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L’UQAM a finalement tenu ses portes ouvertes et le SCCUQ a fait des gains salariaux et normatifs. C’est maintenant à votre tour, chargées et chargés de cours, de prendre connaissance de l’entente de principe et de vous prononcer sur le projet global de convention collective. Parce qu’après on devra vivre avec pour quelques années. On se revoit le vendredi 17 février à 13 h au A-M050.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
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Entente de principe SCCUQ-UQAM : assemblée générale spéciale le vendredi 17 février
Le Syndicat des chargées et chargés de cours (SCCUQ) et la direction de l’UQAM ont conclu une entente de principe à la table de négociation vendredi. Le Syndicat a obtenu des gains sur les plans salarial et normatif. Le SCCUQ convoque ses membres à une Assemblée générale spéciale le vendredi 17 février, à 13h, au A-M050 (Pavillon Hubert-Aquin), pour leur présenter le contenu de l’entente de principe, la recommandation du Comité exécutif et procéder à une discussion et à un vote secret sur le contenu de la nouvelle convention collective. Un 5 à 7 suivra au lieu social du Syndicat.
Lire le texte de La Presse canadienne sur l’entente de principe.
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Affichage principal des charges de cours du trimestre d’été 2017 du 15 au 24 février
Les charges de cours disponibles pour le trimestre Été 2017 seront affichées sur Accent à compter du 15 février et les personnes chargées de cours auront jusqu’au 24 février pour enregistrer leurs candidatures. Elles devront par la suite répondre à la proposition de cours attribués sur Accent entre le 4 et le 9 mars.
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Manifestation pour la rémunération de tous les stages étudiants à Québec le 16 février
Une manifestation pour la rémunération de tous les stages étudiants est prévue le jeudi 16 février, à 14 h, à Québec à l’occasion du Rendez-vous national sur la main d’œuvre qui s’y déroule les 16 et 17 février. Cet événement, organisé par le gouvernement libéral, rassemblera des représentants des milieux patronaux et syndicaux afin de discuter des questions entourant le développement économique et le travail salarié. Plusieurs associations étudiantes de l’UQAM seront en grève cette journée-là pour favoriser la participation de leurs membres à cette manifestation, soit l’ADEESE (Association des étudiantes et étudiants de la Faculté des sciences de l'éducation), l’AFESH (Association facultaire étudiante des sciences humaines) et l’AFELC (Association facultaire des étudiants en langues et communications). L’AFÉA (Association facultaire des étudiants et étudiantes en arts) est en assemblée générale le 9 février, soit au moment d’écrire ces lignes, avec une proposition de vote de grève pour le 16 février. Les membres du SCCUQ désirant participer à la manifestation peuvent embarquer dans un des autobus réservés par les étudiants. Le départ se fera de la place Émilie-Gamelin à 10h. Vous pouvez réserver une place dans un des autobus auprès de Raphaëlle Vallières: affaires.uqamiennes@adeese.org
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Consignes pour les personnes chargées de cours qui assument des activités d’enseignement le jeudi 16 février
Les associations étudiantes en sciences de l'éducation, en sciences humaines et en langues et communications ont voté la grève ou organisent des levées de cours le jeudi 16 février. L’Association facultaire des étudiants et étudiantes en arts (AFEA-UQAM) est en assemblée générale jeudi après-midi et pourrait se joindre à ce mouvement de grève. Nous voulons vous rappeler que les personnes chargées de cours sous contrat doivent se présenter à leurs activités de travail, peu importe le lieu et la nature de cette activité, et être prêts à donner leurs activités d’enseignement pourvu que les conditions normales de travail et d’enseignement soient réunies.
Si vous désirez rapporter un incident ou si vous êtes confronté à une situation délicate, vous pouvez appeler le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM au numéro suivant: 514 987-3495.
Nous vous assurons que nous allons suivre tous les développements et nous vous aviserons si nécessaire.
