Nouvelles du SPPEUQAM – 12 décembre 2024 ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏
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Entre vous et moi
C’est la fin de session pour la plupart d’entre nous. On a entendu le recteur valoriser les cours en présence sur plusieurs tribunes. On se demande bien pourquoi ses mandataires à la table de négociation ne veulent pas écrire dans notre convention que les cours en ligne viendront bonifier l’offre de cours en présence, et non réduire les options pour les étudiantes et étudiants? Le recteur aura une rencontre avec des membres de la direction d’Hydro-Québec dans les premières semaines de janvier. Il portera les préoccupations de notre communauté quant à la construction envisagée d’un transformateur de 315 000 volts au coin des rues Berri et Ontario. Si le courant passe avec notre société d’État pourquoi ne peut-il pas passer avec nous? Bonne fin de session. L’infolettre du Syndicat sera publiée la semaine prochaine et puis fera relâche jusqu’au 9 janvier. Bonne lecture, Richard Bousquet Vice-président à l’info du SPPEUQAM
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Une semaine de visibilité bien remplie
Des membres du SPPEUQAM ont distribué des tracts à la communauté étudiante les 9 et 12 décembre sur l'heure du midi pour les sensibiliser au fait qu'on a un vote de grève qu'on peut le mettre en application à compter du 22 décembre. Les étudiantes et étudiants sont particulièrement sensibles à nos revendications sur la taille des groupes cours en ligne à échelle humaine et sur l'établissement de balises au développement des cours en ligne pour qu’il ne se fasse pas au détriment des cours en présence. Une délégation de membres a également participé à la présentation du Plan stratégique de l'UQAM mardi et au cocktail du recteur mercredi. Notre collègue du CMI Laurence Castonguay-Emery a gagné un prix de présence lors du cocktail ce qui lui a permis de monter sur la scène avec son chandail de la négo. Pour celles et ceux qui ne se le sont pas encore procuré, venez faire un tour au local du Syndicat, A-R540.
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Chronique de la négo : Des discussions exploratoires pour tenter de mettre fin à l’immobilisme
Votre comité de négo a rencontré l’employeur pour une 17e séance, le mercredi 11 décembre. Comme pour les précédentes, cette rencontre a eu lieu en présence du conciliateur. Les deux parties ont délégué un comité restreint pour tenir des discussions en mode exploratoire. Le mode exploratoire vise à réfléchir sur des solutions potentielles hors des formules mises de l’avant dans les cahiers initiaux syndical et patronal. Les solutions présentées lors de ces discussions exploratoires n’impliquent pas d’engagement de la part des deux parties, mais elles permettent parfois de trouver des avenues pour sortir des impasses où coincent les négociations.
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Chronique des relations de travail : « T’check ta paie »
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L’UQAM étant une organisation multicéphale qui gère l’activité quotidienne de plusieurs milliers de membres actifs au sein de sa communauté, elle n’est pas infaillible sur le plan des erreurs administratives. Or, l’une d’elles nous concerne particulièrement de près, puisqu’elle touche notre portefeuille. En effet, il appert que notre charmante administration, représentée ici par ses ressources humaines et son service de la paie, produit à l’occasion des erreurs lorsque vient le moment de calculer notre pécule bien mérité. Pour cette raison, il faut régulièrement vérifier la fidélité de votre talon de paie avec vos différentes activités rémunérées. Car en cas d’erreurs non signalées dans un temps raisonnable, c’est peine perdue et vous pouvez alors vous assurer d’un beau et long voyage dans les dédales administratifs de la grosse machine. Quel type d’erreur devez-vous vérifier? Principalement, des trop-perçus ou des manques. D’un côté, un manque de revenus peut causer bien des embrouilles en fin de mois et il ne faut pas attendre avant de réclamer son dû, au risque de le voir disparaitre dans un délai de prescription. D’un autre côté, lorsqu’un trop-perçu est versé dans votre compte de banque, l’UQAM va un jour ou l’autre vous demander de le rembourser. Cette demande de remboursement peut arriver plus tôt que tard, même si à l’occasion ça peut prendre quelques semaines, voire des mois, avant qu’on vous le spécifie. Qu’il est navrant de se faire demander de l’argent une fois déboursé! Pour éviter cette situation malheureuse, votre Syndicat vous invite à demeurer vigilant.e et à vérifier vos relevés de paie pour vous assurer que vous êtes payé.e correctement. Alors, faites attention, un petit coup d’œil peut vous sauver du temps… et de l’argent! Pour toutes questions à ce sujet, et bien d’autres, n’hésitez jamais à contacter le comité des agentes et agents de relations de travail. Amel Aloui, Benoît Coutu, Jean-Baptiste Plouhinec, pour le Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART)
