|
|
J’écrivais dans l’Entre vous et moi de la semaine dernière que la rectrice de l’UQAM, Magda Fusaro, a promis lors du lancement de la campagne de financement de l’UQAM qu’il y aurait un règlement au conflit de travail à la Fondation UQAM prochainement. Je me dois de préciser qu’elle a plutôt souligné aux employés de la Fondation qu’elle est très sensible à la situation qui prévaut actuellement. «Je tiens à préciser que je vous entends bien et je que je souhaite travailler rapidement à dénouer cette impasse», a-t-elle ajouté. Mme Fusaro ne siège pas à la table de négociation, la Fondation étant un organisme indépendant. Mais il s’agit de la campagne de financement de l’UQAM et la direction de la Fondation nuit actuellement à la réputation de l’UQAM en laissant trainer un conflit de travail depuis 2015. Malgré le cri du cœur de Mme Fusaro, à l’occasion de son allocution inaugurale, je persiste à retenir mon don jusqu’à la résolution du conflit et j’invite la communauté uqamienne à faire de même.
Nous en avons entendu une bonne lors de cette allocution. Le SPUQ a à cœur de réduire la précarité des personnes chargées de cours (PCC)… en demandant la création de postes de profs. Si au moins c’était pour embaucher des PCC, mais la clause passerelle n’est pas utilisée comme elle le devrait et on soupçonne que dans certains départements la candidature de PCC est bloquée avant d’arriver à la dernière étape de sélection, afin qu’elles ne puissent invoquer qu’à compétence égale on doive leur accorder le poste. Quand la malhonnêteté intellectuelle s’ajoute au mépris.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
|
|
|
| |
Assemblée générale du SCCUQ le mercredi 31 janvier
Le SCCUQ convoque ses membres à une assemblée générale le mercredi 31 janvier, à 13h, au local DS-R510. À l’ordre du jour : • Élection d’une ou un membre du Comité des agentes et agents de relations de travail (remplacement d’un congé maladie) et d’une ou un ombudsman des personnes chargées de cours • Budget 2018 • Le point sur les négos à l’UQO, à l’UQAC et à la Téluq • Assurance médicament • Programme de perfectionnement relatif à l’obtention de nouvelles EQE • et Nominations au Comité des sages.
L’ombudsman est une personne de bonne réputation qui connaît l’organisation et la culture syndicales. Elle doit avoir une compétence reconnue dans le domaine de la prévention du harcèlement psychologique ou dans un domaine connexe. C’est une personne crédible, impartiale, rigoureuse, disponible et respectueuse envers les individus. L’ombudsman doit posséder une bonne capacité d’analyse, de synthèse et de jugement. L’ombudsman peut être appelé, dans le cadre de son mandat, à faire de la médiation entre les parties impliquées. L’ombudsman peut provenir de l’UQAM ou de l’extérieur de l’UQAM.
|
|
|
|
|
40e anniversaire : conseil syndical, cocktail dînatoire et le SCCUQ en quatre temps
| |
Vendredi 9 février : 40 ans, ça se fête
Conseil syndical à 14h au local PK-1350: • Rapport de 2 comités de travail en vue de la prochaine négociation (intégration et stabilisation de l’emploi) • Présentation de la Politique institutionnelle sur la pédagogie inclusive.
5 @ 7 Cocktail dînatoire à la Chaufferie du Cœur des sciences (CO-R700). La musique sera assurée par le quatuor Rhapsodie, quatre musiciennes virtuoses et dynamiques. Vous devez confirmer votre présence à sccuq@uqam.ca.
Le SCCUQ en quatre temps : conférences-débats sur des périodes marquantes de l’histoire du Syndicat
Mardi 6 février à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540: La création: de la gestation à la première grève de personnes chargées de cours. Avec Laval Rioux (secrétaire) et Denis Laferrière (directeur) du premier exécutif provisoire et Marc Choko, premier président du syndicat accrédité.
Jeudi 15 février 5 @ 7 (à compter de 17h), au lieu social du Syndicat, local A-R540: La grève des cœurs et le début de la reconnaissance. Avec le chargé de cours Réal Leblanc et l’ex-chargé de cours Robert Martin. Autre panelliste à confirmer.
Mercredi 21 février 5 @ 7 (à compter de 17h), au lieu social du Syndicat, local A-R540: L’évolution de la convention collective et les années 2000. Avec Sylvie Goupil, ancienne v.-p. à la convention collective, Jocelyn Chamard, ancien v.-p. à la convention collective, et Jean-François Tremblay, ancien agent du CAART et ancien porte-parole à la table de négociation.