Gaëlle Breton-Le Goff
Vice-présidente à la convention collective
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Mélissa Mongiat figure parmi les 21 portraits de Montréalais visionnaires
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Neuf diplômés de l'UQAM, dont la chargée de cours de l’École de design Mélissa Mongiat, figurent parmi les 21 portraits de Montréalais visionnaires photographiés par Cindy Boyce, dans le cadre du projet mondial Inside Out, créé en 2011 par le célèbre artiste de rue JR, selon Actualités UQAM. Ce projet est mené par le Musée McCord en collaboration avec Publicité sauvage à l'occasion de l'exposition Notman, photographe visionnaire. Les entrepreneurs et idéateurs sélectionnés, qui invitent à sortir du cadre pour faire évoluer les façons de faire, sont issus des domaines des arts et de la mode, du design et de l’urbanisme, du milieu communautaire et sociétal ou encore des nouvelles technologies. Leurs portraits sont placardés jusqu'au 26 février dans différents quartiers de la ville: la devanture de la Maison Notman, les vitrines de la papeterie Guérin, la palissade sur la rue Saint-Denis près de l'UQAM, et l'une des palissades au cœur du Quartier des spectacles. Experte des environnements narratifs qui font participer le public, Mélissa Mongiat est cofondatrice du studio de design Daily tous les jours, à qui les Montréalais doivent, entre autres, le projet des 21 balançoires conçu en partenariat avec l'UQAM et installé au cœur du Quartier des spectacles.
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Anne-Sophie Letellier publie L'éducation aux médias à l'ère numérique: entre fondations et renouvellement
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Sous la direction d’Anne-Sophie Letellier, chargée de cours à l'École des médias et de Normand Landry, professeur à la TÉLUQ, L'éducation aux médias à l'ère numérique: entre fondations et renouvellement jette les bases d'une approche critique et répond aux problèmes concernant notamment la vie privée, la liberté d'expression, la sexualité, la violence et les représentations médiatiques. Une maîtrise minimale des nouveaux outils de communication est désormais une condition à l'insertion sociale et économique. L'accès aux soins de santé, à l'éducation, à l'information, aux loisirs et à l'emploi, par exemple, passe par la capacité à utiliser ces outils. On appelle cela la «littératie numérique», soit la capacité de comprendre, d'évaluer et de produire des «textes médiatiques» variés, présentés dans une multitude de formats, que l'on peut consulter et modifier grâce à de multiples dispositifs. Mais cela ne saurait suffire. Le citoyen doit également pouvoir poser un regard critique sur l'information, en comprendre les sources et en évaluer la qualité et la fiabilité.
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Hassan El Ibrami est décédé le 2 février, à l'âge de 49 ans. M. El Ibrami a été chargé de cours au Département de finance et au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale avant de devenir professeur au Département des sciences comptables en juin 2010. Le SCCUQ offre ses plus sincères condoléances à la famille, aux amis et aux collègues de M. El Ibrami.
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Le Québec : terre d’accueil pour la communauté musulmane depuis plus d’un siècle, explique Frédéric Castel
L’attentat contre la mosquée de Québec a mis en lumière le fait que les Québécois ne connaissaient pas bien la communauté musulmane, qu’ils côtoient pourtant depuis plus d’un siècle. Aujourd’hui, les immigrants musulmans sont près de 300 000 au Québec. Depuis la fin des années 1990, leur nombre a commencé à augmenter de façon exponentielle. «Le Canada a toujours eu une image d’Eldorado et de paix pour les pays extérieurs. Québec était la version francophone. C’était une terre d’accueil réputée pour son plein emploi et son ascension sociale, contrairement à l’Europe et aux États-Unis, où les musulmans n’étaient pas tellement les bienvenus», explique le chargé de cours en Sciences des religions Frédéric Castel au Journal de Montréal.
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La réglementation, les taxes et la démographie font grimper le prix des billets d'avion pour un vol régional explique Mohamed Reda Khomsi
Les billets d'avion dans les aéroports régionaux coûtent chers, plus chers parfois que pour aller à l'étranger. La réglementation, les taxes et la démographie font partie des facteurs qui influencent les prix explique le chargé de cours au Département d'études urbaines et touristiques Mohamed Reda Khomsi à l’antenne de Radio-Canada.
