Infolettre du SCCUQ - 20 avril 2017 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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À l'agenda

L’infolettre du SCCUQ est publiée tous les jeudis. Vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.

Activités reliées au SCCUQ :

24 avril : Assemblée générale statutaire : élections et états financiers
25 avril : Rencontre préparatoire aux États généraux de l’enseignement supérieur
1er mai : Conférence sur la retraite
3 mai : Conseil syndical élargi, rencontre avec les candidates et candidats au rectorat
3 mai : Assemblée annuelle du Régime de retraite des chargées et chargés de cours
5 mai : Prochaine date de dépôt pour les projets d’intégration

Activités reliées aux membres du SCCUQ :

20 avril : Bulletin d’histoire politique fête ses 25 ans, cocktail dînatoire, table ronde et lancement
20 mai : Les créations de Julie Bramond au Marché artisanal de la paroisse
14 au 18 août : La 9e École d’été sur l’agriculture urbaine de l’UQAM

Autres activités :

Jusqu’au 7 mai : Exposition 10 000 logements, 10 000 foyers de changement!
20 avril : Lancement de la revue À bâbord, dossier sur les 50 ans des cégeps
21 avril : Bar des sciences sous le thème Marcher pour la science, une affaire de démocratie
22 avril : Jour de la Terre : marche pour la science
24 avril : Soirée Relations : violences faites aux femmes, le Québec à un tournant?
25 et 26 avril : Journées bilan et perspectives sur la situation des femmes immigrées et racisées
26 avril : Table ronde : aspects de gestion de la propriété intellectuelle du droit d’auteur
26 avril : Spectacle au bénéfice du Centre de prévention des agressions de Montréal
1er mai : Marche de la Fête internationale des travailleuses et des travailleurs
4 mai : La 9e soirée bénéfice de la Ligue des droits et libertés
5 mai : Visite guidée de Montréal sur le thème de la santé mentale
10 mai : Manifestation pour la dignité des personnes assistées sociales
13 mai : Onzième rassemblement d’opposition aux électrochocs
15 mai : Impacts de l’austérité sur les conditions de vie et de santé des personnes âgées
17 mai : Journée de réflexion sur le développement social et la philanthropie
18 au 20 mai : Les États généraux de l’enseignement supérieur
24 mai : Soirée de célébration du 70e anniversaire de fondation de l’ICÉA
25 mai : Soirée-bénéfice d’Au bas de l’échelle
14 au 17 août : École d’été en pédagogie de l’enseignement supérieur
15 au 17 août : Conférence Réalités LGBTTIQA2S : nos luttes, nos victoires, nos défis!
19 et 20 octobre : Colloque national en itinérance : Responsabilités collectives et pratiques croisées

Messages et documents du SCCUQ :

Les Syndicats de l’UQAM s’opposent à la construction d’un nouvel édifice de HEC au centre-ville de Montréal
Réflexion du SCCUQ sur la décentralisation des ressources
Réactions du SPUQ au Rapport sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire à l’UQAM
Réactions du SPUQ au Rapport sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire à l’UQAM (2)
Transformation institutionnelle à l’UdeM : le mémoire du SCCCUM
Consultation ministérielle en enseignement supérieur : orientations de la FNEEQ
Mémoire présenté par la CSN (avec la FNEEQ et la FP) sur le projet de création du Conseil des universités du Québec.

 
 
Entre vous et moi

Près de 150 étudiantes et étudiants, en pleine période d’examens, ont occupé la bibliothèque centrale de l’UQAM pour la deuxième fois mercredi soir. Leur revendication concernant les heures d’ouverture des bibliothèques, les moins bonnes de toutes les universités montréalaises, est juste et simple. La solution l’est tout autant et ne coûte pas une fortune. Un tout petit peu moins d’argent dans le clocher et un tout petit peu plus dans les bibliothèques. Comme l’impression qu’une personne fait un trip de pouvoir en ne voulant pas céder et que pour en arriver à un règlement elle devrait être tassée du dossier. Une dernière bonne action avant votre départ, M. le recteur?

Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ

 
 
SCCUQ
 
 
Assemblée générale statutaire du SCCUQ : des élections à la vice-présidence aux relations intersyndicales et au CAART

La période de mises en candidature pour les postes en élection lors de l’assemblée générale statutaire du SCCUQ du lundi 24 avril à 12h30 au R-M110 (Pavillon des Sciences de la gestion) est terminée. Trois candidats se présentent à la vice-présidence aux relations intersyndicales soit Olivier Aubry, Ricardo Peñafiel et Jean-Baptiste Plouhinec et deux candidats convoitent le poste au Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART) soit Robert Drouin et Kerwin J. Myler. Seule Gaëlle Breton-Le Goff se présente à la vice-présidence à la convention collective, il en est de même pour Hélène Belley au secrétariat général, Marie Bouvier à la trésorerie ainsi que Jean Régnier et Mariève Ross aux deux postes au Comité mobilisation-intégration (CMI). Ces cinq personnes seront élues par acclamation si aucun membre ne demande le vote. Raymond Bréard a soumis sa candidature au Comité de surveillance des finances, Jean-Pierre Girard au Comité de perfectionnement et de mise à jour des connaissances, Sylvain Gaudette au Comité de vérification du double emploi, Samir Moukal au Comité conseil pour le développement international, Solange Pronovost au Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique, Scott McKay au Comité institutionnel d’application de la politique en matière d’environnement (Chiraz Ghozzi au poste de substitut) et Michel Ratté au Comité permanent de révision du Règlement no 18 sur les infractions de nature académique (ce dernier poste est pour un mandat de trois ans, tous les autres sont pour des mandats de deux ans). Au point trésorerie vous recevrez le rapport de l’auditeur indépendant et les états financiers 2016, les résultats réels comparés au budget 2016, le rapport du Comité de surveillance des finances et une proposition d’affectation au Fonds de défense professionnelle. Toutes les personnes chargées de cours sont les bienvenues.

