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40 ans, ça se fête : Cocktail dînatoire et conseil syndical élargi le vendredi 9 février
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40 ans, ça se fête. Le SCCUQ célèbrera son quarantième anniversaire le vendredi 9 février. Le syndicat invite tous ses membres à un 5 @ 7 Cocktail dînatoire à la Chaufferie du Cœur des sciences (CO-R700). La musique sera assurée par le quatuor Rhapsodie, quatre musiciennes virtuoses et dynamiques. Des surprises à prévoir.
L’événement sera précédé d’un Conseil syndical élargi à 14h au local PK-1350. À l’ordre du jour : • Rapport de 2 comités de travail en vue de la prochaine négociation (intégration et stabilisation de l’emploi) • Appui aux travailleuses et travailleurs du Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université • Élection d’une officière ou d’un officier d’élections substitut (mandat de deux ans) et d’une représentante ou d’un représentant au Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique (Une, un substitut, mandat de deux ans), au Comité des programmes de formation à l’enseignement (CPFE) (mandat de trois ans - La représentante, le représentant à ce Comité doit provenir de la Faculté des arts ou de l’un de ses départements) et au Comité des relations interethniques (mandat de deux ans).
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Le SCCUQ en quatre temps : conférences-débats sur des périodes marquantes de l’histoire du Syndicat
Le SCCUQ présente quatre conférences-débats sur des périodes marquantes de l’histoire du Syndicat dans le cadre de son 40e anniversaire. Venez échanger avec des militantes et militants de différentes époques.
La conférence sur La création: de la gestation à la première grève de personnes chargées de cours, mardi, a été fort pertinente. Merci à Laval Rioux (secrétaire) et Denis Laferrière (directeur) du premier exécutif provisoire et Marc Choko, premier président du syndicat accrédité.
Jeudi 15 février 5 @ 7 (à compter de 17h), au lieu social du Syndicat, local A-R540: La grève des cœurs et le début de la reconnaissance. Avec le chargé de cours Réal Leblanc et l’ex-chargé de cours Robert Martin. Autre panelliste à confirmer.
Mercredi 21 février 5 @ 7 (à compter de 17h), au lieu social du Syndicat, local A-R540: L’évolution de la convention collective et les années 2000. Avec Sylvie Goupil, ancienne v.-p. à la convention collective, Jocelyn Chamard, ancien v.-p. à la convention collective, et Jean-François Tremblay, ancien agent du CAART et ancien porte-parole à la table de négociation.
Mercredi 14 mars à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540: L’avenir du SCCUQ et du militantisme de ses membres. Chargées et chargés de cours panellistes à confirmer.
Veuillez confirmer votre présence à sccuq@uqam.ca en spécifiant à quelle conférence vous désirez assister pour que nous puissions prévoir le lunch en fonction du nombre de participants.
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Séances d’information le 27 février sur les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) et le perfectionnement de courte et de longue durées
Le SCCUQ offrira le mardi 27 février deux séances d’information aux personnes chargées de cours, au local R-2840 (Pavillon des Sciences de la gestion), selon l’horaire suivant : • 13h30 : Information sur les programmes de perfectionnement • 15h : Information sur les demandes d’exigences de qualification pour l’enseignement (EQE). Si vous désirez participer à l’une ou l’autre de ces rencontres, veuillez vous inscrire par téléphone en laissant un message au 514 987-3000 poste 3720, et ce, d’ici le 23 février. Votre message devra contenir votre nom, prénom, département et la ou les séances qui vous intéressent. Nous profitons de l’occasion pour vous rappeler que la procédure annuelle pour demander des EQE sur Accent est du 8 au 13 mars 2018. Les membres du Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART) ont hâte de vous rencontrer.
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Rencontre avec les candidats au poste de doyen de l’École des sciences de la gestion le 15 février
Le SCCUQ convoque les chargées et chargés de cours de l’École des sciences de la gestion à une rencontre avec les candidats au poste de doyen de l’ESG, Louis Baron, professeur titulaire au Département d’organisation et ressources humaines, et Komlan Sedzro, professeur titulaire et directeur au Département de finance, le jeudi 15 février à 12h30 au local R-2630. Un lunch sera servi, nous vous demandons de confirmer votre présence par courriel à sccuq@uqam.ca au plus tard le 12 février, car nous devons connaître le nombre exact de convives.
