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Quelque 120 travailleuses et travailleurs de distribution Multi-Marques de Laval, qui produit les pains Pom, Bon Matin et Villaggio, ont été mis sauvagement en lock-out, le 1er avril à 0h01, sans autres formalités. Pour le Syndicat des travailleurs et travailleuses de distribution Multi-Marques-Laval, la Fédération du commerce (FC-CSN) et la Confédération des syndicats nationaux (CSN), cette mise en lock-out de Canada Bread et de la propriétaire mexicaine Grupo Bimbo est totalement injustifiée, les négociations se déroulant relativement bien jusqu’à la toute dernière minute précédant le lock-out. Mais il faut aussi savoir qu’il s’agit l’un des pires employeurs au Canada: depuis 2002, l’entreprise bloque de façon intentionnelle le versement des rentes à ses employé-es retraité-es dont quelques-uns sont même décédés, soutient la CSN. Et nous apprenions cette semaine que l’entreprise a contrevenu au Code du travail du Québec en confiant une part de sa distribution à des briseurs de grève.
Je vous raconte cela parce qu’il faut se solidariser avec ces travailleuses et travailleurs, mais aussi parce que tous les pains des cafétérias de l’UQAM proviennent de Multi-Marques à Laval. On va me dire que l’UQAM a un contrat qu’elle doit respecter. Durant ce temps, l’entreprise, elle, bafoue les lois québécoises et se moque totalement de ses travailleuses et travailleurs. Durant le lock-out au Journal de Montréal, Rue Frontenac avait fait une entrevue avec le caricaturiste français Plantu. Nous avions dû lui expliquer ce qu’est un lock-out, concept qui n’existe pas en France. Il avait répondu du tac au tac «chez nous on appelle ça du fascisme». Non, je ne dirai pas que l’UQAM encourage le fascisme, mais un sale lock-out, oui.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
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Conseil syndical élargi du 3 mai : rencontre avec les candidates et candidats au rectorat de l’UQAM
Le SCCUQ recevra les candidates et candidats au rectorat de l’UQAM le mercredi 3 mai, à midi, au DS-M425 (Pavillon J.-A.-De Sève) dans le cadre d’un conseil syndical élargi. Les déléguées, délégués et autres membres présents auront alors l’occasion d’échanger avec les personnes dont le comité de sélection aura retenu la candidature, soit madame Monique Brodeur, madame Corinne Gendron et monsieur Luc-Alain Giraldeau. Les personnes présentes discuteront également des propositions que le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM entend amener au 65e Congrès de la CSN. Les points Rapport des déléguées et délégués et Dons de solidarité sont aussi à l’ordre du jour.
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Assemblée annuelle du Régime de retraite des chargées et chargés de cours le 3 mai
L’assemblée annuelle du Régime de retraite des chargés de cours de l’Université du Québec se tiendra le mercredi 3 mai, à 17h, au lieu social du SCCUQ (A-R540). Il sera question d’administration du régime et de placements. Un léger goûter (vin et fromages) sera servi. Toutes les cotisantes et tous les cotisants au régime sont la bienvenue.
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Prochaine date de dépôt pour les projets d’intégration : le 5 mai
La prochaine date de dépôt pour les projets d’intégration (plan annuel) est le vendredi 5 mai. La trousse d’informations sur les projets d’intégration et le formulaire pour faire une demande de projet d’intégration sont mis à jour. Nous vous invitons à utiliser ces nouvelles versions pour transmettre par courriel votre projet auprès du Comité de liaison local (CLL) de votre unité afin qu’il soit étudié et approuvé. Votre CLL assurera la transmission des projets en 8 exemplaires auprès du Comité de liaison institutionnel (CLI), et ce pour le 19 mai.
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Assemblées d’unité facultaires : Sciences humaines le 9 mai, ESG le 11 mai et Science politique et droit le 12 mai
Signe que le printemps est bien établi, les assemblées d’unité facultaires sont de retour. Les chargées et chargés de cours en Sciences humaines se rencontreront le mardi 9 mai à 12h30 au A-R542, celles et ceux de l’École des sciences de la gestion se verront le jeudi 11 mai à 12h30 au A-R542 et les personnes chargées de cours en Science politique et droit feront de même le vendredi 12 mai à 12h30 au A-R542. Les dates pour les quatre autres facultés vous seront communiquées bientôt. Étant donné qu’un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence pour ces trois rencontres auprès de Nathalie Blanchet, à blanchet.nathalie@uqam.ca ou par téléphone au poste 2791.
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Deuxième rencontre de préparation des États généraux de l’enseignement supérieur, le 10 mai
Afin de préparer les États généraux de l’Enseignement supérieur (ÉGES) qui auront lieu à Québec du 18 au 20 mai 2017, le SCCUQ invite ses membres à une deuxième rencontre préparatoire. Les thèmes abordés aux ÉGES porteront notamment sur le financement public de l’enseignement supérieur, les missions des réseaux en enseignement supérieur et l’accessibilité aux études supérieures. Cette rencontre aura lieu le mercredi 10 mai à partir de 12h au lieu social du Syndicat (A-R540). Étant donné qu’un lunch sera offert, vous devez confirmer votre présence à Olivier Aubry, vice-président aux relations intersyndicales (poste 6741# ou aubry.olivier@uqam.ca).
