Nouvelles du SPPEUQAM – 14 novembre 2024 ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏
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Entre vous et moi
Nous voulons que les étudiantes et les étudiants aient le choix entre des cours en présence et des cours en ligne bien préparés. Nous voulons qu’elles et ils puissent avoir des cours en ligne dynamiques et adaptés pour des groupes à taille humaine. Nous voulons être payés adéquatement pour bien les préparer et nous assurer qu’ils soient dynamiques. C’est ce que nous voulons, la communauté étudiante aussi, mais pas l’UQAM. Pour amener la direction à avoir une vision moins bornée et plus respectueuse de ses enseignantes et enseignants contractuels nous avons besoin de votre présence à l’agora du pavillon Judith-Jasmin le mardi 19 novembre à midi pour une opération de visibilité et à l’assemblée générale du lundi 2 décembre où nous discuterons d’un vote de grève. Deux occasions de se jaser de nos conditions d’enseignement en ligne et des moyens que nous devrons prendre pour en arriver à se faire respecter. Bonne lecture, Richard Bousquet Vice-président à l’info du SPPEUQAM
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Assemblée générale le lundi 2 décembre : vote de grève à l'ordre du jour
Les membres du SPPEUQAM sont conviés à une assemblée générale le lundi 2 décembre à 12h30 au R-M120 (Pavillon des Sciences de la gestion). Un lunch sera servi dès midi. À l'ordre du jour : • Rapports des comités de mobilisation et de négociation de nos conditions d'enseignement en ligne • Présentations du fonds local de grève et de lockout du SPPEUQAM et du fonds de défense professionnelle (FDP) de la CSN • Présentation du mandat de grève et vote secret Nous vous y attendons en grand nombre
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Semaine de mobilisation du 18 au 22 novembre
Toute la semaine du 18 au 22 novembre, le Comité mobilisation-intégration (CMI) organisera plusieurs activités de mobilisation et de visibilité pour soutenir notre comité de négociation et souligner la Journée nationale des personnes chargées de cours le 22 novembre. 19 novembre : Activité de tractage à l’Agora du Judith-Jasmin de 12h à 14h, rendez-vous à l’Agora à midi! 20 novembre : Action surprise à 8h en appui à notre comité de négociation 20 novembre : Rencontre de conciliation entre notre comité de négo et la partie patronale à 9h. 22 novembre : Activité d’échange et de discussion sur le thème de l’Intelligence artificielle de midi à 14h au local syndical (A-R540). Un lunch sera servi. Des membres du Comité école et société de la FNEEQ seront présents pour faire part de leurs travaux et intervenir lors de cette rencontre de partage d’expériences et de réflexions. Il sera également possible d'y assister en visioconférence.
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Journée nationale des chargées et chargés de cours : échange et discussion en ligne sur l'IA
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La Journée nationale des chargées et chargés de cours, le 22 novembre, est l’occasion de souligner le travail des personnes chargées de cours qui mettent le cœur à l’ouvrage. Cette année, la journée sera aussi l’occasion pour les chargées et chargés de cours de participer à une activité d’échange et de discussion en ligne sur l’heure du midi sur le thème de l’Intelligence artificielle. Des membres du Comité école et société de la FNEEQ, dont Stéphane Daniau et Ricardo Penafiel du SPPEUQAM, seront présents pour faire part de leurs travaux et intervenir lors de cette rencontre de partage d’expériences et de réflexions. Qu’elles en fassent leur unique profession ou que celle-ci soit jumelée à un autre emploi ou à des activités de recherche et de création, les personnes chargées de cours partagent un point commun : elles ont la passion de l’enseignement et une vision large de celui-ci. En effet, au-delà de ce qu’elles transmettent à leurs étudiantes et étudiants au jour le jour, elles sont très sensibles à l’impact de leur enseignement sur la société de demain.
