Nouvelles du SPPEUQAM – 12 décembre 2024 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
Nouvelles du SPPEUQAM – 12 décembre 2024
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Entre vous et moi

C’est la fin de session pour la plupart d’entre nous. On a entendu le recteur valoriser les cours en présence sur plusieurs tribunes. On se demande bien pourquoi ses mandataires à la table de négociation ne veulent pas écrire dans notre convention que les cours en ligne viendront bonifier l’offre de cours en présence, et non réduire les options pour les étudiantes et étudiants? Le recteur aura une rencontre avec des membres de la direction d’Hydro-Québec dans les premières semaines de janvier. Il portera les préoccupations de notre communauté quant à la construction envisagée d’un transformateur de 315 000 volts au coin des rues Berri et Ontario. Si le courant passe avec notre société d’État pourquoi ne peut-il pas passer avec nous?

Bonne fin de session. L’infolettre du Syndicat sera publiée la semaine prochaine et puis fera relâche jusqu’au 9 janvier.

Bonne lecture,

Richard Bousquet
Vice-président à l’info du SPPEUQAM

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À l'agenda

13 décembre : Célébration noëllesque du SPPEUQAM
Jusqu'au 13 février : Exposition Un jardin la nuit de Caroline Hayeur à la Cinémathèque québécoise

Agenda militant avec la collaboration du CCMM-CSN :
18 décembre : Manifestation de la Coalition pour la régularisation des statuts et la
justice migrante, 16 h, métro Parc
19 décembre : Gala de luttes du CCMM–CSN, 19 h, Bain Mathieu
16 et 17 janvier 2025 : Colloque pour bâtir des ponts pour l’inclusion

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SPPEUQAM

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Une semaine de visibilité bien remplie

Une semaine de visibilité bien remplie

Des membres du SPPEUQAM ont distribué des tracts à la communauté étudiante les 9 et 12 décembre sur l'heure du midi pour les sensibiliser au fait qu'on a un vote de grève qu'on peut le mettre en application à compter du 22 décembre. Les étudiantes et étudiants sont particulièrement sensibles à nos revendications sur la taille des groupes cours en ligne à échelle humaine et sur l'établissement de balises au développement des cours en ligne pour qu’il ne se fasse pas au détriment des cours en présence. Une délégation de membres a également participé à la présentation du Plan stratégique de l'UQAM mardi et au cocktail du recteur mercredi. Notre collègue du CMI Laurence Castonguay-Emery a gagné un prix de présence lors du cocktail ce qui lui a permis de monter sur la scène avec son chandail de la négo. Pour celles et ceux qui ne se le sont pas encore procuré, venez faire un tour au local du Syndicat, A-R540.

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Chronique de la négo : Des discussions exploratoires pour tenter de mettre fin à l’immobilisme

Chronique de la négo : Des discussions exploratoires pour tenter de mettre fin à l’immobilisme

Votre comité de négo a rencontré l’employeur pour une 17e séance, le mercredi 11 décembre. Comme pour les précédentes, cette rencontre a eu lieu en présence du conciliateur. Les deux parties ont délégué un comité restreint pour tenir des discussions en mode exploratoire. Le mode exploratoire vise à réfléchir sur des solutions potentielles hors des formules mises de l’avant dans les cahiers initiaux syndical et patronal. Les solutions présentées lors de ces discussions exploratoires n’impliquent pas d’engagement de la part des deux parties, mais elles permettent parfois de trouver des avenues pour sortir des impasses où coincent les négociations.

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Chronique des relations de travail : « T’check ta paie »

Chronique des relations de travail : « T’check ta paie »

L’UQAM étant une organisation multicéphale qui gère l’activité quotidienne de plusieurs milliers de membres actifs au sein de sa communauté, elle n’est pas infaillible sur le plan des erreurs administratives. Or, l’une d’elles nous concerne particulièrement de près, puisqu’elle touche notre portefeuille. En effet, il appert que notre charmante administration, représentée ici par ses ressources humaines et son service de la paie, produit à l’occasion des erreurs lorsque vient le moment de calculer notre pécule bien mérité. Pour cette raison, il faut régulièrement vérifier la fidélité de votre talon de paie avec vos différentes activités rémunérées. Car en cas d’erreurs non signalées dans un temps raisonnable, c’est peine perdue et vous pouvez alors vous assurer d’un beau et long voyage dans les dédales administratifs de la grosse machine. Quel type d’erreur devez-vous vérifier? Principalement, des trop-perçus ou des manques. D’un côté, un manque de revenus peut causer bien des embrouilles en fin de mois et il ne faut pas attendre avant de réclamer son dû, au risque de le voir disparaitre dans un délai de prescription. D’un autre côté, lorsqu’un trop-perçu est versé dans votre compte de banque, l’UQAM va un jour ou l’autre vous demander de le rembourser. Cette demande de remboursement peut arriver plus tôt que tard, même si à l’occasion ça peut prendre quelques semaines, voire des mois, avant qu’on vous le spécifie. Qu’il est navrant de se faire demander de l’argent une fois déboursé! Pour éviter cette situation malheureuse, votre Syndicat vous invite à demeurer vigilant.e et à vérifier vos relevés de paie pour vous assurer que vous êtes payé.e correctement. Alors, faites attention, un petit coup d’œil peut vous sauver du temps… et de l’argent! Pour toutes questions à ce sujet, et bien d’autres, n’hésitez jamais à contacter le comité des agentes et agents de relations de travail.

