Infolettre du SCCUQ – 29 septembre 2016 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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À l'agenda

L’infolettre du SCCUQ est de retour après sa pause estivale. Publiée tous les jeudis, vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.

Messages et activités du SCCUQ :

• Rapports de la négo :
- Dépôt des offres patronales globales à venir
- Des attentes et encore des attentes
- Des gains, des attentes et des différends

L’Assemblée générale du SCCUQ dénonce et rejette unanimement les offres patronales
• Mise à jour sur les procédures entreprises par le SCCUQ à la suite de la grève du SÉTUE
Réflexion sur la décentralisation des ressources

Activités reliées aux membres du SCCUQ :

2 octobre : André Pappathomas réunit 250 voix à la salle Wilfrid-Pelletier
Jusqu’au 14 octobre : Denis Rioux expose ses œuvres à la galerie Art Mûr
Jusqu’au 27 novembre : Exposition de Lisette Lemieux au Musée de Lachine
Jusqu’au 8 janvier : Exposition Le Parc olympique, une architecture à célébrer

Autres activités :

Jusqu’au 1er octobre : Festival Qui Passe Reste
Jusqu’au 2 octobre : Exposition 40 ans deboutte : l’édition féministe selon Remue-ménage
1er octobre : Assemblée ouverte du Forum social mondial
Du 2 au 9 octobre : Semaine pour l’école publique
Du 3 au 6 octobre : Semaine de prévention du harcèlement et de la culture du viol à l’UQAM
3 octobre : Quel avenir pour notre centre-ville ? : vie de quartier et développement urbain
3 octobre : Lancement de la brochure L’état des droits au Québec et au Canada
Du 7 au 17 octobre : Activités pour un salaire minimum à 15 $ l’heure
12 octobre : Conférence sur la dette québécoise et l’austérité
13 octobre : Manifestation pour le droit au logement à Ottawa
15 octobre : Rassemblement montréalais pour 15 $
20 octobre : Journée de réflexion et d’échange sur la mobilisation
21 octobre : La Nuit des sans-abri
Du 23 au 29 octobre : Semaine nationale de visibilité de l’action communautaire autonome
7 novembre : Campagne Les droits, ça se défend!, visite des députés
7 novembre : Audience publique et forum citoyen de la Commission sur l'éducation à la petite enfance
Du 7 au 9 novembre : Journées de mobilisation pour la reconnaissance et le financement du communautaire
27 novembre : Forum social Centre-Sud

 
 
Entre vous et moi

Nous avons reçu le Rapport sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire à l’UQAM cette semaine et le recteur demande à la communauté de lui faire parvenir nos commentaires d’ici le 3 novembre. Ce rapport est lourd de conséquences et le SCCUQ organisera des rencontres avec ses membres au cours des prochaines semaines pour en faire l’analyse et recueillir leurs avis. Mais nous sommes d’accord avec le SPUQ : la période de consultation est beaucoup trop courte compte tenu de l’importance des enjeux. Nous souscrivons à la demande du SPUQ à l’effet de prolonger la consultation jusqu’au printemps 2017. Après tout, c’est de l’avenir de l’UQAM dont il s’agit. Dans un autre ordre d’idée, les personnes chargées de cours ont répondu de façon claire, ferme et unanime aux offres globales (et incomplètes) de la partie patronale lors de l’Assemblée générale de mercredi. Il est évident que le temps de se tenir debout est arrivé.

Le retard de deux jours dans l’envoi de l’infolettre de la semaine dernière était hors de notre contrôle. L’hébergeur de notre site a subi une attaque informatique. En espérant que ça ne se reproduise pas.

Richard Bousquet
Vice-président à l’info du SCCUQ

 
 
SCCUQ
 
 
L’Assemblée générale du SCCUQ dénonce et rejette unanimement les offres patronales

Les membres du SCCUQ, réunis en Assemblée générale mercredi, ont unanimement adopté la résolution suivante. L’Assemblée générale du SCCUQ : • dénonce les récentes contrepropositions patronales tant monétaires que normatives; • dénonce la lenteur et les reculs des négociations; • réitère qu’elle exige un règlement assurant aux personnes chargées de cours des conditions de travail équitables, qui mettront un terme à la discrimination systémique dont elles font l’objet et reflèteront leur contribution permanente, considérable et indispensable à la vie universitaire de l’UQAM; • dénonce les refus systématiques de toutes les demandes déposées par le syndicat visant à stabiliser l’emploi; • dénonce le fait que la partie patronale persiste à défendre la discrimination au sein du corps enseignant de son institution.

Et en conséquence, l’Assemblée générale rejette à l’unanimité l’offre patronale et mandate l’équipe syndicale pour évaluer toutes les possibilités d’action pouvant mener à un règlement satisfaisant par rapport aux demandes syndicales des personnes chargées de cours de l’UQAM.

L’Assemblée générale du SCCUQ a accordé un don de solidarité d’un montant de 1000$ aux membres du Syndicat démocratique des employés de garage (SDEG-CSD) afin d’atténuer leur fardeau financier. Seulement 32 % des membres ont été rappelés au travail après 34 mois de lock-out. Elle a aussi renouvelé son partenariat avec l’Institut de recherche et d’informations socio-économique par une contribution de 750 $ et son adhésion annuelle à la Ligue des droits et libertés d’un montant de 200 $ pour l’année 2016-2017.

Plus de 60 personnes chargées de cours présentes à l’Assemblée générale se sont rendus dans la cour intérieure du pavillon Athanase-David pour scander des slogans à l'endroit de la partie patronale de l'UQAM. Pendant ce temps, une équipe de collègues distribuait des bouteilles «J'ai mon mot à dire – Reconnaissance de mes compétences» au recteur, aux vice-rectrices et vice-recteurs. Des messages liés à nos revendications et aux responsabilités de chaque vice-rectorat étaient jumelés aux bouteilles. L'opération fut un réel succès, en appui à notre Comité de négo!

 
 
Babillard des membres
 
 
Postes à pourvoir aux C. A. de la Coop UQAM et de CHOQ

L’assemblée générale annuelle de l’Association coopérative de la collectivité de l’UQAM (Coop UQAM) se tiendra le mardi 18 octobre à 12h30 au local A-M204 de l’UQAM. Lors de cette assemblée, outre la présentation du rapport du vérificateur et du rapport annuel 2015-2016, il y aura élection au conseil d’administration et un des postes à combler pour une durée de 2 ans est réservé aux personnes chargées de cours. La période de mise en candidature se termine le 13 octobre à 12h30. Tout membre qui désire présenter sa candidature doit remplir un formulaire disponible au siège social au PK-M410. Pour tout renseignement supplémentaire : 514 987-3000 poste 2664.

