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Entre vous et moi : un processus à reprendre
Dans le cadre du processus en cours de désignation pour le poste de vice-rectrice, vice-recteur à la vie académique, le Comité exécutif du SCCUQ dénonce l’absence de consultation auprès des personnes chargées de cours; demande à la rectrice d’expliquer les raisons ayant motivé la décision de ne pas consulter les personnes chargées de cours; dénonce le non-respect de la procédure de nomination prévue dans le Règlement numéro 3; et demande au Secrétaire général l’annulation de la candidature unique soumise à la consultation et la reprise du processus de nomination.
Le Règlement numéro 3 stipule que le Comité de sélection, après entrevue, retient au minimum deux et au maximum trois candidatures qui seront soumises à la consultation et précise la liste des personnes consultées tout en stipulant que la consultation doit être effectuée auprès de toute autre personne que la rectrice juge nécessaire de consulter. Malgré son discours de transparence et d’ouverture à la communauté, la rectrice a jugé que ni le Syndicat, ni aucune personne chargée de cours ne méritaient d’être consultés.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
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Grèves étudiantes pour le 8 mars et la rémunération des stages : consignes aux personnes chargées de cours
L’Association des étudiantes et étudiants de la Faculté des sciences de l’éducation (ADESSE) a bloqué le Conseil d’administration de l'UQAM mardi. L'ADEESE sera en grève 3 journées en mars : le jeudi 8 mars (journée des femmes), le mardi 20 mars (journée prévue pour le CA de l'UQAM) et le jeudi 22 mars (journée en solidarité avec les étudiantes sages-femmes). L’Association facultaire étudiante de science politique et droit (AFESPED) sera également en grève le 8 mars. L’AFESH et l’AFEA (soit les étudiantes et étudiants en sciences humaines et en arts) pourraient aussi emboîter le pas. L'ADEESE a également voté une résolution pour être en grève à chacune des prochaines journées de rencontre du CA de l'UQAM et ce jusqu'à ce que le CA prenne position pour la rémunération des stages. Ces journées potentielles sont les 20 mars, 24 avril, 29 mai et le 19 juin 2018. La résolution vise aussi à bloquer la tenue des rencontres du CA et invite les autres associations étudiantes à être en grève ces mêmes journées.
Il est donc possible qu’il y ait des levées de cours lors de ces journées. Nous voulons vous rappeler que les personnes chargées de cours sous contrat doivent se présenter à leurs activités de travail, peu importe le lieu et la nature de cette activité et être prêtes à donner leurs activités d’enseignement. Vous devez donner ces activités d’enseignement pourvu que les conditions normales de travail et d’enseignement soient réunies.
Si vous désirez rapporter un incident ou si vous êtes confronté à une situation délicate, vous pourrez appeler le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM au numéro suivant : 514 987-3495. Nous vous assurons que nous allons suivre tous les développements et nous vous aviserons si nécessaire.
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Période de demande de charges de cours pour le trimestre d'été : jusqu’au 23 février
Les chargées et chargés de cours peuvent enregistrer leur déclaration d'emploi et leur candidature pour le trimestre d'été 2018 jusqu’au 23 février inclusivement dans ACCENT. Les personnes à qui seront attribuées des charges de cours devront retourner dans ACCENT répondre à l'offre de cours entre le 3 et le 8 mars inclusivement.
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Séances d’information le 27 février sur les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) et le perfectionnement de courte et de longue durées
Le SCCUQ offrira le mardi 27 février deux séances d’information aux personnes chargées de cours, au local R-2840 (Pavillon des Sciences de la gestion), selon l’horaire suivant : • 13h30 : Information sur les programmes de perfectionnement • 15h : Information sur les demandes d’exigences de qualification pour l’enseignement (EQE). Si vous désirez participer à l’une ou l’autre de ces rencontres, veuillez vous inscrire par téléphone en laissant un message au 514 987-3000 poste 3720, et ce, d’ici le 23 février. Votre message devra contenir votre nom, prénom, département et la ou les séances qui vous intéressent. Nous profitons de l’occasion pour vous rappeler que la procédure annuelle pour demander des EQE sur Accent est du 8 au 13 mars 2018. Les membres du Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART) ont hâte de vous rencontrer.
