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La course au rectorat est entrée dans un deuxième tour se jouant entre ce qui me semble être le candidat de la direction, Luc-Alain Giraldeau, favorisant un statut spécial pour l’ESG, et la candidate d’une majorité d’enseignantes et d’enseignants, Corinne Gendron, contre tout projet de décentralisation et plus critique de la gestion uqamienne des dernières années. Le Comité exécutif du SCCUQ a décidé de rendre son choix public.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
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Le Comité exécutif du SCCUQ appuie la candidature de Corinne Gendron au rectorat de l’UQAM
Dans le contexte d’un deuxième tour de consultation pour la désignation d’une rectrice, d’un recteur pour l’UQAM, le Comité exécutif du SCCUQ a décidé de rendre public son choix, soit d’appuyer la candidature de madame Corinne Gendron.
Les principales raisons sont:
Madame Gendron s’est dissociée de façon très claire du projet de décentralisation de l’UQAM. En l’absence de garanties concernant la place et le rôle des personnes chargées de cours, notamment dans une UQAM décentralisée ou une ESG plus autonome, nous pensons que cette position est la plus prudente. Nous rappelons que pour le SCCUQ, il est indispensable que les personnes chargées de cours soient présentes dans les instances où les décisions à incidence budgétaire sont prises (ex. comité de régie).
Madame Gendron a été la plus critique face à la gouvernance exercée par l’administration sortante concernant plusieurs enjeux notamment le financement de l’UQAM, les choix budgétaires, la gestion des grèves étudiantes et le recrutement des étudiantes et étudiants.
Lors de notre rencontre avec le comité de sélection, nous avons souligné à quel point la direction sortante avait été déconnectée de la communauté et avait manqué de transparence. Les doyens et doyennes actuels n’ont pas transmis les préoccupations de la communauté à la Direction. Madame Gendron propose des rencontres régulières avec les groupes de la communauté.
De plus, Madame Gendron nous apparaît être la personne la plus apte à défendre l’UQAM auprès des gouvernements provincial et fédéral et aussi la plus déterminée à promouvoir notre université sur la scène québécoise. Ses actions passées en font foi.
Il est bien entendu que le choix du Syndicat n’engage pas les personnes chargées de cours appelées à voter dans le cadre du processus de désignation d’une rectrice, d’un recteur de l’UQAM.
Le Comité exécutif du SCCUQ
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Vous participez à la conception de cours hybrides : faites-nous part de votre expérience
Nous aimerions connaître la pratique de l’UQAM pour la conception de cours hybrides, soit des cours donnés à distance et en présentiel. Si vous avez participé à la conception de ce type de cours, pourriez-vous communiquer avec nous afin que nous puissions faire un suivi? Le développement des environnements numériques d’apprentissage est un enjeu important qui pourrait avoir un impact sur nos conditions de travail. Vous pouvez contacter les agente et agents de griefs du SCCUQ à ce sujet:
Robert Drouin, poste téléphonique: 3536, courriel: drouin.robert@uqam.ca
Peggy Roquigny poste téléphonique: 2789, courriel: roquigny.peggy@uqam.ca
Stéphane Daniau poste téléphonique: 4886, courriel: daniau.stephane@uqam.ca
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Synthèse des rencontres avec les deux candidates et le candidat au rectorat de l’UQAM
À la suite de l’échange avec les chargées et chargés de cours en conseil syndical le 3 mai, les deux candidates et le candidat au rectorat de l’UQAM ont rencontré individuellement les membres du comité exécutif le vendredi 5 mai pour apporter des précisions sur certaines questions. Voici un résumé de ce qui s’en dégage.
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Quatre propositions du SCCUQ pour le 65e Congrès de la CSN
Le SCCUQ fait cheminer quatre propositions en vue d’adoption au 65e Congrès de la CSN qui se déroulera du 5 au 9 juin. Ces propositions ont été présentées au conseil syndical du 3 mai. Le comité précongrès de la CSN recommande l’adoption des deux premières avec modifications (Une formule de financement des universités sans compétition et favorisant l’accessibilité et Pour une transition écologique juste et équitable des emplois), nous sommes en discussion sur un amendement possible pour la troisième (Pour harmoniser les règles de décaissement des régimes de retraite à cotisation déterminée) et le comité précongrès rejette l’adoption de la quatrième (Appui syndical à la création d’un média progressiste grand public) nous obligeant à mener bataille sur le plancher du congrès pour pouvoir la débattre.
