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L’UQAM n’a toujours pas mis fin à ses coupes à courte vue comme dans les heures d’ouverture de ses bibliothèques et la distribution du courrier interne, mais pour ma dernière infolettre de la saison (elle reprendra sa publication régulière à la mi-août) je veux plutôt attirer votre attention sur l’indécence du gouvernement provincial qui avec ses surplus de 2,5 milliards bâtis sur le dos des citoyennes et citoyens ne pense même pas à vraiment réparer ses services plein de trous. Mais le comble de l’indécence revient à Hélène David, ministre de l’Enseignement supérieur, qui a autorisé un paiement de 1,6 million de dollars en prime pour les cadres de l’Université Laval afin de compenser les heures supplémentaires qu’ils ont effectuées durant la grève des employées et employés de soutien. Cette décision, probablement connue des principaux intéressés dès le début du conflit, va carrément à l’encontre de l’esprit de la loi anti-briseurs de grève et, «dans un contexte où les universités sont déjà sous financés, est parfaitement scandaleuse», pour reprendre les termes du président du SCFP-Québec. Sur ce, bon été à toutes et tous.
Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ
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Fermeture estivale du secrétariat du SCCUQ du 4 au 30 juillet
Le secrétariat du SCCUQ sera fermé durant la période estivale à compter du mardi 4 juillet, et ce, jusqu’au dimanche 30 juillet inclusivement. Toutefois, si vous désirez joindre un membre des différents comités durant cette période de fermeture, vous pourrez communiquer directement avec eux aux dates suivantes: • Comité des agents et agentes de relation de travail, Robert Drouin (poste 3536) la semaine du 4 juillet. • Comité mobilisation-intégration, Nathalie Blanchet (poste 2791) et Mariève Ross (poste 8272) seront présentes la semaine du 4 juillet. • Comité exécutif, vous pourrez joindre Yvette Podkhlebnik (poste 3180) la semaine du 4 juillet et Gaëlle Breton-Le Goff (poste 2794) sera présente les semaines du 4 et du 10 juillet. Les activités régulières du secrétariat reprendront le lundi 31 juillet. Nous vous souhaitons un très bel été.
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Réponses à venir la semaine prochaine pour les projets d’intégration
Les réponses pour les projets d’intégration annuels, étudiés par le Comité de liaison institutionnel (CLI), seront envoyées aux personnes concernées dans le courant de la semaine prochaine par le Service du personnel enseignant sous forme de fiche de transmission. Le CLI a analysé les projets en tenant compte de la répartition des heures. Il est essentiel de respecter le budget tel que réparti. Dans la fiche de transmission, vous trouverez le nombre d’heures accordées jusqu’au 31 décembre 2017, à 47$ l’heure, et le nombre d’heures accordées à partir du 1er janvier 2018, à 49$ l’heure. Vous comprendrez qu’il est très important que le calendrier de travail déposé soit respecté, car le CLI alloue des sommes en vertu d’un budget fermé et qu’il y a deux autres dépôts de projet à venir en septembre 2017 et janvier 2018. Pour plus d’informations, vous pouvez contacter les membres du CMI: Nathalie Blanchet (poste 2791), Jean Régnier (poste 5609) ou Mariève Ross (poste 8272).
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Charges de cours du trimestre d’automne : période de réponse obligatoire à la proposition des cours attribués du 30 juin au 6 juillet
La période de réponse obligatoire à la proposition des cours attribués par Accent pour le trimestre d’automne 2017 sera du 30 juin au 6 juillet. Les affichages complémentaires (s’il y a lieu) se feront les 7 et 8, 14 et 15, 21 et 22, ainsi que les 28 et 29 août.
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La Politique de prévention et d’intervention en matière de harcèlement psychologique au SCCUQ est sur le site
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Assurance maladie et assurance vie pour les personnes chargées de cours à la retraite depuis moins de 30 jours
L'Association des retraitées et retraités de l’enseignement de la FNEEQ (AREF) est une association regroupant principalement des personnes retraitées ayant œuvré dans des institutions d’enseignement supérieur affiliées à la FNEEQ et offrant, entre autres, un service d’assurance maladie et d’assurance vie. Toute personne chargée de cours de l'UQAM qui prend sa retraite peut devenir membre de l’AREF. Pour être admissible à l’assurance, la personne retraitée doit adhérer à l’AREF dans les 30 jours suivant la date à laquelle la personne retraitée devient admissible et maintenir son adhésion. Le choix de ne pas adhérer est irrévocable. Le résumé des protections offertes en vertu du régime d’assurance collective de l’AREF est présenté dans le dépliant en ligne de l’organisme. Pour plus d’informations.
