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Mon esprit étant entièrement occupé par le choix difficile de la prochaine rectrice ou du prochain recteur de l’UQAM, l’Entre vous et moi fait relâche cette semaine.
Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ
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La liste des chargées et chargés de cours qui seront consultés pour la nomination au rectorat
L’article 17 du règlement no 3 de l’UQAM précise que les personnes à consulter pour la nomination d’une rectrice ou d’un recteur sont les professeures, professeurs à temps complet et à demi temps, incluant les professeures sous octroi, professeurs sous octroi, et les maîtres de langue; les cadres de l'Université, incluant les vice-rectrices, vice-recteurs; les membres du Conseil et de la Commission; et une chargée de cours, un chargé de cours pour chacun des départements et chacune des Facultés de l'Université, désigné par les chargées de cours, chargés de cours des unités en cause. Dans le cadre de la course actuelle au rectorat, le comité exécutif du SCCUQ a dû confectionner cette liste de chargées et chargés de cours un peu à la dernière minute. Nous l’avons établie en nous basant sur des critères d’ancienneté (liste de pointage) et de représentation syndicale, parmi les personnes ayant enseigné à l’hiver 2017 ou à l’automne 2016. Les syndicats et les associations étudiantes sont également consultés.
Voici la liste des chargées et chargés de cours qui seront consultés.
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Prochaine date de dépôt pour les projets d’intégration : le 5 mai
La prochaine date de dépôt pour les projets d’intégration (plan annuel) est le vendredi 5 mai. La trousse d’informations sur les projets d’intégration et le formulaire pour faire une demande de projet d’intégration sont mis à jour. Nous vous invitons à utiliser ces nouvelles versions pour transmettre par courriel votre projet auprès du Comité de liaison local (CLL) de votre unité afin qu’il soit étudié et approuvé. Votre CLL assurera la transmission des projets en 8 exemplaires auprès du Comité de liaison institutionnel (CLI), et ce pour le 19 mai.
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Deuxième rencontre de préparation des États généraux de l’enseignement supérieur, le 10 mai
Afin de préparer les États généraux de l’Enseignement supérieur (ÉGES) qui auront lieu à Québec du 18 au 20 mai 2017, le SCCUQ invite ses membres à une deuxième rencontre préparatoire. Les thèmes abordés aux ÉGES porteront notamment sur le financement public de l’enseignement supérieur, les missions des réseaux en enseignement supérieur et l’accessibilité aux études supérieures. Cette rencontre aura lieu le mercredi 10 mai à partir de 12h au lieu social du Syndicat (A-R540). Étant donné qu’un lunch sera offert, vous devez confirmer votre présence à Olivier Aubry, vice-président aux relations intersyndicales (poste 6741# ou aubry.olivier@uqam.ca).
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Assemblées d’unité facultaires : Sciences humaines le 9 mai, ESG le 11 mai et Science politique et droit le 12 mai
Signe que le printemps est bien établi, les assemblées d’unité facultaires sont de retour. Les chargées et chargés de cours en Sciences humaines se rencontreront le mardi 9 mai, celles et ceux de l’École des sciences de la gestion se verront le jeudi 11 mai, les personnes chargées de cours en Science politique et droit feront de même le vendredi 12 mai. Toutes les assemblées auront lieu à 12h30 au A-R542. Étant donné qu’un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence pour ces trois rencontres auprès de Nathalie Blanchet, à blanchet.nathalie@uqam.ca ou par téléphone au poste 2791.
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Assemblées d’unité facultaires : Éducation le 16 mai et Communication le 23 mai
Les assemblées d’unité facultaires sont de retour. Les chargées et chargés de cours en Éducation se rencontreront le mardi 16 mai à 12h30 au A-R542 et celles et ceux de Communication feront de même le mardi 23 mai à 12h30 au A-R542. Étant donné qu’un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence pour ces deux rencontres auprès de Jean Régnier, à regnier.jean@uqam.ca ou par téléphone au poste 5609.
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Assemblées d’unité facultaires : Arts le 23 mai et Sciences le 25 mai
Les assemblées d’unité facultaires sont de retour. Les chargées et chargés de cours en Arts se rencontreront le mardi 23 mai à 12h30 au A-R542 et celles et ceux de Sciences feront de même le jeudi 25 mai à 12h30 au A-R542. Étant donné qu’un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence pour ces deux rencontres auprès de Mariève Ross, à ross.marie-eve@uqam.ca ou par téléphone au poste 8272.
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Naoufel Remili, Madeleine Goubau et Philippe Denis parmi les organisateurs du colloque Montréal, ville de mode?
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Montréal, ville de mode? C'est la question centrale de ce colloque (9 mai) organisé par l'École supérieure de mode (ESM) de l'ESG UQAM dans le cadre du congrès de l’ACFAS. Les participants discuteront entre autres des critères permettant de qualifier une «ville de mode», des avantages d'une telle appellation, de l'industrie de la mode à Montréal, de son histoire et de ses innovations plus récentes ainsi que de différents cas de villes et de capitales de mode dans le monde. «Montréal ne peut pas se comparer aux grandes capitales de la mode comme New York, Paris ou Londres», souligne Naoufel Remili, chargé de cours à l'ESM et l'un des responsables du colloque avec les chargés de cours Madeleine Goubau et Philippe Denis et la professeure Marie-Ève Faust, également de l'ESM. Mais, comme Tel Aviv ou Istanbul, Montréal peut être considérée comme une ville de mode, car on y trouve une industrie du vêtement et une grande créativité. «Il ne faut pas oublier qu'historiquement et culturellement, le vêtement a toujours fait partie de l'ADN de la métropole», précise le chargé de cours, sur Actualités UQAM.