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Célébration noëllesque du SPPEUQAM le 13 décembre
Les membres du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l'UQAM sont cordialement invité.es à la célébration noëllesque du SPPEUQAM, qui aura lieu à l’ITHQ, le vendredi 13 décembre dès 18 h. Au menu : cocktail, souper, jeux animés, prix de présence, hommage aux collègues retraité.es en 2024 et danse! Vous pouvez réserver votre place par ce bref formulaire avant le 27 novembre. Une fois inscrites, les personnes qui ont un empêchement sont priées de nous en aviser pour qu'on puisse céder leur place à un.e autre membre. L’ITHQ (Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec) est situé au 3535, rue Saint-Denis, Montréal (métro Sherbrooke). Le cocktail d’accueil aura lieu dès 18 h au 6e étage de l’Institut; suivra ensuite l’excellent repas, toujours au 6e étage. Du plaisir garanti dans la proverbiale solidarité qui anime les membres du SPPEUQAM. L’équipe du Comité mobilisation-intégration du SPPEUQAM
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Vote de grève à 92 % à l’École de technologie supérieure (ÉTS)
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Les chargé-es de cours de l’ÉTS ont voté à 92 % pour renouveler leur mandat de grève en y ajoutant 20 périodes supplémentaires à exercer au moment jugé opportun. Cela s’additionne aux 15 premières périodes de grève utilisées avant ce vote du 26 octobre. Ils exercent aujourd’hui une vingt-deuxième période de grève en raison de la lenteur des négociations qui ont commencé en 2022 ! « La volonté de changement est très grande, on demande plus de respect et de reconnaissance de notre employeur. Nos membres ne vont pas se contenter de changements cosmétiques à nos conditions de travail. Il faudra plus d’ouverture de la direction générale », soutient Alain Régnier, président du Syndicat des chargé-es de cours de l’École de technologie supérieure. Les enjeux principaux encore à régler sont : • Salaire qui doit tenir compte de l’augmentation du coût de la vie ; • Ajout de mesures de sécurité d’emploi pour les personnes chargé-es de cours; • Réduction de la taille des groupes-cours. « Plusieurs représentant-es de syndicats de chargé-es de cours de partout au Québec étaient présents jeudi pour soutenir leurs collègues de l’ÉTS et sont solidaires de leurs revendications. Il est temps pour l’ÉTS de régler la négociation », soutient Christine Gauthier, vice-présidente de la FNEEQ–CSN.
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Mise à jour économique du Québec : pas trop tard pour changer de cap
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Plus de trois milliards par ci en chèques-cadeaux aux contribuables avant les élections, un milliard par là pour Northvolt… et pourquoi pas un pont de plusieurs milliards dont l’inutilité a été prouvée scientifiquement dans la capitale? Oh surprise! maintenant que le gouvernement écrit son budget à l’encre rouge, il impose un retour à l’austérité et une révision majeure des programmes destinés à répondre vraiment aux besoins de la population, dénonce le président de la FNEEQ-CSN, Benoît Lacoursière. Des exemples ? Au début de l’automne, le gouvernement a imposé des limites aux seuils d’investissements des réseaux de l’éducation et de l’enseignement supérieur. Cette décision est incompréhensible et incohérente alors que la vétusté de nos établissements est manifeste, et la pénurie de ressources, criante. Rappelons que les deux tiers des bâtiments des cégeps sont en mauvais état et la Vérificatrice générale du Québec estime que les investissements prévus sont largement insuffisants pour rétablir la situation. À la fin du mois d’octobre, la CAQ annonçait un gel des embauches dans les services publics pour le « travail administratif », faisant fi du « tout » que peut constituer un hôpital, une école ou un cégep. Et, dans les dernières semaines, les annonces de fermetures de classes de francisation se sont succédé.
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Touche pas à ma francisation!