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Olivier Aubry et Robert Drouin conservent leur poste d’officier syndical
Les chargées et chargés de cours présents à l’assemblée générale statutaire du 24 avril ont réélu Olivier Aubry à la vice-présidence aux relations intersyndicales et Robert Drouin au poste d’agent de relations de travail. Les autres officiers syndicaux ont été élus par acclamation, soit Gaëlle Breton-Le Goff à la vice-présidence à la convention collective, Marie Bouvier à la trésorerie, Hélène Belley au secrétariat général ainsi que Mariève Ross et Jean Régnier au Comité mobilisation-intégration.
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Lettre d’entente pour les personnes chargées de cours qui enseignent au DESS-CPA
Une lettre d’entente relative à l’indemnité ou à la rémunération versée pour des activités de correction critique des examens communs du DESS-CPA a été conclue au début du mois d’avril. Cette lettre d’entente permet à des personnes chargées de cours qui répondent aux EQE d’obtenir des heures de correction critique dans le cadre des examens communs du programme de DESS-CPA. La lettre d’entente prévoit que l’Université offrira en priorité des heures de correction aux personnes chargées de cours qui assument des charges de cours au DESS-CPA sous réserve de répondre aux EQE pour les corrections. Les personnes chargées de cours qui répondent aux EQE mais qui n’enseignent pas de cours au DESS-CPA seront ensuite sollicitées.
Les corrections seront rémunérées 63$ de l’heure incluant les avantages sociaux et les vacances, mais ne permettront pas d’obtenir du pointage. Le nombre d’heures de correction critique devra s’approcher de la cible de 20,25 heures par charge de cours de 45 heures assumée. Les personnes chargées de cours qualifiées et intéressées à faire des heures de correction critique dans le cadre des examens communs du DESS-CPA, doivent donc contacter la direction du Département des sciences comptables avant chaque trimestre.
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Réalités plurielles étudiantes : enjeux et défis, conférences le 17 mai
Conférences et réflexions pédagogiques sur les réalités sociales, culturelles, linguistiques et technologiques des étudiants de l’UQAM organisées par le Centre de formation en soutien à l’académique de l’UQAM le mercredi 17 mai de 8h30 à 18h. Connaissez-vous les nouvelles populations étudiantes? Qu’en est-il de l’éducation inclusive en milieu universitaire? Les environnements numériques d’apprentissage: pourquoi et comment? «Les cours basés uniquement sur des exposés magistraux n'ont plus la même portée pédagogique et plusieurs enseignants sont ébranlés et démunis à l'idée de devoir revoir leurs méthodes d'enseignement», constate Hélène Meunier, chargée de cours aux Départements de didactique et d'éducation et pédagogie et une des organisatrices de la journée, peut-on lire sur Actualités UQAM.
Consultez le programme détaillé.
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Melissa Mongiat, Mouna Andraos, Stéphane Pratte et Judith Portier contribue au parcours d’art public temporaire KM3
Le parcours d’art public temporaire KM3 (prononcez «kilomètre cube») se tiendra du 30 août au 15 octobre 2017 à l’occasion du 375e anniversaire de Montréal. Le projet du Partenariat du Quartier des spectacles (PQDS) est animé par les chargées de cours à l'École de design et commissaires Melissa Mongiat et Mouna Andraos de Daily tous les jours. En tant que partenaire du PQDS, l'UQAM accueillera deux œuvres du parcours, soit une création de l'artiste et diplômé Michel de Broin et un dispositif interactif réalisé par des étudiantes du D.E.S.S. en design d'événements, en collaboration avec le chargé de cours de l'École de design et architecte associé chez atelier in situ Stéphane Pratte. La designer et chargée de cours Judith Portier présente également un projet dans le cadre du parcours KM3, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Expo 67 : un important legs pour Montréal constate Mohamed Reda Khomsi
Le thème général rassembleur de l’Expo 67, «Terre des Hommes», la collaboration entre les acteurs municipaux, provinciaux et fédéraux pour sa préparation et la constante d’immédiateté imposée par l’échéancier de l’événement: tous ces éléments ont contribué à positionner Montréal sur la carte du monde en tant que ville attrayante d’un point de vue touristique et événementiel. C’est du moins le constat que fait le chargé de cours en études urbaines et touristiques Mohamed Reda Khomsi, de l’École des sciences de la gestion, pour le journal Métro.
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Frédéric Castel contribue à déboulonner des mythes sur les musulmans au Québec
Le chargé de cours en sciences des religions Frédéric Castel contribue à déboulonner des mythes sur les musulmans au Québec pour l’Agence Science-Presse. Plusieurs Québécois les imaginent repliés sur eux-mêmes, vivant en marge de la société. En fait, selon Frédéric Castel, l’immigration musulmane au Québec est plutôt scolarisée. Quatre femmes sur 10 et près de 5 hommes sur 10 qui immigrent au Québec sont des diplômés universitaires. En entrevue à La Presse en 2015, il en parlait comme d’une «élite professionnelle».
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Donald Cuccioletta dresse un bilan des 100 premiers jours de Donald Trump et commente la tension entre les États-Unis et la Corée du Nord
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André Lamoureux analyse le déclenchement des élections britanniques et les lois contre le trafic de cannabis et la consommation de la drogue au volant
La première ministre britannique, Theresa May, a appelé la semaine dernière à la tenue d’élections législatives anticipées le 8 juin, rompant sa promesse de respecter le scrutin à date fixe prévu en 2020. «Elle doit avoir une voix forte devant le conseil européen et elle vient de montrer que c’est une politicienne stratégique, qui veut non seulement déjouer l’opposition, mais aussi montrer à son propre parti qu’elle a la légitimité de négocier le Brexit», analyse André Lamoureux, chargé de cours en sciences politiques, pour Le Devoir. Il a également commenté le durcissement des lois contre le trafic de cannabis et la consommation de l’alcool et la drogue au volant proposé par le gouvernement Trudeau. «La Loi se présente comme plus stricte contre les criminels, et je suis aussi de cet avis. Les nouvelles mesures seront sûrement testées devant les tribunaux, mais je crois qu’elles sont assez dissuasives», a dit André Lamoureux au Journal de Montréal.
