Infolettre du SCCUQ - 26 octobre 2017 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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À l'agenda

L’infolettre du SCCUQ est publiée tous les jeudis. Vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.

Activités reliées au SCCUQ :

Jusqu’au 3 novembre : Enregistrement des candidatures pour le trimestre d’hiver

Activités reliées aux membres du SCCUQ :

7 novembre : Lancement du livre Stratégies figuratives dans l’art juif
23 novembre : Atelier Perspectives autochtones en recherche

Autres activités :

28 octobre : Manifestation pour une redistribution de la richesse
30 octobre : Projection du documentaire Fragilité
Jusqu’au 1er novembre : Quatrième édition du Marché fermier de l’UQAM
5 novembre : Élections municipales
6 novembre : Conférence Bien commun, féminisme et pluralisme : des intersections à renforcer
6 au 10 novembre : La semaine féministe sur le respect à l’UQAM
6 au 8 novembre : Gender Summit d’Amérique du Nord à Montréal
8 novembre : Débat sur le thème Faut-il plus de femmes en sciences?
10 novembre : Journée d’actions de la Campagne sur le travail étudiant
12 novembre : Manifestation contre la haine et le racisme
18 novembre : Assemblée générale d’ATTAC-Québec
22 novembre : Journée pan canadienne d’actions, des $$$ pour le logement social
22 novembre : Soirée de la LDL sur le droit à l’autodétermination des Peuples autochtones
23 novembre : Assemblée de discussion sur la proposition de grève du communautaire
25 novembre : Colloque Féminismes et droit de l’Association des juristes progressistes
7 et 8 décembre : Colloque Rendre visible l’itinérance au féminin

Messages et documents du SCCUQ :

Politique de prévention et d’intervention en matière de harcèlement psychologique au SCCUQ
Les Syndicats de l’UQAM s’opposent à la construction d’un nouvel édifice de HEC au centre-ville de Montréal
Réflexion du SCCUQ sur la décentralisation des ressources
Réactions du SPUQ au Rapport sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire à l’UQAM
Réactions du SPUQ au Rapport sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire à l’UQAM (2)

 
 
Entre vous et moi

C’est la période des assemblées d’unités, le moment de vous retrouver entre collègues d’un département ou d’une école pour discuter de vos affaires, entre vous, et d’élire vos représentantes et représentants locaux. Pour celles et ceux qui participent peu aux activités syndicales, c’est peut-être le meilleur moment pour commencer. Si vous avez été choisis pour participer à la consultation du 1er au 7 novembre en vue d’élire notre prochaine rectrice, vous êtes trop peu nombreuses et nombreux, ne laissez pas votre vote en blanc.

Samedi, si le cœur vous en dit, une grande manifestation pour revendiquer le réinvestissement massif dans les services publics, les programmes sociaux et l’action communautaire autonome part du parc Villeray à 13h.

Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ

 
 
SCCUQ
 
 
Deux aspirantes rectrices : Corinne Gendron et Magda Fusaro présentent leur programme à la communauté universitaire

Il y avait presque salle comble le 19 octobre pour la rencontre avec les deux candidates au rectorat, qui avait lieu à la salle Marie-Gérin-Lajoie. Plusieurs centaines de personnes, membres du personnel et étudiants, s'étaient déplacées pour entendre Corinne Gendron et Magda Fusaro présenter leur vision de l'institution et leur programme pour l'UQAM. Chaque candidate a bénéficié de 20 minutes pour effectuer sa présentation, suivie d'une période de questions de 15 minutes. Les deux candidates ont souligné l'importance des chargés de cours au sein de l'université en réponse à une question de Marie Blais, présidente du Syndicat des chargées et chargés de cours (SCCUQ).

Lire la suite du texte d’Actualités UQAM.

Visionner les présentations.
Les candidates au rectorat répondent aux questions du SPUQ.

 
 
Course au rectorat : les chargées et chargés de cours qui auront droit de vote

Dans le cadre de la course au rectorat, le SCCUQ a dû remettre une liste des chargées et chargés de cours, un par département, école et faculté, qui auront droit de vote du 1er au 7 novembre. Les critères de sélection ont été l’implication syndicale, l’ancienneté sur les listes de pointage et le fait d’être sous contrat à l’automne 2017. Nous incitons donc ces personnes à exercer leur droit de vote.

Consulter la liste.

 
 
Assemblées d’unités : Sciences de l’activité physique le 27 octobre, Histoire de l’art, École de travail social et Informatique le 30, École de langues et École des médias le 31, Musique le 1er novembre et Institut des sciences de l’environnement le 2 novembre

Les assemblées d’unités départementales se poursuivent au A-R540 ou au A-R505. Les chargées et chargés de cours de Sciences de l’activité physique se rencontrent le vendredi 27 octobre à 10h, celles et ceux d’Histoire de l’art et de l’École de travail social le lundi 30 octobre à 12h30 et d’Informatique le même jour à 17h30. Les personnes chargées de cours (PCC) de l’École de langues et de l’École des médias se réunissent le mardi 31 octobre à 12h30, de Musique le mercredi 1er novembre à 14h et de l’Institut des sciences de l’environnement le jeudi 2 novembre à 12h30. Venez en grand nombre pour discuter de vos affaires et élire vos représentantes et représentants.

 
 
Affichage des charges de cours pour le trimestre d’hiver 2018: jusqu’au 3 novembre

L’affichage des charges de cours pour le trimestre d’hiver 2018 a débuté le mercredi 25 octobre sur Accent. Les personnes chargées de cours ont jusqu’au vendredi 3 novembre pour enregistrer leurs candidatures sur Accent. La période de réponse à la proposition des cours attibués par Accent est du 11 au 16 novembre. Il y aura des affichages complémentaires les 4 et 5, 11 et 12, 18 et 19 décembre ainsi que les 8 et 9 janvier.