Le poste de représentante ou représentant des chargés de cours et des professeurs vient de s’ouvrir au Conseil d’administration de CHOQ.ca, la radio web de l’UQAM. Il sera comblé lors de l’assemblée générale de Choq.ca mardi prochain de 12h45 à 14h au A-1824. Si ce poste vous intéresse, vous n’aurez qu’à passer 5 minutes avec les membres de la radio pour vous présenter et répondre aux questions. Les membres présents à l’assemblée procéderont au vote par la suite. Implication : une présence à deux réunions par session qui durent 2 heures. Une préparation individuelle d’environ deux heures est aussi nécessaire avant d’arriver à la réunion. Durée du mandat : 2 ans.

 
 
André Pappathomas réunira sur la même scène 250 voix du monde entier

À l’occasion d’un concert unique, le compositeur André Pappathomas, chargé de cours à la Faculté des arts, réunira sur la même scène 250 voix provenant de chœurs d’Amérique latine, du Congo, de Madagascar, du Nunavut, des Philippines, de Pologne, de Roumanie, du Rwanda, de Syrie, d’Ukraine et du Québec. Intitulée Souffles, l'œuvre a été créée spécialement pour les 20 ans des Journées de la culture. Le dimanche 2 octobre de 14 h à 17 h, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Cet événement fait partie de la participation de l’UQAM aux 20es Journées de la culture.

 
 
Elisabeth Vallet publie Comprendre les élections américaines – La conquête de la Maison-Blanche
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La chargée de cours Elisabeth Vallet vient de publier Comprendre les élections américaines – La conquête de la Maison-Blanche, aux éditions Septentrion. La conquête de la Maison-Blanche est une saga qui s'étire sur de longs mois, qui absorbe des sommes astronomiques et qui remue les eaux saumâtres du passé des candidats et de leur famille. Elle est désormais suivie, un peu à la manière des Hunger Games, comme une série télévisée où seul le candidat le plus rusé, le plus connecté, le plus nanti ou le plus agressif survivra, au terme de pratiquement une année et demie de joute. Le XXIe siècle a complètement redessiné ce que sont les États-Unis: des événements de 2001 à l'avènement des Millenials (la génération Y), du bouleversement démo­graphique du pays à la résurgence des «Hommes blancs en colère», le pays est en mal d'identité. Ainsi, l'essor du Tea Party, le retour de la peur en politique intérieure dans la foulée des attentats de Boston et San Bernardino, le déclin des droits des femmes, l'augmentation des tueries de masse et la lente déliquescence du Parti républicain mettent la table pour une année électorale inédite.

 
 
Patricia Galindo da Fonseca publie Droit de la protection du consommateur au Québec et au Brésil

La chargée de cours Patricia Galindo da Fonseca vient de publier le livre Droit de la protection du consommateur au Québec et au Brésil, aux éditions IEIM. L’objectif de cette étude est de procéder à une évaluation des cadres normatifs et institutionnels instaurés en vue de protéger les intérêts des consommateurs au Québec et au Brésil. L’analyse décrit l’environnement politique et juridique ainsi que les approches idéologiques ayant conduit au développement du droit de la consommation dans les deux juridictions. Elle en identifie les traits principaux et en présente les acquis. Les contributions respectives des acteurs que sont les autorités publiques, les membres du pouvoir judiciaire et la société civile à la consolidation et la mise en œuvre effective du système de protection mis en place en faveur des consommateurs sont évaluées et comparées.

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Éclipse de l'objet : le chargé de cours Denis Rioux expose ses œuvres à la galerie Art Mûr
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Denis Rioux, chargé de cours à l'École de design, présente une exposition intitulée Éclipse de l'objet à la galerie Art Mûr (5286 rue Saint-Hubert), du 23 septembre au 14 octobre. Cette exposition a été réalisée dans le cadre de son doctorat en études et pratiques des arts. L'exposition porte sur une manière d'aborder et de représenter l'espace, la visibilité et la matérialité en photographie, en rupture avec la temporalité et en dehors de ce qui permet de nommer les choses ou les objets.

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Monde syndical
 
 
Rapport sur la décentralisation de l’UQAM : le SPUQ demande que la consultation soit étendue jusqu’au printemps 2017
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En réaction au dépôt du Rapport sur la décentralisation et à la demande du recteur que la communauté lui fasse parvenir ses commentaires d’ici le 3 novembre 2016, la présidente du SPUQ a envoyé une lettre au recteur l’informant que «nous prenons acte de ce dépôt et que nous répondrons à sa demande que la communauté réagisse aux analyses et aux recommandations qu’il contient». Le SPUQ souligne que l’intervalle qui délimite la date du dépôt du Rapport à la communauté (27 septembre 2016) à celle de la fin de la consultation (3 novembre 2016) correspond, entre autres, à la période des demandes de subventions. Il est impossible pour le corps professoral de se prononcer dans un laps de temps aussi court d’autant que les enjeux que contient le rapport sont trop importants pour être analysés et commentés en quelques semaines. Ce n’est rien de moins que de tout le fonctionnement de l’UQAM dont il est question dans ce rapport. C’est pourquoi le Comité exécutif a demandé que la consultation soit étendue jusqu’au printemps 2017 et a recommandé aux directrices et directeurs de département de faire une pareille demande au recteur par le biais des assemblées départementales et des exécutifs. Parallèlement aux réunions de ses instances régulières (Conseil exécutif, Conseil syndical), le SPUQ va organiser des rencontres (directions de département, de programmes, commissaires aux instances, etc.) pour favoriser les échanges au sein du corps professoral de même qu’il va lancer un appel à la contribution d’un SPUQ-Info sur la décentralisation et la gouvernance à l’UQAM, est-il précisé dans la lettre adressée aux membres du SPUQ.

Un rapport recommande à l'UQAM de se décentraliser.