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Julien Tourreille commente le premier tour des élections présidentielles françaises
«Cette fois, les sondeurs ont vu juste», souligne en riant Julien Tourreille, chargé de cours au Département de science politique et chercheur en résidence à la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Comme prévu, le candidat centriste pro-européen Emmanuel Macron (24%) et la candidate du Front national Marine Le Pen (21,3%) sont effectivement sortis gagnants du premier tour des élections présidentielles françaises. Les deux candidats s'affronteront lors du deuxième tour, qui aura lieu le 7 mai. Avec un président socialiste présentant une cote de popularité abyssale, le candidat du parti Les Républicains, François Fillon, aurait pourtant dû l'emporter facilement, estime Julien Tourreille. «Les Républicains ont sous-estimé l'impact des scandales pour lesquels leur candidat a été mis en examen. Ils auraient dû choisir un autre candidat», peut-on lire sur Actualités UQAM. Julien Tourreille a également commenté ses élections à l’antenne de RDI Économie.
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Journée internationale de commémoration des victimes d’accidents et de maladies du travail : se souvenir des morts, lutter pour les vivants!
Chaque année dans le monde, plus de 2,3 millions de travailleuses et travailleurs perdent la vie à la suite d’un accident ou d’une maladie du travail. Plus de 430 millions d’autres se blessent ou sont rendues malades à cause de leur travail. Pour que ces travailleuses et ces travailleurs ne soient pas oubliés, le mouvement ouvrier a fait du 28 avril une journée dédiée aux victimes du travail. Encore une fois cette année, la journée sera soulignée par des organisations ouvrières dans plus de 110 pays.
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En 2012, Gervais Valois perdait la vie à la suite d’un accident à l’aluminerie de Baie-Comeau : Témoignages.
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Joignez-vous à la marche du 1er Mai
Le 1er mai, c’est la Fête internationale des travailleuses et des travailleurs. Ce sera l’occasion de réitérer nos revendications au sein de la coalition 5-10-15. Notamment que • Chacun puisse connaître son horaire de travail au moins cinq jours à l’avance ; • Chacun puisse bénéficier de 10 jours de congés payés par année pour cause de maladie ou de responsabilités familiales ; • Le salaire minimum soit rehaussé à 15$ l’heure. Vous êtes invité à vous joindre à nous en grand nombre pour la marche du 1er Mai. Cette année, la marche se fera sous le thème Le travail pas à n'importe quel prix! Le départ de la marche se fera à 18h du parc Jean-Brillant, métro Côte-des-Neiges.
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Des états généraux de l’enseignement supérieur, pourquoi ?
À la lecture des conclusions des États généraux de l’éducation de 1995-1996, il est stupéfiant de constater que les choses n’ont guère changé. Les derniers états généraux ne s’étant pas avérés un moteur de changement, pourquoi vouloir organiser en 2017 des États généraux de l’enseignement supérieur? Peut-être simplement parce que nous en avons le devoir! Nous espérons pouvoir dégager des pistes d’action, qui tiendront compte des diverses consultations gouvernementales et du calendrier électoral québécois.
Lire la suite du texte de la FNEEQ.
Visionner la vidéo.
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Chargées, chargés de cours de la FNEEQ : de réelles avancées, mais encore du chemin à parcourir
Trente ans se sont écoulés depuis l’adoption en 1987 de la première plateforme commune des chargé-es de cours membres de la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ–CSN). À l’époque, six syndicats provenant de différentes universités (universités du Québec à Montréal, Chicoutimi et Rimouski, Université de Montréal et Université Laval) avaient décidé de s’appuyer les uns les autres pour tenter de réaliser des gains, notamment en matière de rémunération, en adoptant une plateforme de demandes communes. Cette première négociation coordonnée sera fructueuse. Au cours des années qui suivront, les chargé-es de cours connaîtront une augmentation salariale moyenne de 60%. Aujourd’hui, les chargé-es de cours forment le plus vaste corps enseignant des universités québécoises.
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Bénévolat dans les travaux de construction : un projet de règlement inacceptable
La Confédération des syndicats nationaux encourage les citoyennes et les citoyens à s’impliquer bénévolement dans leur communauté. Or, le projet de règlement présenté par la ministre du Travail, Dominique Vien, prend prétexte du manque de personnel dans les services publics et de l’état de délabrement des bâtiments publics, causé par les politiques d’austérité et le sous-financement récurrent, pour imposer une très large dérèglementation des travaux de construction avec des conséquences importantes sur l’industrie de la construction comme sur la santé et la sécurité de la population. C’est bien à cause du sous-financement des réseaux que des édifices doivent aujourd’hui faire l’objet de travaux majeurs, voire être carrément démolis puis reconstruits et pour la CSN c’est sur le volet du financement qu’il faut agir afin d’assurer la pérennité de nos bâtiments publics.