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Les membres du SPPEUQAM se dotent d’un mandat de grève à 86 %
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Une centaine de membres du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM, réunis en assemblée générale lundi après-midi, ont adopté à 86 % une proposition mandatant leur comité exécutif pour déclencher des séquences de grève pouvant aller jusqu’à la grève générale illimitée, et ce, en tenant compte de la conjoncture de la négociation. Le syndicat dont les membres donnent près de 60 % des cours peut déclencher la grève à compter du 22 décembre. Le comité de négociation a expliqué aux membres que les pourparlers stagnent sur les principales revendications en rapport avec les conditions d’enseignement en ligne, soit la reconnaissance et la rémunération du travail additionnel qu’exige l’adaptation des cours en ligne; l’établissement de balises au développement des cours en ligne pour qu’il ne se fasse pas au détriment des cours en présence et l’assurance que les groupes-cours demeurent à taille humaine. La direction souhaite plutôt pérenniser les pouvoirs qu’elle s’est arrogé durant la pandémie alors que les personnes chargées de cours étaient contraintes d’enseigner en non-présentiel, en refusant maintenant d’en négocier les conditions de travail. Les deux parties vont se rencontrer à trois reprises d’ici le moment où le syndicat va acquérir le droit de grève. « Avec un vote à 86 %, les membres ont envoyé un message fort et nous espérons que la partie patronale va le comprendre et va arriver à la table de négociation avec de nouvelles avancées pour dénouer l’impasse », a affirmé le président du syndicat, Olivier Aubry.
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IA en enseignement supérieur – Retour sur la Journée du numérique en éducation
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Au sortir de la 6e journée du numérique, tenue le 1er novembre dernier et organisée par les ministères de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, la tentation était forte, pour l’ironie de la chose, de demander à une intelligence artificielle générative de produire une chronique incendiaire sur le sujet, qui rappellerait encore une fois les dangers d’une éducation de plus en plus atomisée, médiatisée et déshumanisée. En fait, force est d’admettre que pour produire plus de réchauffé, incluant de produire des textes complexes sur des sujets nichés, ChatGPT et tous ses cousins sont désormais extrêmement performants. C’est peut-être cette perspective qui faisait dire à Éric Caire, ministre de la Cybersécurité et du Numérique en mot d’ouverture que l’humain pourrait fort bien se trouver très bientôt dépassé par une intelligence plus grande que la sienne. Cette remarque, empreinte de gravité, devait nous sensibiliser à l’importance de « former les leaders de demain… aujourd’hui ». Pour lire la suite de la chronique 102 du Comité école et société de la FNEEQ.
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La CSN publie le numéro 15 de son journal Le Point syndical
La CSN a publié le numéro 15, hiver 2025, de son journal Le Point syndical. Au sommaire : • Quand la CSN se mobilise, c'est tout le Québec qui gagne! • Services publics : Le grand retour de l'austérité • Négos du gouvernement : Des syndicats attendent un déblocage • Santé : La CSN contre la privatisation • CHUL : Deux urgences, deux employeurs, un problème commun • • Conflit de loyauté : Quand la grève s'impose • Dossier : Lock-out, la tendance patronale de 2024 • Syndicalisation : Amazon veut faire peur au monde • Salaire plancher : 20$ l'heure, ça change pas le monde, sauf que… • Consolidation : Les scieries dans la tempête • Fonderie Horne : La transition quand la crise éclate • Union des forces : P'tit musée, p'tite misère.
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Gel de recrutement : la CSQ dépose une plainte d’entrave contre le gouvernement
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Selon la CSQ, les gels de recrutement entrés en vigueur le 1er novembre dernier dans les réseaux scolaire et collégial contreviennent au Code du travail et rendent inopérantes certaines dispositions des conventions collectives négociées de bonne foi et signées il y a à peine quelques mois. C’est pour ces raisons que la Centrale et ses fédérations ont déposé une plainte d’entrave au Tribunal administratif du travail (TAT) à l’endroit du gouvernement. « En décrétant unilatéralement ces gels de recrutement pour certaines catégories d’emplois, le gouvernement revient sur sa parole et ses engagements, sans discussion, négociations ou possibilité de contestation par la partie syndicale. On ne peut pas signer une entente d’un côté et faire comme on l’entend de l’autre, c’est aussi simple que ça. Plus encore, dans certains cas, les directives émises vont dans le sens d’éléments discutés aux tables de négociation qui ont pourtant été tassés au fil des échanges. Le gouvernement n’a jamais consulté et il a agi comme s’il n’y avait pas de syndicats », fait valoir le président de la CSQ, Éric Gingras.