 
 
Discussion sur l’enseignement supérieur et le financement des universités, le 25 avril

Afin de préparer les États généraux de l’Enseignement supérieur (ÉGES) qui auront lieu à Québec du 18 au 20 mai 2017, le SCCUQ invite ses membres à une rencontre préparatoire. Les thèmes abordés aux ÉGES porteront notamment sur le financement public de l’enseignement supérieur, les missions des réseaux en enseignement supérieur et l’accessibilité aux études supérieures. Cette rencontre aura lieu le mardi 25 avril 2017 à partir de 12h au lieu social du Syndicat (A-R540) en présence de Sylvain Marois (vice-président du regroupement université de la FNEEQ) et Jean Murdock (secrétaire général et trésorier de la FNEEQ). Étant donné qu’un lunch sera offert, vous devez confirmer votre présence à Olivier Aubry, vice-président aux relations intersyndicales (poste 6741# ou aubry.olivier@uqam.ca).

 
 
Conférence sur la retraite le 1er mai

La trésorière du SCCUQ, Marie Bouvier, tiendra une conférence sur la retraite le lundi 1er mai de 12h30 à 14h au lieu social du Syndicat, local A-R540. Tous les membres sont invités et trouveront des réponses à leurs questions. Une confirmation est requise car un lunch sera servi. Les personnes intéressées doivent laisser un message au 514 987-3000 poste 3720 d’ici le 27 avril à 17h.

 
 
Conseil syndical élargi du 3 mai : rencontre avec les candidates et candidats au rectorat de l’UQAM

Le SCCUQ recevra les candidates et candidats au rectorat de l’UQAM le mercredi 3 mai, à midi, au DS-M425 (Pavillon J.-A.-De Sève) dans le cadre d’un conseil syndical élargi. Les déléguées, délégués et autres membres présents auront alors l’occasion d’échanger avec les personnes dont le comité de sélection aura retenu la candidature, soit madame Monique Brodeur, madame Corinne Gendron et monsieur Luc-Alain Giraldeau. Les personnes présentes discuteront également des propositions que le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM entend amener au 65e Congrès de la CSN. Les points Rapport des déléguées et délégués et Dons de solidarité sont aussi à l’ordre du jour.

 
 
Assemblée annuelle du Régime de retraite des chargées et chargés de cours le 3 mai

L’assemblée annuelle du Régime de retraite des chargés de cours de l’Université du Québec se tiendra le mercredi 3 mai, à 17h, au lieu social du SCCUQ (A-R540). Il sera question d’administration du régime et de placements. Un léger goûter (vin et fromages) sera servi. Toutes les cotisantes et tous les cotisants au régime sont la bienvenue.

 
 
Lettre d’entente pour les personnes chargées de cours qui enseignent au DESS-CPA

Une lettre d’entente relative à l’indemnité ou à la rémunération versée pour des activités de correction critique des examens communs du DESS-CPA a été conclue au début du mois d’avril. Cette lettre d’entente permet à des personnes chargées de cours qui répondent aux EQE d’obtenir des heures de correction critique dans le cadre des examens communs du programme de DESS-CPA. La lettre d’entente prévoit que l’Université offrira en priorité des heures de correction aux personnes chargées de cours qui assument des charges de cours au DESS-CPA sous réserve de répondre aux EQE pour les corrections. Les personnes chargées de cours qui répondent aux EQE mais qui n’enseignent pas de cours au DESS-CPA seront ensuite sollicitées.

Les corrections seront rémunérées 63$ de l’heure incluant les avantages sociaux et les vacances, mais ne permettront pas d’obtenir du pointage. Le nombre d’heures de correction critique devra s’approcher de la cible de 20,25 heures par charge de cours de 45 heures assumée. Les personnes chargées de cours qualifiées et intéressées à faire des heures de correction critique dans le cadre des examens communs du DESS-CPA, doivent donc contacter la direction du Département des sciences comptables avant chaque trimestre.

 
 
Prochaine date de dépôt pour les projets d’intégration : le 5 mai

La prochaine date de dépôt pour les projets d’intégration (plan annuel) est le vendredi 5 mai. Nous vous invitons à consulter ainsi qu’à utiliser le formulaire mis à jour pour transmettre par courriel votre projet auprès du Comité de liaison local (CLL) de votre unité afin qu’il soit étudié et approuvé. Votre CLL assurera la transmission des projets en 8 exemplaires auprès du Comité de liaison institutionnel (CLI), et ce pour le 19 mai.