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Visons des ajustements, pas un chamboulement, soutient la FTQ-Construction. «La déresponsabilisation de l’État va trop loin» - Louise Chabot, présidente de la CSQ. Le gouvernement se défile de ses responsabilités, selon la FPSS-CSQ.
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La CSN et la FTQ demandent au gouvernement fédéral une action immédiate concernant la taxe sur le bois d’œuvre canadien
La CSN réagit fortement à la décision imminente du gouvernement américain d’imposer des tarifs punitifs sur le bois d’œuvre canadien et incite le premier ministre canadien à prendre dès maintenant les mesures qui s’imposent pour soutenir l’industrie forestière. «Lors d’une rencontre récente avec des représentants de Justin Trudeau concernant cette épineuse question, nous avons obtenu l’assurance selon laquelle une forme de soutien adéquat allait être apportée dès que la teneur de la décision serait connue. Nous enjoignons le bureau du premier ministre à joindre la parole aux actes et à réagir aujourd’hui même, dès que l’annonce inadmissible tombera», affirme le président de la CSN, Jacques Létourneau.
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La FTQ dénonce la surtaxe sur le bois d’œuvre que veulent imposer les États-Unis : Québec et Ottawa doivent agir.
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Négociations à la Commission scolaire Kativik : les syndicats dénoncent la mauvaise foi patronale et l’inaction du gouvernement
Des dizaines de membres de l'Association des employés du Nord québécois (AENQ-CSQ) et du Syndicat des professionnelles et professionnels de l'Ouest de Montréal (SPPOM-CSQ) ont manifesté mercredi midi devant le siège social de la Commission scolaire Kativik, à Ville Saint-Laurent. Ils souhaitent ainsi dénoncer le manque flagrant de volonté patronale pour le renouvellement de leur convention collective, échue depuis près de deux ans et demi. De plus, des manifestations se tenaient dans 14 communautés autochtones sur le territoire de la Commission scolaire Kativik.
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Le collectif Partenaires pour la parité, dont fait partie la CSQ, a été lancé officiellement mercredi lors de l’événement En marche pour la parité qui se tenait dans un lieu symbolique, la Bibliothèque de l’Assemblée nationale. Pilotés par le Groupe Femmes, Politique et Démocratie, les Partenaires pour la parité sont un groupe de personnes plaidant pour une loi assurant la parité dans toutes les sphères de décision. «Malgré plusieurs avancées, de grands pas restent à franchir en matière d’égalité. Il est essentiel que le gouvernement établisse une véritable parité dans les structures de gouvernance. Les femmes ne peuvent demeurer en déficit de représentativité. C’est une question de justice et d’équité», soutient Louise Chabot, présidente de la CSQ.
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Multi-Marques de Canada Bread : le géant de la boulangerie contourne la loi anti-briseurs de grève du Québec
Multi-Marques, reconnue pour ses pains Pom, Bon matin et Villaggio, contrevient au Code du travail du Québec en confiant une part de sa distribution à des briseurs de grève à la place des 120 syndiqué-es mis en lock-out le 1er avril dernier, selon un rapport du ministère du Travail. La Confédération des syndicats nationaux (CSN) soutient que Canada Bread contourne aussi la loi québécoise en transférant plus de la moitié de sa distribution à un centre de distribution de Cornwall, en Ontario. Elle demande au ministère du Travail de rappeler à l’ordre l’entreprise, propriété de Grupo Bimbo, en plus de réclamer du Consulat général du Mexique à Montréal une intervention auprès de la multinationale pour mettre fin à ce conflit inutile et coûteux au plan humain.
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Dossier du Perspectives CSN d’avril : 2017, une année de négociations à conclure
L’année 2017 est cruciale pour les quelque 600 syndicats affiliés à la Confédération des syndicats nationaux (CSN) qui renouvellent leurs conventions collectives. Tant dans le secteur privé que dans le secteur parapublic, des dizaines de milliers de travailleuses et de travailleurs bénéficieront de l’appui de la CSN pour améliorer leurs conditions de travail et leurs salaires.
Lire le dossier et les autres textes du numéro.
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Les cols bleus de Montréal-Est signent pour huit ans et ceux de Val-d’Or pour sept ans
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Financement des petites cohortes en formation professionnelle : la CSQ salue l’initiative mais demandent le retrait d’une nouvelle condition
Répondant à une demande répétée depuis plusieurs années de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) et de la Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE-CSQ), l'annonce du gouvernement Couillard d'un investissement additionnel de trois millions de dollars pour le financement de petites cohortes en région pour la formation professionnelle a de quoi les réjouir. Cependant, les organisations sont d'avis que la nouvelle condition d'attribution, basée exclusivement sur des programmes d'études conduisant à des emplois en forte demande, ne respecte pas la mission de formation du réseau de l'éducation.
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L’Alliance syndicale de la construction demande au gouvernement de ne pas renouveler les mandats des médiateurs
L’Alliance syndicale de la construction a demandé, par écrit, à la ministre du Travail de ne pas renouveler les mandats des médiateurs afin d’éviter un prolongement inutile et coûteux de la négociation pour les travailleurs et travailleuses. «À partir du 30 avril prochain, les travailleurs perdront 51$ par semaine en augmentation de salaire, lesquels iront directement dans les poches des employeurs, et ce, à cause de l’absence de rétroactivité dans la loi qui régit l’industrie, a indiqué Michel Trépanier, porte-parole de l’Alliance syndicale de l’industrie de la construction. Un renouvellement des mandats des médiateurs aux différentes tables entraînerait une période de négociation supplémentaire de 30 jours durant lesquels les travailleurs et travailleuses laisseraient plus de 35 millions de dollars sur la table», a poursuivi le porte-parole de l’Alliance syndicale.