Mercredi 14 mars à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540: L’avenir du SCCUQ et du militantisme de ses membres. Chargées et chargés de cours panellistes à confirmer.
|
|
|
|
| |
Séance d’information pour les nouvelles personnes chargées de cours le 20 février
Une séance d’information s’adressant particulièrement aux nouvelles personnes chargées de cours se donnera le mardi 20 février, à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 (pavillon Hubert-Aquin). La formation comprend un survol des thématiques suivantes: • le Syndicat des chargées et chargés de cours • les projets d’intégration • la convention collective • les programmes de perfectionnement • les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) • le régime de retraite. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence au plus tard le 16 février à Mariève Ross.
|
|
|
| |
Formation pour les membres des comités de liaison locaux le 13 mars
Une formation s’adressant aux représentants des chargées et chargés de cours siégeant aux comités de liaison locaux (CLL) sera donnée le mardi 13 mars, à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 (Pavillon Hubert-Aquin). Cette formation a pour but de vous outiller sur votre rôle de représentation au CLL de votre unité. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence à Jean Régnier.
|
|
|
|
|
L’émission Combattre la violence à caractère sexuel en milieu universitaire au canal Savoir avec Sandrine Ricci
| |
Le canal Savoir diffuse une émission sur le thème Combattre la violence à caractère sexuel en milieu universitaire les 6 (à 9h30), 7 (à minuit), 8 (à 1h), 9 (à 14h30) et 10 février (à 5h). Comment peut-on définir la violence à caractère sexuel? Sous quelle forme la retrouve-t-on? Quelles sont les définitions juridiques, et bien sûr les recours possibles? Quel est le portrait du milieu universitaire québécois en la matière? Comment ça se passe dans les équipes sportives ou lors d'initiations? Et bien sûr, quelles sont les pistes de solutions et les initiatives en place ou à réfléchir pour faire en sorte que ces comportements indésirables se produisent de moins en moins souvent? Avec: • Josée Laprade, directrice du Centre de prévention et d'intervention en matière de harcèlement de l'U. Laval, responsable de la campagne «Sans oui c'est non» • Louise Langevin, professeure titulaire, faculté de droit de l'U. Laval • Sylvie Parent, professeure agrégée, département d'éducation physique de la faculté des Sciences de l'éducation et Sandrine Ricci, sociologue, chargée de cours à l'UQAM, elle fait actuellement partie de l'équipe ESSIMU qui s'intéresse aux violences à caractère sexuel en milieu universitaire.
|
|
|
|
|
|
Le Québec a mal à sa gauche, soutient Benoît Coutu
|
|
|
| |
Élisabeth Vallet a analysé et commenté le sort controversé des Dreamers aux États-Unis
|
|
|
| |
Donald Cuccioletta a expliqué et commenté la paralysie budgétaire qu’a connu Washington
|
|
|
| |
Louise Champoux-Paillé est une des quatre leaders de la campagne de financement de l’UQAM
Sous le thème «100 millions d’idées», l’UQAM a lancé le 17 janvier la plus importante campagne de financement de son histoire. À la veille de son 50e anniversaire, l’Université s’est donné un objectif audacieux de 100 millions de dollars, échelonné sur les cinq prochaines années. Déjà, près de 35 millions de dollars ont été recueillis. «L’UQAM joue un rôle significatif dans la vie de chacune et de chacun d'entre nous, un rôle qui dépasse même la formation universitaire, qui s'étend au-delà du périmètre du campus et atteint une dimension nationale et internationale», a mentionné la chargée de cours Louise Champoux-Paillé, une des quatre coprésidentes et coprésidents qui assureront le leadership de la campagne, peut-on lire sur Actualités UQAM. Nous vous rappelons toutefois qu’on conflit de travail sévit à la Fondation UQAM qui gère cette campagne et qu’il est syndicalement préférable d’attendre le règlement de ce conflit avant de faire son don.
