Infolettre du SCCUQ - 23 novembre 2017 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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À l'agenda

L’infolettre du SCCUQ est publiée tous les jeudis. Vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.

Activités reliées au SCCUQ :

29 novembre : Conférence sur la formation à distance
Jusqu’au 11 décembre : Exposition 13 LIKES au lieu social du SCCUQ
12 décembre : Party de Noël du SCCUQ
21 décembre au 8 janvier : Fermeture des bureaux du SCCUQ

Activités reliées aux membres du SCCUQ :

Jusqu’au 8 décembre : Campagne La lecture en cadeau
25 novembre : Julie Bramond présente ses créations au Marché de Noël Evo Montréal
18 janvier : Atelier Nouvelles façons de présenter les résultats de recherche

Autres activités :

24 novembre : Troisième déjeuner des hommes
24 novembre : Travailleuses de la construction entre violence et discrimination systémiques
24 au 26 novembre : Sommet au féminin–pluriel de la diaspora haïtienne
25 novembre : Alerte Anti-Raciste! Opposons-nous au racisme et l’Islamophobie
25 novembre : Colloque Féminismes et droit de l’Association des juristes progressistes
25 novembre au 6 décembre : 12 jours d’action pour l’élimination des violences envers les femmes
26 et 27 novembre : Forum international de rencontre des femmes en dialogue
27 novembre : Danse et féminisme: projection du documentaire Danser l'espoir
28 novembre : Lancement d’un rapport de recherche sur l'itinérance des femmes
29 novembre : Rassemblement en appui aux sages-femmes
30 novembre : Midi du Cremis C'est tombé dans l'oreille d'une Sourde
Jusqu’au 10 décembre : Encan silencieux du Groupe d’aide et d’information sur le harcèlement sexuel au travail
7 et 8 décembre : Colloque Rendre visible l’itinérance au féminin
8 décembre : La surveillance et le contrôle technocratique des OSBL: un enjeu de droits collectifs

Messages et documents du SCCUQ :

Politique de prévention et d’intervention en matière de harcèlement psychologique au SCCUQ
Réflexion du SCCUQ sur la décentralisation des ressources

 
 
Entre vous et moi

Il s’est passé des choses intéressantes au SCCUQ mercredi, en cette Journée nationale des chargées et chargés de cours. Ça s’est terminé en beauté au vernissage de l’exposition 13 LIKES qui se tient au lieu social du Syndicat jusqu’au 11 décembre. Les artistes exposants ont échangé avec d’autres chargées et chargés de cours sur leur processus de recherche et de création, semant des idées dans la tête de collègues d’autres départements. Mais auparavant, les membres du Syndicat ont pris conscience, lors de la présentation du Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université (STTTU–CSN) en conseil syndical, des pièges de la formation à distance lorsque la rentabilité financière prend le pas sur l’encadrement des étudiants et que le privé prend la place des personnes chargées de cours dans un environnement décloisonné. Une bonne discussion qui a mené à un appui fort au STTTU dans son combat contre une direction antisyndicale et qui met la table pour la discussion sur la formation à distance que nous aurons avec deux collègues d’autres universités le mercredi 29 novembre. On vous y attend en grand nombre.

Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ

 
 
SCCUQ
 
 
Atelier sur la formation à distance le 29 novembre

Vous êtes invités à un atelier sur la formation à distance qui se déroulera le mercredi 29 novembre au lieu social du Syndicat (A-R542) de 16h à 19h. L’atelier sera animé par Francis Bouffard, président du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, et Stéphane Fauteux de l’Université de Montréal. Les conférenciers nous feront part de leur expérience de l’enseignement avec les environnements numériques d’apprentissage, de la pratique de la formation à distance dans leur université et des conséquences sur la charge de travail des personnes chargées de cours. Un buffet sera servi. Merci de confirmer votre participation auprès de Gaëlle Breton-Le Goff avant midi le lundi 27 novembre.

 
 
PartyNoel
 
 
Le Syndicat des chargés de cours de l'UQAM célèbre ses 40 ans : une contribution essentielle, une expo à voir
SCCUQCelebre

Afin de souligner le 40e anniversaire du Syndicat des chargées et chargés de cours de l'UQAM (SCCUQ), un collectif formé de 13 personnes chargées de cours de l’École des arts visuels et médiatiques et de l’École de design présente l'exposition 13 LIKES, depuis le 15 novembre jusqu'au 11 décembre prochain. Le SCCUQ a été le premier syndicat de chargés de cours mis sur pied dans une université au Québec. «À partir de 1978, le SCCUQ s'est donné pour mission de défendre les droits et les intérêts des employés précaires de l'enseignement universitaire», souligne sa présidente, Marie Blais. À l'UQAM, comme dans d'autres universités, les chargés cours jouent un rôle essentiel dans la formation des étudiants. «L'an dernier, 56% des cours de premier cycle à l'Université étaient dispensés par des personnes chargées de cours, note la présidente du SCCUQ. Nous sommes aussi présents aux deuxième et troisième cycles. Plusieurs d'entre nous proviennent de divers milieux professionnels et partagent ainsi avec les étudiants leur expérience et leur expertise dans des domaines bien précis.»

Lire la suite du texte sur Actualités UQAM.

 
 
Assemblées d’unités : Sciences économiques le 27 novembre, Didactique des langues et Chimie le 28, Histoire et Stratégie, responsabilité sociale et environnementale le 29 et Mathématiques le 30 novembre

Les assemblées d’unités départementales se poursuivent au A-R540 ou au A-R505 à 12h30. Les chargées et chargés de cours en Sciences économiques se rencontrent le lundi 27 novembre, celles et ceux de Didactique des langues et de Chimie le mardi 28 novembre. Les personnes chargées de cours en Histoire et en Stratégie, responsabilité sociale et environnementale se réunissent le mercredi 29 novembre alors que celles de Mathématiques se verront le jeudi 30 novembre exceptionnellement à 14h. Venez en grand nombre pour discuter de vos affaires et élire vos représentantes et représentants.

