voir et d’échanger avec vous!
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Nouvelles balises pour l’enseignement en ligne à l’UQAM : Entente acceptée à 85%
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Liberté académique : Pascale Déry doit nous protéger de son ingérence
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C’est avec stupéfaction que nous avons appris l’ingérence de la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, dans le cursus des cours de cégep. Ainsi, selon la ministre, un cours intitulé « Appartenances palestiniennes » exigeait son intervention en raison de « malaises » de certain·es étudiant·es. Un si faible motif ne justifie en rien une transgression du principe fondamental et clairement établi de la liberté académique au sein de l’enseignement supérieur, auquel appartient le réseau collégial, affirme le président de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ–CSN), Benoit Lacoursière. À cet égard, l’enquête dans les collèges Vanier et Dawson qu’elle a commandée s’apparente de plus en plus à une volonté explicite de sa part de produire un effet dissuasif sur la liberté académique des enseignant·es. Il faut donc abandonner cette démarche dès maintenant, les établissements disposant de tous les outils pour gérer ces situations. Rappelons qu’en 2021, une annexe confirmant la protection du droit de choisir le contenu vu dans les cours était intégrée à la convention collective des enseignant·es de cégep. Cette disposition a été reconduite lors des dernières négociations. Aussi, en avril 2022, le gouvernement Legault déposait le projet de loi 32 portant sur la liberté académique en milieu universitaire. La ministre de l’Enseignement supérieur de l’époque, Danielle McCann, affirmait que « tous les mots seront permis dans les salles de cours, sans crainte de s’exposer à une plainte, dans la mesure où le contexte pédagogique s’y prête. » Ce principe ne saurait être à géométrie variable, au gré des intérêts et affinités de la ministre. Rappelons que celle-ci a siégé au conseil d’administration du Centre consultatif des relations juives et israéliennes (CIJA) de 2016 à 2022, c’est-à-dire jusqu’à son élection. Comme nous l’avons réclamé dès 2021, notre Fédération demande au gouvernement d’élargir la portée de la loi 32 afin d’y intégrer les cégeps et d’empêcher toute nouvelle ingérence. Autres textes sur le même sujet : • Enquête visant des cégeps : Des enseignants dénoncent « un abus de pouvoir » de Québec. • Pascale Déry admet s’être mêlée du contenu d’un cours sur la Palestine. • La ministre Pascale Déry encore accusée d’ingérence politique. • Les oppositions demandent des excuses, des explications, voire une enquête sur Pascale Déry. • Les accusations d’ingérence se multiplient contre Pascale Déry, la CAQ la défend. • Chronique | Liberté, j’écris ton nom (quand ça me tente).
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Abolition des bourses Perspective : Et que fait-on pour contrer la désertion professionnelle ?
Récemment, la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, a annoncé qu’elle mettait fin au programme de bourses Perspective dès cet hiver, plutôt qu’après la session d’automne 2025 tel que prévu. La raison évoquée : la mesure n’aurait pas donné les effets escomptés, notamment dans le domaine de l’enseignement. Ces bourses étaient pourtant l’une des mesures phares de l’Opération main-d’œuvre du gouvernement Legault, puisqu’elles visaient à augmenter le nombre d’inscriptions dans les baccalauréats en enseignement. Or, moins de trois ans plus tard, on y met fin. Pourquoi cette mesure n’a pas attiré plus de jeunes dans ces programmes ?, questionne Annie-Christine Tardif, vice-présidente à la vie professionnelle à la Fédération autonome de l’enseignement, dans un texte publié par La Presse. Nous avançons que c’est simplement parce que le gouvernement n’a pas identifié les causes profondes du manque d’attractivité de cette profession.