|
|
|
|
|
ALÉNA : rassemblement, forum et conférence les 26 et 27 janvier pour les peuples et la planète avant le profit
|
|
|
|
| |
L’Université du Québec souffre d’un «mépris général» de la part de la presque totalité de l’Assemblée nationale
|
|
|
|
|
Négociation dans l’impasse : second débrayage pour les profs de l’UQO
Les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais (SPUQO–CSN) ont débrayé une seconde fois jeudi matin, entre 8 h 30 et 11 h 30, sur les deux principaux campus de l’UQO. «La séance de conciliation du lundi 22 janvier n’a pas permis de surmonter l’impasse dans laquelle les négociations se trouvent depuis le 7 décembre 2017. Notre comité de négociation avait invité le recteur à être présent à cette séance afin de boucler cette négociation qui traîne depuis près de trois ans, mais ce dernier ne s’est tout simplement pas présenté», de préciser Louise Briand, présidente du SPUQO. Le syndicat est toujours d’avis que le recteur se traîne les pieds et ne démontre aucune volonté à régler la nouvelle convention collective.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
Colloque contre l'homophobie et la transphobie : un guide pour les établissements d'enseignement est lancé
| |
Dans le cadre de son 4e colloque, la Table nationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie des réseaux de l’éducation a lancé le 19 janvier l’ouvrage Mesures d’ouverture et de soutien envers les jeunes trans et les jeunes non binaires – Guide pour les établissements d’enseignement. Rappelons que la Charte québécoise des droits de la personne a été modifiée pour y ajouter deux nouveaux motifs interdits de discrimination: l’identité et l’expression de genre. Cette modification amène des responsabilités additionnelles pour les établissements d’enseignement. «Plusieurs jeunes trans et jeunes non binaires ont besoin d’exprimer leur identité de genre et leur expression de genre, et ce, dès le primaire. Nous constatons qu’un nombre croissant de ces jeunes font aujourd’hui leur transition pendant qu’ils fréquentent les milieux d’enseignement», soutient Jacques Pétrin, coordonnateur de la Table nationale.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
L’ASSE est au bord de l’implosion : le regroupement étudiant votera sur sa dissolution à son congrès de février
Le regroupement étudiant le plus militant du Québec est au bord de l’éclatement. L’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSE), qui a connu son heure de gloire au printemps 2012, fait face à une tentative de dissolution pure et simple qui sera débattue en congrès le mois prochain. Selon ce que Le Devoir a appris, la crise interne qui déchire l’ASSE depuis au moins trois ans a atteint un point critique. Sept des huit postes de l’exécutif sont vacants, les associations étudiantes locales sont démobilisées — certaines ont cessé de payer leurs cotisations — et de «graves questionnements» planent sur l’état des finances du mouvement.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
Échec aux paradis fiscaux lance une campagne pour une action plus ambitieuse du gouvernement fédéral
Le collectif Échec aux paradis fiscaux, auquel sont membres la CSN, la FTQ et la CSQ, lance une nouvelle campagne pour exiger du gouvernement fédéral qu’il mette en place des mesures plus ambitieuses et plus efficaces de lutte contre les paradis fiscaux. Grâce à un nouveau site web (VraiesSolutions.com), la population pourra directement joindre le gouvernement fédéral et lui demander d’agir avec sérieux et audace contre les paradis fiscaux. Chaque année, ce sont plusieurs milliards de dollars que le Canada perd à cause de l’évasion fiscale et du recours aux paradis fiscaux.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
Les sages-femmes talonnent le ministre Barrette pour négocier
La négociation entre le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) et le Regroupement Les sages-femmes du Québec (RSFQ) s’étire depuis 2015. Une trentaine de sages-femmes se sont rendues mercredi devant les trois bureaux du ministre situés à Montréal, à Québec et en Montérégie pour faire pression afin qu’il envoie les mandats nécessaires et que la négociation sur le cœur des enjeux puisse enfin débuter. Lors de la prochaine rencontre de négociation fixée au début février, les sages-femmes attendent du ministre qu’il présente du contenu concret qui saura répondre à leurs attentes. Rappelons que le ministre lui-même a affirmé être en accord avec les demandes des sages-femmes, qui visent en grande partie à bien desservir la population.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Négociations du préhospitalier : des ententes de principe pour tous les paramédics
|
|
|
|
|
«La réforme Barrette, un échec sur toute la ligne», soutient Claire Montour, présidente de la FSQ-CSQ
«Aujourd’hui, le bilan de tous ces chambardements est sans équivoque. Les améliorations promises par Gaétan Barrette pour rendre notre système public plus efficace et accessible ne sont pas là, bien au contraire. Quant au personnel, ses souffrances au travail ont augmenté considérablement. La réforme Barrette est un échec sur toute la ligne.» La présidente de la Fédération de la Santé du Québec (FSQ-CSQ), Claire Montour, a profité de l’ouverture mercredi du congrès de son organisation syndicale à Québec pour faire le bilan de Gaétan Barrette à titre de ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec. Un portrait plutôt sombre dressé par la leader syndicale qui a parlé de Gaétan Barrette comme étant certainement «l’un des pires ministres de la Santé que le Québec ait connus».
