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Le vice-recteur aux Ressources humaines, à l'administration et aux finances, André Dorion, nous réservait une bonne nouvelle lundi en désignant M. Nicolas Merveille, professeur au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale et cotitulaire de la Chaire internationale sur le cycle de vie, pour relancer les activités du Comité institutionnel d’application de la Politique en matière d’environnement. Le communiqué précisait également que les processus de désignation des membres du Comité, et ce, en conformité avec la Politique institutionnelle seraient enclenchés dans les prochains jours. Une bonne nouvelle parce que la mise en veilleuse de ce comité a permis à d’autres universités (comme l’Université de Montréal et l’Université Laval) de prendre les devants en matière d’environnement et de développement durable. La Politique institutionnelle parle de l’utilisation de vaisselle réutilisable et du compostage des matières organiques. On pourrait aussi parler de l’élimination des bouteilles d’eau dans les pavillons de l’institution et de plusieurs autres aspects environnementaux. Beaucoup de travail sur la planche… de bois recyclé.
Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ
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Foulards, T-shirts et bouteilles disponibles pour les chargées et chargés de cours
Tout au long du processus de négociation de notre convention collective, le Comité mobilisation-intégration (CMI) a conçu des outils de visibilité de qualité pour les chargées et chargés de cours. Maintenant que l’entente a été ratifiée par les membres en assemblée générale, il nous reste des foulards, des t-shirts et des bouteilles à donner. Passez au bureau du Syndicat (local A-R540) et demandez Mariève, Nathalie ou Jean du CMI pour vous en procurer. Bienvenue à toutes et tous les membres.
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Conférence midi le 8 mars : Les femmes immigrantes et le travail, lorsque la discrimination se cache dans les marges de l’économie
Le 8 mars, le SCCUQ célébrera la Journée internationale des femmes en invitant ses membres à une conférence de Lucie Lamarche (Département des sciences juridiques) intitulée Les femmes immigrantes et le travail: lorsque la discrimination se cache dans les marges de l’économie. La conférence aura lieu à 12h30 dans la Salle des boiseries (J-2805). Étant donné qu’un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence à aubry.olivier@uqam.ca.
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Le 13 mars : conférence sur les finances de l’UQAM et conseil syndical élargi sur la décentralisation
Le Syndicat des chargées et chargés de cours invite ses membres le lundi 13 mars au local A-M050 (Pavillon Hubert-Aquin) à une conférence de M. Yvan Duceppe, de MCE Conseils, qui présentera une analyse des états financiers de l’UQAM, dédramatisant la situation. Cette conférence débutera à 12h30 et sera suivie d’un conseil syndical élargi sur le thème de la décentralisation de l’UQAM. Il sera également question du Programme de perfectionnement et du Réseau électrique métropolitain (REM). Un lunch sera servi. Nous vous attendons, déléguées, délégués et les membres, en grand nombre.
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Séance d'information pour les nouvelles personnes chargées de cours le 21 mars
Une séance d'information s'adressant particulièrement aux nouvelles personnes chargées de cours se donnera le 21 mars, à 12 h 30, au lieu social du Syndicat, local A-R542 (pavillon Hubert-Aquin). La formation comprend un survol des thématiques suivantes : • le Syndicat des chargées et chargés de cours • les projets d’intégration • la convention collective • les programmes de perfectionnement • les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) • le régime de retraite. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence avant le 16 mars à blanchet.nathalie@uqam.ca
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Assemblée générale du 29 mars : deux invités de marque et présentation du budget
Le Syndicat des chargées et chargés de cours recevra deux invités de marque à l’occasion d’une assemblée générale le mercredi 29 mars à 13 h au N-M510 (Pavillon Paul-G-Lajoie). M. Yvon Therrien, président du Syndicat des travailleuses et travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs de la Place Dupuis, nous expliquera comment et pourquoi cet hôtel est en lock-out depuis la veille des fêtes de fin d’année. M. Jacques Létourneau, président de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), dont fait partie le SCCUQ, viendra nous entretenir de la tournée de la CSN, en marche vers le congrès 2017, vaste consultation auprès des membres. La trésorière du Syndicat, Marie Bouvier, présentera également les prévisions budgétaires du SCCUQ aux chargées et chargés de cours que nous espérons nombreux.
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Formation pour les membres des comités de liaison locaux, le 4 ou le 7 avril
Une formation s’adressant aux représentants des chargées et chargés de cours siégeant aux comités de liaison locaux sera donnée le 4 et le 7 avril, au choix des participants, à 12 h 30, au lieu social du Syndicat, local A-R542 (Pavillon Hubert-Aquin). Cette formation a pour but de vous outiller sur votre rôle de représentation au CLL de votre unité. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence en indiquant la date choisie avant le 31 mars à Ross.marie-eve@uqam.ca
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Élections et états financiers : le SCCUQ tiendra son assemblée générale statutaire le 24 avril
L’assemblée générale statutaire du SCCUQ, servant principalement à l’élection des officiers syndicaux et à la présentation des états financiers, aura lieu le lundi 24 avril à 12 h 30 au R-M110 (Pavillon des Sciences de la gestion). Les postes en élection pour un mandat de deux ans sont la vice-présidence à la convention collective, la vice-présidence aux relations intersyndicales, le secrétariat général, la trésorerie, deux conseillères, conseillers au Comité mobilisation-intégration (CMI), une agente ou un agent au Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART), ainsi qu’une ou un membre aux comités suivants : Comité de surveillance des finances, Comité de perfectionnement et de mise à jour des connaissances, Comité de vérification du double emploi (et une ou un substitut), Comité conseil pour le développement international, Comité institutionnel d’application de la politique internationale, Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique et Comité permanent de révision du Règlement no 18 sur les infractions de nature académique (ce dernier poste est pour un mandat de trois ans). Au point trésorerie vous recevrez le rapport de l’auditeur indépendant et les états financiers 2016, les résultats réels comparés au budget 2016, le rapport du Comité de surveillance des finances et une proposition d’affectation au Fonds de défense professionnelle. Les personnes élues au CMI ou au CAART obtiendront 6 libérations (charges de cours) par année, à la V.-P. aux relations intersyndicales, au secrétariat général et à la trésorerie, 5 libérations par année et à la V.-P. à la convention collective, 7 libérations par année. Toutes les personnes chargées de cours sont les bienvenues.