Amel Aloui, Benoît Coutu, Jean-Baptiste Plouhinec, pour le Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART)

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Les membres du SPPEUQAM se dotent d’un mandat de grève à 86 %

Les membres du SPPEUQAM se dotent d’un mandat de grève à 86 %

Une centaine de membres du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM, réunis en assemblée générale lundi après-midi, ont adopté à 86 % une proposition mandatant leur comité exécutif pour déclencher des séquences de grève pouvant aller jusqu’à la grève générale illimitée, et ce, en tenant compte de la conjoncture de la négociation. Le syndicat dont les membres donnent près de 60 % des cours peut déclencher la grève à compter du 22 décembre. Le comité de négociation a expliqué aux membres que les pourparlers stagnent sur les principales revendications en rapport avec les conditions d’enseignement en ligne, soit la reconnaissance et la rémunération du travail additionnel qu’exige l’adaptation des cours en ligne; l’établissement de balises au développement des cours en ligne pour qu’il ne se fasse pas au détriment des cours en présence et l’assurance que les groupes-cours demeurent à taille humaine. La direction souhaite plutôt pérenniser les pouvoirs qu’elle s’est arrogé durant la pandémie alors que les personnes chargées de cours étaient contraintes d’enseigner en non-présentiel, en refusant maintenant d’en négocier les conditions de travail.

Les deux parties vont se rencontrer à trois reprises d’ici le moment où le syndicat va acquérir le droit de grève. « Avec un vote à 86 %, les membres ont envoyé un message fort et nous espérons que la partie patronale va le comprendre et va arriver à la table de négociation avec de nouvelles avancées pour dénouer l’impasse », a affirmé le président du syndicat, Olivier Aubry.

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Monde syndical

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IA en enseignement supérieur – Retour sur la Journée du numérique en éducation

IA en enseignement supérieur – Retour sur la Journée du numérique en éducation

Au sortir de la 6e journée du numérique, tenue le 1er novembre dernier et organisée par les ministères de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, la tentation était forte, pour l’ironie de la chose, de demander à une intelligence artificielle générative de produire une chronique incendiaire sur le sujet, qui rappellerait encore une fois les dangers d’une éducation de plus en plus atomisée, médiatisée et déshumanisée. En fait, force est d’admettre que pour produire plus de réchauffé, incluant de produire des textes complexes sur des sujets nichés, ChatGPT et tous ses cousins sont désormais extrêmement performants. C’est peut-être cette perspective qui faisait dire à Éric Caire, ministre de la Cybersécurité et du Numérique en mot d’ouverture que l’humain pourrait fort bien se trouver très bientôt dépassé par une intelligence plus grande que la sienne. Cette remarque, empreinte de gravité, devait nous sensibiliser à l’importance de « former les leaders de demain… aujourd’hui ». Pour lire la suite de la chronique 102 du Comité école et société de la FNEEQ.

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La CSN publie le numéro 15 de son journal Le Point syndical

La CSN publie le numéro 15 de son journal Le Point syndical

La CSN a publié le numéro 15, hiver 2025, de son journal Le Point syndical. Au sommaire : • Quand la CSN se mobilise, c'est tout le Québec qui gagne! • Services publics : Le grand retour de l'austérité • Négos du gouvernement : Des syndicats attendent un déblocage • Santé : La CSN contre la privatisation • CHUL : Deux urgences, deux employeurs, un problème commun • • Conflit de loyauté : Quand la grève s'impose • Dossier : Lock-out, la tendance patronale de 2024 • Syndicalisation : Amazon veut faire peur au monde • Salaire plancher : 20$ l'heure, ça change pas le monde, sauf que… • Consolidation : Les scieries dans la tempête • Fonderie Horne : La transition quand la crise éclate • Union des forces : P'tit musée, p'tite misère.

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Gel de recrutement : la CSQ dépose une plainte d’entrave contre le gouvernement

Gel de recrutement : la CSQ dépose une plainte d’entrave contre le gouvernement

Selon la CSQ, les gels de recrutement entrés en vigueur le 1er novembre dernier dans les réseaux scolaire et collégial contreviennent au Code du travail et rendent inopérantes certaines dispositions des conventions collectives négociées de bonne foi et signées il y a à peine quelques mois. C’est pour ces raisons que la Centrale et ses fédérations ont déposé une plainte d’entrave au Tribunal administratif du travail (TAT) à l’endroit du gouvernement. « En décrétant unilatéralement ces gels de recrutement pour certaines catégories d’emplois, le gouvernement revient sur sa parole et ses engagements, sans discussion, négociations ou possibilité de contestation par la partie syndicale. On ne peut pas signer une entente d’un côté et faire comme on l’entend de l’autre, c’est aussi simple que ça. Plus encore, dans certains cas, les directives émises vont dans le sens d’éléments discutés aux tables de négociation qui ont pourtant été tassés au fil des échanges. Le gouvernement n’a jamais consulté et il a agi comme s’il n’y avait pas de syndicats », fait valoir le président de la CSQ, Éric Gingras.