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Appel à témoins concernant les congés de maladie
Quelques personnes chargées de cours se sont récemment fait demander, par le Service de la santé et de la qualité de vie au travail de l'UQAM, des précisions quant au certificat médical fourni. Outre la mention de l’arrêt de travail, on leur a demandé à ce que le certificat spécifie le diagnostic, voire la médication. Le syndicat lance un appel à témoin. Si vous avez été contacté pour un certificat médical dit incomplet, que ce soit récemment ou antérieurement, veuillez nous écrire à l’une des adresses suivantes et nous donner les informations suivantes : • la date de début et de fin de votre congé de maladie • le motif des vérifications faites par l’UQAM.
Robert Drouin, poste téléphonique: 3536, courriel: drouin.robert@uqam.ca
Peggy Roquigny poste téléphonique: 2789, courriel: roquigny.peggy@uqam.ca
Stéphane Daniau poste téléphonique: 4886, courriel: daniau.stephane@uqam.ca
Vous participez à la conception de cours hybrides : faites-nous aussi part de votre expérience.
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Caroline Hayeur présente son exposition Adoland à la Maison de la culture de Longueuil jusqu'au 10 septembre
L'exposition Adoland de la photographe et chargée de cours à l'École des médias Caroline Hayeur est présentée de nouveau à la Maison de la culture de Longueuil jusqu'au 10 septembre. La série de photographies explore l'univers de la chambre d'adolescent, à travers une trentaine de modèles. L’exposition s’enrichit cette année de nouvelles photographies de chambres d'ado et propose une projection en salle intitulée Adoland Gaspésie - le film ainsi qu'une mosaïque collective de photos réalisée par des étudiants de l'École Saint-Jean-Baptiste en collaboration avec l'artiste.
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René Binette honoré dans le cadre des prix Reconnaissance UQAM
Sept diplômés ont reçu, le 14 juin, les prix Reconnaissance UQAM 2017 lors de la soirée Trajectoires, un nouveau concept qui relance cette tradition uqamienne lancée en 2001. Remis par les six Facultés et par l'École des sciences de la gestion, les prix Reconnaissance sont le symbole de la réussite et de l'engagement professionnel de diplômés de l'UQAM dont la carrière exceptionnelle contribue de manière novatrice au rayonnement de leur secteur d’activité. René Binette (B.A. histoire de l'art, 1982), chargé de cours et directeur de l'Écomusée du fier monde, a reçu le prix de la Faculté des arts pour sa participation depuis plus de 30 ans au développement et au rayonnement de ce musée novateur et pour son leadership dans le domaine muséal sur la scène nationale et internationale. Les lauréats ont été sélectionnés par les Conseils de diplômés facultaires et par le Réseau ESG UQAM, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Odette Cyrenne devient directrice adjointe aux études de l’ESG
La chargée de cours au Département de marketing Odette Cyrenne devient directrice adjointe aux études de l’ESG. Titulaire d’une maîtrise en communication avec mémoire de l’UQAM en sus d’un baccalauréat en administration, Odette Cyrenne a été coordonnatrice de programme à l’ESG depuis 1987 et chef d’équipe des professionnels et adjointe au vice-doyen aux études depuis 2007, ce qui représente 30 ans d’expérience et de développement académique pour l’ESG.
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Manon Auger publie Les journaux intimes et personnels au Québec
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La chargée de cours et auteure Manon Auger vient de publier Les journaux intimes et personnels au Québec – Poétique d'un genre littéraire incertain, aux Presses de l'Université de Montréal. En dépit de l’intérêt marqué pour les textes autobiographiques depuis le début des années 1980, le journal intime continue de faire piètre figure, non seulement en tant qu’objet d’étude, mais aussi en tant que pratique littéraire. Cela n’est guère étonnant dans la mesure où le portrait du genre dressé par les théoriciens demeure, aujourd’hui encore, essentiellement négatif : genre sans forme, sans histoire et sans littérature… C’est en réponse à ce discours réducteur que cet ouvrage propose de revoir et de réévaluer un certain nombre de lieux communs sur le genre et d’en montrer la poétique, en postulant qu’il s’agit d’un genre littéraire à part entière. En parallèle, l’auteure offre un portrait fouillé des journaux publiés au Québec sur presque trois siècles.
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Christelle Lebreton a fait paraître Adolescences lesbiennes : De l'invisibilité à la reconnaissance
Les lesbiennes sont à peu près absentes du paysage selon la chargée de cours et chercheuse Christelle Lebreton. La sociologue et auteure vient de faire paraître Adolescences lesbiennes : De l'invisibilité à la reconnaissance aux éditions du remue-ménage. Le livre aborde l'absence de modèle chez les jeunes filles lesbiennes et les répercussions sur le cheminement de ces dernières. Selon ses recherches, les jeunes garçons qui découvrent leur homosexualité ont davantage de modèles dans la société, plusieurs personnalités publiques masculines affichent plus ouvertement leur orientation sexuelle. «Les jeunes femmes ne connaissent pas de femmes lesbiennes que ce soit des artistes, des politiciennes, elles ne sont pas visibles dans les livres d'histoires, en littérature donc pour des adolescentes le lesbianisme n'existe pas», affirme Christelle Lebreton dans un texte de Radio-Canada.