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Guillaume Cliche-Rivard et Marc-André Dubuc ont supervisé les étudiants qui ont participé à l'événement annuel Quebec Model United Nations
Près de 400 étudiants, provenant d'une vingtaine de cégeps et d'universités, ont participé le samedi 4 février à l'événement annuel Quebec Model United Nations qui se déroulait cette année au Pavillon Sherbrooke (SH) de l'UQAM, selon Actualités UQAM. Cet exercice permet aux étudiants québécois de se préparer à la Simulation des Nations Unies à New York (National Model United Nations - NMUN), qui aura lieu du 19 au 23 mars (conférence A) et du 9 au 13 avril (conférence B) prochains. L'événement, sans remise de prix, concentre en une journée intensive le travail de toute une semaine (adoptions de résolutions, etc.) au NMUN. Les équipes uqamiennes étaient sous la supervision des chargés de cours Me Guillaume Cliche-Rivard, de la Faculté de science politique et de droit, et Marc-André Dubuc, de l'ESG UQAM. L'événement de samedi était organisé conjointement par la Faculté de science politique et de droit et l'École des sciences de la gestion de l'UQAM.
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Style automobile : les errances japonaises expliquées par Pascal Boissé
Lignes étriquées, phares biseautés, feux aux formes tarabiscotées, excroissances inattendues. Poussés par l'insatiable désir de se démarquer, plusieurs designers japonais ont redoublé d'originalité au cours des dernières années. Avec un résultat qui laisse pour le moins songeur. «Dans les années 90, on demandait aux designers de faire de belles voitures. On la dessinait et l'on y fixait un badge. C'était plus intuitif. Aujourd'hui, on est dans l'ère du marketing de marque; chaque compagnie doit se positionner pour être différente, reconnaissable, unique», explique le chargé de cours en design d'équipement de transport de l'École de design Pascal Boissé, à propos des errances du design automobile japonais. Phénomène qui est peut-être accentué par un décalage culturel, plus manifeste chez certains constructeurs.
Lire la suite du texte de La Presse.
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Élisabeth Vallet donne un petit cours Décret 101 à l’émission Dessine-moi un dimanche
La chargée de cours Élisabeth Vallet donne un petit cours Décret 101 à Franco Nuovo dans le cadre de sa chronique américaine à l’émission Dessine-moi un dimanche à l’antenne de Radio-Canada. Le président ne peut que prendre des mesures qui vont permettre l’application de lois qui ont déjà été votées par le Congrès.
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Décret sur l’immigration signé par Donald Trump : la guerre juridique est enclenchée, selon Donald Cuccioletta
Donald Cuccioletta, chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand de l'UQAM, commente à l’antenne de Radio-Canada la guerre juridique enclenchée par le décret sur l’immigration signé par le président américain Donald Trump. Une bataille entre l’administration Trump et la justice américaine représentative de la constitution américaine et de la balance entre les trois branches du gouvernement – le Congrès, le président et les cours de justice – voulue par le peuple américain.
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Neuf chargées et chargés de cours parrainent neuf artistes émergents à l’Écomusée du fier monde
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Neuf artistes, chargées et chargés de cours de l’École des arts visuels et médiatiques, parrainent neuf artistes émergents, étudiants de l’UQAM. Par leurs créations pluridisciplinaires, ils vous proposent une vision artistique du mandat de l’Écomusée du fier monde, musée d’histoire et musée citoyen. L’exposition Prendre lieux est à l’affiche du 16 au 26 février 2017, à l’Écomusée du fier monde, 2050, rue Amherst. Chacune des neuf dyades d’artistes, composée d’un chargé de cours et d’un étudiant, s’est vue confier un espace leur permettant de Prendre lieux, comme nous dirions prendre place ou embrasser l’espace de l’Écomusée. Les neuf chargées et chargés de cours sont Dominique Sarrazin, Josée Pellerin, Jean Marois, Suzan Vachon, Patricia Gauvin, Marie-France Giraudon, Katherine Rochon, Anne C. Thibault et Denis Farley. Les heures d’ouverture sont le mercredi de 11h à 20h, les jeudi et vendredi de 9h30 à 16h et les samedi et dimanche de 10h30 à 17h.