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Le SCCUQ en quatre temps : conférence sur L’avenir du SCCUQ et du militantisme de ses membres, le 14 mars
Le SCCUQ présente quatre conférences-débats sur des périodes marquantes de l’histoire du Syndicat dans le cadre de son 40e anniversaire. Les conférences sur La création: de la gestation à la première grève de personnes chargées de cours, le 6 février, La grève des cœurs et le début de la reconnaissance, le 15 février, et L’évolution de la convention collective et les années 2000, le 21 février, ont été fort pertinentes. Il reste donc une conférence le mercredi 14 mars à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 et elle portera sur L’avenir du SCCUQ et du militantisme de ses membres. Les chargées et chargés de cours panellistes sont à confirmer. Veuillez confirmer votre présence à sccuq@uqam.ca d’ici le 10 mars pour que nous puissions prévoir le lunch en fonction du nombre de participants.
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Formation pour les membres des comités de liaison locaux le 13 mars
Une formation s’adressant aux représentants des chargées et chargés de cours siégeant aux comités de liaison locaux (CLL) sera donnée le mardi 13 mars, à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 (Pavillon Hubert-Aquin). Cette formation a pour but de vous outiller sur votre rôle de représentation au CLL de votre unité. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence à Jean Régnier.
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Indemnités et rémunération majorées à 49$ de l’heure depuis le 1er janvier
Les indemnités ou la rémunération versées pour les disponibilités complémentaires, la représentation aux conseils académiques, aux comités de programmes, aux assemblées départementales, aux instances universitaires, aux comités de liaison locaux ainsi que pour les activités autres que l’enseignement ont été majorées à 49$ de l’heure en date du 1er janvier 2018.
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Jonathan Bonneau, Danny Perreault et Judith Portier contribuent à Illuminart
La créativité uqamienne sera mise en valeur dans le cadre de l'événement Illuminart du festival Montréal en lumière, du 22 février au 4 mars prochain. Il s'agit de la seconde édition de l'événement, qui consiste en un parcours composé de 13 œuvres interactives, lumineuses et innovantes au sein du Quartier des spectacles. Une trentaine de finissants en médias interactifs de l'École des médias, supervisés par les chargés de cours Jonathan Bonneau et Danny Perreault, présentent Propolis, une installation ludique interactive inspirée du fonctionnement collectif des abeilles. À la Place des Arts, on pourra voir La Grande nuée, une interprétation poétique des mouvements migratoires. Près de 500 élèves des écoles Saint-Gabriel-Lalemant et Marguerite-Bourgeoys (CSDM) ont participé au projet, en collaboration avec l'artiste multidisciplinaire et chargée de cours Judith Portier, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Conférence sur l'histoire de l'Afrique par la photographie
La chargée de cours Erika Nimis présente une conférence sur le thème L'histoire de l'Afrique par la photographie. Cas du fonds Félix Diallo - Mali, années 1950-1980 le samedi 24 février à Dakar, conférence organisée par le Laboratoire d’études historiques sur les inventions culturelles (ETHIC) et le Groupe d’études et de recherches sur la marginalité et l’exclusion au Sénégal (GERMES). Elle présente également à Montréal, dans le cadre du mois de l'histoire des Noirs, une exposition consacrée au photographe Félix Diallo, expo qui se transportera par la suite à Kita, ville d'origine de Diallo au Mali.
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Une trentaine de chargés de cours et d'étudiants participent à l’exposition Mi-lieu jusqu’au 25 février
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Grâce à un partenariat avec la Faculté des arts, l'Écomusée du fier monde, situé dans le quartier Centre-Sud de Montréal, accueille l'exposition Mi-lieu jusqu'au 25 février. Une trentaine de chargés de cours et d'étudiants de l'École des arts visuels et médiatiques, de l'École de design et du Département d'histoire de l'art y présentent neuf installations. Au moyen de divers matériaux (bois, papier, résine, argile, plexiglass) et médias (photo, vidéo, dessins, documents écrits), les créations pluridisciplinaires des Uqamiens proposent une vision artistique du mandat de l'Écomusée. Les étudiants et chargés de cours n'avaient pas de lignes directrices pour concevoir et réaliser l'exposition, peut-on lire sur Actualités UQAM. «Nous avons eu carte blanche, souligne Dominique Sarrazin, chargée de cours à l'École des arts visuels et médiatiques et coresponsable de l'exposition avec sa collègue Patricia Gauvin. Notre mandat consistait à traduire, dans un langage artistique, l'esprit qui anime l'Écomusée. Chaque équipe disposait d'un espace réservé, une sorte d'îlot partagé.»