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C’est le temps de penser à votre budget de mise à jour des connaissances
Il reste plus de 31 000$ disponibles dans le budget de mise à jour des connaissances (volets A et B) pour la période se terminant le 30 avril 2017. Ce budget sert à financer des projets d’acquisition de nouvelles connaissances, créditées ou non, dans une perspective d’améliorer la qualité de la formation sous forme de participation à des réunions scientifiques, à des colloques, à des séminaires, à des sessions de formation, à des ateliers, etc. Toute demande doit être déposée au plus tard le premier vendredi du mois (mars ou avril) et la demande doit être déposé au plus tôt 4 mois avant le début de l’activité. Le maximum annuel alloué par personne chargée de cours (PCC) est de 2 500$. Les personnes chargées de cours admissibles doivent travailler pour l’UQAM depuis au moins trois trimestres et avoir donné un minimum de cinq charges de cours. Les budgets pour le perfectionnement court et le perfectionnement long sont actuellement épuisés.
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Lisette Lemieux expose Empreintes et emprunts à l’Université de Sherbrooke
La chargée de cours Lisette Lemieux expose Empreintes et emprunts à la Galerie d’art du Centre culturel de l’Université de Sherbrooke jusqu’au 8 avril. Le vernissage a lieu le jeudi 2 mars à 17 h en présence de l’artiste et du commissaire Laurier Lacroix. Lisette Lemieux pratique la sculpture depuis plus de 40 ans. Les 20 productions sélectionnées pour cette exposition couvrent 30 ans de réalisations et mettent en valeur deux aspects principaux de son travail : le moulage et les sculptures réalisées à partir d’objets trouvés qui deviennent un nouveau matériau.
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Emmanuel Schwartz présente 11 septembre 2001 au studio-d’essai Claude Gauvreau
Le chargé de cours à l’École supérieure de théâtre Emmanuel Schwartz présente 11 septembre 2001, un collage de textes de Davis Foster Wallace, de Georges Bataille et de Robert Davreu autour de la pièce de Michel Vinaver. Une production dirigée des finissants en jeu, en scénographie et en études théâtrales présentées jusqu’au 4 mars au studio-d’essai Claude Gauvreau (salle J-M400), peut-on lire sur le site de l’UQAM.
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Yvette Podkhlebnik participera à un panel sur les parcours de femmes en sciences
À l'occasion du 8 mars, Journée internationale des femmes, la Faculté des sciences soulignera la contribution des femmes à la science en conviant la communauté universitaire et le grand public à un après-midi d'échanges et de conférences, le 7 mars au pavillon Président-Kennedy (PK-1140), de 12 h 15 à 16 h. La chargée de cours au Département des sciences de la Terre et de l'atmosphère Yvette Podkhlebnik participera à un panel de discussion sur les parcours de femmes en sciences en compagnie de Marie-Jean Meurs, professeure au Département d'informatique, Élise Vandomme, postdoctorante en mathématiques, et Dolors Planas, professeure émérite au Département des sciences biologiques. Le panel ouvrira les échanges et sera animé par Tanya Handa, professeure du Département des sciences biologiques.
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Le mur, symbole de la vulnérabilité d'une société, et Trump tente d’enrayer une réalité inéluctable, selon Elisabeth Vallet
Réponse aux migrants, aux trafiquants ou parfois à des groupes ennemis, les murs aux frontières reflètent le plus souvent «une vulnérabilité de la société» qui les érige, estime Elisabeth Vallet, chargée de cours et directrice de l'observatoire de géopolitique à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Pratiquement inexistants à la fin de la Seconde guerre mondiale en 1945, le nombre de murs est passé à 11 jusqu'à la chute du mur de Berlin en 1989, «pour arriver aujourd'hui au nombre de 70» avec «un premier coup d'accélérateur après les attaques du 11 septembre» aux États-Unis, puis un «deuxième coup d'accélérateur avec le Printemps arabe» dès 2011, peut-on lire sur boursorama.com. À grands coups de décrets, de directives et de tweets, le président américain cherche à modeler le profil démographique des États-Unis, tentant d’enrayer une réalité inéluctable : d’ici une génération, les Blancs seront une «majorité minoritaire». La stigmatisation des migrants en situation irrégulière, la construction d’un mur à la frontière mexicaine, le rythme effréné des déclarations présidentielles cachent une réalité plus prosaïque : il n’y a pas d’urgence migratoire, soutient Elisabeth Vallet dans sa chronique Où est l’urgence?, publiée dans Le Devoir.