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Réseau de transport de Longueuil : trois officiers syndicaux sous enquête
Le Syndicat canadien de la fonction publique, section locale 3333 qui représente les chauffeurs et chauffeuses d’autobus du Réseau de transport de Longueuil, dénonce et condamne de façon ferme, l’action de leur Employeur, qui a mis sous enquête la présidente du Syndicat, la directrice syndicale du centre d’exploitation Vieux-Longueuil et le directeur syndical du centre d’exploitation Saint-Hubert. La motivation qui sert de prétexte à cette mise en scène de l’Employeur est reliée au devoir de représentation du Syndicat par rapport à un événement du 30 mars dernier. Lorsque deux officiers, à la demande de la présidente, ont procédé à la validation de plaintes en provenance des membres de l’unité syndicale contre la façon d’agir de certains superviseurs dont le comportement et les agissements s’apparentent à de l’intimidation et du harcèlement.
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Le syndicat participe au sauvetage de la radio CJEM/CKMV pour conserver une voix forte au Madawaska
Le Syndicat des communications de la République du Madawaska vient de parapher une nouvelle convention collective avec les acquéreurs de la radio CJEM/CKMV. Le radiodiffuseur était en vente depuis plusieurs mois et sa survie était menacée. En un temps record parce qu’il y avait urgence, les parties en sont venues à un contrat de travail acceptable après seulement quatre semaines de négociation. Depuis le début, le syndicat a tout fait pour sauver ce fleuron qui diffuse depuis 1944 dans la région, première radio privée de langue française dans les Maritimes.
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Vingt postes abolis chez TC Transcontinental : Impact direct sur les médias régionaux.
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Information locale au Québec : une nouvelle analyse illustre le déclin médiatique en région et ses conséquences
Le Conseil provincial du secteur des communications (CPSC) dévoile une analyse percutante sur les lacunes de présence médiatique dans les régions du Québec. Ce document préparé par Influence communication dresse un bilan de santé inquiétant de l’information locale. Le dévoilement de cette étude s’inscrit dans la campagne «Les nouvelles locales: un service essentiel» du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP). Parmi ses conclusions principales, on dénote que la télévision est en voie de devenir un média uniquement national ainsi qu’un acteur négligeable en information locale. Seulement 5% des nouvelles locales diffusées au Québec émanent de la télévision. Pourtant, la télévision génère 13% de l’ensemble de l’information au Québec, tous secteurs confondus.
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Lock-out au Journal de Québec : dixième anniversaire de la parution de Média Matin Québec
Le 24 avril 2017, marque le dixième anniversaire de la première parution du quotidien gratuit Média Matin Québec, créé à l’initiative des 252 lock-outés et grévistes du Journal de Québec. Tiré à 40 000 exemplaires et publié du lundi au vendredi jusqu’au 8 août 2008, le Média Matin couvrait l’ensemble de l’actualité, mais accordait une place prépondérante aux nouvelles locales. L’aventure a débuté le 22 avril 2007 par le déclenchement d’un lock-out visant les employés de bureau et de la rédaction du Journal de Québec. La même journée, en solidarité avec leurs collègues jetés sur le trottoir par la décision de Québecor, les employés de l’imprimerie votaient la grève à 97%. Le conflit de travail qui a duré 473 jours était le plus long à survenir dans un quotidien francophone au Canada jusqu’à celui du Journal de Montréal.
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Projet de loi no. 135 : améliorer la gestion contractuelle en informatique ne réglera pas le problème
Le gouvernement du Québec erre s’il croit résoudre les problèmes de dépassements de coûts dans le secteur informatique simplement en ajoutant de nouvelles mesures de gestions contractuelles et en centralisant sa gouvernance. Afin de faire cesser sa coûteuse dépendance au secteur privé, il devra développer une véritable capacité de réalisation à l’interne. Pour y arriver, il devra trouver des façons d’attirer et de retenir son personnel, ce qu’il est incapable de faire à ce jour, estime le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ). Le SFPQ ne croit pas que le projet de Loi no. 135, déposé mardi, sera une panacée pour endiguer les multiples dépassements de coûts des projets confiés aux entreprises sous-traitantes en technologies de l’information.
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La formation continue pour contrer les violences faites aux femmes
Comment expliquer le décès de Daphné Boudreault, cette jeune femme de Mont-Saint-Hilaire assassinée par son ex-conjoint? À ce stade de lecture, vous vous demandez peut-être quel est le lien entre les violences faites aux femmes et l’éducation des adultes. «On peut bien former les policiers, mais comme dans tout domaine, ça prend de la formation continue et un accompagnement des jeunes policiers», arguait Manon Monastesse de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes lors d’une entrevue avec Le Devoir. De fait, le journal rapporte qu’un «porte-parole de la police de Richelieu ̶ Saint-Laurent a peiné à expliquer le protocole que doivent suivre les policiers dans les cas de violence conjugale». D’où la nécessité de former régulièrement les membres du corps policier, jeunes et plus expérimentés.
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TransMedTech : Montréal investit dans le génie biomédical
Un nouvel institut voit le jour à Montréal dans le domaine du génie biomédical. TransMedTech, un projet unique en son genre au Canada, vise la conception, le développement et la mise en œuvre plus rapide de solutions pour le diagnostic et le traitement de certaines maladies, notamment le cancer. Le point fort de TransMedTech, c’est qu’il réunit des chercheurs, des médecins, des patients, des industriels et des spécialistes de la technologie médicale.