 
 
Une convention signée, un nouveau taux de rémunération
Signature

La nouvelle convention UQAM-SCCUQ a été officiellement signée le 4 avril par les membres des deux comités de négociation, le recteur, Robert Proulx, et la présidente du SCCUQ, Marie Blais, en présence d’autres membres de la direction de l’UQAM et du comité exécutif du SCCUQ. Certaines modifications s’imposent quant au taux de rémunération des projets d’intégration et à la participation aux réunions.  À partir du 1er avril, la participation aux réunions et les heures travaillées dans le cadre des projets d’intégration seront rémunérées à 47$ de l’heure. Conséquemment, nous vous demandons de réclamer les heures travaillées avant le 1er avril à 45$/heure et les heures travaillées après le 1er avril à 47$/heure. Les réclamations doivent être faites sur des formulaires distincts pour faciliter le traitement rapide des demandes de payement. Pour plus d’information, vous pouvez contacter les membres du CMI: Nathalie Blanchet, Mariève Ross, Jean Régnier ou Yvette Podkhlebnik, vice-présidente aux affaires universitaires.

 
 
Le bilan du travail effectué par les officières et officiers du SCCUQ pour l’année 2016-2017 est en ligne
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Le bilan des activités de chaque poste au Comité exécutif ainsi que ceux du Comité des agentes et agents de relations de travail et du Comité mobilisation-intégration pour l’année 2016-2017 est en ligne sur le site du SCCUQ. La version imprimée du SCCUQbil@n, qui inclura le détail des états financiers, sera disponible lors de l’assemblée générale statutaire du 24 avril.

 
 
Bienvenue dans l’univers de l’intégration
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Le Comité mobilisation-intégration et la vice-présidence aux affaires universitaires vous proposent une version à la fois ludique et informative du SCCUQ Intégration. • Vous désirez en savoir davantage sur l’intégration? • Vous êtes curieuse ou curieux de découvrir les réalisations de vos collègues et de lire leur témoignage sur l’impact du soutien financier que permet notre convention collective avec les projets d’intégration? • Vous aimeriez savoir quels types de projet sont recevables? • Vous souhaitez avoir un portrait statistique des projets d’intégration? • Vous envisagez de connaître la procédure à suivre pour déposer un projet? Ce SCCUQ Intégration est pour vous! Des exemplaires imprimés seront bientôt distribués dans les différents départements et écoles de l’UQAM.

 
 
Babillard des membres
 
 
Emmanuel Schwartz, Sara Mathieu-Chartier et Anne-Sophie Letellier au palmarès du magazine Urbania
UrbaniaBabillard

Pour une deuxième année consécutive, le magazine Urbania présente une liste des 50 personnalités qui créent l'extraordinaire. Le chargé de cours à l’École supérieure de théâtre Emmanuel Schwartz ainsi que les chargées de cours Sara Mathieu-Chartier (Sexologie) et Anne-Sophie Letellier (École des médias) figurent sur la liste de ces Québécois «qui changent les règles du jeu». Les lauréats ont été sélectionnés par les lecteurs d'Urbania, par d'anciens lauréats et par un comité d'experts provenant des domaines de l'éducation, de la culture et du divertissement, de la techno, des médias, de la bouffe, de l'art et du design, du politique et du communautaire, des sciences, des sports et de l'entrepreneuriat, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Édith-Anne Pageot donnera un nouveau cours intitulé Les arts autochtones et les institutions culturelles au Canada

Le Département d'histoire de l'art offrira à l'automne 2017 un nouveau cours intitulé «Les arts autochtones et les institutions culturelles au Canada». Donné par la chargée de cours à l’École des arts visuels et médiatiques Édith-Anne Pageot, ce cours s'adresse à tous les étudiants de premier cycle. Il propose un examen critique d'événements ayant marqué la diffusion et la médiation culturelle des arts autochtones au Canada au cours du 20e siècle. «Nous nous pencherons sur les discours critiques et les pratiques institutionnelles qui ont orienté les activités de collection, d'exposition, d'acquisition et de réception des corpus d'art autochtone», précise l’enseignante à Actualités UQAM.

 
 
Sandria P. Bouliane publie un texte sur le foisonnement musical de Montréal

La place de Montréal dans le monde de la musique et de la culture au Québec n’est plus à faire. La densité de sa population, l’abondance de ses ressources et son rôle socioéconomique en font un pôle incontournable. Au Canada, cette place est partagée avec ses soeurs, Toronto et Vancouver. La musique prend part au bouillonnement artistique montréalais et fait rayonner la culture québécoise. Pourtant, il n’y a encore aucun ouvrage scientifique substantiel sur l’histoire de la musique au Québec, écrit la chargée de cours au Département de musique Sandria P. Bouliane dans Le Devoir.

 
 
Madeleine Goubau a animé la période de questions de la conférence Mat’Inno

Tenue pour la première fois à l'UQAM, la conférence Mat'Inno du 13 avril avait pour thème Mode et design et réunissait les professeures Marie-Ève Faust de l'École supérieure de mode (ESM), et Joanna Berzowska, vice-doyenne à la recherche de la Faculté des beaux-arts de l'Université Concordia. Les deux chercheuses disposaient d'une dizaine de minutes chacune pour présenter leurs travaux. Elles étaient par la suite invitées à participer à une période de questions animée par Madeleine Goubau, chargée de cours à l'ESM et journaliste spécialisée en mode à Radio-Canada, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Les étudiants de Lukas Di Blasio-Brochard et Guillaume Cliche-Rivard remporte le concours de Simulation des Nations Unies