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La liste des chargées et chargés de cours qui seront consultés pour la nomination au rectorat
L’article 17 du règlement no 3 de l’UQAM précise que les personnes à consulter pour la nomination d’une rectrice ou d’un recteur sont les professeures, professeurs à temps complet et à demi temps, incluant les professeures sous octroi, professeurs sous octroi, et les maîtres de langue; les cadres de l'Université, incluant les vice-rectrices, vice-recteurs; les membres du Conseil et de la Commission; et une chargée de cours, un chargé de cours pour chacun des départements et chacune des Facultés de l'Université, désigné par les chargées de cours, chargés de cours des unités en cause. Dans le cadre de la course actuelle au rectorat, le comité exécutif du SCCUQ a dû confectionner cette liste de chargées et chargés de cours un peu à la dernière minute. Nous l’avons établie en nous basant sur des critères d’ancienneté (liste de pointage) et de représentation syndicale, parmi les personnes ayant enseigné à l’hiver 2017 ou à l’automne 2016. Les syndicats et les associations étudiantes sont également consultés.
Voici la liste des chargées et chargés de cours qui seront consultés.
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Assemblée d’unité facultaire : Communication le 23 mai
Les assemblées d’unité facultaires sont de retour. Les chargées et chargés de cours en Communication se rencontreront le mardi 23 mai à 12h30 au A-R542. Étant donné qu’un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence pour cette rencontre auprès de Jean Régnier, à regnier.jean@uqam.ca ou par téléphone au poste 5609.
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Assemblées d’unité facultaires : Arts le 23 mai et Sciences le 25 mai
Les assemblées d’unité facultaires sont de retour. Les chargées et chargés de cours en Arts se rencontreront le mardi 23 mai à 12h30 au A-R542 et celles et ceux de Sciences feront de même le jeudi 25 mai à 12h30 au A-R542. Étant donné qu’un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence pour ces deux rencontres auprès de Mariève Ross, à ross.marie-eve@uqam.ca ou par téléphone au poste 8272.
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Julie Bramond expose ses œuvres au festival Pint of science le 20 mai
Le Marché artisanal de la paroisse où la chargée de cours Julie Bramond devait présenter ses créations le 20 mai a été annulé en raison des inondations. En revanche, elle participe au festival Pint of science dans le cadre de l'exposition Réactions créatives ayant lieu le samedi 20 mai de 17h à 21h au Centre des arts (1844 Rue William, Montréal). Il s'agit de rencontres interdisciplinaires où des artistes et des scientifiques ont créé ensemble des œuvres d'art. Elle y exposera ses créations sur le thème de la science et de l'astronomie.
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Des chargées et chargés de cours participent à la Journée de la pédagogie universitaire
Près de 80 enseignantes et enseignants ont participé à la Journée de la pédagogie universitaire sur le thème Réalités plurielles étudiantes: enjeux et défis, mercredi, dont de nombreux chargées et chargés de cours. Durant la journée, plusieurs d’entre elles et eux ont partagé leurs expériences pédagogiques et leurs expériences d’enseignement avec les environnements numériques d’apprentissage, notamment, Geneviève Bergeron (DEFS), Marie-Claude Petit (MET) et John Alexander Moreno (Sexologie). Une journée fort intéressante de partage et de réflexion sur une pédagogie inclusive et sur les moyens d’adaptation possibles (et potentiels?) pour y arriver. Nous y reviendrons.
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Christelle Lebreton a publié une étude sur l’adolescence lesbienne
C’est officiel: très peu de femmes québécoises connues du grand public s’affichent haut et fort en tant que lesbiennes. Pour une Ariane Moffatt, combien de Dany Turcotte, Alex Perron et autres Jasmin Roy? Quel impact pour les jeunes filles d’aujourd’hui? C’est précisément la question que pose la chargée de cours et chercheuse Christelle Lebreton, qui publie ces jours-ci un rare ouvrage sur la question: Adolescences lesbiennes, de l’invisibilité à la reconnaissance, aux Éditions du remue-ménage. La Presse+ a abordé cinq points avec l’auteure pour comprendre un enjeu dont on parle trop peu.
