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Décentralisation et négociation : rencontre du recteur et assemblée générale spéciale le 4 novembre
Le recteur invite les chargées et chargés de cours à une rencontre dans le but d’échanger sur le rapport des consultantes sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire de l’UQAM. Cette rencontre aura lieu à la salle Marie-Gérin-Lajoie, le vendredi 4 novembre, de 12h30 à 14h. Cette rencontre sera suivie d’une assemblée générale spéciale au local A-2885. Nous y ferons un retour sur la rencontre avec le recteur, puis nous ferons le point sur la négociation. Nous aurons alors une discussion sur des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève et sur les portes ouvertes de l’UQAM du lendemain. Votre présence à ces deux événements est de la plus haute importance.
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Affichage des charges de cours pour le trimestre d’hiver 2017: jusqu’au 4 novembre
L’affichage des charges de cours pour le trimestre d’hiver 2017 est actuellement disponible sur ACCENT. Les personnes chargées de cours ont jusqu’au 4 novembre pour enregistrer leurs candidatures. La période de réponse à la proposition des cours attribués par ACCENT sera du 11 au 16 novembre.
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Assemblées d’unité en Musique, Stratégie, responsabilité sociale et environnementale, Sciences économiques, Finance, Activité physique, Études littéraires, Didactique, Didactique des langues et Études urbaines et touristiques
La tournée des assemblées d’unité se poursuit. Elles se déroulent dans les locaux du SCCUQ (A-R540 et A-R505) à compter de 12h30. Au cours des prochains jours, nous recevrons les personnes chargées de cours (PCC) en Musique le 4 novembre, en Stratégie, responsabilité sociale et environnementale le lundi 7, en Finance et en Sciences économiques le 8, en Activité physique et en Études littéraires le 9, en Didactique et Didactique des langues le 10 et en Études urbaines et touristiques le 11. Nous abordons les problèmes rencontrés localement, les PCC élisent leurs représentants à divers postes et il sera aussi question de décentralisation, de négociation de la convention collective et de moyens de pression. Nous vous attendons en grand nombre.
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Je suis chargé de cours à l’UQAM. Un statut dont pratiquement personne ne connaît la signification. Je ne suis pas un professeur, même si j’enseigne tout comme lui, ni un auxiliaire d’enseignement. Je l’ai été plus tôt dans ma carrière, comme bon nombre de mes 2200 collègues. Depuis, baccalauréat, maîtrise et doctorat en poche, je suis enfin devenu chargé de cours. J’ai conçu des cours, je transmets aux étudiants du bac, de la maîtrise ou du doctorat des connaissances longuement mûries au cours des 15 dernières années. J’ai l’immense privilège de pouvoir travailler dans un domaine vivant, intellectuellement stimulant, qui correspond en tous points à mes aspirations. En tous points… j’exagère. En cinq ans comme chargé de cours à l’UQAM, j’ai réalisé combien mon statut était précaire et combien il me serait quasiment impossible de rester chargé de cours, tant les obstacles sont nombreux.
Lire la suite du texte de Jean-Baptiste Plouhinec, membre du Comité de négociation, publié dans les pages Débats de La Presse+.
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UQAM : «On ne sait pas si on enseignera cet hiver», disent les chargés de cours
Les chargés de cours de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) crient à l’injustice. Leur salaire est en deçà de celui accordé à leurs collègues du réseau de l’Université du Québec (UQ) et leurs emplois s’avèrent très précaires. «On ne sait pas si on enseignera cet hiver», a déploré jeudi la présidente du Syndicat des chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ), Marie Blais. Cette dernière a ajouté que parmi les 2000 enseignants qu’elle représente et qui donnent près de 60% des cours à l’UQAM, plus de la moitié est en probation, ce qui accroît la précarité de leur emploi. Le jeudi 20 octobre, les chargés de cours de l’UQAM ont reçu l’appui de plusieurs de leurs collègues d’autres universités, qui ont partagé avec eux les gains qu’ils ont pu enregistrer dans les dernières années.
Lire la suite du texte du journal Métro.