Lire la suite.
|
|
|
|
|
|
Transport scolaire à Montréal : rejet des offres patronales et vote de grève à 98 %
Les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Transco–CSN (STTT–CSN) ont rejeté mardi soir les dernières offres patronales à 98% et ont reconduit leur mandat de grève à 98%, par voie de scrutin secret. Ce mandat, à exercer au moment jugé opportun, pourrait être mis en œuvre les 30 et 31 janvier prochain si aucune entente ne survient entre les parties d’ici là. «Les deux votes de ce soir réaffirment notre refus catégorique de laisser l’employeur nous imposer des conditions salariales qui nous appauvrissent. Même si les salaires qui nous sont versés ne reconnaissent pas nos compétences et toutes les responsabilités que nous assumons tous les jours, les patrons étasuniens de First Student, qui possèdent Transco, n’ont pas du tout l’intention d’améliorer nos conditions de travail», de dénoncer Carole Laplante, présidente du STTT–CSN.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
|
Commission scolaire Kativik : le personnel enseignant de l’AENQ-CSQ déclenchera une grève générale illimitée le 31 janvier
Face à l’impasse qui perdure depuis plus de deux ans et demi dans le cadre des négociations en vue du renouvellement de la convention collective du personnel enseignant de la Commission scolaire Kativik, les représentants de l’AENQ-CSQ ont déposé ce matin un avis de grève générale illimitée au ministère du Travail et au Comité patronal à la Commission scolaire Kativik. Celle-ci sera déclenchée le 31 janvier si les travaux ne permettent pas d’en arriver à une entente d’ici là.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
Lancement de la plateforme numérique La CLEF : la CSQ salue le rôle de Télé-Québec
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) salue le lancement de la plateforme numérique La CLEF annoncé aujourd’hui conjointement par le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, et la ministre de la Culture et des Communications, Marie Montpetit. La vice-présidente de la CSQ, Line Camerlain, se réjouit tout particulièrement de l’implication de Télé-Québec dans le projet. «La chaîne Télé-Québec a toujours joué un rôle majeur dans le maillage entre la culture et l’éducation. Par les émissions et plateformes qui y ont été développées depuis sa création, cette institution a toujours exercé un leadership pédagogique et a toujours su concevoir des projets qui permettent de transmettre des connaissances aux tout-petits», souligne la vice-présidente.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Les employés de bureau du RTL adoptent un mandat de grève
|
|
|
| |
À l’échelle du pays, des Canadiennes se joignent aux marches mondiales des femmes
Nous sommes de retour, plus déterminées que jamais, et nous faisons sentir notre présence à plus d’endroits que l’an dernier – nous parlons de la deuxième ronde coordonnée de marches de protestation des femmes. Dans 38 collectivités à l’échelle du Canada, les femmes ont manifesté afin de proclamer des messages d’inclusion, d’égalité et d’autonomisation. L’an dernier, les marches étaient en réponse aux fanfaronnades de Donald Trump à l’égard de l’inconduite sexuelle et de ses politiques conflictuelles qui ont alimenté le mouvement. Cette année, ce sont les allégations de harcèlement sexuel qui pèsent sur le géant hollywoodien Harvey Weinstein et sur plusieurs figures médiatiques masculines emblématiques qui ont nourri le feu.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Le Canada invoque le chapitre 19 pour renverser les pénalités américaines sur la C-Séries et le bois d’oeuvre
Le Syndicat des Machinistes (AIMTA) se réjouit de voir le Canada utiliser le Chapitre 19 pour tenter de briser les mesures protectionnistes du gouvernement américain. «Nous réclamons cette initiative publiquement depuis le 13 octobre 2017. C’est donc un grand soulagement de voir le gouvernement canadien utiliser cette mesure supplémentaire pour défendre l’économie d’ici et les emplois de milliers de citoyens», déclare le coordonnateur québécois de l’AIMTA, David Chartrand. Cela dit, nous croyons que la renégociation de l’ALÉNA serait le moment d’améliorer cette mesure essentielle pour la défense de l’indépendance économique des gouvernements et contrecarrer les méthodes déloyales de certaines entreprises.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Le dirigeant du syndicat iranien de l’éducation Esmail Abdi renvoyé en prison
|
|
|
| |
L’Université féministe d’été du 20 au 25 mai : Quelle égalité dans un contexte de diversité?