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Bachir Sirois-Moumni contribue au colloque Enjeux culturels et médiatiques des phénomènes sportifs contemporains
Le chargé de cours Bachir Sirois-Moumni est un des organisateurs du colloque Enjeux culturels et médiatiques des phénomènes sportifs contemporains, présenté les 11 et 12 mai dans le cadre du congrès de l’ACFAS. Ce colloque explore les enjeux culturels et médiatiques associés aux phénomènes sportifs contemporains. En rassemblant des chercheurs issus de diverses disciplines en sciences humaines et sociales, le présent colloque abordera des thématiques émergentes dans le milieu universitaire francophone. Il vise également à cerner les spécificités du sport contemporain (champ d’études peu institutionnalisé au sein de ce milieu) et à offrir un regard critique et analytique sur ces phénomènes qui peuplent le quotidien de nombreuses personnes et qui façonnent plusieurs espaces et relations contemporains.
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Notes de passage à 58 % : une mesure acceptable, explique André-Sébastien Aubin
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Marc H. Choko revient sur les origines du Quartier latin de Montréal
Le Quartier latin de Montréal a une histoire qui remonte bien avant la construction du campus de l'UQAM dans les années 1970. Cette histoire commence au 19e siècle, autour de l'église Saint-Jacques, celle qui a donné son clocher à l'UQAM et qui a été, pendant quelques années, la cathédrale de l'évêché. «La construction de l'église Saint-Jacques traduit la volonté de la bourgeoisie catholique canadienne-française de s'installer dans ce secteur de la ville, observe le chargé de cours de l'École de design Marc H. Choko pour Actualités UQAM. Un geste correspondant à une ascension tant économique que géographique, qui entraînera la construction d'autres bâtiments prestigieux.»
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Il faut attirer les jeunes en politique avec des aspirations fondamentales, prévient André Lamoureux
Le PQ affirme que le nombre de ses membres de moins de 40 ans a grimpé ces derniers mois. Québec solidaire fait le même constat. Attention, «il faut les accrocher par des aspirations fondamentales et non pas jouer du clientélisme électoral», prévient le chargé de cours en science politique André Lamoureux à l’antenne de Radio-Canada.
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Jean-Philippe Ayotte-Beaudet préside le CA du CPE Tortue têtue et travaille à la création d’un statut de parent-étudiant à l'UQAM
Deux ans après son ouverture, le CPE Tortue têtue a procédé le 27 avril dernier à son inauguration officielle en présence des membres de son personnel et de nombreux invités. Le chargé de cours Jean-Philippe Ayotte-Beaudet, président du conseil d’administration du CPE Tortue têtue et doctorant en éducation, a conclu en réitérant la volonté du Comité de soutien aux parents étudiants (CSPE) et du CA de créer un statut de parent-étudiant à l'UQAM, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Course à trois au rectorat de l’UQAM : Corinne Gendron, Monique Brodeur et Luc-Alain Giraldeau présentent leur programme à la communauté
Il y avait presque salle comble le 26 avril pour la rencontre avec les personnes candidates au rectorat, qui avait lieu à la salle Marie-Gérin-Lajoie. Plusieurs centaines de personnes, membres du personnel et étudiants, s'étaient déplacées pour entendre Corinne Gendron, Monique Brodeur et Luc-Alain Giraldeau présenter leur vision de l'institution et leur programme pour l'UQAM. Chaque candidat bénéficiait de 15 minutes pour effectuer sa présentation, suivie d'une période de questions de 10 minutes.
Lire la suite du texte d’Actualités UQAM.
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L'horreur des méthodes de torture de la CIA racontée en bande dessinée et commentée par Élisabeth Vallet
«Ce qui me frappe vraiment dans ce livre, [...] c'est à quel point les tortionnaires n'ont aucun sens des valeurs», souligne Élisabeth Vallet, chargée de cours et directrice scientifique à l'Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand, à l’antenne de Radio-Canada, à propos de la BD The Torture Report: A Graphic Adaptation. Sid Jacobson et Ernie Colón s'inspirent des conclusions du rapport de la commission du renseignement du Sénat sur la torture de la CIA et racontent, en images, ce qui a été fait aux hommes emprisonnés et détenus sous la présidence de George W. Bush pendant la «guerre contre le terrorisme».
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On ne peut pas dire que Donald Trump est parti du bon pied, affirme Donald Cuccioletta
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Sommet sur l’éducation à la petite enfance : la CSN dit non à la commercialisation des services de garde
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Plutôt que de poursuivre le saccage des services de garde à la petite enfance en misant davantage sur les garderies commerciales pour qui la recherche de profit se fait trop souvent au détriment des services dispensés aux enfants, le gouvernement ferait mieux de corriger son tir s’il veut que le Québec puisse maintenir son offre de services de garde de qualité. C’est l’un des messages qu’entend livrer jeudi et vendredi la Confédération des syndicats nationaux (CSN) au Sommet sur l’éducation à la petite enfance organisé par l’Association québécoise des CPE et l’Institut du Nouveau Monde (INM). Le réseau des services de garde régis et subventionnés a subi des compressions majeures d’environ 300 millions de dollars depuis 2014. Parallèlement, les gouvernements libéraux successifs ont mis en place des mesures pour favoriser le développement de garderies commerciales: pour certaines, en leur accordant davantage de places à contribution réduite et, pour d’autres, non subventionnées, par la bonification substantielle du crédit d’impôt versé aux parents pour frais de garde.