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François Turcot vient de publier Le livre blond
Le chargé de cours en Études littéraires François Turcot vient de publier Le livre blond (Éditeur : Le Cormier; La Peuplade). L’origine du Livre blond remonte à une secousse tonique, vive. Nouvellement père, désireux de rappeler un espace d’avant la mémoire pour sa propre fille, François Turcot signe autant de poèmes, d’ellipses, qui pointent un temps qui bascule, se transforme et s’échappe. On y retrouvera un nid d’aigle, des hyènes, des halos; un spectacle de bulles, des araignées profuses, un char d’eau; des ruelles en cris de gorge, des pensées en essaim, des calculs clairvoyants; des regards de braise, le pétillement des viandes, des larmes tilleul; de grandes colères, le vrai noir des campagnes, des marécages fabuleux…
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La saga des courriels de Clinton ne changera pas la dynamique de la campagne, selon Julien Tourreille
La saga des courriels vient de nouveau hanter Hillary Clinton. À l'approche de l'élection présidentielle aux États-Unis, cet événement semble être une bouée de sauvetage pour Donald Trump. Mais selon le chargé de cours en Science politique Julien Tourreille, cela ne changera pas la dynamique de la campagne. Alors que le FBI dit être en possession de nouveaux éléments qui pourraient être liés à l'enquête sur la gestion des courriels d'Hillary Clinton, le chercheur à la Chaire Raoul-Dandurand de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) précise à l’antenne de Radio-Canada qu'il faut prendre cette information avec prudence.
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Élisabeth Vallet plaide pour l'ouverture des frontières
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Pour que la création d’un Conseil des universités du Québec ne tourne pas en histoire d’horreur
Des organisations syndicales et étudiantes s’entendent sur huit grands consensus devant guider la création d’un Conseil des universités du Québec (CUQ), considérant que le contenu du document de consultation de la ministre de l’Enseignement supérieur, Madame Hélène David, ne répond pas à leurs attentes. Les signataires souhaitent la création d’un organisme public et indépendant dont le rôle serait de conseiller et de coordonner le développement du réseau universitaire, notamment en termes de répartition budgétaire, et dont la composition accorderait une place prépondérante aux membres de la communauté universitaire. «Nous sommes favorables à un organisme-conseil, mais il devra avoir le mandat de faire la promotion d’une université libre, démocratique et accessible partout au Québec», soutient Sylvain Marois, vice-président de la FNEEQ-CSN, responsable du regroupement université.
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Mémoire présenté par la CSN (conjointement avec la FNEEQ et la FP) dans le cadre des consultations ministérielles sur le projet de création du Conseil des universités du Québec. Mémoire présenté par la CSN (conjointement avec la FEESP et la FNEEQ) dans le cadre des consultations ministérielles sur le projet de création du Conseil des collèges du Québec. La CSQ présente ses recommandations sur la création d’un Conseil des universités du Québec. Mémoire de l'ICÉA sur le projet de création des Conseils des collèges et des universités.
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L’école doit être un nid du savoir, pas un nid de microbes !
Actuellement, il existe des écoles dans certaines régions du Québec où les élèves doivent apprendre dans un milieu envahi de microbes. Tout ça, parce que des commissions scolaires ont recours à la sous-traitance au lieu d’embaucher des concierges. Ces commissions scolaires préfèrent embaucher des compagnies privées, qui souvent, ont soumissionné tellement bas qu’il est impossible pour un employé d’effectuer l’ensemble des taches normales pour garantir un milieu propre pour les élèves. Cette situation, maintes fois décriée par le SCFP-Québec, fait en sorte que plusieurs écoles sont aujourd’hui des nids à microbes où souvent le personnel enseignant et clérical est obligé de se transformer en concierge.
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Violences sexuelles : le gouvernement doit adopter une vision plus globale de l’égalité femmes-hommes
Bien qu’elle se soit fait attendre longtemps, la Stratégie du gouvernement pour prévenir et contrer les violences sexuelles est accueillie favorablement par la CSN, qui déplore tout de même l’absence d’une orientation politique globale en matière d’égalité femmes-hommes. «La Stratégie du gouvernement est vraiment bienvenue, surtout dans le contexte que nous connaissons actuellement. Elle a le mérite de couvrir plusieurs volets en s’intéressant autant à l’aspect de la sensibilisation et de l’intervention qu’aux agressions et à l’exploitation sexuelles. On doit souligner le caractère essentiel de cette démarche. Cela dit, une part importante des 200 millions annoncés sur cinq ans devra être accordée aux groupes d’aide sur le terrain pour que ceux-ci puissent offrir tout le soutien nécessaire aux personnes qui en ont besoin», souligne d’entrée de jeu la vice-présidente de la CSN, Véronique De Sève.
