Infolettre du SCCUQ – 27 octobre 2016 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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À l'agenda

L’infolettre du SCCUQ est publiée tous les jeudis. Vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.

Messages et activités du SCCUQ :

• Rapport de la négo :
- Nouveau déblocage de la partie patronale, quelques petits gains et plusieurs avancées

Communiqué de presse : L’UQAM préfère le béton armé et des chargées et chargés de cours précaires et éjectables
L’Assemblée générale du SCCUQ dénonce et rejette unanimement les offres patronales
Réflexion sur la décentralisation des ressources
Transformation institutionnelle à l’UdeM : le mémoire du SCCCUM
Consultation ministérielle en enseignement supérieur : orientations de la FNEEQ

4 novembre : Rencontre du recteur et assemblée générale spéciale
Jusqu’au 4 novembre : Affichage des charges de cours pour le trimestre d’hiver
Jusqu’au 2 décembre : Assemblées d’unité départementale

Activités reliées aux membres du SCCUQ :

28 octobre : Conférence TEDx UQAM Women
Jusqu’au 27 novembre : Exposition de Lisette Lemieux au Musée de Lachine
Jusqu’au 8 janvier : Exposition Le Parc olympique, une architecture à célébrer

Autres activités :

27 octobre : Conférence La crise des finances publiques – Mythes et réalités
27 octobre : Projection-débat du documentaire Tourmente grecque II : chronique d’un coup d’État
Jusqu’au 29 octobre : Semaine nationale de visibilité de l’action communautaire autonome
Jusqu’au 11 novembre : Collectif Échec à la guerre : campagne 2016 du coquelicot blanc
1er et 28 novembre : Appel de propositions au Congrès de l’Acfas
2 novembre : Rassemblement pour la reconnaissance du travail étudiant
3 novembre : Soirée Femmes et engagement politique
Du 3 au 12 novembre : Journées québécoises de la solidarité internationale
7 novembre : Campagne Les droits, ça se défend!, visite des députés
7 novembre : Audience publique et forum citoyen de la Commission sur l'éducation à la petite enfance
Du 7 au 9 novembre : Journées de mobilisation pour la reconnaissance et le financement du communautaire
9 novembre : Manifestation-défilé Engagez-vous pour le communautaire!
16 novembre : Cabaret pour l’adéquation école-culture
17 novembre : Forum citoyen de Montréal : Commission sur l’éducation à la petite enfance
21 novembre : Des leviers pour prévenir la violence et ses répercussions
22 novembre : Des actions régionales à l’occasion de la Journée canadienne sur le logement
22 et 23 novembre : Accueillir les réfugiés : pratiques et politiques
27 novembre : Forum social Centre-Sud
30 novembre : Le point sur la situation des femmes autochtones du Québec par Viviane Michel

 
 
Entre vous et moi

M. Robert Proulx, recteur de l’UQAM, s’est enfin souvenu de nous et désire rencontrer les chargées et chargés de cours le 4 novembre «dans le but d’échanger sur le rapport des consultantes sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire» de l’UQAM. Il émet le souhait «d’avoir le plaisir d’échanger avec le plus grand nombre d’entre [nous]». De la visite rare comme celle-là, il ne faudrait surtout pas la décevoir. Nous espérons que vous serez tout aussi nombreux à participer à l’assemblée générale spéciale qui suivra pour parler de décentralisation et de négociation. On ne peut pas affirmer avec certitude qu’il y a un lien avec la conférence de presse du 20 octobre, la une du journal Métro ou la page Débats de La Presse+, mais la partie patronale a démontré une certaine ouverture lors de la rencontre de négociation qui a suivi. Une certaine ouverture mais pas une ouverture certaine. On est loin du pactole avec 3 charges de cours de perfectionnement pour des personnes chargées de cours (PCC) bien ciblées; 25 000 $ de plus pour le budget d’intégration alors que les besoins sont de 20 fois supérieurs; la reconnaissance de sa responsabilité quant aux frais médicaux des PCC qu’elle envoie travailler à l’étranger; et des comités qui ne l’engage pas à grand chose pour l’affichage annuel et les environnements numériques d’apprentissage. Il faudra augmenter la pression si on veut avoir gain de cause sur les EQE, la clause réserve, la stabilisation de l’emploi et le rattrapage salarial. On s’en reparle le 4 novembre et le recteur vous invite à venir en grand nombre.

Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ

 
 
SCCUQ
 
 
Décentralisation et négociation : rencontre du recteur et assemblée générale spéciale le 4 novembre

Le recteur invite les chargées et chargés de cours à une rencontre dans le but d’échanger sur le rapport des consultantes sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire de l’UQAM. Cette rencontre aura lieu à la salle Marie-Gérin-Lajoie, le vendredi 4 novembre, de 12h30 à 14h. Cette rencontre sera suivie d’une assemblée générale spéciale au local A-2885. Nous y ferons un retour sur la rencontre avec le recteur, puis nous ferons le point sur la négociation. Nous aurons alors une discussion sur des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève et sur les portes ouvertes de l’UQAM du lendemain. Votre présence à ces deux événements est de la plus haute importance.

 
 
Affichage des charges de cours pour le trimestre d’hiver 2017: jusqu’au 4 novembre

L’affichage des charges de cours pour le trimestre d’hiver 2017 est actuellement disponible sur ACCENT. Les personnes chargées de cours ont jusqu’au 4 novembre pour enregistrer leurs candidatures. La période de réponse à la proposition des cours attribués par ACCENT sera du 11 au 16 novembre.