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Grève générale illimitée : Renaud-Bray doit cesser d’utiliser des scabs, ordonne le tribunal

Grève générale illimitée : Renaud-Bray doit cesser d’utiliser des scabs, ordonne le tribunal

C’est sans pouvoir compter sur des briseurs de grève que Renaud-Bray a tenté d’ouvrir ses magasins vendredi, alors que les employé-es ont déclenché une grève générale illimitée. Dans une décision rendue jeudi, le Tribunal administratif du travail accueille la plainte déposée par la CSN et constate que Renaud-Bray a enfreint l’article 109.1 du Code du travaillors des dernières journées de grève. Le tribunal ordonne à Renaud-Bray de ne plus recourir à des briseurs de grève advenant un nouveau débrayage. Ce qui est le cas depuis vendredi : après avoir lancé un ultimatum à l’employeur mardi, le syndicat représentant les 60 employé-es des succursales de Laurier Québec et des Galeries de la Capitale a appris de la conciliatrice affectée au dossier que Renaud-Bray n’avait pas d’autre proposition de négociation à faire, provoquant ainsi le déclenchement de la grève. « On négocie depuis un an et tout ce que Renaud-Bray nous propose, c’est de maintenir un plafond salarial à peine plus élevé que le salaire minimum », déplore Isabelle Nadeau, porte-parole du syndicat.

Autres textes liés au monde syndical :
• Les employé-es de la SAQ adoptent l’entente de principe.
• Le syndicat exige que le Reine Elizabeth cesse son ingérence.
• Le fossé s’élargit entre Postes Canada et le syndicat, la fin de grève s’éloigne.
• Comment Postes Canada s’est retrouvée dans une situation «insoutenable».
• Petite enfance : Entente de principe pour les milieux familiaux.

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Des manifestations à travers le Québec contre la privatisation de l'électricité

Des manifestations à travers le Québec contre la privatisation de l'électricité

Le SCFP et ses alliés ont tenu une manifestation devant l’Assemblée nationale dimanche afin de dénoncer encore une fois le projet de loi 69 qui ouvre la porte à une privatisation tranquille des services d’électricité au Québec. En plus du rassemblement qui avait lieu à Québec, d’autres événements similaires étaient organisés aux quatre coins de la province, dont à Montréal, au Centre-du-Québec, en Mauricie, en Montérégie et au Saguenay―Lac-Saint-Jean. « Le grand danger, c’est qu’on ouvre la porte à la privatisation de la production, mais aussi de la distribution de l’électricité. On va priver les Québécois et les Québécoises d’une rente économique importante qui devrait servir à bonifier notre filet social et nos services publics à une époque où les besoins sont plus criants que jamais! », a expliqué Pierre-Guy Sylvestre, économiste au SCFP-Québec. « Ces modifications à la gouvernance de nos ressources électriques, c’est non seulement inquiétant pour les revenus de l’État, mais ça l’est d’autant plus pour la décarbonation du Québec et la transition juste. On est en pleine urgence climatique et on a une responsabilité collective dont fait fi le gouvernement actuel », d’affirmer le président du SCFP-Québec, Patrick Gloutney, présent devant l’Assemblée nationale du Québec.

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Béton provincial : Lock-out aux usines de LaSalle et de Longueuil

Béton provincial : Lock-out aux usines de LaSalle et de Longueuil

Moins de huit mois après en avoir fait l’acquisition, la plus importante entreprise québécoise dans son secteur, Béton provincial, a décrété un lock-out dans ses usines de l’arrondissement de LaSalle et de Longueuil, rapporte La Presse. La décision de l’entreprise est tombée le mercredi 4 décembre à minuit et touche une cinquantaine d’employés des usines qui appartenaient anciennement au groupe Demix. « Ce qui arrive, c’est que s’il n’y avait pas eu le lock-out, les trois quarts des employés auraient eu droit à l’assurance-chômage durant la pause des Fêtes », précise Serge Savage, vice-président du Syndicat des travailleurs de Demix (LaSalle-Longueuil), affilié à la Confédération des syndicats nationaux (CSN). « Ils ont empêché beaucoup de familles d’avoir un revenu avant la période des Fêtes. »

• Le Reine Elizabeth utilise des briseurs de grève.
• Manifestation à la Société des traversiers du Québec.

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Monde social et de l'Éducation

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La campagne La lecture en cadeau bat son plein à l'UQAM

La campagne La lecture en cadeau bat son plein à l'UQAM

La campagne La lecture en cadeau, qui célèbre son 25e anniversaire cette année (dont 20 ans à l’UQAM), se déroule jusqu’au 31 janvier 2024. Créée en 1999 par la Fondation pour l’alphabétisation, l’initiative vise à recueillir des livres neufs pour les enfants de milieux défavorisés de 0 à 12 ans. À ce jour, plus d’un million de livres ont été distribués dans le cadre de la campagne. Pour y contribuer, il suffit d’acheter un livre neuf et de le remettre aux bénévoles (voir la liste sur Actualités UQAM) ou de le déposer dans la boîte prévue à cet effet dans les bibliothèques ou à la COOP UQAM. Comme les livres seront offerts aux enfants au printemps 2024, on doit éviter les livres de Noël. On s’assure également d’acheter un livre de lecture et non un livre de dessin, d’autocollants ou un cahier d’exercices. Les enfants préfèrent les livres à caractère ludique, comme les histoires, les romans, les bandes dessinées ou les livres cartonnés.

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Cégeps : Renforcer la laïcité et l’universalisme pour éviter l’éclatement social

Cégeps : Renforcer la laïcité et l’universalisme pour éviter l’éclatement social

Le Québec a connu un progrès social formidable depuis la Révolution tranquille. Ce progrès s’est fait sur la base de valeurs universalistes telles que l’égalité et le choix de la science comme preuve de ce qui est valable pour l’État de droit. Cependant, ces valeurs sont aujourd’hui remises en question. Les cas des écoles Bedford et Saint-Maxime en sont de bons exemples. Or, cette remise en question est aussi vécue dans les cégeps. Comme enseignants du réseau des cégeps (plus de 60 signataires), nous sommes témoins de la multiplication des manifestations de la pensée dogmatique, qui réfute la validité du doute critique et scientifique, ainsi que celles de la mixité et de l’égalité. Cela est encouragé par des accommodements qui compromettent la séparation laïque entre les cégeps et les organisations religieuses. Nos institutions vivent une poussée articulée pour y pratiquer des conceptions dogmatiques de ce qui est juste, et reculent sur l’égalité de fait et la laïcité en raison de notre manque d’organisation juridique et politique pour les défendre.