 
 
Le SCCUQ appuie la lutte du Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université et dénonce l’antisyndicalisme de la direction

Voici la résolution du Conseil syndical élargi du 22 novembre en appui au Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université (STTTU-CSN).

IL EST RÉSOLU que le Conseil syndical du SCCUQ dénonce les attaques antisyndicales de la part de la direction de la Télé-Université (TÉLUQ) et appuie la lutte du Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-université (STTTU-CSN):

  • Lutte pour préserver un modèle éprouvé depuis 1972 d’enseignement universitaire québécois de qualité;
  • Lutte pour contrer l’incohérence entre le discours sur la réussite étudiante et les actions appauvrissant le modèle d’apprentissage;
  • Lutte contre la sous-traitance et pour préserver les emplois de personnes dédiées à l’enseignement;
  • Lutte pour préserver le droit d’association syndicale pourtant garanti par les lois du Québec.

Voici les attendus qui précédaient la résolution :

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Fermeture du bureau syndical du 21 décembre 2017 au 8 janvier 2018

Les bureaux du SCCUQ fermeront le 21 décembre 2017 à midi et les officiers syndicaux reprendront du service le lundi 8 janvier 2018. Les membres du Comité exécutif, du Comité des agentes et agents de relations de travail, du Comité mobilisation-intégration et la secrétaire du Syndicat en profitent pour souhaiter de joyeuses fêtes et une bonne et heureuse année 2018 à toutes les chargées et tous les chargés de cours.

 
 
Capsules d’information sur des modifications à la convention collective et appels à témoins
 
 
Babillard des membres
 
 
Conférence de Benoit Chalifoux à Montréal Cowork
BenoitChalifoux

Les espaces de coworking se sont multipliés depuis quelques années à Montréal. Travailleurs autonomes et entrepreneurs en démarrage apprécient la formule, qui leur permet d'avoir accès à un réseau et à de l'équipement. L'École des sciences de la gestion (ESG UQAM) vient de conclure une entente de partenariat avec l'un de ces espacesMontréal Cowork, afin d'offrir à ses usagers des conférences, des formations et des tables-rondes. Ce partenariat commencera avec un cycle de conférences baptisé «Expertises ESG». Les conférences auront lieu une fois par mois. La première, intitulée «Développer ses soft skills: un essentiel dans une société interconnectée», sera présentée le 30 novembre par Benoit Chalifoux, chargé de cours, adjoint au vice-doyen à l'International et coordonnateur de programme à l'ESG, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Sandrine Ricci commente le projet de la loi n° 151 devant la Commission de la culture et de l’éducation

La chargée de cours Sandrine Ricci était à l'Assemblée nationale le 22 novembre pour commenter devant la Commission de la culture et de l’éducation le projet de la loi n° 151, visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur, avec Geneviève Paquette, une autre chercheure de l’enquête ESSIMU.

Visionner la vidéo.

 
 
Isabelle Courcy a reçu une subvention de recherche de 60634$

Un total de 47 professeures et professeurs provenant de diverses disciplines ont reçu 5 931 192$ du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) du Canada, dans le cadre des programmes de subventions Savoir (4 758 336$), Développement Savoir (972 971$) et Développement de Partenariat (199 885$). Parmi elles et eux, une chargée de cours, Isabelle Courcy, a reçu 60 634$ pour son projet de recherche sur Les personnes adultes autistes rencontrant des défis dans l’utilisation du langage verbal: une démarche méthodologique adaptée pour élucider leurs perspectives et expériences, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Les étudiantes et les étudiants de plusieurs chargés et chargés de cours se distinguent au Symposium GRH 2017
LesEtudiantes

Le Symposium GRH 2017 s’est tenu à l’Université Laval, le 18 novembre et réunissait sept institutions universitaires. L’équipe de l’ESG en dotation et stratégie de dotation (cas surprise) a remporté la deuxième place. Les étudiantes et étudiants en arbitrage de grief coachés par le chargé de cours Claude St-Laurent et celles et ceux du quiz coachés par la chargée de cours Marielle Lacombe ont obtenu une troisième place. L’équipe des chargés de cours Gilles Dulude et Normand Ducasse en négociation collective s’est bien défendue mais n’a pu se rendre sur le podium. L’excellent ouvrage sur les relations de travail de la chargée de cours Hélène Ouimet a servi à toutes les universités. Le Symposium GRH constitue le plus important test de qualité de la programmation en gestion des ressources humaines.

 
 
Martin Carrier vient de publier Executive Politics in Semi-Presidential Regimes
MartinCarrier

Le chargé de cours Martin Carrier vient de publier le livre Executive Politics in Semi-Presidential RegimesPower Distribution and Conflicts Between Presidents and Prime Ministers aux éditions Lexington Books. This book analyzes the power variations between political executives in semi-presidential regimes. It contrasts institutional, partisan, and extra-institutional explanations and identifies patterns of change for the power distribution between presidents and prime ministers. It provides an empirical analysis of selected case studies and demonstrates the necessity to understand power variations in a configurative perspective, exposing the limits of institutional design explanations, peut lire sur le site de l’UQAM.