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École Bedford : des solutions généralisées pour des problématiques localisées
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La CSQ réagissent vendredi au rapport des accompagnateurs à l’école Bedford découlant de l’enquête déclenchée par le ministère de l’Éducation. Si, d’emblée, un certain nombre des constats et des recommandations vont de soi pour la CSQ, d’autres éléments font toutefois sourciller. « La grande question qui nous vient, à chaud, en prenant connaissance du contenu du rapport, c’est : mais qu’en est-il des mécanismes déjà en place? Qu’en est-il aussi du rôle des directions d’école, de l’employeur? Parce qu’avant d’imposer davantage de nouvelles mesures, il faut se questionner sur ce qui n’a pas fonctionné dans ces cas précis », a fait valoir le président de la CSQ, Éric Gingras. La CSQ se questionne sur le fait que le rapport propose des solutions généralisées à l’ensemble du réseau scolaire alors que les problématiques sont localisées. En ce qui concerne l’évaluation des enseignantes et enseignants aux deux ans, la CSQ estime nécessaire de rappeler que les pouvoirs d’évaluation et de supervision pédagogiques existent déjà dans la Loi sur l’instruction publique. En effet, les directions d’établissement disposent déjà de tous les leviers nécessaires pour assurer la supervision et l’évaluation des enseignantes et enseignants. Or, si cette évaluation ne se fait pas comme il se doit, c’est faute de temps et de ressources dans les milieux. • Climat toxique à l’école Bedford : Évaluation aux deux ans pour tous les enseignants du Québec. • Les 11 enseignants suspendus pourraient être payés encore longtemps.
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Des femmes contre la pauvreté : Encore en lutte, encore en marche, le 7 mars à la CSN
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Front commun pour le respect des engagements envers le personnel de la santé et des services sociaux
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Projet de loi du ministre Boulet : Le gouvernement déclare la guerre aux travailleuses et aux travailleurs
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Alors que les travailleuses et les travailleurs sont inquiets face à l’incertitude économique, le gouvernement en rajoute une couche en voulant restreindre le droit de grève. Avec son projet de loi, le gouvernement s’en prend encore une fois aux droits des salarié-es. Pour la CSN, si les conflits de travail perdurent, c’est parce que nos lois du travail n’ont pas assez de mordant et que les employeurs n’ont pas d’incitatif à régler. Dans les derniers mois, de nombreux lock-out ont été décrétés et les employeurs ont de plus en plus recours à des briseurs de grève, en toute impunité. Pour la CSN, il n’y a pas de doute: « le projet de loi du ministre Boulet favorise les employeurs et ne sert pas la négociation », continue Mme Senneville. Cela fera en sorte que ces derniers ne sentiront pas la nécessité d’en arriver à une entente négociée lors d’un conflit de travail. Ils n’auront qu’à invoquer les menaces à « la sécurité économique, sociale et environnementale » afin de tenter de forcer l’intervention du Tribunal administratif du travail, soit pour réduire la portée de la grève ou bien pour imposer un arbitrage, qui mettra fin au conflit. Bien sûr, les perdants dans ces deux scénarios sont les travailleuses et les travailleurs qui luttent pour de meilleures conditions. Pendant ce temps, les patrons sont morts de rire. Le gouvernement travaille pour eux ! ». Autres textes sur le même sujet : • Réforme du Code du travail pour limiter le droit de grève : terrain glissant. • La FEESP-CSN dénonce l’attaque du gouvernement Legault contre le droit de grève. • FTQ | Un projet de loi inutile qui cache le bilan catastrophique du gouvernement Legault. • SCFP | Droit de grève attaqué : Un projet de loi qui ne verra pas son ombre. • CSQ | Projet de loi 89: «Une rupture de l’équilibre des relations de travail». • Conflits de travail : Jean Boulet veut se donner le pouvoir d’intervenir.
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La CSN tourne le dos à X
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La CSN est une organisation syndicale qui lutte pour la justice sociale, pour l’égalité sur tous les fronts. La CSN est aussi une organisation syndicale qui représente des travailleuses et des travailleurs de l’information et qui œuvre pour un réel droit à l’information et pour une société égalitaire et démocratique. La plateforme X ne loge plus à cette antenne. Depuis le rachat par Elon Musk, X, anciennement Twitter, a muté en un espace clairement biaisé à l’égard des contenus de droite, d’extrême-droite et d’austérité économique, en plus d’être devenu un outil facilitant la prise de pouvoir de son propriétaire aux côtés de Trump. Des communautés féroces et décomplexées y dominent, favorisées par un algorithme sur les stéroïdes, empêchant tout débat public équilibré et serein. Si certains doutaient encore des accointances de Musk avec les nébuleuses de droite et d’extrême-droite, la présomption d’innocence est tombée devant le triste de spectacle des deux saluts nazis enthousiastes auxquels il s’est livré pendant la cérémonie d’investiture du président Trump. Les fermetures de comptes se sont multipliées au lendemain de l’investiture et elle se sont encore accélérées après le 25 janvier dernier, à la suite de l’allocution de Musk devant les membres du parti allemand d’extrême-droite Alternative für Deutschland (AfD), qu’il a encouragé à oublier la « culpabilité passée ».