 
 
Rapport de la négo : nouveau déblocage de la partie patronale, quelques petits gains et plusieurs avancées

Cinq jours après la conférence de presse dénonçant la situation à l’UQAM, la partie patronale a démontré une nouvelle ouverture lors de la séance de négociation du mardi 25 octobre, permettant aux personnes chargées de cours (PCC) de faire quelques petits gains et plusieurs avancées. Les deux parties se sont entendues sur un comité de faisabilité pour la mise en place d’un affichage annuel. Le comité fera rapport aux deux parties au bout d’un an de travaux. Les PCC en période de probation pourront demander d’être évaluées après avoir donné 4 activités d’enseignement sur une période minimale de 4 trimestres. L’UQAM accepte de préciser dans la convention collective qu’elle couvrira les frais médicaux (dans le cadre d’une assurance voyage) des PCC à qui elle demande d’aller enseigner à l’étranger et ajoute un montant 25 000$ en 2017 (montant encore insuffisant) dans le budget des projets d’intégration. Le nombre de charges de cours pour les bourses de perfectionnement passerait de 82 à 85, les trois nouvelles bourses devant servir à l’acquisition d’EQE par des PCC en simple emploi ayant donné une moyenne de trois cours au cours des cinq dernières années. L’UQAM accepte, finalement, de mettre en place un comité de travail UQAM-SCCUQ sur les environnements numériques d’apprentissage, sans toutefois reconnaître les PCC comme partie prenante à une future politique institutionnelle. Les discussions se poursuivent sur le congé à traitement différé et la clause réserve et sont au point mort sur la participation des PCC à la modification et l’attribution des EQE, la stabilisation de l’emploi et le rattrapage salarial. Ces quatre derniers points constituent le cœur de notre négo. Les deux parties se revoient le 8 novembre… après notre assemblée générale du 4 novembre où on discutera de moyens de pression.

Rapports précédents : • Un accord et encore des attentesDes reculs confirmés, mais la discussion n’est pas rompueDépôt des offres patronales globales à venirDes attentes et encore des attentes • Des gains, des attentes et des différends

 
 
Sur un siège éjectable

Je suis chargé de cours à l’UQAM. Un statut dont pratiquement personne ne connaît la signification. Je ne suis pas un professeur, même si j’enseigne tout comme lui, ni un auxiliaire d’enseignement. Je l’ai été plus tôt dans ma carrière, comme bon nombre de mes 2200 collègues. Depuis, baccalauréat, maîtrise et doctorat en poche, je suis enfin devenu chargé de cours. J’ai conçu des cours, je transmets aux étudiants du bac, de la maîtrise ou du doctorat des connaissances longuement mûries au cours des 15 dernières années. J’ai l’immense privilège de pouvoir travailler dans un domaine vivant, intellectuellement stimulant, qui correspond en tous points à mes aspirations. En tous points… j’exagère. En cinq ans comme chargé de cours à l’UQAM, j’ai réalisé combien mon statut était précaire et combien il me serait quasiment impossible de rester chargé de cours, tant les obstacles sont nombreux.

Lire la suite du texte de Jean-Baptiste Plouhinec, membre du Comité de négociation, publié dans les pages Débats de La Presse+.

 
 
UQAM : «On ne sait pas si on enseignera cet hiver», disent les chargés de cours

Les chargés de cours de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) crient à l’injustice. Leur salaire est en deçà de celui accordé à leurs collègues du réseau de l’Université du Québec (UQ) et leurs emplois s’avèrent très précaires. «On ne sait pas si on enseignera cet hiver», a déploré jeudi la présidente du Syndicat des chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ), Marie Blais. Cette dernière a ajouté que parmi les 2000 enseignants qu’elle représente et qui donnent près de 60% des cours à l’UQAM, plus de la moitié est en probation, ce qui accroît la précarité de leur emploi. Le jeudi 20 octobre, les chargés de cours de l’UQAM ont reçu l’appui de plusieurs de leurs collègues d’autres universités, qui ont partagé avec eux les gains qu’ils ont pu enregistrer dans les dernières années.

Lire la suite du texte du journal Métro.

 
 
Assemblées d’unité en Organisation et ressources humaines, Management et technologie et Histoire

La tournée des assemblées d’unité se poursuit. Elles se déroulent dans les locaux du SCCUQ (A-R540 et A-R505) à compter de 12h30. Au cours des prochains jours, nous recevrons les personnes chargées de cours (PCC) en Organisation et ressources humaines le vendredi 28 octobre, en Management et technologie le lundi 31 et en Histoire le mercredi 2 novembre . Nous abordons les problèmes rencontrés localement, les PCC élisent leurs représentants à divers postes et il sera aussi question de décentralisation, de négociation de la convention collective et de moyens de pression. Nous vous attendons en grand nombre.

 
 
L’UQAM préfère le béton armé et des chargées et chargés de cours précaires et éjectables
infolettre-nego

Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ) dénonce que l’employeur maintient ses membres dans un état de précarité et sur un siège éjectable, une situation qui sert bien la direction. «L’UQAM verse plus de 7 millions de dollars par année pour des agents de sécurité, l’équivalent de 18% de la masse salariale des chargées et des chargés de cours, et elle injecte 10 millions de dollars de plus que l’an passé dans le béton. Les conséquences se font sentir dans les classes: moins de correcteurs, plus d’étudiantes et d’étudiants par groupe et moins de charges de cours», déplore Marie Blais, présidente du SCCUQ, en négociation pour le renouvellement de sa convention collective depuis plus d’un an.

Lire la suite du communiqué de presse émis par le SCCUQ jeudi.

 
 
Babillard des membres
 
 
Louise Champoux-Paillé contribue à la conférence TEDx UQAM Women
louisechampoux

Souligner l’importante contribution des femmes à la société et mettre de l’avant celles aux idées novatrices, voilà la mission de la conférence TEDx UQAM Women, qui aura lieu à l’Université le 28 octobre prochain. Organisé dans le cadre des TEDx Women qui se déroulent à travers le monde du 26 au 29 octobre, cet événement est le premier du genre à se tenir à l’UQAM. Louise Champoux-Paillé, chargée de cours à l’ESG UQAM en gouvernance et en gestion des risques, ex-présidente du Cercle des administrateurs de sociétés certifiés et chevalière de l’Ordre national du Québec y donnera une conférence sur le thème Prendre la place qui nous revient.