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Jean-Philippe Ayotte-Beaudet s’intéresse à la science au grand air
Susciter l’intérêt des élèves est un défi quotidien, particulièrement à l'école secondaire. Enseignant de formation, le chargé de cours en didactique Jean-Philippe Ayotte-Beaudet s'intéresse plus spécifiquement à la didactique des sciences. «Le cadre scolaire contraint généralement l'enseignement à la classe ou au laboratoire, mais les sciences peuvent – et devraient – aussi se pratiquer à l'extérieur», affirme le doctorant en éducation. Dans le cadre de ses recherches, Jean-Philippe Ayotte-Beaudet a proposé à des enseignants d'amener des élèves du premier cycle du secondaire dehors, à proximité de l'école, lors de périodes d'enseignement des sciences, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Astrid Tirel contribue à la recherche Trente ans d'arts autochtones au Québec: bilan et synthèse
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Des dizaines d'artistes et de représentants d'organismes culturels se sont réunis à l'Agora du Cœur des sciences, les 17 et 18 mai, dans le cadre de l'«État des lieux sur les arts autochtones du Québec». Organisé par la troupe de théâtre autochtone montréalaise Ondinnok et soutenu par le Département de sociologie, cet événement s'inscrit dans la troisième édition du Printemps autochtone d'art, qui se déroule à Montréal depuis le 1er avril jusqu'au 22 juin. À cette occasion, le professeur du Département de sociologie Jean-François Coté présentera les premiers résultats de la recherche «Trente ans d'arts autochtones au Québec: bilan et synthèse», menée en collaboration avec Yves Sioui Durand, directeur artistique d'Ondinnok. Ce rapport de recherche préliminaire, qu'il a réalisé en collaboration avec ses assistantes la chargée de cours et doctorante en sociologie Astrid Tirel et Claudine Cyr, parle d'une véritable renaissance culturelle autochtone, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Taïka Baillargeon participe au dossier de la revue Frontières sur les ruines urbaines
Les sociétés postindustrielles produisent de plus en plus de cités fantômes: villes, quartiers ou rues désertés par leurs habitants lors d’une crise économique, d’un accident nucléaire, d’une catastrophe naturelle ou à l’occasion d’un projet industriel avorté. Ces zones urbaines, souvent représentées dans leur matérialité brute – décombres, ruines et objets du quotidien désertés de toute âme –, interrogent le devenir de nos sociétés ébranlées par les crises économiques, écologiques et humanitaires. Ce questionnement est au cœur de la dernière livraison (vol. 28, numéro 1) de la revue institutionnelle Frontières en études sur la mort, laquelle propose un dossier intitulé «Ruines urbaines: mémoire, explorations, représentations» auquel a participé la chargée de cours en géographie Taïka Baillargeon, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Les banques canadiennes décotées par Moody's : un signal d'alarme très clair précise Robert Pouliot
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Ricardo Penafiel commente l’inéluctable implosion du Venezuela
La crise qui frappe le Venezuela depuis plusieurs années s’est aggravée le mois dernier lorsque des centaines de milliers de Vénézuéliens ont pris la rue pour réclamer le départ du président Nicolas Maduro. Les heurts entre manifestants et forces armées ont fait à ce jour 38 morts, des centaines de blessés et mené à des centaines d’arrestations. L’exportation de l’or noir représente la quasi-totalité des ressources en devises du pays. Quand la manne se tarit, le Venezuela ne peut plus payer ses importations. Or, il importe tout. Là commence la pénurie généralisée, dans un pays «qui a toujours été sur le respirateur artificiel du pétrole», estime le chargé de cours Ricardo Penafiel, pour le journal Le Devoir.
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SCHL : des pratiques inacceptables, selon André Lamoureux
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Les frontières ne sont plus uniquement les lignes frontalières, explique Élisabeth Vallet
«Les Européens et les Occidentaux ont imaginé que l’on irait vers un monde sans frontières. Or, c’était presque un paravent parce que, oui, le monde était sans frontières pour les Occidentaux, mais si vous veniez du Sud alors là, la frontière périphérique, extérieure de l’Union européenne, devenait de plus en plus dure et devient encore aujourd’hui de plus en plus dure, de plus en plus armée, policée et externalisée parce que, aujourd’hui, les frontières ne sont plus uniquement les lignes frontalières, mais ça va très loin à l’extérieur des pays. Il y a aujourd’hui toute une problématique des camps de détention de migrants aussi loin qu’en Mauritanie», explique la chargée de cours et directrice de l’Observatoire de géopolitique de la Chaire Raoul-Dandurand, Élisabeth Vallet, sur le site de Radio-Canada international.
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Les forces vives du Québec se mobilisent au sein du Collectif pour une forêt durable
Plus de quarante partenaires issus des milieux social, économique et municipal du Québec, dont la CSN et la FTQ, accompagnés d’intervenants du secteur forestier en provenance de toutes les régions, ont donné le coup d’envoi, aujourd’hui à Montréal, en présence du premier ministre du Québec, M. Philippe Couillard, et du ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, M. Luc Blanchette, au Collectif pour une forêt durable. Ce mouvement, qui découle d’une mobilisation sans précédent envers la forêt québécoise et son immense potentiel, agira notamment à titre de maître d’œuvre d’une campagne de mise en valeur, dotée d’un budget de 4,2 M$, intitulée Une forêt de possibilités. D’une durée de trois ans, cette campagne est destinée à créer un sentiment de fierté et à mettre pleinement en valeur le riche éventail d’opportunités de développement offert par l’ensemble du secteur forestier québécois.