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Des chargées et chargés de cours remportent plusieurs Grands Prix au concours Grafika
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Dans le cadre du 20e concours Grafika, les chargées et chargés de cours de l'UQAM ont remporté plusieurs des 17 Grands Prix accordés aux divers projets soumis. Le concours Grafika récompense les 100 meilleures réalisations en design graphique au Québec. Le chargé de cours Louis Gagnon, de l’agence Paprika, a remporté un Grand Prix dans la catégorie Projet spécial pour la réalisation des timbres de Postes Canada portant sur l’année du coq. Le recueil de poèmes et de textes scientifiques Un herbier de Montréal, illustré par la chargée de cours Janice Nadeau a remporté un Grand Prix dans la catégorie Édition, tout comme le studio Feed, dont l’un des cofondateurs est le chargé de cours de l’École de design Anouk Pennel-Duguay, pour l’ouvrage réalisé en marge de l’exposition du Centre d’histoire de Montréal Scandale! Le Montréal illicite, 1940-1960. L’agence Lg2, dont le chargé de cours Claude Auchu est président exécutif du conseil et chef du design, a remporté le Grand Prix dans la catégorie Emballage pour le design des bières de la série Artisan de Boréale. La police de caractères de Radio-Canada a remporté le Grand Prix dans la catégorie Typographie. Le chargé de cours Étienne Aubert Bonn, cofondateur de Coppers and Brasses, était concepteur sur ce projet, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Geneviève Parent publie Vivre après avoir survécu – Reprendre sa vie en main après une agression sexuelle
La chargée de cours Geneviève Parent propose dans Vivre après avoir survécu – Reprendre sa vie en main après une agression sexuelle, qu’elle vient de faire paraître aux Éditions de l’Homme, une voie pour sortir de la souffrance et enfin recommencer à vivre pleinement. Sur un ton clair, empathique et rassurant, elle offre beaucoup de pistes de réflexion et propose des outils favorisant une saine gestion des émotions et une vie relationnelle plus enrichissante. Cet ouvrage ne prétend pas remplacer une thérapie, mais il peut agir comme soutien, comme accompagnement pour ceux et celles qui souhaitent laisser derrière eux un lourd passé et envisager l'avenir la tête haute, avec confiance et espoir.
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Stéfany Boisvert analyse l'ambivalence des modèles masculins à la télé
Objet de fascination et objet d'étude, la série télévisée serait devenue l'une des formes narratives qui témoigne le mieux notre époque. «Sous l'impulsion des mouvements féministe et LGBTQ, qui remettent en cause les modèles de genre traditionnels, plusieurs créateurs télé essaient de tenir compte de ces tendances sociales en valorisant davantage la sensibilité et l'émotivité masculines dans les fictions télévisuelles», souligne la chargée de cours à l'École des médias Stéfany Boisvert. Dans le cadre de sa thèse, la chercheuse s'est intéressée à la représentation des personnages masculins et aux modèles de masculinité véhiculés dans 30 séries télévisées nord-américaines depuis 2005, peut-on lire sur Actualités UQAM. La chargée de cours a également codirigé le nouvel ouvrage Une télévision allumée – Les arts dans le noir et blanc du tube cathodique qui vient de paraître aux Presses universitaires de Vincennes.
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Antoine Ouellette publie Musique autiste – Vivre et composer avec le syndrome d'Asperger
En novembre 2007, l’écrivain, compositeur et chargé de cours Antoine Ouellette est diagnostiqué Asperger, un syndrome appartenant au spectre autistique. L’auteur de Musique autiste – Vivre et composer avec le syndrome d'Asperger: essai/témoignage livre son expérience et offre une visite guidée du monde de l’autisme dans cet ouvrage qui vient de paraître. Il souhaite aussi informer et sensibiliser sur un sujet tabou, la «folie», afin de transmettre un message d’espoir aux personnes marginales et marginalisées.