Lire la suite du texte de TVA Nouvelles.
L'UQAR forme des patients experts de leur maladie.
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Retrait de livres à la bibliothèque de l'UQAR : les étudiants et les professeurs seront rencontrés
L'Université du Québec à Rimouski rencontrera les étudiants et les professeurs concernant les milliers de documents et de livres dont la bibliothèque de l'UQAR souhaite se départir. Dans les derniers jours, l'association étudiante avait dénoncé, par différents moyens de pression, que personne n’avait été prévenu que la bibliothèque comptait se départir d'au moins 25 000 documents pour libérer de l'espace, sans avoir informé la communauté de l'UQAR.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Baisse de 4 % des demandes d'admission à l'Université Laval
Une baisse de 4% dans les demandes d'admission est constatée à l'Université Laval pour la session d'automne. Mais elle ne serait pas liée à la grève des employés, selon l'institution, contrairement à l'annulation d'un important programme linguistique cet été. L'établissement d'enseignement universitaire a reçu 36 046 demandes d'admission pour la session automnale 2017, quelque 1500 de moins que l'année dernière. La décroissance s'observe particulièrement dans les demandes - non pas les inscriptions elles-mêmes - au premier cycle.
Lire la suite du texte du Soleil.
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La religion investit l’Université Laval
La Faculté de théologie et de sciences religieuses de l’Université Laval tire le diable par la queue. Pour survivre, elle multiplie les chaires commanditées par des groupes religieux. «Le dos au mur», le doyen Gilles Routhier a décidé de la sauver, quitte à rompre avec les traditions. Il procédera dans quelques semaines à l’embauche du premier professeur de tradition protestante évangélique. Une première en 165 ans d’enseignement universitaire de la théologie et des sciences religieuses au Québec. «Il y a un besoin, soutient-il à l’autre bout du fil. Et quant à moi, la théologie n’est pas un privilège de catholiques.»
Lire la suite du texte du Devoir.
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Un chargé de cours d’histoire antique à l’université de Toulouse coûte quatre fois moins cher qu’un titulaire
Fini les cours d’histoire antique que Matthieu Soler dispensait à l’université de Toulouse depuis huit ans, il aura probablement à la rentrée 2017 des enfants en face de lui. À condition, bien sûr, de décrocher le concours de professeur des écoles, dont les épreuves écrites se déroulent à la fin d’avril. «Ce n’est pas tout à fait la même chose que ce que je faisais jusqu’à maintenant», euphémise-t-il. Donner des cours à l’université: l’idée revêt un certain prestige. Mais dans les amphithéâtres, ce vernis recouvre une réalité diverse et, parfois, une vraie précarité. Lunettes sages sur le nez, l’homme raconte en détail comment les facultés fonctionnent avec plusieurs catégories d’enseignants: des titulaires, des contrats à durée déterminée, mais aussi, comme lui, des chargés de cours, «le bas du panier des précaires de l’enseignement supérieur».
Lire la suite du texte du journal Le Monde.
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Statistique Canada rend publiques les données sur les professeurs : leur nombre et leurs salaires
Après une interruption de cinq ans, Statistique Canada a rendu publiques les données sur le nombre de professeurs à temps plein dans les universités canadiennes et sur leur traitement. Les données ont été recueillies pour l’année universitaire 2016-2017 par l’entremise du Système d’information sur le personnel d’enseignement dans les universités et les collèges (SPEUC). Le gouvernement a annoncé en septembre dernier le rétablissement de l’enquête du SPEUC, auquel Statistique Canada avait mis fin en 2011 en raison des réductions de financement du gouvernement précédent. Les données préliminaires rendues publiques le 25 avril proviennent des 75 universités qui ont participé à l’enquête.
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Responsabiliser les gouvernements vis-à-vis des engagements qu’ils ont pris pour garantir l’enseignement public de qualité, gratuit et universel
L’Internationale de l’éducation appelle ses affiliés et l’ensemble des citoyennes et citoyens concernés à participer à la Semaine mondiale d’action pour l’éducation 2017, afin d’exhorter les gouvernements à mettre en œuvre les Objectifs de développement durable, en investissant dans les éducatrices, éducateurs et l’enseignement public gratuit de qualité. «Responsabilisation envers l’Objectifs de développement durable (ODD) 4 et participation citoyenne» est le thème de l’édition 2017 de la Semaine mondiale d’action pour l’éducation (SMAE), qui se déroule du 23 au 29 avril.
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Les résultats PISA mettent en évidence l'importance du travail des élèves et des enseignants pour le bien-être
Les derniers résultats de l'étude PISA 2015 mettent l'accent sur le bien-être des élèves et le rôle des familles, des enseignantes, enseignants et de la communauté scolaire dans la réalisation de l'éducation de qualité pour tous. L'OCDE a publié le 19 avril un rapport détaillé soulignant l'importance du bien-être de l'élève pour la réalisation d'une éducation de qualité. Dans ce troisième volume, qui s'inspire des résultats de l'étude de 2015, l'accent est mis sur les réponses fournies par les élèves au questionnaire qui accompagnait l'évaluation principale. Pour l’OCDE, la définition de la satisfaction de la vie porte principalement sur les capacités psychologiques, cognitives, sociales et physiques des élèves.