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FIPEQ-CSQ : des rassemblements pour démontrer l’attachement aux CPE.
Une association patronale de CPE refuse de négocier avec 3500 syndiqué-es membres de la CSN.
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Les enseignantes et enseignants des cégeps portent toujours le flambeau
La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) souhaite rectifier l’information prétendant que les enseignantes et enseignants des cégeps délaisseraient l’enseignement à temps plein pour des libérations qui allègeraient leur tâche. Pour la fédération, l’information est le reflet de la méconnaissance du travail d’enseignantes et enseignants. En enseignement supérieur, la tâche enseignante est beaucoup plus large que la seule prestation de cours, qui inclut la préparation, l’évaluation et l’encadrement. C’est pourquoi il faut libérer des enseignantes et des enseignants d’une partie de leur prestation de cours pour effectuer les autres tâches. Ils ne délaissent donc pas l’enseignement, mais ont à cœur d’effectuer toutes les tâches s’y rattachant.
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CSQ : les profs de cégep plus investis que jamais!
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Le SPUQO appuie unanimement la plainte de négociation de mauvaise foi déposée par son comité de négociation
Les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais ont adopté unanimement, jeudi en assemblée générale, une résolution d’appui à leur comité de négociation qui a déposé, le 21 avril dernier, une requête en vertu de l’article 53 du Code du travail demandant au Tribunal administratif du travail (TAT) de statuer sur la mauvaise foi de l’employeur dans le cadre de la négociation actuelle. «Pour la première fois de son histoire, la direction de l’UQO a confié le mandat de négocier à un cabinet d’avocats externe à l’institution. Nous sommes alors en droit de nous demander si la mauvaise foi de l’employeur est liée à la porte-parole patronale, Isabelle Carpentier-Cayen, ou au refus obstiné de Denis Harrisson, recteur de l’UQO, de donner un réel mandat à son comité de négociation pour en arriver à un règlement», de déplorer Louise Briand, présidente du SPUQO.
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Un personnel enseignant mieux outillé pour faire face aux changements
Le personnel enseignant du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Villa Maria – CSN a entériné à 93% l’entente de principe intervenue avec leur employeur lors de l’assemblée générale du 25 avril. Cette entente introduit des dispositions balisant les changements technologiques et l’utilisation de nouvelles méthodes ou techniques d’enseignement, une nouveauté dans ce secteur. Ces dispositions vont favoriser une perception plus positive des changements au collège, selon Caroline Quesnel, vice-présidente de la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec et responsable du regroupement privé. L’administration du collège s’engage par ailleurs à payer le développement professionnel et la formation des enseignantes et enseignants visés par tout changement technologique.
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1er mai, déclaration de la CSI : le monde a besoin d’une augmentation salariale
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Dans le cadre de la Journée internationale des travailleuses et des travailleurs, la Confédération syndicale internationale (CSI), dont est membre la CSN, a lancé cette déclaration. Parce que des sociétés multinationales puissantes et une poignée de personnes immensément riches dictent les règles de l’économie mondiale, les progrès que des générations de travailleuses et de travailleurs ont obtenus, célébrés le 1er mai de chaque année, subissent continuellement et systématiquement des attaques. Les gouvernements battent en retraite, se pliant aux volontés des grandes richesses et ne remplissant pas leur devoir de garantir un travail décent pour tous et d’en finir avec la pauvreté. Le nationalisme et la xénophobie érodent la solidarité à une époque où le monde est confronté à la plus grande crise de réfugiés depuis 70 ans et que les travailleurs migrants sont privés de la dignité de l’égalité de traitement.
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Vidéo de la manif du 1e mai: le travail pas à n’importe quel prix!
Coalition montréalaise du 1er mai : le travail, mais pas à n’importe quel prix!
1er mai : appauvrissement pour les travailleuses et travailleurs québécois de la construction.
La FTQ, la CSN, la CSQ et la CSD rencontrent le premier ministre Couillard.
Campagne 5-10-15 : une hausse nettement insuffisante.
Augmentation du salaire minimum du 1er mai : gouverner par la peur.
Le secteur municipal du SCFP solidaire des employés de Saint-Esprit.
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217 décès en 2016 : l’État doit agir rapidement !
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500 femmes ensemble pour le 40e anniversaire de l’Intersyndicale des femmes
L’Intersyndicale des femmes a célébré le 28 avril le 40e anniversaire de sa création. Pour l’occasion, plus de 500 femmes, issues des comités de condition féminine et des réseaux des femmes des syndicats qui la composent, se sont rassemblées. Un programme féministe était à l’horaire permettant aux participantes de connaître les luttes de l’Intersyndicale depuis sa création, en 1977. Elles ont également eu la chance d’entendre des conférencières expertes de l’analyse différenciée selon les sexes (ADS). Des syndicalistes et féministes d’expérience, dont Rosette Côté, Danièle Marchand et Monique Voisine, ont évoqué 40 années de solidarité et 40 ans de lutte pour l’égalité, titre du document produit par l’Intersyndicale pour l’occasion.