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Recul des ventes de livres numériques : Bonne nouvelle pour les livres québécois ?

Recul des ventes de livres numériques : Bonne nouvelle pour les livres québécois ?

Les ventes de livres neufs au Québec sont à leur plus haut niveau depuis dix ans. À peu près tous les indicateurs sont au vert… sauf celui des livres numériques, dont les ventes ont reculé entre 2022 et 2023, rapporte La Presse. Bonne ou mauvaise nouvelle ? Le repli, ou en tout cas un certain plafonnement des ventes de livres numériques, est une bonne nouvelle si on ne considère le numérique que comme une menace pour les industries culturelles québécoises. On peut le penser : les géants étrangers de la musique et de la vidéo ont provoqué une dégringolade des revenus de nombreux artistes et créateurs d’ici. Ces plateformes privilégient les produits de divertissement américains ou anglophones. Cela amplifie l’effet de dumping culturel qu’on constatait déjà il y a 40 ans, à la télé, au cinéma et à la radio. Selon l’Observatoire de la culture et des communications du Québec, il s’est vendu 6,5 % moins de livres numériques par les entrepôts et les agrégateurs québécois en 2023 qu’en 2022.

• La Grande Bibliothèque pourrait s’agrandir même sans le terrain voisin, dit Lacombe.

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Des étudiants en droit inquiets de l’abandon de la session d’été par l’École du Barreau

Des étudiants en droit inquiets de l’abandon de la session d’été par l’École du Barreau

Deux ans après avoir ajouté une session d’été à son calendrier dans le cadre d’un projet pilote, l’École du Barreau a décidé récemment d’en retirer celle de juin prochain, rapporte Le Devoir. Une situation que déplore la Fédération des étudiantes et étudiants en droit du Québec (FEDQ), qui appréhende des répercussions financières et logistiques « majeures » pour ses membres. Les diplômés en droit qui avaient prévu suivre leur formation professionnelle à l’École du Barreau à la fin du mois de juin 2025 devront ainsi attendre le début du mois de septembre, l’École ayant décidé d’abolir une des trois sessions qu’elle offrait aux étudiants. La session d’été est ainsi tombée à l’eau, tandis que celles d’automne et d’hiver demeurent.

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Des appels à Tel-jeunes dès 6 ans

Des appels à Tel-jeunes dès 6 ans

Les adolescents ne sont plus les seuls à se tourner vers Tel-jeunes pour signaler des cas de détresse, d’intimidation ou d’isolement. Cette année, des centaines d’enfants, certains âgés de seulement 6 ans, ont demandé de l’aide pour des problèmes allant jusqu’aux pensées suicidaires, rapporte La Presse. Une réalité qui inquiète profondément l’organisme. Plus de 1000 enfants d’âge primaire, entre 6 et 11 ans, ont sollicité l’aide de Tel-jeunes au cours des 12 derniers mois. C’est trois fois plus qu’avant la pandémie de COVID-19. Dans ce groupe d’âge, les situations de crise, comme la dépression, l’anxiété, les pensées suicidaires et l’isolement, ont fortement augmenté, et elles « ne montrent aucun signe d’arrêt », selon l’organisme. Ces données sont particulièrement frappantes, sachant que l’organisme Tel-jeunes n’est pas présent dans les écoles primaires et qu’il ne cible pas particulièrement ce jeune public.

• Temps des Fêtes : Les enfants et les ados aussi affectés par le stress.

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Parce que la violence conjugale ne s’arrête pas à la porte du tribunal

Parce que la violence conjugale ne s’arrête pas à la porte du tribunal

Parce que la violence conjugale ne s’arrête pas à la porte des tribunaux, la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF) a lancé une grande campagne de sensibilisation à la « violence judiciaire », qui est appuyée par des capsules vidéo et des dépliants d’information, rapporte Le Devoir. Elle espère que si les intervenants du système de justice savent de quoi il en retourne, ils pourront la faire cesser. Le phénomène est encore méconnu du grand public, estime la FMHF. La violence judiciaire consiste en l’utilisation à mauvais escient de tout type de procédures juridiques contre une victime dans le but de maintenir le contrôle sur elle. On parle notamment d’intenter des procédures à répétition, devant divers tribunaux, de faire des plaintes à la DPJ dans le but de nuire, de déposer ses procédures en retard ou encore des documents incomplets pour retarder le processus. Le conjoint abusif peut maintenir le contrôle en forçant l’autre à se présenter à la Cour et ainsi à se retrouver en sa présence physique. Parfois, l’avocat d’un conjoint est englouti sous les courriels incessants de l’autre — ce qui ajoute à la facture et est épuisant financièrement.