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Donald Cuccioletta analyse le ton présidentiel de Trump et calme les utopistes qui imaginent sa destitution au cours des prochains mois
Le président Donald Trump a changé de ton lors de son premier discours devant le Congrès. Le chargé de cours et chercheur associé de la Chaire Raoul-Dandurand, Donald Cuccioletta, en a fait l'analyse pour Radio-Canada. Quarante-six pour cent des Américains souhaitent la destitution du président Trump, selon un sondage récent. «Mais cette perspective est peu probable», a expliqué Donald Cuccioletta à Samedi et rien d’autre, à l’antenne de Radio-Canada. Ni ses prétendus conflits d'intérêts avec la Russie, ni ses éventuels troubles psychiatriques, ni son tempérament dictatorial ne pourraient vraiment mener à sa disqualification. «Il faut calmer les discours utopistes qui imaginent une destitution au cours des prochains mois.»
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Manifestation pour la défense des travailleuses et travailleurs d’agences de placement le 4 avril
L’Association des travailleuses et travailleurs temporaires d’agences de placement (ATTAP) du Centre des travailleuses et travailleurs immigrants (CTTI), avec le soutien du Conseil central du Montréal métropolitain (CSN), tiendra un rassemblement sur le parvis de l’Hôtel Bonaventure le mardi 4 avril à l’occasion d’une importante conférence de l’industrie des agences de location de personnel. Le point de rencontre est prévu pour 16 h à la Place du Canada afin de se rendre à destination pour 16 h 45. Ces travailleuses et travailleurs sont victimes de plusieurs formes de discrimination : disparité de traitement, taux élevé de lésions professionnelles, limites à la liberté d’emploi, précarité d’emploi… L’Association réclame, entre autres, un salaire minimum à 15 $ l’heure, un salaire équivalent aux travailleuses et travailleurs réguliers de l’entreprise sous contrat avec l’agence, une embauche par l’entreprise après 3 mois de travail continu et une coresponsabilité face aux conditions de travail alors que l’entreprise et l’agence se renvoient souvent la balle pour en faire le moins possible.
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Faut-il arrimer l'éducation avec les besoins des entreprises?
Faut-il arrimer l'éducation avec les besoins des entreprises? Discussion avec Jacques Létourneau, président de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), et Martine Hébert, vice-présidente de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI), à l’antenne de Radio-Canada.
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Résolutions du Conseil syndical du SPUQ : Refus des compressions budgétaires pour l'année 2017-2018 et soutien aux enseignantes harcelées
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La FP–CSN dénonce l’attitude de la direction de l’Université de Sherbrooke
La Fédération des professionnèles–CSN appuie sans réserve le SPPUS, dénonce l’attitude de la direction de l’Université de Sherbrooke et lui rappelle que les professeures et professeurs méritent le respect. Conscient que l’Université était aux prises avec des contraintes financières importantes, le SPPUS a accepté au cours des dernières années de ne pas combler tous les postes de professeurs. Dans le cadre de la négociation actuelle, la demande du SPPUS de rétablir le plancher d’emploi a essuyé un refus net de la part de la direction. La grève déclenchée par les professeures et professeurs est, sans contredit, un geste qui vise à protéger la mission de l’université.
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Université de Sherbrooke : refusons de plonger dans le précipice.
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Le Syndicat des chargés de cours dénonce l'«affront» de l'UQO
La présidente du Syndicat des chargées et chargés de cours de l'Université du Québec en Outaouais (UQO), Marie-Josée Bourget, a fait part samedi de sa colère envers la décision de la direction de réduire le nombre de cours de ses employés. Le syndicat – qui représente 700 membres – et l'Université négocient une septème convention collective depuis décembre 2016. Les chargés de cours qui sont en situation de double emploi ont actuellement le droit de donner neuf cours par année. Or, l'UQO souhaiterait limiter ce nombre à trois, selon la présidente du syndicat. «Pour certains, c’est un affront», a réagi Marie-Josée Bourget, dans une entrevue téléphonique à Radio-Canada.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Alertes à la bombe sur deux campus universitaires montréalais : La FP–CSN dénonce le Council of Conservative Citizens of Canada (C4)
La Fédération des professionnèles–CSN dénonce les menaces d’attaques à la bombe artisanale ciblant les communautés universitaires musulmanes de l’Université Concordia et de l’Université McGill revendiquées par le Council of Conservative Citizens of Canada (C4). «Peu importe le milieu où ces menaces sont proférées, elles sèment la terreur et elles marquent à jamais les gens qui sont visés. Nous sommes solidaires des étudiantes et des étudiants musulmans et, plus largement, de toute la communauté musulmane qui est de plus en plus la cible d’attaques inacceptables, et ce, depuis déjà trop longtemps», de marteler Louise Briand, vice-présidente, secteur universitaire, FP–CSN.