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La CSQ lève son chapeau aux 40 ans de féminisme solidaire et engagé.
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Usine Olymel : entente de principe historique mettant fin à un lock-out de près de dix ans
À l’issue d’un blitz de négociation qui a duré près de 24 heures, une entente de principe est intervenue dans la nuit du 12 au 13 avril dernier entre le Syndicat des travailleurs d’Olympia, affilié à la Confédération des syndicats nationaux (CSN), et l’entreprise Olymel, propriété de la Coop fédérée. Si elle est acceptée, cette entente mettrait fin à une saga juridique de près de dix ans. L’entente demeurera confidentielle jusqu’à ce que l’ensemble des salariés de l’usine Olymel de Saint-Simon en Montérégie puisse en disposer lors d’une assemblée générale spéciale prévue le dimanche 7 mai à Drummondville.
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Fin du lock-out : les salariés de Multi-Marques adoptent l’entente de principe
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Journée mondiale de la liberté de presse : Oui à la presse libre
La CSN appuie fièrement la campagne «Oui à la presse libre»! Oui à la protection des sources journalistiques contre la censure et la répression. Non à l’espionnage des journalistes et à la chasse aux sources. Non aux arrestations, aux fouilles et aux enquêtes abusives et arbitraires. Les lanceurs d’alerte ne jouissent d’aucune protection juridique adéquate et risquent souvent leur emploi, voire leur vie, pour révéler des informations au public. Protégeons les sources… et les journalistes! Selon le Comité pour la protection des journalistes, 1236 journalistes ont été assassinés dans le monde depuis 1990, 259 journalistes ont été emprisonnés en 2016 et 452 journalistes ont été forcés à l’exil depuis 2010. Au Québec, «l’affaire Lagacé» a mené à la Commission Chamberland sur la protection des sources journalistiques.
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Réclamez la liberté de la presse en Arabie saoudite!
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TC Transcontinental : manifestation pour dénoncer le mépris de l’employeur
Les membres du Syndicat de l’information de Transcontinental (SIT–CSN) ont tenu une manifestation mardi devant les bureaux de la direction générale de TC Transcontinental, à Montréal. Ils dénoncent l’intransigeance de leur employeur dans l’actuelle négociation pour le renouvellement de la convention collective, échue depuis le 31 août 2015. Ces journalistes et rédacteurs en chef diffusent l’information locale sur l’ensemble des plateformes (Web, médias sociaux, papier) d’une trentaine de titres publiés dans les régions de Lanaudière, de Laval et de Montréal. Au cœur de la négociation se trouve l’enjeu majeur d’une réorganisation des salles de rédaction exigée par les dirigeants de TC Transcontinental, aux prises avec une crise de ses médias régionaux. Cette réorganisation passe par un changement majeur des horaires de travail.
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«Opportunités de carrières» dans les centres d’hébergement privés? La FSSS-CSN réagit fortement aux propos de Gaétan Barrette
Le représentant du secteur des centres d’hébergement privés pour aîné-es de la FSSS-CSN n’en revient tout simplement pas des propos tenus sur les ondes de RDI par le ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, et par le président du Regroupement québécois des résidences pour aîné-es (RQRA), Yves Desjardins, concernant le manque de personnel dans les résidences privées pour personnes âgées. «Je suis resté bouche bée en les entendant parler de belles opportunités de carrières pour les préposées aux bénéficiaires, affirme-t-il. Tous deux connaissent très bien les raisons du manque de personnel dans les centres pour aînés: le salaire moyen y gravite autour de 12,80$ l’heure. Celui des préposés aux bénéficiaires se situe très souvent sous les 11$», affirme Gilles Gagné.
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Le Secteur transport scolaire de la FEESP–CSN dépose sa revendication aux 125 députés de l’Assemblée nationale
Réunis en conseil fédéral à Chicoutimi, les délégué-es de la Fédération des employées et employés de services publics–CSN (FEESP–CSN) ont manifesté jeudi matin leur appui à la revendication du Secteur transport scolaire (STS) visant à obtenir des conditions minimales d’emploi, incluant un salaire de référence. «Nous avons déposé notre revendication aux 125 député-es de l’Assemblée nationale, qui vise à ce que rapidement, le gouvernement fixe des conditions minimales d’emploi pour notre métier. Plusieurs autres domaines du travail sont ainsi couverts par différents décrets qui jettent les bases des conditions de travail dans un secteur donné, dont un salaire minimal de référence et c’est exactement ce que nous revendiquons», de souligner Stephen P. Gauley, président du Secteur transport scolaire.
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Implantation de contenus en orientation au primaire en 2017 : le ministre Proulx improvise
La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) et la Fédération des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec (FPPE-CSQ) dénoncent d’une même voix l’improvisation du ministre Proulx qui annonce que l’implantation graduelle des contenus en orientation scolaire et professionnelle se poursuivra en 2017-2018 par le déploiement des apprentissages à l’ensemble des écoles primaires. La présidente de la FSE-CSQ, Josée Scalabrini, est catégorique. «Encore une décision précipitée, sans vision globale de la grille-matières et sans consultation. Les milieux ne sont pas prêts, les enseignants ne sont pas préparés à offrir ces contenus spécialisés. On en met toujours plus sur les épaules des enseignants.»