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Frédéric Castel commente l’enquête de Radio-Canada : quand trouver un logement avec un nom arabe n'est pas si simple

La chroniqueuse Marie-Eve Tremblay a créé deux identités, Martin Delorme et Mohamed Aboujdid, et a répondu en leur nom à une cinquantaine d'offres de logement sur le net. Résultat : la personne qui a un nom québécois est 40% plus susceptible d'obtenir un rendez-vous. L’échantillon est suffisamment important pour démontrer que la situation est préoccupante, selon le chargé de cours au Département de géographie Frédéric Castel.

Écouter le reportage de Radio-Canada.

 
 
Élections présidentielles américaines : «Tout peut arriver aux États-Unis», commente Donald Cuccioletta

Le candidat républicain Donald Trump a causé la surprise mercredi en refusant de s'engager à reconnaître le résultat des élections. L'analyste en politique américaine Donald Cuccioletta croit que le candidat républicain ne va pas chercher de nouveaux supporteurs avec ce comportement. Il revient, à l’antenne de Radio-Canada, sur le dernier des trois débats des candidats à la présidence des États-Unis, un débat au ton un peu plus pausé. Même après un troisième débat, rien n'est joué, selon Donald Cuccioletta. «Tout peut changer et basculer en 24 h en politique américaine», affirme-t-il. Il compte environ 40 % d'électeurs solides pour Donald Trump et de 47 à 48 % pour Hillary Clinton, les autres étant des indécis.

 
 
Vers une victoire douce-amère? À deux semaines du vote, Élisabeth Vallet commente la campagne présidentielle

Le troisième face-à-face entre Hillary Clinton et Donald Trump avait lieu le 19 octobre dernier à Las Vegas. Les jeux sont-ils faits ? En tout cas, le débat n'a rien changé, affirme Élisabeth Vallet, directrice scientifique à la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques et chargée de cours au Département de science politique. «On savait qu'Hillary Clinton était une politicienne d'expérience et présidentiable, dit-elle. Elle a été un peu plus agressive que dans les débats précédents, ce qui indique qu'elle jouit d'une marge de confiance.»

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Monde syndical
 
 
Entente de principe entre l’UQAM et l’unité de négociation des maîtres de langue (SPUQ)

Une entente de principe est intervenue vendredi entre la Direction de l’Université et l’unité de négociation des maîtres de langue rattachée au SPUQ. Cette entente sera soumise aux membres du Syndicat dans le cadre de l’assemblée générale qui aura lieu le 16 novembre prochain.

 
 
Négo des chargés de cours de l’UdeM : une pomme afin de nourrir des conditions de travail saines

Les chargées et chargés de cours de l’Université de Montréal ont été visibles sur le campus le vendredi 21 octobre, lors d’une distribution de pommes et tracts informatifs aux membres de la communauté universitaire afin de souligner une phase déterminante des négociations de leur convention collective. L’activité du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université de Montréal (FNEEQ–CSN) a coïncidé avec le dépôt d’une deuxième partie du projet de négociation syndical. La convention collective est échue depuis le 1er août 2015. «Nous cherchons la reconnaissance de la contribution des chargées et chargés de cours à la vie universitaire, explique le président du syndicat, Frédéric Kantorowski. Afin d’alimenter symboliquement nos pourparlers, nous distribuerons des nourritures pour l’esprit et le corps!»

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Des surplus réalisés en sabrant dans les services publics : le gouvernement Couillard a trompé la population

«Le gouvernement Couillard a trompé la population du Québec en imposant des mesures d’austérité alors qu’il engrangeait des surplus budgétaires, a réagi le président de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Jacques Létourneau. C’est honteux !» Dans sa mise à jour économique, le ministre Leitão a annoncé des surplus de plus de 3,7 milliards de dollars – avant le versement au Fonds des générations d’un montant de 1,5 milliard de dollars –, pour l’année dernière (2015-2016), pendant que son gouvernement continuait à démanteler l’État et à saccager les services publics et les programmes sociaux. «La démonstration est maintenant faite que son objectif n’était absolument pas d’atteindre l’équilibre budgétaire, mais de revoir fondamentalement le rôle de l’État québécois, comme nous l’avons dénoncé à de multiples reprises», a mentionné le président de la CSN.

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FNEEQ : des miettes pour l’éducation.
FTQ : Des pinottes pour réparer les dégâts de deux années d’austérité.
Hypothéquer notre avenir par des surplus budgétaires réalisés sur le dos des plus vulnérables…
CSQ : Insuffisant pour faire oublier l’austérité aveugle des dernières années.
L’annonce d’un gouvernement qui veut faire oublier son œuvre de démolition.
Récupérer une partie de ce qu’on nous a enlevé.
AREQ : Enfin du répit en santé, mais on est loin du compte.
FIQ : les pompiers pyromanes.

 
 
Après les compressions en éducation, Québec réinvestit dans la compétition entre les universités

La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) est surprise de la promesse du gouvernement provincial d’investir 94 millions$ dans la construction d’un nouvel édifice des HEC au centre-ville de Montréal. Pour la Fédération, cette somme aurait dû servir à combler les problèmes d’accessibilité accentués par les mesures d’austérité imposées depuis plusieurs années. La ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, prétend que cet investissement va accroître l’accessibilité à l’enseignement supérieur sans citer aucune étude. La Fédération affirme que cet investissement va plutôt accroître inutilement la compétition entre les universités. Les HEC ne sont pas les seuls à prétendre subir un déficit d’espace. De plus, d’autres universités du centre-ville répondent déjà à l’offre de cours des HEC. «Est-ce bien là la priorité? À force de couper, le gouvernement nous a rapprochés du déficit social. La priorité, c’est l’éducation, pas la compétition entre les établissements!» déclare Caroline Senneville, présidente de la FNEEQ-CSN.