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Les professeurs de l’UQAC veulent un nouveau comité pour sélectionner le recteur
Le choix du nouveau recteur de l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) continue de susciter la controverse au sein du corps professoral. Le Syndicat des professeures et des professeurs de l'UQAC (SPPUQAC) a mené une consultation auprès de ses membres et les résultats sont sans équivoque. Plus de 80 % des répondants ont indiqué qu’ils ne faisaient plus confiance au comité de sélection qui doit décider qui succédera à Martin Gauthier à la tête de l’établissement. Par ailleurs, 86 % des membres croient qu’il serait préférable de former un nouveau comité en raison de la relance du processus de sélection du recteur. Ce dernier doit recommencer étant donné qu'aucune des candidatures soumises en décembre n'a été retenue.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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La FPPC-CSQ réclame l’ajout de ressources professionnelles dans les cégeps
À l'approche du prochain budget du ministre Leitão, la Fédération du personnel professionnel des collèges (FPPC-CSQ) revendique un investissement significatif dans le réseau collégial, qui doit nécessairement passer par l'ajout de ressources professionnelles. La présidente de la FPPC-CSQ, Suzanne Tousignant, croit que dans un contexte de surplus budgétaire, le gouvernement Couillard doit réparer les dommages causés au réseau par des compressions de plus de 155 millions de dollars au cours des dernières années. «Ces compressions ont affecté les services aux étudiants et ont porté atteinte à la qualité des conditions d'études et de réussite», soutient-elle.
Lire la suite.
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Femmes immigrantes et autochtones doublement discriminées en emploi
Le travail est un puissant instrument d’intégration. Il permet à l’individu d’accéder à l’autonomie, de jouer un rôle concret sur le plan économique et il s’avère souvent, à tort ou à raison, un outil de reconnaissance sociale. Le Rendez-vous national sur la main-d’œuvre qu’a tenu la semaine dernière le gouvernement québécois est l’occasion de nous le rappeler. Or, les compressions massives qui s’abattent sur le Québec depuis l’élection des libéraux et la précarisation généralisée de l’emploi accentuent la difficulté, pour de nombreuses personnes, de gagner un salaire décent ou simplement d’accéder au marché du travail. Parmi elles, les immigrantes et les femmes autochtones accusent un retard sur le reste de la société en matière d’insertion professionnelle. Il faut remonter à 2010 pour avoir des statistiques parlantes sur le sujet. Cette rareté dans les chiffres n’est pas étonnante. Elle traduit le désintérêt de l’État à l’égard de problèmes rencontrés par les femmes issues de communautés culturelles.
Lire la suite du billet sur le blogue de Véronique De Sève.
Huit témoignages vidéo : L’égalité sans limites.
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Journée internationale des femmes 2017
Consultez ce calendrier pour connaître les diverses activités organisées dans votre région autour du 8 mars. Tous les groupes féministes sont aussi invités à y partager leurs actions. Cet autre calendrier fait la recension des activités organisées par le mouvement CSN dans les différentes régions du Québec.
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La campagne pour une hausse du salaire minimum à 15 dollars constitue le plus important mouvement de travailleurs de l'histoire récente
Il y a un peu moins d'un an, le 15 avril 2016, une journée d'action pour augmenter le salaire minimum à 15 dollars l'heure était organisée dans plus de 300 villes aux États-Unis et dans une dizaine d'autres au Canada et au Québec. «Lancée aux États-Unis en 2012, la campagne Fight for $15 représente le plus important mouvement en faveur des droits des travailleurs dans l'histoire récente des relations de travail en Amérique du Nord», souligne Lorenzo Frangi, professeur au Département d'organisation et ressources humaines et membre de la direction de l'Association canadienne des relations industrielles. Celui-ci a organisé récemment à l'UQAM un webinaire sur la campagne 15 dollars and Fairness au Canada, auquel participait Pam Frache, coordonnatrice de la campagne et militante au sein du Workers Action Centre de l'Ontario.
Lire la suite du texte d’Actualités UQAM.
FTQ : 15$ l’heure, c’est possible!
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Consultation sur la stratégie numérique du Québec en éducation : la FPEP-CSQ plaide pour que l’humain soit au cœur de la démarche
La Fédération du personnel de l'enseignement privé (FPEP-CSQ) demande au gouvernement Couillard de s'assurer que la personne, tant membre du personnel qu'élève, soit au cœur de la Stratégie numérique du Québec en éducation. Tel est le message principal qui ressort du mémoire déposé mardi par la Fédération dans le cadre des consultations à ce sujet.
Lire la suite.
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Entente de principe à l'Académie linguistique internationale
Réunis en assemblée générale le 10 février, les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l'Académie linguistique internationale ont entériné à l'unanimité l'entente de principe conclue avec leur employeur. Accrédités depuis un an à la FNEEQ, la trentaine de professeures et professeurs ont obtenu des gains appréciables, dont des augmentations de salaire pour tous, le respect de l'ancienneté et une échelle de salaires. Avant cette première convention collective, les conditions de travail étaient peu satisfaisantes: l'instabilité et la précarité constituaient la norme.