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Journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie : Montréal, ville ouverte
En ce 17 mai, Journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie, la CSN tient à souligner l’importance du travail accompli, depuis plusieurs années, sur cet enjeu primordial. Particularité en 2017, la journée coïncide avec le 375e anniversaire de la fondation de Montréal. «Même si la lutte est loin d’être terminée, il faut souligner l’ouverture dont Montréal a souvent fait preuve envers les droits des personnes LGBT+», admet le secrétaire général de la CSN, Jean Lortie.
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La FTQ souligne la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie.
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Projet de loi C-27 sur les régimes de retraite : Prestations cibles? Pas à n'importe quel prix
La Confédération des syndicats nationaux (CSN) a déposé lundi son mémoire en lien avec la consultation menée par le ministère des Finances sur le projet de loi C-27 Loi modifiant la Loi de 1985 sur les normes de prestation de pension. «La CSN maintient que les régimes à prestations déterminées sont ceux qui offrent aux travailleuses et aux travailleurs la meilleure protection à la retraite, puisqu’ils leur garantissent le versement de la rente qu’ils ont accumulée. La CSN reconnaît également que les régimes à prestations cibles sont une alternative intéressante pour permettre à ceux qui participent à des régimes à cotisation déterminée d’améliorer leur véhicule d’épargne et une meilleure mutualisation des risques», de déclarer Francine Lévesque, vice-présidente de la CSN.
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Négociation du personnel professionnel des collèges : l’entente de principe est adoptée
Concluant plus de deux années de négociations, l’entente de principe entre le personnel professionnel des collèges représenté par le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) et le Comité patronal de négociation des collèges (CPNC) vient d’être adoptée par les membres. Dans cette entente de principe figurent les clauses normatives ou sectorielles qui préservent les acquis. Ces clauses comportent quelques avancées intéressantes pour les deux parties, notamment: plus de souplesse dans le processus pour pourvoir des postes vacants au moment opportun avec entente, une meilleure information du syndicat sur les contrats à forfait et la possibilité de puiser dans la banque de jours de maladie pour des congés de responsabilité familiale, qui passent de six à dix jours.
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Fin de la crise de la crevette à Gaspé et Matane : le mal est fait pour les travailleurs
La conclusion d’une entente entre les pêcheurs de crevettes et les usines est une bonne nouvelle, car elle permet de mettre fin à la crise. Mais le mal est fait pour les travailleuses et les travailleurs des usines de Matane et de Gaspé, car avec ce retard de sept semaines, ils pourraient se retrouver encore une fois sans aucun revenu, au printemps prochain, voire être incapables d’accumuler suffisamment d’heures de travail pour avoir droit à des prestations après la saison, à cause des règles actuelles de l’assurance-emploi.
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Une convention collective favorisant la conciliation travail/famille chez Novali Gourmet.
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Les agents correctionnels du Canada manifestent pour la reconnaissance de leurs conditions de travail uniques
Près de 200 membres du Syndicat des agents correctionnels du Canada (UCCO-SACC–CSN) ont manifesté mardi devant le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, à Ottawa. Près de trois ans après l’échéance de leur dernière convention collective, ils pressent le gouvernement de conclure une entente qui réponde, une fois pour toutes, à leurs besoins spécifiques.
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Caroline Lamarre demande un décret au gouvernement pour destituer le maire de Baie-Trinité
Présente à Québec pour participer au congrès du SCFP-Québec, Caroline Lamarre s’est adressé aux médias pour témoigner de la grande injustice qu’elle a subie. Mme Lamarre est cette employée de la municipalité de Baie-Trinité qui a été agressée sexuellement par le maire Denis Lejeune, reconnu coupable. «Moi aussi j’en ai, des droits! En tant que victime, mes droits sont constamment bafoués!, a déclaré Caroline Lamarre. Je demande un décret au gouvernement Couillard pour destituer ce maire. J’ai été victime d’agression sexuelle et ensuite, j’ai subi une deuxième injustice en ne pouvant pas retourner travailler, tandis que mon agresseur, lui, est retourné sans problème. Dans quel monde sommes-nous?» Mme Lamarre n’a pas pu réintégrer son travail depuis l’agression. Lejeune est parvenu jusqu’à maintenant à s’accrocher à son poste.
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Une grève le 24 mai dans la construction?
Alors que les négociations durent depuis des mois, l’intransigeance patronale force la main de l’Alliance syndicale qui a tenu des assemblées extraordinaires dans onze villes du Québec en début de semaine. «Pour débloquer les négociations, nous sommes obligés de demander à nos membres de se préparer pour la grève dès le 24 mai, a annoncé Michel Trépanier, porte-parole de l’Alliance syndicale. Les patrons souhaitent abolir la semaine de travail de cinq jours. Ils veulent changer notre horaire de travail n’importe quand, selon leur volonté, sans indemnités supplémentaires. La conciliation travail-famille serait impossible. Nous ne plierons jamais devant de telles demandes parce que nous défendons nos familles et notre dignité», a affirmé Michel Trépanier.