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Le syndicat veut repousser les rencontres avec le recteur de l’UQAC

Le Syndicat des professeures et professeurs de l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) souhaiterait que la direction déplace une opération de communication institutionnelle avec ses membres afin d'éviter que le recteur Martin Gauthier profite de cette occasion pour y aller de «promesses électorales» dans le cadre du processus de son renouvellement de mandat.

Lire la suite du texte du Quotidien.

Le recteur de l'UQAC fait face à une fronde historique.

 
 
Rapport sur l'état et les besoins de l'éducation 2014-2016 – Remettre le cap sur l'équité : l’égalité des chances, un enjeu prioritaire en éducation

«L'égalité des chances en éducation est au cœur de nos préoccupations, car il s'agit d'un facteur essentiel de la réussite éducative et de la persévérance scolaire. Nous sommes donc très heureux que le Conseil supérieur de l'éducation ait retenu cette question, car il s'agit d'un enjeu prioritaire», souligne Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). La CSQ reconnaît la grande qualité du bilan présenté dans le rapport et s'inquiète des conséquences pour les élèves du Québec. «Le Québec a laissé se développer un système à plusieurs vitesses. Cela contribue à doubler l'écart de résultat dans les matières de base entre les écoles favorisées et les écoles défavorisées. C'est alarmant et cela ne peut continuer; il faut agir rapidement pour renverser cette situation», soutient Louise Chabot.

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Un consensus de plus en plus large sur les ratés de la réforme Barrette : des solutions aux problèmes en santé et services sociaux

Au courant des derniers mois, les révélations de plusieurs acteurs sont venues démontrer que la réforme du ministre Barrette n’atteint pas les objectifs qu’elle s’est fixés, notamment pour ce qui est de favoriser l’accès aux services pour la population. Aux dénonciations des organisations syndicales, communautaires et patronales et à celles de regroupements de médecins et d’usagères et d’usagers, se sont récemment ajoutés les rapports de la Protectrice du citoyen et du Commissaire à la santé et au bien-être. Force est de constater que la manière qu’a le gouvernement de gérer les finances publiques est un échec.

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Vidéo : Congrès de la FSSS : Préservons nos services publics !
Préhospitalier : mandats de grève recherchés.
Reconnaissance du baccalauréat pour les infirmières cliniciennes : une décision qui survient après de nombreuses démarches de la CSQ.
Les décisions du ministre Barrette compromettent la qualité des soins et affectent les services à la population des Laurentides.
L’élargissement du rôle des professionnelles en soins : une idée qui fait son chemin.

 
 
Campagne 5-10-15 : la coalition rencontre la ministre du Travail
campagne51015

La coalition 5-10-15 qui mène une campagne pour relever le salaire minimum à 15$ l’heure est sortie satisfaite de la rencontre qu’elle a eue avec la ministre du Travail Dominique Vien, lundi. Les porte-parole ont profité de cette occasion pour rappeler les conditions difficiles dans lesquelles œuvrent près d’un million de travailleuses et de travailleurs qui peinent à vivre décemment. Mélanie Gauvin du Front de défense des non-syndiqué-es, Virginie Larivière du Collectif pour un Québec sans pauvreté, Louise Chabot, présidente de la CSQ, Jacques Létourneau, président de la CSN, et François Vaudreuil, président de la CSD, ont expliqué à la ministre les trois revendications de la Campagne 5-10-15 : • Le droit d’obtenir son horaire de travail 5 jours à l’avance • Le droit de disposer de 10 jours de congés payés par année pour la maladie ou les responsabilités familiales • Le droit de gagner un salaire minimum à 15$ l’heure.

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Blogue de l’IRIS : le «verrou Fortin» n’est pas une fatalité.

 
 
La FTQ, la Commission jeunesse du PLQ et Force Jeunesse demandent la fin des clauses de disparité de traitement

La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), la Commission-Jeunesse du Parti libéral du Québec (CJPLQ) et Force Jeunesse unissent leurs voix pour demander la fin des clauses de disparité de traitement au travail, aussi appelées «clauses orphelin», qui affectent injustement les jeunes. Plusieurs nouveaux éléments amènent ces groupes à interpeller l’Assemblée nationale à ce sujet. Des chiffres viennent d’être dévoilés, début octobre, par le Bureau de l’actuaire en chef du Canada sur la couverture des régimes de pension agréés (RPA) et révèlent une progression alarmante des clauses de disparité sur les régimes de retraite.

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Les agentes et agents correctionnels du Canada et du Québec manifestent

Plusieurs centaines de membres du Syndicat des agents correctionnels du Canada (UCCO-SACC–CSN) ont manifesté mardi devant les bureaux de Travaux publics et services gouvernementaux Canada. Ils somment le gouvernement de régler, une fois pour toutes, les problèmes qui affluent depuis la centralisation des services de paye en 2014 et qui ont explosé au cours des derniers mois, avec l’implantation du logiciel appelé Phénix. Les agentes et agents de la paix en services correctionnels du Québec se sont, quant à eux, rassemblés près de l’Assemblée nationale mercredi afin de dénoncer les dernières offres patronales ainsi que leurs demandes concernant le régime de retraite. Sans contrat de travail depuis le 1er avril 2015, les négociations entre le syndicat des agents de la paix en services correctionnels et Québec piétinent.

 
 
Négociation coordonnée : ententes de principe à l’Hôtel Bonaventure et au Comfort Suites Downtown de Montréal

Réunis en assemblée générale mercredi, les travailleuses et les travailleurs de l’Hôtel Bonaventure ont adopté une entente de principe intervenue dans la nuit de mardi à mercredi, dans une proportion de 86%. Ce dénouement intervient à l’issue d’un conflit de travail qui aura duré près de cinq semaines. Les travailleuses et les travailleurs du Comfort Suites Downtown de Montréal avaient aussi obtenu gain de cause vendredi.