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Depuis que le gouvernement a annoncé des coupes en francisation, des mobilisations ont éclaté partout au Québec pour dénoncer cette décision et les répercussions de celle-ci sur la vie de centaines d’enseignantes et enseignants et de milliers de personnes souhaitant apprendre le français. Selon les données compilées par la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ), 350 postes en francisation ont été supprimés, conséquence directe d’une décision comptable du gouvernement Legault qui freine l’intégration de milliers de nouveaux arrivants. Dans de nombreuses régions, les répercussions ont été immédiates : des listes d’attente qui s’allongent pour celles et ceux qui souhaitent apprendre le français. « Le ministre Roberge a beau se défendre d’avoir effectué des compressions en francisation dans les centres de services scolaires, parlant plutôt d’un transfert de l’offre de service vers Francisation Québec, les compressions dans plusieurs de nos centres d’éducation des adultes sont bien réelles, autant pour le personnel enseignant que pour celles et ceux qui voudraient s’intégrer, en français, au Québec », dénonce le président de la FSE-CSQ, Richard Bergevin.
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Trois grèves déclenchées dans le transport scolaire
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Écoles UNESCO : « Tissées serrées pour un monde juste et durable »
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Connaissez-vous le Réseau des écoles associées de l’UNESCO du Québec? Formé de près de 25 établissements primaires et secondaires ainsi que d’un centre de formation générale des adultes, il sert de laboratoire d’idées et de projets inspirés par les valeurs humanitaires de l’Organisation des Nations Unies (ONU). La CSQ est l’un des principaux partenaires du Réseau des écoles associées de l’UNESCO du Québec, qui vient tout juste de lancer son nouveau site Web sous le slogan Tissées serrées pour un monde juste et durable. Cet outil offre une visibilité accrue aux initiatives éducatives et aux projets portés par les écoles membres dans des domaines d’action comme l’éducation au développement durable et la lutte aux changements climatiques, l’éducation à la citoyenneté mondiale et l’éducation autochtone et la réconciliation. La plateforme permet également de suivre les activités phares du Réseau, véritables occasions de rassemblement et de collaboration entre les élèves, le personnel des établissements et les communautés locales. Les écoles membres y trouveront des ressources pour enrichir leur démarche et stimuler l’engagement des jeunes.
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Une grève a débuté dans des garderies et des CPE
Les 12 000 membres de la CSQ dans les services de garde commencent leur grève : dès lundi, elles ouvrent les services de garde en milieu familial une demi-heure plus tard, tandis que les CPE seront touchés vendredi, rapporte La Presse canadienne. La Fédération des intervenantes en petite enfance (FIPEQ), affiliée à la CSQ, compte 9000 membres dans les garderies en milieu familial et 3000 dans les Centres de la petite enfance (CPE). À compter de lundi, les services de garde en milieu familial où la CSQ a des membres ouvrent leurs portes une demi-heure plus tard, et ce, tous les jours de la semaine. Le mandat de grève prévoit une ouverture une heure plus tard la deuxième semaine, une heure et demie plus tard la troisième semaine, ainsi que deux heures plus tard la quatrième semaine, et ce, tous les jours de la semaine. • Les intervenantes en petite enfance débutent la grève. • Trente-six CPE du Grand Montréal sélectionnent selon l'ethnie ou la religion.