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Délivrons-nous d'Amazon : la CSN a manifesté son mécontentement samedi
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Alors que la campagne de boycottage d’Amazon gagne des appuis, la CSN a rassemblé plus de 2000 personnes lors d'une grande manifestation festive, samedi, dans les rues de Montréal. « Au Québec, on sait se tenir debout! », martèle sa présidente, Caroline Senneville. « Ce n’est pas vrai qu’on va laisser une multinationale venir ici, prendre notre argent, bafouer nos lois et menacer la viabilité de nos entreprises et de nos commerces locaux sans réagir fortement. » « Personne n’est dupe, affirme la présidente de la CSN. Personne ne croit Amazon sur parole quand la multinationale déclare que la décision de fermer sept entrepôts et ainsi entraîner 4700 mises à pied n’a rien à voir avec la présence d’un syndicat et la possibilité qu’un arbitre n’impose une première convention collective dès cette année. Or, une telle décision est illégale au Québec. Et la moindre des choses, quand une compagnie enfreint nos lois de façon aussi éhontée, c’est de cesser de transiger avec elle. Tant Ottawa et Québec, que nos villes et nos institutions publiques doivent couper les ponts avec Amazon. » En réaction à l’intention d’Amazon de fermer ses sept entrepôts au Québec et de céder l’ensemble de ses opérations à la sous-traitance, la CSN lançait la semaine dernière une campagne nationale de boycottage d’Amazon. Autres textes liés à Amazon : • Manifestation Amazon attaque le Québec : Legault, fait ta job, Square Phillips, 1er mars à 13h • Amazon : la CSQ aux côtés des travailleuses et des travailleurs. • Pourquoi les employés d’Amazon au Québec ont voulu se syndiquer. • Livraison Amazon : Quatre à cinq jours au lieu d’un ou deux. • Des employés d’Amazon en Caroline du Nord disent non au syndicat. • Signé Local : Une alternative à Amazon... version Québec. • Pour plus d’information sur la campagne de boycottage d'Amazon.
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Le gouvernement doit prévoir des programmes d’aide à l’emploi et aux entreprises
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L'information, un bien public : Tables de discussions de la FNCC
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La Fédération nationale des communications et la culture FNCC - CSN invite les membres de la société civile ainsi que divers acteurs du monde médiatique, culturel et politique et des groupes communautaires à participer à une série de tables de discussions sur l’avenir de l’information : le lundi 24 février au Cosmodôme de Laval à 14h00, le mardi 25 février au Holliday Inn de Longueuil à 13h30 et le jeudi 27 février au Centre St-Pierre à Montréal à 13h30. Nous y ferons le point sur la situation actuelle, faits et chiffres à l’appui, et sur les perspectives à venir. Nous y discuterons de solutions à court et moyen termes et des stratégies à mettre en place. Les tables se tiendront dans les prochaines semaines à Montréal, Longueuil, Laval et à Ste-Adèle. Une information professionnelle, éthique et vérifiée est une des bases qui permettent l’exercice d’une démocratie éclairée. Si sa survie vous intéresse, joignez-vous à nous! Pour vous inscrire, écrivez à FNCC.Reception@csn.qc.ca en mentionnant votre nom et la date à laquelle vous souhaitez participer. Pour plus de détails sur la campagne L'information, un bien public de la FNCC. Autres textes sur les médias : • Soutenir nos médias, c'est protéger notre culture et notre économie. • Pascale St-Onge propose de pratiquement doubler le financement du diffuseur public.