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MRC de l'Assomption : grève dans le transport interurbain

Une centaine d’employé-es de Lanau-Bus, une division de Keolis, dont les chauffeurs d’autobus, sont en grève depuis jeudi matin. Ils souhaitent renouveler leur contrat de travail échu depuis décembre 2014. Ils érigeront un piquet de grève devant les installations de Keolis, à Repentigny.  Ces salarié-es  assurent le transport collectif dans la MRC de l’Assomption, dont des trajets reliant la région au réseau du métro de Montréal, ainsi que sur la ligne 50 reliant Joliette à Montréal. Ils ont rejeté la dernière offre patronale le dimanche 16 octobre, à 98%. Le 26 septembre, ils avaient voté la grève à 100%, par scrutin secret.

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Grève à la résidence Le Duplessis : les employés protestent contre la multinationale Chartwell.
Les employés de Tembec de Senneterre renouvellent leur convention collective.

 
 
Projet de loi no 62 sur la neutralité religieuse de l’État : le gouvernement doit oser aller plus loin selon la CSQ

«Nous croyons que le gouvernement doit aller plus loin que ce qui est proposé. Il peut politiquement le faire et doit le faire. Le consensus sur ces questions est trop fort pour que le gouvernement lui fasse la sourde oreille.» Tels sont les propos que Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), a tenus mardi en commission parlementaire sur le projet de loi no 62 sur la neutralité religieuse de l'État. «Nous croyons qu'il est temps que le Québec consacre, à même la Charte des droits et libertés de la personne, le caractère laïc de l'État québécois et de ses institutions publiques et que le principe de l'égalité entre les hommes et les femmes doit se voir reconnaître le même degré d'importance par l'insertion d'une mention claire et sans équivoque à cet effet dans le préambule même de la Charte», soutient Louise Chabot.

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Nouvelle crise du bois d’œuvre : la FIM engagée dans une large coalition

Moment rare au Québec, une large coalition syndicale, patronale, municipale, gouvernementale et économique s’est formée afin de soutenir l’industrie forestière québécoise qui emploie plus de 62 000 personnes, à l’aube d’une crise potentielle du bois d’œuvre avec les États-Unis. La Fédération de l’industrie manufacturière (FIMCSN) a décidé d’y participer afin d’y défendre les intérêts des milliers de ses membres qui seront affectés éventuellement par ce différend commercial.

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Autre braquage contre des agents de Garda : le syndicat exige une amélioration des normes de sécurité

Des agents de Garda ont été à nouveau les victimes d’une attaque spectaculaire vendredi après-midi à Pointe-Claire. Les suspects se sont présentés dans une allée de livraison à l’arrière du Home Depot du boulevard Hymus. Ils ont barricadé les agents avant de percer la porte arrière d’un camion à l’aide d’une pelle chargeuse. Depuis trop longtemps le gouvernement fait la sourde oreille et refuse d’entendre les agents de transport de valeurs qui sont sur la première ligne et donc les mieux placés pour démontrer les lacunes flagrantes dans les règles et les balises de sécurité encadrant la profession.

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NETFLIX : la ministre Mélanie Joly manque de courage selon le SCFP-Québec

Alors que la ministre du Patrimoine, Mélanie Joly, était l’invitée, vendredi dernier, de la Chambre de commerce du Montréal Métropolitain (CCMM), le SCFP-Québec, par le biais de son Conseil provincial du secteur des communications (CPSC), demande pour une deuxième fois en moins de deux semaines que le gouvernement canadien et la ministre Joly fassent leurs devoirs et légifèrent pour forcer le fournisseur américain de programmation télévisuelle, Netflix, à participer à l’économie canadienne. Netflix, c’est un géant qui compte plus de 83 millions de membres dans 190 pays. Au Canada, cette entreprise compterait plus de 5,2 millions d’abonnés et aurait des revenus de plus de 620 millions de dollars. Netflix se développe ici dans des conditions paradisiaques par rapport à ses concurrents.

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Belize : un syndicat de l’éducation contraint le gouvernement à accepter ses revendications

Le Belize National Teachers’ Union a interrompu la grève qu’il menait en faveur de meilleures conditions de travail et de vie pour les enseignantes et enseignants et d’une éducation de qualité, après que le gouvernement national eut accepté d’accéder aux revendications des éducatrices et éducateurs.

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Monde de l’éducation
 
 
Rassemblement pour la reconnaissance du travail étudiant

Dans le cadre de la journée pancanadienne contre les frais de scolarité, un rassemblement pour la reconnaissance du travail étudiant et la rémunération de tous les stages aura lieu devant les bureaux montréalais du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Solidarité sociale le mercredi 2 novembre à 16h30 au Square Victoria à Montréal.

 
 
Quatre journées de réflexion sur la prévention de la violence sexuelle à l'université

Le temps est à la réflexion dans les cégeps et les universités pour mieux prévenir toute violence sexuelle envers les jeunes femmes, particulièrement lors d'activités d'initiation. C'est du moins la conclusion à laquelle est arrivée la ministre de l'Enseignement supérieur, Hélène David, qui se dit très préoccupée par des dérapages à caractère sexuel survenus en septembre dernier dans certaines universités, au cours d'activités d'initiation qui ont donné lieu à de nombreux reportages. Les directions d'universités et de cégeps sont donc conviées à participer à quatre journées de réflexion portant sur les meilleures pratiques à mettre en place pour prévenir les violences sexuelles et agir correctement lorsqu'elles se produisent afin de mieux soutenir les victimes.