La délégation étudiante de la Faculté de science politique et de droit (FSPD), qui représentait l'Éthiopie, a obtenu de nouveau la plus haute distinction (prix Outstanding Delegation) dans le cadre de la dernière édition du concours de Simulation des Nations Unies (National Model United Nations) qui avait lieu à New York, du 19 au 23 mars (conférence A) et du 9 au 13 avril (conférence B). La délégation était accompagnée des chargés de cours à la FSPD Lukas Di Blasio-Brochard et Me Guillaume Cliche-Rivard et de Pierrick Pugeaud, adjoint au doyen de la Faculté. Cette compétition, la plus importante du genre, réunit annuellement plus de 5000 étudiants en provenance des cinq continents, chacune des délégations représentant un pays membre de l’ONU, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Monde syndical
 
 
Jour de la Terre : marche pour la science le 22 avril
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Le samedi 22 avril, sortons de nos labos et de nos bureaux pour marcher ensemble pour la Terre, à 12h, départ de la Place Émilie-Gamelin. L’histoire récente nous a enseigné à la dure que des politiques anti-science sont dommageables à court, moyen et long terme. Mais nous savons aussi qu’il est possible de contribuer au renversement d’une telle situation en unissant nos énergies pour défendre la science et son rôle critique dans notre société. Le 22 avril, rejoignez les scientifiques canadiens, américains et de partout à travers le monde pour marcher en solidarité avec nos voisins afin de protéger la science. Le Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM-CSN) et l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université soutiennent cet événement. L’ACPPU vous encourage vivement à vous joindre aux nombreuses marches satellites organisées au Canada. La marche de Montréal est également organisée par la Coalition Vigilance oléoducs.

 
 
Joignez-vous à la marche du 1er Mai
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Le 1er mai, c’est la Fête internationale des travailleuses et des travailleurs. Ce sera l’occasion de réitérer nos revendications au sein de la coalition 5-10-15. Notamment que • Chacun puisse connaître son horaire de travail au moins cinq jours à l’avance ; • Chacun puisse bénéficier de 10 jours de congés payés par année pour cause de maladie ou de responsabilités familiales ; • Le salaire minimum soit rehaussé à 15$ l’heure. Vous êtes invité à vous joindre à nous en grand nombre pour la marche du 1er Mai. Cette année, la marche se fera sous le thème Le travail pas à n'importe quel prix! Le départ de la marche se fera à 18h du parc Jean-Brillant, métro Côte-des-Neiges.

 
 
L’exercice des recours par les travailleuses et les travailleurs deviendra plus difficile

Le 5 octobre, le Tribunal administratif du travail (TAT) faisait publier à la Gazette officielle du Québec un projet de règlement sur ses règles de preuve et de procédure. Ce règlement remplacera les règles de la Commission des lésions professionnelles (CLP) et de la Commission des relations du travail (CRT) qui étaient toujours en vigueur malgré la fusion des deux tribunaux le 1er janvier 2016. Le 19 avril 2017, le nouveau règlement a été publié à la Gazette officielle sans aucune modification malgré le fait que de nombreuses organisations aient soulevé plusieurs problèmes. Le règlement entrera en vigueur le 4 mai 2017. Un survol des principaux problèmes avec le projet de règlement sur les règles de preuve et de procédure du TAT nous permet de constater que les travailleuses et travailleurs accidentés ou malades pourraient faire face à plus grande rigidité procédurale qui pourrait faire en sorte que l’exercice de leurs droits et recours serait entravé de façon importante.

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Soutenir le retour au travail et favoriser le maintien en emploi: un ouvrage à consulter

Soutenir le retour au travail et favoriser le maintien en emploi a été conçu pour aider les milieux de travail à mettre en place une démarche d’accompagnement et de soutien au retour au travail. L’originalité de celui-ci est à plusieurs niveaux, d’une part parce que le fondement de cette démarche est de reconnaître que le travail joue un rôle central sur la santé psychologique et qu’afin de faciliter le rétablissement et viser le maintien au travail, il faut nécessairement tenir compte des situations de travail qui ont contribué au problème de santé du point de vue du travailleur en absence. La CSN est fière de reconnaître l’apport positif de cet ouvrage portant sur le retour au travail et recommande fortement à ses syndicats affiliés d’en prendre connaissance.

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Élèves en difficulté : il est de la responsabilité du ministre de savoir, dit la CSQ

Les propos du ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, concernant les élèves en difficulté, ont fait sourciller beaucoup de monde. La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) et ses fédérations du réseau scolaire, la FSE, la FPSS et la FPPE sont du nombre. Les organisations syndicales ont réagi fortement au laxisme du ministère, incapable de donner un portrait juste des besoins des élèves en difficulté, qui sont en attente pour des services dans les écoles publiques du Québec. Quand le ministre dit qu’il préfère l’action à la collecte de données, les organisations syndicales réitèrent qu’on ne peut agir adéquatement sans avoir un portrait d’ensemble. Chaque jour, le personnel de l’éducation est à même de constater l’étendue des besoins et voit l’écart s’accentuer entre ceux-ci et les services offerts. Les ressources manquent et il y a très peu de moyens pour agir.

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Des bourses d’études pour les jeunes en difficulté et sans-abri.
Les Journées de l'engagement jeunesse dans les écoles secondaires feront le tour du Québec.