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FTQ : Un pas dans la bonne direction.
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Services de garde éducatifs : la «taxe famille» doit être abolie
À la suite de la mise à jour économique du gouvernement du Québec et de l’annonce de surplus de 2,2 milliards de dollars, une coalition de parents, de personnalités et d’organismes, dont l’Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE), l’Association et le Rassemblement des garderies privées du Québec (AGPQ et RGPQ), la CSN, la CSQ et la FTQ, considèrent que le gouvernement doit abolir la taxe famille, qui impose un véritable choc tarifaire aux parents. Cette taxe est injustifiée puisqu’elle est modulée en fonction du revenu des parents, qui paient déjà pour les services de garde avec leurs impôts.
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Surveillance de journalistes par la police : une vaste «chasse aux sources» inacceptable
La CSN dénonce vigoureusement la surveillance policière dont font l’objet de nombreux journalistes dans l’exercice légitime de leur fonction. En plus de la surveillance de Patrick Lagacé par le SPVM, dont le cas a été rendu public en début de semaine, de nouvelles informations font état de six journalistes travaillant à La Presse, à Radio-Canada et au Journal de Montréal, épiés cette fois-ci par la Sureté du Québec. La CSN s’inquiète du peu de considération à l’égard du travail journalistique dont font preuve les corps policiers et la justice. «Il y a eu accumulation, dans les dernières années, d’histoires de surveillance policière et de perquisitions chez des journalistes. Pourtant, on l’a dit et redit, l’exercice de la liberté de presse est l’un des fondements d’un système démocratique. En agissant de la sorte, les corps policiers nuisent au travail journalistique en brisant la confiance qui doit s’établir entre un journaliste et une source. Ultimement, ils briment le droit du public d’être bien informé», affirme Jacques Létourneau, président de la CSN.
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FNC : Non à l’espionnage policier des journalistes. SCFP : Menace à la liberté de la presse : une enquête publique s’impose. FPJQ : Seule une enquête publique peut faire la lumière. Québec crée une commission d'enquête. La GRC et le SCRS ne surveillent pas les journalistes, dit Trudeau.
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Mise à jour économique du fédéral : Ottawa devrait en faire davantage dès maintenant
La Confédération des syndicats nationaux (CSN) se réjouit que le gouvernement Trudeau maintienne le cap sur les investissements dans les infrastructures, plutôt que de chercher à atteindre l’équilibre budgétaire. «En ce sens, il respecte son engagement électoral, mais nous aurions souhaité qu’il ne reporte pas à compter de 2020-2021 la majeure partie des nouvelles sommes dévolues pour les infrastructures, a déclaré le trésorier de la CSN, Pierre Patry. La situation économique et de l’emploi commandent d’agir dès maintenant. Il est regrettable de constater que le gros des efforts qu’il compte déployer au cours des 12 prochaines années ne commence que dans quatre ans.»
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20 ans d'équité salariale : une juste conquête de l'égalité
Dès la fin des années 70, la CSN s’investit dans la lutte contre la discrimination salariale dont sont victimes les femmes parce qu’elles travaillent dans des emplois à prédominance féminine. Grâce à la solidarité d’un large mouvement, la Loi sur l’équité salariale est nalement adoptée à l’unanimité par l’Assemblée nationale le 21 novembre 1996. Récit d’une grande victoire pour les femmes dans la récente publication de Perspectives CSN.
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Salaire minimum à 15 $ : la CSN déplore les deux discours de la ministre Vien
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«Il est dommage de constater que la ministre du Travail, Dominique Vien, adapte son discours aux personnes à qui elle s’adresse, a déploré le président de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Jacques Létourneau. C’est avec beaucoup de surprises que nous avons lu les propos de la ministre adressés à de jeunes entrepreneurs de la Rive-Sud, à l’effet qu’il n’était pas question de hausser le salaire minimum à 15 $ l’heure.» Lundi dernier, la Coalition 5-10-15 qui milite notamment pour relever le salaire minimum à 15$ l’heure, et dont la CSN est membre, a rencontré la ministre Vien pour lui faire part de la nécessité de réformer les normes du travail sur certains aspects. «Certes, elle ne nous a pas dit qu’elle était d’accord avec un salaire minimum à 15$, mais elle n’a jamais indiqué son opposition à une telle hausse, a poursuivi Jacques Létourneau. Elle a reconnu que le taux actuel était bas, qu’elle demanderait des études sur la question et qu’elle poursuivrait sa consultation. Devant, de jeunes patrons, elle a cru bon d’opposer clairement son refus à une revendication qui contribuerait à sortir des centaines de personnes et leurs familles de la pauvreté.»