 
 
Julie Bramond présente ses créations au Marché de Noël Evo Montréal

La chargée de cours Julie Bramond présente ses créations, ses nouveaux bijoux, au Marché de Noël Evo Montréal, le samedi 25 novembre, de 11h à 18h, au 777 boulevard Robert Bourassa.

 
 
Monde syndical
 
 
Projet de loi 151 : pour lutter efficacement contre les violences à caractère sexuel, des conditions s’imposent

La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) participe jeudi à la Commission de la culture et de l’éducation traitant du projet de loi 151 visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur. La FNEEQ–CSN prend part à ces consultations afin d’apporter sa contribution et veiller à ce que certaines conditions soient respectées. Aucun changement ne pourra véritablement s’opérer sans des ressources financières et humaines adéquates, récurrentes, stables et indexées. Bien que ce soit un pas dans la bonne direction, le financement de 23 millions $ sur cinq ans sera rapidement insuffisant pour permettre aux dix-huit universités et soixante-six établissements d’enseignement collégial publics et privés pour élaborer, en collaboration avec les étudiants, les dirigeants et les membres du personnel, une politique pour prévenir et combattre les violences à caractère sexuel. Les besoins sont trop criants.

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Violences à caractère sexuel : La CSQ souligne une importante avancée.

 
 
Dix-septième édition de la Journée nationale des chargées et chargés de cours
DixSept

Pour une dix-septième année consécutive, les syndicats de chargées et chargés de cours des universités affiliés à la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) soulignent leur apport fondamental à la formation des étudiantes et des étudiants et à l’augmentation de la diplomation au Québec. Avec la tenue au mois de mai prochain du second rendez-vous des États généraux de l’enseignement supérieur, où l’un des trois thèmes qui seront discutés est celui de la précarité du personnel enseignant, l’édition 2017 prend une importance particulière. Qu’ils soient actifs dans leur milieu professionnel, enseignants de carrière, chercheurs ou créateurs, ces enseignantes et ces enseignants à statut précaire détiennent une expertise qu’ils mettent au profit de la réussite des étudiantes et des étudiants.

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Mise à jour économique du Québec : des baisses d’impôt qui coûtent collectivement très cher

«L’exercice des plus électoralistes auquel nous convie le ministre Leitão ne réussit absolument pas à nous faire oublier les effets des mesures d’austérité du gouvernement Couillard depuis son élection, en 2014», a dénoncé le président de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Jacques Létourneau. «Ces baisses d’impôts annoncées sont très chèrement payées, lorsqu’on voit la détérioration des services publics et la surcharge de travail constatée chez toutes les catégories de personnel causées par les politiques restrictives des libéraux», a-t-il poursuivi. Le montant additionnel de 1,1 milliard $ sur 6 ans en santé et en éducation est nettement insuffisant et ne comble absolument pas les ravages causés par les mesures d’austérité appliquées par le gouvernement Couillard. En fait, selon les données du Conference Board, c’est plus de 3,2 milliards en santé et 1 milliard en éducation qui seraient nécessaires pour répondre aux besoins de la population.

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«Nous ne sommes pas dupes. Moins d’impôts c’est moins de services.» –Daniel Boyer, président de la FTQ.
«On ne construit pas des services publics solides en jouant au yoyo» – Louise Chabot, présidente de la CSQ.
Le gouvernement ne reconnait toujours pas l’importance de rebâtir l’expertise interne, dénonce le SPGQ.
RSIQ : Québec doit en faire davantage contre la pauvreté et l’itinérance.
Collectif pour un Québec sans pauvreté : Les fruits empoisonnés de l’austérité.
La Presse : Des baisses d'impôt... à un an des élections.

 
 
Projet de loi no 143 : réussite éducative et égalité des chances : le gouvernement doit protéger les enfants avant tout

L’Association québécoise des CPE (AQCPE), la Fédération des commissions scolaires, la Fédération des comités de parents, la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN), la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ), l’Association des garderies privées du Québec (AGPQ), la Coalition des garderies privées non subventionnées du Québec et l’Association des cadres de CPE (ACCPE) interpellent le ministre de la Famille sur le manque de détermination avec lequel il défend la mise en place de mesures favorisant la réussite éducative et l’égalité des chances pour tous les enfants, avec ses modifications proposées au projet de loi no 143.

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Blogue de Véronique De Sève : Ces 40 000 enfants qui nous échappent.

 
 
Fermeture du Centre d’intégration scolaire : le ministre Proulx doit intervenir

La Commission scolaire de Montréal (CSDM) est prête à jeter à la rue 75 élèves âgés de 8 à 18 ans, des enfants poqués et rejetés par le système, mais qui ont la chance d’aller dans une vieille école louée à la CSDM par le Centre d’intégration scolaire de Montréal (CIS). De l’aveu même de la présidente de la CSDM, Catherine Harel Bourdon, leur expulsion est pratiquement incontournable tant les besoins pour les élèves ayant un profil plus «normal» sont grands. Est-ce vraiment ainsi qu’on doit traiter nos élèves les plus vulnérables? Pour la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN), le ministre de l’Éducation Sébastien Proulx doit faire preuve de leadership et intervenir.

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Les erreurs manifestes de la chancelière de l'Université de Montréal

À l’université, la recherche de la vérité et la rigueur intellectuelle sont le fondement du travail quotidien, de l’enseignement et de la recherche scientifique. Or le texte publié par la chancelière de l’Université de Montréal (UdeM), Mme Louise Roy (Pourquoi moderniser la charte de l’Université de Montréal, Le Devoir, 18 novembre), au sujet de la réforme de la charte contient de nombreuses erreurs, inexactitudes et omissions. Cette lettre interpelle le Syndicat général des professeures et professeurs de l’Université de Montréal (SGPUM). Nous nous devons de rétablir les faits. Mme Roy, en tant que présidente du conseil d’administration, est l’initiatrice du projet de loi 234 déposé à l’Assemblée nationale le 15 novembre dernier. Ce projet est dénoncé vigoureusement par les représentants de l’ensemble des professeurs d’université du Québec et du Canada.