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Achat d’un bronchoscope à Sorel-Tracy : Des syndiqués du secteur privé et des élus appellent le ministre à faire preuve de gros bon sens
Le Syndicat des employés municipaux de la Ville de Sorel-Tracy (CSN), le Syndicat des aciers forgés Sorel (CSN) ainsi que le Conseil central de la Montérégie–CSN ont interpellé le ministre Gaétan Barrette pour l’inciter à faire preuve de gros bon sens et à autoriser l’achat d’un appareil bronchoscope, lors d’une conférence de presse tenue le 24 février à Sorel-Tracy. Accompagnés par le maire de Sorel-Tracy, Serge Péloquin, et le député de Richelieu, Sylvain Rochon, les syndiqué-es et le Conseil central ont exprimé leur colère devant le manque d’ouverture du ministre de la Santé et des Services sociaux. «Nous demandons à Gaétan Barrette de faire preuve de pragmatisme et de gros bon sens : l’appareil est financé, l’hôpital est prêt à l’accueillir et la population en a particulièrement besoin. L’attitude du ministre est incompréhensible», a lancé Annette Herbeuval, présidente du Conseil central de la Montérégie-CSN.
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La CSN demande au CISSS de la Gaspésie d’améliorer sa gestion du linge souillé. Vidéo : Plus de 11 000 Nord-Côtiers disent non à Optilab.
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Des ententes dans six municipalités, mais les chauffeurs d’autobus de la Capitale votent pour la grève
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Consultation sur la sécurité routière : le SCFP indique la route à suivre et les péagers de l’autoroute 30 veulent plus de sécurité
Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), à travers son Conseil provincial du secteur du transport terrestre (CPSTT), a fait part ce matin des modifications qu’il voudrait voir appliquer dans le cadre de la consultation de la SAAQ : La sécurité routière : ça nous concerne tous ! Bien que le bilan de la route en vies humaines ait beaucoup diminué au fil des dernières décennies, le nombre de blessés de la route n’a pas pour autant cessé d’augmenter. En parallèle, on assiste à une forte croissance des moyens de transports actifs dans toutes les régions du Québec et particulièrement dans les grandes villes où, le nombre de cyclistes utilitaires aurait doublé en 15 ans. D’autre part, les représentants des 35 péagers de l’autoroute 30, près de Salaberry-de-Valleyfield, syndiqués à la CSN, ont réclamé des mesures pour diminuer la vitesse des automobilistes à l’entrée du poste de péage ainsi que des moyens de prévention et de sensibilisation, afin de contrer les risques d’accident.
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Le Groupe BMTC inc. doit cesser et s’abstenir d’user d’intimidation à l’égard des syndiqués
Le syndicat des Travailleurs et travailleuses unis de l’alimentation et du commerce, section locale 501 (TUAC 501) obtient gain de cause contre le Groupe BMTC inc. qui exploite le Brault & Martineau de Repentigny et de Jean-Talon. Le syndicat avait déposé une plainte au Tribunal administratif du travail (TAT) notamment pour entrave, intimidation, menaces, représailles, négociation de mauvaise foi et pour violation de la liberté d’association.
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Négociation dans le secteur de la construction : l’Alliance syndicale demande la médiation dans les secteurs institutionnel-commercial et industriel
L’Alliance syndicale de la construction vient de demander la médiation à la ministre du Travail pour la négociation concernant le renouvellement de la convention collective dans les secteurs institutionnel-commercial et industriel. Dans le cadre de cette négociation, l’Alliance syndicale négocie avec l’Association de la construction du Québec (ACQ). En plus de cette négociation, l’Alliance syndicale est aussi responsable de négocier le renouvellement des conventions collectives dans le secteur résidentiel et celui du génie civil et de la voirie.
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375 000 arbres pour le 375e anniversaire de Montréal
Pour célébrer le 375e anniversaire de Montréal, l’organisme Jour de la Terre a mis sur pied le programme de plantation 375 000 arbres sur le territoire du Grand Montréal. Cette initiative culminera au printemps 2017 avec le déploiement de LA GRANDE MOBILISATION, une opération de plantation de 150 000 arbres par des bénévoles! Le programme 375 000 arbres, auquel se joint la FTQ, tend à améliorer la qualité de vie des habitants et habitantes, à lutter contre les changements climatiques, à préserver la biodiversité et à réduire les îlots de chaleur.
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Bravo à l’équipe du film Arrival!
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Lutte contre les violences sexuelles : David veut que le Québec devienne un exemple
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Le rapport de l'ombudsman de l’UQAM plaide pour un meilleur service aux usagers
Dans son rapport 2015-2016, déposé au Conseil d'administration le 21 février dernier, l'ombudsman de l'UQAM Muriel Binette fait état des 1045 demandes reçues à son Bureau au cours de l'exercice. Comme chaque année, la majorité des demandes (803, soit 77%) provient des étudiants et une bonne part de celles-ci ont trait à l'encadrement administratif et aux services aux étudiants. Fait à noter, la majorité des demandes reçues par l'ombudsman étaient des demandes de consultation (606, soit 57,5%), alors que 444 étaient des plaintes, dont 169 se sont avérées fondées. Des correctifs ont été apportés dans tous les cas où les plaintes ont été jugées fondées.
Lire la suite du texte d’Actualités UQAM.
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Amnesty International lance un appel en faveur de la libération d’un universitaire iranien
Ahmadreza Djalali risque la peine de mort sur la base de fausses accusations de trahison et Amnesty International a donc pris l’initiative de lancer une campagne en faveur de la libération de ce spécialiste de la médecine de catastrophe, qui est détenu depuis près d’un an sans procès. Le docteur Djalali, un ressortissant iranien résidant en Suède et arrêté le 25 avril 2016 au cours d’un voyage professionnel en Iran, a été accusé, en l’absence de son avocat, d’«espionnage» par le Tribunal révolutionnaire de Téhéran le 31 janvier, une accusation qui pourrait lui valoir la peine de mort. Selon des rapports, le docteur Djalali n’a eu droit à aucune visite de son avocat pendant les sept mois qui ont suivi son arrestation et, par la suite, les autorités judiciaires ont déclaré que son avocat ne pouvait pas s’occuper de cette affaire et ont refusé de lui transmettre le dossier.