 
 
Négociation dans les CPE : 3500 travailleuses en colère contre une association d’employeurs

Environ 3500 travailleuses et travailleurs œuvrant dans 133 CPE du Québec, dont la moitié à Montréal et à Laval, ont participé mercredi à des actions de visibilité dans leur CPE. Elles dénoncent le fait qu’elles sont toujours dans l’impossibilité de renouveler leur convention collective, plus de deux ans après son échéance. L’Association patronale nationale des centres de la petite enfance (APNCPE), qui regroupe le tiers des 400 CPE syndiqués à la FSSS–CSN, refuse de joindre la table nationale de négociation où des échanges se poursuivent depuis décembre avec d’autres associations d’employeurs et le ministère de la Famille. «Ce qui est en jeu ici, c’est le maintien, l’amélioration et l’uniformisation des conditions de travail qui contribuent à stabiliser la main-d’œuvre et à offrir un haut niveau de compétence et de savoir-faire», soutient Nathalie Fontaine, 1re vice-présidente à la négociation du STCPEML–CSN.

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Attente aux urgences : du camouflage de patients, selon des intervenants

Patients stationnés dans des salles de réunion. Chambres conçues pour accueillir deux patients qui en hébergent en fait trois. Congés donnés en vitesse à des malades... Afin de répondre à la demande du ministre de la Santé, Gaétan Barrette, de régler en une semaine le problème de l'attente aux urgences, les hôpitaux adoptent différentes approches qui s'apparentent à du camouflage de patients, soutiennent divers intervenants du réseau de la santé. «C'est le bordel. C'est la panique totale. C'est rendu que bien paraître est plus important que le bien-être des patients», dénonce Janel Etchie, présidente locale du syndicat de l'APTS au Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de la Montérégie-Centre.

Lire la suite du texte de La Presse.

 
 
Vente des hebdos régionaux de Transcontinental : des mécanismes efficaces de protection de l’information régionale s’imposent

La Fédération nationale des communications (CSN) est inquiète de l’annonce par Transcontinental de la vente d’hebdos au Québec et en Ontario, et s’active pour que le droit du public à l’information et l’intérêt des travailleuses et des travailleurs concernés soient préservés. «De telles ventes entraînent toujours leur lot de restructurations et participent à l’érosion de l’information régionale qui est déjà mal en point. Le gouvernement aurait dû agir davantage pour protéger la qualité de l’information et ainsi soutenir les médias régionaux. Ce qui a été annoncé à cet effet dans le dernier budget est nettement insuffisant puisqu’une bonne partie de l’argent prévu est réservée aux médias indépendants et communautaires, et donc exclut de facto les médias de Transcontinental», souligne la présidente de la Fédération nationale des communications, Pascale St-Onge.

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Centralisation chez Hydro-Québec : le SCFP et la FTQ sont très préoccupés pour l’emploi en région

Ayant participé cette semaine à la Commission de l’administration publique à l’Assemblée nationale, des membres de la section locale 1500 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP-FTQ) et des représentants des conseils régionaux de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) sont inquiets des impacts que la centralisation des emplois et des achats chez d’Hydro-Québec aura sur le développement économique et social des régions.

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Le Syndicat des employés municipaux de Rivière-du-Loup dépose une plainte pour négociation de mauvaise foi

Le Syndicat des employés municipaux de Rivière-du-Loup (FEESP–CSN) a déposé mardi une plainte auprès du Tribunal administratif du travail, pour négociation de mauvaise foi de la part de la Ville. Alors que la convention collective est échue depuis fin décembre 2016, seulement trois rencontres de négociation ont été tenues. Plutôt que de poursuivre les discussions, l’employeur a choisi de se retirer de la table et de rompre le processus. Il use de prétextes afin d’écouler les 150 jours civils prévus pour la négociation avant l’intervention d’un médiateur nommé en vertu de la loi 24. «L’employeur doit s’asseoir avec nous et prendre le temps de négocier. Nos demandes sont tout à fait raisonnables, légitimes et nous pensons que des discussions constructives sont encore possibles», déclare Jean Soucy, président du syndicat.

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Monde de l’éducation
 
 
Cure d'embellissement pour l'UQAM

L'Université du Québec à Montréal (UQAM) aura droit à une cure de rajeunissement en vue de son 50e anniversaire. Les trois ordres de gouvernement investissent au total 35 millions de dollars pour retaper le pourtour des pavillons Hubert-Aquin et Judith-Jasmin. Les travaux débuteront cet été par la réfection du clocher de l'UQAM et l'aménagement d'espaces publics à sa base. Il s'agit des travaux les plus dispendieux, car le clocher, construit à la fin du 19e siècle, est en mauvais état. Comme il est classé monument historique par la province, c'est Québec qui paiera les travaux estimés à un peu plus de 13 millions de dollars. L'appel d'offres a été lancé à la mi-avril.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

Vers le 50e de l'UQAM.

 
 
Un Bar des sciences le 21 avril sous le thème Marcher pour la science, une affaire de démocratie
UnBarSciences

Le Conseil d’administration de l’Acfas salue l’initiative citoyenne américaine March for Science et invite les chercheurs et les citoyens à venir marcher pour la science à Montréal et dans 17 autres villes au pays. En effet, le jour de la Terre, le samedi 22 avril 2017, partout dans le monde, des citoyens marcheront pour la science. Ces marches soulignent l’importance de la recherche, du savoir et des sciences pour le développement des individus et des collectivités. Elles sont également un rappel à la société de l’importance de promouvoir la création de ces savoirs pour la constitution d’une véritable société du savoir. L’Acfas appuie tout particulièrement la dimension démocratique de l’initiative March for Science, où il est dit que si la science éclaire la prise de décision politique, les décisions politiques, pour leur part, influencent profondément l’avenir de la science. En plus d’appuyer la tenue de cette marche, l’Acfas contribuera en organisant en amont de cet événement un Bar des sciences sous le thème Marcher pour la science, une affaire de démocratie. Il se tiendra le vendredi 21 avril, de 17h à 19h dans le Vieux-Montréal au Bar l’Assommoir (211, rue Notre-Dame Ouest).