 
 
La violence faite aux femmes dans les universités et les collèges : les preuves localement et globalement, les expériences partagées et les pratiques de prévention

Les universités se doivent d’être sécuritaires afin que ceux et celles qui les fréquentent puissent s’épanouir. Il s’avère que ne n’est pas le cas dans plusieurs institutions dans certains pays du monde. On relate de nombreux cas de violence sexuelle, tels le viol, la coercition, le harcèlement sexuel, les attouchements non désirés, la poursuite indue. Mais lorsqu’il est question de recherches sur l’ampleur, sur les causes, sur la prévention de la violence sexuelle faite aux femmes à l’université et dans les collèges, on ne trouve que des recherches sporadiques, sous-évaluées, même inexistantes. Les recherches actuelles n’ont pas réussi à examiner le problème dans un contexte local et national afin d’identifier et de partager les expériences, les causes, et les meilleures approches.

Appel de textes pour le numéro été 2017 des Cahiers de la femme.

 
 
Déficit du budget d'opérations à l'UQTR : un des plus élevés du réseau

Le résultat de l'exercice financier 2015-2016 de l'Université du Québec à Trois-Rivières a récemment été adopté à l'unanimité par le conseil d'administration de l'établissement. Bien que le déficit de fonctionnement de 10 491 958$ soit 400 000$ de moins que ce que l'administration anticipait, «on est dans les plus élevés, c'est certain, dans l'ensemble du réseau» de l'Université du Québec, a reconnu lundi le nouveau recteur, Daniel McMahon.

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Les nouveaux diplômes payants

Les programmes universitaires courts (de 6 à 30 crédits) ont la cote au Québec. Offerts aux 1er, 2e et 3e cycles, ils n’ont pas le rang des études «de grade», mais conduisent à une attestation, un certificat ou un diplôme. «Ils représentent un engagement plus réaliste, moins intimidant que des études de grade, soit le baccalauréat, la maîtrise et le doctorat», dit Gilles Mailloux, directeur du recrutement de l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Cégépiens fraîchement diplômés, salariés en perfectionnement ou immigrants à la recherche d’un emploi… ces programmes attirent un effectif grandissant et varié qui contribue à renflouer les caisses dégarnies des universités.

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Outrage au tribunal : Gabriel Nadeau-Dubois gagne en Cour suprême

Fin du feuilleton judiciaire : l'ex-leader étudiant Gabriel Nadeau-Dubois est acquitté d'outrage au tribunal, conclut la Cour suprême du Canada dans une décision majoritaire rendue ce matin. Le plus haut tribunal du pays a rejeté à six juges contre trois la requête pour outrage au tribunal à l'égard de Gabriel Nadeau-Dubois intentée par un étudiant en arts plastiques à l'Université Laval, Jean-François Morasse. Ce dernier reprochait à l'ex-leader étudiant, lors d'une entrevue à RDI, d'avoir incité des étudiants à contrevenir à une injonction des tribunaux visant à permettre l'accès aux salles de cours durant la grève étudiante du printemps 2012.

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Compressions dénoncées à la bibliothèque de l'Université d'Ottawa

Des membres du corps professoral de l'Université d'Ottawa (Ud'O) dénoncent par voie de pétition la décision de couper, pour des raisons budgétaires, l'abonnement de la bibliothèque de l'institution à plus de 4500 publications. Dans le lot se trouvent de nombreux périodiques spécialisés qu'ils jugent «nécessaires à la recherche», mais aussi des journaux comme The Globe and MailLeDroitThe Ottawa Citizen et The Wall Street Journal.

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L'U. d'Ottawa prête à reconsidérer son choix.

 
 
Nations Unies : l’éducation devrait être la fondation de villes durables
nationsunies

Un nouvel accord sur les villes inclusives a été adopté par les Nations Unies à Quito en Équateur. Intitulé Habitat III, cet accord se consacre à rendre les villes inclusives, résilientes, sûres et participatives. Il comporte notamment des références qui mettent en évidence le lien étroit entre l’éducation de qualité et des villes meilleures. L’accord a été conclu à la Conférence des Nations Unies sur le logement (Habitat) qui s’est tenue du 17 au 20 octobre.

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R.-U. : l’inégalité des genres met l’avenir de la profession enseignante en danger

L’inégalité des genres, à laquelle s’ajoutent des charges de travail écrasantes ainsi que des attaques sur la rémunération et les conditions de travail, risquent de faire fuir les femmes de la profession enseignante au Royaume-Uni. Plus de la moitié des femmes enseignantes déclarent qu’elles se sentent soit très pessimistes ou le sont de manière générale quant à leur avenir dans la profession enseignante.

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Les enseignantes et enseignants africains unissent leurs forces en faveur de l’éducation de qualité

Des enseignantes et enseignants originaires du Kenya et de Zambie prennent des mesures décisives afin d’améliorer la qualité de l’éducation dans leur école en lançant un projet leur permettant d’évaluer et de défendre un meilleur programme scolaire dans le primaire et le secondaire.

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Monde social
 
 
S'occuper de la «fragilisation» plutôt que du «vieillissement»

Répondre aux besoins particuliers des Canadiens âgés et fragilisés améliorerait les résultats en santé ainsi que la qualité de vie des patients, tout en réduisant les coûts. Lorsqu’un patient âgé connaît un état de crise lié à sa santé au Canada, notre système de santé lui offre habituellement un excellent service, ce qui est une bonne nouvelle. Cependant, la santé et la qualité des soins de santé sont déterminées par plus que la seule capacité du système à réagir aux urgences médicales. En vérité, notre système de santé est généralement incapable de répondre aux besoins complexes en matière de soins des patients fragilisés entre les épisodes de crise nécessitant des soins urgents. Nous offrons rarement des soins de qualité aux malades chroniques ou encore des soins à domicile ou continus complets, et nous gérons mal, en particulier, les transitions de patients entre les différents milieux et fournisseurs de soins.

Lire la suite du billet de blogue de l’IRIS.