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Panel de discussion le 12 avril : Éthique et justice en recherche
Le Cinbiose et l'ISS invitent à un panel de discussion sur les enjeux liés à l'éthique et la justice en recherche le mercredi 12 avril, de 13 h 30 à 17 h au local DE-1560 du pavillon de Design de l’UQAM. Voici quelques question à l'ordre du jour : • Quelles sont les obligations des chercheuses et chercheurs devant la société ? • Le secret professionnel s’applique-t-il aux chercheuses et chercheurs ? • Quels renseignements la Cour de justice peut-elle exiger ? • Comment la notion de preuve en justice est-elle interprétée ? Panélistes invitées : • Susan Zimmerman, directrice administrative du Secrétariat sur la conduite de la recherche au Canada • Emmanuelle Bernheim, professeure au Département des sciences juridiques, chercheuse au Centre de recherche de Montréal sur les inégalités sociales et membre juriste du Comité institutionnel d’éthique de la recherche avec des êtres humains de l’UQAM (CIEREH) • Katherine Lippel, professeure de la Faculté de droit, section droit civil de l’Université d’Ottawa et titulaire de la chaire de recherche du Canada en droit de la santé et de la sécurité au travail. Animatrice invitée : Stéphanie Bernstein, Professeure au département des sciences juridiques de l’UQAM. Activité gratuite ouverte à toutes et à tous. Pour confirmer votre présence.
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Réinvestissement en éducation en vue : une fausse bonne nouvelle
Bonne nouvelle dans le monde de l’éducation : au début du mois, le ministre des Finances Carlos Leitao affirmait en entrevue à La Presse que «[l]e thème principal du budget, ça va être l’enseignement supérieur, la formation et la main-d’œuvre». Il signalait du même coup l’intention du gouvernement de réinvestir dans les universités. Si l’on doit se réjouir de cette annonce – qui, ne l’oublions cependant pas, survient après des années de disette –, on peut tout de même se questionner sur ce qui se cache sous cet intérêt renouvelé du gouvernement pour l’éducation. Un regard sur le Rendez-vous national sur la main-d’œuvre, qui avait lieu les 16 et 17 février derniers à Québec, peut nous renseigner à cet effet. Le réinvestissement prévu dans le réseau universitaire doit ainsi être apprécié à la lumière de cette «pression» exercée par le secteur privé et du penchant du Parti libéral pour une vision bassement instrumentale de l’éducation.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Examen de reprise du «gouvernement de l’éducation» en prévision du budget 2017
Mesdames et Messieurs les ministres, La présente a pour but de vous informer que votre gouvernement est actuellement en situation d’échec. Le système d’éducation tel qu’il est présentement ne permet plus de répondre aux obligations de la Loi sur l’instruction publique. Pourtant, votre gouvernement a déclaré, en mai dernier, être «le gouvernement de l’éducation» et annoncé un vaste plan visant la réussite des élèves et l’augmentation du taux de diplomation au Québec d’ici 2025. Nous avions salué cette priorité toute nouvelle accordée par le PLQ à l’éducation, mais nous vous rappelions alors – et le réitérons aujourd’hui – que des mesures immédiates pour soutenir la cohorte d’élèves actuellement sur les bancs de l’école et un réinvestissement majeur en éducation demeurent essentiels pour assurer leur réussite. En effet, malgré la fin des coupes en éducation et le maigre réinvestissement du budget 2016, le réseau public des écoles primaires et secondaires est dans une situation pire qu’au printemps 2015 ! Combinées à une hausse importante de la clientèle, les conséquences des restrictions budgétaires des dernières années sont innombrables, elles s’additionnent et continuent de miner le réseau de l’éducation : • système scolaire, à trois vitesses, le plus inégalitaire au Canada; • écoles publiques surpeuplées, manquant gravement de services professionnels adaptés, au personnel débordé et épuisé; • bâtiments trop souvent désuets, inadaptés, voire insalubres.
Lire la suite du texte du mouvement Je protège mon école publique.
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Le financement des universités québécoises doit être réformé, dit la CADEUL
Le mode de financement des universités québécoises, basé sur le nombre d'étudiants inscrits ainsi que les programmes qu'ils fréquentent, ne tient plus la route. C'est ce qu'affirme la Confédération des associations d'étudiants de l'Université Laval (CADEUL), qui prépare un colloque pour trouver des solutions à ce qu'elle qualifie de problème chronique. Ce n’est pas la première fois que la CADEUL prend position sur cette question, mais cette fois, elle convie le grand public à trois jours de réflexion et d’échanges qui auront lieu du 7 au 9 mars à l’Université Laval.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Décret anti-immigration de Trump : l'UdeM aidera les étudiants originaires des sept pays visés
L'Université de Montréal aidera financièrement ses étudiants originaires des sept pays visés par le décret du président américain. D'ici à décembre prochain, ceux qui devront présenter leurs résultats de recherches à l'international plutôt qu'aux États-Unis recevront une bourse spéciale allant jusqu'à 1000 $. La mesure risque de s'appliquer principalement aux étudiants des cycles supérieurs, pour qui il est essentiel de présenter leurs résultats de recherche à leurs pairs lors de congrès internationaux. Les étudiants optent majoritairement pour les États-Unis - une destination où les possibilités sont nombreuses et où les coûts sont moins élevés que pour un déplacement outre-mer.