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Manifestation en solidarité avec les travailleur.euse.s de la construction
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Le CCMM-CSN appuie une manifestation en solidarité avec les travailleuses et travailleurs de la construction le dimanche 23 février qui partira à 11h du métro Honoré-Beaugrand, une initiative du Comité d’action solidarité avec la construction du Québec (CASCQ) qui est une coalition composée de cinq organisations. En janvier, les associations syndicales et patronales de la construction ont déposé leurs revendications pour les négociations de 2025. Sans surprise, les offres patronales proposent des reculs majeurs en matière de conditions de travail et de salaire. Cette attaque fait suite à l’adoption du projet de loi 51 en mai 2024, une réforme de la CAQ permettant aux employeurs d’utiliser des esclaves modernes sur les chantiers et de dérégulariser le secteur de la construction. Cette dérégularisation aura plusieurs impacts négatifs sur l’ensemble la société québécoise : construction de bâtiments bâclés, non-respect des procédures de gestion des matières dangereuses (ex : l’amiante), vulnérabilisation et exploitation des travailleurs migrants, augmentation des accidents de travail, diminution des inspections sur les chantiers et diminution des conditions de travail des travailleurs et travailleuses.
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Vers un nouveau mandat de grève dans les CPE
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Monde social et de l'Éducation
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Les demandes d’admission d’étudiants étrangers dans les universités s’affaissent
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Alors que Québec n’a même pas encore rendu publics les plafonds d’étudiants étrangers dans les universités, les demandes d’admission provenant de l’extérieur du pays sont en chute libre dans certaines universités. C’est ce qui se dégage des réponses obtenues par La Presse canadienne, qui a cherché à savoir auprès des universités accueillant les plus fortes proportions d’étudiants étrangers si la seule menace d’imposer des plafonds avait déjà une incidence avant que ceux-ci ne soient annoncés. Bien que le ministre de l’Immigration, Jean-François Roberge, ait promis d’épargner les programmes en région, des voix s’étaient élevées de partout réclamant, entre autres, qu’il évite d’imposer des quotas pour les étudiants de deuxième et troisième cycles (maîtrise et doctorat), qui sont au cœur de la recherche scientifique québécoise. Selon les données de l’Institut de la statistique du Québec croisées avec celles du ministère de l’Éducation, les 19 universités québécoises accueillent un peu plus de 56 000 étudiants étrangers, soit 18,4 % d’une population étudiante d’un peu plus de 306 000 personnes. La moitié (51,1 %) de ces étudiants est aux deuxième et troisième cycles. Sur le lot, six universités comptent plus de 25 % d’étudiants étrangers parmi leur effectif étudiant total.
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Insécurité alimentaire : La faim guette les cégépiens
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Avoir le ventre vide, ça ne favorise pas l’apprentissage. Et c’est vrai à tout âge, même au cégep, rappelle un chercheur. Pourtant, 44 % des élèves y vivraient une forme d’insécurité alimentaire, selon une étude inédite. Un dossier de Léa Carrier dans La Presse. Depuis deux ans, les chercheurs François Régimbal et Éric Richard s’intéressent aux comportements alimentaires des cégépiens. Dans le cadre de leurs travaux, ils ont mesuré le niveau d’insécurité alimentaire chez cette population. L’insécurité alimentaire est un « angle mort » du réseau collégial, déplore Éric Richard, qui travaille dans les cégeps depuis 25 ans. « On en parle beaucoup au primaire et au secondaire. On dit qu’un enfant qui a le ventre vide, ça ne favorise pas l’apprentissage. Mais on dirait qu’aux études postsecondaires, on l’oublie », déplore le professeur de sociologie au cégep du Vieux Montréal. Réalisée l’automne dernier, la collecte de données s’est effectuée dans six cégeps de tailles et de régions différentes. Au total, 2127 élèves ont répondu à un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires des trois mois précédents. Près de 13 % ont signalé une insécurité alimentaire grave, c’est-à-dire qu’ils avaient été forcés de sauter des repas ou de réduire la taille de leur assiette, faute d’argent.
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Québec solidaire présente un projet de loi pour créer un réseau scolaire commun
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Québec solidaire (QS) souhaite voir les écoles publiques et privées faire partie d’un réseau commun qui serait gratuit et accessible à tous, rapporte La Presse canadienne. Sa co-porte-parole Ruba Ghazal a présenté, mercredi, le projet de loi 895, afin que tous les enfants aient accès à une éducation de qualité, peu importe leurs résultats scolaires ou le revenu de leurs parents. Le projet de loi propose de regrouper au sein d’un réseau commun les écoles publiques ainsi que les écoles privées qui accepteraient d’arrêter la sélection basée notamment sur les notes. Les écoles privées qui choisiraient de ne pas intégrer ce réseau verraient leur financement public coupé. Par ailleurs, la pièce législative propose de rendre accessibles les projets particuliers à tous les élèves et d’interdire tout processus de sélection des élèves. Elle prévoit les mêmes conditions de gratuité et de financement pour l’ensemble des écoles du réseau commun. Selon Mme Ghazal, le système scolaire québécois est « injuste » car il est « à trois vitesses » : le public régulier, le public avec projets particuliers et le privé subventionné.