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1000 étudiants et stagiaires à l'emploi du gouvernement du Québec se syndiquent
Plusieurs centaines, voire peut-être plus de 1000 étudiants et stagiaires à l'emploi du gouvernement du Québec seront désormais syndiqués. Ils seront intégrés à l'unité des fonctionnaires du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ), un syndicat qui n'est affilié à aucune centrale syndicale. «Effectivement, c'est plutôt rare [de trouver encore des employés à syndiquer dans la fonction publique]. Mais, à partir du moment où l'employeur utilise ces gens-là sous de faux prétextes, en disant qu'ils font juste des "jobs" allégés... Alors que dans les faits, nous, on assimile ça à des "jobs" qui sont chez nous», a plaidé au cours d'une entrevue avec La Presse canadienne, mercredi, le président général du SFPQ, Christian Daigle. Ces étudiants effectuent différentes tâches dans plusieurs ministères et organismes du gouvernement du Québec, comme la Régie des rentes, Services Québec, la Régie de l'assurance-maladie; ils travaillent à l'aide sociale, par exemple, et l'été au ministère de l'Environnement et du Développement durable.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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Loi facilitant la divulgation d’actes répréhensibles dans les organismes publics : une loi essentielle à appliquer rigoureusement
Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) voit d’un bon œil l’entrée en vigueur, le 1er mai, de la Loi facilitant la divulgation d’actes répréhensibles dans les organismes publics. Cependant, le SPGQ juge que pour qu’elle soit efficace le gouvernement devrait donner plus de moyens aux victimes de représailles. «Le SPGQ salue le fait que le gouvernement ait appliqué notre proposition essentielle d’inverser le fardeau de la preuve pour les divulgateurs victimes de représailles», explique le président du SPGQ, Richard Perron. Tel qu’il l’avait recommandé, le SPGQ a pleinement confiance au Protecteur du citoyen pour traiter ces plaintes. Mais encore faut-il que ce dernier ait les moyens nécessaires pour accomplir son travail. Lors du dernier budget provincial, un montant de seulement 1,5 million $ a été attribué à l’organisme pour qu’il puisse protéger les divulgateurs d’actes répréhensibles.
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PL 133 – Loi obligeant le port de l’uniforme par les policiers : l’image au détriment des libertés fondamentales
À la première lecture du projet de loi no 133, Loi obligeant le port de l'uniforme par les policiers et les constables spéciaux dans l'exercice de leurs fonctions, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) estime que plusieurs libertés fondamentales sont bafouées pour une simple question d'image. «En incluant ce nouveau chapitre à la Loi sur la police, qui oblige de façon générale les policiers à porter l'uniforme, le ministre de la Sécurité publique, Martin Coiteux, porte atteinte à la liberté d'association et à la liberté d'expression», estime Louise Chabot.
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Le RQIC participe aux auditions du Sénat sur l’AÉCG
Le Comité permanent du Sénat sur les Affaires étrangères et le Commerce international poursuit cette semaine son étude du projet de loi C-30 sur la mise en œuvre de l’Accord économique et commercial global (AÉCG) entre l’Union européenne et le Canada. Le Réseau québécois sur l’intégration continentale, qui représente l’ensemble des organisations syndicales du Québec ainsi que nombre d’organisations de la société civile, a obtenu une audition et y a présenté ses positions le mercredi 3 mai. Le RQIC se réjouit de pouvoir présenter son analyse cette semaine puisque les travaux du Sénat constituent la dernière étape avant l’entrée en vigueur de l’AÉCG prévue pour le 1er juillet, laquelle demeure conditionnelle à l’adoption de l’entente par la quarantaine de législations européennes concernée.
Lire la suite.
Déboulonnons les mythes à propos de l’AÉCG.
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Un important colloque pour les 35 ans du Rapport Jean, le 9 mai
Un important colloque sur le Rapport Jean aura lieu le mardi 9 mai à Montréal dans le cadre de l'ACFAS. Pierre Doray et Daniel Baril, respectivement, président et directeur général de l'ICÉA, seront du nombre des panélistes. Le colloque sera présidé par madame Michèle Stanton-Jean, qui présidait la Commission d'étude sur la formation des adultes.
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Par-delà le Printemps érable : Arnaud Theurillat-Cloutier narre une histoire «engagée» du mouvement étudiant québécois
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En 2012, le leader étudiant le plus radical de la lutte contre la hausse des droits de scolarité, Gabriel Nadeau-Dubois, qui aujourd’hui entend succéder comme député à Françoise David, affirma vouloir marcher «bien au-delà de cette grève, afin qu’un jour le peuple du Québec reprenne aux affairistes et à l’argent les rênes de ce pays». Arnaud Theurillat-Cloutier anime Printemps de force, son portrait de la jeunesse progressiste, d’un souffle semblable. Il n’hésite pas à présenter l’ouvrage comme «une histoire engagée du mouvement étudiant au Québec (1958-2013)» et à le dédier à ceux et celles qui militent pour «le droit à une éducation émancipatrice, libre et gratuite». Maintenant professeur de philosophie, il a pris part aux luttes entre 2005 et 2012. Il sait par expérience de quoi il traite. On le croit lorsqu’il soutient qu’il s’agit du «mouvement social le plus dynamique du Québec, si ce n’est du Canada et des États-Unis réunis».
Lire la suite du texte du Devoir.