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Journée internationale des droits de l’homme : Des reculs historiques au Québec

Journée internationale des droits de l’homme : Des reculs historiques au Québec

Le recours aux dispositions de dérogation des chartes par le gouvernement dénote une banalisation inquiétante des chartes et des droits de la personne au Québec, estiment la Ligue des droits et libertés (LDL), dans un texte publié dans La Presse. Chaque année, la Journée internationale des droits de l’homme du 10 décembre commémore l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH). À travers le monde, cette journée est un moment privilégié pour faire le bilan des avancées en matière de droits de la personne et des obstacles qui continuent d’entraver leur exercice. Dans ce contexte, la LDL rappelle au gouvernement québécois l’importance de la DUDH et ses obligations, découlant du droit international, de respecter et de renforcer le régime québécois de protection des droits de la personne. Elle dénonce l’utilisation croissante des dispositions de dérogation prévues aux chartes et met en garde contre les discours – sur la souveraineté parlementaire, la laïcité, les droits collectifs et les valeurs québécoises – qui servent trop souvent de prétexte pour justifier des violations de droits.

• Bien-être et droits des enfants: Les enfants du Québec sans Commissaire pour le temps des Fêtes.

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Lutte contre l’islamophobie : Un comité recommande l’embauche de plus de professeurs musulmans

Lutte contre l’islamophobie : Un comité recommande l’embauche de plus de professeurs musulmans

Un comité de la Chambre des communes recommande que les cégeps et les universités augmentent le nombre de professeurs musulmans, palestiniens et arabes afin de lutter contre l’islamophobie, rapporte La Presse. Québec répond « non », le Bloc québécois affirme « son profond désaccord » et le Parti conservateur rejette les embauches en fonction de la religion comme l’avait également suggéré Amira Elghawaby. Rapidement, la ministre de l’Enseignement supérieur du Québec a opposé une fin de non-recevoir. « Non. Je réitère qu’au Québec, on n’acceptera jamais que la confession religieuse ou l’appartenance à une communauté soient considérées dans les critères d’embauche dans nos cégeps et nos universités », a écrit Pascale Déry sur le réseau social X. Le comité permanent de la justice et des droits de la personne avait lancé deux études, l’une sur la montée de l’antisémitisme et l’autre sur la montée l’islamophobie. Les deux rapports ont été déposés à la Chambre des communes mardi.

• Trudeau affirme que les postes doivent être accordés au mérite.

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IRIS : Analyse des tendances gestionnaires et de leurs effets

IRIS : Analyse des tendances gestionnaires et de leurs effets

Au tournant des années 1980, les sociétés occidentales ont connu une transformation idéologique majeure. On assiste alors à la montée de l’hypercapitalisme, une idéologie qui aura des effets sur le rôle de l’État dans la société, l’accès et le fonctionnement des services à la population, la politique budgétaire, la politique monétaire, la répartition de la richesse et les lois, entre autres choses. Une nouvelle approche s’impose dès lors progressivement au sein des administrations publiques des pays anglo-saxons qu’on qualifiera à l’époque de « nouvelle gestion publique » (NGP). Une publication de l'Institut de recherche et d'informations socioéconomiques.

Fiche no 1. La nouvelle gestion publique : Dans les années 1990, ce sont tous les pays de l’OCDE qui seront affectés d’une façon ou d’une autre par la NGP, toujours en vogue. Or, après 50 ans de mise à l’épreuve, les échecs s’accumulent. Cette fiche revient sur les principes phares de la NGP et expose ses effets sur les travailleurs et les travailleuses ainsi que sur les services à la population. Fiche no 2. La production lean : Au fur et à mesure qu’elle faisait la fortune de firmes de consultation engagées par les administrations publiques, la méthode lean est devenue un outil de réduction des dépenses publiques qui s’inscrit dans la foulée de la nouvelle gestion publique (NGP). Après plus de 30 ans, sa portée est bien documentée par la recherche. Nous verrons dans cette fiche que ces transformations ont nui à la qualité des services offerts à la population, dégradé les conditions de travail du personnel et mené à du gaspillage de ressources.

• Autre publication de l'IRIS : Quand le Québec se replie : retour sur « l’affaire Haroun Bouazzi ».

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2024 sera bien la première année au-dessus du seuil de 1,5 °C de réchauffement

2024 sera bien la première année au-dessus du seuil de 1,5 °C de réchauffement

Encore plus chaude que le record de 2023 : il est maintenant certain que 2024 sera la première année au-delà de la barre de 1,5 °C de réchauffement par rapport à la période préindustrielle, limite à long terme fixée par l’accord de Paris, rapporte l'Agence France-Presse. Après le deuxième mois de novembre le plus chaud dans le monde, « il est de fait certain que 2024 sera l’année la plus chaude enregistrée », a annoncé lundi le Service changement climatique (C3S) de l’observatoire européen Copernicus. Et ces niveaux historiques pourraient perdurer ces prochains mois, avec des températures mondiales attendues « proches des records » début 2025, a déclaré à l’AFP Julien Nicolas, scientifique au C3S, d’autant qu’un retour du phénomène La Niña, synonyme de refroidissement, reste encore incertain cette année.

Autres textes liés à l'environnement :
• Le vrai du faux sur le climat.
• Sécheresses, incendies de forêt et inondations ont marqué 2024 au Canada.
• Les Québécois tiennent à la viande et à leur voiture.
• En Mauricie, les aires protégées de la discorde.
• Le « black carbon », super polluant du climat et de l’atmosphère.
• Une mystérieuse hécatombe d’éléphants expliquée grâce à des satellites.
• L’UNESCO cartographie les espèces marines grâce à l’ADN environnemental.
• Trois quarts des terres mondiales sont devenues plus sèches en 30 ans, alerte l’ONU.
• Analyse : Faut-il réformer les conférences de l’ONU sur l’environnement?
• Réfection de l'autoroute Métropolitain : Une occasion de « réduire la place des voitures » ?
• La Norvège est sur le point de ne vendre que des voitures neuves 100% électriques en 2025.
• Absence de registre public : Le Centre québécois du droit de l’environnement poursuit le gouvernement
• Projet immobilier sur une ancienne terre agricole à Châteauguay : Menaces de poursuites.