 
 
Grande victoire pour l’application de la clause passerelle

Le 17 mai 2017, l’arbitre, Me Claire Brassard, a rendu une décision importante pour nos membres dans le cadre d’un litige portant sur la priorité d’embauche accordée aux personnes chargées de cours qui postulent pour un poste de professeur. Cette priorité d’embauche est précisée à la clause 17.03 de notre convention: « la personne chargée de cours qui a satisfait à la période de probation et qui pose sa candidature bénéficie de la priorité qui lui est reconnue par la convention collective SPUQ-UQAM (unité de négociation des professeurs, professeures, clause 9.04). » Cette clause est dite « passerelle », car elle renvoie à la convention collective du Syndicat des professeurs de l’UQAM (SPUQ). En bref, une personne chargée de cours, qui a des compétences équivalentes, est priorisée face aux candidats qui ne bénéficient pas d’une priorité d’embauche.

Après des années de combats juridiques, où le syndicat a obtenu gain de cause sur le fond de cette question, les réparations au final étaient décevantes: aucune personne chargée de cours n’a pu obtenir le poste de professeur convoité en dépit de la contravention à la convention collective. Cependant, cette fois-ci, l’arbitre a obligé l’UQAM à embaucher la personne chargée de cours lésée. Cette décision fera jurisprudence pour d’éventuelles causes à venir. Dorénavant tous les syndicats ayant une clause similaire pourront la brandir lors de leur plaidoirie. C’est une grande victoire pour nous, car elle redonne toute sa force à la clause 17.03.

Cette priorité a été voulue et conventionnée également par les professeurs. Ils ont également prévu une priorité pour les professeurs non permanents, à demi-temps, invités, substituts, les professeurs réguliers d’autres départements, etc. Cette volonté de priorisation reflète le désir du corps professoral de faire confiance à ceux et celles qui ont œuvré au sein de l’UQAM et qui y ont fait leur preuve. En ce sens, les départements ont tout intérêt à ce qu’une procédure d’embauche claire soit instaurée afin d’éviter que d’autres personnes chargées de cours soient lésées. L’essentiel sera de s’assurer que la question de la compétence équivalente soit prise en compte à toutes les étapes du processus d’embauche.

Si vous avez des questions ou vivez une procédure d’embauche qui semble non conforme, n’hésitez pas à contacter un membre du comité des agentes et agents de relations de travail.

Robert Drouin
Agent de relations de travail au SCCUQ

 
 
Modification à la convention collective : Vous souhaitez prendre votre retraite ?

Nous poursuivons notre série de capsules d’information sur les nouveaux articles ou les principales modifications apportées à la convention collective des chargées et chargés de cours à la suite de la dernière négociation. L’article 27.01 de la convention collective prévoit que les personnes chargées de cours âgées entre 60 et 69 inclusivement ont la possibilité de toucher une prime de départ à la retraite. Cette prime est versée aux personnes chargées de cours qui répondent aux conditions d’éligibilité suivantes :
• avoir été considérée en situation de simple emploi pendant au moins dix ans dont deux ans au cours des quatre dernières années ;
• être âgée de 60 à 69 ans inclusivement ;
• être à l’emploi de l’UQAM à titre de personne chargée de cours depuis au moins 15 ans ;
• avoir accumulé 130 points et plus.

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Appel à témoins concernant les congés de maladie

Quelques personnes chargées de cours se sont récemment fait demander, par le Service de la santé et de la qualité de vie au travail de l'UQAM, des précisions quant au certificat médical fourni. Outre la mention de l’arrêt de travail, on leur a demandé à ce que le certificat spécifie le diagnostic, voire la médication. Le syndicat lance un appel à témoin. Si vous avez été contacté pour un certificat médical dit incomplet, que ce soit récemment ou antérieurement, veuillez nous écrire à l’une des adresses suivantes et nous donner les informations suivantes : • la date de début et de fin de votre congé de maladie • le motif des vérifications faites par l’UQAM.

Robert Drouin, poste téléphonique: 3536, courriel: drouin.robert@uqam.ca
Peggy Roquigny poste téléphonique: 2789, courriel: roquigny.peggy@uqam.ca
Stéphane Daniau poste téléphonique: 4886, courriel: daniau.stephane@uqam.ca

Vous participez à la conception de cours hybrides : faites-nous aussi part de votre expérience.

 
 
Babillard des membres
 
 
Olga Hazan publie le livre Stratégies figuratives dans l’art juif – Étude de trois haggadot sépharades du XIVe siècle : lancement le 7 novembre

La chargée de cours Olga Hazan vient de publier le livre Stratégies figuratives dans l’art juif – Étude de trois haggadot sépharades du XIVe siècle, aux Presses de l’Université de Montréal. Le lancement aura lieu à la Librairie Olivieri, 5219, chemin de la Côte-des-Neiges, le mardi 7 novembre à 17h30. Pour l’occasion, l’auteure s’entretiendra avec Jean-Jacques Lavoie, professeur au Département de science des religions de l’UQAM. Réservation souhaitée: 514 739-3639. Le livre sera en libraire le 6 novembre. Ce livre, dont l’objectif est d’exposer les modalités de la figuration dans trois haggadot sépharades du XIVe siècle, est axé sur l’étude de deux objets: la structure de leurs cycles imagés et les protagonistes qui y sont représentés. Ceux-ci incluent divers personnages bibliques, ainsi que des rabbins, des orants et de simples célébrants, tous susceptibles d’attirer l’attention des lecteurs de la haggadah, par un geste ou un regard. Les autres publications d’Olga Hazan portent sur l’art de la Renaissance italienne, la figuration dans le judaïsme et l’islam, le discours sur l’art depuis la Renaissance et l’émergence de l’histoire de l’art comme discipline universitaire.