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Les étudiants de Dominique Vallières et Myriam Brixi remportent la coupe du Bâtonnier du Québec
L'équipe d'étudiants du baccalauréat en droit de l'UQAM a remporté la coupe du Bâtonnier du Québec remise à la meilleure équipe au concours de plaidoirie en droit civil Pierre-Basile-Mignault, qui s’est déroulé les 16 et 17 février à l'Université d'Ottawa. L'équipe de l'UQAM était encadrée par les chargées de cours Dominique Vallières et Myriam Brixi du Cabinet Lavery, avec la collaboration de la professeure du Département des sciences juridiques Gaële Gidrol-Mistral. Outre le prix de la meilleure équipe, les étudiants de l'UQAM ont remporté quatre autres prix, dont celui du meilleur mémoire et celui du tandem finaliste de la joute finale, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Nadia Seraiocco parle d’intelligence artificielle à l’université à La sphère
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André Lamoureux commente le retard dans l’adoption de la loi sur la légalisation du cannabis
Le chargé de cours en Science politique André Lamoureux commente le retard dans l’adoption de la loi sur la légalisation du cannabis à l’antenne du FM 104,7.
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Les profs rejettent la contre-offre de l’UQO
Les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais–CSN (SPUQO) ont rejeté à 71% par voie de scrutin secret, le 16 février, la contre-offre de l’administration de l’UQO déposée le 10 février. «Nous avons rejeté cette contre-offre de l’administration parce que nous refusons de sacrifier la démocratie syndicale, l’équité de traitement entre les professeures de Saint-Jérôme et de Gatineau, l’insertion professionnelle des nouveaux professeurs, le recours à la justice face aux atteintes par l’administration de l’UQO au Code du travail et le traitement salarial méprisant qui ferait de nous les professeurs les moins bien payés du réseau de l’Université du Québec. Nous considérons cette dernière offre dérisoire, irrespectueuse du travail des professeurs et de la réalité de la communauté universitaire tout entière», de déclarer Louise Briand, présidente du SPUQO.
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UQO : spectre de grève générale le 10 mars. Représentation aux instances de l’UQO : le grief du recteur Harrisson débouté.
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Collège Villa Maria : SOS pour son école de musique
Le 17 janvier, les parents de plus de 140 étudiants ont appris par courriel que la direction de Villa-Maria fermait son école de musique, qui existe depuis 165 ans. Les élèves et les parents ont ensuite été convoqués à une réunion où la décision a été présentée comme un fait accompli, peut-on lire sur le site de la CSN. En réponse à ce manque flagrant de respect, parents, professeurs et anciens élèves ont formé le Comité de sauvegarde l’école de musique de Villa. Apportez votre appui.
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C’est envers les enseignants du Québec que le gouvernement a une dette, déclare la CSQ
La présidente de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) s’indigne que le gouvernement Couillard n’ait pas pu trouver les ressources nécessaires pour les enseignants, mais qu’il offre de très généreuses augmentations aux médecins spécialistes du Québec. «On a tous vraiment l’impression que c’est deux poids, deux mesures quand il est question du salaire des enseignants du Québec et du salaire des médecins. C’est insultant. Les enseignants québécois sont à tous points les moins bien payés au Canada selon les dernières données de Statistique Canada. Il est plus que temps de donner le nécessaire coup de barre. Monsieur Couillard, pour la valorisation de la profession enseignante, on repassera. C’est envers les enseignants du Québec que vous avez une dette», a déclaré Josée Scalabrini, présidente de la FSE.
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Les commissions scolaires doivent conserver la gestion de la taxation scolaire, affirme la CSQ.