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Blogue de l’IRIS : Salaire minimum à 15$/h : pas de bombe atomique
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Les jeunes salariées et salariés font les frais de la réforme Barrette
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Les sages-femmes dénoncent la réforme Barrette
Le Regroupement Les sages-femmes du Québec (RSFQ), en entente de service avec la CSN, est préoccupé de l’intransigeance manifestée par le gouvernement dans l’amorce de leurs négociations. «Le porte-parole du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a d’emblée exprimé une fin de non recevoir pour la majorité de nos demandes et soutient que la négociation se fera à coût zéro. Cette position idéologique du MSSS nous inquiète grandement», souligne d’entrée de jeu la présidente du RSFQ, Mounia Amine. L’analyse de coûts publiée le 5 mai dernier le démontre : la pratique sage-femme permet de réaliser des économies substantielles. Un accouchement avec sage-femme coûte moins cher qu’avec un médecin. Le système de santé canadien pourrait économiser près de 25 millions de dollars si le taux de césariennes (d’environ 26 % au Canada) était ramené au maximum de 15 % recommandé par l’Organisation mondiale de la santé.
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La FNC défend Radio-Canada aux consultations sur le numérique
Le 28 octobre, la présidente de la Fédération nationale des communications (FNC–CSN), Pascale St-Onge, a participé aux consultations pour la refonte de toute la politique culturelle canadienne dans un monde numérique, en présence de la ministre du Patrimoine canadien, Mélanie Joly. Saluant la décision du gouvernement Trudeau de relever le financement de Radio-Canada au niveau de ce qu’il était avant les compressions imposées par l’ancien gouvernement, Pascale St-Onge a plaidé pour que le gouvernement investisse davantage. Elle a invité le gouvernement à redonner à Radio-Canada les moyens nécessaires pour recommencer à produire elle-même des contenus uniques en phase avec sa mission. Actuellement, Radio-Canada reçoit l’équivalent de 33 $ par année par citoyen canadien en crédits parlementaires alors que la moyenne de financement public dans les pays de l’OCDE équivaut à 87 $.
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En route vers le 65e Congrès de la CSN : la parole est à vous
Le 65e Congrès de la CSN se tiendra du 5 au 9 juin 2017. Il se déroulera dans un contexte politique particulièrement préoccupant. Si le gouvernement du Québec respecte la Loi électorale qui établit des élections à date fixe, le prochain mandat de la CSN (2017–2020) sera ponctué d’une élection provinciale qui devrait se tenir le 1er octobre 2018. L’approche d’une élection générale est un bon moment pour susciter des discussions, voire une mobilisation, sur des enjeux importants pour la société québécoise. C’est dans cette perspective et afin de sonder le plus de membres possible que la CSN entame cette vaste consultation. Celle-ci devrait nous conduire à un ensemble de revendications de politiques publiques qui seront adoptées lors du prochain congrès. Ces revendications serviront à la production d’un manifeste ou d’une plateforme de revendications qui guidera nos actions dans les prochaines années.
Lire la suite et visionner la vidéo.
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Kenya : nouvel accord salarial pour les enseignantes et enseignants
La semaine dernière s’est terminé par une bonne nouvelle pour les syndicats de l’éducation du Kenya qui ont signé une convention collective historique prévoyant une hausse sensible des salaires.
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Une chercheuse de l’UQAM forcée par la justice de révéler l’identité de ses sources
Une entreprise a obtenu une ordonnance de la cour afin de contraindre la chercheuse Marie-Ève Maillé à lui révéler les noms des participants à une étude qui fait état de la détérioration du climat social dans les communautés où son parc éolien a été construit. Cette première juridique inquiète la communauté scientifique canadienne, qui estime que la démarche de l'entreprise Éoliennes de l'Érable à l'endroit de cette professeure associée de l'UQAM pourrait porter atteinte à la confidentialité des sources universitaires, risquant du coup de freiner la participation des citoyens aux recherches canadiennes.