 
 
Stratégie canadienne sur le logement : le FRAPRU réclame des investissements massifs, dès le prochain budget

«Le gouvernement libéral de Justin Trudeau a la capacité et le devoir d’intervenir, dès son prochain budget, pour améliorer les conditions de logement et de vie des personnes et des familles mal-logées et sans-abri, en annonçant sans plus tarder sa Stratégie sur le logement, en s’assurant que celle-ci soit basée sur les droits humains et en y consacrant des investissements majeurs.» C’est en ces termes que le coordonnateur du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), François Saillant, s’est adressé, mardi, aux membres du Comité permanent des Finances qui achèvent leurs consultations pré-budgétaires, à Ottawa.

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22 novembre : des actions régionales à l’occasion de la Journée canadienne sur le logement.

 
 
Politique en prévention en santé : est-ce que des moyens suivront?

Le gouvernement du Québec a dévoilé dimanche sa Politique en prévention en santé, avec, d’ici 2025, 9 objectifs très ciblés et chiffrés, comme accroître de 3,7% le pourcentage de la population qui consomme minimalement cinq fruits et légumes par jour. Cette Politique vise aussi un accroissement de 49% de l’offre de logements abordables. C’est un objectif tout à fait pertinent, avec les conséquences connues de vivre dans des logements insalubres ou dans d’autres, où la trop grande part du revenu consacré au loyer sabre dans la capacité de se nourrir. Il reste à voir quels seront ces logements? Car le gouvernement du Québec, dans ses trois budgets, a réduit à 3000 unités, puis à deux reprises à 1500 unités par an le financement pour de nouveaux logements sociaux, pour tout le Québec, pour toutes les populations. Pas de quoi prévenir grand-chose.

Lire la suite du texte de Pierre Gaudreau, coordonnateur du RAPSIM, publié par Le Devoir.

Maisons de chambre en voie de disparition.
Suramendes compensatoires pour les intervenants : Ottawa offre de la flexibilité aux juges.
Lutte contre le VIH : du financement fédéral contesté par des organismes.

 
 
Comment définir une position progressiste sur les transferts canadiens en santé?

Faut-il se ranger du côté de Gaétan Barrette et des revendications historiques du Québec? Ou faut-il voir en Jane Philpott un rempart désespéré contre le travail acharné de démolition du système socio-sanitaire québécois par le premier? Ou faut-il adopter la simplicité volontaire libertarienne de l’Institut économique de Montréal (IEDM) qui proposait dans Le Devoir jeudi dernier de ne pas trop s’en faire avec les transferts et de plutôt accélérer la mise en compétition des hôpitaux? L’actuel débat sur les transferts fédéraux de santé accapare beaucoup d’attention. Et pour cause, les sommes en jeu sont considérables, elles soulèvent des questions idéologiques importantes, et les confrontations entre Ottawa et les provinces sur cet enjeu donnent parfois l’impression de dater du paléolithique.

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

 
 
Soirée Femmes et engagement politique

Une soirée Femmes et engagement politique (6 à 8/bouchées) pour réseauter, échanger et se motiver avec des femmes qui s'engagent en politique au quotidien aura lieu le 3 novembre. Militantes, élues, critiques, auteures, citoyennes etc. Évènement non-mixte - Pour les femmes engagées dans toutes les formes de la politique. Inscriptions obligatoires - Places limitées.

 
 
Un an plus tard : où en sont les dénonciations des femmes autochtones de Val-d’Or?

Il y a bientôt un an, l’émission Enquête faisait entendre la voix de femmes autochtones de Val-d’Or qui dénonçaient la violence et les abus policiers à leur égard. Aujourd’hui, à l’aube du un an des dénonciations, il a été annoncé que 41 policiers de la Sûreté du Québec (SQ) poursuivent Radio-Canada pour avoir partagé un contenu qui est, à leur avis, diffamatoire. Femmes Autochtones du Québec (FAQ) s’inquiète qu’un discours comme celui des policiers, alors que des femmes parviennent enfin à sortir du silence, n’encourage pas le cycle de guérison de ces femmes et les restreigne encore plus à dénoncer. Récemment, les Services parajudiciaires autochtones du Québec (SPAQ) nous apprenaient avoir acheminé au Service de police de la ville de Montréal (SPVM) seulement 11 plaintes officielles des plus de 75 appels reçus depuis le début de leur mandat en avril dernier. De surcroît, parmi ces plaintes officielles, seulement 5 proviennent de femmes autochtones alors qu’elles ont lancé quatre fois plus d’appels.

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Un vote de Trudeau en faveur des paradis fiscaux
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Le Collectif Échec aux paradis fiscaux déplore le rejet par le gouvernement de Justin Trudeau d’une motion historique qui aurait permis de démontrer clairement l’opposition du Canada aux manœuvres d’évitement fiscal. Aujourd’hui, la motion (M-42) du député bloquiste Gabriel Ste-Marie a été rejetée par les députés du gouvernement libéral de Justin Trudeau. En modifiant la loi et la règlementation fiscale canadienne, cette motion visait à empêcher l’évitement fiscal généralisé qui se pratique à l’aide d’entreprises incorporées à la Barbade. Pour la première fois, les élus du Parlement canadien avaient la chance de se prononcer clairement sur le phénomène inacceptable du recours aux paradis fiscaux qui fait perdre des milliards au Trésor public. «Alors qu’au plus fort du scandale des Panama Papers, le premier ministre se targuait sur la place publique d’avoir à l’œil les Canadiens qui seraient tentés par l’évitement fiscal, il refuse aujourd’hui de prendre de réelles mesures afin de fermer l’une des portes les plus importantes d’évitement fiscal. C’est tout simplement indécent ! Il faut que les bottines suivent les babines», s’indigne Claude Vaillancourt, porte-parole du collectif Échec aux paradis fiscaux.

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Accueillir les réfugiés : pratiques et politiques
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Des praticiens et chercheurs des secteurs de la santé, des services sociaux et de l’éducation, ainsi que des intervenants communautaires et des réfugiés échangeront au sujet des pratiques et des politiques permettant de mieux répondre aux défis de l’intégration des réfugiés les 22 et 23 novembre au Musée des Beaux-Arts de Montréal. Le programme s’articulera autour de quatre grands thèmes : • Mieux répondre aux besoins des réfugiés: Enjeux cliniques • Parrainage et coordination intersectorielle des politiques d’accueil • Intervention auprès des jeunes et des familles • Revendiquer des politiques plus favorables aux réfugiés. Pour s’inscrire.