 
 
Québec veut des initiations exemplaires sur les campus : il souhaite imposer des balises claires

Québec documentera les situations à risque et les meilleures pratiques lors des initiations sur les campus universitaires afin d’imposer des balises claires pour encadrer ces activités qui mènent parfois à des dérapages. Pour y arriver, le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur vient d’octroyer un contrat aux responsables de la campagne Sans oui, c’est non!, qui vise à prévenir la violence sexuelle sur les campus. Leur mandat consiste à faire une recension de la littérature scientifique sur le sujet, à réaliser une cueillette d’informations auprès des associations étudiantes et des établissements universitaires québécois et à produire des recommandations, explique Mélanie Rembert, directrice de la campagne.

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Des étudiants montréalais créent la maison écolo de demain

Une équipe multidisciplinaire d'étudiants universitaires travaille à créer une maison écoénergétique abordable et adaptée à la réalité montréalaise en puisant son inspiration dans l'architecture chinoise. Thierry Syriani, architecte d'intérieur au sein de cette équipe, explique sa démarche et décrit l'avancement du projet. TeamMTL est formée de 40 étudiants provenant de 9 facultés différentes des universités McGill et Concordia. Elle participe à la compétition internationale Solar Decathlon, où elle est la seule représentante canadienne.

Lire la suite du texte et écouter l’entrevue de Radio-Canada.

 
 
À qui profite la recherche universitaire?

Payante, la recherche à l'Université Laval? Certainement pas pour l'établissement universitaire qui prend une bonne partie du risque financier sur ses épaules. Les retombées économiques de la valorisation de la recherche et de la propriété intellectuelle à l'Université Laval se multiplient plutôt dans la communauté. Comment? Par l'émergence de sociétés dérivées innovantes d'envergure internationale. Par la création d'emplois de qualité.

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Quand un groupe d’universitaires se penche sur la littérature québécoise

Car il faut bien finir par en revenir… dans les romans du moins. Le combat du Québec pour son indépendance, tel qu’incarné dans sa littérature des années 1960 et 1970, a toujours fasciné le professeur de lettres Peter Klaus, de la Freie Universität Berlin, qui était de passage cette semaine au pays pour recevoir l’Ordre national du Québec des mains de Philippe Couillard. C’était mercredi dernier. Avec passion et détermination, l’homme fait rayonner en effet la littérature québécoise en Allemagne depuis le début des années 1980. Il a fréquenté Gaston Miron, Dany Laferrière, Jacques Lanctôt, Marie Laberge, et tant d’autres.

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Nouveau-Brunswick : une campagne pour dénoncer les stages non rémunérés
NouveauBrunswick

Les étudiants continuent d'espérer que le gouvernement provincial allège leur fardeau financier. La Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) lançait mardi la campagne #Monstagemeruine, dénonçant les stages obligatoires non rémunérés. Ils demandent de l’aide financière à la province pour réaliser leurs stages non rémunérés. Selon les étudiants, c’est au sein de la fonction publique que la majorité de ces stages sont réalisés. En plus de payer leurs droits de scolarité, les stagiaires doivent souvent se procurer toute une gamme de matériel relié à leur stage.

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À la découverte de l'«UQAM» indienne

Comme à Montréal, il y a quatre grandes universités dans la capitale de l'Inde, New Delhi. Celle qui est la plus à gauche politiquement s'appelle Jawaharlal-Nehru (JNU), et ses étudiants ont la particularité d'orner les bâtiments de gigantesques dessins, des sortes d'œuvres d'art militantes. Visite.

Un photoreportage de Thomas Gerbet, correspondant en Inde pour Radio-Canada.

 
 
L’Amérique latine, véritable fer de lance de la privatisation de l’éducation à travers le monde

Un nouveau rapport, intitulé Privatisation de l’éducation en Amérique latine: vue d’ensemble des politiques, des développements et des tendances (uniquement en espagnol), révèle que l’Amérique latine est la région du monde qui a connu la croissance la plus constante en termes de privatisation de l’éducation ces dernières décennies. La région se distingue non seulement par le taux de scolarisation le plus élevé au monde dans l’enseignement primaire privé, mais également par la croissance la plus constante en termes de services d’éducation privés. Cette tendance se dessine également pour l’enseignement secondaire, pour lequel l’Amérique latine est au coude à coude avec l’Afrique subsaharienne en termes de région affichant le taux de scolarisation le plus élevé dans l’enseignement privé.

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Monde social
 
 
Salaires inégaux, à qui la faute ?

Le 21 novembre 1996, l’Assemblée nationale du Québec adoptait à l’unanimité la Loi sur l’équité salariale, qui exige que les entreprises d’au moins dix salarié·e·s offrent «un salaire égal pour un travail différent, mais équivalent». Deux décennies plus tard, et ce, malgré le ton triomphal utilisé par certains commentateurs, les questions d’égalité de rémunération hommes-femmes sont toujours d’actualité. Même si certaines avancées sont indéniables, il est important de garder à l’œil les écarts qui restent à combler. Dans cette note socioéconomique, l’IRIS propose de mieux comprendre et repérer l’évolution des écarts salariaux entre les hommes et les femmes au Québec, afin de mettre en lumière la discrimination systémique que vivent encore les femmes sur le marché du travail. Nous verrons qu’on ne peut réduire les écarts salariaux qui existent encore aujourd’hui à de simples différences de choix entre les femmes et les hommes.