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Les réponses pour les projets d’intégration seront transmises bientôt
Les réponses des heures octroyées pour les projets d’intégration seront transmises sous peu par le Comité de liaison institutionnel (CLI) aux comités de liaison locaux qui eux transmettront les réponses aux personnes concernées. Le CLI a reçu des demandes totalisant 210 695,10$ et disposait d’un budget de 70 986,30$. Il a dû retarder au prochain dépôt les projets qui pouvaient l’être en proposant aux demandeurs de représenter leur projet et il a dû faire des coupes difficiles dans certains projets.
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Séance d’information pour les nouvelles personnes chargées de cours le 20 février
Une séance d’information s’adressant particulièrement aux nouvelles personnes chargées de cours se donnera le mardi 20 février, à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 (pavillon Hubert-Aquin). La formation comprend un survol des thématiques suivantes: • le Syndicat des chargées et chargés de cours • les projets d’intégration • la convention collective • les programmes de perfectionnement • les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) • le régime de retraite. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence au plus tard le 16 février à Mariève Ross.
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Formation pour les membres des comités de liaison locaux le 13 mars
Une formation s’adressant aux représentants des chargées et chargés de cours siégeant aux comités de liaison locaux (CLL) sera donnée le mardi 13 mars, à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 (Pavillon Hubert-Aquin). Cette formation a pour but de vous outiller sur votre rôle de représentation au CLL de votre unité. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence à Jean Régnier.
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Le SCCCUQAT salue les quarante années de syndicalisme du SCCUQ
Malheureusement, nous ne pouvons pas célébrer votre anniversaire avec vous. Quand la ligne orange fera un arrêt à Rouyn-Noranda, il nous sera beaucoup plus facile d’aller vous saluer. Entretemps, nous sommes parmi vous en pensée et à ce titre, sachez que nous avons adopté en exécutif ce matin, une résolution pour souligner vos quarante années de syndicalisme. Le travail que vous et vos prédécesseurs avez réalisé a permis d’améliorer les conditions de travail à l’UQAM, mais a aussi rejailli sur les conditions de travail de vos camarades en Abitibi-Témiscamingue. Pour cela, de chaleureux remerciements s’imposent également. Que cette célébration vous emplisse d’énergie pour les gains qui restent à obtenir,
Francis Bouffard, président, pour les camarades du SCCCUQAT
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Exposition du collectif russe Chto Delat? organisée par la commissaire Véronique Leblanc chez Vox
La commissaire et chargée de cours Véronique Leblanc présente l’exposition Chto Delat? Pratique performatives de notre temps du 14 février au 31 mars à Vox, centre de l'image contemporaine, 2 rue Sainte-Catherine Est (au 4e étage). Le vernissage aura lieu le mercredi 14 février, à 17h. Multidisciplinaires et politisées, les œuvres du collectif russe Chto Delat ? (Que faire ?) empruntent leurs stratégies narratives au théâtre de Bertolt Brecht et rejouent certains éléments du vocabulaire esthétique de l’avant-garde afin d’ouvrir un espace critique dans l’histoire et l’actualité de la Russie. Cette exposition réunit des œuvres, réalisées au fil d’une dizaine d’années par le collectif, qui s’inscrivent dans le contexte postsoviétique des années 2000 et répondent aujourd’hui à l’intensification du climat de répression politique installé par le régime de Vladimir Poutine.