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Grève générale illimitée : Renaud-Bray doit cesser d’utiliser des scabs, ordonne le tribunal
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Des manifestations à travers le Québec contre la privatisation de l'électricité
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Le SCFP et ses alliés ont tenu une manifestation devant l’Assemblée nationale dimanche afin de dénoncer encore une fois le projet de loi 69 qui ouvre la porte à une privatisation tranquille des services d’électricité au Québec. En plus du rassemblement qui avait lieu à Québec, d’autres événements similaires étaient organisés aux quatre coins de la province, dont à Montréal, au Centre-du-Québec, en Mauricie, en Montérégie et au Saguenay―Lac-Saint-Jean. « Le grand danger, c’est qu’on ouvre la porte à la privatisation de la production, mais aussi de la distribution de l’électricité. On va priver les Québécois et les Québécoises d’une rente économique importante qui devrait servir à bonifier notre filet social et nos services publics à une époque où les besoins sont plus criants que jamais! », a expliqué Pierre-Guy Sylvestre, économiste au SCFP-Québec. « Ces modifications à la gouvernance de nos ressources électriques, c’est non seulement inquiétant pour les revenus de l’État, mais ça l’est d’autant plus pour la décarbonation du Québec et la transition juste. On est en pleine urgence climatique et on a une responsabilité collective dont fait fi le gouvernement actuel », d’affirmer le président du SCFP-Québec, Patrick Gloutney, présent devant l’Assemblée nationale du Québec.
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Béton provincial : Lock-out aux usines de LaSalle et de Longueuil
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Monde social et de l'Éducation
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La campagne La lecture en cadeau bat son plein à l'UQAM
La campagne La lecture en cadeau, qui célèbre son 25e anniversaire cette année (dont 20 ans à l’UQAM), se déroule jusqu’au 31 janvier 2024. Créée en 1999 par la Fondation pour l’alphabétisation, l’initiative vise à recueillir des livres neufs pour les enfants de milieux défavorisés de 0 à 12 ans. À ce jour, plus d’un million de livres ont été distribués dans le cadre de la campagne. Pour y contribuer, il suffit d’acheter un livre neuf et de le remettre aux bénévoles (voir la liste sur Actualités UQAM) ou de le déposer dans la boîte prévue à cet effet dans les bibliothèques ou à la COOP UQAM. Comme les livres seront offerts aux enfants au printemps 2024, on doit éviter les livres de Noël. On s’assure également d’acheter un livre de lecture et non un livre de dessin, d’autocollants ou un cahier d’exercices. Les enfants préfèrent les livres à caractère ludique, comme les histoires, les romans, les bandes dessinées ou les livres cartonnés.
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Cégeps : Renforcer la laïcité et l’universalisme pour éviter l’éclatement social
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Recul des ventes de livres numériques : Bonne nouvelle pour les livres québécois ?
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Des étudiants en droit inquiets de l’abandon de la session d’été par l’École du Barreau
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Des appels à Tel-jeunes dès 6 ans
Les adolescents ne sont plus les seuls à se tourner vers Tel-jeunes pour signaler des cas de détresse, d’intimidation ou d’isolement. Cette année, des centaines d’enfants, certains âgés de seulement 6 ans, ont demandé de l’aide pour des problèmes allant jusqu’aux pensées suicidaires, rapporte La Presse. Une réalité qui inquiète profondément l’organisme. Plus de 1000 enfants d’âge primaire, entre 6 et 11 ans, ont sollicité l’aide de Tel-jeunes au cours des 12 derniers mois. C’est trois fois plus qu’avant la pandémie de COVID-19. Dans ce groupe d’âge, les situations de crise, comme la dépression, l’anxiété, les pensées suicidaires et l’isolement, ont fortement augmenté, et elles « ne montrent aucun signe d’arrêt », selon l’organisme. Ces données sont particulièrement frappantes, sachant que l’organisme Tel-jeunes n’est pas présent dans les écoles primaires et qu’il ne cible pas particulièrement ce jeune public. • Temps des Fêtes : Les enfants et les ados aussi affectés par le stress.