Lire la suite du texte d’opinion publié par Le Devoir.

 
 
Semaine des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec : où sont les ressources professionnelles promises par Québec?

Le ministre Proulx devra mettre le pied sur l’accélérateur de l’embauche de professionnelles et professionnels en éducation s’il veut rattraper les coupes qui ont été faites dans les dernières années et réellement favoriser la réussite des élèves handicapés et en difficulté d’apprentissage et d’adaptation. C’est le message qu’ont lancé la Centrale syndicats du Québec (CSQ) et la Fédération des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec (FPPE-CSQ) réunies à Trois-Rivières pour lancer la Semaine des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec, qui se déroule du 20 au 24 novembre 2017 sous le thème Des services professionnels en éducation, tout le monde y gagne.

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Création d’un institut national d’excellence en éducation : un pas dans la bonne direction selon le SCFP

Le SCFP et le Syndicat des professionnelles et professionnels Laval‒Rive-Nord (SPPLRN) ont déposé des recommandations le 17 novembre dans le cadre de consultations publiques sur la création d’un institut national d’excellence en éducation«À notre avis, la création d’un institut national d’excellence en éducation est un pas dans la bonne direction. Cet institut pourrait contribuer significativement à l’atteinte des objectifs fixés par le gouvernement dans sa Politique de la réussite éducative. Nous nous sommes basés sur l’expertise de nos membres pour rédiger ce mémoire. Nous voulons ainsi contribuer à ce que l’institut soit efficace et ne reproduise pas les erreurs du passé», a expliqué Guillaume Bégin, président du SPPLRN.

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Crise de la presse écrite : des mesures urgentes exigées du gouvernement Trudeau

La CSN, de nombreux syndicats du secteur des communications, ainsi que des personnalités publiques de divers horizons ont interpellé le premier ministre Trudeau, lundi, afin d’établir des mesures urgentes pour apaiser la crise qui frappe de plein fouet les médias d’information écrits, particulièrement les quotidiens et les hebdomadaires, imprimés et numériques, partout au pays. En invitant la population à signer une lettre destinée au gouvernement Trudeau, la Fédération nationale des communications (FNC–CSN) lance une vaste campagne de sensibilisation pancanadienne afin d’assurer la survie de la presse écrite au pays. Cette lettre sera présentée dans les prochaines semaines au ministre des Finances, Bill Morneau, ainsi qu’à la ministre du Patrimoine, Mélanie Joly, au ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, Navdeep Bains et au premier ministre Justin Trudeau.

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Climat de travail malsain à la Société Radio-Canada : Le SCRC porte plainte au CCRI et au ministère du Travail.

 
 
Sages-femmes : le RSFQ remet les pendules à l’heure concernant les propos de Gaétan Barrette

Le Regroupement Les sages-femmes du Québec (RSFQ) souhaite remettre les pendules à l’heure concernant l’affirmation de Gaétan Barrette selon laquelle les sages-femmes refusent de se soumettre à une reddition de compte. «Nous avons été très étonnées par les propos du ministre tenus cette semaine. Lorsqu’il dit que la négociation bloque parce que nous refusons de lui transmettre un rapport statistique, tout en se disant d’accord avec l’ensemble de nos demandes, ça frise la mauvaise foi», souligne une porte-parole du RSFQ, Marie-Pier Mainville, qui souhaite rétablir les faits à ce sujet. «Nous avons développé la reddition de comptes conjointement avec le ministre et à sa demande en 2014, enchaîne-t-elle. Comment monsieur Barrette peut-il prétendre qu’on ne veut rien lui transmettre ? Nous sommes également surprises d’entendre qu’il dit être d’accord avec nos demandes. Le porte-parole à la table de négociation nous a répété plusieurs fois que la négociation se ferait à coût nul. Qu’en est-il de notre demande sur l’amélioration du forfait de garde, sur le remboursement des frais de kilométrages ou encore sur certaines primes, comme celle qui vise à assurer les services aux populations dans le Grand Nord? Celles-ci impliquent nécessairement l’injection de certaines sommes. Le ministre doit s’expliquer.»

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Les sages-femmes ont passé leur message au ministre Barrette.
Un deuxième rassemblement en appui aux sages-femmes le 29 novembre.
• Autres nouvelles en santé :
Plusieurs syndicats de paramédics durcissent leur grève.
Manifestation à Sainte-Foy : les paramédics bloquent le ministère.
Manque d’effectifs ambulanciers : le ministre joue sur les mots.
Le ministre Barrette doit assurer des services de proximité à la population des Escoumins.

 
 
Lettre des grands à chacun de nos petits
LettreDesGrands

À l'occasion de la Grande semaine des tout-petits (GSTP), qui se tient du 19 au 25 novembre, 52 personnalités publiques et organisations, dont la présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Louise Chabot, ont accepté de signer La lettre des grands à chacun des tout-petits: Haut comme trois pommes, tu échappes souvent à notre regard de grands. Pourtant, tu sais, nous avons déjà été comme toi, un petit enfant avec des yeux tout grands. Aujourd’hui, nous tous, qui avons une influence dans ce monde où tu vas grandir, nous te promettons d’être davantage à tes côtés. Nous te promettons de te donner plus de notre temps pour que tu puisses grandir en beauté. Tu es comme une pousse qu’il faut bien arroser, tourner vers la lumière et surtout ne pas piétiner. Nous allons nous entraider pour bien t’entourer.