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Sophie Camard reçoit le 2e prix du Concours de vulgarisation de la recherche en éducation
Vingt-deux étudiants aux trois cycles d'études ont participé au neuvième Concours de vulgarisation de la recherche en éducation, le 25 janvier, organisé par l'Association des étudiantes et des étudiants de la Faculté des sciences de l'éducation (ADEESE), en collaboration avec la faculté. Sophie Camard, étudiante à la maîtrise en éducation et chargée de cours a remporté le 2e prix. Le chargé de cours Jean-Philippe Ayotte-Beaudet faisait partie du jury, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Julien Tourreille a codirigé l’ouvrage Le conservatisme à l'ère Trump
Depuis les élections de novembre 2016, la domination du Parti républicain aux États-Unis est écrasante. En plus d'avoir reconquis la Maison-Blanche avec la victoire de Donald Trump, le Grand Old Party jouit de la totalité du pouvoir politique dans 25 États, ainsi que d'un pouvoir partiel – gouverneurs ou chambres législatives – dans 20 autres. Dix ans après la parution d'un premier ouvrage sur le conservatisme, des chercheurs de l'Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand revisitent le mouvement avec Le conservatisme à l'ère Trump. Sous la direction de Rafael Jacob et du chargé de cours Julien Tourreille, cet ouvrage décrit comment le conservatisme a été façonné, comment il continue à être remodelé et quelle influence il peut avoir au sein de la plus puissante démocratie de la planète, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Les stratégies de Simon Cadorette pour marchander et éviter de se faire avoir
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Godefroy Desrosiers-Lauzon a collaboré à un reportage sur les retraités migrateurs à Radio-Canada
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Québec doit donner aux villes les moyens de se financer, selon Florent Michelot
La grogne de nombreux propriétaires et commerçants risque d’être ravivée dans les prochains jours à la réception des comptes de taxes dont certains affichent des hausses trois fois supérieures à l’inflation. Selon un recensement effectué par Le Journal de Montréal, près de la moitié des villes de la région métropolitaine ont augmenté les taxes au-dessus du niveau de l’inflation évaluée à 1,7 %. «Le Québec s’est engagé sur la voie de la décentralisation, mais ce n’est pas viable si on ne donne pas aux villes les moyens de se financer», explique Florent Michelot, chargé de cours en Affaires municipales à l’UQAM.
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Les murs dans le monde, en réponse aux nouvelles peurs, commente Elisabeth Vallet
Si l’idée d’ériger un mur ou une clôture entre des pays est aussi ancienne que les concepts de nation et de frontière, l’Europe et le monde occidental ont un peu vite cru que la fin de la guerre froide et l’effondrement du mur de Berlin, en 1989, allaient signifier la disparition des séparations entre les peuples. Près de trente ans plus tard, le nombre de murs et de clôtures a explosé un peu partout sur la planète. «On compte aujourd’hui soixante-dix à soixante-quinze murs construits ou annoncés dans le monde, les murs existants s’étalant sur environ 40 000 kilomètres», soit autant que la circonférence de la Terre, affirme Elisabeth Vallet, politologue et chargé e cours à l’UQAM. C’est cette estimation haute qui a frappé les esprits ces dernières années, peut-on lire dans un texte du journal Le Monde.
Ruby Bridges est l'une des premières enfants afro-américaines à défier la ségrégation à La Nouvelle-Orléans en intégrant une école pour Blancs dans les années 1960. Élisabeth Vallet a décortiqué cette histoire, à Plus on est de fous, plus on lit!, à la suite de la lecture de la BD Ruby tête haute, d'Irène Cohen-Janca.
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Donald Cuccioletta commente le mémo dévoilé par Trump et le discours sur l’état de l’Union
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Conférence Trump et les femmes : analyses féministes contemporaines, le 13 février
Une conférence, née d'une initiative du chantier sur l'antiféminisme du Réseau québécois en études féministes (RéQEF) et coorganisée avec l’IREF, le GREF et la Chaire Raoul-Dandurand, proposera le mardi 13 février à 18h30, à la salle D-R200 de l’UQAM, une discussion sur la nature des obstacles ainsi que sur les stratégies antiféministes employées non seulement par l'administration Trump depuis le début de son mandat, mais également plus globalement à l'ère de Trump au sein de la société américaine. Où en sont les droits reproductifs aux États-Unis un an après l’arrivée à la Maison-Blanche de la nouvelle administration? Quels ont été les impacts sur les mouvements sociaux et communautaires? Ce panel offrira une réflexion sur les défis des États-Uniennes, tant au quotidien que dans leur désir de mobilisation, alors que le ressac conservateur se fait de plus en plus sentir.