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Montréal noire : sillonner les rues et quartiers de Montréal pour vivre la présence des communautés noires
Le Conseil central du Montréal métropolitain–CSN et la CSN profitent des célébrations du 375e anniversaire de Montréal pour organiser un événement tout particulier, Montréal noire, le mardi 28 février de 9h à 12h. En présence de Bernard Vallée, de Montréal Explorations (animation et recherche en histoire, patrimoine et enjeux urbains), nous sillonnerons en autobus les rues et quartiers de Montréal pour vivre la présence des communautés noires en son territoire. L’esclavage à Montréal, les personnages marquants, l’emploi, le racisme et le profilage seront notamment abordés. Départ de la CSN: 1601, De Lorimier (près du boul. De Maisonneuve, métro Papineau). Inscription obligatoire: 514 598-2021 ou julie.lampron-lemire@csn.qc.ca
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Stop à la pauvreté des femmes : action-éclair et conférence en faveur du salaire minimum à 15 $ l’heure
Une action-éclair en faveur du salaire minimum à 15$ l’heure se tiendra le mercredi 8 mars, de 7h à 9h le matin. Le rendez-vous du comité condition féminine du CCMM-CSN est fixé au Parc des Faubourgs, devant la sortie du pont Jacques-Cartier, à Montréal. À l’occasion de la Journée internationale des femmes, le 8 mars, cette action non mixte vise à sensibiliser la population à la pauvreté spécifique des femmes. Une soirée-conférence sur les femmes et le salaire minimum aura lieu le mercredi 15 mars à 18h30 (précédée d’un goûter à 18h), à la CSN, 1601, De Lorimier, métro Papineau, salle à confirmer. Avec Ruth Rose, économiste féministe et Mélanie Gauvin, coordonnatrice du Front de défense des non-syndiquéEs et co-porte-parole de la campagne 5-10-15.
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Chapeau les filles! : toujours vivant
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15 dollars l'heure pour les étudiants salariés de l'UQAR
Les étudiantes et étudiants salariés de l'UQAR acceptent un nouveau contrat de travail. Les syndiqués auront une nouvelle convention collective après des négociations qui ont duré près de 8 mois. Parmi les gains des étudiants et étudiantes, notons le salaire à 15 dollars de l'heure pour tous les syndiqués pour 2019. Le conseil d'administration de l'UQAR doit approuver cette convention collective avant son application, peut-on lire sur le site Énergie 102,3.
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La bulle de Pierre-Yves McSween : une vision comptable des CPE
La Confédération des syndicats nationaux (CSN) veut ici rectifier les faits rapportés dans la chronique de l’économiste Pierre-Yves McSween intitulée La bulle financière des CPE, diffusée dans La Presse du 8 février. D’entrée de jeu, l’auteur pose la question de la pertinence des CPE strictement en termes comptables et financiers. C’est ignorer le fait que les services éducatifs de qualité offerts en CPE, tout comme en milieu familial régi d’ailleurs, ont un impact positif sur le développement des enfants et sur leur bien-être. L’impact est d’autant plus important pour les enfants de milieux défavorisés. La CSN a souvent dénoncé et continue de décrier le choix du gouvernement qui, par ses mesures fiscales et tarifaires récurrentes, encourage ouvertement les parents à recourir aux garderies commerciales pour des motifs strictement financiers plutôt qu’au réseau des services de garde régi et subventionné. La qualité des services éducatifs devrait être leur critère le plus important. La plus récente enquête Grandir en qualité a démontré, une fois de plus, que les services offerts en CPE sont de meilleure qualité que ceux offerts en garderies commerciales.
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Conciliation famille-travail-études : la CSQ réclame une action globale
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) salue la volonté du ministre Sébastien Proulx de soutenir, par une aide financière, des projets de garde pendant la relâche scolaire et la période estivale 2017. Or, pour favoriser la conciliation famille-travail-études, le gouvernement Couillard devra faire un pas beaucoup plus important. «L'annonce [de lundi] est positive, mais loin d'être suffisante. Pour la CSQ, la conciliation famille-travail-études est primordiale. Les initiatives gouvernementales en ce sens ont été plus que modestes dans les dernières années. Cet enjeu doit être mené de front par le ministre de la Famille, mais cela doit également se traduire par une action transversale au sein de l'ensemble des ministères, car ils sont tous concernés. C'est pourquoi nous réclamons une loi-cadre sur la conciliation famille-travail-études et demandons que les normes du travail soient modifiées afin de répondre aux réalités actuelles du monde du travail», souligne Louise Chabot, présidente de la CSQ.