L’Université féministe d’été aura lieu du 20 au 25 mai au Pavillon Charles De-Konick (DKN) de l’Université Laval. Cette année le thème retenu est: Quelle égalité dans un contexte de diversité? Si l’égalité des sexes est depuis toujours au cœur des combats féministes, les enjeux liés à la diversité religieuse, au racisme, aux droits des minorités sexuelles et de genre, à l’exclusion sociale (pauvreté, handicap, citoyenneté), se sont imposés dans les débats, les réflexions et les mobilisations féministes au cours des dernières années. Ces enjeux nous forcent à penser l’égalité au-delà de la stricte binarité sexuelle et à prendre en compte la pluralité des formes d’oppression et des inégalités qui existent, notamment entre les femmes. C’est pourquoi il nous apparaissait impératif de revisiter le thème de l’égalité pour cette seizième édition de l’Université féministe d’été. Pour plus de détails et inscription.
|
|
|
| |
Pendant que l’UQAM propose de plus en plus de cours en anglais, Concordia renoue avec le français
Quatre professeurs de l’Université Concordia se sont réunis pour créer le Réseau des études québécoises. Des publications dans les journaux francophones aux expositions à la Bibliothèque et Archives nationales du Québec, les initiatives du Regroupement visent à promouvoir leurs recherches auprès des Québécois. Plusieurs chercheurs de l’Université travaillaient sur le Québec sans se connaître, selon le professeur au Département d’anthropologie et de sociologie et membre fondateur du projet Jean-Philippe Warren. Ils veulent aussi intéresser les Québécois francophones, puisque la plupart des recherches sont publiées dans des revues anglophones. «Il y a une déconnexion entre la recherche qui se fait dans une langue étrangère et la société québécoise, regrette M. Warren. Avec ce Réseau, nous voulons nous assurer que Concordia puisse faire partie de la conversation collective du Québec.»
Lire la suite du texte du journal étudiant Quartier libre.
|
|
|
| |
Un nouvel espace communautaire de création numérique à l'UQAT
L'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue pourra prochainement compter sur un tout nouvel espace communautaire de création numérique. L'Espace Lab, d'une valeur de 137 000$, est notamment rendu possible grâce à une contribution de 68 900$ du ministère de la Culture et des Communications du Québec. La Ville de Rouyn-Noranda est également partenaire dans le projet. Le laboratoire permettra aux étudiants de toucher à plusieurs axes, dont la mobilité et la réalité augmentée, la réalité virtuelle et les jeux intelligents, le design expérientiel, la fabrication numérique et les objets intelligents, peut-on lire sur le site d’Énergie 102,3.
|
|
|
| |
Toilettes neutres : l'Alliance Arc-en-ciel se réjouit de l'ouverture de l'Université Laval
L’Alliance Arc-en-ciel de Québec se réjouit de voir «une institution» comme l’Université Laval s’ouvrir à la réalité des personnes trans avec la mise en place de toilettes neutres dans les prochains mois. L’organisme a bon espoir que d’autres enjeux liés à la cause trans pourront ainsi être abordés dans l’espace public. Grâce à des démarches amorcées à l’automne 2016, le Groupe gai de l’Université Laval a réussi à convaincre la direction d’instaurer dans ses pavillons des toilettes non genrées pour répondre aux besoins des personnes trans ou non-binaires. «Quand ça vient directement de la communauté, on ne peut que s’en réjouir», a réagi Louis-Filip Tremblay, directeur général de l’Alliance.
Lire la suite du texte du Soleil.
|
|
|
| |
Averse de 51 millions $ sur l’Université de Sherbrooke
L’Université de Sherbrooke vient de recevoir un peu plus de 51 millions $ en subventions offertes par les gouvernements du Québec et du Canada ainsi que la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) et différents partenaires. À quoi serviront tous ces millions de dollars qui viennent de déferler sur la colline universitaire? Les sommes allouées serviront principalement à l’acquisition d’équipements de pointe pour aider les chercheurs à avancer dans leurs projets.
Lire la suite du texte de La Tribune.
Refonte du financement universitaire : l’UdeS estime qu’elle pourrait être perdante.
|
|
|
|
|
La Fédération des cégeps présente ses attentes pour la révision du modèle de financement du réseau collégial public
La Fédération des cégeps a présenté le 16 janvier, devant un comité d'experts mandatés par le ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, son mémoire présentant les attentes du réseau collégial public en ce qui a trait au renouvellement de son modèle de financement. Les cégeps considèrent que le modèle actuel de financement convenu en 1992 par le ministère de l'Éducation et les cégeps, le modèle «FABES», mérite d'être revu en profondeur. Bien que les principes sous-jacents de ce modèle demeurent pertinents, ses paramètres n'ont pas évolué au même rythme que les besoins des étudiants, des cégeps et de la société québécoise. Le réseau des cégeps compte notamment sur un réinvestissement important et durable pour combler le sous-financement et les compressions budgétaires de l'ordre de 155 M$ subies ces dernières années.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
Des scientifiques du monde entier demandent au Canada de rétablir le financement d’un programme scientifique sur l’Arctique
Dans une lettre adressée à Justin Trudeau, 250 scientifiques dénoncent la décision du gouvernement de ne pas reconduire un important programme de financement de la recherche sur les changements climatiques et l’Arctique.