 
 
Consultations sur la sécurité nationale : la LDL demande un virage des politiques fédérales

La Ligue des droits et libertés (LDL) a participé la semaine dernière aux consultations sur le cadre de sécurité nationale du Canada organisées par le Comité permanent de la sécurité publique et nationale de la Chambre des communes. Dans son intervention, la LDL dénonce les mesures antiterroristes adoptées depuis le 11 septembre 2001 et appelle le gouvernement fédéral à remettre les droits de la personne à l’avant-plan de ses politiques de sécurité nationale. La LDL rappelle que depuis les attentats de 2001, des mesures antiterroristes ont été adoptées dans la peur et la précipitation, sans débat de fond sur la pertinence de ces mesures et sans évaluation de leur impact sur notre régime de droit et sur les droits de la personne qui doivent être protégés. «Les gouvernements ont entretenu l'idée que si nous voulons plus de sécurité, nous devons sacrifier des libertés, affirme Dominique Peschard, porte-parole de la LDL. Nous tenons à souligner que cette idée est profondément erronée et dangereuse. Ce n'est pas en sacrifiant des droits qu'on obtient plus de sécurité. Les droits et libertés sont le fondement de la sécurité.»

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Libre-échange Canada-UE : les parties belges s'entendent

Une position commune de la Belgique sur le traité de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada (AECG) a été arrêtée, ce qui pourrait permettre sa signature prochaine, a affirmé jeudi le premier ministre belge Charles Michel. «Nous avons enfin trouvé un accord entre Belges, a pour sa part déclaré le ministre-président de la région francophone de la Wallonie, le socialiste Paul Magnette, chef de file des opposants à l'AECG (Accord économique et commercial global). La Wallonie est extrêmement heureuse que nos demandes aient pu être entendues.» Les opposants belges à l'AECG critiquaient notamment le mécanisme d'arbitrage (ICS) qu'il instaurerait en cas de conflit entre un investisseur et un État. Ils craignent aussi que l'accord ne dégrade la filière agricole, un enjeu majeur en Wallonie.

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La Wallonie contre le mépris.

 
 
Groupes communautaires et lobbyisme : il est temps de clore le dossier

À la suite de la présentation par le commissaire au lobbyisme de son étude, le 28 septembre dernier devant la Commission des institutions, le Réseau québécois des groupes écologistes (RQGE) souhaite réitérer sa demande de retirer officiellement la question de l’assujettissement des groupes communautaires du PL 56, à défaut du retrait du PL 56 dans son entièreté. Bien que nous saluons le fait que la ministre responsable de l’Accès à l’information et de la Réforme des institutions démocratiques, Rita de Santis, et certains député-es semblent avoir pris connaissance de la menace qu’un tel assujettissement représente, nous, organismes communautaires du secteur environnemental, réitérons le caractère irrecevable de cette étude, car elle ne propose que des aménagements administratifs plutôt que d’aborder la vraie question: Quelle est la pertinence d’un tel assujettissement?

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Mise à jour de l’outil du MÉPACQ sur la grève
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C’est en réaction aux mesures d’austérité jugées inéquitables sur les plans social, économique et politique et aussi en raison de l’incertitude qui plane sur l’avenir des groupes de l’action communautaire autonome, que le MÉPACQ s’est donné le mandat de bâtir un mouvement de grève du communautaire contre les mesures d’austérité et pour l’autonomie, la reconnaissance et le financement des groupes communautaires. À la veille des journées de grève et de fermeture du communautaire des 8 et 9 novembre, le MÉPACQ a mis à jour son outil sur la grève afin de soutenir la réflexion et d'encourager les discussions au sujet de ce moyen de pression dans vos organismes.

 
 
Projet de loi no 106 : le Front commun pour la transition énergétique réitère sa demande à Philippe Couillard de faire marche arrière sur la question des hydrocarbures
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Constatant qu’aucune modification de fond n’a été apportée au projet de loi sur les hydrocarbures malgré une opposition généralisée, le Front commun pour la transition énergétique, qui regroupe plus de 50 organisations de la société civile, s’est adressé à nouveau au premier ministre vendredi afin de l’exhorter à faire marche arrière au sujet de ce document législatif.  Le projet de loi sur les hydrocarbures est le chapitre IV du projet de loi 106 «concernant la mise en œuvre de la Politique énergétique 2030» qui est présentement à l’étude à l’Assemblée nationale. «On a rarement vu une opposition aussi généralisée à un projet de loi», souligne le Front commun dans sa lettre à Philippe Couillard, rappelant les objections de fond émises par des acteurs clés des milieux agricole, syndical, municipal, autochtone, juridique, scientifique, environnemental et citoyen.

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Le Canada, le Québec et les droits économiques, sociaux et culturels : observations finales du Comité des Nations Unies

Le 23 mars 2016, le Comité des droits économiques, sociaux et culturels des Nations Unies (le Comité) publiait ses Observations concernant le respect et la mise en œuvre par le Canada du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC). C’était la sixième édition d’un tel examen. Les précédentes Observations avaient été rendues publiques en 2006. Le texte qui suit est une version éditée du document onusien et les observations ont été regroupées par thème et par groupes visés (Premières nations, femmes, etc.). Les chiffres qui apparaissent au début de chaque paragraphe réfèrent aux paragraphes numérotés qui se trouvent dans les Observations finales du Comité. La Ligue des droits et libertés espère que ce court document permettra aux organismes québécois préoccupés par les droits économiques, sociaux et culturels (DESC) d’utiliser les conclusions de l’ONU afin de promouvoir leurs luttes sur le terrain.

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