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Site de l’ancienne brasserie Molson : Un nouveau quartier d’ici dix ans

Site de l’ancienne brasserie Molson : Un nouveau quartier d’ici dix ans

Espaces verts, milliers de logements, pôle touristique : un quartier d’envergure avec vue sur le fleuve prendra officiellement forme au pied de l’enseigne Molson, rapporte La Presse. Mercredi, le groupe Montoni a partagé la vision du projet, qui coûtera plus de deux milliards de dollars à réaliser. Il faudra entre 7 et 10 ans pour construire le quartier dans sa totalité, a estimé le groupe Montoni. Le projet, mené par un consortium avec du Fonds immobilier de solidarité FTQ, requerra des investissements totaux de 2,5 milliards de dollars. « On est confiants de commencer dès 2025 », a mentionné Frédérique Truchon-Gagnon, directrice des affaires publiques pour le Groupe Montoni. Près de 5000 unités d’habitation seront érigées sur le site qui longe le fleuve Saint-Laurent sur plus d’un kilomètre. C’est 20 % de ces unités qui seront dédiées au logement social et abordable, qui sera priorisé dans les phases de construction. L’organisation estime que les premiers logements pourraient être prêts pour 2027, au plus tôt.

Autres textes liés à l'itinérance et au logement, avec la collaboration du RAPSIM :
• Mercier-Ouest : Ottawa et Montréal investissent dans 726 logements abordables.
• Logements mudulaires : La Ville de Montréal dévoile les sites choisis.
• Devoir vivre dans un campement, une violation des droits fondamentaux.
• Crise inédite en itinérance au Canada : Comment s’annonce l’hiver? (audio).
• Duranceau huée aux États généraux de l’itinérance.
• «Coup d’éclat pour le filet social»: des manifestants perturbent le discours d’Eric Girard.
• Dormir à -10 °C: «Il y en a qui cassent les cadenas sur des conteneurs pour y entrer».
• Itinérance : Un cri du cœur de Serge Lareault pour une société en crise.
• Explosion de migrants dans les ressources pour les jeunes en situation d’itinérance.
• Ex-placés de la DPJ : Jusqu’à 40 fois plus susceptibles de recevoir des soins en santé mentale.
• Le nombre de cas de VIH continue de grimper à Montréal.
• Baby Shark pour chasser les sans-abri au Complexe Desjardins.
• Insécurité alimentaire : «Il y a des mères qui mettent des cadenas sur les réfrigérateurs».

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Clic Santé : Par ici le privé

Clic Santé : Par ici le privé

Clic Santé propose une majorité de rendez-vous dans des cliniques privées, pour des services payants, montre une analyse de La Presse. Québec, qui dit vouloir endiguer la place du privé en santé, compte recourir à « un éventuel nouveau fournisseur ». Une enquête de Charles-Éric Blais-Poulin et de Jean-Hugues Roy. Environ 70 % des services offerts sur Clic Santé le sont dans une clinique privée, montre l'enquête de La Presse. Et plus de la moitié des services proposés sur la plateforme dans laquelle Québec a investi 77 millions sont payants.

Autres textes liés à la santé :
• Québec prend ses distances de la plateforme Clic Santé.
• Chaque Canadien malade du cancer doit dépenser 33 000$ de sa poche pour se soigner.
• Les tentatives du privé d’attirer des étudiants en médecine «préoccupent» le ministre Dubé.
• « Par dépit », les psychologues quittent de plus en plus le réseau public.
• Atteinte à l’autonomie professionnelle : Les médecins de famille poursuivent le ministre Dubé.
• Coupes en santé : le chantier de Maisonneuve-Rosemont reporté à la mi-2025.
• Des soins dentaires moins chers, mais pas gratuits comme promis.
• L’IUCPQ reporte l’entrée en fonction d’une vingtaine d’aspirantes infirmières.
• La grève chez Postes Canada cause des maux de tête dans le réseau de la santé.
• L’Association des acupuncteurs du Québec s’affilie à la Fédération des professionnèles–CSN.

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IBM Bromont signe une « percée » en IA

IBM Bromont signe une « percée » en IA

L’intelligence artificielle (IA) passe à la vitesse de la lumière. C’est en tout cas la solution trouvée par des chercheurs d’IBM à Bromont pour réduire jusqu’à cinq fois les besoins en énergie des centres de données, tout en diminuant par dix le temps nécessaire pour entraîner les futurs modèles de langage derrière les IA génératives. Les chercheurs d’IBM ont mis au point une technologie de transfert de données basée sur la fibre optique qui pourrait remplacer les connexions reliant entre eux les nombreux processeurs graphiques (GPU) stockés par milliers dans des centres de données, rapporte La Presse. Ces processeurs sont utilisés par les IA génératives pour produire du texte ou des images, entre autres. Sauf qu’ils sont énergivores. Et qu’ils sont inefficaces. En troquant ses connecteurs traditionnels pour ceux développés par IBM à Bromont, un centre de données pourrait diviser par cinq la quantité d’électricité requise pour effectuer certaines applications liées à l’IA générative. Dans la même veine, l’entraînement de grands modèles de langage, ou LLM, pourrait s’effectuer jusqu’à cinq fois plus rapidement, soit en trois semaines plutôt qu’en trois mois, dit IBM.