Lire la suite du texte de La Presse.
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Développement durable : L’Université de Montréal voit sa démarche récompensée
L’Université de Montréal s’est inscrite dans une démarche de développement durable. Les bouteilles d’eau ont été éliminées du campus, mais, ce faisant, elle a découvert que cela englobe bien davantage que des préoccupations écoénergétiques ou de recyclage des matières résiduelles. Le développement durable ne comporte pas seulement un volet environnemental, précise Stéphane Béranger, coordonnateur en développement durable à l’Université de Montréal, il amène aussi à réfléchir à plusieurs façons de faire. «Surtout, ça nous amène à aller beaucoup plus loin, comme parler de diversités — dont la diversité sexuelle —, de perfectionnement des employés et d’équité, des autochtones, etc., ajoute-t-il. Ce sont en effet des questions dont on traite lorsqu’on parle de développement durable.» Au terme du processus d’évaluation de l’Association for the Advancement of Sustainability in Higher Education (AASHE), réservée aux établissements d’enseignement supérieur et qui comporte quelque 70 critères de développement durable, l’Université de Montréal s’est vu attribuer une étoile d’argent.
Lire la suite du texte du Devoir.
L’Université de Sherbrooke veut former des agents de changement.
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La Fédération canadienne des étudiants recommande l’abolition des frais de scolarité à l'aube du budget provincial ontarien
Des représentants de la Fédération canadienne des étudiantes et étudiants-Ontario (FCÉÉ-O) rencontrent les députés provinciaux des trois principaux partis afin de présenter leurs six recommandations principales pour le budget provincial 2017 et les élections de 2018. Ces rencontres se déroulent dans le cadre de la Semaine de pression 2017 de la fédération étudiante. Comme principale recommandation, la fédération étudiante propose l’abolition des frais de scolarité pour les études post-secondaires. Selon les données de l’Association étudiante, il faudrait un investissement de plus de 950 millions de dollars par an de la part du gouvernement provincial afin d’assurer la gratuité scolaire à l’ensemble des étudiants ontariens.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Pour la libération immédiate de Milagro Sala, députée élue du Parlasur
Jujuy est un des endroits le plus pauvres d’Argentine. C’est aussi la terre d’une population amérindienne qui se fait exploiter par une poignée de familles de propriétaires richissimes d’immenses plantations de canne à sucre. Il y a vingt ans, Milagro Sala, une fille métisse et sans abri, s’est fait arrêter. Ce fût le début d’une militance qui l’a mené à bâtir une organisation prodigieuse : la Tupac Amaru (du nom du leader inca rebelle au XVIII e siècle). Cette organisation a géré et construit des milliers de logements, des écoles, des ateliers, des usines, des piscines etc. pour quelque 70 000 membres. Mais le plus important: elle a redonné la dignité à tout ce monde. Et en preuve de la reconnaissance de son peuple, elle a été élue députée. C’en était trop pour les tout puissants seigneurs de Jujuy : à peine changé le gouvernement, en janvier 2016, on l’a emprisonnée sous des chefs d’accusation on ne peut plus douteux. On l’accuse, sans preuve ferme depuis lors, d’avoir détourné des fonds reçus du gouvernement de Cristina Kirchner pour les oeuvres surmentionnées. Depuis le début de sa détention, les mouvements sociaux d’Argentine, le Groupe de travail sur la détention arbitraire de l’ONU et Amnesty Internationale réclament sa libération.
Lire la suite et signer la pétition.
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Atelier-conférence : Chômage et mondialisation, au Mouvement Action-Chômage de Montréal
Le Mouvement Action-Chômage de Montréal invite à un atelier-conférence intitulé «Chômage et mondialisation» le jeudi 16 mars à 19 h dans ses locaux situés au 6839 A, rue Drolet à Montréal (salle 304), entrée par la porte de la cour d’école. Pour l’occasion, Claude Vaillancourt, président d’ATTAC-Québec, viendra nous entretenir des liens entre la mondialisation, l’évasion fiscale, les changements dans le monde du travail et l’impact sur le chômage.
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Rencontre d’organisation de la Semaine mondiale d’action contre les paradis fiscaux
Une rencontre d’organisation de la Semaine mondiale d’action contre les paradis fiscaux aura lieu le mardi 7 mars, de 18 h à 20 h, au 3720, avenue du Parc (2e étage) à Montréal. ATTAC-Québec invite ses membres et sympathisantEs à se mobiliser pour la 1e Semaine mondiale d’action contre les paradis fiscaux (1er au 7 avril) et la Journée internationale contre les paradis fiscaux (3 avril). Des activités seront organisées à Montréal les 1er, 3 et 4 avril.