Lire la suite du texte de Radio-canada.
L’UQAM a pris la décision d’intervenir dans les procédures judiciaires.
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Radicalisation : une chaire de recherche à l'Université de Sherbrooke en collaboration avec l’UQAM
La recherche sur la lutte contre la radicalisation aura droit de cité à l'Université de Sherbrooke, qui accueillera une nouvelle chaire de calibre mondial. L'annonce de cette nouvelle chaire de recherche a été faite lundi, dans le cadre de la conférence internationale sur la lutte contre la radicalisation des jeunes, parrainée conjointement par le gouvernement du Québec et l'UNESCO, un événement qui se tient à Québec jusqu'à mardi. Le projet de chaire, piloté par l'Université de Sherbrooke et l'Université du Québec à Montréal (UQAM), vise à regrouper l'ensemble de l'expertise québécoise sur la question du radicalisme et de l'extrémisme menant à la violence.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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La Chine comme partenaire de recherche pour l'UQAR
L'Université du Québec à Rimouski (UQAR) vient de conclure deux ententes de partenariat avec des universités chinoises, a appris Radio-Canada. Ces ententes visent à accroître ses collaborations de recherche dans le domaine des sciences de la mer. Celle avec l'Huzhou University permettra de mettre sur pied un laboratoire de recherche international sur l'aquaculture et les environnements marins. Quant à l'entente avec l'Ocean University of China, elle devrait favoriser les échanges des chercheurs et des étudiants en océanographie entre les établissements d'enseignement.
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Manifestation de l’ASSÉ contre l’austérité le 5 novembre
L'ASSÉ invite étudiants et étudiantes, travailleuses et travailleurs, citoyens et citoyennes à participer à sa manifestation nationale et à démontrer d'une seule voix que cet automne, l'austérité ne passera pas. Rendez-vous le 5 novembre, Parc linéaire de la Commune (coin St-Laurent), à 13 h. La mise à mort des services publics se poursuit sous la gouverne de Couillard, Coiteux, Leitao et leur bande. À long terme, c'est la privatisation du système de santé et d'éducation que nous pouvons entrevoir, et de ce fait, l'accroissement des inégalités sociales.
Lire la suite.
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Gratuité scolaire : Manifestations étudiantes dans plusieurs provinces canadiennes
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Près de 40% des étudiants canadiens vivent dans l'insécurité alimentaire
Près de deux étudiants canadiens sur cinq sont dans une précarité telle qu'ils disent vivre dans un état d'insécurité alimentaire. C'est du moins la conclusion à laquelle arrive l'organisation de charité canadienne Meal Exchange après avoir réalisé un sondage auprès de 4500 étudiants provenant de cinq universités réparties en Ontario, Nouvelle-Écosse et Alberta. Ainsi 39 % des étudiants questionnés affirment ne pas avoir accès à des aliments «nutritifs». Et des groupes sociaux considérés comme étant plus vulnérables - que l'on pense aux étudiants autochtones, à ceux de couleurs ou encore aux parents sur les bancs d'école - connaissent un degré encore plus élevé d'insécurité alimentaire, soutient le rapport. L'étude souligne également que le nombre de programmes d'aide alimentaire dans les universités canadiennes a doublé depuis 2004.
Lire la suite du texte de La Presse.
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Les écoles québécoises sont les plus inégalitaires au pays, selon un rapport
Les écoles québécoises sont les plus inégalitaires au pays, déplore un rapport qui critique durement le gouvernement. Dans son tout dernier rapport, le Conseil supérieur de l'éducation (CSE) estime que la «justice sociale» et les valeurs défendues collectivement sont mises en péril à l'école. Selon cette instance consultative de réflexion, il est temps de «remettre le cap sur l'équité» en éducation et la «justice scolaire» au calendrier politique. «Si nous poursuivons dans la voie actuelle, notre système scolaire, de plus en plus ségrégé, court le risque d'atteindre un point de bascule et de reculer sur l'équité», craignent les auteurs du rapport. Le document constate que «la différence de performance entre les élèves des écoles défavorisées et ceux des écoles favorisées est toujours sensiblement plus importante au Québec que dans les autres provinces ou régions du Canada».