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La FTQ et le SQEES appuie la Déclaration pour la reconnaissance du droit à des services éducatifs de qualité dès la naissance
Pour donner suite au Sommet sur l’éducation à la petite enfance, la FTQ et le Syndicat québécois des employées et employés de service, section locale 298 (SQEES-298) s’engagent à promouvoir et à susciter l’adhésion du plus grand nombre aux principes de la Déclaration pour la reconnaissance du droit de tous les enfants à des services éducatifs de qualité dès la naissance.
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88% des Québécois réclament la même bonification du Régime de rentes du Québec que celle donnée aux autres Canadiens
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) rend public un sondage de la firme Léger dont 88% des répondants demandent que le gouvernement du Québec s’assure que les retraités du Québec reçoivent une rente dont le montant est le même que celui des retraités du reste du Canada. «Pour la FTQ, ce sondage est clair. La population n’acceptera pas que les retraités du Québec soient les plus pauvres du Canada. La population du Québec ne s’attend à rien de moins qu’à obtenir une pension équivalente à celle des retraités du reste du pays», déclare le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux.
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Discours de Denis Bolduc, président du SCFP-Québec, au 30e congrès : «Je veux qu’on active encore davantage notre flamme militante!»
Mardi matin, en ouverture du 30e congrès du SCFP-Québec, le président Denis Bolduc a tracé son bilan des deux dernières années et expliqué sa vision pour les deux prochaines. D’entrée de jeu, il a résumé la gravité de la situation en politique provinciale. «On a un gouvernement du Québec qui est à 100% au service d’une petite élite. Jamais on n’aurait pensé voir un gouvernement aussi indifférent, aussi condescendant envers le reste de la population, a-t-il déploré. Les ravages de messieurs Couillard, Moreau et Barrette s’étendent en santé, en éducation, dans le secteur municipal – entre autres! Le SCFP a fait un travail gigantesque pour limiter les dégâts. Mais il faut que ça arrête! Et le jour où ça va cesser, c’est le jour où on va leur montrer la porte», a-t-il scandé.
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Montréal : les policiers manifestent, les pompiers concluent une entente de principe
En dépit du climat de fête du 375e, des milliers de policiers du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont profité du 17 mai pour manifester leur mécontentement envers l'administration du maire Coderre. Ils ont tenu une marche sous le slogan «pas le cœur à la fête», rapporte le site de Radio-Canada. La Ville de Montréal a conclu une entente principe avec son syndicat des pompiers sur la restructuration de leur régime de retraite et sur les différends en matière de relations de travail. Le maire Denis Coderre en a fait l’annonce mercredi, par l’intermédiaire de son compte Twitter. L’Association des pompiers de Montréal (APDM), qui représente 2400 pompiers, a confirmé l’entente par voie de communiqué, rapporte également Radio-Canada.
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Dangers au Port de Québec, le syndicat s’inquiète
La colère gronde de plus en plus au Port de Québec. Le Syndicat des débardeurs du port de Québec (SCFP 2614), qui représente la centaine de débardeurs, dénonce avec véhémence la dangerosité des quais et l’inaction des autorités portuaires et du gouvernement fédéral. Cette dégradation des quais est due à un manque d’investissements dans les infrastructures. Le syndicat des débardeurs souhaite une mise à niveau rapide des quais qui ont été négligés dans les budgets fédéraux au cours des dernières années.
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Le REM, financé par le développement immobilier en zone humide voire inondable?
Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) et la coalition Trainsparence se questionnent sur la viabilité d’un grand projet immobilier lié au financement du Réseau électrique métropolitain (REM). En effet, les terrains du projet Cap-Nature de Pierrefonds-Ouest, qui prévoit la construction de 5500 habitations, sont présentement touchés par la grande inondation qui bouleverse la région de Montréal. Des membres de la coalition sont allés constater la situation sur le terrain. La zone ouest de 180 hectares de milieux naturels, planifiée comme «zone de conservation» du projet, est présentement largement inondée. Quant à la zone est de 185 hectares, dédiée à la construction des 5500 habitations, elle est présentement saturée d’eau, et sa végétation est typique de milieux marécageux. Pour le SCFP et la Coalition, des questions se posent sur la viabilité de ce projet immobilier et, par extension, sur la viabilité du REM lui-même.