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Lancement de la campagne «Les vexations des employés-es de l’Université de Montréal»
Alors que l’Université de Montréal apparaît de nouveau dans le palmarès annuel Forbes des 300 meilleurs employeurs au Canada (61e position), le Réseau des syndicats de l’Université de Montréal (RÉSUM), lequel représente la totalité des employés syndiqués, profite de cette occasion pour remettre les pendules à l’heure en lançant une campagne publicitaire intitulée: Les vexations subies par les employé-e-s de l’Université de Montréal. L’étude du magazine Forbes tient compte des conditions salariales, de l’accès à la permanence et d’autres données objectives, ce que le RÉSUM ne nie pas. Cependant, ces conditions ne sont pas dues à la seule bienveillance de l’employeur, mais sont plutôt le fruit de négociations collectives entre les syndicats et l’Université de Montréal depuis la fin des années 1960. Or, selon le RÉSUM, l’Université de Montréal contribue à diminuer la qualité des conditions de travail à la source de son positionnement dans le magazine Forbes.
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Message des sages-femmes au gouvernement : le tout-aux-médecins, ça suffit
Devant l’offre globale inacceptable qui leur a été faite la semaine dernière par le gouvernement, le même jour où l’on apprenait l’octroi de plusieurs milliards pour les médecins spécialistes, une cinquantaine de sages-femmes ont procédé mercredi au raccompagnement symbolique du ministre de la Santé et des Services sociaux (MSSS), Gaétan Barrette, et du premier ministre du Québec, Philippe Couillard, là où ils seraient les plus utiles pour le système de santé: à la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ). La garde constitue le pilier de la pratique des sages-femmes, puisqu’elle permet d’assurer la continuité des soins durant toute la grossesse, l’accouchement et le suivi postnatal. À l’heure actuelle, les sages-femmes sont payées moins de 2$ l’heure de garde effectuée. Or, l’offre du gouvernement leur ferait enregistrer un recul de près de 1700$ par année pour une sage-femme à temps complet.
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Trou noir de l’assurance-emploi : Ottawa doit mettre en place des mesures d’urgence avant d’arriver avec une solution durable
Devant la multiplication des cas de personnes sans emploi qui se retrouvent actuellement sans prestations d’assurance-emploi dans l’est du Québec, la CSN réclame du gouvernement fédéral qu’il annonce des mesures d’urgence, le temps d’en arriver à des solutions durables à ce problème récurrent. C’est le message qu’ont livré à Montréal des représentantes et représentants de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), dont trois conseils centraux concernés par cette situation, soit ceux de la Côte-Nord, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine et du Bas-Saint-Laurent. «Il est carrément inacceptable que des travailleurs et des travailleuses soient aspirés dans une spirale de pauvreté et d’endettement parce que le régime d’assurance-emploi, pour lequel ils cotisent, est établi sur des bases qui ne tiennent pas compte de la réalité du travail saisonnier, indique Jacques Létourneau, président de la CSN. Le gouvernement Trudeau doit régler ce problème une bonne fois pour toutes.»
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Centres de la petite enfance du Saguenay-Lac-Saint-Jean : les travailleuses votent pour la grève générale illimitée
Réunies en assemblée générale ce matin, près de 500 travailleuses en CPE, membres du Syndicat des travailleuses des CPE et des BC du Saguenay-Lac-Saint-Jean – FSSS-CSN ont voté à 92% pour la grève générale illimitée. «Nous avons fait un rapport détaillé des clauses réglées et non réglées. Nos membres sont, tout comme le comité de négociation, désolées et déçues de voir que les directions refusent de nous accorder ce que nos consœurs ont obtenu le 17 novembre dernier, explique la présidente du Syndicat, madame Nathalie Duperré. Nos demandes sont sans incidence monétaire mais surtout, dans certains CPE, elles sont déjà appliquées. Penser que les travailleuses en CPE vont laisser tomber leurs demandes, c’est bien mal les connaitre. Ça fait plus de 30 ans que nous nous battons pour faire reconnaitre notre profession et pour améliorer nos conditions de travail et nous n’avons pas l’intention de plier», affirme madame Duperré.
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Imposition de frais de guichet unique : le gouvernement est-il en train de violer sa propre loi encadrant les responsables de service de garde en milieu familial ?
Rouyn-Noranda : Nouveau contrat de travail à la Fonderie Horne.
Les syndiqués de Micro Bird soutiennent les lockoutés d’ABI.
Les cols bleus de Mascouche signent pour cinq ans.
Abitibi-Témiscamingue : Nouveau contrat de travail à la municipalité de Taschereau.