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Les écoles publiques ont subi les mesures d’austérité plus durement que les écoles privées
Une note socioéconomique, publiée par l’IRIS, démontre que le réseau des écoles publiques a souffert davantage des mesures d’austérité que le réseau des écoles privées du Québec, et ce, malgré ce que prétend la Fédération des établissements d’enseignement privés (FPPE). «L’IRIS met très clairement en évidence que les écoles privées sont protégées par les décisions budgétaires prises par les gouvernements qui se succèdent au Québec, a mentionné Sylvain Mallette, président de la FAE. Dans les faits, les écoles privées tirent leur épingle du jeu pendant que les écoles publiques écopent.»
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Implantation d’Optilab : le gouvernement se prépare sciemment à sacrifier la santé de ses employés
La CSN condamne l’improvisation et la précipitation du ministre Barrette qui fonce tête baissée pour implanter le projet Optilab alors qu’il sait pertinemment que ce projet risque d’avoir des impacts sur la santé du personnel. La centrale exhorte le gouvernement libéral à imposer un moratoire au projet Optilab, une demande soutenue de toutes parts. Il doit reculer comme il l’a fait pour les établissements de santé du Grand Nord. «Mais que va-t-il falloir au gouvernement pour renoncer à ce projet bâclé ? s’est exclamé le vice-président de la CSN, Jean Lacharité. Les documents obtenus en vertu de la loi d’accès à l’information et dont TVA faisait état hier nous apprennent que le ministre compte faire ses économies grâce à la réduction d’effectifs et donc sur le dos du personnel. Tout cela est inacceptable.»
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Cadenassage et autres contrôles des énergies : un colloque de la CSN sous le signe de la santé et de la sécurité au travail
La Confédération des syndicats nationaux (CSN) tient jeudi un colloque sur le cadenassage et autres méthodes de contrôle des énergies, au Best Western Hotel Universel à Drummondville. Initié par la Fédération de l’industrie manufacturière (FIM), la Fédération du commerce (FC) et la Fédération des employées et employés des services publics (FEESP), l’événement vise à faire le point sur l’état de la réglementation en matière de méthode de contrôle des énergies et ses impacts sur la santé et la sécurité des travailleuses et des travailleurs.
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Partenariat public-privé dans les Laurentides : la CSN exhorte le gouvernement à rejeter le renouvellement de l’entente
La CSN revient sur les révélations de l’émission Enquête diffusée hier et qualifie de scandaleuses les deux ententes conclues dans le cadre d’un partenariat public-privé entre le CISSS des Laurentides et l’Institut de l’œil des Laurentides lors de la rénovation de l’hôpital de Saint-Jérôme. «Le reportage d’Enquête démontre clairement ce qu’on dénonce depuis des années : les partenariats public-privé sont dangereux pour la qualité des soins à la population et mettent sérieusement en péril les finances publiques. Le ministre Barrette a le devoir, aujourd’hui même, de s’engager à ce qu’aucune entente de la sorte ne soit reconduite pour l’avenir», souligne d’entrée de jeu le vice-président de la CSN, Jean Lacharité. «Le reportage illustre aussi les effets pervers du mode de rémunération à l’acte des médecins, et de leur statut d’entrepreneur. Un débat public s’impose sur cette question», dénonce pour sa part la présidente du Conseil central des syndicats nationaux des Laurentides (CSN), Chantal Maillé.
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Nominations à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse : l’Assemblée nationale doit assumer ses responsabilités
À la veille de la reprise de la session parlementaire, le Syndicat des employées et des employés de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (SECDPDJ) demande aux membres de l’Assemblée nationale de procéder rapidement à la nomination de nouveaux membres de la Commission dans le respect de la diversité de la société québécoise. La Commission est l’institution québécoise chargée de combattre la discrimination et l’exploitation des personnes âgées et des personnes handicapées. Elle assure la promotion des principes et des droits reconnus par la Charte des droits et libertés de la personne, veille à l’application de la Loi sur l’accès à l’égalité en emploi dans les organismes publics et à la protection de l’intérêt de l’enfant. La négligence de l’Assemblée nationale de nommer 6 nouveaux commissaires sur 13 fragilise l’institution et met en péril l’exercice de sa mission.
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La CSQ plaide pour un réinvestissement majeur dans les services à la population
«Le gouvernement Couillard doit réparer les pots qu'il a cassés au nom de la "rigueur" en réinvestissant de manière importante dans les services à la population. Il doit renoncer à offrir des cadeaux fiscaux qui, à long terme, contribuent uniquement à réduire notre capacité collective à nous offrir des services publics de qualité, universels et gratuits.» Tel est le principal message que la présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Louise Chabot, a livré lundi au ministre des Finances, Carlos Leitão, à l'occasion des consultations prébudgétaires.