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Mobilisation mondiale pour la science
Prenant le relais des nombreuses marches pour la science dans le monde, près d'un millier de personnes ont commencé à se rassembler samedi matin au cœur de Washington pour défendre la recherche scientifique, qu'elles estiment remise en question par l'administration de Donald Trump. Après l'intervention à la tribune de près de 60 personnes dont Nancy Roman, responsable des programmes d'astronomie de la NASA, une marche vers le Capitole, siège du Congrès, devait conclure cette manifestation sous la pluie qui coïncide avec la Journée mondiale de la Terre. D'autres rassemblements se déroulaient dans plusieurs autres villes américaines dont New York, et plus de 600 marches étaient prévues à travers le monde.
Lire la suite du texte de l’Agence France-Presse.
Les éducateurs du monde entier célèbrent les sciences en tant que piliers de la liberté et de la prospérité.
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Les conditions d'un salaire viable au Québec en 2017
Les conditions de vie des travailleuses et travailleurs pauvres ainsi que le niveau du salaire minimum sont des sujets qui font beaucoup couler d’encre dans l’espace public. Mais comme dans tout enjeu qui suscite les passions, il est toujours utile de bien cerner l’objet du débat. C’est pourquoi, en 2015, l’IRIS a créé un nouvel indice: le salaire viable. Il s’agit du salaire horaire qui permettrait à un.e salarié.e à temps complet de non seulement couvrir ses besoins de base, mais se doter d’une marge de manœuvre pour sortir de la pauvreté. Notre indice comprenait initialement deux localités: Montréal et Québec. En 2016, nous l’avons mis à jour en y intégrant les municipalités de Saguenay, Trois-Rivières et Sept-Îles. Dans cette édition de 2017, nous élargissons encore le spectre du salaire viable au Québec par l’ajout des localités de Gatineau et de Sherbrooke.
Lire la note socioéconomique de l’IRIS.
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Semaine de la santé mentale : deux conférences du Y des femmes
À l’occasion de la Semaine de la santé mentale qui a lieu du 1er au 7 mai 2017, le Y des femmes de Montréal offre deux événements gratuits visant à contribuer au bien-être de chacune et chacun. La première conférence, le lundi 1er mai de 9h30 à 11h, s’adresse à toute personne œuvrant en relation d’aide et permettra d’élucider les symptômes et effets du syndrome Vicariant, qui touche fréquemment les soignants. Le second atelier-conférence, le jeudi 4 mai de 9h30 à midi, portera sur les limites à se donner pour préserver son équilibre personnel quand une personne de notre entourage souffre, soit d’un problème de santé mentale ou physique. Pour plus de détails et réserver votre place.
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Les femmes sont-elles victimes de leurs choix?
On le sait, au Québec, les femmes gagnent en moyenne un salaire plus faible que leurs homologues masculins. Mais pourquoi en est-il ainsi? Est-ce parce que les femmes ont une préférence naturelle pour les professions moins payantes ou les horaires moins chargés? Autrement dit, est-ce que les femmes ne font que subir les conséquences de leurs choix? L’IRIS a publié le 23 avril une note socioéconomique dans laquelle cette hypothèse est soumise aux données québécoises. S’il est vrai que les femmes gagnent moins parce qu’elles font des choix moins payants, on devrait voir l’écart salarial se résorber, voire même disparaître, lorsqu’elles suivent des trajectoires similaires. Ce n’est malheureusement pas le cas…
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Vers un monde post-croissance : stratégies de sortie du capitalisme
Après le cours de base sur la décroissance proposé à l’Upop en 2014 par Yves-Marie Abraham (Contre l’austérité, la décroissance!), l’Upop présente et discute des principales solutions que mettent de l’avant les «objecteurs de croissance» pour commencer à bâtir des sociétés post-croissance. Après la critique vient le temps des propositions constructives! Ce cours offrira un prolongement à celui que donnera cet hiver l’IRIS sur les «Cinq Chantiers pour changer le Québec». Le lundi 1er mai, 19 h : Stratégie de masse critique et rupture avec le salariat, le lundi 8 mai, 19h: Low-Tech et relocalisation ouverte de l’économie, le lundi 15 mai, 19h: Espaces d’autonomie et coopératives communautaires. Les trois cours sont donnés à L'Auditoire, 5214 Boul. Saint-Laurent.
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Pour du logement social ici, Québec et Ottawa doivent faire plus : à partir du 22 mai, occupons pour le droit au logement!
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Ottawa veut en faire plus pour contrer l'itinérance
Le gouvernement fédéral cherche à réduire de moitié le nombre de sans-abri les plus difficiles à aider. Des experts affirment qu'une telle démarche pourrait être un élément clé vers la fin de l'itinérance au pays. La future Stratégie nationale sur le logement vise à faire baisser de 50% le nombre de sans-abri «chroniques» et d'itinérants «épisodiques», soit ceux qui se retrouvent dans la rue de façon répétitive ou à plusieurs moments dans leur vie. On souhaite se pencher sur ceux ne fréquentant pas des centres d'hébergement pour itinérants et pour qui il est plus ardu d'obtenir du soutien à travers les programmes traditionnels. Ottawa estime qu’avec cette stratégie, le nombre de sans-abri chroniques et épisodiques sera, à terme, de 25 000. Les libéraux pensent pouvoir réduire les cas de 12 500 d'ici 11 ans.