 
 
Visite guidée de Montréal sur le thème de la santé mentale le 5 mai

Pour la vingt-deuxième année consécutive, Action Autonomie, le collectif pour la défense des droits en santé mentale de Montréal, organise une visite guidée de Montréal portant sur la santé mentale le vendredi 5 mai. Sous le thème «Pour voir les choses autrement», cette activité s’inscrit dans le cadre de la semaine nationale de la santé mentale.  Elle s’adresse aux personnes utilisatrices des services, aux intervenantes et intervenants ainsi qu’à toute personne désireuse d’en savoir un peu plus sur l’évolution des droits en santé mentale. Le départ se fait à 13h30 à la Grande Bibliothèque au coin des rues Berri et de Maisonneuve et le retour est prévu au même endroit pour 16h30.  La visite est gratuite.  L’inscription est obligatoire, le nombre de places est limité.

 
 
Manifestation pour la dignité des personnes assistées sociales le 10 mai
ManifDignite

La Coalition Objectif Dignité se joint au Front commun des personnes assistées sociales du Québec pour organiser une manifestation contre le projet de loi 70, pour que le chèque d'aide sociale réponde aux besoins de base et pour l'accès sans condition à l'aide de dernier recours le mercredi 10 mai à 13h, départ du 2515 rue Delisle, à Montréal (Métro Lionel-Groulx). Le projet de loi 70 et le programme Objectif emploi ont été adoptés en novembre dernier, mais ne sont pas encore appliqués. Il s'agit d'un recul majeur pour le droit des personnes à l’aide sociale. Une personne qui demande pour la première fois l’aide sociale devra suivre un «plan d’intégration» sous peine de voir son chèque coupé. 404$ par mois pour survivre, c’est inhumain!

 
 
Onzième rassemblement d'opposition aux électrochocs le 13 mai

À l’occasion de la Fête des Mères, un important rassemblement aura lieu le samedi 13 mai à 11h sur la place Émilie-Gamelin, à Montréal pour demander l’abolition des électrochocs en psychiatrie. Les deux tiers des électrochocs sont donnés à des femmes. Selon des données obtenues par le comité Pare-chocs, 50% des électrochocs seraient donnés à des femmes de 50 ans et plus et 41% à des personnes âgées de 65 ans et plus. Près de 10% seraient administrés à des femmes de 80 ans et plus. Rappelons que selon une étude récente les électrochocs causent plus de dommage chez les femmes et les personnes âgées. Le nombre de séances d’électrochocs avait doublé au Québec entre 1988 et 2003. Aujourd’hui, on les compte toujours par milliers. S’il n’est pas immédiatement aboli, ce traitement doit être placé sous haute surveillance et faire l’objet d’un débat public.

 
 
Journée de réflexion sur le développement social et la philanthropie le 17 mai

Dans le cadre de sa tournée la Coalition des tables régionales d’organismes communautaires (CTROC) invite les organismes communautaires, tables de concertation, tables de quartier,  regroupements et partenaires ayant un intérêt pour la philanthropie et le développement social à une journée de réflexion sur le développement social et la philanthropie le 17 mai 2017, de 9h à 16h, à la salle 100 du Centre St-Pierre. Avec l’importance grandissante du développement social dans la lutte à la pauvreté, on assiste à un déplacement des responsabilités de l’État vers la municipalité et les fondations. De nouveaux acteurs se voient confier des mandats ou s’intègrent aux concertations en place.

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Légalisation du cannabis : maintenant on fait quoi?

Le gouvernement fédéral a déposé son projet de loi sur la légalisation du cannabis. Les réactions sont nombreuses et malgré les doutes qui perdurent chez plusieurs intervenants (par exemple ici, ici et ici), il est temps maintenant d’être pragmatique. Que l’on soit pour ou contre, le pot sera légal le 1er juillet de l’an prochain. Le défi alors est d’utiliser la prochaine année pour mettre en place le cadre le plus sécuritaire pour la distribution de ce produit. Chose certaine, l’ouverture manifestée par le gouvernement Couillard au sujet du recours à une société d’État est bon signe pour l’avenir. Il ne reste qu’à espérer que d’ici l’an prochain, certains intérêts particuliers ne viendront se mettre au travers de la route pour faire déraper ce qui pourrait être une manière responsable de mettre fin à la prohibition du cannabis.

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Pétition pour mettre fin aux enlèvements et aux meurtres d'homosexuels en Tchétchénie

Le 1er avril dernier, le quotidien indépendant russe Novaya Gazeta a révélé que des centaines d’hommes, perçus comme étant homosexuels, avaient été enlevés, torturés, voire même tués en toute impunité, dans le cadre d’une campagne coordonnée. Les réactions des autorités tchétchènes à ces informations ont varié du déni au refus de les prendre au sérieux, en passant par des menaces supplémentaires à peine voilées. Le journal russe Novaya Gazeta et les journalistes ont à leur tour reçu des menaces. C'est inadmissible! Amnistie internationale vous incite à demander au président du Comité d’enquête de la Fédération de Russie de mener une enquête sur ces enlèvements et de traduire les responsables en justice.