 
 
Semaine de prévention du harcèlement et de la culture du viol: pour un climat d’étude et d’emplois sain
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Face au laxisme de l’administration de l’UQÀM en matière de lutte au harcèlement et à la culture du viol en milieu universitaire, le comité femme du Syndicat des étudiant-e-s employé-e-s (SÉTUE) présente une semaine d’activités au sein de l’université du 3 au 6 octobre. Les conférences et les ateliers sont ouverts à toutes et à tous, le corps enseignant est le bienvenu. À la suite de l’abolition du poste d’intervenante en relation d’aide spécialisée auprès des victimes d’agression sexuelle, nous profiterons de ces événements pour faire circuler une pétition pour la re-création de ce poste, que nous considérons comme impératif dans une institution comme l’UQÀM. Au programme : conférences, ateliers, projection de film, soirée non mixte et atelier d’autodéfense.

 
 
Journée nationale du personnel de soutien en éducation : le personnel de soutien présent partout, pour tous
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Dans toutes les régions du Québec, on célèbre jeudi la Journée nationale du personnel de soutien en éducation. C’est sous le thème Le personnel de soutien : présent partout, pour tous, que se tiendront les activités de la 18e édition de cette journée, instaurée en 1999 par des syndicats de la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP–CSN). Par ce nouveau thème, la FEESP–CSN souhaite rappeler que quotidiennement des milliers de femmes et d’hommes sont à pied d’œuvre pour effectuer des milliers de tâches essentielles au bon fonctionnement des milieux scolaires, collégiaux et universitaires du Québec.

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La CSQ souligne la contribution exceptionnelle de ses membres.

 
 
Manifestation au Cégep de Lévis-Lauzon : une levée de mains pour la collégialité

Les professeurs du Cégep Lévis-Lauzon profitent jeudi de la tenue du Conseil confédéral de la CSN à Lévis pour rappeler à la direction du Cégep leur souhait d’un fonctionnement collégial. Les délégué-es de la CSN sont venus manifester devant le cégep jeudi midi en appui à la campagne La main levée pour la collégialité du Syndicat des professeures et de professeurs du Cégep de Lévis-Lauzon (FNEEQ–CSN). Selon le SPPCL, depuis quelques sessions, la partie patronale s’efforce de dépeindre la collégialité comme un obstacle à l’accomplissement de la mission de l’institution pédagogique. La suspension de l’ex-président du syndicat des professeur-es et le non-respect de l’entente signée de bonne foi sont le signe de ces menaces à la collégialité.

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La paix industrielle menacée à l’Université de Montréal

Les négociations entre les quelque 225 membres du Syndicat des employés(e)s d’entretien de l’Université de Montréal et l’employeur se dégradent tellement au point où la partie patronale distribue des avis disciplinaires aux employés pour le simple port d’un tee-shirt sur lequel il est inscrit le nom du syndicat. Les principaux enjeux de cette ronde de négociation concernent le déménagement prochain d’une partie des activités du campus principal vers les nouveaux édifices de l’université actuellement en construction à Outremont. De plus, la partie patronale voudrait exclure, la première année, ses employés de ces nouvelles installations, pour confier leurs tâches à une main-d’œuvre externe (sous-traitance), ce à quoi s’opposent vivement les représentants syndicaux. De plus, le deuxième enjeu est la demande farfelue des représentants patronaux de pouvoir modifier les horaires de travail des syndiqués à 24 heures d’avis!

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Rapport de la protectrice du citoyen : la CSN appelle à une profonde réflexion sur l’avenir du réseau public de santé et de services sociaux

Les constats sévères que dresse la protectrice du citoyen, Raymonde Saint-Germain, dans son dernier rapport, en particulier en ce qui a trait à la réforme Barrette, aux soins à domicile et aux services sociaux, ne sont pas une surprise pour la CSN. L’hypercentralisation des structures, la dégradation de l’accessibilité et de la qualité des services à cause de mauvaises décisions bureaucratiques, notamment pour les plus vulnérables, sont le quotidien des 120 000 travailleuses et travailleurs du réseau public de santé et de services sociaux, membres de la CSN.

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Réforme Barrette: «nivellement par le bas», dénonce la protectrice du citoyen.

 
 
Transferts fédéraux en santé et services sociaux : la CSN dénonce la décision du gouvernement Trudeau

Pour la Confédération des syndicats nationaux, la décision du gouvernement de Justin Trudeau de réduire l’augmentation du niveau de transferts aux provinces en santé et services sociaux à seulement 3% par année à compter de 2017 constitue un recul préoccupant pour l’avenir du système public de santé et de services sociaux. «C’est une importante promesse faite aux Québécoises et aux Québécois que monsieur Trudeau brise ici en alignant sa politique sur celle défendue précédemment par le gouvernement Harper. À la CSN, nous soutiendrons activement tous les acteurs qui souhaiteront s’organiser afin d’infléchir la position du gouvernement fédéral à cet égard, réagit le vice-président de la CSN, Jean Lacharité. Lorsque les sommes investies augmentent moins rapidement que les besoins, cela mène à des compressions budgétaires sur le terrain et cela, le réseau ne peut plus en prendre, pas plus que les salarié-es.» La position du gouvernement Trudeau aurait pour conséquence de priver le Québec d’environ 9 milliards de dollars sur 10 ans.

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Surveillance des contrats publics et Autorité des marchés publics : un projet de loi inachevé

Intervenant devant la Commission des finances publiques, la CSN a expliqué en quoi le projet de loi 108 favorisant la surveillance des contrats des organismes publics et instituant l’Autorité des marchés publics manque pour le moins de mordant pour atteindre les objectifs qu’il poursuit. La CSN est la seule organisation syndicale qui intervient dans le cadre de cette commission parlementaire. «Le projet de loi 108 est inachevé, déplore le trésorier de la CSN, Pierre Patry. Le gouvernement a l’obligation de faire mieux, entre autres pour regagner la confiance du public et pour s’assurer de l’intégrité du processus d’octroi des contrats publics. Après les scandales de collusion et de corruption, et dans la suite des travaux de la commission Charbonneau, tout le monde espérait que le gouvernement Couillard accorde tous les moyens nécessaires à cette nouvelle Autorité des marchés publics (AMP) pour qu’elle réalise adéquatement le mandat qui était attendu d’elle. Le projet de loi n’a rien de rassurant à cet égard.»