 
 
Eric Duchemin en lice pour un prix dans le cadre du Rendez-vous Pile 2017

Le Rendez-vous Pile 2017, organisé par le Service des partenariats et du soutien à l'innovation (SePSI) dans le cadre des célébrations de l'UQAM entourant le 375e de Montréal, aura lieu le 9 novembre. C'est à cette occasion que seront désignés les lauréats de deux concours s'adressant aux étudiants et aux enseignants lancés plus tôt cette année. Ces concours, qui visent à valoriser l'innovation en recherche et en création, ont pour thème commun «Des solutions de recherche pour un mieux-être dans la ville». Parmi les finalistes, le chargé de cours de l'Institut des sciences de l'environnement Éric Duchemin et le professeur de l'École de design Mark Poddubiuk, réunis au sein du Laboratoire sur l'agriculture urbaine (AU/LAB), proposent la création d'un module de production alimentaire urbain mobile dans un conteneur. Ce projet, mené en collaboration avec le Carrefour alimentaire Centre-Sud et le Pôle alimentaire du Bâtiment 7 (Pointe-Saint-Charles), vise la promotion d'une saine alimentation et la production d'aliments pour les communautés, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Nadia Seracco commente les dénonciations pour harcèlement sexuel sur les médias sociaux

La chargée de cours de l’École des médias Nadia Seracco a traité des dénonciations pour harcèlement sexuel sur les médias sociaux à l’émission L’heure du monde à l’antenne de la radio de Radio-Canada la semaine dernière.

 
 
Le niqab et la burqa, symboles du bannissement des femmes, soutient André Lamoureux

Dans le débat qui a entouré l’adoption du projet de loi 62 et la nouvelle polémique concernant sa mise en œuvre, il est sidérant de constater l’aveuglement volontaire qui ronge la classe politique ainsi que nombre de journalistes et de chroniqueurs. Ce qu’on veut laisser croire, comme la Cour fédérale l’a fait en février 2015 dans l’affaire Zunera Ishaq, c’est que le port du niqab (ou de la burqa) serait l’expression d’une croyance religieuse, une allégeance à ce point affirmée qu’on déciderait de se cacher le visage. Pourtant, le port du niqab ne découle aucunement de l’expression d’une piété religieuse ni d’une prescription du Coran. Il n’est rien d’autre que l’expression d’une idéologie politico-religieuse oppressive et asservissante, l’islamisme, et plus particulièrement une prescription du salafisme ou du wahhabisme (dans sa version saoudienne), soutient le chargé de cours en science politique André Lamoureux dans un texte publié dans La Presse+.

 
 
Plaisirs coupables : une part émotionnelle nous fait revenir vers certains types d'aliments, selon Marie Watiez

Tout le monde a le sien. Il est souvent gras, salé ou sucré. Parfois tout ça. On ne l'aime pas pour ses qualités nutritives. Mais on en rêve souvent, même si on en a peut-être un peu honte. Quel qu'il soit, il y a de fortes chances que le simple fait d'y goûter vous replonge en enfance... À table, quel est votre plaisir coupable? La chargée de cours et psychosociologue de l'alimentation Marie Watiez croit qu'une part émotionnelle nous fait revenir vers certains types d'aliments. «On vit des émotions dès la petite enfance dans notre rapport à la nourriture, avec notre mère, avec toutes les personnes qui nous ont nourris, souligne-t-elle. Se faire plaisir en mangeant quelque chose qu'on a aimé dans son enfance, je trouve que c'est très sain et que ça nous reconnecte un peu à ces besoins de réconfort qui sont tout à fait naturels dans la façon de manger. En fait, on se sent coupable parce qu'on pense qu'on va être jugé si on aime encore manger des jujubes ou du Cheez Whiz», enchaîne Marie Watiez, dans un texte de La Presse.

 
 
Un architecte imagine le mur idéal entre le Mexique et les États-Unis, Elisabeth Vallet commente son livre

«Puisqu'il faut se résigner à voir apparaître un mur à la frontière américano-mexicaine, aussi bien en profiter pour construire un objet architecturalement intelligent.» Ainsi la chargée de cours et collaboratrice à l’émission Plus on est de fous, plus on lit!, à l’antenne de la radio de Radio-Canada, Élisabeth Vallet, résume le parti-pris de Ronald Rael, qui vient de faire paraître le livre Borderwall as Architecture: A Manifesto for the U.S.-Mexico Boundary.

 
 
Monde syndical
 
 
Centres de la petite enfance : les négociations se poursuivent, mais la grève du 30 octobre est maintenue
CentresPetiteEnfance

Au terme de deux journées d’échanges entre le comité national de négociation des 11 000 travailleuses en CPE et le ministère de la Famille et les associations patronales, les négociations vont se poursuivre. Toutefois, l’état d’avancement des pourparlers ne justifie pas de suspendre ou d’annuler la grève du 30 octobre dans 578 installations tel qu’annoncé en début de semaine. Le mot d’ordre de grève est donc maintenu. En conséquence, aucun autre commentaire ne sera émis pour le moment.

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Des chargées et chargés de cours de toute la province en appui à leurs collègues de l’UQO

Des syndicats représentant des chargées et des chargés de cours du Québec sont en rencontre les 26 et 27 octobre prochains à Gatineau afin d’appuyer le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université du Québec en Outaouais (SCCC-UQO) en négociation depuis près d’un an. Ces syndicats, affiliés à la Fédération des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN), représentent près de 12 000 enseignantes et enseignants. Ils ont choisi de tenir leur réunion régulière à Gatineau pour exprimer leur solidarité à leurs collègues de la région. À l’UQO, aux campus de Saint-Jérôme et de Gatineau, près de 60% des cours de 1er cycle sont donnés par les personnes chargées de cours. Elles enseignent même au 2e cycle. Or, malgré cette situation, elles n’ont pas de sécurité d’emploi. Elles vivent au rythme des trimestres. «Nous réclamons une équité intergroupe sur le plan salarial», a indiqué la présidente du SCCC-UQO, Marie-Josée Bourget.

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Violence et harcèlement sexuels dans les milieux de travail : tolérance zéro!