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Rapport du Protecteur de l’élève : Le quart des plaintes dénonce la violence et les actes sexuels
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Pas moins du quart des plaintes déposées au Protecteur national de l’élève dénonce des actes de violence et des actes sexuels, rapporte La Presse canadienne. C’est ce que révèle le rapport de l’organisme déposé jeudi à l’Assemblée nationale. On y apprend que le Protecteur a traité 1006 plaintes en 2023-2024. Les plaintes et signalements relatifs à des actes de violence ou d’intimidation représentent 11 % du total, soit 108 plaintes. Celles qui portent sur un acte de violence à caractère sexuel représentent 14 % des dossiers reçus, soit 109 plaintes. Le total des deux, 217 plaintes, équivaut grosso modo à 25 % des plaintes acheminées. Sur les 77 plaintes traitées concernant un acte de violence à caractère sexuel, 45 ont été jugées fondées et 24 non fondées, tandis que 8 ont été envoyées en « facilitations » ou jugées « impossible de se prononcer ». Sur les 60 plaintes traitées pour violence et intimidation, 26 ont été jugées fondées, 29 non fondées et 5 transmises en « facilitations ». Dans 92 % des cas, les recommandations associées aux plaintes et signalements traités entièrement en ont été « acceptées en totalité » par les centres de services scolaires.
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Des absences scolaires préoccupantes… et mal connues
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Qu’elles soient le fait de maladies, de vacances en famille ou d’activités sportives, les absences d’élèves préoccupent, car elles peuvent nuire à la réussite scolaire en plus d’alourdir le travail des enseignants. Premier texte d’une série de trois. Les périodes d’absence se comptent par millions dans les écoles du Québec chaque année, mais il est impossible de prendre la pleine mesure du problème puisque le gouvernement ne compile pas de données suffisamment complètes et fiables pour comprendre l’ampleur et les sources du problème. Après avoir fait une demande d’accès à l’information auprès du ministère de l’Éducation, Le Devoir a compté près de 10,8 millions de périodes d’absence d’élèves dans les écoles publiques de la province, entre le 6 septembre 2022 et le 15 janvier dernier. Le hic : le ministère n’a comptabilisé les absences que le lundi et le mercredi en 2022-2023, puis uniquement le mercredi depuis. Les chiffres obtenus ne représentent donc qu’une fraction de la réalité. « Il y a clairement un problème là », lance le porte-parole du Regroupement des comités de parents autonomes du Québec, Sylvain Martel, qui s’étonne de voir que le ministère de l’Éducation ne documente pas de façon plus assidue ces absences, tout comme leurs causes.
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De grands noms de la culture dénoncent le projet d’Hydro-Québec au Quartier latin
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Des écrivains, des cinéastes, des metteurs en scène, des professeurs et des artisans de la culture dénoncent, d’une même voix, l’abandon par la direction de la Grande Bibliothèque de ses jardins et de ses espaces verts adjacents au profit de la construction d’un gigaposte électrique d’Hydro-Québec. L’écrivain Michel Tremblay comme les cinéastes Denys Arcand et Diane Obomsawin, en passant par le professeur émérite Gérard Bouchard et Kev Lambert, lauréat du prix Médicis, comptent parmi plusieurs hautes figures de la société québécoise qui demandent à l’État de revenir sur sa décision de construire un poste électrique de 315 000 volts devant la gare d’autocars de Montréal. Non seulement ce poste fera-t-il disparaître pratiquement l’ensemble des terrains verts, mais il va écraser « de son volume tout le quartier environnant », indiquent les signataires. Aussi demandent-ils « la rétrocession de ce terrain à Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) » et qu’Hydro-Québec s’engage à explorer d’« autres avenues ». À l’heure où Le Devoir l’a consultée, cette pétition avait déjà reçu plus de 600 signatures. Les signataires affirment s’indigner de cette « décision à courte vue » et opérée de surcroît « en dehors de toute véritable discussion publique ». Autres textes liés au même sujet : • Non au béton et aux kilovolts à la place de la culture et des espaces verts. • L’administration Plante réagit à l’implantation d’un poste d’Hydro devant la BAnQ.