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Des compressions de 74 M$ en 2017 : les travailleuses des CPE manifestent devant le ministère de la Famille

Les travailleuses et travailleurs des centres de la petite enfance de Montréal et de Laval ont manifesté samedi devant le ministère de la Famille afin de dénoncer l’intention du gouvernement Couillard de maintenir sa décision d’imposer des compressions de 74 M$ le 1er avril 2017. Le gouvernement avait déjà effectué une première coupe de 46 M$ en 2014. «Ces attaques au réseau des CPE ont un impact direct sur les services donnés aux enfants, s’indigne Nathalie Fontaine, porte-parole du Syndicat des travailleuses(eurs) des centres de la petite enfance de Montréal et Laval–CSN. Les compressions font mal : des activités pour les enfants sont annulées, le matériel éducatif réduit et le temps de planification diminué», se désole la représentante syndicale, qui estime que depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement libéral prend fait et cause pour les garderies privées, aux dépens du réseau public.

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Mémoire de la CSD sur le Projet de loi 99 modifiant la Loi sur la protection de la jeunesse

La CSD a présenté, jeudi, un mémoire à la Commission de la santé et des services sociaux de l’Assemblée nationale. La CSD y exprime notamment son regret que le Projet de loi 99 modifiant la Loi sur la protection de la jeunesse ne concerne que très peu les familles d’accueil, lesquelles sont pourtant un maillon essentiel de la loi quand il faut retirer un enfant de son milieu familial parce que sa sécurité ou son développement est compromis. «Nous voulons travailler à l’amélioration de la situation des enfants du Québec pour peu qu’on nous demande notre collaboration et non de simplement subir ce qui a été concocté derrière des portes closes.» De plus, les silences du Projet de loi 99 sur certaines questions nuisent au rôle que les ressources aspirent à jouer pleinement auprès des enfants qu’elles accueillent, altérant ainsi leur contribution combien essentielle à la société québécoise. Les ressources veulent participer pleinement au développement du réseau des familles d’accueil, mais encore faut-il qu’on leur en donne les moyens.

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Document CSD : Changements récents à l’assurance-emploi et mise en garde.

 
 
Aide financière demandée à Québec : la FNC–CSN appuie l’initiative de la Coalition pour la pérennité de la presse d’information au Québec

La Fédération nationale des communications (FNC–CSN) tient à saluer la démarche menée par la Coalition pour la pérennité de la presse d’information au Québec, qui demande à Québec une aide gouvernementale particulière. Cette initiative inédite de plusieurs propriétaires de presse écrite arrive à un moment crucial où ces entreprises doivent s’adapter à l’ère numérique et renouveler leur modèle d’affaires. La FNC–CSN tient d’ailleurs à rappeler que les gouvernements provincial et fédéral ont depuis plusieurs mois entre leurs mains une étude commandée par elle et réalisée par la firme MCE Conseils, qui illustre la nécessité et le bien-fondé d’aider la presse écrite dans cette transition.

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Perquisition au Journal de Montréal : un précédent dangereux pour le travail journalistique

Le Syndicat des travailleurs de l’information du Journal de Montréal-CSN dénonce la perquisition de la Sûreté du Québec qui a eu lieu le 21 septembre auprès du journaliste Michaël Nguyen. Cette saisie intervient à la suite du reportage de Michaël Nguyen sur les gestes commis en décembre 2015 par la Juge Suzanne Vadboncœur auprès des constables spéciaux du palais de justice de Montréal. Le Conseil de la magistrature chercherait à connaître les sources qui ont permis au journaliste de prendre connaissance de ces documents confidentiels. Pour le président du syndicat, Stephan Dussault, «cette perquisition ne concerne pas seulement le journaliste visé, c’est l’ensemble du travail journalistique qui est menacé. C’est la seconde fois qu’un journaliste du Journal de Montréal est visé par une intervention policière. Il faut qu’on nous laisse faire notre travail dans l’intérêt du public.»

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La FPJQ juge inadmissible la perquisition survenue au Journal de Montréal.

 
 
Projet Optilab : les pertes d’emplois, d’expertise et de qualité des services à la population confirmées

Les inquiétudes de la CSN se confirment : le projet d’implantation d’Optilab aura pour conséquence de nombreuses pertes d’emplois partout au Québec ainsi qu’une diminution dans l’expertise et dans la qualité des services à la population. «C’est catastrophique, a laissé tomber le vice-président de la CSN, Jean Lacharité. Comme on le craignait, le ministre est en train de se prêter à une supercentralisation des prélèvements en créant des laboratoires centraux (serveurs) et en conservant des laboratoires-dépanneurs périphériques qui ne s’occuperont que des cas très urgents. De l’improvisation mur à mur qui aura de graves répercussions sur la vie des gens.»

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SCFP : Un cadeau au privé, au détriment de la population.

 
 
Pratique professionnelle des infirmières : pour le bien des patients, le corporatisme des médecins doit cesser

«Nous avons encore un bel exemple que le corporatisme des médecins nuit à l’accessibilité, à la qualité et à la continuité des soins. C’est l’ensemble des patients qui souffrent de l’entêtement du Collège des médecins à maintenir le Québec en queue de peloton en ce qui a trait à la pratique professionnelle des infirmières praticiennes spécialisées (IPS) et de l’ensemble des professionnelles en soins. C’est d’autant plus frustrant que les IPS du Québec sont les mieux formées en Amérique du Nord. Le paternalisme des médecins doit cesser, l’autonomie des IPS doit être enfin reconnue.» C’est en ces termes que la présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec – FIQ, Régine Laurent, a réagi mardi à l’article du journal Le Devoir : Les médecins refusent de déléguer des actes aux «superinfirmières».

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Projet de loi 110 : le gouvernement ne veut pas entendre les représentants de l’Institut de la statistique du Québec, dénonce le SCFP

L’étude du projet de loi 110, projet de loi qui vise à imposer un nouveau cadre de négociation dans le secteur municipal et du transport terrestre, débutait mardi à l’Assemblée nationale. Le ministre et les membres libéraux de la commission ont rejeté une requête de l’opposition officielle visant à faire entendre des représentants de l’Institut de la statistique du Québec, ce qui aurait permis d’éclairer le débat parlementaire et donner l’heure juste à la population sur la rémunération des employés municipaux. À l’origine, le Gouvernement invoquait un écart de rémunération de 39% et un déséquilibre du rapport de force à l’avantage des employés municipaux afin de justifier la nécessité d’une nouvelle intervention législative. Le SCFP, étude économique à l’appui, a démontré que rien n’était plus faux, que c’était davantage l’Administration publique québécoise qui présentait un retard sur l’ensemble des secteurs sous enquête.