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Parce que la violence conjugale ne s’arrête pas à la porte du tribunal
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Journée internationale des droits de l’homme : Des reculs historiques au Québec
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Lutte contre l’islamophobie : Un comité recommande l’embauche de plus de professeurs musulmans
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IRIS : Analyse des tendances gestionnaires et de leurs effets
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Au tournant des années 1980, les sociétés occidentales ont connu une transformation idéologique majeure. On assiste alors à la montée de l’hypercapitalisme, une idéologie qui aura des effets sur le rôle de l’État dans la société, l’accès et le fonctionnement des services à la population, la politique budgétaire, la politique monétaire, la répartition de la richesse et les lois, entre autres choses. Une nouvelle approche s’impose dès lors progressivement au sein des administrations publiques des pays anglo-saxons qu’on qualifiera à l’époque de « nouvelle gestion publique » (NGP). Une publication de l'Institut de recherche et d'informations socioéconomiques. Fiche no 1. La nouvelle gestion publique : Dans les années 1990, ce sont tous les pays de l’OCDE qui seront affectés d’une façon ou d’une autre par la NGP, toujours en vogue. Or, après 50 ans de mise à l’épreuve, les échecs s’accumulent. Cette fiche revient sur les principes phares de la NGP et expose ses effets sur les travailleurs et les travailleuses ainsi que sur les services à la population. Fiche no 2. La production lean : Au fur et à mesure qu’elle faisait la fortune de firmes de consultation engagées par les administrations publiques, la méthode lean est devenue un outil de réduction des dépenses publiques qui s’inscrit dans la foulée de la nouvelle gestion publique (NGP). Après plus de 30 ans, sa portée est bien documentée par la recherche. Nous verrons dans cette fiche que ces transformations ont nui à la qualité des services offerts à la population, dégradé les conditions de travail du personnel et mené à du gaspillage de ressources. • Autre publication de l'IRIS : Quand le Québec se replie : retour sur « l’affaire Haroun Bouazzi ».
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2024 sera bien la première année au-dessus du seuil de 1,5 °C de réchauffement
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Encore plus chaude que le record de 2023 : il est maintenant certain que 2024 sera la première année au-delà de la barre de 1,5 °C de réchauffement par rapport à la période préindustrielle, limite à long terme fixée par l’accord de Paris, rapporte l'Agence France-Presse. Après le deuxième mois de novembre le plus chaud dans le monde, « il est de fait certain que 2024 sera l’année la plus chaude enregistrée », a annoncé lundi le Service changement climatique (C3S) de l’observatoire européen Copernicus. Et ces niveaux historiques pourraient perdurer ces prochains mois, avec des températures mondiales attendues « proches des records » début 2025, a déclaré à l’AFP Julien Nicolas, scientifique au C3S, d’autant qu’un retour du phénomène La Niña, synonyme de refroidissement, reste encore incertain cette année. Autres textes liés à l'environnement : • Le vrai du faux sur le climat. • Sécheresses, incendies de forêt et inondations ont marqué 2024 au Canada. • Les Québécois tiennent à la viande et à leur voiture. • En Mauricie, les aires protégées de la discorde. • Le « black carbon », super polluant du climat et de l’atmosphère. • Une mystérieuse hécatombe d’éléphants expliquée grâce à des satellites. • L’UNESCO cartographie les espèces marines grâce à l’ADN environnemental. • Trois quarts des terres mondiales sont devenues plus sèches en 30 ans, alerte l’ONU. • Analyse : Faut-il réformer les conférences de l’ONU sur l’environnement? • Réfection de l'autoroute Métropolitain : Une occasion de « réduire la place des voitures » ? • La Norvège est sur le point de ne vendre que des voitures neuves 100% électriques en 2025. • Absence de registre public : Le Centre québécois du droit de l’environnement poursuit le gouvernement • Projet immobilier sur une ancienne terre agricole à Châteauguay : Menaces de poursuites.