Lire la suite du texte du Devoir.
|
|
|
| |
Quand les professeurs décrochent : les conditions difficiles d’exercice du métier viennent à bout des «vocations»
Quand elle est devenue enseignante en adaptation scolaire, Mandy Vallières rêvait de sauver les enfants les plus vulnérables du système. Ceux qui ont les plus grandes difficultés. Dix ans plus tard, elle a encore la passion, mais elle est à bout de souffle. Elle envisage de changer de métier. «Oui, je pense à partir. Je me sens en colère», dit l’enseignante de 42 ans, de la Commission scolaire de Montréal (CSDM). Ce «désengagement» envers la profession enseignante touche aussi les profs plus âgés, estiment plusieurs sources jointes par Le Devoir. Le résultat sur le terrain, c’est la pénurie d’enseignants, surtout suppléants, qui frappe une série de commissions scolaires. La pénurie fait des vagues jusque dans les facultés d’éducation. «Les commissions scolaires embauchent nos étudiantes pour faire du remplacement. On a de la difficulté à les retenir pour qu’elles suivent toute leur formation», dit Mélanie Paré, professeure à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal.
Lire la suite du texte du Devoir.
|
|
|
| |
La liberté universitaire n’est pas absolue
La liberté universitaire, la tolérance et le discours civil sont menacés par deux grandes forces idéologiquement opposées. D’un côté la gauche (une minorité selon moi), qui veut museler ceux qu’elle considère comme les ennemis de l’égalité, cette valeur phare de l’enseignement supérieur. L’an dernier, par exemple, l’Université de Californie à Berkeley a dû annuler la conférence des conservateurs Milo Yiannopoulos et Ann Coulter en raison de menaces de violence. De l’autre côté du spectre se dressent les partisans d’extrême droite, qui au nom de cette même liberté d’expression s’opposent à toute forme de contrôle du droit de parole. Selon eux, les discours racistes et sexistes devraient être tolérés, et toute tentative visant à les réprimer relève d’une rectitude politique poussée à l’extrême.
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
|
|
|
| |
Baccalauréat : le Québec accuse du retard sur le ROC, selon des chercheurs du CIRANO
Le taux de diplomation universitaire est beaucoup plus faible au Québec qu’ailleurs au pays et l’écart ne cesse de s’accroître, soutiennent des chercheurs du CIRANO dans un nouvel ouvrage, Le Québec économique. Éducation et capital humain. Ils attribuent cette situation à la «très forte sous-performance» des francophones et à un cheminement ralenti par l’obligation d’aller au cégep. Les Québécois représentent 23,3% de la population canadienne, mais ils ne représentent que 22% des diplômés. À titre comparatif, l’Ontario, qui est «la province dominante en diplomation universitaire», forme 44,7% des diplômés universitaires au Canada, alors que sa population constitue 38,5% du total canadien.
Lire la suite du texte du Devoir.
|
|
|
| |
L’avenir des postdoctorants est-il à l’étranger?
Être titulaire d’un doctorat n’est pas à la portée de tout le monde. Pourtant, après des années consacrées à étudier, à faire des recherches et à obtenir le diplôme le plus élevé du cursus scolaire, ces doctorants sont aux prises avec de nombreuses difficultés lorsque vient le temps d’entrer sur le marché du travail canadien. Leur avenir, pour au moins 30% d’entre eux, se trouverait à l’étranger. Un sondage réalisé en 2016 par l’Association canadienne des stagiaires postdoctoraux dresse un portait bien sombre de la situation des doctorants dans notre pays. En effet, malgré le fait que le salaire des «post-docs» ait augmenté au fil des ans, il reste moins élevé ici qu’ailleurs dans le monde. Selon cette étude, environ 47% de ces diplômés gagnent en moyenne moins de 45 000$ bruts par année, comparativement à 54 000$ pour ceux qui travaillent à l’extérieur du pays.
Lire la suite du texte du journal Métro.
|
|
|
| |
Rassemblements de quartier contre l'islamophobie le 29 janvier
Le 29 janvier, cela fera un an depuis l'attaque de la Grande mosquée de Québec, qui a entraîné la mort de 6 personnes et en a blessé 19 autres, en plus de tous ceux et celles qui ont été traumatisé-e-s par cet acte haineux et raciste. Nous refusons d'oublier les personnes qui ont été assassinées et blessées. Nous refusons d'oublier cet événement, tout comme le contexte socio-politique qui continue de nourrir l'islamophobie. Nous refusons d'oublier parce que cette attaque n'est pas un événement isolé, mais fait partie d'un climat social et politique dans lequel les Musulman-e-s font face à du harcèlement quotidien, des agressions physiques et des insultes qui visent les individus, les mosquées, les écoles et les communautés. Des rassemblements sont prévus devant les métros Verdun et Mont Royal à 17h, le métro Jean-Talon (sortie Tour Jean-Talon) à 17h30 et devant l’Arts Building de McGill à 12h15.