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Jean Carette publie À chaque jour suffit sa joie
Le chargé de cours et auteur Jean Carette vient de publier, aux éditions Fides, À chaque jour suffit sa joie – Réflexions et pensées du quotidien. À certaines étapes de la vie, sans doute davantage encore lorsqu’arrive l’âge de la retraite, on ressent le besoin de s’arrêter pour réfléchir à ce qui advient, à ce qui se passe autour de soi, dans la société dans laquelle on vit. Quelques pensées jaillies d’une plume alerte suffisent parfois pour amorcer une réflexion qui va ensoleiller le quotidien, redonner le goût de vivre, d’espérer, de s’engager même. C’est ce que propose Jean Carette dans ce livre qu’il faut «goûter» une page à la fois. Les brèves réflexions qu’il livre sont «autant d’appels, écrit-il, à notre dignité d’humains et d’invitations aux courages indispensables».
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Soirée de consultation et d’échanges sur les élections municipales le 28 juin
Le Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM–CSN) vous convie le mercredi 28 juin, de 18h30 à 21h, à la salle Multi, à la CSN, 1601 rue de Lorimier, à une soirée de consultation et d’échanges sur les élections municipales qui se tiendront à l’automne. Venez partager vos préoccupations tant à titre de citoyenne et citoyen que comme travailleuse et travailleur. Cette soirée se veut aussi une occasion de favoriser la démocratie participative et de nous mobiliser en vue de la période préélectorale. Un bon exercice pour les élections provinciales de 2018!
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Célébration du 40e anniversaire du protocole entre l’UQAM et les centrales syndicales
Une soirée soulignait, le 15 juin, le 40e anniversaire du protocole entre l’Université du Québec à Montréal et les centrales syndicales (CSQ, CSN, FTQ). Cette association rend possibles des recherches universitaires qui nourrissent nos luttes syndicales et contribuent du même coup à l’avancement de notre société. Au fil du temps, les nombreuses retombées de ce partenariat en ont démontré toute l’importance, tant pour le milieu universitaire que pour les organisations syndicales, les travailleuses et travailleurs du Québec et la société en général. Pensons notamment aux nombreux travaux qui ont été menés en santé et sécurité du travail ainsi qu’à ceux portant sur l’éducation pour un avenir viable et, tout récemment, ceux sur le salaire minimum à 15 dollars l’heure.
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Primes aux briseurs de grève de l’U. Laval : les dirigeants du SCFP demandent une rencontre urgente avec la ministre
Les dirigeants du SCFP demandent une rencontre urgente avec Hélène David, ministre de l’Enseignement supérieur, après avoir appris que cette dernière a autorisé un paiement de 1,6 million de dollars en prime pour les cadres afin de compenser les heures supplémentaires qu’ils ont effectuées durant la grève à l’Université Laval. «Cette décision va à l’encontre de l’esprit de la loi anti-briseurs de grève. Avec cette rémunération supplémentaire, le gouvernement brise l’équilibre entre les parties à la table et enlève à la partie patronale l’incitatif de négocier de bonne foi. Le gouvernement peut prolonger un conflit en payant les heures de ceux qui font le travail des grévistes. Dans un contexte où les universités sont déjà sous financés, cette nouvelle est scandaleuse», a déclaré Denis Bolduc, président du SCFP-Québec. 1922 membres du Syndicat des employés de l’Université Laval ont été en grève durant six semaines cet hiver.
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Politique de la réussite éducative du ministre Sébastien Proulx : les preuves restent à faire
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Projet de loi no 143 en petite enfance : les vrais enjeux ignorés, selon la CSQ
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) accueille tièdement le projet de loi no 143 modifiant la Loi sur les services de garde éducatifs à l’enfance déposé aujourd’hui par le ministre de la Famille, Sébastien Proulx, à l’Assemblée nationale. «Bien que nous partagions la volonté du ministre d’introduire la notion de réussite éducative dans la loi, nous constatons que les moyens pour concrétiser cette volonté ne sont pas au rendez-vous. Même s’il a multiplié les annonces dans les dernières semaines, les sommes prévues pour la transition vers l’école sont nettement insuffisantes», dénonce Louise Chabot, présidente de la CSQ. Cette dernière déplore que le gouvernement s’entête à maintenir des mesures comme la modulation des tarifs et les crédits d’impôt qui poussent les parents vers des services de garde privés de moindre qualité.
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Les libéraux préparent-ils les élections sur le dos des petits ?
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Salaires et sécurité d’emploi : les syndicats de La Presse veulent connaître la position de l’employeur
Les syndicats représentant les 420 employé-es de La Presse et de sa filiale Nuglif exigent de connaître la position de l’employeur concernant les salaires et la sécurité d’emploi, près de 18 mois après l’échéance de leurs précédentes conventions collectives. Les syndicats veulent poursuivre les négociations en ayant tous les éléments en main. Jusqu’ici, ces négociations ont porté sur des aspects sans incidence financière. Il est plus que temps que les salarié-es de La Presse et Nuglif sachent ce que l’employeur souhaite leur proposer, alors qu’une cinquantaine d’employé-es s’apprêtent à quitter l’entreprise en raison d’une nouvelle ronde de coupes à La Presse, annoncées il y a maintenant près de trois semaines.