À titre de représentantes et de représentants syndicaux et patronaux, à titre aussi d’acteurs de première ligne dans le monde du travail au Québec, nous tenons à faire la déclaration publique que voici. Nous sommes ébranlés par l’ampleur des gestes qui mènent aux dénonciations courageuses des agressions et du harcèlement sexuels qui envahissent les tribunes actuellement. Celles-ci ont produit sur la société québécoise un véritable électrochoc collectif. À la suite de ces nombreux témoignages qui nous parviennent de tous horizons, nous réitérons notre intention de combattre la violence et le harcèlement au travail et demandons à nos organisations affiliées d’adopter la politique de tolérance zéro à cet égard. Des lois existent pour prévenir et contrer la violence, le harcèlement et la discrimination au travail. Le Code du travail, la Loi sur les normes du travail et les chartes canadienne et québécoise des droits et libertés s’appliquent non seulement aux salariés des organisations et des entreprises, mais aussi, aux fournisseurs, aux clients et à toutes personnes qui entourent leurs activités. Plusieurs employeurs et syndicats se sont aussi dotés, en partenariat, de moyens supplémentaires visant à assurer des environnements de travail respectueux entre les personnes.

Lire la suite de la lettre signée par quatre dirigeants patronaux et quatre présidences de centrales syndicales.

 
 
Note socioéconomique de l'IRIS : un changement de cap nécessaire dans le financement des soins à domicile

Le Québec doit rattraper d’urgence son retard dans le financement et la prestation des soins à domicile, soutient la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN). Une note de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) parue samedi démontre qu’il est nécessaire d’investir 4 milliards de dollars d’ici 2021-2022 pour instaurer un changement de cap et répondre aux besoins grandissants de la population. La note socioéconomique de l’IRIS diffusée aujourd’hui illustre bien l’ampleur du retard accumulé par le Québec en ce qui concerne la prise en compte des besoins de la population dans les soins à domicile. Cette note s’ajoute au portrait qu’est en mesure de dresser la FSSS-CSN, alors que les travailleuses et travailleurs des soins à domicile constatent quotidiennement les effets des compressions budgétaires sur l’offre de soins à domicile. La Protectrice du citoyen et le Vérificateur général en viennent eux aussi aux mêmes conclusions dans leurs rapports des dernières années.

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Projet de loi 143 sur la qualité des services éducatifs à l’enfance : un projet de loi incomplet

Le projet de loi no 143, Loi visant à améliorer la qualité éducative et à favoriser le développement harmonieux des services de garde éducatifs à l’enfance, propose un certain nombre de mesures permettant de rehausser la qualité des services éducatifs à l’enfance. Toutefois, tant que ne seront pas précisées les ressources financières prévues pour son application et la réglementation qu’introduira le ministre, il sera difficile d’évaluer sa réelle efficacité. «Le projet de loi no 143 est un pas dans la bonne direction pour l’amélioration de la qualité éducative et le développement des services de garde éducatifs à l’enfance. Nous souhaitons qu’il permette d’endiguer la multiplication de garderies commerciales non conformes aux normes de qualité et au projet éducatif des services de garde à la petite enfance», précise Véronique De Sève, invitée à se prononcer en commission parlementaire, en compagnie de Dany Lacasse, vice-président à la FSSS-CSN.

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La qualité passe par le réseau public, affirme la CSQ.

 
 
Santé et services sociaux : médecins, patients, gestionnaires, travailleuses et travailleurs s’unissent pour demander des changements

Dans un geste inhabituel sans précédent, quatre organismes représentant les patients, les médecins, les travailleurs et les gestionnaires unissent leurs voix pour demander des changements dans le système de santé et de services sociaux. «Devant les problèmes persistants du système de santé et de services sociaux, plus particulièrement au niveau de la 1re ligne, nous avons décidé de faire cause commune en nous adressant à la classe politique, à une année des élections de 2018, en proposant 15 solutions à débattre pour améliorer la situation», déclare le président de l’Alliance des patients pour la santé, Jérôme Di Giovanni. L’Alliance des patients pour la santé, l’Association des cadres supérieurs de la santé et des services sociaux, l’Association médicale du Québec et la Confédération des syndicats nationaux (CSN) demandent des changements dans l’organisation, la gouvernance, les modes de financement et de rémunération, la prestation des services de santé et des services sociaux, de même que dans la prévention.

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Des services de sage-femme s'implantent enfin dans la Baie-des-Chaleurs.
Procédures d’urgence «code blanc» au CISSS du Bas-Saint-Laurent : une situation inacceptable qui perdure.

 
 
La CSQ en accord avec l’avis du Conseil supérieur de l’éducation : lever les obstacles pour plus d’égalité

«Nous ne pouvons qu’être en accord avec le grand principe proposé par le Conseil supérieur de l’éducation, puisque celui-ci vise à assurer l’égalité des chances, une valeur que nous partageons et un objectif qui doit être au cœur de l’éducation au Québec. Or, selon nous, cela restera un idéal si certains obstacles ne sont pas levés et que les conditions adéquates ne sont pas données aux établissements», souligne Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) en rapport avec l’avis présenté par le Conseil supérieur de l'éducation (CSE), Pour une école riche de tous ses élèves,portant sur la prise en compte de la diversité des élèves, de la maternelle à la fin du secondaire. La CSQ partage l’avis du Conseil concernant les ressources additionnelles qui doivent être fournies pour être en mesure de répondre réellement à la diversité des besoins des élèves: «C’est essentiel. Le personnel de nos écoles, personnel enseignant, de soutien et professionnel, est prêt à mettre en commun ses forces afin de favoriser la réussite du plus grand nombre. Or, cela exige que l’on donne aux milieux les conditions nécessaires pour le faire, au premier chef, des ressources humaines et financières, du temps et également des espaces pour se concerter», ajoute la leader syndicale.