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Les Québécois veulent un âge minimal pour s’inscrire sur les réseaux sociaux
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Grande entrevue avec Dave Eggers : Trump + GAFAM = danger
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Dans ses romans, Dave Eggers imagine une société contrôlée par une mégaentreprise technologique. Dans la vraie vie, l’écrivain américain voit les géants du web s’agenouiller devant Donald Trump. Et il a peur. Dave Eggers est l’un des écrivains phares de sa génération. En plus d’être journaliste, il est l’auteur de plusieurs succès comme Un hologramme pour le roi, Le grand quoi et Le Cercle. La chroniqueuse de La Presse, Nathalie Collard, l'a joint à San Francisco pour parler de son plus récent livre, Le Tout (Gallimard), dans lequel une entreprise imaginaire (imaginez la fusion entre Facebook et Amazon) contrôle tous les aspects de la vie des gens. Bien sûr, j’avais également l’intention de lui parler de la situation politique dans son pays, s’il le voulait bien. Or, j’avais à peine dit bonjour qu’il était lancé. Autres textes liés à l'intelligence artificielle et au Web : • Intelligence artificielle : Innover sans garde-fous ? • OpenAI revendique 400 millions d’utilisateurs hebdomadaires. • L’IA à la rescousse pour limiter les retours de colis. • Meta va déployer un câble sous-marin long de 50 000 km à travers cinq continents. • Google Canada nie avoir abusé de sa position dominante sur le marché. • Le géant chinois Tencent teste son propre modèle d’intelligence artificielle. • Elon Musk présente Grok 3 pour rivaliser avec ChatGPT et DeepSeek. • Chronique : La merdification de l’internet (et du monde). • Injuste, notre taxe sur les GAFAM ? • «Une vie intelligente»: rêver le numérique autrement.
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Tour d’horizon d’une année électrique
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Un casse-tête nommé Airbnb
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Obtenir un rendez-vous : Le parcours du combattant des patients
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Santé Québec demande aux gens d’éviter les urgences pour des problèmes non urgents. D’accord, rétorquent des citoyens, mais encore faut-il que des rendez-vous médicaux soient disponibles en clinique. Beaucoup dénoncent le parcours du combattant qu’ils ont dû mener pour voir un médecin. Le taux d’appels abandonnés à Info-Santé s’élevait à 46,2 % au 10 février, selon le ministère de la Santé et des Services sociaux, rapporte La Presse. Le délai moyen de réponse était de 90 min 24 s. Selon Santé Québec, la moitié des patients qui vont aux urgences sont des cas non urgents. Pierre Côté, de Métabetchouan–Lac-à-la-Croix, au Lac-Saint-Jean, est l’un de ceux-là. Sans médecin de famille, l’homme de 70 ans s’est rendu en décembre aux urgences de l’hôpital d’Alma pour renouveler ses ordonnances de médicaments. Aucun rendez-vous médical n’était disponible au guichet d’accès à la première ligne (GAP) qu’il avait contacté. Autres textes liés à la santé : • Compressions : Des services aux patients passeraient à la trappe. • Un programme destiné aux victimes de violence… victime de compressions? • Compressions : « On ne touchera pas » à l’aide aux ados, assure Carmant. • Les « vraies coupures » s’en viennent. • Le président de l’Ordre des infirmières se dit «préoccupé» par les compressions. • La lutte contre les agences privées a dégagé 330 M$ d’économies jusqu’ici. • Des médecins du privé organisent la riposte. • Débordée, Urgences-santé met sur pause les transferts non urgents. • Des organismes de prévention des surdoses au pied du mur. • 1200 lits en CHSLD privés conventionnés pourraient fermer, alerte une association. • Ressources intermédiaires : 5000 Québécois attendent une place. • La Clinique médicale Angus doit devenir une coop, selon un regroupement. • Plus de 400 000 rendez-vous médicaux manqués par année au Québec, alerte le CMQ. • De plus en plus de transplantations d’organes au Québec, mais la liste d’attente stagne. • Des enseignants dénoncent le racisme envers les infirmiers africains à Gaspé. • Pétition pour un réseau vraiment public : Pas de profit sur la maladie.