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La lutte pour 15 $ gagne du terrain et le nouvel exécutif du CTC est élu au terme d’un vote électronique
De nombreux faits saillants ont marqué la 28e assemblée générale du Congrès du travail du Canada tenue du 8 au 12 mai à Toronto, mais deux se sont révélés plus marquants que les autres. Plus de 3 000 délégués ont livré le message prônant une hausse du salaire minimum à 15$ l’heure au district financier de Toronto le jeudi 11 mai, dans le cadre d’une fête de quartier tenue devant le siège social de la Banque TD sur Bay Street. Il appert que le message commence peut-être à porter fruit, car la première ministre de l’Alberta, Rachel Notley, avait déclaré aux délégués du CTC le veille, le 10 mai, que l’Alberta haussera le salaire minimum à 15$ l’heure en 2018 et le gouvernement libéral de l’Ontario, qui multiplie les promesses pour se faire réélire en 2018, pourrait inclure le salaire minimum de 15$ l’heure dans un rapport sur la réforme des normes d’emploi qui devrait être rendu public plus tard ce mois-ci. S’est ensuivi un vote électronique «haute technologie» pour élire les membres du nouvel exécutif.
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Universités : les femmes sous-représentées dans les postes de haute direction
Le tollé soulevé par la nomination d'un homme à titre de doyen de la faculté des arts et des sciences de l'Université de Montréal (UdeM) met en lumière la sous-représentation des femmes dans les postes de haute direction des universités. Dans une lettre ouverte publiée dans La Presse, une centaine de professeurs de l'UdeM estimaient que la nomination du nouveau doyen de la faculté des arts et des sciences était un exemple flagrant du «plafond de verre qui empêche les femmes de [l'Université] de prétendre aux plus hautes fonctions». Il y a sans contredit une sous-représentation des femmes aux postes de doyens des facultés universitaires au Québec, observe la titulaire de la Chaire Claire-Bonenfant - Femmes, Savoirs et Sociétés de l'Université Laval, Hélène Lee-Gosselin. «C'est encore pire au niveau supérieur, où, de toute évidence, elles ne sont pas », dit-elle.
Lire la suite du texte de La Presse.
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Des propositions du Comité contre le harcèlement et la violence à l'UQAC
Le Comité institutionnel contre le harcèlement et la violence de l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) espère déposer à l'automne une série de propositions visant à améliorer la politique de l'établissement, le cheminement des plaintes et à mieux faire connaître les ressources disponibles.
Lire la suite du texte du Quotidien.
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Une chaire de recherche en innovation sociale à l'UQAR
L'Université du Québec à Rimouski vient d'annoncer la création d'une nouvelle chaire de recherche en innovation sociale et en développement des territoires. Marc Alberio en sera le professeur titulaire.
Visionner la vidéo de l’entrevue.
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Dons records de 530 M$ à l'Université Laval et l'Université de Sherbrooke amasse la somme de 95,8 M$
L'Université Laval a pulvérisé son objectif de financement en amassant 530 millions $ en dons lors de la plus grande campagne de son histoire. C'est lors d'une cérémonie extérieure festive que le recteur de l'université Denis Brière a fait son dernier tour de piste lundi et annoncé que la fondation avait amassé une fois et demi ce qu'elle avait d'abord prévu, soit 350 millions $, rapporte Le Soleil. L'Université de Sherbrooke a recueilli 95,8 M$ jusqu'à maintenant dans sa campagne de financement majeure D'avenirs et de passion. De ce montant, une aide significative provient de la communauté universitaire, rapporte La Tribune.
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Intelligence artificielle : Boivin et Breton à la tête du comité
Québec met sur pied le comité qui va guider la création d'une grappe québécoise en intelligence artificielle, composée d'universitaires et de gens d'affaires. Le gouvernement avait déjà annoncé une somme de 100M$ sur cinq ans pour son développement. Le comité, qui sera composé de 12 personnes issues des domaines universitaire et d'affaires, sera coprésidé par Pierre Boivin, président et chef de la direction de Claridge, et de Guy Breton, le recteur de l'Université de Montréal. La grappe vise la recherche et l'innovation en intelligence artificielle ainsi que la création d'entreprises.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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Le congrès de l'ACFAS, lieu d'étonnantes découvertes
Toute la semaine, des milliers de scientifiques ont convergé vers l'Université McGill, où s'est tenu le 85e congrès annuel de l'ACFAS, l'Association francophone pour le savoir. Chaque jour, Le Soleil vous a résumé les travaux d'un de ces chercheurs, mais comme il y a beaucoup plus qu'une découverte intéressante présentée à cet événement, nous vous en proposons quelques-unes de plus, colligées ici et là pendant la semaine.
Lire la suite.
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Les raisons qui poussent les étudiants étrangers aux cycles supérieurs à choisir le Canada
Plus tôt cette année, les facultés d’études supérieures canadiennes n’ont pas perdu de temps à répondre à l’appel et à offrir leur soutien aux chercheurs et aux étudiants touchés par les répercussions du décret émis par le président des États-Unis Donald Trump. Nos écoles ont prolongé la période d’inscription, offert des espaces de travail et accordé le statut de chercheur invité aux étudiants et aux universitaires coincés au Canada. Ces mesures, et d’autres aussi, traduisent un profond engagement à l’égard des principes de diversité, d’inclusion et de citoyenneté mondiale que sous-tendent les études supérieures.