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Les professionnels du Protecteur du citoyen doivent être reconnus à leur juste valeur

À la veille du dépôt du rapport annuel du Protecteur du citoyen, les employés de l’organisme représentés par le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) ont dénoncé mercredi l’absence de mandat permettant à l’employeur d’offrir une véritable négociation. Sans convention collective depuis mars 2015, les 73 professionnels du Protecteur du citoyen demandent à ce que les négociations avancent. Les syndiqués exigent que la spécificité de leur travail soit reconnue dans un premier contrat de travail vraiment négocié. Cette reconnaissance devrait avoir un impact direct sur leur rémunération.

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Négociation coordonnée de l’hôtellerie : la direction du Bonaventure décrète un lockout

La direction de l’Hôtel Bonaventure a décidé de décréter un lockout pour une durée indéterminée, dimanche, en début de soirée. Cette décision fait suite à une grève de 36 heures déclenchée par le syndicat samedi matin, à 9h. «À chaque négociation, nous avons toujours vécu des rapports cordiaux avec notre employeur. Or, depuis février 2015, date où Claude Chan a acquis notre établissement, les relations de travail sont très tendues. Non seulement il se moque complètement de ses employé-es, mais il méprise tout autant sa clientèle. En ce moment même, notre hôtel affiche complet et plusieurs clients furieux, rencontrés sur la ligne de piquetage, nous ont clairement signifié leur appui», de préciser Michel Paré, président du Syndicat des travailleurs du Bonaventure (CSN).

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Nouvelles preuves de recours à des briseurs de grève à l’Hôtel Bonaventure.
Entente de principe au Quality de Sherbrooke et vote massif en faveur de la GGI au Bonaventure.
Entente au Delta de Sherbrooke et décision favorable aux grévistes de l’Hôtel Classique.
Entente de principe au Hilton de Québec.

 
 
Mandat de grève adopté à 100 % pour les employées et employés de Keolis

Réunis en assemblée générale le 25 septembre dernier, les membres du Syndicat des employé-es de Lanau Bus (CSN) ont unanimement donné à leur comité de négociation un mandat de grève générale illimitée à être déclenchée au moment jugé opportun. La centaine de conductrices et conducteurs d’autobus qui assurent le transport intermunicipal dans Lanaudière ainsi que le lien avec Montréal, sont sans convention collective depuis le 31 décembre 2014. «Il serait souhaitable que l’employeur pose un geste significatif, qu’il démontre de la considération à ses employé-es et qu’il évite la grève. La balle est maintenant dans son camp!» prévient Nathalie Arguin, secrétaire générale de la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP-CSN).

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Scierie de Rivière-aux-Rats : les grévistes visitent le Lac Saint-Jean pour dénoncer certaines compagnies de transports.

 
 
Nouvelle ligne de production de canettes chez Labatt : quel avenir pour la bouteille brune?

La Fédération du commerce–CSN s’inquiète que l’annonce d’investissement de 46 millions de dollars pour une nouvelle chaîne de production de canettes chez Labatt vienne précipiter le déclin de la production de bière en bouteille brune. L’investissement prévu n’aura pas pour effet d’ajouter une nouvelle chaîne de production de canettes, mais bien de remplacer une chaîne de production de bouteilles déjà existante. Pour la FC–CSN, la bouteille brune est un choix environnemental. Rappelons que la bouteille brune, un contenant à remplissages multiples, est récupérée à 98% comparativement à 71% pour les contenants à usage unique. Le cycle de vie d’une bouteille est quasiment infini puisqu’elle est réutilisée jusqu’à 15 fois, avant de voir son verre fondu et recyclé en nouvelle bouteille.

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Une importante coalition demande une enquête publique sur le projet du train électrique de la Caisse de dépôt

Une vaste et importante coalition d’experts en transport en commun, de groupes environnementaux et de syndicalistes lance un cri d’alarme soulignant les innombrables anomalies et problèmes avec le projet de Réseau électrique métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ). Baptisée «Trainsparence», la coalition plaide pour la tenue d’une commission parlementaire afin que l’ensemble du projet puisse être pleinement évalué. Une pétition a été déposée à l’Assemblée nationale à ce sujet. «Ce n’est pas pour rien que la liste de critiques contre ce projet s’allonge. Il y a deux semaines, deux ministères ont émis publiquement de fortes réserves sur le tracé et au moins six autres ministères ont souligné de graves lacunes. Ce projet conçu par le privé pour le privé n’est pas dans l’intérêt public. Il ne réduit pas les gaz à effet de serre. Il traverse des espaces verts qui sont protégés et n’offre aucune garantie ou protection des usagers quant à la tarification», d’expliquer Denis Bolduc, porte-parole de Trainsparence et président du SCFP-Québec.

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Le SCFP plaide pour le rejet du projet du train électrique de la Caisse de dépôt.

 
 
Monde de l’éducation
 
 
Initiations à l'UdeM : «Tu te sens presque obligée» de te déshabiller

Des étudiantes en droit à l'Université de Montréal se sont senties «presque obligé[es]» de se déshabiller pendant les récentes initiations de la prestigieuse faculté, selon le journal des étudiants en droit, Le Pigeon dissident, qui décrit des événements hypersexualisés perpétuant «la culture du viol». Dans un témoignage et un texte collectif de la rédaction publiés cette semaine, on dénonce une ambiance qui encourage «plusieurs étudiants à accepter de poser ou de subir des comportements sexuels déplacés» et à entonner «des chansons dégradantes» qui transforment «la femme» en «vulgaire objet, facile et docile, utile et bonne uniquement à amuser des phallus».

Lire la suite du texte de La Presse.

Initiations à l'UdeM : «On vient de repartir à zéro», dit Hélène David.
Québec brandit la menace d’une interdiction.
Un «mécanisme de défense» avant la fin de l'année à l'Université de Moncton.