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L’opération «Composition de la classe» est juste, légitime et légalement fondée

En avril 2017, la Fédération autonome de l’enseignement (FAE) et ses syndicats affiliés ont décidé de mettre sur pied l’opération «Composition de la classe» afin de documenter la composition réelle de vos classes. Cette opération, suspendue depuis le 23 octobre à midi, a pour but l’application et le respect des droits des enseignantes et enseignants comme stipulé dans votre contrat de travail. De plus, elle vise à fournir à la FAE et à ses syndicats affiliés des informations pertinentes à la préparation de la prochaine ronde de négociation nationale. À la suite de la réception par plusieurs enseignantes et enseignants d’une lettre de leur employeur leur demandant de cesser de participer à l’opération, les représentantes et représentants des dix commissions scolaires situées sur les territoires de la FAE ont déposé une demande d’injonction interlocutoire à la Cour supérieure demandant de mettre fin, de façon définitive, à notre opération, et de faire détruire l’ensemble des données déjà obtenues. Nous considérons que l’opération «Composition de la classe» est juste, légitime et légalement fondée.

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Journée nationale des bibliothèques scolaires : où sont les bibliothécaires scolaires promis?

On n’a jamais vu la couleur des 200 bibliothécaires scolaires promis par le gouvernement libéral. C’est le constat que fait la Fédération des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec (FPPE-CSQ) dans une étude mise à jour à l’occasion de la Journée nationale des bibliothèques scolaires. «Collections désuètes, livres parfois mésadaptés à un jeune public, rayons dans les corridors, gestion par des bénévoles non qualifiés, ce sont seulement quelques exemples qui illustrent l’état de nos bibliothèques scolaires. Quand on connait l’importance capitale de l’amour de la lecture dans le parcours d’un élève, on ne peut que se surprendre que le ministère en néglige la promotion à ce point», affirme Johanne Pomerleau, présidente de la FPPE-CSQ.

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Industrie manufacturière : une première convention collective pour le syndicat Béton 640

Les travailleuses et travailleurs de Béton 640 à Terrebonne ont récemment accepté dans une proportion de 100% les termes de leur première convention collective. Il aura fallu 6 rencontres de négociation, pour que les parties en arrivent à s’entendre. Au final, la convention collective d’une durée de trois ans prévoit des augmentations totales et rétroactives des salaires de l’ordre de 10%, incluant 4,25% la première année. En plus de ce gain monétaire important, les syndiqués auront dorénavant accès à un Régime enregistré d’épargne retraite pour lequel l’employeur contribuera à la hauteur de 0,95$ pour chaque heure travaillée pour la durée totale de la convention collective. L’employeur s’engage de plus à assumer 50% du coût total de la facture du régime d’assurance collective, à verser une prime de 0,85$ pour les heures travaillées de soir et de nuit, ainsi qu’à assurer le paiement du temps requis à l’inspection quotidienne et obligatoire des véhicules des chauffeurs ainsi que le temps de lavage des véhicules lorsque requis par l’employeur.

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Une nouvelle convention collective pour les membres d’Unifor de l’usine WestRock à La Tuque.

 
 
Grève des cols bleus de Laval

Les 750 cols bleus de la Ville de Laval, qui ont en main un mandat de grève voté à 95%, exerceront leur droit de grève le samedi 28 octobre, le dimanche 29 octobre ainsi que le samedi 4 novembre et le dimanche 5 novembre. Comme le prévoit le Code du travail du Québec, le syndicat a fait parvenir un avis de grève générale à la division des services essentiels du tribunal administratif du travail le 17 octobre dernier. Ces deux périodes de journées de grève entraîneront la fermeture de quatre arénas de la Ville. Pour le Centre de la nature, les employés seront en grève le 28 octobre 2017 à 00h00 jusqu’au 29 octobre 2017 à 23h59.

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Première convention collective pour les employés de piscines de Brossard.
Le SCFP «adopte des grévistes» de la Cezinc pour la durée du conflit.
Des travailleurs et travailleuses de l’aéroport de Val-d’Or renouvellent leur convention collective.

 
 
Pour valoriser les emplois de la fonction publique et parapublique du Québec

Pour une troisième année consécutive, le SFPQ lance une campagne de valorisation de ses membres sur les médias sociaux où seront présentées diverses personnes qui travaillent au sein de la fonction publique et parapublique. Par cette action, nous souhaitons souligner leur dévouement à fournir à la population québécoise des services fondamentaux, diversifiés et de qualité!

 
 
Grève possible des enseignants à temps partiel à l'Université d'Ottawa

Environ 2300 professeurs à temps partiel pourront exercer leur droit de grève dès minuit le 30 octobre. Leur comité de négociation a annoncé vendredi qu'ils avaient été 92% à voter en faveur de la grève. Dans une note envoyée aux étudiants vendredi, le vice-recteur aux études, David Graham, indique que «l’Université a bon espoir d’en arriver à une entente juste et équitable avec ses professeurs à temps partiel». Les 2300 professeurs à temps partiel, membres de l'Association des professeurs à temps partiel de l'Université d'Ottawa (APTPUO), sont sans contrat de travail depuis août 2016. Les pourparlers achoppent sur la question de la sécurité d'emploi, la gouvernance, la représentation au Sénat de l'établissement universitaire et les salaires. Le porte-parole de l'APTPUO, Jean-Sébastien Daoust, déplore le fait que les négociations ont été jusqu'à présent «houleuses» et qu'elles «traînent».

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Le spectre d’une annulation de session pour 24 collèges ontariens

Au moment où les 13 000 professeurs, instructeurs, conseillers et bibliothécaires du Syndicat des employés de la fonction publique de l'Ontario (SEFPO) sont au cœur d’une deuxième semaine de grève dans 24 collèges de la province, la porte-parole du SEFPO évoque la possibilité d'une annulation de session si le conflit se prolonge. Lors du dernier conflit, en 2006, ce sont trois semaines de cours qui avaient été perdues. Si le conflit perdure au-delà de ce délai, Mona Chevalier, porte-parole du SEFPO, pense qu’il sera difficile de préserver la session dans son cadre actuel et peu probable qu’elle se termine comme prévu en décembre.