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Journée portes ouvertes : Le SÉTUE dénonce l’arrogance de l’administration de l’UQAM
Le SÉTUE refuse que le travail des employé-e-s étudiant-e-s soit perçu comme facultatif ou superflu. Notre travail est nécessaire pour le fonctionnement des activités universitaires et il est grand temps que l’UQAM accepte de le reconnaître! Le travail bénévole, tant lors de la journée des portes ouvertes que dans d’autres occasions, est inacceptable. L’université utilise, à juste titre, l’ouverture sur le monde, l’implication, le militantisme et l’engagement de sa communauté pour mettre en valeur le dynamisme de l’établissement. Toutefois, elle s’entête dans une logique antisyndicale en faisant tout pour retarder les pourparlers lors des négociations avec les syndicats. La condescendance de l’administration uqamienne est encore plus grande envers le SÉTUE, le syndicat des étudiant-e-s employé-e-s, qu’elle aborde avec un ton souvent paternaliste, et dont elle refuse de reconnaître l’importance du travail pour le bon fonctionnement de la recherche et de l’enseignement.
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Les employées et employés étudiants trans et non-binaires exigent du changement
Les personnes trans et non-binaires sont particulièrement exposé-e-s à la précarité et à l’exploitation. La recherche d’emploi est souvent une expérience difficile: se faire mégenrer, être forcé-e à s’outer, se voir refuser un emploi parce qu’on est trans fait partie du quotidien. Les employé-e-s étudiant-e-s trans de l’UQAM font elleux aussi face à la précarité, souvent contraint-e-s à accepter des conditions de travail inéquitables. Parmi les plus courantes, mentionnons le refus de l’employeur-euse d’utiliser les bons prénoms et pronoms, l’exploitation des connaissances et expertises des personnes trans et non-binaires par les professeur-e-s, le confinement aux emplois subalternes du monde universitaire et la non-reconnaissance du travail quotidien qu’illes fournissent pour éduquer leurs collègues. Contrairement aux universités Concordia et McGill qui ont pris des dispositions pour améliorer les conditions d’étude et de travail des étudiant-e-s trans, rien n’a changé à l’UQAM où la transphobie et la discrimination systémique demeurent.
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Entente de principe adoptée par les chargées et chargés de cours de l’UQO
Les chargées et les chargés de cours, réunis en Assemblée générale extraordinaire le 4 février, ont voté à 93,5% en faveur de l’adoption de l’entente de principe intervenue entre l’UQO et le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO-CSN) le 27 janvier dernier. Maintenant, le SCCC-UQO-CSN se dit prêt à travailler pour le projet de campus unifié du recteur, Denis Harrisson. Il faut que l’UQO reçoive les fonds nécessaires pour réunir ses deux pavillons de Gatineau, mais aussi qu’elle ait une enveloppe dédiée pour les salaires de ses ressources humaines. La présidente est claire: «Le recteur a trouvé le moyen de régler avec les personnes chargées de cours; il lui faut régler rapidement avec les professeures et les professeurs pour que nous puissions toutes et tous travailler ensemble.»
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Les médecins résidents menacent de déclencher une grève
Les médecins résidents du Québec ont voté à 97,7 % pour une résolution visant à mettre en place des moyens de pression qui pourraient mener à la grève générale. «Nous n'avons pas d'autre choix que de nous faire entendre et de faire pression sur le gouvernement avec les moyens à notre disposition, incluant une éventuelle grève générale, s'il le faut», a indiqué par communiqué le Dr Christopher Lemieux, président de la Fédération des médecins résidents du Québec (FMRQ). Les principales demandes des médecins résidents, outre une majoration de leur rémunération, concernent, entre autres, les congés pour études et les congés de maternité. Selon la FMRQ, les résidents travaillent en moyenne 72 heures par semaine et doivent, en plus de cela, prévoir du temps pour se préparer à leurs examens de certification.
Lire la suite du texte de TVA Nouvelles.