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
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Le Danemark devient le 64e pays à approuver la Déclaration sur la sécurité dans les écoles
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Le vernis vert écaillé du gouvernement québécois
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Revenu minimum : l'Ontario fait monter les enchères
L’Ontario a annoncé le 24 avril dernier les paramètres d’un projet pilote sur le revenu de base qui doit commencer dès la fin de ce printemps. De son côté, le Comité d’experts sur le revenu minimum garanti mandaté par le gouvernement du Québec doit rendre son rapport d’ici l’été. Voyons comment l’annonce faite en Ontario vient augmenter les enchères quant aux recommandations attendues de ce comité pour le revenu minimum à garantir au Québec.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Bilan sur le profilage social, un engagement à respecter
Le lundi 8 mai dernier, nous apprenions que l'étude publique du bilan annuel du SPVM qui devait avoir lieu le lendemain a été annulée en raison de l'état d'urgence décrété suite aux inondations; situation compréhensible vue les circonstances. L'ironie du sort est que le RAPSIM comptait être présent pour y rappeler un engagement de la Ville de Montréal et du SPVM sans cesse remis aux calendes grecques, soit la tenue d'un bilan public sur les actions en matière de profilage social et racial.
Lire la suite.
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Le Groupe de consultation sur les activités politiques des organismes de bienfaisance a fait du bon travail
Le Réseau québécois de l’action communautaire autonome (RQ-ACA) accueille favorablement le rapport du Groupe de consultation sur les activités politiques des organismes de bienfaisance. Ce rapport tient compte des recommandations émises lors des consultations de l’hiver dernier par l’ensemble des organisations, soit de remplacer les lois floues et obsolètes qui régissent les organismes de bienfaisance par un nouveau cadre législatif qui leur assure une pleine liberté d’expression. Dans notre mémoire, nous avions notamment démontré l’importance d’actualiser la notion d’action politique non partisane qui limite actuellement l’action des organismes de bienfaisance et d’élargir les objets de la bienfaisance de façon à ce que les organismes puissent participer pleinement à l’élaboration les politiques publiques.
Lire la suite de la lettre du RQ-ACA à la ministre du Revenu national.
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Le FRAPRU occupera des terrains et des bâtiments dans différentes villes
Le FRAPRU a annoncé le 15 mai une série d’occupations de terrains et de bâtiments qui débuteront le 22 mai, dans différentes régions, sous le thème Pour du logement social, ici!. Il était accompagné de locataires qui ont témoigné de leur besoin urgent de logements sociaux. Alors que le gouvernement québécois poursuit la révision de ses approches en habitation et que celui de Justin Trudeau a promis une Stratégie canadienne sur le logement pour l’automne, le FRAPRU, déçu par leurs derniers budgets, veut les convaincre de l’urgence de mieux mettre en œuvre le droit au logement. Pour y arriver, ils doivent relancer le développement du logement social partout au Québec, affirme le regroupement.
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Manif-occupations à Montréal pour du logement social ici!
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En action pour la justice sociale : pour une meilleure redistribution de la richesse
Près d’une centaine de personnes ont pris d’assaut le centre-ville de Trois-Rivières le 10 mai pour réclamer une meilleure justice sociale. Venant de partout au Québec, elles étaient réunies dans le cadre du colloque En action pour la justice sociale, organisé par le Mouvement d’éducation populaire et d’action communautaire du Québec (MÉPACQ). Les participants et participantes, réparties sur divers sites près du Parc Champlain, ont organisé différentes actions allant de la performance artistique jusqu’à l’action dérangeante pour réclamer une meilleure redistribution de la richesse. Après avoir assisté à divers ateliers d’éducation populaire en avant-midi, les participants et participantes sont passées de la réflexion à l’action pour interpeller la population et les élus et élues dans le cadre de la Semaine de la dignité des personnes assistées sociales du Québec.
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Dalle-parc dans le projet Turcot : marche des liens inter-quartiers pour briser les frontières du transport actif
Le gouvernement du Québec doit maintenir la dalle-parc dans le projet Turcot: plus vaste chantier autoroutier du Québec. Si le Gouvernement s’entête à couper encore sur les plus vulnérables, dans ce cas-ci les piétons et les cyclistes, ce sera une mobilisation montante pour la prise en compte des Montréalais. Participez à la marche des liens inter-quartiers pour briser les frontières du transport actif! Le rassemblement aura lieu le 11 juin. Un point de départ se fera à la Falaise Saint-Jacques à 10h30 pour ceux qui veulent faire l’expérience vélo des détours qu’on nous impose. Ensuite un pique-nique avec discours aura lieu sur le bord du canal Lachine à 12h près de la passerelle et des toilettes publiques du canal.