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Une invitation à participer aux marathons d'écriture d'Amnistie internationale
InvitationParticiper

Cette année, deux porte-paroles, Françoise David, ex-députée et militante féministe, et Fred Dubé, humoriste, se joignent à Amnistie internationale Canada francophone (AICF) pour inviter le plus grand nombre de personnes à participer aux Marathons d’écriture : écrire, ça libère. Écrire une lettre manuscrite ou virtuelle, ça libère! Les porte-paroles d’AICF invitent ainsi la population à envoyer leurs messages de solidarité en ligne: marathons.amnistie.ca et à participer aux marathons d’écriture organisés dans différents lieux publics au Québec en écrivant sur place des cartes de solidarité. L’objectif est de 80 000 messages d’espoir aux victimes de violation des droits humains.

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Le rapport Fortin sur les clauses «orphelin» : pas de conditionnel, dit la FTQ

La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) est abasourdie par une partie du rapport du ministre des Transports et président du groupe de travail sur les clauses de disparité de traitement, André Fortin, rendu public par La Presse jeudi matin. Le ministre recommande entre autres, et nous le saluons, d’interdire les clauses «orphelin» dans les régimes de retraite, les assurances et les avantages sociaux. Mais ce qui est tout à fait inacceptable, c’est la partie où il propose que l’abolition des clauses de disparité de traitement entre en vigueur au moment où les autres provinces auront adopté une loi similaire. Une mesure qui n’aura aucun effet sur le problème parce qu’il n’y aura jamais de consensus. «C’est complètement absurde ! Depuis quand le Québec est-il dépendant des lois ou règlements que pourraient adopter les autres provinces pour agir? C’est du jamais vu», déclare le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux.

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De vraies solutions réclamées par le collectif Échec aux paradis fiscaux

Le collectif Échec aux paradis fiscaux tient une manifestation aujourd’hui devant le Parlement du Québec afin de réclamer de vraies solutions contre le recours aux paradis fiscaux. Les revendications du collectif trouvent écho au sein de la population québécoise comme en témoignent les résultats d’un sondage commandé par le collectif et rendu public aujourd’hui. «Le sondage, réalisé avant les fuites médiatiques entourant les Paradise Papers, montre que 81% de la population québécoise souhaite que les gouvernements agissent plus sérieusement contre le recours aux paradis fiscaux. On sent une très forte mobilisation de la population sur ce grave problème et on sait que le gouvernement du Québec et le gouvernement fédéral ont chacun un rôle à jouer dans cette lutte», déclare Isabelle St-Germain, directrice Innovation et développement chez Oxfam-Québec. Le gouvernement du Québec, qui a récemment réalisé quelques avancées avec son plan d’action sur les paradis fiscaux, devra en faire beaucoup plus pour endiguer ce fléau.

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Plan d’action sur les paradis fiscaux : accueil mitigé du collectif Échec aux paradis fiscaux.

 
 
Fermeture d’Aliments Maple Leaf de Saint-Anselme : étonnement et déception

C’est avec étonnement et déception que les 70 employé-es syndiqués de l’usine Aliments Maple Leaf ont appris la fermeture de leur usine, prévue à l’été 2018. Rencontrés hier après-midi par l’employeur, les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Maple-Leaf Saint-Anselme (CSN) s’expliquent mal les raisons qui ont poussé la direction à prendre une telle décision, d’autant que la production fonctionnait à plein rendement. «Les lignes de productions roulaient actuellement à plein régime. On ne sentait pas de baisse de production. Au contraire, le travail ne manquait pas», explique le président du syndicat, Jean-François Renaud. L’usine, véritable institution dans la région de Bellechasse, aurait pu être réaménagée et modernisée, selon le syndicat.

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Entente de principe avec le Conseil du trésor du Canada pour 7400 agentes et agents correctionnels.
Infographie : Agences de placement : mettre fin à une exploitation éhontée.
Nouvelle convention collective pour les cols bleus de Sainte-Anne-de-Bellevue.
Une convention collective signée pour le Musée de la civilisation.
Le prix Pierre-Vadeboncoeur remis à Josée Boileau et à Yvan Lamonde.
Vidéo : Colloque Gérard-Picard 2017 : Connectés sur la quatrième révolution, pour humaniser la transition.
Grève chez Moulage sous pression AMT : une recommandation du conciliateur sera présentée aux membres.
Les pensions, l’ingrédient clé dans la ratification de l’entente avec Superior.
Les machinistes ratifient une nouvelle entente avec Maitland Motors et avec Safran Electronics.

 
 
Congrès de Québec Mines : une véritable négociation avec les peuples autochtones est nécessaire

À la suite de la manifestation des Algonquins des Premières Nations d’Abitibiwinni et de Lac-Simon à Québec lors du lancement, en début de semaine, du congrès de Québec Mines, le Conseil central de l’Abitibi-Témiscamingue–Nord-du-Québec (CCATNQ-CSN) rappelle toute l’importance de privilégier la négociation entre les parties, comme ce fût le cas dans le dossier de la Baie James. Tout manquement à cette règle de base est un signal que les minières ne visent que leurs profits au détriment de la population.