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Le lauréat du prix Nobel prend la tête d’une marche homérique à travers l’Inde en faveur de la sécurité des enfants

Lorsque Kailash Satyarthi prend un engagement, rien ne peut l’arrêter, comme le montre la réponse de millions de personnes à son appel à mettre fin aux agressions sexuelles et la traite des enfants dans la plus grande marche qu’a connue le pays. Le mois dernier, un nombre estimé à plus de 10 millions d’Indiens ont exprimé leur opposition aux abus subis par les enfants en marchant en masse à travers le pays. Lancée par le lauréat du prix Nobel de la Paix, Kailash Satyarthi, Bharat Yatra, une marche visant à mettre fin aux agressions sexuelles et à la traite des enfants, a parcouru plus de 11 000 km à travers 22 États et territoires de l’Union, du 11 septembre au 16 octobre.

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Burkina Faso : front syndical unitaire de l’éducation pour un meilleur statut enseignant.
Australie : la crise de la formation professionnelle annonce une crise sociale.
Australie : les écoles privées se prévalent d'étudiants handicapés au détriment financier des écoles publiques.
Kenya : les syndicats soutiennent la grève des professeures et professeurs.

 
 
Monde de l’éducation
 
 
Débat sur le thème Faut-il plus de femmes en sciences? le 8 novembre à l’UQAM
DebatSurLeTheme

Le Cœur des sciences organise un débat sur le thème Faut-il plus de femmes en sciences? le mercredi 8 novembre, à 18h, à l’Agora Hydro-Québec (CO-R500) du pavillon Coeur des sciences de l'UQAM, 175, avenue du Président-Kennedy. La science peut-elle se priver de l’apport des femmes? Qu’il s’agisse du choix des sujets de recherche ou de la façon de les aborder, leur présence contribue-t-elle à une diversification des points de vue et des pratiques? Et, si oui, comment favoriser une plus grande égalité des sexes en science et en technologie? Quels sont les facteurs qui favorisent leur carrière dans ces domaines et ceux qui leur nuisent? Des idées, des projets et des témoignages pour alimenter notre réflexion. L’entrée est gratuite. Ouverture des portes à 17h30. Réservations requises.

 
 
Loi 62 : des universités et cégeps semblent réticents

Des universités et cégeps montréalais semblent réticents à appliquer les dispositions de la loi 62, qui interdit aux étudiants de porter un voile qui couvre leur visage en classe. La ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, a tenté de clarifier les imprécisions de la loi, mardi. En classe, les étudiants devront avoir le visage découvert, étant donné qu'une communication est requise entre l'étudiant et son enseignant pour faciliter les apprentissages, a-t-elle expliqué. Mais les établissements scolaires ne semblent pas tout à fait à l'aise avec cette directive. Selon Jean-Marie Lafortune, président de la Fédération québécoise des professeures et professeurs d'université, le fait de forcer les professeurs à jouer le rôle de la police et à expulser des étudiantes qui couvriraient leur visage violerait leur liberté académique.

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UQAR – UQO : nouveau programme court sur le mouvement coopératif

L'Université du Québec à Rimouski lance un nouveau programme court sur le mouvement coopératif en collaboration avec l'Université du Québec en Outaouais. À l'initiative des Coopératives de développement régional Bas-Saint-Laurent/Côte-Nord et Outaouais/Laurentides, l'UQAR a créé ce programme de 15 crédits.

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Le nouveau directeur de l'ENAP veut insuffler la passion aux fonctionnaires

Celui qui dirige la principale école pour les fonctionnaires au Québec a créé la surprise à la rentrée en parlant de poésie aux étudiants. Parce qu’il croit que la fonction publique ne doit pas être «froide et impersonnelle». Plutôt «engagée et passionnée». Entré en fonction à la mi-août, le nouveau directeur général de l’École nationale d’administration publique (ENAP) Guy Laforest souhaite «empêcher le cynisme de s’étendre dans la population. En étant engagés, en étant inspirés, en étant dévoués, non seulement les fonctionnaires font bien leur travail, mais, en plus, ils encouragent les citoyens à développer une fierté des services publics et à agir eux-mêmes de façon responsable.»

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L’Université de Régina devra verser 9 millions $ à une athlète devenue quadriplégique

L’Université de Régina en Saskatchewan a été jugée négligente par un jury à la suite d’un accident de plongeon survenu en 2005 au cours duquel Miranda Biletski, est devenue quadriplégique à l’âge de 16 ans. C’est un jury composé de six personnes qui a, vendredi, déclaré l’Université de Regina comme étant responsable de ce tragique accident et a accordé à la plaignante plus de 9 millions $ de dommages et intérêts. L’avocat de Miranda Biletski, Alan McIntyre, a affirmé au Global News que sa cliente était soulagée que l’affaire soit terminée. «Quand le jury a donné son verdict, elle a pleuré. Il est finalement reconnu que la faute venait de l’université et non d’elle ou de son club de natation», a confié Me McIntyre.

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Plus de 300 000 $ en frais d’avocats en trois ans à l’Université de Moncton.
Femmes en ingénierie : l’Université de Moncton apporte sa contribution.
Université du Manitoba : un diplôme renvoyé après des allégations de nature sexuelle.

 
 
Monde social
 
 
Grande manifestation pour la justice sociale le 28 octobre
GrandeManifestation

Le 28 octobre, joignez-vous à la bande de Robin des bois de la Coalition Main rouge pour revendiquer le réinvestissement massif dans les services publics, les programmes sociaux et l’action communautaire autonome. Une grande manifestation pour la justice sociale partira du parc Villeray (coin Jarry et Christophe-Colomb) à 13h. Après des années de politiques d’austérité, le gouvernement Couillard a annoncé un surplus record en 2017. Malgré l’immense surplus budgétaire, le financement pour les services publics, les programmes sociaux et l’action communautaire autonome demeure largement insuffisant et ne répare même pas les dommages créés par les compressions des dernières années. Les services publics sont menacés, les coupes sévères en santé et en éducation ont grandement affecté les services à la population. Le désengagement envers les services de garde subventionnés a diminué la qualité des services et la modulation des tarifs a appauvri les familles.