|
|
|
|
|
Une pétition importante en appui au financement du communautaire sur le site de l’Assemblée nationale
Déjà plus de 4200 citoyennes et citoyens ont exprimé leur appui à cette pétition qu’il est possible d’appuyer jusqu’au 4 février sur le site de l’Assemblée nationale. En apportant votre appui vous contribuerez à ce que ce nombre soit beaucoup plus important pour le dépôt de cette pétition, alors que se tiendront en février des actions pour appuyer cette demande. Voici le contenu de la proposition: Nous, soussignés, demandons au gouvernement du Québec de s’engager pour le communautaire et pour la justice sociale par: • un rehaussement de 475 millions de dollars, par année, du financement à la mission des 4 000 organismes d’action communautaire autonome, incluant les groupes en attente de financement; • l’indexation annuelle des subventions; • le respect de leur autonomie; • un réinvestissement dans les services publics et les programmes sociaux.
|
|
|
|
|
Grande marche entre Ottawa et Québec : de villes en villages pour le droit au logement
Le FRAPRU organise une grande marche, d’Ottawa à Québec, du 2 au 29 septembre 2018. Intitulée «De villes en villages pour le droit au logement», il s’agit d’un parcours de plus de 500 km; c’est sans doute son projet le plus ambitieux. Toutes les personnes ayant à cœur le droit au logement sont invitées à s’y joindre pour une ou plusieurs journées. L’objectif est d’interpeller les deux paliers de gouvernement sur les graves dénis du droit au logement qui accablent les ménages locataires à faible revenu et sur l’insuffisance des investissements dans le domaine du logement social. Selon le recensement de 2016, 457 275 ménages locataires du Québec consacrent plus que la norme de 30% de leur revenu pour se loger. De mauvaises conditions de logement ont des impacts directs sur la sécurité, la santé et la pleine jouissance de ses droits.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
Le salaire minimum à 12 $/h : quel risque pour les PME?
Nous apprenions le 17 janvier que le salaire minimum sera haussé de 75¢ le 1er mai prochain. Cette hausse, qui s’ajoute à celle de 50¢ de l’an passé, portera alors le salaire minimum à 12$/h. On peut bien entendu se réjouir de cette annonce: considérant que près du quart des employé·e·s du Québec sont des bas salarié·e·s, toute mesure allant dans le sens de l’amélioration de leurs conditions de vie est la bienvenue. Toujours aussi vite à dénoncer toute hausse du salaire minimum, la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) s’attriste de cette mesure. La FCEI s’inquiète de l’effet domino qu’une telle augmentation pourrait avoir sur l’ensemble des salaires et des fermetures de PME que cela pourrait entraîner. Que la FCEI se rassure, dans une étude publiée en octobre 2016, l’IRIS démontre, sur la base des expériences passées, que les augmentations actuelles demeurent dans les limites du raisonnable.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
|
|
|
| |
Soutien communautaire en logement social : pour des investissements maintenant!
Le RAPSIM et la FOHM poursuivent leur campagne conjointe pour le financement du soutien communautaire en logement social intitulée 4 murs, ce n’est pas assez! et demandent 7 millions $ à Montréal pour le soutien communautaire dans les logements pour personnes itinérantes et aînées. Ils lancent une campagne de lettres afin d’obtenir des fonds et une réponse durable à leur demande, par un financement systématique du soutien communautaire dans tous les projets de logements sociaux qui le nécessitent. Lien pour télécharger la lettre-type.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Québec crée un prix Emmett Johns en hommage à «Pops»
De nombreux «enfants de Pops», acteurs du milieu communautaire, citoyens et politiciens se sont rassemblés, le 17 janvier, au parc Émilie-Gamelin à Montréal pour une veillée en hommage au père Emmett Johns. Le premier ministre Philippe Couillard était présent pour commémorer l'oeuvre de celui qui a consacré sa vie aux jeunes en difficulté. Il en a d'ailleurs profité pour annoncer qu'un prix portera le nom d'Emmett Johns, un prix remis par le gouvernement du Québec à une personne qui s'est illustrée tout au long de sa vie pour aider les jeunes.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
La mort d’un itinérant laisse un grand vide sur Le Plateau-Mont-Royal.