• Partage de renseignements personnels : Meta versera 9 millions pour régler une action collective au Québec.

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Membres en action

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Au fil des ans, les groupes de Cathy Beausoleil ont amassé plus d’un million de dollars

Au fil des ans, les groupes de Cathy Beausoleil ont amassé plus d’un million de dollars

Le cours Gestion des événements et congrès prépare les étudiantes et étudiants en tourisme, en communication marketing, en stratégies de production culturelle et médiatique et en relations publiques aux réalités du marché du travail. «Ils doivent planifier et organiser des activités de financement pour des organismes de bienfaisance de leur choix», explique la chargée de cours du Département de marketing Cathy Beausoleil, qui le donne depuis près de 20 ans. Le 5 décembre dernier, les deux équipes formées dans le cours présentaient leur bilan post-événement, en plus de remettre aux organismes choisis les sommes récoltées lors de leurs événements respectifs. «Au fil des ans les étudiantes et étudiants ont amassé plus d’un million de dollars, dont plus de 58 000 dollars versés à la Fondation de l’UQAM dans un fonds spécial dédié à des bourses d’excellence», souligne Cathy Beausoleil, sur Actualités UQAM.

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Philippe Hamelin participe à la 15e édition de LUMINO

Philippe Hamelin participe à la 15e édition de LUMINO

LUMINO, la fête de la lumière se déploie dans 15 lieux du Quartier des spectacles et du centre-ville de Montréal jusqu’au au 9 mars 2025. Organisé par le Partenariat du Quartier des spectacles, dont l’UQAM est partie prenante, l’événement propose une expérience hivernale participative avec, entre autres, des installations lumineuses et sonores dans l’espace public. Des étudiantes et étudiants de l’École de design, sous la direction de la professeure Nelly-Ève Rajotte et du chargé de cours Philippe Hamelin, ont conçu la vidéoprojection Au-delà de l’humain, qui sera présentée sur les façades du pavillon de Design et de la Grande Bibliothèque du 23 janvier au 9 mars 2025. Composée de courtes animations contemplatives, la vidéoprojection offre un moment de calme au milieu de l’effervescence urbaine, tout en explorant les relations entre humains et entités non humaines.

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Spectacle des finissantes en danse chorégraphié par Amélie Rajotte

Spectacle des finissantes en danse chorégraphié par Amélie Rajotte

Le Département de danse présente le spectacle de fin de session La disparition des choses (recréation), du 11 au 14 décembre, au pavillon de Danse. Chorégraphiée par la chargée de cours et diplômée Amélie Rajotte, l’œuvre est interprétée par 18 finissantes du baccalauréat, peut-on lire sur Actualités UQAM. La projection en fond de scène est une création de la professeure de l’École de design Nelly-Ève Rajotte, soeur de la chorégraphe.

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Le Gala mmode récompense la relève et Céline Chicoine

Le Gala mmode récompense la relève et Céline Chicoine

Sept Uqamiennes ont remporté un prix lors du Gala mmode, le 3 décembre dernier, au Théâtre Plaza de Montréal. Ce gala rassemble l’industrie de la mode québécoise pour récompenser la relève et ses talents émergents. L’étudiante au baccalauréat en gestion et design de la mode Myriem Schaffner a remporté le Prix pour l’excellence de la relève étudiante au Québec. Sa collègue Léanne Malenfant a pour sa part reçu une bourse d’excellence en vêtement et design technique. La chargée de cours Céline Chicoine a obtenu le prix Inspiration, ex æquo avec Jean-Claude Poitras, rapporte Actualités UQAM.

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Des meubles conçus et fabriqués au Québec, durables et solides selon Olivier Raymond

Des meubles conçus et fabriqués au Québec, durables et solides selon Olivier Raymond

Depuis 10 ans, des personnes qui fabriquent et dessinent des meubles québécois sont regroupées au sein de la Coop Établi. Le journaliste Philippe-Antoine Saulnier s’est demandé comment ces petites entreprises tiraient leur épingle du jeu dans une industrie où les grandes chaînes font fabriquer leurs produits à l'étranger. Jusqu’à dimanche, les créations de la Coop sont exposées au Centre de design de l'Université du Québec à Montréal. D’ailleurs, on peut y voir une chaise de jardin qui a passé dix ans à l’extérieur. Les membres de la Coop Établi, dont le chargé de cours Olivier Raymond, soutiennent que leurs meubles sont plus solides et durables, à l'émission Le 15-18, sur Ohdio.

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Stérilet : Il ne faut pas abandonner le cuivre, selon Marina Gérard

Stérilet : Il ne faut pas abandonner le cuivre, selon Marina Gérard

Le stérilet de cuivre est une des méthodes contraceptives les plus efficaces, mais ses effets secondaires découragent parfois son utilisation. Une équipe multidisciplinaire tente de nouvelles approches. Pour la chargée de cours Marina Gérard, ces travaux sont bienvenus. « Selon moi, le seul désavantage du stérilet de cuivre, c’est qu’il est en cuivre, lance-t-elle à la blague à Québec science. Sinon, c’est le contraceptif idéal en ce qui a trait à la charge mentale, l’efficacité et l’absence de contre-indications. Les craintes d’effets secondaires ont contribué à sa faible utilisation, mais un nouveau type de stérilet pourrait changer ça. »