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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Sondage : Votre école publique
Le mouvement citoyen Je protège mon école publique (JPMEP) participera cet automne à différentes consultations sur l'éducation. Ce sondage vise à valider vos opinions et positions, chargées et chargés de cours avec enfants, afin de bien vous représenter. Il ne prendra que de 10 à 15 minutes de votre temps… ou peut-être un peu plus si vous avez beaucoup de choses à nous dire!
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La diversité culturelle au programme des futurs profs
Pauvre en diversité culturelle, la formation des futurs enseignants devra contenir beaucoup plus de cours et une formation de base obligatoire en la matière, réclame le milieu universitaire en éducation. Lancées le mois dernier par le ministre de l’Éducation, les consultations publiques sur une nouvelle politique sur la «réussite éducative» devraient mener à l’adoption de mesures beaucoup plus contraignantes pour aider au vivre-ensemble à l’école.
Lire la suite du texte du Devoir.
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Les raids aériens qui ont frappé des écoles en Syrie déclenchent la colère de la communauté éducative
La communauté internationale a immédiatement et vigoureusement condamné les raids aériens contre des écoles de Hass et d’Alep, qui ont coûté la vie à au moins 25 enfants et six enseignantes, et fait de nombreux blessés. Ces frappes aériennes ciblées, qui ont débuté le mercredi 26 octobre à Hass et se sont poursuivies le lendemain dans la ville assiégée d’Alep, ont fait entrer le conflit syrien dans une nouvelle dimension au regard du niveau de destruction sans précédent.
Lire la suite.
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Entre engagement et épuisement : le Réseau québécois de l’action communautaire autonome sonne l’alarme
Le Réseau québécois de l’action communautaire autonome (RQ-ACA) lance un rapport dénonçant la nette dégradation des conditions de vie des personnes qui, intensifié par un sous-financement chronique, entraîne l’épuisement du milieu communautaire. Intitulé Les organismes d’action communautaire autonome : entre engagement et épuisement, ce rapport est issu de la Commission populaire pour l’action communautaire autonome (ACA), qui a tenu 13 audiences dans 12 régions du Québec, et a entendu plus de 1 100 personnes. Les témoignages recueillis lors de la Commission populaire ont souligné que les effets de l’austérité ont laissé les plus vulnérables sur le carreau.
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Mise à jour fédérale : Vers la financiarisation des infrastructures canadiennes?
Une semaine après son homologue québécois, le ministre des Finances du Canada, Bill Morneau, dévoilait mardi à Ottawa une mise à jour économique. Il faut d’abord y voir une réponse à la conjoncture économique. Comme ailleurs dans le monde, le capitalisme canadien stagne – on ne semble même plus croire à une éventuelle reprise – et le gouvernement cherche à jouer un rôle de stimulation. Est-ce assez? Tout semble indiquer que non. Un gouvernement qui prendrait le taureau par les cornes pourrait aller bien plus loin. À titre d’exemple, dans leur dernier budget alternatif fédéral, nos collègues du Centre canadien de politiques alternatives (CCPA) proposaient un plan de relance qui porterait le déficit à plus de 2 % du PIB la première année, mais créerait 360 000 emplois. Le déficit fédéral a beau faire couler beaucoup d’encre, il demeure très petit (1,2 % du PIB), et en deça de ce qui était prévu : 25 milliards de dollars plutôt que 29 milliards (p. 63 de la mise à jour économique).
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Conférence-débat sur les solutions fiscales le 29 novembre
Une conférence-débat «Solutions fiscales : nous avons les moyens de faire autrement» aura lieu le 29 novembre prochain, de 12h30 à 17h à la BAnQ du Vieux-Montréal, 535, rue Viger Est, à Montréal. Un «5 à 7» suivra, pour le lancement du nouveau numéro de la revue Relations. Animé par la journaliste Françoise Guénette, cet événement se veut l’occasion de mieux connaître les solutions fiscales proposées depuis 2010 par la Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics, formée d’une centaine de groupes communautaires, syndicaux et étudiants.
Lire la suite.