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Des outils pour s'inspirer des bonnes pratiques de diffusion des groupes de femmes
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Dans le cadre d’un projet sur la diffusion des savoirs féministes, mené en partenariat avec Relais-femmes et financé par le Secrétariat à la condition féminine (SCF), nous avons développé des outils pour partager et s'inspirer des bonnes pratiques de diffusion des groupes de femmes. Ils peuvent toutefois être réutilisés par bien d’autres groupes! D’abord, nous avons produit le guide Les zines et les groupes de femmes : une autre façon de (se) faire connaître! Cet outil a pour objectif de bonifier les pratiques de diffusion dans nos milieux en joignant l’utile à l’agréable et à l’accessible, puisque les zines sont à la fois créatifs, peu coûteux et constituent un super outil d’éducation populaire! Un canevas à la fin du guide permet même d’expérimenter directement la création d’un mini-zine classique. Consulter l’outil. Ensuite, nous avons conçu le guide Le parcours d’une production numérique, afin d’aider les groupes à pérenniser leurs productions numériques, grâce à des conseils sur les choix à effectuer avant, pendant et après la diffusion d’une production. Ce guide est par ailleurs suivi d’astuces pour mieux gérer ses documents. Consulter l’outil. Enfin, découvrez le guide Pour un partage sans équivoque! Il permet de démêler les notions de droits d’auteurs, d’ISBN et de licence d’utilisation, pour que les productions soient diffusées de manière conforme aux attentes de ses autrices et auteurs. Consulter l’outil. Tous ces outils, ainsi que des études de cas, sont regroupés dans notre nouvelle boîte à outils intitulé Femmes et Savoirs à l’ère numérique. Consulter la boîte à outils. Autres sujets connexes : • Un lien entre la montée de la mésinformation sur la santé et le manque d’accès aux soins. • Lancement d'un nouveau projet de recherche - Sous pression : littératie et discrimination. • Proche aidance : Lancement de la campagne - Apprenons à voir l’invisible
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L’A B C de l'extrême droite
Un vent d’extrême droite souffle sur l’Europe et l’Amérique, constatent les politologues. Mais qu’est-ce que l’extrême droite au juste ? Quelles idées défend-elle ? Et que menace-t-elle dans nos sociétés ? Un dossier de Vincent Brousseau-Pouliot dans La Presse. Il n’existe pas de définition officielle ni de définition unanime parmi les experts. En discutant avec plusieurs experts de l’extrême droite en Amérique du Nord et en Europe, nous avons tenté de trouver des façons de reconnaître le discours et les partis de cette mouvance. Le critère principal qui permet d’identifier l’extrême droite : ce discours selon lequel le groupe ethnique majoritaire historique est menacé de l’intérieur (par les minorités, par le wokisme, etc.) ou de l’extérieur (par l’immigration, par exemple). « Ce qui regroupe tous les partis d’extrême droite, c’est leur ethnonationalisme », dit le professeur David Morin, de l’Université de Sherbrooke.