|
|
|
|
|
Lac-Mégantic : lettre ouverte au ministre des Transports du Canada
La semaine dernière, un jury a rendu un verdict de non-culpabilité dans le procès criminel de trois travailleurs de la compagnie MMA relativement à la tragédie de Lac-Mégantic. Compte tenu de la position qu’ils occupent dans l’entreprise – tout au bas de la pyramide – et de toutes les responsabilités qu’ils avaient cette nuit-là, c’était une décision juste. Les citoyens et citoyennes de Lac-Mégantic ont eu la dignité d'accepter ce verdict. Plusieurs étaient néanmoins d’avis que ce ne sont pas les bonnes personnes qui se sont retrouvées au banc des accusés.Permettez-moi, Monsieur Garneau, de vous suggérer une série de mesures que votre ministère devrait adopter pour respecter l’engagement que vous avez pris d’améliorer la sécurité ferroviaire pour les gens de Lac-Mégantic.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
|
|
|
|
|
|
Les effets pervers du privé en santé
Vous vous êtes sûrement déjà trouvé chez un optométriste à vous demander si le nouvel examen dernier cri qu’il vous propose est bon pour vous ou plutôt pour la marge de profit de son entreprise. Peut-être aussi que votre dentiste a soudainement trouvé tout plein de travaux à effectuer «absolument» dans votre bouche le jour où il a su que vous aviez désormais accès à une assurance privée. Peu importe le système de santé, la confiance entre un·e patient·e et un·e professionnel·le de la santé demeurera toujours déterminante. Il n’en demeure pas moins toutefois que ce lien de confiance est affecté par le souci de rentabiliser des organisations privées à but lucratif qui opèrent dans le domaine de la santé, qu’il s’agisse de prestation de services, de vente de biens ou d’assurances.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
|
|
|
|
| |
«L’Aut’gauche» au Québec : ce grand réseau citoyen et démocratique enraciné dans l'action collective
Le Québec traverse une période d’incertitude politique. «L’électorat est volatil» disent les sondeurs. En réalité, il est déçu, confus, déstabilisé. Les partis politiques eux-mêmes changent leurs programmes au gré des sondages et des scandales politiques. Aucun projet politique ne parvient à susciter la confiance et l’enthousiasme. Avec l’avènement d’une économie et d’une culture sans frontières, les convictions qui nous ont longtemps guidées sont brusquement remises en question: le nationalisme, le rôle social de l’État, la laïcité, le féminisme, l’immigration. Même les militants syndicaux, communautaires ou écologiques sont désorientés. La délocalisation de l’économie et le démantèlement de l’État les forcent souvent à jouer aux pompiers et à se replier sur des cibles locales.
Lire la suite du texte de Louis Favreau et Roméo Bouchard.
Manifeste «L’autre gauche» ou l’art de refuser de francs débats.
|
|
|
|
|
Davos 2018 : l’arroseur arrosé
Comme tous les ans, au Forum économique mondial, les grands de ce monde se réunissent dans la jolie ville de Davos pour discuter du sort de l’humanité. Pour la première fois depuis les années Clinton, le président des États-Unis Donald Trump a choisi de s’y déplacer. Aussi impopulaire soit-il, cela donne de la solennité à l’évènement, alors que de gros nuages noirs se pointent à l’horizon. Ceux qui suivent le Forum économique depuis plusieurs années ont observé un changement radical dans le ton. Auparavant, l’optimisme régnait. La pauvreté et la misère étaient des mots absents des conversations. Les participants espéraient rentrer à la maison après avoir brassé de fructueuses affaires. Aujourd’hui, à Davos, on s’inquiète des catastrophes qui peuvent désormais frapper les riches comme les pauvres.
Lire la suite du texte de Claude Vaillancourt sur le site du journal des Alternatives
|
|
|
|
|
|
Apple et BNP Paribas veulent bâillonner Attac
Mardi 6 février, Nicole Briend, militante d’Attac, est convoquée devant le tribunal de Carpentras, à la suite d’une plainte déposée par BNP Paribas. Son tort: avoir participé à une action symbolique de réquisition citoyenne de chaises pour pointer le rôle de la banque dans l’industrie de l’évasion fiscale. Une semaine plus tard, lundi 12 février, Attac est convoquée devant le tribunal de grande instance de Paris à la suite d’une assignation en référé déposée par Apple. La raison: empêcher les actions futures dans les Apple Store, telles que celles menées le 2 décembre 2017. Avec la campagne #ApplePayeTesImpôts, Attac dénonce l’évasion fiscale massive pratiquée par la marque à la pomme, exige le versement définitif de l’amende de 13 milliards d’euros infligée par la Commission européenne et demande à Apple de payer sa juste part d’impôts.
Lire la suite.
L’appel pour l’instauration d’une taxe globale sur les multinationales.
Vidéo d’une des actions menées à Paris contre Apple.
|
|
|
|
|
|