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Sans un réinvestissement dans la fonction publique québécoise, le SFPQ craint une rupture de service
Dans le cadre des consultations prébudgétaires, le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) réclame un réinvestissement dans la fonction publique québécoise. Le message du SFPQ est clair: il faut mettre un terme au sous-financement chronique des ministères et organismes afin de réinvestir dans les services à la population. Depuis 2009, la très grande majorité des ministères «autres» que la santé et l’éducation ont connu des taux de croissance négatifs, voire faméliques. Cette marginalisation des dépenses dédiées aux portefeuilles de la fonction publique dans le budget du Québec s’aggrave depuis de nombreuses années. En 2008-2009, elles représentaient 30,7% des dépenses de programmes, alors qu’elles ne comptent que pour 23,6% dans le dernier budget.
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La FTQ s’oppose au transfert d’une partie de l’embouteillage des Eaux Eska à l’extérieur de la région
Les représentants syndicaux d’Unifor et de la Fédération des travailleuses et travailleurs du Québec (FTQ) ont rencontré les médias, ce matin, afin de dénoncer la décision de l’entreprise Eaux Eska de déménager une partie de l’embouteillage de son eau à l’extérieur de la région. «C’est complètement illogique de sortir notre ressource pour finaliser le produit à l’extérieur. Si la demande est grandissante et qu’il faut augmenter la production, la région doit bénéficier de la création de nouveaux emplois», a commenté M. Nantel. Le syndicat est en train de mettre en place une compagne de mobilisation pour amener la compagnie à faire marche arrière. «Nous avons eu une rencontre avec l’entreprise sur le sujet qui n’a malheureusement pas débouché sur d’autres scénarios, mais nous ne laissons pas tomber la serviette pour autant», a indiqué le représentant national d’Unifor. Le syndicat réagissait ainsi à la décision des Eaux Eska de transférer l’embouteillage de ses produits de format d’un litre gazéifié et des autres produits en verre à Montréal.
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Importante avancée syndicale sur le chantier de la Romaine.
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La contestation d’une loi québécoise par des vignerons californiens était prévisible
Le SCFP avait bien prévenu le gouvernement québécois que la Loi sur le développement de l’industrie des boissons alcooliques artisanales ratait sa cible et ne permettrait pas l’essor de cette industrie au Québec. Au contraire, cette loi est en train d’affaiblir le système de régulation du marché des alcools. Les vignerons du Québec peuvent maintenant vendre directement leurs vins en épicerie sans passer par la Société des alcools du Québec (SAQ). Les vignerons californiens dénoncent ce qu’ils perçoivent comme un avantage indu.
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L’argent ou la maternité, le difficile choix des chercheuses universitaires
Plus de femmes que d’hommes obtiennent un diplôme universitaire de premier cycle au Québec. Mais de vieilles inégalités entre les sexes subsistent dans les postes de recherche — le sommet de la pyramide universitaire —, indiquent des données obtenues par Le Devoir. Les professeures des 15 plus grandes universités de recherche du Canada dirigent une fraction des prestigieuses chaires de recherche, recueillent 57% du financement obtenu par les chercheurs masculins et signent 27% des articles publiés dans des revues savantes. Leurs travaux sont de qualité égale ou supérieure à ceux des hommes, mais «des inégalités entre les sexes persistent, notamment dans le financement, malgré les bonnes intentions», dit Vincent Larivière, professeur à l’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information de l’Université de Montréal (UdeM).
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Université de Montréal : report de la réforme de la gouvernance
Devant le tollé soulevé par son projet de réforme de la gouvernance de l’Université de Montréal (UdeM), le recteur Guy Breton a décidé lundi d’accorder plus de temps à la communauté universitaire pour débattre de sa proposition. Quelque 27 des 116 membres de l’assemblée universitaire ont boycotté la séance qui avait lieu lundi pour protester contre le processus «vicié» visant à faire adopter le projet de nouvelle Charte de l’université. Cette réforme vise notamment à faire davantage de place à des membres «externes» dans les instances de l’UdeM, ce qui suscite des craintes pour la liberté intellectuelle des professeurs et des chercheurs.