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Infiltration silencieuse des centres de femmes dans le métro
Le 26 avril, entre 10h et midi, dans le cadre de la semaine d’action des centres de femmes contre l’austérité, une centaine de participantes des centres de femmes de Montréal et Laval - dont plusieurs sont membres de la TGFM - ont infiltré le métro de Montréal. Elles dénonçaient la Loi 25 (réforme de l’aide sociale) et ses impacts sur les plus démuniEs, particulièrement des femmes. Ayant en main des silhouettes affichant des messages percutants, plusieurs femmes ont attendu silencieusement sur les quais d’embarquement de certaines stations de métro (de Jean-Talon à Côte-des-Neiges). Les blessures que revêtaient ces silhouettes illustraient la violence des impacts de la réforme d’aide sociale et des politiques d’austérité sur les femmes.
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Un regard lucide sur le phénomène des adolescentes fugueuses
Jade Bourdages, 40 ans, est mère de deux adolescents et candidate au doctorat en sciences politiques à l’Université d’Ottawa. Elle habite à deux pas du marché Jean-Talon, dans un superbe cottage. Jeune adolescente, elle a été une fugueuse chronique. Elle a même traversé le pays à 14 ans pour s’affranchir de ses chaînes. Elle pose un regard critique sur les fugues et leurs à-côtés. Travailleuse de rue pendant quatre ans pour En Marge 12-17, Jade a côtoyé 6000 jeunes de la rue. «C’est énorme. Je savais que la grande majorité s’en sortirait très bien, j’ai craint pour à peine 40 d’entre eux. On oublie que la rue, c’est un passage. On traite les fugueurs avec un vocabulaire de condamnation, on ne leur reconnaît aucune valeur. On oublie qu’il faut rester là, auprès d’eux.» Si le passage à la rue n’est pas nécessairement destructeur, la vie en institution laisse assurément des séquelles, selon elle.
Lire la suite du texte de La Presse+.
Sauvé par la DPJ.
Je suis itinérant et j'existe : retour sur la série documentaire Face à la rue.
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Pour appuyer la campagne pour le financement du soutien communautaire en logement
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Le soutien communautaire en logement n'a plus à faire ses preuves. Son financement doit être accordé à tous les projets acceptés par Accès-Logis, qui s'adressent aux personnes itinérantes ou aînées qui le nécessitent. Le manque de financement de ce soutien ne doit plus être un obstacle au développement de nouveaux projets! De plus, plusieurs projets déjà construits ne bénéficient pas de financement suffisant! Le RAPSIM et la FOHM demandent à la ministre Charlebois de soutenir ces projets à hauteur de leurs besoins. Le soutien communautaire en logement c'est de l'aide dans les démarches, des soupers communautaires et des activités sociales, de l'animation de la vie collective dans les projets, de l'aide à la gestion de conflits entre les locataires, une force pour briser l'isolement et se maintenir en logement. Le RAPSIM et la FOHM demandent au ministère de la Santé et des Services sociaux d'investir 7 millions $ pour le financement de cette pratique. Pour signer la pétition en ligne.
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En marche vers une manifestation nationale à Québec le 27 septembre avec #EngagezvousACA
Après des manifestations importantes à travers le Québec en novembre dernier, après des occupations et des pressions en février, la campagne unitaire des mouvements communautaires poursuit sa lancée. À l’automne 2017, le gouvernement du PLQ sera déjà à préparer le budget de 2018. Son dernier avant l’échéance électorale. Dans l’objectif d’augmenter la pression sur le gouvernement, la campagne Engagez-vous pour le communautaire appelle à une grande manifestation à Québec le 27 septembre 2017 dans l’après-midi.
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Lutte à la pauvreté : le gouvernement doit cesser de fuir ses responsabilités
Le gouvernement est en train de faire la preuve que, malgré tous ses beaux discours, la lutte à la pauvreté est la dernière de ses priorités. Le Collectif pour un Québec sans pauvreté profite du début de l’étude des crédits budgétaires pour dénoncer les injustifiables retards dans deux dossiers majeurs. Il est temps pour le gouvernement d’assumer ses responsabilités et de donner l’heure juste à la population en ce qui concerne le prochain plan de lutte à la pauvreté et la réforme de l’aide sociale.
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Revenu minimum garanti : l'Ontario lance un projet pilote
L'Ontario va de l'avant avec un projet pilote pour un programme de revenu de base dans trois municipalités. La première ministre Kathleen Wynne en a fait l'annonce lundi à Hamilton. Hamilton, y compris Brantford et le comté de Brant, Thunder Bay et Lindsay participeront à ce projet pilote. Un programme parallèle distinct sera mis en place pour les membres des Premières Nations. 4000 personnes de 18 ans à 65 ans prendront part au projet pilote. Les prestataires seront sélectionnés de façon aléatoire parmi les gens à faible revenu des communautés visées. Le projet pilote débutera progressivement ce printemps et se déroulera sur trois ans. Le nouveau programme coûtera 50 millions de dollars par année à la province. Il avait été annoncé dans le budget de l'année dernière.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Le soyer d'Amérique et la filière des nouveaux matériaux : une innovation porteuse pour le monde rural québécois
L’objectif de cette note d’intervention de l’IREC est de mieux faire connaître une culture émergente, celle de l’asclépiade, son potentiel pour le développement de l’agriculture dans les régions éloignées, ainsi que les éléments du modèle économique qui l’a accompagné jusqu’ici. Une meilleure connaissance de cette filière émergente est une condition essentielle pour optimiser la coordination de ses segments économiques, mais aussi pour mettre en évidence les mesures d’accompagnement et de soutien nécessaires à l’amélioration de son modèle d’affaires et de ses conditions d’insertion dans les marchés.
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