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Plan santé : La CAQ se trompe d’avenue
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En réaction au bilan d’étape du Plan santé présenté par le ministre de la Santé hier après-midi, la Confédération des syndicats nationaux (CSN) a martelé que le gouvernement devait cesser sa dépendance au privé s’il espère que tous les Québécois et les Québécoises aient accès à des soins de première ligne. « Force est de constater que l’accès aux soins de santé se dégrade au même rythme où le réseau se privatise. Le gouvernement va devoir changer de recette et donner les moyens au réseau public s’il veut atteindre ses cibles », explique Caroline Senneville, présidente de la CSN. Avant de faire volte-face plus tôt cette semaine, le ministre de la Santé semblait pourtant abonder dans le même sens que la CSN et les nombreuses organisations de la société civile, qui veulent sevrer le réseau de la santé du privé. En plus de créer un système à deux vitesses pour les Québécoises et les Québécois, la présidente de la CSN explique que le privé coûte cher à la collectivité : « Il ne faut pas se leurrer, les gens d’affaires qui sont dans le milieu de la santé ne sont pas philanthropes. Ils sont là pour se faire du profit sur la maladie », ajoute-t-elle. Dans le cas des agences de placement, le ministre a même dû se rendre à l’évidence, rappelle la présidente : les agences de placement détournent des salarié-es du réseau public vers le privé et sont loin d’être économiques. Autres textes en santé : • La CSN invite ses membres et leur famille au grand rassemblement syndical de l'année. • Austérité avérée: suppressions de postes au CHUM. • Santé Québec : Mission : économiser 1 milliard • Cliniques ELNA : Des frontières floues entre le public et le privé • À vendre : une des plus grosses cliniques médicales du Québec. • Le privé séduit aussi les Infirmières praticiennes spécialisées. • Le nombre d’infirmières continue d’augmenter au Québec. • Prévention et activité physique : « Le statu quo est inacceptable ».
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Conflits dans les ports canadiens : Les débardeurs vont contester l’intervention d’Ottawa
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Clauses remorques : Des milliers de personnes du secteur parapublic en attente d'augmentations
Le gouvernement du Québec doit exiger que les divers ministères responsables des universités et sociétés d’État respectent les conventions collectives dûment négociées. Des dizaines de milliers de personnes travaillant dans ces secteurs sont toujours en attente de leurs augmentations salariales. « Après avoir négocié de bonne foi, nous avions toutes les raisons de croire que l’ensemble des parties honorerait ses signatures sur les contrats de travail. Les clauses remorques rattachant les hausses salariales dans certaines universités et sociétés d’État ne sont pas des clauses facultatives, mais bien des obligations et c’est pourquoi cette alliance entre nos deux secteurs se met à l’œuvre. Ces employeurs ne peuvent pas ignorer leurs engagements ou en modifier les termes », de déclarer Annie Trottier, présidente du Conseil provincial du secteur universitaire (CPSU) et vice-présidente du secteur universitaire du SCFP-Québec.
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Monde social et de l'Éducation
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Des étudiantes au cégep s’occupent de jeunes criminels en centre jeunesse
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Proxénétisme, meurtre, agression sexuelle. Malgré la gravité des crimes commis par les jeunes contrevenants hébergés dans les unités de garde fermée des centres jeunesse du Québec, des éducatrices peu ou pas expérimentées — parfois encore au cégep ou provenant d’agences de placement — sont chargées d’assurer leur réadaptation, a appris Le Devoir. Une situation qui contribue fortement à l’éclosion de scandales sexuels comme celui de la Cité-des-Prairies, selon les experts consultés dans le cadre de cette enquête. Sous le régime de justice pénale pour adultes, Kevin (nom fictif) aurait pu croupir en prison à perpétuité avec possibilité de libération conditionnelle après seulement dix ans. Il a plutôt été condamné par le tribunal de la jeunesse à trois ans dans une unité de garde fermée d’un centre jeunesse, qui accueille des contrevenants dangereux, en vertu de la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents. Nous lui avons choisi un nom d’emprunt puisqu’il était mineur au moment de son crime.