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Rapport du Comité permanent du patrimoine sur les médias : le gouvernement de Justin Trudeau dans la continuité des politiques conservatrices
Le Conseil provincial du secteur des communications (CPSC) du SCFP salue les efforts du Comité permanent du patrimoine canadien qui a proposé, hier, une vingtaine de recommandations pour venir en aide aux médias d’information et favoriser le contenu canadien sur toutes les plateformes. Le comité a bien compris l’importance démocratique du travail journalistique et la nécessité de maintenir une industrie audiovisuelle forte au pays. Le CPSC déplore toutefois l’empressement du gouvernement fédéral à rejeter du revers de la main une des recommandations du rapport du Comité du patrimoine qui propose une intervention réglementaire visant à soutenir le contenu canadien.
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Agents d’intervention en milieu psychiatrique : importante victoire de la FSSS–CSN
Après plusieurs mois de démarches juridiques, la FSSS–CSN est parvenue à une entente le 20 juin avec le Conseil du trésor permettant aux agents d’intervention en milieu psychiatrique du réseau de la santé et des services sociaux de recevoir d’importants ajustements salariaux rétroactivement au 13 avril 2011. Rappelons que lors de la négociation du secteur public en 2010, la FSSS–CSN avait obtenu la création du titre d’emploi d’agent d’intervention en milieu psychiatrique (AIMP). À ce moment, le MSSS et le Conseil du trésor ont déterminé unilatéralement une échelle salariale. Après plusieurs mois de discussions, le Conseil du trésor et le MSSS se sont entêtés à ne modifier ni le libellé ni l’échelle salariale. Déterminée, la FSSS–CSN a poursuivi la bataille avec un arbitrage qui a débuté le 6 juin 2016.
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Réforme de la consigne : la CSN revendique une véritable consultation
La Confédération des syndicats nationaux revendique une véritable consultation sur la réforme de la consigne touchant à tous les contenants, notamment ceux en verre. «L’annonce d’hier du ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, David Heurtel, cible des priorités sur le recyclage des matières résiduelles issues des contenants de plastique à usage unique. Alors qu’elle devrait figurer au centre d’une politique audacieuse et durable, la consigne des contenants en verre demeure complètement absente des préoccupations du gouvernement et du comité qui doit se pencher sur la modernisation de cette politique», de souligner Pierre Patry, trésorier de la CSN et responsable politique du dossier environnement.
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Le STT des pâtes et papiers d’Alma demande à Greenpeace de mesurer l’impact de ses actions sur la région
C’est avec désolation que le Syndicat national des travailleuses et travailleurs des pâtes et papiers d’Alma, le Conseil central des syndicats nationaux du Saguenay–Lac-St-Jean (CCSNSLSJ–CSN) et la Fédération de l’industrie manufacturière (FIM–CSN) ont constaté l’approche utilisée par Greenpeace dans le conflit juridique qui l’oppose à Produits forestiers Résolu (PFR). Depuis quelques semaines, Greenpeace appelle la population et des auteurs connus à signer une pétition et à faire pression sur de grandes maisons d’édition, clientes de PFR, pour qu’elles cessent d’imprimer sur du «papier book» produit à l’usine d’Alma. Cette stratégie constitue une réponse de Greenpeace pour que PFR abandonne une poursuite de 300 M$ intentée l’an dernier contre le groupe environnemental, pour diffamation.
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Nomination de Denis Lebel au Conseil de l’industrie forestière du Québec : La CSN l’invite à poursuivre la collaboration sur la question du bois d’œuvre canadien.
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Québec et Ottawa doivent s’engager à reconnaître les droits des travailleuses domestiques
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La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) demande au gouvernement du Québec de mieux protéger les travailleuses et travailleurs domestiques en déposant un nouveau projet de loi non discriminatoire cette fois visant à couvrir les travailleuses domestiques par le régime de santé et sécurité au travail. Il doit aussi mettre en place des moyens pour que s’applique de façon effective la Loi sur les normes du travail pour le respect de leurs droits. «Il faut savoir que ces milliers de travailleuses et travailleurs domestiques, en grande majorité des femmes, œuvrent dans des conditions extrêmement précaires et ne bénéficient pas des mêmes droits que les autres travailleurs et travailleuses du pays. Cette situation injuste traîne déjà depuis trop longtemps et c’est pourquoi nous demandons au gouvernement du Québec d’agir sans tarder», déclare le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux.