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Femmes et santé mentale : projection du documentaire Fragilité, le 30 octobre
FemmeEtSante

Le documentaire Fragilité sera projeté le lundi 30 octobre, à 18h, à Artgang Montreal, 6524 St-Hubert. Le documentaire d'Ahang Bashi (Suède, 2016) sera présenté en première nord-américaine, en version originale avec sous-titres français. La projection sera entourée d'une discussion en présence d'invités. Pour cette troisième séance automnale, les Filministes veulent ouvrir la discussion sur les tabous et les préjugés qui entourent les maladies mentales, les troubles anxieux et la dépression, et spécifiquement lorsque vécus par des femmes. Par le passé, les «maladies de l'âme» (hystérie, vapeurs, humeurs, mélancolie) ont servi à limiter la place et le rôle des femmes dans la société. De nos jours, qu'en est-il de l'emploi du mot «folle»? Sommes-nous sorti.e.s des stéréotypes qui accompagnent la prise de médicaments et la maladie mentale? Quelles sont les différentes réflexions féministes sur le sujet?

 
 
Conférence Bien commun, féminisme et pluralisme : des intersections à renforcer, le 6 novembre

Le Centre justice et foi (25 rue Jarry Ouest) accueillera le lundi 6 novembre, de 19h à 21h30, une conférence intitulée Bien commun, féminisme et pluralisme : des intersections à renforcer. Les panélistes de cette Soirée Relations sont • Alexa Conradi, ex-présidente de la Fédération des femmes du Québec et auteure du livre Les angles morts. Perspectives sur le Québec actuel (Éditions du remue-ménage, 2017); • Alexandra Pierre, organisatrice communautaire et militante à la Ligue des droits et libertés; • Amélie Nguyen, coordonnatrice du Centre international de solidarité ouvrière (CISO) et • Marc-André Cyr, département de science politique de l’UQAM. Trop souvent dans nos débats publics, la construction d’un projet collectif est présentée comme irréconciliable avec les multiples demandes de reconnaissance. Et si nous pouvions repenser l'universalité du bien commun de façon à tenir compte du pluralisme croissant de nos sociétés, pour ne laisser personne de côté? Quelles contributions peuvent apporter à ce défi les milieux communautaire et syndical? Quelles résistances rencontrent-ils? Quelles sont les initiatives favorisant cet arrimage entre féminisme, pluralisme et projet commun?

 
 
Soirée de la LDL sur le droit à l’autodétermination des Peuples autochtones, le 22 novembre
SoireeLDL

La Ligue des droits et libertés vous invite à participer le 22 novembre de 19h à 21h30, au Centre Saint-Pierre, salle 100, au 1212 de la rue Panet à Montréal, à une soirée qui permettra de mieux connaître les luttes menées par les Autochtones pour la réalisation du droit à l’autodétermination des Peuples autochtones et à développer des liens de solidarité en soutien à ces luttes. Quels sont les leviers qu’utilisent les Nations et les communautés autochtones pour faire des avancées dans la reconnaissance et le respect de ce droit? Quelles sont les attentes des Autochtones à l’égard des non-Autochtones? Avec Lisa Koperqualuk, anthropologue (Cheminement du Nunavik vers l’autodétermination: histoire et enjeux de la démarche), Constant Awashish, grand chef du Conseil de la Nation Atikamekw (Démarche d’affirmation et de prise en charge politique de la Nation Atikamekw: la Déclaration de souveraineté d’Atikamekw Nehirowisiw), et Serge Otsi Simon, grand chef de Kanesatake (La victoire contre Énergie Est et le traité autochtone contre l’expansion des sables bitumineux de l’Alberta). Entrée libre.

 
 
22 novembre : Journée pan canadienne d’actions, des $$$ pour le logement social maintenant!
22Novembre

Au Québec seulement, plus de 270 000 ménages locataires ont des besoins impérieux de logement, parce qu’ils vivent dans un logement trop cher, trop petit ou insalubre. Au Canada, près de 1 million sont dans la même situation. Le 22 novembre prochain, le gouvernement Trudeau doit sortir la toute première Stratégie canadienne sur le logement. Les Libéraux fédéraux ont annoncé un plan de dépenses de seulement 11,2 milliards $ répartis sur 11 ans. C’est pourquoi, le 22 novembre, Journée canadienne sur le logement, le FRAPRU, avec lOntario Coalition Against Poverty (OCAP) et le Carnegie Community Action Project (CCAP), appellent à une Journée pancanadienne d’actions pour exiger que les Libéraux de Justin Trudeau, dépensent 100% des 11,2 milliards $ budgétés pour leur Stratégie canadienne sur le logement au cours du présent mandat, que la somme soit essentiellement utilisée pour construire et rénover des logements sociaux et qu’ils reconnaissent enfin formellement le droit au logement.

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L’extrême centre mou (bis) : les fils blancs d’Alexandre Taillefer

Dans un style étonnamment brouillon, l’investisseur Alexandre Taillefer a décliné dans un de ses propres médias, le Voir, sa conception de la justice fiscale. Elle tient en une expression: mystifier le référent à la loi et n’y rien toucher. «Il est important de comprendre la différence entre évitement et évasion. L’évitement est l’utilisation de structures légales (mais peut-être pas morales) permettant de diminuer et de reporter de l’impôt. Avoir de l’argent dans un paradis fiscal n’est pas toujours illégal. Des juridictions qui offrent des taux d’imposition très bas attirent des entreprises qui vont y reconnaître des revenus. Ces revenus devront toujours par la suite revenir aux actionnaires et donc dans les pays d’origine.» Les fadaises idéologiques ont ceci d’avantageux pour les opulents qui les prononcent qu’on met peu de temps et d’efforts à les exprimer, mais beaucoup plus à les démonter…