 
 
Diminution de la clientèle à l'UQAR

Le nombre de l'effectif étudiant de l'Université du Québec à Rimouski est en baisse cette année, malgré une hausse du nombre d'inscriptions aux cycles supérieurs. En date du 18 septembre, l'UQAR comptait 7112 inscriptions au trimestre d'automne, soit une diminution d'environ 15  inscriptions par rapport à l'année dernière. En tout, 5945 étudiantes et étudiants sont inscrits à des programmes de premier cycle, une diminution de 3,6%. Plus de 3530 étudiantes et étudiants sont inscrits au campus de Lévis, soit une diminution de 2,6% par rapport à 2015. Près de 2300 se retrouvent au campus de Rimouski, pour une diminution de 5,3%.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

 
 
L'Université de Sherbrooke : un surplus au lieu d'un déficit

L'Université de Sherbrooke enregistre un surplus de 663 000$ pour l'année financière 2015-2016, selon ses derniers états financiers. Lorsqu'elle avait déposé son budget 2015-2016, elle anticipait un manque à gagner d'au moins 11, 2 M$, le montant ayant fluctué en cours de route. En terminant l'année avec un surplus, l'institution sherbrookoise évite du même coup un plan de redressement imposé par Québec.

Lire la suite du texte de La Tribune.

 
 
Palmarès mondial des universités : l'UdeM s'approche du top 100

Les universités américaines et britanniques continuent de dominer largement le Times Higher Education, le palmarès des universités dans le monde publié cette semaine. Trois universités canadiennes se classent parmi les 100 «meilleures», tandis que cinq institutions chinoises parviennent elles aussi à se hisser à ce niveau. L'Université de Montréal a grimpé de 10 échelons cette année (103e rang), ce dont se félicite son recteur, Guy Breton. L'Université de Toronto (22e), celle de la Colombie-Britannique (36e) et de McGill (42e) ont, elles, perdu quelques petits rangs, mais se classent parmi les 100 premières. Le classement du Times Higher Education recense les «meilleures» universités dans le monde depuis 2004 à la lumière de cinq critères : l'enseignement, la qualité de la recherche, le nombre de mentions dans les publications scientifiques, la portée internationale et l'apport des connaissances à l'industrie. Au total, 980 universités sont évaluées.

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La Canadienne Homa Hoodfar libérée
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Le premier ministre Justin Trudeau a confirmé que la professeure retraitée Homa Hoodfar, qui était emprisonnée en Iran depuis juin 2016, a bel et bien été libérée, comme le rapportaient lundi matin des médias iraniens. «Les Canadiens sont soulagés de constater que Mme Hoodfar a été libérée et qu'elle retrouvera bientôt sa famille, ses amis et ses collègues », a déclaré M. Trudeau. «En l'absence de représentation diplomatique canadienne en Iran, le Canada a travaillé en étroite coopération avec d'autres pays, notamment l'Oman, l'Italie et la Suisse, qui ont joué un rôle déterminant menant à la libération de la professeure Hoodfar, a poursuivi M. Trudeau. J'aimerais exprimer ma plus profonde reconnaissance pour leur appui.»

Lire la suite du texte de La Presse et celui de Radio-Canada.

Homa Hoodfar : «C'est merveilleux d'être de retour».

 
 
5 ans après l'inauguration du 1er cégep autochtone : «Plus de 90 % de nos jeunes sont maintenant à l'université»

Il y a cinq ans, les Premières Nations du Québec se dotaient de leur premier cégep, l'Institution Kiuna. Bien plus qu'une simple école, Kiuna est un véritable levier pour permettre aux jeunes Autochtones de mieux se connaître en favorisant leur réussite scolaire. «Plus de 90 % de nos jeunes qui ont terminé avec un DEC sont maintenant à l'université», dit la directrice associée, Prudence Hannis, qui soutient que l'établissement aide les jeunes à «dessiner leur projet d'avenir».

Visionner le reportage de Radio-Canada.

 
 
Pas de chaînes humaines en octobre pour Je protège mon école publique

Le ministre de l'Éducation Sébastien Proulx lance une vaste consultation pour réformer le système d'éducation du Québec. Le mouvement Je protège mon école publique prendra évidemment part à cet exercice. Ceci vient appuyer la nouvelle stratégie du mouvement JPMEP qui sera plus participative et observatrice cette année plutôt que dénonciatrice. Dans cet esprit, le comité #JPMEP n'organisera pas de mouvement national de chaines humaines au mois d'octobre. «Le gouvernement a entendu nos demandes et connait les besoins et les enjeux que nous nous sommes efforcés de dénoncer depuis plus d'un an. Nous devrons maintenant nous assurer que ceux-ci seront pris en compte au sein de cette grande consultation», souligne Pascale Grignon, porte-parole du mouvement.

 
 
Monde social
 
 
Portrait du revenu et de l'emploi des personnes immigrantes

Au printemps dernier était dévoilée la Politique québécoise en matière d’immigration, de participation et d’inclusion Ensemble, nous sommes le Québec, remplaçant l’Énoncé de politique en matière d’immigration et d’intégration Au Québec pour bâtir ensemble, qui datait de 1990. Cette nouvelle politique guidera dans les années à venir les actions du gouvernement en matière d’accueil des personnes immigrantes. Dans ce contexte, l’IRIS dresse un portrait de la situation économique de ces personnes et de leur participation au marché du travail. Nous mettons en évidence les inégalités vécues par celles-ci pour ensuite souligner les éléments sur lesquels il serait opportun d’agir afin d’améliorer leur sort et celui de leurs familles.

Lire la note socioéconomique de l’IRIS.

Le Québec : une société d’accueil qui accueille bien mal.

 
 
L’auto en libre-service : une solution à développer davantage

Alors que les émissions de gaz à effet de serre (GES) provenant des véhicules sur nos routes ont connu une hausse de plus de 33% depuis 1990, il est assez surprenant de constater l’inaction des différents paliers de gouvernement quand vient le temps de soutenir des solutions alternatives. En fait, même s’ils s’évertuent à nous dire qu’ils veulent régler le problème, ils sont souvent contre-productifs. Un exemple en provenance de la ville de Montréal. Alors qu’à bien des égards l’administration Coderre veut se donner une bonne image environnementale, ses politiques freinent le développement des véhicules en libre-service (VLS), un service qu’on nomme aussi l’autopartage. Ce service n’est pas une solution miracle en termes écologiques (le transport en commun demeure préférable), mais c’est un pas en avant qui permet à peu de frais de faciliter la vie des personnes qui l’utilisent. En ce sens, il est grand temps que les gouvernements cessent de bouder ce service ou de lui mettre des bâtons dans les roues.