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Banque Laurentienne : «Le PDG nous traite de clowns», s’insurge le syndicat

Le PDG de la Banque Laurentienne s’en est pris plusieurs fois au syndicat dans les derniers mois, selon ce que prétend l’organisme représentant les quelque 1500 employés syndiqués de l’institution financière dans une plainte déposée hier au Conseil canadien des relations industrielles (CCRI). La plainte a été formulée pour dénoncer des «pratiques déloyales». Ces pratiques, que le syndicat estime faire partie d’une campagne de désyndicalisation, auraient mené au dépôt, jeudi dernier devant le CCRI, d’une requête visant à révoquer l’accréditation des employés de la seule banque syndiquée au pays. La plainte fait état de cas où des directeurs de succursales auraient amorcé des discussions à teneur antisyndicale ou encouragé ouvertement la désyndicalisation, mais aussi de situations où le syndicat s’est senti discrédité par le grand patron.

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Manifestation des employés de la Banque Laurentienne.

 
 
Grève du Syndicat des employés de la fonction publique : le gouvernement ontarien doit choisir sa cible
GreveSyndicat

La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ–CSN) est outrée du dépôt d’une loi spéciale qui vise à mettre un terme à la grève dans les 24 collèges publics ontariens. Mais pour la FNEEQ–CSN, si la dernière offre patronale a été rejetée massivement (86%) par 95% des 12 500 membres du Syndicat des employés de la fonction publique de l’Ontario (SEFPO), ce n’est pas pour rien. À la table de négociation, la partie patronale exigeait des concessions importantes et inacceptables. Si le gouvernement ontarien souhaite réellement régler le conflit, il doit dissoudre complètement le Conseil des employeurs des collèges et nommer une autre équipe de négociateurs pour représenter les 24 collèges publics pendant les négociations collectives.

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La CSQ, solidaire des employés des collèges de l'Ontario.

 
 
Les professeures et professeurs ontariens forcés de reprendre le travail

Le gouvernement de l’Ontario a coupé court à la grève des professeures et professeurs, en cours depuis un mois. Une loi les forçant à retourner au travail a en effet été adoptée, quelques jours seulement après qu’elles et ils aient refusé la dernière proposition du Conseil des employeurs des collèges et appelé à de nouvelles négociations. Cette grève, qui aura duré 34 jours, a mis l’accent sur les conditions de travail des professeures et professeurs, notamment le travail à temps partiel. Ce vendredi 17 novembre, les professeurs ont refusé la dernière proposition d’accord et exhorté leur employeur à engager de nouvelles discussions.

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Royaume-Uni : les syndicats réclament un accroissement du financement de l’éducation dans le nouvel exercice budgétaire.
Stop au financement des écoles Bridge International Academies, déclare une Commission parlementaire britannique.
La Semaine éducation médias met en lumière les enseignants en tant qu’éléments vitaux pour des sociétés inclusives et la citoyenneté.
COP23 : favoriser l’éducation au changement climatique pour une juste transition économique.

 
 
Monde de l’éducation
 
 
Rapport du vérificateur général : le Collège militaire coûte trop cher et offre une formation déficiente

L’université de la Défense nationale coûte trop cher, est mal gérée et offre une formation déficiente, conclut le chien de garde des contribuables canadiens. «Le Collège militaire royal du Canada ne peut pas démontrer qu’il forme des officiers à un coût raisonnable», écrit dans un rapport publié mardi le vérificateur général du Canada, Michael Ferguson. L’audit réalisé par M. Ferguson révèle que le coût par étudiant au Collège militaire est deux fois plus élevé que dans les autres universités canadiennes. Un constat inacceptable, selon lui, considérant le fait que ce sont les contribuables canadiens qui payent la note. Ainsi, il en coûte 55 000 pour former chaque étudiant au Collège, dont le coût de fonctionnement s’élève à 92 millions $ au total.

Lire la suite du texte de TVA Nouvelles.

 
 
Apprendre + Agir : l’édition 2017 est disponible en ligne
ApprendreAgir

L’édition 2017 d’Apprendre + Agir est maintenant disponible en ligne. Fort du succès des éditions passées, Apprendre + Agir revient cette année avec de nouveaux textes qui témoignent de l’engagement de l’ICÉA à promouvoir le droit d’apprendre tout au long de la vie. L'ICÉA vous propose ainsi deux textes d’actualité qui sont également liés à ses grandes orientations stratégiques pour l’année à venir. L’édition 2017 est offerte sur une toute nouvelle plateforme qui concrétise la vocation «en ligne» de la publication de l'ICÉA. Le menu d’accueil permet d’accéder rapidement aux textes passés et présents d’Apprendre + Agir. Par ailleurs, le menu de droite permet d’accéder au site des indicateurs de l'ICÉA ainsi qu’au site Web de l'ICÉA.

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Une éducation internationale pour nos étudiantes et étudiants

Le plus gros client du Canada, les États-Unis, se réoriente vers le protectionnisme. Les puissances émergentes transforment l’économie mondiale. La technologie révolutionne la nature du travail. Nous nous devons de préparer les jeunes Canadiens à relever ces défis. Nous aurons besoin d’eux pour établir des liens à l’échelle mondiale, élargir et diversifier nos relations de commerce, préserver les valeurs d’ouverture et de tolérance, et s’accomplir dans leurs rôles d’employé et d’entrepreneur au sein de l’économie de demain. Aujourd’hui, relativement peu d’étudiants canadiens aux études postsecondaires vivent une expérience internationale, soit 11% des étudiants de premier cycle. En France, environ 33% des étudiants de premier cycle effectuent une partie de leurs études à l’étranger. En Allemagne, ce sont 29%, en Australie et aux États-Unis, 19 et 16% respectivement. Le Canada devrait se fixer l’objectif d’augmenter de 11 à 25% sur 10 ans le taux d’étudiants canadiens qui participent à des programmes à l’étranger.