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Le virage vers le soutien à domicile au Québec se fait encore attendre, selon l'IRIS
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Les bibliothèques humaines se répandent au Québec
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Un proverbe africain dit qu’un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle. C’est un peu le principe qui guide le concept des bibliothèques humaines, qui nous vient du Danemark, par lesquelles on peut « emprunter » des gens, ou plutôt les rencontrer, comme on emprunte un livre, rapporte Le Devoir. L’histoire commence à des kilomètres d’ici, à Copenhague, au tournant des années 2000. Ronni Abergel, dont un ami a été attaqué au couteau dans un bar de la ville, organise la première bibliothèque humaine, destinée à combattre la violence, dans le cadre d’un concert rock. L’idée, c’est de donner aux gens la possibilité d’entrer en contact avec des personnes auxquelles elles n’ont pas accès autrement, et même contre lesquelles elles ont des préjugés, que ce soient des adeptes du culturisme, des policiers, des réfugiés ou des prostitués. Ces personnes, considérées comme des « livres humains », acceptent de répondre aux questions de chaque lecteur, membre du public, qui les emprunte individuellement pour une vingtaine de minutes. L’idée de la bibliothèque humaine était née avec pour slogan : « On ne juge pas un livre à sa couverture. » Depuis, la bibliothèque humaine a fait des petits, et s’est répandue dans plus de 80 pays. • La note des bibliothèques publiques du Québec se maintient à 66%. • Des centaines de livres retirés des bibliothèques scolaires en Floride.
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Cri du coeur des groupes sociaux à l’approche de la mise à jour économique
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À l’approche de la mise à jour économique, les groupes sociaux pressent le gouvernement Legault « d’assumer ses responsabilités » et d’en faire plus face à la dégradation des conditions de vie des plus vulnérables. « On estime qu’on vit une crise sociale au Québec », a lancé la porte-parole de la Table nationale des corporations de développement communautaire Marie-Line Audet, lors d’un point de presse lundi matin. « L’itinérance est visible partout. Des familles se retrouvent à la rue, des travailleurs se retrouvent à réclamer de l’aide alimentaire. » Ils étaient cinq coalitions de groupes sociaux à interpeller lundi le ministre des Finances, Eric Girard, qui doit présenter sa mise à jour économique le 21 novembre. Outre la Table, la sortie réunissait le Réseau solidarité itinérance, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), le Réseau des Tables régionales de groupes de femmes du Québec et le Collectif pour un Québec sans pauvreté. Les gens « n’ont pas les moyens de se payer des studios à 1500 $ », a plaidé pour sa part Véronique Laflamme du FRAPRU. « Il n’y a pas d’alternatives aux logements trop chers ».
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Quelle solution pour la crise du logement?
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Alors que la crise du logement continue de sévir, de plus en plus de voix s’élèvent pour demander qu’on assouplisse la réglementation en matière de construction. Mais la solution au problème ne réside pas dans cette voie, conclut une étude de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) parue en juin dernier, rapporte Le Devoir. En se penchant sur les données disponibles depuis les 20 dernières années, les chercheurs ont constaté que, malgré une réglementation moins contraignante pour les promoteurs, les besoins en matière de logement ne sont pas davantage comblés. « Il n’y a pas de corrélation entre le taux d’inoccupation et l’évolution des prix, résume Louis Gaudreau, chercheur à l’IRIS et coauteur de l’étude avec Catherine Héon Cliche. Ce n’est peut-être pas vers ce type d’explication qu’il faut se tourner lorsqu’on pense aux impératifs à venir. » Autres textes sur le logement et l'itinérance avec la complicité du RAPSIM : • Itinérance : Un état d’urgence réclamé à Montréal. • Institut des Sourdes-Muettes : 1000 logements (enfin) proposés. • Trois maires face à la crise de l'itinérance : Débloquons rapidement les 100 millions de dollars en dormance ! • Injustices et vulnérabilité vont de pair dans le Grand Montréal, selon un rapport. • «J’ai des inquiétudes pour cet hiver»: il manque 500 places pour les itinérants à Montréal. • Maison Benoît Labre : La criminalité grimpe en flèche. • Cohabitation avec les sans-abri : Le ministre Carmant veut des logements de transition. • Des agents de sécurité privés pour patrouiller dans les quartiers les plus touchés par le crime. • Sondage : Le Village jugé « peu ou pas du tout sécuritaire ». • Itinérance : Montréal annule l’appel d’offres pour des « minimaisons ». • Itinérance, santé mentale, drogue: les signalements de Montréalais explosent au 311. • Violence endémique, record de détenues et surpopulation dans les pénitenciers. • Soutien aux collectivités dans la lutte contre l’itinérance (communiqué).