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Scénario de crise : Le gouvernement doit hausser le financement du transport scolaire
De nombreuses conductrices et de nombreux conducteurs de véhicules scolaires membres de la Fédération des employées et employés de services publics–CSN (FEESP–CSN) ont participé à une «virée jaune», le 5 février, dans plusieurs villes du Québec. Appuyés par le lancement d’une vidéo sur les médias sociaux, elles et ils ont circulé à basse vitesse dans plusieurs quartiers afin de marquer l’intensification de leur visibilité sur la place publique. Leur objectif est simple : sensibiliser et demander l’appui de la population afin d’obtenir de meilleurs salaires et conditions de travail pour qu’enfin, leur métier soit reconnu à sa juste valeur.
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Conférence sur la question nationale : Où en est le nationalisme québécois en 2018?
Le 14 février, dans le cadre des MIDI CSN, se tiendra une conférence intitulée la question nationale au Québec : perspectives politiques et économiques, où en est le nationalisme québécois en 2018? Trois invité-es en débattront : • Geneviève Baril, directrice générale de l’Institut de recherche sur l’autodétermination des peuples et les indépendances nationales (IRAI) : L’autodétermination des peuples, une nouvelle façon d’envisager le nationalisme • Jean-Martin Aussant, directeur général du Chantier de l’économie sociale : Nationalisme et entrepreneuriat collectif • Jacques Létourneau, président de la CSN : Le nationalisme québécois et le syndicalisme de la CSN. De 12 h à 13 h 30, salles multi (1610-1620) au siège social de la CSN, 1601, avenue De Lorimier, Montréal. Pour s’inscrire: librairie@csn.qc.ca. Apportez votre lunch.
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Réforme Barrette : Il est temps de cesser de brimer les droits du personnel
Trois ans après l’adoption sous bâillon du projet de loi 10 par le gouvernement Couillard, les effets néfastes de la réforme Barrette sur le personnel du réseau de la santé et des services sociaux continuent de se faire sentir. Cette réforme qui désorganise le réseau s’en prend directement aux conditions de travail du personnel. Pour la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN), les négociations locales en cours doivent permettre de changer de cap et d’améliorer les conditions de travail pour mieux répondre aux besoins de la population. C’est le 6 février 2015 que le gouvernement Couillard adoptait sous le bâillon le projet de loi 10 qui entraînait la création des mégastructures que sont les CISSS et CIUSSS. Trois ans plus tard, la réorganisation est loin d’être complétée et le bilan de cette réforme est sombre. L’actualité de la dernière semaine a mis en lumière l’ampleur de l’épuisement du personnel.
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Épuisement du personnel en soins : la CSQ met des solutions sur la table.
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Urgences-santé : Nouvelle grève de deux jours des 210 répartiteurs, répartitrices et employé-es de bureau
Leur convention collective étant échue depuis le 31 mars 2015, 210 répartiteurs, répartitrices et employé-es de bureau du centre d’appels d’Urgences-santé ont pour la deuxième fois déclenché la grève le 1er et le 2 février. Ils dénoncent l’absence de volonté de la Corporation d’Urgences-santé de régler leur contrat de travail de même que de nombreux reculs dans leurs conditions de travail. «Absolument rien ne justifie une attente de 34 mois sans convention collective. On veut un règlement rapide, mais pas à n’importe quel prix. Et surtout pas au détriment de la parité de nos conditions de travail avec celles des autres employés de l’état québécois ou avec celles de nos collègues ambulanciers-paramédics et employés de soutien d’Urgences-santé qui ont récemment conclu des ententes avec l’employeur», lance Martin Joly, président du Syndicat des employé-es d’Urgences-santé (SEUS–CSN), affilié à la FSSS–CSN.
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Retrait des optométristes de la RAMQ : le gouvernement et les optométristes doivent trouver une solution rapidement
L’Association québécoise des retraité(e)s des secteurs public et parapublic (AQRP) et l’Association des retraitées et retraités de l’éducation et des autres services publics du Québec (AREQ-CSQ) invitent le gouvernement à retourner immédiatement à la table de négociation avec l’Association des optométristes du Québec (AOQ) afin de s’entendre sur le renouvellement de l’entente de tarification des examens remboursés par la RAMQ. «On doit absolument éviter le retrait de la couverture de ce service essentiel pour les aînés le 10 mars prochain et c’est pourquoi nous invitons les deux parties à trouver une solution, et ce, rapidement. Un examen de la vue n’est pas un luxe, mais une nécessité pour plusieurs d’entre nous. C’est dans l’intérêt de la population aînée du Québec de trouver un accord commun», demande Donald Tremblay, président de l’AQRP.