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La révolution qui se fait attendre

Les médecins sont fâchés. Les propriétaires de petites et moyennes entreprises sont outrés. La réforme de la fiscalité fédérale est loin de faire l’unanimité. Sans surprise, les groupes qui voient leurs privilèges s’éroder sont ceux qui sont le plus mobilisés et dont on entend le plus les voix. Mais leurs voix puissantes sont-elles justes pour autant? Il y a quelques jours, Peter Dietsch, un économiste et philosophe qui enseigne à l’Université de Montréal, a publié un rapport qui propose un point de vue intéressant pour évaluer la réforme. Son objectif est d’analyser la réforme d’un point de vue éthique. Il part d’abord du principe qu’un régime fiscal juste devrait respecter les principes d’équité horizontale (les personnes ayant des revenus équivalents avant impôt devraient avoir un revenu après impôt similaire) et verticale (les personnes ayant un revenu plus élevé devraient payer plus d’impôt, en proportion de leur revenu et de manière absolue).

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Le Fonds vert : un vide sidéral

En début de semaine, nous apprenions que les résultats du Fonds vert étaient cette année une fois de plus décevants. En effet, les 1,23 G$ investis jusqu’à présent n’ont généré qu’une réduction de 613 000 tonnes de gaz à effet de serre (GES), soit environ 0,7 % (p.13) des émissions totales du Québec. Malheureusement, la réponse à cette autre mauvaise année du Fonds vert reste peu convaincante et semble répéter les erreurs des dernières années.

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Portrait des Québécoises en 8 temps

Où en sont les femmes du Québec? Le Conseil du statut de la femme publie l’édition 2017 du Portrait des Québécoises en 8 temps. Dans cette brochure, le Conseil jette un regard sur les données les plus récentes pour apprécier les progrès accomplis et mesurer les inégalités qui subsistent entre les femmes et les hommes dans huit domaines de la vie économique et sociale: la démographie, l’éducation, la situation familiale, le travail, le revenu, la santé et l’intégrité physique, l’emploi du temps et la participation au pouvoir. Nous vous invitons à prendre connaissance de ces nombreuses données statistiques pertinentes en matière d’égalité entre les sexes au Québec.

 
 
Cachez ce racisme systémique qu’on ne veut ni voir ni nommer

Avant même que les premiers témoignages ne soient livrés, le gouvernement Couillard a détourné la consultation sur la discrimination systémique et le racisme au profit d’un exercice lié strictement à la problématique de l’emploi. La Ligue des droits et libertés (LDL) dénonce cette décision qui place les institutions publiques du Québec à l’abri d’un examen du caractère systémique de leurs pratiques et politiques. La LDL s’oppose également à la manière de poser le problème. Elle rejette entièrement l’idée d’instrumentaliser les personnes racisées afin qu’elles répondent «aux défis de pénurie de main-d’œuvre ainsi qu’au défi démographique à Québec et dans les régions», tel que précisé par le ministre Heurtel.

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28e Nuit des sans-abri de Montréal : de responsabilité collective à engagements concrets

La 28e édition de la Nuit des sans-abri s’est tenue vendredi, à Montréal comme dans 40 autres villes du Québec. Propulsé par le milieu communautaire, cet événement constitue un moment privilégié pour sensibiliser la population aux réalités vécues par les personnes en situation ou à risque d’itinérance. Sous le thème «On a tous un rôle à jouer, lequel?», il s’agissait cette année de souligner la responsabilité que nous portons collectivement face au phénomène, interpellant les acteurs politiques afin que cette même responsabilité se décline en engagements concrets. À deux semaines des élections municipales, plusieurs candidates et candidats ont participé à l’événement, dont Denis Coderre et Valérie Plante, qui briguent tous deux la mairie de Montréal.

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Projet Montréal promet un plan d’intervention global de lutte contre l’itinérance.
Manque flagrant de médecins dans Hochelaga-Maisonneuve.
L’incroyable reprise en main d’un jeune toxicomane.

 
 
La population soutient les organismes communautaires, au tour du gouvernement

Une vingtaine de délégué-e-s du Réseau québécois de l’action communautaire autonome (RQ-ACA) étaient à l’Assemblée nationale mercredi pour rencontrer une quarantaine de député-e-s de tous les partis politiques dont le caucus du gouvernement libéral. L’objectif de ces rencontres est de faire valoir l’appui de la population envers les organismes de l’action communautaire autonome ainsi que la nécessité de mieux les financer. En effet, le RQ-ACA a dévoilé dimanche les résultats d’un sondage sur la perception de la population quant au rôle et à l’impact des organismes communautaires dans la société. Réalisé dans le cadre de la Semaine nationale de l’action communautaire autonome, qui se tient du 22 au 28 octobre, ce sondage révèle notamment que 84% des Québécois-e-s sont favorables à ce que les organismes soient financés adéquatement. « Dans le contexte actuel, alors que les organismes sont sous-financés et débordent pourtant de demandes, nous sommes particulièrement heureux de savoir que nous pouvons compter sur l’appui de la population » souligne Caroline Toupin, coordonnatrice du RQ-ACA.

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Crise financière des organismes communautaires : le gouvernement doit prendre des engagements.

 
 
Remaniement ministériel : l’environnement à l’ordre du jour cette fois-ci?

Le Réseau québécois des groupes écologistes (RQGE) espère que le grand remaniement ministériel effectué mercredi dernier soit enfin bénéfique d’un point de vue environnemental, car les récentes actions du présent gouvernement libéral ont été dans l’ensemble désolantes, sinon catastrophiques. Le RQGE souhaite par conséquent que ce remaniement saura rectifier le tir face à ces décisions déplorables. Le RQGE demande à la nouvelle ministre Isabelle Melançon de reconnaître l’apport des groupes écologistes et de prendre le pouvoir décisionnel de les soutenir suite à l’incohérente décision de l’ancien ministre Heurtel de supprimer cette année le financement des groupes écologistes autonomes du Québec.

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