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

 
 
Forum des idées : le PLQ réfléchit déjà aux prochains reculs

Jeudi s’ouvre le quatrième Forum des idées organisé par le Parti libéral du Québec (PLQ). Durant la fin de semaine, la famille libérale se réunit pour parler d’enjeux sociaux : lutte à la pauvreté, salaire minimum, revenu minimum garanti et comment favoriser une plus grande égalité intergénérationnelle. On ne rêve pas. Le même parti qui en 2012 a déclenché une crise sociale pour aller chercher quelques millions dans la poche des étudiant·e·s et qui, depuis 2014, impose au Québec la plus sévère ronde de compressions en 20 ans veut maintenant redorer son blason. Tant mieux? Oui et non. Évidemment, on ne peut que se réjouir si ces journées impliquent un changement de cap sérieux de la part du gouvernement. Toutefois, il faudrait malheureusement être bien naïf pour le croire. En fait, les futurs engagements du gouvernement ne laisseront pas beaucoup de place pour un quelconque revirement. Regardons-y de plus près.

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

 
 
Nadeau-Dubois et Aussant lancent leur initiative politique non partisane
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Cinq personnalités québécoises, dont l'ex-député péquiste et fondateur d'Option nationale Jean-Martin Aussant et l'ex-leader étudiant Gabriel Nadeau-Dubois, convient la population québécoise à un grand exercice de consultation non partisan destiné à relancer le Québec sur la voie du progrès social. Le Dr Alain Vadeboncoeur, l'ex-présidente de Solidarité rurale Claire Bolduc, et la militante crie Maïtée Labrecque-Saganash sont les autres instigateurs de cette initiative, baptisée «Faut qu'on se parle», qui a été officiellement lancée mercredi matin, à Montréal.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

 
 
4e Forum des idées pour le Québec : des idées pour le 21e siècle ou des idées d’un autre siècle?

Organisé par le Parti libéral du Québec, le 4e Forum des idées pour le Québec est pompeusement présenté comme  un «moment important de réflexion» sur les politiques sociales du 21e siècle, au cours duquel «le premier ministre est là pour vous écouter». Pour avoir droit à ce privilège, vous devez toutefois vous inscrire à cette kermesse des idées progressistes au coût de 150$. Cet exercice de relations publiques a de quoi faire sourciller. Impossible en effet de rester de marbre devant les écarts évidents entre cette grande fiesta des «politiques sociales du 21e siècle» et les ravages récents et actuels des politiques d’austérité menées par le gouvernement. Vestiges d’un autre siècle, ces mesures d’austérité n’en finissent plus de malmener les programmes sociaux et les services publics du Québec.

Lire la suite du texte du Collectif pour un Québec sans pauvreté.

 
 
Austérité ou communautaire : quelle lutte choisir?

Actuellement, le mouvement communautaire s’implique activement dans deux grandes luttes sociales : • La lutte contre l’austérité et pour une meilleure redistribution de la richesse (dans le but de réinvestir massivement dans les services publics et les programmes sociaux) et • La lutte pour la reconnaissance, l’autonomie et le financement des organismes communautaires. Est-ce vraiment un choix?  Ce nouvel outil du MÉPACQ fait les liens entre ces deux grandes luttes que nous jugeons indissociables l’une de l’autre.

 
 
Déclaration finale de l’Assemblée de convergence Désarmer la finance et atteindre la justice fiscale du FSM 2016

Voici le texte de la Déclaration finale émanant de l’Assemblée de convergence Désarmer la finance et atteindre la justice fiscale qui a été co-organisée par Attac France et Attac Québec avec la Global Alliance for Tax Justice et d’autres partenaires (Échec aux paradis fiscaux, Canadiens pour une fiscalité équitable, etc.) pendant le Forum social mondial à Montréal, le 11 août 2016. Cette déclaration contient plusieurs revendications que tous les groupes impliqués adresseront aux gouvernements dans les mois qui viennent. Elle appelle aussi, entre autres, à organiser une journée d’action mondiale contre les paradis fiscaux le 3 avril 2017, pour marquer l’anniversaire de la publication des Panama Papers.

 
 
La Nuit des sans-abri 2016 : événement national le 21 octobre
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La Nuit des sans-abri est un mouvement de solidarité dans plus de 30 villes du Québec qui vise à sensibiliser la population à la réalité des personnes sans-abri. Chaque troisième vendredi d'octobre à compter de 18 h, la Nuit s'organise autour d'une vigile de solidarité nocturne et d'un brasero, bien évidemment ponctuée d'animations de toutes sortes (musique, poésie, repas, etc.). Dans quelques villes, elle se termine au petit matin par le «Déjeuner des braves». La 27e Nuit des sans-abri de Montréal se déroulera le 21 octobre entre 18h et 8h le lendemain matin, à la Place Pasteur et sur la rue Saint-Denis entre Sainte-Catherine et de Maisonneuve.

 
 
Un premier refuge pour hommes itinérants dans Ho-Ma, plus de vert au Square Viger

Le premier refuge pour hommes itinérants de Hochelaga-Maisonneuve ouvrira ses portes d’ici novembre, afin de répondre à leurs besoins et améliorer leur situation. Le Carrefour d’alimentation et de partage (CAP) Saint-Barnabé, qui œuvre auprès des plus démunis du quartier, prendra le refuge sous son aile.

Lire la suite du texte du journal Métro.

Square Viger : Un espace plus vert et ouvert.

 
 
Nouveau dossier de la revue Relations : Le Réveil écocitoyen, initiatives et mobilisations

La revue Relations vient de faire paraître un numéro sur Le Réveil écocitoyen : initiatives et mobilisations. Les dernières années ont vu les luttes écologiques prendre une ampleur inédite un peu partout dans le monde, à mesure que l’urgence climatique s’accentue. Au Québec, le mouvement d’opposition à l’exploitation des gaz de schiste dans la vallée du Saint-Laurent et ceux, plus récents, contre les différents projets d’oléoducs, notamment Énergie Est de TransCanada, sont sans doute les plus emblématiques en raison des victoires – toujours partielles, toujours fragiles – qu’elles ont su arracher au gouvernement et aux promoteurs. Des dizaines d’autres mobilisations ont aussi vu le jour, réclamant des solutions à la mesure des défis environnementaux et sociaux de notre époque et s’éloignant de la conception dépassée et destructrice du développement qui prévaut encore malheureusement, caractérisée entre autres par l’extractivisme, la surconsommation et l’étalement urbain.