Lire la suite du texte du Devoir.
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Accessibilité : l’Université de Montréal reçoit une amende exemplaire
Dans une décision perçue comme exemplaire, la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse vient d’ordonner de verser une indemnisation de 10 000$ à une personne handicapée privée de toilettes adaptées en août 2014 à l’Université de Montréal. «On pense que le niveau de dommages accordé est un avertissement aux institutions publiques: l’inaccessibilité pour les personnes handicapées est de moins en moins acceptable», a dit Fo Niemi, directeur du Centre de recherche-action sur les relations raciales.
Lire la suite du texte du Devoir.
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Des universitaires cherchent comment prévenir la radicalisation des Canadiens
Pionnier de l’étude du terrorisme intérieur, le chercheur Lorne Dawson fait partie du nombre croissant d’universitaires canadiens qui se penchent sur les moyens de prévenir la radicalisation et l’extrémisme violent, au pays comme à l’étranger. Issus de quelques universités canadiennes et de disciplines très diverses, ces spécialistes échangent dans le cadre de groupes et de programmes axés sur la sécurité et financés par les gouvernements, ainsi que de quelques réseaux universitaires. Le TSAS (Canadian Network for Research on Terrorism, Security and Society) est l’un de ces réseaux. Pour Aurélie Campana, directrice adjointe du TSAS et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les conflits et le terrorisme à l’Université Laval, l’un des grands défis de la prévention des actes violents consiste à déterminer ce qui les déclenche. «Il est rare que quelqu’un se radicalise seul dans son sous-sol», précise-t-elle.
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Royaume-Uni : le Brexit chasse les universitaires de l’Union européenne
À la suite du vote sur le Brexit, quelque 31 000 universitaires européens travaillant dans des universités britanniques ont été priés de prendre leurs dispositions pour partir, certains d’entre eux ayant déjà décidé de le faire, menaçant ainsi gravement l’expertise des universités britanniques. Ayant vécu et travaillé ici pendant plus de vingt ans, de nombreux universitaires de l’UE ont décidé de demander l’autorisation de rester après le 23 juin, demande qui a été rejetée. La lettre typique va comme suit: «Si vous ne partez pas volontairement, une décision séparée pourra être adoptée ultérieurement pour exécuter votre renvoi…»
Lire la suite.
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Avec «Ouvrir la voix», Amandine Gay ouvre une fenêtre sur le vécu des femmes noires
Vingt-quatre femmes, issues de milieux différents, alternent à l’écran. Leur point commun: être noires et se sentir invisibles dans la société européenne. Rencontre avec Amandine Gay, Française installée à Montréal, qui donne toute la place à celles que l’on voit si peu dans Ouvrir la voix, un film-témoignage éclairant que l’on pourra voir à la Maison d’Haïti ce vendredi.
Lire la suite du texte du Devoir.
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Trump, les libéraux et l'inutilité économique des femmes
Simone de Beauvoir a dit un jour : «rien n’est définitivement acquis. Il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question». Ça y est. Nous y sommes. Lundi de la semaine dernière, au lendemain du 44e anniversaire de la décriminalisation de l’avortement aux États-Unis, et seulement deux jours après une marche historique où des millions de femmes à travers le monde ont manifesté pour les droits des femmes, Trump a signé un décret interdisant le financement d’ONG internationales qui soutiennent l’avortement. Une semaine plus tard, il annonçait fièrement la nomination de Neil Gorsuch à la Cour suprême, un juge reconnu pour son hostilité envers les droits des femmes.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Lancement du livre-bilan de la tournée Faut qu'on se parle : Ne renonçons à rien
Les organisateurs de la tournée Faut qu'on se parle procèdent au lancement du livre-bilan de la tournée, Ne renonçons à rien, le mercredi 15 février à 18h, au Monument-National, 1182, boulevard St-Laurent, à Montréal. Avec Jean-Martin Aussant, Claire Bolduc, Véronique Côté, Gabriel Nadeau-Dubois, Maïtée Labrecque-Saganash, Aurélie Lanctôt, Karel Mayrand, Will Prosper et Alain Vadeboncoeur. Le livre sera en vente sur place au coût de 19,95$.