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Universités : une loi pour discipliner les dirigeants
Québec déposera un projet de loi cet automne pour faire le ménage dans les conditions de rémunération des recteurs et des autres dirigeants des universités. Il ne se contentera finalement pas d'un simple plan d'action. Voiture de fonction, adhésion à des clubs privés, primes de rendement: bien des avantages détenus par des recteurs «commandent des ajustements». «Sachez que nous prendrons des mesures afin d'uniformiser la croissance des salaires, les conditions d'après-mandat ainsi que les avantages périphériques», a affirmé jeudi la ministre responsable de l'Enseignement supérieur, Hélène David, lors de l'étude des crédits budgétaires à l'Assemblée nationale.
Lire la suite du texte de La Presse.
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L'UQAC en quête d'identité
Avant de reprendre son rôle de gardienne du savoir et de contribuer à la relance économique du Saguenay-Lac-Saint-Jean, l'Université du Québec à Chicoutimi devra d'abord se définir elle-même et se souvenir de sa raison d'être. Car, à travers les conflits internes qui ont bouleversé les activités de l'établissement au cours des dernières années, l'UQAC semble être devenue une structure sans âme, ulcérée par des forces divergentes qui peinent à se rallier autour d'une même cause. À plusieurs égards, l'actuelle course au rectorat est d'ailleurs le reflet saisissant de cette quête d'identité.
Lire la suite de l’éditorial du Quotidien.
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Québec tarde à serrer la vis aux futurs profs en enseignement
Même si les universités réclament des changements depuis plus d’un an, aucune nouvelle mesure ne sera en place à la rentrée 2017 afin que les futurs enseignants maîtrisent mieux le français. L’Association des doyens et directeurs pour l’étude et la recherche en éducation au Québec (ADEREQ) demande depuis plus d’un an à Québec de restreindre le nombre de reprises autorisées pour le Test de certification en français écrit pour l’enseignement (TECFEE), que les étudiants doivent réussir pour obtenir l’autorisation d’enseigner. Présentement, le nombre de reprises de l’examen est illimité alors que les universités aimeraient le réduire à un maximum de quatre passations.
Lire la suite du texte du Journal de Montréal.
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Stages non rémunérés : une zone grise de la légalité et de l'éthique
Travailler sans être payé: c'est la réalité de près de 300 000 jeunes au Canada, qui sont embauchés pour des stages non rémunérés. « Si la personne fait un travail, elle devrait être payée », explique Me Félix-Antoine Michaud. Mais même si la loi semble claire, beaucoup de cas tombent dans une zone grise, comme lorsque le stage est crédité. Jusqu'à tout récemment, les internats en psychologie étaient rémunérés partout au Canada, sauf au Québec, explique Fannie Carrier Émond, qui a participé à la lutte pour que ces stages soient compensés financièrement – une lutte qui a porté fruit en 2016, après une grève de quatre mois. La situation est similaire pour les étudiants en enseignement. Julie Taillon, qui a étudié en enseignement de l'éducation physique et de la santé à l'Université de Sherbrooke, a dû faire quatre stages non rémunérés pour obtenir son diplôme, passant d'un stage d'observation à une charge complète d'enseignement.
Lire la suite du texte et écouter l’audio fil de Radio-Canada.
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Sophie D'Amours devient la première rectrice de l'Université Laval
L'Université Laval aura une femme à la tête de sa direction pour la première fois de son histoire. Sophie D'Amours a été élue rectrice, dès le premier tour du scrutin, pour succéder à Denis Brière. La professeure titulaire au Département de génie mécanique a obtenu 50,7% des votes des membres du collège électoral, pour devenir la 26e personne à diriger l'Université Laval. Son plus proche rival, l'actuel vice-recteur Éric Bauce, a récolté 42,1% des voix. Sur les 145 membres du comité électoral qui avaient le droit de vote, 5 ne se sont pas prononcés. Mme D'Amours, qui a notamment été vice-rectrice à la recherche et à la création de l'université en 2012, avait démissionné de l'administration Brière à l'été 2015.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Des élèves autochtones privés de diplôme d'études secondaires
Depuis juin 2013, aucun des jeunes ayant terminé leur 5e secondaire dans une école de la Commission scolaire de Kativik, dans le nord du Québec, n’a pu obtenir de diplôme d’études secondaires. La commission scolaire confirme que des centaines d’élèves ont dû se rabattre sur une attestation d’équivalence en raison d’un manquement envers les exigences ministérielles. «C’est sûr que le diplôme d’études secondaires, c’est la vraie affaire: c’est un papier qui est reconnu à travers la province, c’est plus avantageux et c’est ce qu’on souhaiterait avoir pour nos finissants», soutient Jade Bernier, responsable des communications pour la Commission scolaire Kativik, en entrevue au Devoir vendredi.
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150 conversations en marche : des visites guidées et gratuites proposées par et pour les citoyens
Vous êtes un passionné de Montréal? Partagez vos connaissances sur la ville, découvrez ses quartiers en joignant l’utile à l’agréable. Organisez une promenade de Jane ou participez à une promenade déjà organisée les 5, 6 et 7 mai 2017.