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COP29 : La carboneutralité doit être avancée d’une décennie
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La neutralité carbone doit être atteinte beaucoup plus tôt que prévu à l’échelle mondiale, démontre une nouvelle étude dévoilée en marge de la COP29. Pendant ce temps, les discussions sur un accord financier avancent timidement. Et un froid diplomatique s’installe entre la France et l’Azerbaïdjan, rapporte La Presse. Le monde doit atteindre la carboneutralité d’ici la fin des années 2030 plutôt qu’en 2050, selon de nouvelles estimations scientifiques publiées mercredi, au troisième jour de la 29e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP29), à Bakou, en Azerbaïdjan. L’étude très attendue du Global Carbon Project montre que les émissions mondiales de dioxyde de carbone (CO2), générées par la combustion du charbon, du pétrole et du gaz, atteindront encore cette année un record, alors que 2023 a aussi marqué un record à ce chapitre. Autres textes en environnement : • COP29 : Le changement climatique ajoute à la situation « infernale » des réfugiés, selon l’ONU. • Finance climatique: qui paie quoi et qui veut quoi à la COP29? • COP29 : Le Devoir présente cinq enjeux à surveiller. • Le retour de Trump pourrait se traduire par un réchauffement supplémentaire de 0,04 °C. • Retour de Donald Trump à la Maison-Blanche : « Nous allons forer, bébé, forer ! ». • La FTQ poursuit sa lutte contre les changements climatiques. • Le Canada est en voie de rater ses cibles de réduction des GES. • Déni et désinformation climatique au Québec : « Ça semble être une tendance qui s’installe ». • Interruption d'un courant dans l'Atlantique : Des scientifiques sonnent l’alarme. • Des milliards de tonnes de GES produites par les énergies fossiles canadiennes exportées.
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Daniel Robitaille nommé membre de l’Alliance graphique internationale
Le chargé de cours de l’École de design Daniel Robitaille a été nommé membre de la prestigieuse Alliance graphique internationale (AGI), qui compte 547 designers graphiques provenant d’une quarantaine de pays, dont seulement 12 Canadiens, peut-on lire sur Actualités UQAM. Créée en 1950, l’Alliance graphique internationale réunit l’élite des designers graphiques dans le monde, dans les domaines de l’édition, de la publicité et de l’affiche. Le regretté professeur de l’École de design Frédéric Metz, créateur du logo de l’UQAM, en faisait partie depuis 1998. Le cofondateur du studio Paprika et chargé de cours Louis Gagnon y a été admis en 2010. Daniel Robitaille a d’abord été recruté par Sidlee, où il a participé à plusieurs projets d’envergure. Il s’est joint au studio Paprika en 2010 à titre de directeur artistique, pour ensuite en devenir le directeur de création en 2019.
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Alexandra Dumont co-publie Les jeux vidéo pour enfants
La chargée de cours de la Faculté de communication Alexandra Dumont est une des co-auteurs du livre Les jeux vidéo pour enfants, bien les comprendre pour mieux les choisir. Les jeux vidéo pour enfants polarisent le débat public depuis plusieurs années. Si vous êtes parents, vous avez assurément eu de nombreuses discussions à ce propos, que ce soit avec vos enfants ou votre entourage. Dans un contexte où les spécialistes nous parlent des dangers qui y sont associés, mais aussi des bienfaits, comment s’y retrouver? Est-il possible de répondre adéquatement aux besoins et désirs de ses enfants en matière de jeux vidéo tout en les supervisant? L’ouvrage, publié aux Presses de l'Université du Québec, propose de brosser un portrait du paysage vidéoludique pour enfants. Il offre des conseils pratiques, des informations descriptives, des synthèses scientifiques et plusieurs recommandations.