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La face cachée de la dette québécoise : discussion avec Claude Vaillancourt d’ATTAC-Québec
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Islamophobie rampante et racisme systémique : la responsabilité
Depuis l’attentat de Québec, on entend des appels à la compassion, à solidarité et à l’amour. On a raison de le faire, comme on aura raison de réclamer une fois pour toutes la mise sur pied d’une commission contre le racisme systémique et, plus urgemment encore, la mise en place des mesures sérieuses et cohérentes permettant de lutter efficacement contre l’islamophobie rampante et les actes horribles qui en découlent. Il faut agir, et il faudra le faire avec dignité et intelligence tout en défendant notre humanité.
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Oxfam-Québec rassemble pour mettre fin aux paradis fiscaux
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Des organismes qui défendent les droits se disent bâillonnés par le sous-financement
Le Mouvement d’éducation populaire et d’action communautaire du Québec (MÉPACQ), qui représentent plus 150 organismes en défense de droits partout au Québec, est inquiet des conséquences du sous-financement des organismes en défense collective des droits. «Nos organismes sont menacés de fermeture en raison du problème criant du sous-financement, affirme Caroline Toupin, co-coordonnatrice du MÉPACQ. La fermeture imminente de plusieurs organismes aura de graves conséquences notamment sur la participation citoyenne des personnes vivant diverses formes d’oppressions et dont les droits sont de plus en plus bafoués par les décisions et les orientations gouvernementales», poursuit-elle. Par leur travail d’éducation populaire et de mobilisation sociale, les organismes qui défendent les droits contribuent à faire entendre la voix d’une partie de la population que l’on a tendance à exclure du débat public.
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Actions d’éclats pour le financement de l’action communautaire autonome : les groupes réclament des engagements dès le prochain budget
C’est par le blocage simultané de la Caisse de dépôt et placement du Québec, à Montréal, et de l’Édifice Marie-Guyart (Complexe G), à Québec, que les organismes communautaires ont voulu, encore une fois mardi, attirer l’attention du ministre des Finances Carlos J. Leitao sur leurs besoins. Les 4000 groupes impliqués dans la campagne Engagez-vous pour le communautaire réclament une hausse de 475 millions $ par année de leur financement à la mission et la pleine indexation annuelle de leurs subventions. Véronique Laflamme, porte-parole de la campagne, indique que faute d’un soutien suffisant du gouvernement, la survie de bon nombre de ces groupes communautaires est menacée, dont celle d’au moins 260 d’entre eux qui ne reçoivent aucun financement de l’État.
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TVA Nouvelles : Des manifestants bloquent le lobby de la Caisse de dépôt.
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Estimations des hausses de loyer : la Régie du logement se ravise
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Jeunes de la rue : en finir avec la psychose
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Transition énergétique : besoin d'une agence autonome
Dans le bras de fer entre le gouvernement, l’opposition et les groupes intéressés de la société civile autour des enjeux de politique énergétique du projet de loi 106, c’est le volet des énergies fossiles qui a pris toute la place du débat public, laissant dans l’ombre la stratégie gouvernementale de transition. Dans cette note d’intervention de l’Institut de recherche en économie contemporaine, nous mettrons donc l’accent sur la création de Transition énergétique Québec (TEQ), l’aspect le plus positif du projet de loi 106, qui est en même temps au cœur du scénario de transition énergétique que nous avons récemment présenté dans un rapport de l’IREC.
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Rapport mensuel du CASIQ : hausse de 0,80% de l'Indice Québec 30
Le Centre d’analyse et de suivi de l’Indice Québec (CASIQ) a publié le rapport mensuel du mois de janvier 2017. L’IQ-30 a connu une hausse de 0,80% pour clôturer le mois à 2 448,11. Durant ce mois, 16 titres ont vu leur valeur augmenter tandis que les 14 autres titres ont plutôt subi l’inverse, voyant leur valeur s’abaisser au cours de cette même période. Durant le dernier mois, le titre de l’entreprise Bombardier Inc. est celui qui s’est le plus démarqué. Ce dernier a connu la meilleure performance mensuelle avec une forte hausse de 15,28%. À l’inverse, le titre de la compagnie Groupe CGI inc. demeure celui qui a fait la moins bonne figure en affichant une diminution de l’ordre de -2,90% durant le mois.
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