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Modifications au RQAP : Des mesures qui doivent s’inscrire dans un plan global
La CSN accueille avec une certaine prudence l’annonce du gouvernement faite la semaine dernière pour rendre le Régime québécois d’assurance parentale (RQAP) plus flexible, tout en apportant certains bémols. «Il faudra s’assurer que les employeurs et les employé-es concernés seront d’accord lorsqu’il y aura modification des modalités de prises de congé, souligne la vice-présidente de la CSN, Véronique De Sève. Les mentalités ont beaucoup évolué depuis une dizaine d’années. Aujourd’hui, tant les employeurs que les syndicats sont en accord avec l’importance de préserver ce joyau essentiel à une meilleure égalité entre les femmes et les hommes. Nous demandons au ministre de la Famille Luc Fortin, également président du comité ministériel sur la conciliation famille-travail-études, de poursuivre dans ce sens et d’éviter de modifier le régime à la pièce, sans vision globale.»
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Rentrée parlementaire : Le gouvernement doit enfin livrer la marchandise, selon la CSQ
À l’aube de la rentrée parlementaire, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) presse le gouvernement de concrétiser des dossiers majeurs pour la population avant les prochaines élections. D’entrée de jeu, la présidente de la CSQ, Louise Chabot, réclame que la ministre Dominique Vien procède à la refonte des normes du travail promise depuis trop longtemps. De plus, la Centrale est toujours en attente d’une loi-cadre sur la conciliation famille-travail-études. «Ce sont là deux dossiers qui préoccupent grandement les travailleuses et travailleurs du Québec, avec raison», souligne Louise Chabot.
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Fermeture de GE La Prairie : Les salarié-es de GE Power reçoivent un appui unanime du conseil municipal
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Un outil pour mieux enseigner lancé par le réseau du l’UQ
Faire un plan de cours, savoir s’adresser à une classe de plusieurs centaines d’élèves, évaluer les apprentissages… Spécialistes dans leurs domaines, les professeurs d’université sont souvent peu outillés en matière de pédagogie universitaire. Des compétences qu’il sera maintenant possible d’acquérir plus facilement, grâce à la nouvelle plateforme d’autoformation Enseigner à l’université, lancée par le réseau de l’Université du Québec (UQ) en décembre dernier. «Lorsqu’on arrive comme infirmière dans le monde de l’enseignement, on n’a pas toutes les connaissances pédagogiques dans notre boîte à outils», raconte Lise Chamberland, aujourd’hui professeure au département des sciences infirmières à l’Université du Québec à Rimouski. La professeure, qui a fait partie de l’équipe des 30 testeurs de la plateforme, aurait bien aimé que celle-ci existe lors de ses premières charges de cours en 2005.
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
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Sous-emploi des titulaires de doctorat : un mal pour la recherche
Les données révélées par l’enquête du Conseil de recherche en sciences humaines devraient apporter un éclairage précieux sur l’augmentation récente du nombre de titulaires de doctorat sous–employés dans les universités canadiennes. Pour les titulaires de doctorat qui choisissent une carrière en recherche plutôt qu’un poste dans la fonction publique ou dans le secteur privé, la vie a bien changé. Jadis, la voie à suivre pour faire carrière dans le milieu universitaire était claire et simple : mener à bien un programme de doctorat pendant quatre ou cinq ans, faire des études postdoctorales, être chargé de cours à temps partiel, occuper peut‑être un poste ou deux doté pour une durée déterminée, puis obtenir, enfin, un poste menant à la permanence. Le système continue de présenter des défis importants pour les étudiants ayant récemment obtenu leur doctorat, pour le renouvellement du milieu universitaire ainsi que pour les possibilités de recherche futures du Canada, mais cette époque est révolue.