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Troisième déclenchement de grève pour les 210 répartiteurs, répartitrices d’Urgences-santé
Alors que les ambulanciers-paramédics et les employé-es de soutien de la Corporation d’Urgences-santé viennent tout juste de signer leur convention collective, les 210 répartiteurs, répartitrices et employées de bureau du centre de communication santé sont toujours sans contrat de travail, et cela, depuis près de trois ans. Pour forcer le déblocage des négociations qui stagnent depuis des mois, ils ont déclenché la grève pour une troisième fois, mercredi soir à 23h. Celle-ci se poursuivra ce vendredi 23 février. «Ces salarié-es sont aux prises avec un taux de détresse psychologique inquiétant, d’importantes surcharges de travail, un taux de roulement de personnel élevé, un recours incessant aux heures supplémentaires obligatoires», affirme Josée Marcotte, vice-présidente de la FSSS–CSN.
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Les employé-es d’entretien de la STM votent à 98 % pour six jours de grève
Les membres du Syndicat du transport de Montréal–CSN de la STM ont voté à 98%, en assemblée générale à Montréal, un mandat prévoyant des moyens de pression, incluant une banque de six jours de grève à exercer au moment jugé opportun. Bien qu’ils espèrent toujours en arriver à une entente négociée, les salarié-es jugent que les reculs demandés par l’employeur et le cadre législatif dans lequel se déroule ces négociations les obligent à se doter d’un tel mandat. La STM s’attaque aux différentes mesures de conciliation travail-famille acquises par le passé, notamment par des reculs sur les horaires variables et le cumul de temps et par la transformation de certains postes de jour en postes de soir et de nuit. Elle désire également imposer les heures supplémentaires obligatoires et privatiser certaines de ses activités. «Jamais dans l’histoire de notre syndicat l’employeur n’avait été aussi exigeant et agressif envers les acquis syndicaux», indique Gleason Frenette, président du syndicat.
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Crise dans le transport scolaire : la FTA et trois transporteurs confirment la problématique.
Crise dans le transport scolaire : Vidéo En route vers le respect.
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Optométristes : front commun d’organismes représentant les aînés
Quatre groupes représentant plus de 600 000 aînés ont décidé de faire front commun pour dénoncer l’attitude déplorable du gouvernement libéral et de l’Association des optométristes du Québec (AOQ) dans le conflit qui les oppose. Et pour leur demander de trouver un compromis avant qu’il ne soit trop tard. L’AOQ a signifié officiellement que 90% des optométristes se retireront de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) dès le 10 mars. En mettant sa menace à exécution, elle laisse tomber une portion importante de sa clientèle. En effet, les examens de la vue ne seront plus couverts par la RAMQ pour les personnes de 65 ans et plus, les prestataires de la sécurité du revenu et les jeunes de moins de 18 ans. Si ce sombre scénario se concrétise, il s’agirait d’une triste première depuis la création de la RAMQ, il y a près d’un demi-siècle. Le gouvernement n’a pas pris davantage ses responsabilités. Les séances de négociations qui ont eu lieu entre les deux parties se comptent sur les doigts d’une seule main, même si l’entente avec les optométristes est échue depuis avril 2015.
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Protégeons les vraies nouvelles
Parce que la désinformation menace notre démocratie: protégeons les vraies nouvelles.
Visionner la vidéo.
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Favoritisme à l’endroit des géants du Net : le SCFP dépose une requête et soutient qu’une solution à l’iniquité est déjà à la portée du CRTC
Le Conseil provincial du secteur des communications (CPSC) du SCFP-Québec demande au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) de faire tomber l’ordonnance d’exemption qui s’applique aux services de diffusion en ligne. «Le CRTC a le pouvoir d’agir rapidement pour mettre un terme au favoritisme réglementaire à l’endroit des géants du numérique. On lui demande d’aller de l’avant pour casser une décision prise il y a plusieurs années et qui est complètement obsolète. Il n’y a plus de raisons d’exempter les Netflix de ce monde», de dénoncer Réjean Beaudet, secrétaire-archiviste du CPSC-SCFP et président provincial du Syndicat des employé(e)s de TVA.