Lire la suite du texte publié par Options politiques.

 
 
Les racines de la détérioration du système d’éducation universitaire américain

Lorsque j’étudiais en Virginie, il y a de cela 40 ans, les États-Unis possédaient alors le meilleur système universitaire du monde. Malheureusement, ce n’est plus le cas aujourd’hui. En dépit du fait que les étudiants américains paient des frais d’études plus élevés que jamais, les services éducatifs qu’ils reçoivent ne cessent de diminuer en qualité. La raison est bien simple. Depuis près de 40 ans, à l’instar de leurs autres investissements en infrastructures, les différents paliers gouvernementaux américains ont substantiellement coupé leur soutien à l’éducation. Ce constat est particulièrement évident dans l’émergence des chargés de cours comme principaux dispensateurs de l’enseignement universitaire. Si en 1969, 78% des professeurs dans les collèges et universités américains détenaient un poste régulier, assorti de la permanence, le nombre a été réduit à 33% en 2009 et 25% en 2015. Or, il est à noter que présentement 61% des chargés de cours sont des femmes, alors que les postes réguliers sont remplis à 59% par des hommes.

Lire la suite du texte d’opinion sur le site de La Tribune.

 
 
Monde social
 
 
Le cadre proposé par Québec pour la légalisation du cannabis tient-il la route?

Le gouvernement du Québec a déposé le projet de loi 157 qui prévoit le cadre légal pour la distribution et la vente du cannabis. Nous analyserons ce projet de loi afin de voir s’il répond aux objectifs que le gouvernement s’est fixés relativement à la santé publique et au recul du marché noir. Pour vérifier si le projet de loi 157 répond aux standards de santé publique, nous répondrons aux questions suivantes: le gouvernement met-il en place un cadre qui poussera à la commercialisation du produit? La prévention et l’éducation à de saines habitudes de consommation sont-elles au centre des préoccupations? Le cannabis sera-t-il accessible aux mineurs? Quelles variétés de produits seront disponibles? Pour vérifier la validité du projet de loi en ce qui a trait à la lutte au marché noir, nous déterminerons s’il facilite le passage d’un mode d’approvisionnement illicite à un mode licite.

Lire la fiche socioéconomique de l’IRIS.

Le SCFP salue un grand pas en avant.

 
 
L’encan silencieux annuel du GAIHST se déroule jusqu’au 10 décembre

Instauré depuis 2007 dans le cadre de nos activités d’autofinancement, l’encan silencieux annuel du Groupe d’aide et d’information sur le harcèlement sexuel au travail (GAIHST) prend de l’ampleur! Chaque année, nous pouvons compter sur la collaboration de plusieurs généreux donateurs. Pour ce faire, entreprises et proches de l'organisme offrent gracieusement des articles mis aux enchères dans le but d’amasser des fonds pour le Groupe d'aide. Cette année, l’encan se déroule exclusivement en ligne jusqu’au dimanche 10 décembre à 21h. Pour miser, il vous suffit de repérer le bouton Cliquez ici pour miser qui se trouve sur la page d’accueil.

 
 
Ne pas faire d'enfants pour sauver la planète

La Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP23) se tenait la semaine dernière. Cette année, c’est à Bonn, en Allemagne, que des milliers de scientifiques, organismes à but non lucratif, groupes de défense de l’environnement et politiciens se sont réunis pour discuter de la catastrophe climatique à venir. Si l’on veut respecter l’Accord de Paris et éviter le pire, il faudra mettre en place des mesures drastiques. C’est ce que relaient les 15 000 signataires d’un «cri d’alarme» publié le 14 novembre.

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

 
 
Stratégie nationale sur le logement : des choix insuffisants pour la lutte à l'itinérance

Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) est insatisfait des annonces en logement faites par le gouvernement fédéral aujourd’hui. Le RAPSIM reconnait la pertinence des fonds annoncés pour entretenir le parc de logements sociaux existants. Cependant, afin de réduire l’itinérance chronique de 50%, il aurait été crucial que cette stratégie prévoie des fonds beaucoup plus importants pour de nouveaux logements sociaux. «Alors que plus de 41 000 ménages locataires à Montréal consacrent 100% de leur revenu pour se loger, il est évident que plusieurs de ceux-ci sont à fort risque de perdre leur logement. Pour agir sur cette situation le gouvernement aurait dû concentrer ses fonds dans le développement de nouveaux logements sociaux», affirme le directeur du RAPSIM, Pierre Gaudreau.

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Réaction du Réseau québécois des OSBL d'habitation.
Nouvelle pomme de discorde : Québec refuse de se soumettre au programme fédéral de 40 milliards.
Un quatrième site d'injection supervisée à Montréal.

 
 
Stratégie canadienne sur le logement : de bonnes nouvelles pour les logements sociaux existants, mais un manque flagrant d’ambitions pour répondre aux besoins des plus mal-logés

Le FRAPRU est soulagé de certaines bonnes nouvelles contenues dans la Stratégie canadienne sur le logement que le premier ministre Trudeau et le ministre fédéral responsable de l’Habitation, Jean-Yves Duclos, ont rendue publique, surtout en ce qui a trait à la poursuite à plus long terme de l’aide financière aux logements sociaux existants et aux locataires à faible revenu qui y demeurent. Il lui reproche toutefois de manquer d’ambition pour le développement futur de logements sociaux permettant de répondre aux besoins les plus criants. De plus, l’absence d’un calendrier précis d’investissements empêche de réellement mesurer l’importance des annonces faites mercredi.

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Manifestation jusqu’aux bureaux de la SCHL à Montréal : La Stratégie sur le logement ne doit pas laisser les mal-logés sur la paille.