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eCampus : encore au stade primaire
D’ici l’été prochain, une plateforme en ligne offrant des cours virtuels pourrait voir le jour dans les cégeps et les universités de Québec. Nommé eCampus, ce projet pourrait devenir un campus collaboratif partout dans la province. Par contre, la mise sur pied de la plateforme semble encore bien loin. Ce projet est une initiative du ministère de l’Enseignement supérieur, qui travaille en étroite collaboration avec le Bureau de coopération interuniversitaire (BCI). Afin de mettre en place la plateforme eCampus, le bureau « travaille en ce moment à former [des] comités à partir des membres de nos réseaux ». Ce même travail se fera au niveau collégial au cours des prochaines semaines, lorsque les comités auront été formés, explique Chantal Payette, adjointe à la direction générale au BCI.
Lire la suite du texte d’Impact campus.
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Relations profs-étudiants : l'Université de Montréal fait son mea culpa
L'Université de Montréal reconnaît avoir toléré, faute de balises adéquates, des comportements « inacceptables » du professeur Jean Larose, parti à la retraite en 2011 à la suite d'une plainte pour attouchements et harcèlement sexuels qui a été rejetée. Un cas qui illustre, selon le recteur, les limites d'un processus disciplinaire « long, opaque, complexe », qui doit être changé.
Lire la suite du texte de La Presse.
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Thomas Mulcair enseignera à l'Université de Montréal
«Les gens disent qu'en politique, il ne faut jamais dire jamais, mais je vous le dis : jamais ! Je ne me représenterai plus jamais en politique.» Près de 25 ans après avoir été élu député provincial de Chomedey, Thomas Mulcair quitte la vie politique. À la fin de la session parlementaire, au printemps prochain, le député d'Outremont et ancien chef du Nouveau Parti démocratique (NPD) laissera son siège à la Chambre des communes pour aller enseigner à l'Université de Montréal. M. Mulcair y a accepté un poste de professeur invité au département de science politique.
Lire la suite du texte de La Presse.
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Les étudiants étrangers se sentent trahis par les universités albertaines
Le Conseil des étudiants universitaires de l'Alberta (Council of Alberta University Students) estime que les étudiants étrangers sont exploités financièrement par les universités de la province. Dans un récent rapport, le conseil dénote les nombreuses difficultés qu’éprouvent les étudiants notamment en matière de logement, d’emploi et de financement. Selon les données du rapport, depuis 2010 les droits de scolarité ont augmenté de plus de 17 % pour les étudiants internationaux comparativement à 4,4 % pour les étudiants albertains.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Vancouver vient recruter des professeurs à Montréal
Frappée de plein fouet par une grave pénurie d’enseignants, la commission scolaire de Vancouver se tourne vers Montréal dans l’espoir de recruter des diplômés en éducation. Elle offre une prime de 1500 $ à quiconque vient d’une autre province, y compris le Québec, pour enseigner en Colombie-Britannique.
Lire la suite du texte du Devoir.
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La solution pour l’itinérance? Plus de logements, moins d’austérité
Il y a trois ans, Montréal se prêtait pour la première fois au dénombrement des sans-abri présents sur son territoire. Des centaines de bénévoles ont alors arpenté les rues pour interroger ceux et celles qui dormaient dehors à propos de leur situation. L’exercice, bien qu’imparfait, a permis de mettre un chiffre sur une réalité complexe, un chiffre qui peut ensuite servir de référence pour tracer son évolution. L’an prochain, on reprendra en effet le compte. Par contre, comme ce travail n’a commencé qu’en 2015, il est difficile de voir l’effet réel et complet de l’austérité sur l’itinérance dans la métropole. Voilà qui est dommage car, comme le démontre un article du British Medical Journal (BMJ) qui s’est penché sur le cas du Royaume-Uni, il y a un lien direct entre les politiques de «rigueur» budgétaire et l’augmentation de l’itinérance.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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La Ville de Montréal poursuivie pour l'utilisation d'une «force démesurée» lors d'une intervention policière
La famille de Pierre Coriolan, qui est mort à la suite d'une intervention du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) le 27 juin 2017 en soirée, rend publique une vidéo tournée par un voisin et annonce le dépôt d'une poursuite au civil contre la Ville de Montréal. La vidéo captée par un téléphone montre les dernières minutes de l’intervention policière qui s’est déroulée dans un couloir de l’immeuble où habitait M. Coriolan, un Noir de 58 ans qui était en crise lorsque les agents du SPVM ont ouvert le feu sur lui.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
Une maison pour les sans-abri. La face cachée de L’Itinéraire.