 
 
La campagne Les droits, ça se défend! se poursuit
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Le Regroupement des organismes en défense collective des droits (RODCD) poursuit sa campagne Les droits, ça se défend! en vue d’obtenir un rehaussement substantiel du financement de base des groupes de défense collective des droits. Cette campagne propose l’envoi d’une lettre  et une visite chez votre député le 7 novembre. Les choix budgétaires du gouvernement Couillard privent la population de services et de programmes sociaux, ce qui compromet la réalisation des droits économiques, sociaux et culturels, comme les droits à la santé, à l’éducation et au logement, particulièrement des gens à faible revenu... Quand l’État abandonne ses responsabilités de la sorte, les groupes de défense collective des droits sont appelés à mener des luttes sur plusieurs fronts, comme l’aide sociale, l’assurance-emploi, le surendettement, etc. Mais depuis 20 ans, malgré une augmentation importante de leurs tâches et l’apparition de nouveaux fronts de lutte, les groupes de défense collective des droits n’ont obtenu ni augmentation, ni même indexation, de leur financement de base. De plus, une trentaine d’organismes sont toujours en attente d’être reconnus et financés par le gouvernement du Québec.

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Plan d'action montréalais en itinérance : bilan mitigé après deux ans

Le 23 septembre 2014, le nouveau maire de Montréal, Denis Coderre, rendait public son Plan d'action montréalais en itinérance 2014-2017. Ambitieux, ce plan fut bien reçu. Deux ans plus tard, c'est un bilan partagé que le RAPSIM fait de son action. De bonnes notes et de fausses notes en habitation, de bonnes intentions au niveau de la cohabitation et du profilage social, mais dont certaines tardent à se concrétiser. Une volonté d'acquérir plus de pouvoirs pour agir qui se confronte avec des moyens réduits de Québec et d'Ottawa. À un an des élections et du terme de ce plan d'action, il reste encore bien du temps pour agir. Avec une situation qui demeure très difficile, l'action forte de la ville est toujours nécessaire.

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Québec débloque 12 millions pour des centres d'injection supervisée à Montréal

Le gouvernement du Québec investira plus de 12 millions de dollars sur trois ans pour l'implantation de centres d'injection supervisée à Montréal. Il s'agira des premiers endroits du genre au Québec. Une partie de cette somme servira à aménager les locaux de ces centres. On souhaite ainsi qu'ils répondent aux normes et conditions établies par Santé Canada pour permettre l'ouverture de ce type de service. On prévoit permettre l'injection supervisée dans les locaux de trois organismes communautaires, soit Cactus, Dopamine et Spectre de rue. Un service mobile, qui couvrira quelques arrondissements, sera également offert.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

 
 
L’empire du libre-échange, des traités aux ramifications tentaculaires : session de Claude Vaillancourt à l’Upop Montréal

S’inspirant du mouvement alternatif des universités populaires européennes, l’UPop Montréal favorise le développement de l’esprit critique en offrant à la population de Montréal et des environs un accès libre et gratuit au savoir par le biais d’activités d’éducation populaire implantées dans plusieurs quartiers de la ville. Cet automne, Claude Vaillancourt, président d’Attac Québec et auteur, entre autres, de L’empire du libre-échange (M éditeur, 2014), y offre une session sur le thème L’empire du libre-échange : des traités aux ramifications tentaculaires. Quatre cours, quatre lundis : • 26 septembre, 19h : Grands principes des accords de libre-échange • 3 octobre, 19h : Petite histoire du libre-échange • 24 octobre, 19h : Libre-échange et environnement • 7 novembre, 19h : Luttes populaires contre le libre-échange et alternatives. Au Café-bar L’Auditoire, 5214, boul. Saint-Laurent, à Montréal. C’est gratuit, aucune réservation requise.

 
 
Ozonation : Fondation Rivières salue la décision de la Ville de Montréal

C’est avec soulagement que nous avons appris hier que l’usine d’ozonation des eaux usées, qui sera mise en service à compter de 2018, fonctionnera dès lors 12 mois par année. L’automne dernier, la Fondation s’était prononcée en faveur de cette option, après qu’il eut été annoncé que l’usine fonctionnerait 6 mois par année, décision qui avait suscité de nombreuses critiques. «Les 6 mois correspondaient aux exigences gouvernementales pour permettre aux gens de profiter davantage du fleuve l’été. Mais la réalité, c’est que pour la santé du fleuve, il faut y aller 12 mois par année. On ne court pas de risques», a indiqué le maire Denis Coderre. La nouvelle usine et son procédé d’ozonation permettront de réduire la présence de bactéries, de virus et d’hormones dans les eaux usées qui sont rejetées dans le fleuve Saint-Laurent. Ainsi, selon l’article du Devoir paru hier, les quantités d’antidépresseurs et d’anticonvulsifs baisseront de 75% avec le nouveau traitement. Le système permettra aussi de détruire les antibiotiques et les hormones à plus de 90%. Quant aux perturbateurs endocriniens, ils diminueront de 85%.

Cimenterie de Port-Daniel et coke de pétrole : plus de rejets polluants que prévu.

 
 
Partout au Canada : Coule pas chez nous! La Colombie-Britannique a besoin de l'appui du Québec
partoutcanada

La lutte contre l’oléoduc Énergie Est a rapidement remporté la médaille de la campagne climatique la plus efficace de l’histoire du Canada. Les mobilisations au Manitoba, en Ontario, dans les Maritimes et, surtout, au Québec, ont surpris le reste du pays (et du monde). Les opposants se sont avérés des adversaires de taille pour TransCanada et pour le peu crédible Office National de l’Énergie (ONÉ). Un reportage récent paru dans Bloomberg business est venu confirmer par ailleurs une rumeur qui circulait depuis des mois dans les cercles militants : le premier ministre Justin Trudeau veut absolument approuver au moins un projet d’oléoduc dans son premier mandant. Peu importe lequel, il lui en faut un! Pour ceux parmi nous qui essaient de bloquer l’autre mégaprojet d’oléoduc au pays, le projet Trans Mountain de Kinder Morgan dans l’Ouest canadien, c’est une bien mauvaise nouvelle. Rappelons que cet oléoduc doit transporter une grande quantité de pétrole des sables bitumineux de l’Alberta jusqu’à l’Océan Pacifique, où il sera chargé dans d’immenses pétroliers au large des côtes de Vancouver et de la Colombie-Britannique.

Lire la suite du texte de Ricochet.