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La science, en français à l’Université de Montréal
Cela fait maintenant trois ans que je fréquente assidument les cours du département de mathématiques et de statistiques de même que ceux du département de physique de l’Université de Montréal. En me basant sur l’ensemble des plans de cours reçus, il m’a été possible d’établir les constats suivants. Sur 26 cours de mathématiques et de physique de 3 ou 4 crédits, 11 des 28 manuels obligatoires (certains cours en exigent plus d’un) sont en anglais. Aussi, 60 des 82 manuels recommandés (non-obligatoires) sont en anglais. Cela constitue des proportions de 39% et 73%, respectivement. Pour une université qui se targue sur toutes les tribunes d’être «la plus grande université de langue française en Amérique du Nord», voilà des résultats troublants!
Lire la suite du texte publié par Le Devoir.
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Des universités québécoises exsangues
La fermeture du Centre de recherche interuniversitaire en littérature et culture québécoise (CRILCQ) de l’Université Laval, aussi tragique soit-elle, est malheureusement peu surprenante. Elle s’inscrit d’abord dans la désolidarisation de la société et du Ministère de l’Enseignement supérieur envers la formation générale au collégial. Tandis que les programmes professionnels prolifèrent comme des champignons, les cours de littérature et de philo subissent des pressions incroyables de la part des établissements d’enseignement pour adapter leurs contenus aux compétences des autres programmes. Enseigner La maladie de Sachs aux futures infirmières et Le tour du monde en 80 jours aux étudiants en tourisme, parce qu’en 2018, la littérature, faut «quossa donne que’que chose».
Lire la suite du texte d’opinion publié par Le Soleil.
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Surpopulation dans les écoles : un refrain qui ne cesse de se répéter
Malgré les annonces d’investissements du gouvernement dans les infrastructures scolaires, la surpopulation dans les écoles est telle que la qualité de vie dans nos écoles publiques continue de diminuer. Le mouvement de parents Je protège mon école publique réclame des actions immédiates et concertées des niveaux politiques provincial, municipal et scolaire, pour trouver des solutions rapides et concrètes au problème de surpopulation dans les écoles du Québec. «La surpopulation frappe là où ça fait mal : dans les moments de plaisir des enfants et la qualité du milieu de vie que nous leur offrons. L’école doit offrir la possibilité aux enfants de découvrir des intérêts variés, d’ouvrir leurs horizons, de créer. La perte de locaux de musique ou d’art, la disparition de bibliothèques, le manque d’espace pour bouger dans les gymnases, c’est aussi un appauvrissement collectif en culture générale, en créativité et en hygiène de vie pour cette génération d’enfants», déplore Pascale Grignon, porte-parole du mouvement.
Lire la suite.
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L’éducation des adultes : vers les élections 2018
À l’intention des partis politiques québécois qui seront bientôt mobilisés par la rédaction de leur plateforme électorale, l'ICÉA dévoile aujourd’hui une synthèse des orientations et des recommandations qui ont servi de cadre à son positionnement depuis 2008. Les positions de l'ICÉA en éducation des adultes sont désormais accessibles en ligne, à partie d’une plateforme Wiki intitulée «Positionnements stratégiques de l'ICÉA».
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Journées de réflexion sur la formation professionnelle : les étudiants et étudiantes adultes sont les grands oubliés
Les journées de réflexion sur la formation professionnelle des 5 et 6 février 2018 ont présenté un portrait lacunaire des défis et des enjeux de cet ordre d’enseignement. Convoquées par le ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, ces Journées ont réuni «près de 350 participants et observateurs de divers horizons», selon le communiqué final de l’événement, dont l’ICÉA. Au terme de l’événement, le ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport a retenu certains défis qui relèvent de l’administration de la formation professionnelle (partenariat entre les milieux de la formation professionnelle et le ministère, concertation régionale, petites cohortes, offre à temps partiel). La situation des étudiants et étudiantes à la formation professionnelle n'a pas été mentionnée. Pourtant, plus de 80% de ceux-ci et de celles-ci ont plus de 20 ans et, globalement, comme l’indique le cahier du participant à cet événement, la moyenne d’âge des effectifs à la formation professionnelle est de 28 ans.
Lire la suite.