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Site de l’ancienne brasserie Molson : Un nouveau quartier d’ici dix ans
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Espaces verts, milliers de logements, pôle touristique : un quartier d’envergure avec vue sur le fleuve prendra officiellement forme au pied de l’enseigne Molson, rapporte La Presse. Mercredi, le groupe Montoni a partagé la vision du projet, qui coûtera plus de deux milliards de dollars à réaliser. Il faudra entre 7 et 10 ans pour construire le quartier dans sa totalité, a estimé le groupe Montoni. Le projet, mené par un consortium avec du Fonds immobilier de solidarité FTQ, requerra des investissements totaux de 2,5 milliards de dollars. « On est confiants de commencer dès 2025 », a mentionné Frédérique Truchon-Gagnon, directrice des affaires publiques pour le Groupe Montoni. Près de 5000 unités d’habitation seront érigées sur le site qui longe le fleuve Saint-Laurent sur plus d’un kilomètre. C’est 20 % de ces unités qui seront dédiées au logement social et abordable, qui sera priorisé dans les phases de construction. L’organisation estime que les premiers logements pourraient être prêts pour 2027, au plus tôt. Autres textes liés à l'itinérance et au logement, avec la collaboration du RAPSIM : • Mercier-Ouest : Ottawa et Montréal investissent dans 726 logements abordables. • Logements mudulaires : La Ville de Montréal dévoile les sites choisis. • Devoir vivre dans un campement, une violation des droits fondamentaux. • Crise inédite en itinérance au Canada : Comment s’annonce l’hiver? (audio). • Duranceau huée aux États généraux de l’itinérance. • «Coup d’éclat pour le filet social»: des manifestants perturbent le discours d’Eric Girard. • Dormir à -10 °C: «Il y en a qui cassent les cadenas sur des conteneurs pour y entrer». • Itinérance : Un cri du cœur de Serge Lareault pour une société en crise. • Explosion de migrants dans les ressources pour les jeunes en situation d’itinérance. • Ex-placés de la DPJ : Jusqu’à 40 fois plus susceptibles de recevoir des soins en santé mentale. • Le nombre de cas de VIH continue de grimper à Montréal. • Baby Shark pour chasser les sans-abri au Complexe Desjardins. • Insécurité alimentaire : «Il y a des mères qui mettent des cadenas sur les réfrigérateurs».
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Clic Santé : Par ici le privé
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IBM Bromont signe une « percée » en IA
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Au fil des ans, les groupes de Cathy Beausoleil ont amassé plus d’un million de dollars
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Philippe Hamelin participe à la 15e édition de LUMINO
LUMINO, la fête de la lumière se déploie dans 15 lieux du Quartier des spectacles et du centre-ville de Montréal jusqu’au au 9 mars 2025. Organisé par le Partenariat du Quartier des spectacles, dont l’UQAM est partie prenante, l’événement propose une expérience hivernale participative avec, entre autres, des installations lumineuses et sonores dans l’espace public. Des étudiantes et étudiants de l’École de design, sous la direction de la professeure Nelly-Ève Rajotte et du chargé de cours Philippe Hamelin, ont conçu la vidéoprojection Au-delà de l’humain, qui sera présentée sur les façades du pavillon de Design et de la Grande Bibliothèque du 23 janvier au 9 mars 2025. Composée de courtes animations contemplatives, la vidéoprojection offre un moment de calme au milieu de l’effervescence urbaine, tout en explorant les relations entre humains et entités non humaines.
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Spectacle des finissantes en danse chorégraphié par Amélie Rajotte
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Le Gala mmode récompense la relève et Céline Chicoine
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Des meubles conçus et fabriqués au Québec, durables et solides selon Olivier Raymond
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Stérilet : Il ne faut pas abandonner le cuivre, selon Marina Gérard
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Plus de 30 Montréalais fraudés chaque jour : la fraude change explique Jonathan Bonneau
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Trump à la réouverture de Notre-Dame, seulement la troisième fois, selon Julien Tourreille
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Dire la vérité, même quand c’est difficile, même quand il s’agit des Biden
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Une critique inquiétante du système de justice américain, selon Christophe Cloutier-Roy
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Alain Caron guide ses étudiants dans un séjour d’étude en muséologie à Cuba
La 17e édition du séjour d’étude en muséologie latinoaméricaine se déroulera à La Havane, à Cuba, du 28 février au 9 mars 2025. Ce séjour a pour objectif de faire découvrir la philosophie et les pratiques des professionnels des musées de la capitale cubaine et de comprendre comment ces professionnels incarnent les valeurs et principes de la muséologie sociale et communautaire. «Le projet permet de diversifier les visions et compréhensions du patrimoine au Québec et à l’étranger, expliquent les coorganisateurs, Julie Rose, coordonnatrice du Groupe de recherche sur l’éducation et les musées, et Alain Caron, chargé de cours au Département d’études urbaines et touristiques. Afin de couvrir les frais de voyage et de transport de matériel spécialisé, le comité organisateur lance une campagne de sociofinancement sur le site de la Fondation de l’UQAM. L’objectif est d’amasser 4000 dollars d’ici au 20 février.
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