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Le Canada adhère enfin à la Convention 98 sur la liberté de négociation de l’OIT : les centrales s’en réjouissent
Pas moins de 68 ans après son adoption par l’Organisation internationale du travail (OIT), le Canada ratifie enfin la Convention 98 portant sur le droit d’association et de négociation collective. Le 14 juin devient donc une journée historique pour les travailleuses et les travailleurs canadiens, estime la Confédération des syndicats nationaux (CSN) qui est intervenue à maintes reprises pour amener le gouvernement fédéral à signer les huit conventions fondamentales de l’OIT, dont la Convention 98. Ces dernières concernent l’éradication du travail forcé et du travail des enfants, le droit à l’égalité en emploi ainsi que la liberté d’association et de négociation.
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La FTQ salue la ratification par le Canada de la convention sur le droit d’organisation et de négociation collective de l’OIT.
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FTQ : «Le gouvernement Trudeau abolit deux lois antisyndicales des conservateurs : deux fois bravo!»
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) salue le geste du gouvernement libéral de Justin Trudeau qui a su résister aux pressions du Sénat et qui a fait adopter le projet de loi C-4, qui abolit les projets de loi C-525 et C-377 adoptés par les conservateurs. Il faut rappeler que le projet de loi C-525 avait pour objectif d’obliger les organisations syndicales à tenir des votes secrets lors du processus d’accréditation alors que le projet de loi C-377 obligeait les syndicats à rendre publics leurs états financiers. «En abolissant les projets de loi C-525 et C-377, le gouvernement libéral respecte ses engagements électoraux, un geste qui doit être salué par tout le mouvement syndical. C’était une promesse des libéraux lors de la dernière campagne, nous ne pouvons qu’applaudir. Encore une fois, bravo!» déclare le président de la FTQ, Daniel Boyer.
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Rapport du Vérificateur général : le MTQ continue de faire fausse route, juge le SPGQ
Encore une fois, le travail de la vérificatrice générale, Mme Guylaine Leclerc, relève des irrégularités au ministère des Transports (MTQ) dans la gestion des contrats et l’encadrement de firmes externes. «Le bar est toujours ouvert au MTQ. Les lacunes relevées par la vérificatrice générale sont nombreuses et, malheureusement, ne sont pas nouvelles. L’expertise au sein du MTQ demeure vulnérable, dit la vérificatrice. Le manque d’expertise soulève bien des questions sur la capacité du MTQ à encadrer les faramineux contrats confiés aux firmes privées. L’influence indue des entrepreneurs et lobbyistes dans la gestion des projets du plus gros donneur de contrats publics au Québec se poursuit donc», soutient Richard Perron, président du Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ).
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Négociation du personnel professionnel du Protecteur du citoyen : l’entente de principe est adoptée
Concluant plus de deux années de négociation, l’entente de principe entre le personnel professionnel du Protecteur du citoyen représenté par le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) et l’employeur a été adoptée à la majorité le 13 juin par sa soixantaine de membres. Dans cette entente de principe figurent plusieurs points importants dont l’horaire variable et l’échelle salariale. Aussi, certaines bonifications sont consenties, parmi lesquelles l’obtention de la permanence après une année de service continu, une indemnité de départ de six mois ou un droit de rappel en cas de mise à pied.
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Grève chez les paramédics du Saguenay
Devant l’immobilisme de l’employeur à la table de négociation, le personnel du Syndicat des paramédics de la CTAQ, division Saguenay (SPCTAQ), représenté par le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ), annonce le déclenchement d’une grève générale à compter de minuit le jeudi 22 juin. Les quelque 70 travailleuses et travailleurs de SPCTAQ entendent signifier à la direction et au ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) l’urgence de négocier de bonne foi afin de conclure des ententes avant les vacances estivales.
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Un premier groupe de paramédics au Québec obtient une entente de principe.
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Rien ne va plus dans les relations de travail à Saint-Anicet
Les employés de la municipalité de Saint-Anicet ont manifesté devant l’hôtel de ville, car ils sont sans contrat de travail depuis décembre 2014 et les négociations stagnent. Ultérieurement, les salariés avaient toujours négocié avec l’employeur dans l’harmonie et le respect de chacune des parties. Cette fois-ci, le conseil municipal a décidé de donner le mandat de négociation à un porte-parole externe. À ce jour, les coûts relatifs à cette dernière sont supérieurs à ce que représente la totalité des demandes salariales des membres, et ce, pour la totalité de la durée de la convention collective, soit cinq ans.
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Une convention enfin signée à Harrington!
Les cols blancs de la Société du parc Jean-Drapeau ont une nouvelle convention collective.
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Luc Vachon élu président de la Centrale des syndicats démocratiques
Élu au 23e Congrès biennal de la Centrale des syndicats démocratiques (CSD), Luc Vachon est devenu le 17 juin le 5e président de la CSD. Il succède à François Vaudreuil, qui avait annoncé sa retraite en juin dernier après 20 années de présidence. «La CSD joue un rôle unique dans l’univers syndical québécois et ce rôle doit grandir. Après avoir complété une vaste consultation des membres d’organisations et de syndicats affiliés à la CSD, j’ai l’intention, en tant que nouveau président, de continuer à innover pour valoriser, entre autres, l’engagement des jeunes et répondre aux besoins d’aujourd’hui. Je m’engage formellement à porter des changements requis par et pour vous», a précisé aux délégués celui qui était, jusqu’à ce jour, le directeur des services professionnels à la Fédération démocratique de la métallurgie, des mines et des produits chimiques (CSD).