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Transition énergétique : le Québec à la croisée des chemins
Dans sa présentation au 85e Congrès de l'ACFAS, Noël Fagoaga faisait notamment le résumé d’un rapport de recherche produit par l’IRÉC en janvier dernier: Transition énergétique – amorcer une rupture, réalisé par les chercheurs Gilles L. Bourque, Noël Fagoaga, Robert Laplante et François L’Italien. Le Québec se retrouve face à un grand défi concernant son portefeuille énergétique comme peut en témoigner la politique énergétique 2030. Des tendances révèlent une amorce de découplage entre l’évolution de la consommation énergétique et la croissance de l’économie au Québec due au remplacement du mazout - par l’hydroélectricité et la biomasse - et l’efficacité énergétique en milieu industriel. Cependant, le secteur des transports a, quant à lui, augmenté sa consommation énergétique durant la même période. Pour réaliser pleinement une transition énergétique ambitieuse, l’IRÉC se propose de détailler des propositions sur les filières en développement ou d’avenir tel que la maitrise énergétique, l’éolien, la biomasse/chauffage et les biocarburants.
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Le marché des batteries : des opportunités pour le transport lourd
Dans une note d’intervention précédente, nous avons présenté les premiers éléments de notre analyse des enjeux soulevés par le développement du créneau stratégique des batteries pour les véhicules électriques et nous avons soumis quelques pistes pour en relever les défis. Nous poursuivons ici en nous penchant sur le potentiel de développement du créneau des batteries dont les produits pourraient alimenter la chaîne d’approvisionnement des éventuels fabricants de véhicules électriques de l’Ontario et des États du Nord-Est. Ce créneau nous paraît plus réaliste et mieux adapté à la situation québécoise. Comme l’a maintes fois déclaré Alexandre Taillefer, il paraît illusoire de vouloir attirer au Québec une usine de voiture électrique de grande série, l’historique des échecs dans ce domaine nous semble assez concluant pour ne pas chercher à refaire les mêmes erreurs.
Lire la note d’intervention de l’IREC.
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Donald Trump et l'énergie : le pire n'est jamais sûr...
En 2008, le parti républicain américain avait fait de l’extraction tous azimuts (le fameux « Drill, baby, drill ») un des slogans de la campagne présidentielle d’alors. En 2016, Donald Trump aura poussé bien plus loin la revendication d’un recours décomplexé aux énergies fossiles, au déploiement des infrastructures de leur transport (notamment le projet Keystone XL acheminant le pétrole issu des sables bitumineux d’Alberta jusque dans le Golfe du Mexique), le tout sur un fond d’un climato-scepticisme qui, énoncé sans retenue, confine au climato-négationniste. Mais, plutôt que de se référer aux propos d’estrade pour anticiper la politique du président élu, sans doute est-il préférable de se reporter au site de campagne où l’énergie est placée sous le sceau de «l’indépendance» (dans la rubrique «Making America Secure Again») Et plutôt que d’analyser la cohérence interne de ce programme (retour du charbon et qualité de l’air feront mauvais ménage...), tentons d’esquisser quelques observations sur la faisabilité des grands objectifs d’exploitation accrue des ressources fossiles.
Lire la suite sur le site connaissancedesenergies.org
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Rencontre tri-nationale des mouvements sociaux sur l’ALÉNA les 26 et 27 mai à Mexico
Les organisations mexicaines travaillant ensemble sous la bannière de Mexico Better Off Without FTAs (Un Mexique meilleur en dehors d’une entente de libre-échange) invitent les mouvements sociaux, les syndicats, les agriculteurs-trices, les peuples autochtones, les migrants, les environnementalistes, les groupes de droits de la personne à se joindre à une rencontre trinationale des secteurs populaires dans la ville de Mexico les 26 et 27 mai 2017 concernant la «renégociation» de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA), une entente qui fut négative pour les peuples des trois pays. Au cours des vingt-trois années écoulées depuis l’entrée en vigueur de l’ALÉNA, nous avons assisté à un accroissement sans précédent des bénéfices et des droits des sociétés multinationales qui ont contribué à élargir les inégalités économiques en Amérique du Nord. Les impacts sociaux, économiques et environnementaux sur les populations laborieuses ont été dévastateurs, incluant l’accroissement de la pauvreté et exacerbant les changements climatiques, affaiblissant les droits du travail, précarisant l’emploi, érodant les protections environnementales et entraînant une spirale descendante des niveaux de vie des populations à travers l’Amérique du Nord.
Lire la suite.
Déboulonnons les mythes à propos de l’AÉCG!
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