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Distribution géographique de la santé : là où vous vivez peut vous tuer, conférence le 11 mai
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Les Grandes conférences Paul-Bernard vous offrent de nouveau l'occasion de venir entendre une conférencière de haut niveau sur les enjeux entourant les inégalités sociales de santé à l'échelle internationale. Il sera question de la géographie des inégalités de santé le jeudi 11 mai de 12h à 13h, à l’amphithéâtre du Pavillon Lafontaine, 1301, rue Sherboorke Est, Montréal, avec Clare Bambra, professeure de santé publique à l'Institute for Health and Society de l'Université de Newcastle, en Grande-Bretagne, dont les recherches portent sur les déterminants politiques, sociaux et économiques de la santé ainsi que sur les mécanismes par lesquels les politiques et les interventions publiques peuvent réduire les inégalités de santé. Par une foule de données internationales, historiques et contemporaines, elle démontrera comment et pourquoi la géographie est une question de vie ou de mort. Vous devez vous inscrire, mais la conférence est gratuite.
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Conférence-discussion : Un salaire pour le travail gratuit, perspective révolutionnaire, le 18 mai
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Une conférence-discussion sur le thème Un salaire pour le travail gratuit, perspective révolutionnaire se déroulera le jeudi 18 mai, à 19h au Vivoir (local B-2210) du Collège de Maisonneuve, (entrée libre). Avec Silvia Federici, militante et auteure de Salaire contre le travail ménager et organisée par les CUTE Campagne sur le travail étudiant. Silvia Federici, figure de proue de la campagne Du salaire au travail ménager (Wages for Housework), défend depuis les années 1970 l’importance de lutter pour la rémunération du travail des femmes. Cette stratégie féministe vise à mettre fin à l’association entre femmes et travail gratuit et, par le fait même, exacerber les contradictions du capitalisme. Cette campagne internationale a lancé du même coup une lutte générale pour la reconnaissance du travail gratuit, notamment celui des ménagères, des étudiantes et étudiants, des travailleuses du sexe et des travailleuses et travailleurs migrants.
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Occupations simultanées pour le droit au logement du 22 mai au 30 juin
À partir du 22 mai, à 8h, c’est sur le thème «du logement social ici!» que les groupes membres du FRAPRU déclencheront simultanément des occupations de bâtiments et de terrains dans plusieurs villes et quartiers, à travers le Québec, pour obtenir la pleine reconnaissance du droit au logement pour toutes et pour tous, pour accroître la pression sur les gouvernements afin qu’ils financent un nombre beaucoup plus significatif de logements sociaux échappant à la logique du profit et pour montrer qu’il ne manque pas de lieux où réaliser de nouveaux logements sociaux.
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Diversité d'Abord : une journée de formation et de réflexion sur le racisme dans le secteur communautaire, le 24 mai
Depuis janvier, le Centre des organismes communautaires (COCo) s’est engagé dans un projet de recherche de fond sur la race et le racisme au sein du secteur communautaire québécois. Lors de notre forum Diversité D’Abord, le mercredi 24 mai, de 11h à 20h, au Centre for Community Organizations, 3680 rue Jeanne-Mance, à Montréal, le COCo partagera les résultats préliminaires de cette recherche, offrant des formations interactives pour les travailleurs, travailleuses et bénévoles du secteur communautaire sur les questions clés découlant de nos recherches. La journée se terminera avec un panel célébrant le leadership des femmes noires dans le secteur. L’entrée est libre, mais vous devez vous inscrire.
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Colloque le 2 juin : réalité des parents-étudiants, quel bilan pour le Québec?
Le Comité de soutien aux parents-étudiants de l’UQAM (CSPE-UQAM) vous invite à son premier colloque sur la réalité des parents-étudiants le vendredi 2 juin, de 9h30 à 17h au local D-R200. Toutes les personnes, associations ou organisations ayant à cœur les parents-étudiants sont les bienvenues. La directrice générale de la Fédération des associations de familles monoparentales et recomposées du Québec (FAFMRQ), Sylvie Lévesque, y prononcera une conférence intitulée Études et monoparentalité: trop de devoirs? Pour participer, vous devez réserver votre place en envoyant un courriel à colloque@cspeuqam.ca et préciser si vous avez besoin de la halte-garderie.
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Revenu minimum : l'Ontario fait monter les enchères
L’Ontario a annoncé le 24 avril dernier les paramètres d’un projet pilote sur le revenu de base qui doit commencer dès la fin de ce printemps. De son côté, le Comité d’experts sur le revenu minimum garanti mandaté par le gouvernement du Québec doit rendre son rapport d’ici l’été. Voyons comment l’annonce faite en Ontario vient augmenter les enchères quant aux recommandations attendues de ce comité pour le revenu minimum à garantir au Québec.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Libre-échange : ni pour, ni contre, bien au contraire
Après avoir quelque peu déserté les manchettes au cours des dernières années, l’enjeu du libre-échange a repris le devant de la scène depuis l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux États-Unis. La victoire du camp du Brexit au référendum de juin 2016 en Angleterre et, plus récemment, l’éventualité d’une victoire du Front national à l’élection présidentielle française ont également contribué à ramener ce débat au premier plan.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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François Blais et ses réformes de l’aide sociale : l’art de sous-estimer les impacts sur les personnes
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Le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, a visiblement tendance à sous-estimer l’impact de ses réformes de l’aide sociale sur les personnes assistées sociales. «Soit le ministre manipule volontairement les chiffres pour mieux faire passer la pilule, soit il fait preuve d’incompétence», fulmine Serge Petitclerc, porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté. Les statistiques publiées par La Presse le 3 mai nous révèlent que le gouvernement a systématiquement sous-évalué, à une exception près, le nombre de personnes assistées sociales qui allaient être touchées par les mesures mises en place par la réforme de 2015, comme la limitation de la durée des séjours à l’extérieur du Québec, la coupe de la prestation d’aide sociale pour les personnes en centre de désintoxication ou la prise en compte de la valeur de la maison pour établir le montant de la prestation.