 
 
Une nouvelle ligne sous la ligne (1) : comment baisser les standards

Le Comité d’experts sur le revenu minimum garanti (RMG) a publié son rapport. Il se présente dans la continuité (style de mise en page compris) du cahier budgétaire 2016-2017, mis à jour en juin 2016, sur Le régime québécois de soutien du revenu. Le document comprend 23 recommandations, certaines qui semblent positives (comme l’attention portée aux situations de non recours), et plusieurs qui pointent vers des reculs (comme la confusion entre l’aide financière et l’aide à l’emploi et de plus grandes discriminations liées à l’aptitude au travail). Il faudra prendre le temps de les analyser en détail. Un élément mérite toutefois qu’on s’y attarde aujourd’hui: le choix d’établir le seuil de référence pour la protection minimale du revenu à l’aide sociale en dessous de la mesure du panier de consommation (MPC).

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Une nouvelle ligne sous la ligne (2) : quand l’Ontario fait mieux

Comme mon dernier billet le faisait valoir, dans son rapport publié le 13 novembre dernier, le Comité d’experts sur le revenu minimum garanti (RMG) s’est situé dans une approche «pro-marché» qui mise sur le marché du travail pour réduire la pauvreté. Pour inciter à l’emploi, il a recommandé d’installer pour les personnes jugées aptes au travail à l’aide sociale un nouveau seuil de référence à 55% du niveau de couverture des besoins de base indiqué par la mesure du panier de consommation (MPC). Ce faisant, il a passé sous silence plus de 20 ans de croisements d’expertises à l’effet qu’avancer vers un Québec sans pauvreté suppose de s’assurer de la couverture des besoins de base et d’en finir avec la pauvreté au travail. Était-ce inéluctable? Pas si on porte le regard sur ce qui se passe en Ontario.

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

 
 
Le ministre Barrette veut éliminer la «culture qui oppose public et privé»

Le ministre de la Santé et des Services sociaux Gaétan Barrette a plaidé, hier, en faveur de la fin de la «culture qui oppose toujours public et privé» dans la société québécoise. «Cette culture-là doit disparaître», a dit le ministre Barrette devant un parterre composé de gens d'affaires, notamment de représentants de l'industrie pharmaceutique, dans un hôtel montréalais où il avait été invité par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain à prononcer une conférence intitulée Amélioration et innovation dans le réseau de la santé. Le ministre Barrette a promis «d'ouvrir les portes» des établissements de santé aux entreprises privées qui oeuvrent dans le secteur des «sciences de la vie», notamment grâce au futur Bureau de l'innovation de la santé et des services sociaux.

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Le communautaire doit faire la grève!

Selon le Mouvement d’éducation populaire et d’action communautaire du Québec (MÉPACQ), seul un large mouvement de grève pourra mener les organismes communautaires autonomes québécois à faire des gains face au gouvernement de Philippe Couillard. Dans son dernier budget, le gouvernement libéral n’a pas répondu aux demandes financières des organismes communautaires. À peine 4% du manque à gagner a été comblé : 10 millions $ pour les organismes en santé et services sociaux, 9 millions $ pour les organismes en éducation, 20 millions $ non récurrents pour les organismes communautaires famille et rien pour la défense collective des droits, l’immigration, l’environnement, la solidarité internationale ou les médias communautaires. Nous sommes très loin des 475 millions $ revendiqués pour l’ensemble des secteurs.

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Agir pour relancer les domaines agricole et forestier des régions de l'Est-du-Québec : se donner les moyens de réussir

De nombreuses MRC des régions de l’Est-du-Québec sont confrontées au défi colossal que pose la dévitalisation de leurs communautés. À la densité de la population qui s’amenuise à mesure que les courbes démographiques pointent vers le bas s’ajoute un vieillissement de la population engendré notamment par des décennies de flux migratoires négatifs. Le problème de l’accessibilité à une main-d’œuvre qualifiée, qui est un enjeu national par ailleurs, est criant dans ces régions. C’est l’ensemble des conditions socio-économiques nécessaires au développement des fermes qui se resserrent et se détériorent. Ce rapport de recherche de l’IREC propose des avenues structurantes pour étoffer la future politique bioalimentaire. Cette dernière constituera l’instance privilégiée pour instituer de nouveaux instruments visant non seulement à agir sur les facteurs territoriaux du développement, mais aussi à assurer la pérennité du modèle agricole québécois dans toutes les régions du Québec.

 
 
Revue Relations : Pour une démondialisation heureuse

La revue Relations vient de publier son numéro de novembre-décembre. Le dossier s’intitule Pour une démondialisation heureuse. Le mouvement initié par le Brexit au Royaume-Uni et par Donald Trump, qui a forcé une renégociation de l’ALENA et renoncé à l’Accord de partenariat transpacifique, annonce-t-il vraiment une ère de remise en question de l’ordre économique mondial fondé sur le libre-échange? Après des années de mobilisations altermondialistes visant à freiner la mondialisation néolibérale, comment expliquer que ce soit finalement la droite populiste qui parvienne à mettre la démondialisation à l’ordre du jour politique en Occident? Quel serait par ailleurs un projet de «démondialisation heureuse», plus juste, solidaire et respectueuse de la planète et des peuples, notamment en Europe et en Amérique du Nord? Et quelles voies se dessinent pour le Québec dans ce contexte de reconfiguration? Aussi au sommaire: • un débat sur la consommation responsable pour Noël, • une étude du racisme à l'œuvre dans les politiques pénales américaines et canadiennes et • un regard historique sur la réforme protestante, à l'occasion de ses 500 ans.