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Plus il y a d’arbres, moins les adolescents sont agressifs envers leur douce moitié, révèle une étude de Paul Rodrigues
Plus il y a d’arbres et de parcs dans un quartier, moins les adolescents commettent des actes de violence amoureuse, révèle une étude de l’UQAM. «C’est particulièrement le cas chez les garçons, qui ont une meilleure santé mentale et semblent moins agressifs lorsqu’ils sont exposés à la végétation», explique le chargé de cours et géographe Paul Rodrigues, chercheur postdoctoral à l’Institut national de la recherche scientifique, dans une entrevue au Journal de Montréal. Dans le cadre de sa thèse de doctorat déposée l’an dernier, le chercheur a voulu savoir ce qui, dans un quartier, favorisait la perpétration d’actes violents dans un contexte amoureux. En plus des espaces verts, le chercheur a tenu compte d’éléments comme la présence d’organismes communautaires, le nombre de points de vente d’alcool, les circuits piétonniers, etc.
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La spéculation folle dans l'art contemporain : Entrevue avec Paul Maréchal
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Grand angle sur l'actualité : Le regard de Pierre Duchesne
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Des dirigeables de Flying Whales chez Hydro-Québec : pas pour demain selon Steven Ambler
Alors que des doutes font de l’ombre sur les projets controversés de dirigeables de Flying Whales en France, Hydro-Québec reconnaît avoir besoin de temps encore pour valider plusieurs éléments avant de pouvoir les utiliser sur notre vaste territoire, a appris Le Journal de Montréal. Promesses gonflées, obstacles techniques, risques environnementaux... une enquête de Radio France a levé le voile ces derniers mois sur la société française Flying Whales, qui a obtenu 75 M$ de fonds publics du gouvernement Legault. «Le gouvernement a fait erreur. L’expression appropriée en anglais serait to throw good money after bad», estime Steven Ambler, chargé de cours en Économie, qui enseigne l’investissement et le risque à la maîtrise et au doctorat à l’UQAM. «Je crois que les problèmes techniques et surtout le prix de l’hélium sont assez déterminants. S’il y avait vraiment de bonnes chances que ce soit rentable, les fonds publics n’auraient pas été nécessaires», analyse-t-il.
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Laurence Grondin-Robillard commente la fin de la filiale de TikTok au Canada
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Le droit à l’avortement toujours limité aux États-Unis après les référendums, selon Andréanne Bissonnette
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Rafael Jacob écrit sur l’étoile de la campagne présidentielle de 2024
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L’acteur médiatique le plus intéressant — et souvent le plus pertinent — de cette folle année aura été quelqu’un dont on ne parle pas, ou plutôt dont on ne parle plus, écrit Rafael Jacob, chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand dans un texte de L'actualité. De l’ère Obama jusqu’au début de celle de Trump, Mark Halperin était peut-être le journaliste politique le plus important aux États-Unis. Ses best-sellers sur les courses de 2008 et de 2012, dont le premier a fait l’objet d’un téléfilm, ont fait de lui une star. Puis a surgi en 2017 le mouvement #MoiAussi. Halperin s’est fait accuser par plusieurs femmes, dont des collègues subordonnées, d’inconduite sexuelle. Il s’est excusé, s’est fait discret… et a été banni d’à peu près tout média le moindrement traditionnel, étant réduit à tenter de se recycler sur des chaînes pro-Trump pour le moins douteuses comme OAN. En un mot, il était fini. Puis, alors que peu de gens lui portaient encore attention, Halperin a lancé une nouvelle plateforme en amont de l’élection de 2024. Appelée 2WAY, elle sert de réseau de rencontres virtuelles entre professionnels de la classe politique et simples électeurs. • Trump a rossé Harris dans les comptés de travailleurs en Pennsylvanie, affirme Rafael Jacob. • Rafael Jacob et Julien Tourreille commente l’échec de la stratégie démocrate.
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Christophe Cloutier-Roy et Julien Tourreille font un retour sur l’élection présidentielle
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