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Plus de 30 Montréalais fraudés chaque jour : la fraude change explique Jonathan Bonneau

Plus de 30 Montréalais fraudés chaque jour : la fraude change explique Jonathan Bonneau

Une trentaine de Montréalais signalent être victimes de fraude chaque jour, selon une recension de données récentes du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Et la tendance risque de se poursuivre avec la sophistication des techniques d’hameçonnage. Le cas récent rapporté par La Presse de Monique Proulx, que des fraudeurs auraient escroquée de 6000 $ en enregistrant simplement ses paroles à l’autre bout du fil, illustre bien à quel point la fraude change, dit le chargé de cours et coordonnateur au Laboratoire de recherche en médias socionumériques de l’UQAM, Jonathan Bonneau. «En l’espace d’un appel pour enregistrer la boîte vocale, on a suffisamment de données sonores pour créer une voix et s’en servir pour faire ce qu’on veut. Ça change toute la donne.»

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Trump à la réouverture de Notre-Dame, seulement la troisième fois, selon Julien Tourreille

Trump à la réouverture de Notre-Dame, seulement la troisième fois, selon Julien Tourreille

La réouverture de Notre-Dame a pris des airs de grand-messe diplomatique samedi à Paris. Sous les yeux de chefs d’État ou de gouvernement, de riches mécènes et de fidèles de l’Église, la France s’est appliquée à offrir au monde un spectacle d’envergure internationale. C’est toutefois un futur chef d’État qui a surtout retenu l’attention : Donald Trump, qui a eu le privilège d’être reçu en tête-à-tête par Emmanuel Macron un peu avant la cérémonie. « C’est seulement la troisième fois depuis la Seconde Guerre mondiale qu’un président désigné [des États-Unis] fait un voyage officiel à l’étranger », souligne le chargé de cours Julien Tourreille, chercheur spécialiste de la politique étrangère et des États-Unis à la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM, à La Presse.

Autres contributions médiatiques de Julien Tourreille :
• Le gouvernement français renversé pour la première fois depuis 1962.
• Qui sera le prochain premier ministre de la France?
• Sans premier ministre et sans budget, la France est encore plus plongée dans l’inconnu.
• Politique américaine avec Julien Tourreille : Joe Biden gracie son fils Hunter.
• Trump peut-il faire n’importe quoi ou y a-t-il des garde-fous?
• Le poste de président des États-Unis devient-il une arme politique?
• Radiojournal du 9 décembre - 6 h 00.

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Dire la vérité, même quand c’est difficile, même quand il s’agit des Biden

Dire la vérité, même quand c’est difficile, même quand il s’agit des Biden

De manière générale, qu’il faille du courage pour écrire la vérité n’est pas un très bon signe à propos de comment vont les choses. Et pourtant, il a bel et bien fallu une dose importante de courage au chroniqueur Frank Bruni du New York Times pour écrire, à l’été 2023, une chronique titrée « Chers démocrates, c’est OK de parler de Hunter Biden » (traduction libre). Cette chronique n’a que gagné en pertinence depuis. Car il y avait bien des questions à la fois sérieuses et légitimes qui se posaient au sujet du fils du président des États-Unis et de la relation avec son père. Or, elles demeuraient jusque-là sans réponses. Au sein de plusieurs médias ouvertement ou plus subtilement opposés à Donald Trump (moins de 5 % des lecteurs du New York Times s’identifientaux républicains), les problèmes éthiques et judiciaires de Hunter Biden figuraient dans la même vaste catégorie que les problèmes cognitifs de son père : des réalités que l’on essayait au maximum d’ignorer, écrit le chargé de cours Rafael Jacob dans L'actualité.

• Pour briller au souper du samedi soir avec Rafael Jacob.

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Une critique inquiétante du système de justice américain, selon Christophe Cloutier-Roy

Une critique inquiétante du système de justice américain, selon Christophe Cloutier-Roy

Avec la grâce accordée par Joe Biden à son fils Hunter, l’abandon des poursuites contre Donald Trump après son élection et la nomination d’un fervent allié du républicain à la tête du FBI, une question importante se pose: le poste de président des États-Unis est-il en voie de devenir une arme politique (et judiciaire)? Une telle critique du système de justice, semblable aux récriminations de Donald Trump depuis son entrée en politique, a de quoi inquiéter, souligne le directeur adjoint de l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques de l’UQAM et chargé de cours Christophe Cloutier-Roy, au Journal de Montréal.

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Alain Caron guide ses étudiants dans un séjour d’étude en muséologie à Cuba

Alain Caron guide ses étudiants dans un séjour d’étude en muséologie à Cuba

La 17e édition du séjour d’étude en muséologie latinoaméricaine se déroulera à La Havane, à Cuba, du 28 février au 9 mars 2025. Ce séjour a pour objectif de faire découvrir la philosophie et les pratiques des professionnels des musées de la capitale cubaine et de comprendre comment ces professionnels incarnent les valeurs et principes de la muséologie sociale et communautaire. «Le projet permet de diversifier les visions et compréhensions du patrimoine au Québec et à l’étranger, expliquent les coorganisateurs, Julie Rose, coordonnatrice du Groupe de recherche sur l’éducation et les musées, et Alain Caron, chargé de cours au Département d’études urbaines et touristiques. Afin de couvrir les frais de voyage et de transport de matériel spécialisé, le comité organisateur lance une campagne de sociofinancement sur le site de la Fondation de l’UQAM. L’objectif est d’amasser 4000 dollars d’ici au 20 février.

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