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Le SCFP et la coalition Trainsparence dénoncent le financement du REM par le gouvernement Trudeau
Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) déplore l’investissement de 1,28 milliard de dollars du gouvernement fédéral dans un projet de transport qui va augmenter l’utilisation de la voiture, augmenter les émissions de gaz à effet de serre et paralyser l’expansion du réseau public de transport collectif de la région. «Les investissements dans le transport en commun sont urgents! » a lancé Denis Bolduc, président du SCFP-Québec. « Mais il est inacceptable qu’en 2017, on gaspille autant d’argent dans un projet qui n’a pas eu le feu vert du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE).» Quelques mois à peine après que le BAPE a refusé d’entériner le projet en raison de multiples problèmes écologiques et économiques, le gouvernement Trudeau semble prêt à tout pour mettre en branle le plus gros projet de privatisation de l’histoire du Québec.
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Commerce légal du cannabis récréatif au Québec : si ce n’est pas payant, pourquoi Couche-Tard veut en vendre?
Le SCFP réagit avec ironie au fait que Couche-Tard a embauché une ancienne conseillère de Philippe Couillard dans l’espoir de vendre du cannabis dans ses magasins. Pour le syndicat, cette nouvelle souligne l’absurdité des propos tenus par le premier ministre Couillard le 25 mai voulant que le cannabis ne serait pas payant pour le gouvernement. «D’abord, le premier ministre lui-même a lancé un ovni en disant qu’il n’y a «pas de pactole» pour le gouvernement dans la vente de cannabis. Ensuite, convoitant un pactole, Couche-Tard embauche à titre de lobbyiste une ancienne conseillère spéciale de Philippe Couillard. Payant ou pas payant?» a ironisé Bruno Tremblay, conseiller syndical au SCFP, qui représente environ 850 employés de la Société des alcools du Québec (SAQ).
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L’industrie mondiale de l’aérospatiale est à la croisée des chemins
«Comment renforcer le pouvoir des syndicats dans l’industrie mondiale de l’aérospatiale?» C’est la question qu’a lancée le président international Bob Martinez aux délégués assistant à la conférence d’IndustriALL sur l’aérospatiale à Paris cette semaine. Il a affirmé aux délégués, incluant des membres canadiens et américains de l’AIM, que l’industrie mondiale de l’aérospatiale est à la croisée des chemins et qu’elle devra choisir le chemin qu’elle empruntera. «Le premier [chemin] perçoit les syndicats comme des ennemis, a déclaré Martinez. C’est un chemin sur lequel on tente de dissuader les travailleurs de se syndiquer bien que le droit d’association soit reconnu par le droit national, les Nations Unies et l’OIT. C’est un chemin sur lequel les travailleurs sont blâmés pour les échecs de leurs supérieurs, jusqu’à la haute direction.»
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Une étude ouvre de nouvelles voies pour l'avenir des syndicats de l'éducation
Un nouveau rapport de l'Internationale de l'éducation porte sur l'autonomisation et le développement de la profession enseignante au travers d’exemples de bonnes pratiques de renouveau syndical, d'organisation et de croissance. L’étude, intitulée Organising teaching: Developing the power of the profession et présentée le 20 juin lors de la réunion de la Commission Syndicale Consultative auprès de l'OCDE, se concentre sur les graves conséquences sur la profession enseignante du mouvement mondial pour la réforme de l'éducation (GERM), des conséquences pouvant prendre la forme d'une normalisation des programmes scolaires, de tests à enjeux élevés, d’une fragmentation du système, et de commercialisation de l'éducation. Selon les auteurs, ces profonds changements dans les contextes de l'enseignement confèrent aux syndicats d'enseignants un rôle unique et essentiel consistant à défendre les conditions de travail et le statut professionnel de leurs membres.
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Droit d’auteur : protéger l’utilisation équitable
Alors que le gouvernement fédéral entamera bientôt un examen de la Loi sur le droit d’auteur, les universités canadiennes souhaitent rappeler qu’il est essentiel de protéger le principe d’«utilisation équitable», qui établit un juste équilibre entre le droit des auteurs d’être rémunérés pour leurs œuvres et le droit de la société d’utiliser librement ces œuvres lorsque l’intérêt public l’exige. Les universités sont à la fois productrices et utilisatrices d’œuvres protégées par le droit d’auteur. Grâce à l’octroi de fonds publics très considérables, les membres du corps professoral consacrent leur carrière à développer de nouvelles connaissances. Ils assurent habituellement la diffusion des nouveaux savoirs issus de leurs recherches en cédant leurs droits à des éditeurs, qui revendent ensuite ces productions scientifiques aux établissements d’enseignement. Les universités canadiennes investissent aujourd’hui plus de 350 millions de dollars annuellement — ce qui représente une augmentation de plus de 40% depuis 2003-2004 — dans l’achat de contenu qu’elles ont le plus souvent elles-mêmes produit grâce au soutien de l’État.