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Mise à jour économique : prestidigitation de haut calibre
Ça y est. On a maintenant tous les détails de la mise à jour budgétaire du gouvernement Couillard. On dit, sur toutes les tribunes, en lettres majuscules et avec des couleurs flamboyantes, que le gouvernement réinvestit enfin dans les services publics. En tout, 2,2 G$ de plus répartis en santé, en éducation, en infrastructures et en soutien régional. Par contre, à être trop enthousiaste, on manquera les notes de bas de page, écrites toutes petites, à l’encre presque invisible à en croire la couverture médiatique. D’une part, c’est beaucoup moins qui sera investi dans nos services, mais surtout, c’est énormément plus qu’on cache par un jeu de main astucieux.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Mise à jour économique : l’austérité, seul horizon possible ?
La semaine dernière, le ministre des Finances du Québec, Carlos Leitão, a annoncé en grande pompe un surplus budgétaire de 2,2 milliards $ pour l’exercice financier 2015-2016. Il a aussi annoncé l’injection de quelques centaines de millions $ en santé et en éducation, de même que des réinvestissements dans le développement économique régional et les infrastructures. Force est d’admettre que les sommes réinvesties représentent des miettes par rapport aux coupes draconiennes des deux dernières années.
Lire la suite du texte du Collectif pour un Québec sans pauvreté.
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Le 4 à 7 de la parité en culture, en politique et en économie
Qu'ont en commun les milieux décisionnels de la culture, de la politique et des affaires? Ils comptent bien peu de femmes dans leurs rangs. Voilà pourquoi des femmes de ces milieux débattront ensemble des enjeux et des solutions pour parvenir à la parité, et ce, dans une perspective de diversité le mercredi 16 novembre à 16h à la librairie Zone libre, 262 Sainte-Catherine Est à Montréal. Ce débat est présenté par l'Institut de recherche et d'études féministes (IREF) et par le Groupe Femmes, Politique et Démocratie (GFPD).
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Vers plus de croissance (des élites) ou bienvenue au Club des 27
À la mi-octobre, le gouvernement a annoncé la formation d’un groupe-conseil qui se penchera sur les meilleures manières de relancer le Québec sur les voies de la croissance économique. Peu de choses sont connues de ce groupe, sauf qu’il est composé de 27 personnalités du monde des affaires et qu’il est présidé par Monique Leroux, celle-là même qui fut à la tête de la coopérative, pardon, du Mouvement Desjardins de 2008 à 2016. Leur rapport est attendu – surprise! – juste avant les prochaines élections et leur première rencontre est prévue au début novembre. Mais c’est un hasard nous assure-t-on.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Nouvelles règles de preuve et de procédure du TAT : l’exercice des recours par les travailleuses et les travailleurs deviendra-il plus difficile?
Le 5 octobre dernier, le Tribunal administratif du travail (TAT) faisait publier à la Gazette officielle du Québec un projet de règlement sur ses règles de preuve et de procédure. Lorsqu’il aura été approuvé par le gouvernement, ce règlement remplacera les règles de la Commission des lésions professionnelles (CLP) et de la Commission des relations du travail (CRT) qui sont toujours en vigueur malgré la fusion des deux tribunaux le 1er janvier dernier. Bien que plusieurs puissent considérer ce type de règlement comme étant quelque chose de très technique qui s’adresse avant tout aux plaideurs, on ne doit pas minimiser l’importance que cela aura sur l’exercice des droits et recours des travailleuses et des travailleurs. En effet, plus on ajoute des contraintes procédurales, plus le risque de ne pas pouvoir exercer correctement un droit ou un recours augmente, particulièrement pour les personnes qui ne font pas partie d’une organisation qui offre un soutien à ses membres.
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La LDL demande le retrait du projet de loi 62, qu’elle juge discriminatoire
La Ligue des droits et libertés (LDL) est intervenue en commission parlementaire mardi pour demander le retrait du projet de loi 62. Elle considère que le projet de loi crée du profilage religieux de nature discriminatoire et va ainsi à l’encontre de la neutralité religieuse de l’État, qui vise au contraire à éviter toute forme de discrimination fondée sur des critères religieux entre les individus. «Le projet de loi 62 propose un ensemble de critères pour encadrer les demandes d’accommodements qui ouvrent la porte à plus d’arbitraires et à des pratiques discriminatoires, affirme Me Lucie Lamarche, porte-parole de la LDL. Ces critères risquent dans les faits d’interdire les demandes d’accommodements, y compris le rare cas du visage couvert.»