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CDPQ et le REM : un projet qui démantèle le réseau de transport en commun de Montréal
Le mégaprojet du Réseau électrique métropolitain (REM) est un trainélectrique qui reliera la Rive-Sud de Montréal, l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau, le centre-ville de Montréal, l’ouest de l’île et Deux-Montagnes ; il sera financé non par le gouvernement ou par un consortium privé, mais par la nouvelle filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec, CDPQ Infra, une filiale privée de l’investisseur institutionnel. Pour certain·e·s, il s’agit de la mise en place d’un mode de financement d’infrastructures publiques qui ouvrira des horizons pour le Québec. Pour d’autres, ce n’est rien de plus qu’une forme de partenariat public-privé. Récemment, le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) s’est montré très critique face au projet de la CDPQ en le qualifiant d’incomplet, notamment sur les questions économiques. Il a dit que le REM ferait peu pour atteindre les objectifs de déplacement propres au transport en commun à Montréal. De plus, l’indépendance de CDPQ Infra nuirait à la planification du transport en commun dans le grand Montréal. En somme, la logique qui sous-tend ce projet et ce mode de financement va complètement à l’encontre d’une politique publique; elle ne reflète que l’intérêt de la CDPQ qui, tout en étant un investisseur institutionnel, ne peut certainement pas être considéré comme un partenaire public.
Lire la note socioéconomique de l’IRIS.
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Revue Les Possibles : la droitisation des politiques et des esprits dans nos sociétés
Le numéro d’hiver de la revue Les Possibles, réalisée par le conseil scientifique d’Attac France, sous la direction de Jean-Marie Harribey et Jean Tosti, propose des articles sur le thème de la droitisation des politiques et des esprits dans nos sociétés. On peut même parler d’extrême droitisation. Claude Vaillancourt, président d’Attac-Québec, y signe un article intitulé Québec et Canada : la droite en catimini.
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Lutte contre l’itinérance : «On est proche de la catastrophe»
Différents organismes s’inquiètent de l’augmentation du nombre de personnes vivant une situation d’itinérance à Montréal et veulent pousser le gouvernement provincial à débloquer de nouveaux fonds dans le prochain budget attendu au cours du mois de mars. Chiffres à l’appui, le directeur du Pas de la rue, Robert Beaudry, s’alarme. En seulement un an, la fréquentation de son organisme venant en aide aux personnes en situation d’itinérance de plus de 50 ans, a bondi de 39%. Passer à la vitesse supérieure, tel est le mot d’ordre général, explique Pierre Gaudreau. Si le coordonateur du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) évoque «un peu de progrès» avec la prochaine ouverture de trois sites d’injection supervisée, le développement de services de psychiatrie au sein des organismes et la construction à l’étude de 400 nouveaux logements sociaux pour les personnes itinérantes, «c’est insuffisant, clame-t-il. Il y a un manque de moyens et de leadership», dénonce Pierre Gaudreau.
Lire la suite du texte du journal Métro.
Appel à lever les obstacles à la lutte contre l'itinérance. L'itinérance est toujours un problème de pauvreté. La pauvreté : maillon faible de la lutte à l’itinérance. Sites d’injection supervisée : Comment ça marche? Dénombrement ponctuel national des sans-abri : un exercice périlleux. Ville sanctuaire : les sans-abri inquiets.
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Le RAPSIM salue la sortie des avis sur l’itinérance des femmes et celle des jeunes
Le RAPSIM se réjouit de la publication des avis sur l’itinérance par le Conseil des montréalaises et par le Conseil jeunesse de Montréal, qui tous les deux témoignent de l’existence d’une itinérance qui est davantage cachée. Le RAPSIM espère que la Ville, mais aussi les gouvernements du Québec et d’Ottawa pendront bien acte de l’importance d’agir relativement à ces réalités méconnues et sous-estimées. De par leur titre même, ces avis nomment bien l’enjeu de reconnaître l’itinérance cachée : «Voir l’invisible» pour celui sur les femmes et «Dévoiler une réalité peu visible» pour celui sur les jeunes. Le dénombrement tenu par le Ville de Montréal, de par son approche d’une journée ciblée sur l’itinérance chronique et la fréquentation des ressources, a sous-évalué de grands pans de l’itinérance, dont celle des femmes et des jeunes. Les avis publiés aujourd’hui amènent une contrepartie dont il faut tenir compte. Les avis sur l’itinérance à Montréal rejoignent aussi les constats d’une importante étude sur L’itinérance cachée publiée par Statistique Canada le 15 novembre. Celle-ci a démontré l’ampleur du phénomène que 2,3 millions de personnes ont vécu dans leur vie au pays.
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L’itinérance des femmes et des jeunes expliquée aux politiciens. Première collecte de produits hygiéniques pour les femmes itinérantes. L’itinérance cachée et ses dangers.
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Profilage racial : le SPVM règle systématiquement à l'amiable pour éviter les tribunaux
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) règle systématiquement hors des tribunaux les plaintes de profilage racial portées contre ses agents à la Commission des droits de la personne. Le SPVM remporte, de loin, le triste record de ce type de pratique à l'endroit des citoyens. C'est ce qui ressort d'une série de documents obtenus de la Commission des droits de la personne en vertu de la Loi sur l'accès à l'information gouvernementale. Pour les cinq dernières années où des données sont disponibles, on constate que des 89 plaintes visant les opérations policières depuis 2012, 84 concernaient le SPVM.
Lire la suite du texte de La Presse.
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