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Engagez-vous pour un salaire minimum à 15$/h
La campagne Engagez-vous pour le communautaire, qui réunit les quelque 4000 organismes d’action communautaire autonome, témoigne de son appui à la revendication pour un salaire minimum à 15$/heure. Cet appui se veut en concordance directe avec le travail des organismes d’action communautaire autonome qui, de diverses façons, viennent en aide aux personnes les plus vulnérables de notre société et cherchent à atténuer les effets destructeurs de la pauvreté dans les communautés.
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Projet d’aménagement de l’îlot central du Technopôle Angus : un défi de taille
Le projet à vocation mixte proposé par la SDA se présente ni plus ni moins comme la pièce maîtresse de la requalification du Technopôle Angus dans le quartier de Rosemont. En effet, au cours des dernières années, la SDA a articulé un projet immobilier conçu comme un lieu innovant qui saura attirer entreprises d’économie sociale, ménages à faibles et moyens revenus, organismes culturels, commerces de proximité et jeunes familles en moyen d’avoir accès à la propriété abordable. À certains égards, on peut reconnaître que ce projet d’envergure est exemplaire, compte tenu de sa proposition de requalification urbaine, au plan de sa densité, de sa mixité d’usage et de son concept d’aménagement d’espaces publics. Le défi reste toutefois de taille. À terme, ce sont 400 logements qui y seront construits, dont 20% seront dédiées à du logement social et communautaire; c’est la construction d’espaces de bureaux pouvant recevoir plus de 1500 nouveaux travailleurs. Bien que proposant un projet immobilier complexe (une quinzaine de bâtiments totalisant quelques 925 000 pi2 de plancher construit), la SDA fait le pari de réaliser un éco-quartier qui saura s’intégrer au tissu urbain avoisinant, pour les gens qui y vivront et/ou y travailleront.
Lire la suite du mémoire de Je protège mon école publique.
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État de situation des projets de logement sociaux destinés aux sans-abri à Montréal
Le 20 avril, le RAPSIM a présenté les résultats de ce projet visant à cerner les besoins des populations ayant plus difficilement accès à un logement social devant membres, partenaires et éluEs. À la suite de discussions avec les organismes membres siégeant sur son comité logement, de même qu’avec d’autres groupes ne gérant pas de logements sociaux avec soutien communautaire, le RAPSIM s’est posé les questions suivantes: quel est le portrait des logements et des pratiques dans les projets s’adressant aux personnes qui ont connu la rue? Est-ce que certaines populations ont plus difficilement accès à ces logements? Si oui, comment notre milieu pourrait améliorer l’accès de ces personnes à un logement ?
Pour télécharger l'État de situation des projets de logements sociaux destinés aux sans-abri à Montréal.
Les seringues souillées témoins de la toxicomanie montréalaise.
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Mettre fin à l’incertitude face au Budget : 80M$ ou 25M$ pour les organismes communautaires en santé et services sociaux?
Alors que Québec annonçait que 80 millions $ seraient ajoutés au budget du Programme de soutien aux organismes communautaires (PSOC) d’ici 2022, des informations provenant de différentes sources mentionnent qu’il s’agirait plutôt de 25 millions $. Si cela s’avère, cela signifierait la fin d’un acquis historique, puisque les nouvelles sommes ne s’ajouteraient pas aux montants de l’année précédente. Ainsi, le 10M$ annoncé comme investissement cette année serait simplement reconduit, selon une comptabilité créative, l’année suivante et ainsi de suite, jusqu’à l’an 5 (avec ajout de 5M$ par année, à partir de la 3e année). Au final, l’enveloppe ne serait bonifiée que de 25M$. «Le montant de 80M$ était déjà très insuffisant pour répondre aux besoins des 3000 organismes communautaires qui comptent sur ce programme pour réaliser leur mission globale, souligne Mercédez Roberge, coordonnatrice de la Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles. Les groupes réclament, dès cette année, l’ajout de 355M$, alors un ajout de 25M$ serait carrément insultant».
Lire la suite.
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Les éléments pour le développement d'une économie biosourcée : une définition, une vision
La transition énergétique et écologique de l’économie passe par la réduction de la production et de l’utilisation des énergies fossiles. Les plus optimistes pensent même possible l’élimination quasi totale du recours à ces sources d’énergie d’ici quelques décennies. Cela ne veut pas dire que les molécules issues du pétrole et de ses dérivés disparaitront de l’usage, mais qu’elles cesseront d’être utilisées à des fins énergétiques. Cela signifie très certainement, cependant, qu’à une économie du pétrole doit succéder une économie dont la base énergétique sera celle des énergies renouvelables. Dans ce contexte, la question du choix des sources énergétiques renouvelables de remplacement doit être envisagée dans une problématique large, car le choix de ces sources, les diverses combinaisons possibles de leur exploitation, renvoie à des conceptions de la structure économique à mettre en place. La substitution des énergies n’a pas d’avantages significatifs, sur le plan du climat, si elle ne fait que déplacer la consommation et la production vers d’autres parties du globe, plus permissives ou moins dotées en ressources renouvelables.
Lire la note d’intervention de l’Institut de recherche en économie contemporaine.
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