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Mémoire de la LDL présenté au Comité parlementaire sur la sécurité publique et nationale : Remettre les droits humains au centre de nos politiques de sécurité.
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Stratégie centre-ville : le RAPSIM demande un développement du centre-ville qui respecte le droit de cité de tous et toutes
Le RAPSIM a déposé un mémoire et fera entendre ses préoccupations à l’égard du projet de Stratégie centre-ville lors de la séance d’audition des opinions le jeudi 10 novembre prochain à l’Office de consultation publique de Montréal. Ambitieux projet de revitalisation du centre-ville de Montréal, la Stratégie centre-ville vise à densifier et à dynamiser le secteur en y attirant plus de résidents, de bureaux et de commerces. Grands chantiers, réaménagements, densification : des enjeux majeurs se posent pour les personnes en situation d’itinérance et les ressources qui leur viennent en aide. Le RAPSIM demande un développement du centre-ville qui respecte le droit de cité de tous et toutes, c’est-à-dire le droit d’occuper l’espace public ou d’habiter un quartier, peu importe son statut ou sa situation sociale.
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Projet de loi 106 : les 2/3 des Québécois ne veulent pas d’exploitation des hydrocarbures au Québec
À la veille de l’étude détaillée du projet de loi sur les hydrocarbures (le chapitre IV du projet de loi 106) à Québec, le Front commun pour la transition énergétique publie un sondage SOM qui remet en cause le fondement même de ce projet de loi. En effet, selon le sondage mené du 6 au 17 octobre dernier, une forte majorité de Québécois s’oppose à l’exploitation des hydrocarbures au Québec ainsi qu’à l’adoption d’une loi qui permettrait l’utilisation de procédés comme la fracturation hydraulique, la fracturation à l’acide ou la stimulation des puits à l’acide — procédés qui sont généralement nécessaires pour extraire le pétrole et le gaz au Québec, en raison des types de gisement qu’on y trouve. Une majorité écrasante rejette aussi les droits d’accès et d’expropriation que ce projet de loi octroie aux pétrolières et aux gazières. Le sondage démontre de plus que la grande majorité de la population n’est pas d’accord pour que le gouvernement injecte des fonds publics dans l’industrie des hydrocarbures.
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Réduction des GES : la contribution d'Hydro-Québec
À l’automne 2015, le gouvernement Couillard lançait en grande pompe son Plan d’action sur l’électrification des transports (PAÉT) 2015-2020, avec un budget de plus de 420 millions $, qui devrait permettre de réduire de 150 000 tonnes les émissions de GES au Québec. Or, pour un coût beaucoup moindre, Hydro-Québec pourrait réduire d’un peu plus de 200 000 tonnes les émissions de CO2 en éliminant son utilisation d’énergie fossile pour le fonctionnement des centrales thermiques de ses réseaux autonomes. Présentation des faits par l’Institut de recherche en économie contemporaine.
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La Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles : plus de 20 ans de transformation sociale
La Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles (Table) célébrait le 27 novembre ses 20 années d’existence. 20 ans à promouvoir l’action communautaire autonome et une vision large de la santé et des services sociaux. 20 ans de transformation sociale. L’événement se tenait quelques heures après le lancement d’un rapport témoignant des grandes difficultés que l’austérité fait vivre à la population et aux organismes communautaires. «Créer, renforcer et développer la santé globale des personnes c’est tellement plus vaste qu’uniquement soigner la maladie, soulignait Jérome Di Giovanni, président de la Table. C’est construire une société démocratique qui se préoccupe de tous et toutes. La santé passe autant par un revenu suffisant, la participation citoyenne de toutes et tous, particulièrement celle des personnes vulnérables, que par un environnement exempt de violence, l’égalité entre les hommes et les femmes ou des réseaux de soutien et d’entraide.» «Comme l’indique le rapport Les organismes d’action communautaire autonome : entre engagement et épuisement plusieurs luttes restent à faire pour les 3000 groupes que nous rejoignons, a poursuivi Mercédez Roberge, coordonnatrice de la Table formée de 43 regroupements provinciaux actifs à la grandeur du Québec. Obtenir un financement de base pour accomplir leur mission est un bon exemple des défis à relever.»
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