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L’exportation d’électricité devra être collaborative ou ne sera pas
Les derniers jours ont été mouvementés chez Hydro-Québec. Après avoir annoncé qu’ elle remportait le plus gros contrat de son histoire au Massachusetts grâce à la construction de la ligne Northern Pass Transmission (NPT), voilà que nous apprenons que le comité de sélection de sites du New Hampshire refuse le projet. Évidemment, Eversource, le promoteur américain et partenaire d’Hydro-Québec dans ce dossier, aura d’autres recours et l’on peut supposer que le projet n’est pas pour autant annulé. Cependant, ce refus unanime des commissaires du New Hampshire soulève des questions importantes quant à l’avenir de la transition énergétique nord-américaine. Hydro-Québec pourrait être appelée à y jouer un rôle important dans cette transition, tout comme elle pourrait y perdre des plumes. Pour bien comprendre la situation, je ferai le portrait de trois acteurs impliqués dans ce dossier afin de vérifier qui est avantagé par le projet NPT.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Aidez l'IRIS à financer son livre sur le bilan des 15 ans au pouvoir du Parti libéral du Québec
À moins d’un an des prochaines élections québécoises, l’IRIS démarre un nouveau projet : faire un portrait global de la transformation socioéconomique du Québec après 15 ans de règne libéral. Diffusé en août 2018, sous la forme d’un petit livre choc, l’IRIS souhaite que ce bilan se retrouve chez tous ceux et celles qui veulent s'équiper afin de décrire et critiquer de façon rigoureuse et accessible le Québec brisé que lègue le PLQ.
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Soirée de la LDL sur le racisme systémique le 13 février
La Ligue des droits et libertés tiendra une soirée sur le racisme systémique et son impact sur la réalisation des droits le mardi 13 février, de 18h30 à 20h30, à la Station Ho.st, 1494 Ontario Est, à Montréal. Le gouvernement a d’abord annoncé une commission sur la discrimination systémique et le racisme, pour finalement faire marche arrière et appelé à une commission sur l’emploi et la diversité. Puis, nous avons assisté aux nombreux échanges sur la possibilité d’une journée sur l’islamophobie. Pourquoi une telle réticence à parler de racisme systémique ou d’islamophobie? Qu’est-ce que la race et le racisme? Est-ce possible d’avoir des comportements racistes sans le savoir? Quel est l’impact du racisme sur les droits des personnes racisées? Que pouvons-nous faire pour lutter contre le racisme? Nous aborderons toutes ces questions lors de cette soirée militante et partagerons avec vous nos réflexions sur cette question de l’heure. Les discussions seront suivies d’un moment d’échanges informels. Pour informations: info@liguedesdroits.ca ou 514-849-7717, poste 21.
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Rassemblement communautaire pour commémorer les vie des femmes disparues et assassinées le 14 février
En ce jour de Saint-Valentin, la campagne «Missing Justice» vous invite à un rassemblement à 18h, au Native Friendship Centre, 2001 boul. Saint-Laurent, à Montréal, pour honorer les vies des femmes, des personnes bispirituelles et des personnes non-binaires qui ont disparu, victimes de violences sexistes et racistes. Lors de la 9e édition de cet événement annuel, nous présenterons des performances de Nina et Sierra Segalowitz, des Buffalo Hat Singers, de Marie-Josée Tremblay et d’autres encore. Il sera également possible pour les personnes présentes de partager leurs chansons, histoires, danses, poèmes ou n’importe quelle forme d’expression pour honorer celles et ceux qui ont disparu. Du thé, des sucreries ainsi que du pain bannick seront servis sur place.
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