Lire la suite du texte du recteur de l’UQAM, Robert Proulx.
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L'ancienne garde de l'Université Laval conserve ses privilèges
La rectrice Sophie D'Amours aura un régime d'après-mandat beaucoup moins généreux que celui de l'ancienne administration, dont les membres conserveront toutefois les privilèges. Le conseil d'administration de l'Université Laval a dévoilé mardi les conditions de rémunération de la nouvelle patronne de l'établissement. Mme D'Amours, gagnante de la course au rectorat en avril, touchera 331000$ cette année, «un salaire équivalent à celui de son prédécesseur». Cette somme comprend l'ensemble de la rémunération versée à la rectrice. Elle ne touchera aucune autre forme d'allocation ou de revenu supplémentaire que ce soit, assure-t-on à l'Université Laval. Seule la question du chauffeur et de la voiture de fonction reste à trancher, nous dit-on.
Lire la suite du texte du Soleil.
CSQ : Université Laval : quelque chose ne tourne pas rond.
Après-mandat à l'Université Laval : «indécent» et «scandaleux», dénonce l'opposition.
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Nicole Bouchard nommée rectrice de l'Université du Québec à Chicoutimi
Nicole Bouchard a été nommée rectrice de l'Université du Québec à Chicoutimi. Il s'agit de la première femme à accéder à ce poste dans l'histoire de l'université. Nommée mercredi par le gouvernement du Québec, Nicole Bouchard assumera un mandat d'une durée de cinq ans.
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Site d’injection supervisée : la CSDM songe à un recours judiciaire
La CSDM envisage d’utiliser les tribunaux pour empêcher l’ouverture d’un site d’injection supervisée à proximité d’une école primaire. L’ouverture prochaine d’un site d’injection supervisée à quelque 200 mètres de l’école Marguerite-Bourgeoys, dans le Centre-Sud à Montréal, fait craindre le pire à plusieurs parents qui multiplient les recours pour tenter de protéger leurs enfants. Ces derniers se sont tournés mercredi vers le Conseil des commissaires pour demander l’aide de la commission scolaire.
Lire la suite du texte du Devoir.
Ouverture de trois centres d’injection supervisée à Montréal.
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Frais de scolarité : c'est moins cher au Québec
Les étudiants universitaires du Québec continuent de payer les frais de scolarité les plus bas au pays avec ceux de Terre-Neuve-et-Labrador, rapporte Statistique Canada. Selon l'agence gouvernementale, «les étudiants canadiens inscrits à temps plein à un programme de premier cycle ont payé en moyenne 3,2% de plus cet automne en droits de scolarité pour l'année universitaire 2015-2016 qu'ils ne l'ont fait un an plus tôt. Cette augmentation est légèrement inférieure à celle de 3,3% qui a été observée en 2014-2015.» Statistique Canada précise que pour l'année scolaire 2014-2015, ces frais atteignaient en moyenne 2740$ au Québec et 2660$ à Terre-Neuve-et-Labrador, les deux provinces les moins chères du pays.
Lire la suite du texte du journal Les affaires.
Blogue de Léo-Paul Lauzon : Baisse du nombre d’étudiants au cégep et à l’université: que faire?
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Les personnes réfugiées ont plus que jamais besoin d’une éducation de qualité
Face au plus grand nombre de populations déplacées sous la contrainte atteint au cours de notre histoire, la Journée mondiale des réfugiés souligne le besoin urgent d’investir dans l’éducation publique pour permettre à des millions d’enfants d’accéder à un apprentissage de qualité. Les conflits majeurs qui font rage à travers le monde ont contraint 65,5 millions de personnes à quitter leur foyer, indique l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés dans son dernier rapport 2016. Parmi elles, 22,5 millions sont des réfugié.e.s, dont près de 11 millions d’enfants. «En ce jour, il est impératif de reconnaître la dure réalité à laquelle sont confrontées des millions de personnes à travers le monde», a déclaré le secrétaire général de l’Internationale de l’éducation, Fred van Leeuwen.
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S’affranchir de l’impôt ou améliorer notre régime fiscal ?