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La Réplique linguistique : Emmanuelle Beaulieu-Handfield publie des capsules sur YouTube
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Rosianne Arseneau, auteure d'un guide en technologies éducatives en classe
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Elizabeth Laferrière contribue à une œuvre nocturne en hommage à Françoise Sullivan
La métropole accueille sa toute première œuvre nocturne permanente qui illuminera et animera la plus haute murale de Montréal. Des projections artistiques spectaculaires redonneront vie à l’héritage de l’artiste Françoise Sullivan, aujourd’hui âgée de 101 ans. À la fois peintre, sculptrice, chorégraphe et danseuse, cette grande femme est une figure incontournable de l’art le plus actuel et est assurément la plus importante artiste en arts visuels vivante au Canada. « Sous le concept de projections vidéo et éclairages architecturaux, ces créations visuelles, imaginées par l'artiste et chargée de cours Elizabeth Laferrière et l'artiste Sébastien Samyn, s’inspirent du cycle de danse improvisée Danse dans la neige, lancé en 1948 par Françoise Sullivan, peut-on lire sur Silo 57. À travers ces vidéo-projections innovantes, l'œuvre rend hommage à l’héritage de cette œuvre pionnière qui a profondément marqué le paysage artistique montréalais. »
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Yves Léveillé contribue à une Nuit blanche festive et créative
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Fermeture d’écoles : Laurence Grondin-Robillard commente l'humour sur les réseaux sociaux
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En soirée mercredi, le CSSDM a annoncé que toutes ses écoles seraient fermées le lendemain en raison des précipitations de neige attendues. Les commentaires ont fusé. Généralement stoïques, les gestionnaires des réseaux sociaux ont, cette fois, décidé de mettre leur grain de sel. Le CSSDM dit avoir accueilli récemment « de nouveaux membres » dans son équipe qui gère les réseaux sociaux, mais ajoute que sa stratégie est restée sensiblement la même. « Nous avons pris grand plaisir à compétitionner pour trouver les meilleurs GIFs pour faire sourire nos abonnés et les curieux qui passaient par là », ajoute Sophie Legroulx. L’humour peut être une arme à double tranchant, souligne Laurence Grondin-Robillard, chargée de cours à l’École des médias, peut-on lire sur La Presse. « Répondre de manière ironique ou satirique à des parents, ça peut donner une drôle d’impression. Il faut faire attention », signale Mme Grondin-Robillard, qui rappelle que « toutes les blagues ne sont pas nécessairement bonnes ». Autres interventions médiatiques de Laurence Grondin-Robillard : • YouTube, une plateforme devenue incontournable. • YouTube souffle ses 20 bougies. • TikTok en vogue au Québec.
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20 ans de YouTube : rejoindre le monde entier avec un studio dans le creux de la main
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Étude d'Éliane Dussault : Les jouets connectés, la sexualité du futur ?
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La vision historique de Michel Vigneault : Quand l’hymne national se fait huer
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Rafael Jacob pose la question : Donald Trump peut-il ignorer la Cour suprême ?
La Constitution des États-Unis établit un système ingénieux de « poids et contrepoids » dont on connaît bien les grandes lignes : la séparation des pouvoirs entre l’exécutif (le président, son vice-président et son cabinet), le législatif (les élus du Congrès) et le judiciaire (les cours) — en plus de celle entre le gouvernement fédéral, les États et les citoyens, écrit le chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand Rafael Jacob dans L'actualité. La Constitution ne donne pas une directive claire quant à savoir quel pouvoir a préséance sur un autre. Il reste que la société américaine reconnaît de manière quasi universelle la primauté du judiciaire — et donc, ultimement, de la Cour suprême — en vertu d’un précédent… venu de la Cour elle-même en 1803. J’écris « de manière quasi universelle », car dans les derniers jours, Donald Trump et son vice-président ont remis en question cette tradition, ce qui pourrait mener à une crise constitutionnelle majeure.
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Négociations de paix en Ukraine : Frédéric Labarre se penche sur ce que réclameront Kiev et Moscou
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Donald Trump et Vladimir Poutine ont créé une onde de choc mercredi en déclarant, après un appel téléphonique, qu’ils entamaient « immédiatement » des négociations de paix pour mettre un terme à la guerre en Ukraine. Or, si de vraies négociations devaient s'amorcer dans les prochains jours, que demanderait chacun des pays pour faire la paix? Pour Frédéric Labarre, docteur en études de la guerre au Collège militaire royal du Canada et chargé de cours à l’UQAM, la priorité absolue de Kiev consistera à rétablir l’intégrité de son territoire tel qu’il a été reconnu par la communauté internationale en 1991-1992, c’est-à-dire avant la prise de la Crimée, en 2014, par les Russes, rapporte Radio-Canada. Des territoires conquis pourraient être cédés à la Russie dans la région de Donetsk, où une partie de la population s’est rangée aux côtés des forces russes pour réclamer son indépendance de Kiev. Le problème, c'est que la région de Donetsk est aussi le cœur de l’industrie lourde ukrainienne. Il sera difficile d’y faire des concessions.
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André Lamoureux commente la caucus des conservateurs
Le chargé de cours et politicologue André Lamoureux a fait un retour lundi sur le caucus des conservateurs en fin de semaine dernière à l'émission Matins sans frontières à l'antenne de Radio-Canada. Il précise que le parti est en situation de rattrapage à la suite du départ de Justin Trudeau à la tête des libéraux et de la prise de pouvoir de Donald Trump aux États-Unis.
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