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J'aurais voulu être comptable

Quelle est votre saison préférée? L’été et ses chauds rayons? L’hiver et sa neige moelleuse? Le printemps où tout se réveille telle une promesse? L’automne multicolore? Peu importe votre réponse, ce ne sera sûrement pas la saison des impôts. Je vous le dis sincèrement, j’aime les impôts à l’année sauf en avril. Comme nombre de personnes, je me retrouve à crouler sous les papiers, les factures, les reçus, à chercher à quel crédit on a droit, à me creuser la tête pour voir si je n’aurais pas oublié le détail qui pourrait me coûter des centaines voire des milliers de dollars. Il pourrait pourtant y avoir une solution. Et si on nationalisait... les impôts?

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Un bilan de l’itinérance

Il ne fait plus -20 degrés et la neige a fondu, mais vivre dans la rue n’est pas pour autant devenu agréable. L’itinérance reste un problème 365 jours par année. Au-delà des effusions de générosité à Noël, en fait-on assez? Une année après la nomination du premier Protecteur des itinérants de Montréal, un bilan s’impose. On commence enfin à trouver des élus de bonne foi pour épauler les intervenants sur le terrain. On dépense un peu plus et un peu mieux, mais le travail à faire reste énorme. En fait, il commence à peine.

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Jeunes, immigrants… et itinérants : «Ils perdent tous leurs repères»

Pour le commun des mortels, les jeunes de la rue ont tous le même visage. Mais pour les intervenants qui œuvrent directement auprès de cette clientèle, la réalité est beaucoup plus complexe. Et se dote de nouvelles embûches jour après jour. «Nous observons depuis quelque temps un plus grand nombre de jeunes immigrants fraîchement débarqués à Montréal qui, pour diverses raisons, se retrouvent dans la rue, explique Cécile Arbaud, directrice générale de l’organisme Dans la rue. On ne voyait pas cela il y a quelques années.» Le cas typique est celui d’un jeune que les membres de la famille «élisent» pour venir étudier à Montréal. Les économies de la famille servent à financer cette opération. Le jeune subit alors une énorme pression. Pour différents motifs (barrière de la langue, choc culturel, maladie mentale, etc.), il rencontre un échec scolaire et, privé d’argent, se retrouve à vivre dans la rue. Au bureau montréalais du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), on observe un autre phénomène, également en émergence. «On voit des jeunes parrainés et abandonnés par leur famille d’accueil», dit Denise Otis, conseillère juridique pour l’organisme.

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De la rue à l'université : zoom sur le travail de l'organisme Dans la rue.

 
 
Le Québec a perdu le quart de ses fermes laitières

Durant la dernière décennie, près de 2000 entreprises ont été rayées de la carte. La production laitière, en croissance, se concentre donc entre les mains d'un plus petit nombre d'agriculteurs. Au moment où le président américain Donald Trump met la production laitière canadienne sur la sellette, de nouvelles statistiques confirment un phénomène bien réel: d'année en année, le Québec perd des fermes laitières. La production de lait, elle, est en croissance. Ce qui accélère un phénomène de rationalisation et concentre la production entre les mains d'un nombre moindre d'agriculteurs qui ont de plus grosses entreprises. Il y a aujourd'hui 5408 fermes laitières dans la province, selon les tout derniers chiffres de l'Institut de la statistique du Québec. En 2006, c'est 7346 entreprises agricoles qui produisaient le lait québécois.

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L'agriculture et la foresterie dans l'Est-du-Québec : matériaux pour préparer l'avenir

Le rapport de recherche de l’IREC, rédigé par François L’Italien, David Dupont et Robert Laplante, apporte des solutions pour jeter les bases d’une nouvelle croissance et d’un autre développement en agriculture dans l’Est-du-Québec. Il ne faut pas seulement conserver les fermes existantes: il faut prendre les moyens pour en avoir davantage. L’agriculture peut regagner une place beaucoup plus importante dans la ruralité de l’Est-du-Québec, mais aussi de toutes les régions rurales, à la condition de créer de nouveaux liens et de jouer un rôle accru dans l’économie locale et régionale. Les années qui viennent seront cruciales. Les rencontres que nous avons faites avec les passionnés d’agriculture et de foresterie laissent espérer que le milieu sera à la hauteur des défis que lui pose son présent et que lui inspire l’avenir que les communautés veulent bâtir.

 
 
Crise des délais judiciaires : et si Jordan ouvrait la voie à une véritable remise en question ?

L’arrêt des procédures prononcé la semaine dernière dans l’affaire Thanabalasingham a suscité l’indignation. Selon nous, la solution durable au problème de l’engorgement des tribunaux n’est ni l’utilisation de la clause dérogatoire ni la recherche aveuglée d’une plus grande efficacité administrative. Certes, le système a depuis longtemps besoin de nouvelles ressources. Mais ce ne devrait pas être pour lui demander de criminaliser, d’accuser et de condamner davantage, mais moins. Le recours au droit criminel devrait être un outil de dernier recours, ce qui n’est pas le cas à l’heure actuelle. Car si notre système de justice ne parvient pas à juger les affaires de meurtre, ce n’est pas parce que nous n’avons pas les moyens de respecter les droits les plus fondamentaux ou parce que nous n’avons pas de juges ou de procureurs qualifiés pour s’acquitter de la tâche, mais bien parce que nous les occupons à autre chose.

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