L’approche de l’été signifie pour de nombreux salarié·e·s qu’arrive aussi le salutaire temps des vacances, occasion de prendre du temps pour soi et ses proches et de recharger la batterie après d’exigeants mois de travail. Les Québécois et les Québécoises consacrent la majeure partie de leur temps à réaliser une activité dont le contenu et les finalités sont déterminés par une entreprise en échange d’un salaire qui, depuis trente ans, n’a pas suivi l’augmentation de la productivité. L’Institut Fraser prétend malgré cela que pendant une bonne partie de l’année, c’est en fait pour l’État que l’on travaille sans relâche: «Le fardeau fiscal de 2017 représente près de six mois de revenus ou la moitié de l’année, du 1er janvier au 20 juin. Ce n’est que le 21 juin, la journée de l’affranchissement de l’impôt, que les familles québécoises commencent à travailler pour elles-mêmes, et non pour le gouvernement.» La journée de l’affranchissement de l’impôt, un indice douteux que recalcule année après année le think tank de droite, présente l’impôt comme une obligation accablante qui nuit à la liberté de choix des familles.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Femmes et fiscalité... c'est compliqué
La semaine dernière, la Chaire en fiscalité et en finances publiques publiait un rapport portant sur l’analyse différenciée selon les sexes (ADS) de différentes mesures fiscales québécoises. Les chercheurs ont sélectionné les 25 mesures qui leur apparaissaient les plus pertinentes et ont, pour chacune d’entre elles, détaillé la répartition homme-femme du nombre de contribuables touchés et de la valeur totale de la mesure, ainsi que les montants moyens en jeu pour chacun des deux groupes. Sans surprise, certaines mesures sont à l’avantage des hommes tandis que d’autres sont à l’avantage des femmes. Ces résultats vont dans le sens de travaux antérieurs de l’IRIS, que ce soit concernant la situation des personnes selon leur catégorie de revenu ou bien selon leur genre. La fiscalité québécoise est-elle neutre par rapport au sexe? La réponse: c’est complexe.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Un autre rapport confirme la difficile ascension vers l’égalité économique hommes-femmes. C’est comme si un plateau avait été atteint et que toute avancée additionnelle s’inscrivait à la marge. Quant à la parité… Sans être grandissant, le fossé demeure réel en matière d’égalité économique hommes-femmes. La marche vers la parité demeure encore plus longue. Pour reprendre l’expression de l’étude, «la perte de talents féminins le long de l’échelle hiérarchique» demeure une réalité bien ancrée. Et ces inégalités persistantes ne sont pas uniquement fonction des différences hommes-femmes face aux impératifs familiaux.
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Profilage social et racial à la ville de Montréal : certaines améliorations mais le fardeau persiste
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Nouveaux pouvoirs de la métropole : le FRAPRU exige une réserve de sites pour le logement social
Alors que le maire Coderre vient de promettre que le logement sera une priorité de la toute première politique de développement social de la Ville, les groupes membres montréalais du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) s’impatientent. Rassemblés devant la résidence du maire, dans l’arrondissement Montréal-Nord, ils le pressent de s’engager à constituer sans plus tarder une réserve de bâtiments et de terrains pour de futurs projets de logements sociaux. Il est extrêmement long et difficile de développer des projets de logements sociaux s’inquiète le FRAPRU. Dans plusieurs quartiers, trouver un site non contaminé, à un prix raisonnable, est souvent l’un des facteurs qui retarde indûment la réalisation des projets de logements sociaux.
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Adoption du PL122 mettant fin de l’approbation référendaire : la démocratie citoyenne relayée au second rang
En réaction à l’adoption précipitée le 15 juin du projet de loi 122 visant à reconnaître que les municipalités sont des gouvernements de proximité, le Réseau québécois des organismes d’action communautaire autonome (RQ-ACA) trouve déplorable que le gouvernement ait cédé aux pressions exercées par les municipalités. «Il y aura des conséquences sur les droits des citoyennes et citoyens», affirme Claudelle Cyr, principalement en ce qui à trait à l’abolition des référendums municipaux. En effet, les municipalités qui accepteront de se doter d’une «politique de participation publique» respectant les grands principes d’un cadre règlementaire recommandés par un comité formé par le gouvernement, seront exemptées de l’obligation de permettre des référendums sur les projets d’urbanisme. «Le problème, c’est que le cadre règlementaire n’existe pas actuellement. C’est comme si on donnait carte blanche au gouvernement pour déterminer les mécanismes de consultation publique qui remplaceront l’approbation référendaire», déplore madame Cyr.
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Le surplus budgétaire du Québec atteint 2,5 milliards et non 250 millions
Ce n’est pas un surplus de 250 millions, mais d’environ 2,5 milliards — 10 fois plus élevé que prévu dans le plus récent budget — que le gouvernement Couillard a dégagé au cours de l’année financière qui s’est terminée à la fin mars. Mais bien qu’il y ait 2,25 milliards de plus que prévu — après le versement de 2 milliards au Fonds des générations — dans les coffres de l’État, les contribuables ne doivent pas pour autant se mettre à rêver à des baisses d’impôt à court terme. L’argent sera plutôt dirigé vers la réserve de stabilisation pour les imprévus, où il y a déjà 2,4 milliards, affirme le ministre des Finances, Carlos Leitão. «Nous aurons 4,7 milliards dans cette réserve, a-t-il expliqué au cours d’une conférence téléphonique. S’il y a des accidents, nous n’aurons pas besoin de modifier notre cadre financier.»
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