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Ottawa efface plus de 200 millions de prêts aux étudiants
Le gouvernement fédéral efface plus de 200 millions $ de prêts aux étudiants qui sont maintenant considérés comme des créances impossibles à recouvrer. Selon des documents publiés récemment, Ottawa radie 203,5 millions de prêts consentis à 34 240 étudiants canadiens. Il s'agit de la troisième radiation majeure en quatre ans. Les gouvernements du Québec, du Nunavut et des Territoires-du-Nord-Ouest ne participent pas au Programme canadien de prêts aux étudiants; ils gèrent leur propre programme, financé en partie par Ottawa. Le gouvernement fédéral doit chaque année radier une partie des prêts de 19 milliards $ consentis actuellement aux étudiants canadiens, pour plusieurs raisons: le débiteur a fait faillite, la créance elle-même dépasse la limite de perception de six ans permise par la loi, ou bien le débiteur demeure introuvable, par exemple.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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Ottawa investira 950 millions dans cinq supergrappes
Le gouvernement fédéral a retenu le projet de développement des chaînes d'approvisionnement intelligentes soumis par le consortium SCALE.AI de Montréal pour créer cinq supergrappes à travers le pays et faire du Canada un leader mondial de l'exportation. SCALE.AI, un regroupement de plus de 120 sociétés industrielles, organisations et établissements de recherche de calibre mondial, fait partie des cinq supergrappes qui ont été choisies par le gouvernement Trudeau à travers le pays pour stimuler la recherche et l'innovation. Ottawa prévoit investir quelque 950 millions de dollars dans ces cinq supergrappes qui oeuvrent dans des secteurs à forte croissance au cours des cinq prochaines années.
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«La supergrappe montréalaise aidera à créer 16000 emplois».
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Pour un plus grand respect du droit au logement : le FRAPRU marchera les 500 km séparant les deux capitales en septembre
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L’année de son 40e anniversaire, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) entend réaliser son projet le plus ambitieux, une marche continue de plus de 500 km. Sous la bannière «De villes en villages pour le droit au logement», des militantes et des militants partiront d’Ottawa le 2 septembre 2018 et arriveront à Québec le 29 septembre, la veille des élections générales et de la Journée mondiale de l’Habitat. Le projet du regroupement reçoit déjà l’aval d’une trentaine d’organisations sociales nationales et de regroupements montréalais. Le FRAPRU veut interpeler les deux paliers de gouvernement sur les graves dénis du droit au logement, qui accablent les ménages locataires à faible revenu, et sur l’insuffisance des investissements dans le domaine du logement social, malgré les demandes soutenues formulées depuis plusieurs années. Selon le recensement de 2016, 195 635 ménages locataires du Québec consacrent plus de la moitié de leur revenu pour se loger.
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Montréal veut améliorer les services aux femmes itinérantes en hiver
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Les patients et le personnel mis à risque à l'Institut universitaire en santé mentale de Québec
Comme médecins généralistes, psychiatres, pharmaciens et autres professionnels soignant les patients aux prises avec une maladie psychiatrique aiguë nécessitant une hospitalisation à l’Institut universitaire en santé mentale de Québec, nous avons été profondément choqués et indignés par les propos provenant de l’administration de l’IUSMQ (Le Devoir, 14 février). Alors que le fléau des maladies mentales est de plus en plus pris au sérieux dans la population avec les sorties publiques d’Alexandre Taillefer ou de Samuel Archibald, des décisions administratives ne vont pas dans la bonne direction.
Lire la suite du texte collectif publié par Le Devoir.
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Journée mondiale de la justice sociale : Philippe Couillard interpellé sur l’absurdité des baisses d’impôts
La Coalition Main rouge a souligné le 20 février la Journée mondiale de la justice sociale. Dans le cadre de sa campagne Viser la justice sociale. Récupérer notre trésor collectif, elle a tenu un rassemblement devant les bureaux du premier ministre Couillard, à Montréal. Malgré la pluie, près d’une centaine de membres de regroupements communautaires de différents secteurs, des travailleurs et travailleuses des services publics et leurs syndicats, et des organisations féministes y ont démontré l’absurdité de la baisse d’impôts et l’importance du prochain budget pour réparer les pots cassés de l’austérité.
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