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L’UQAM a procédé mercredi au lancement de la campagne de financement de la Fondation de l’UQAM… en plein conflit avec les employées et employés de la Fondation. Les 20 personnes employées de la Fondation de l'UQAM sont sans contrat de travail depuis leur accréditation en 2015. Trois ans plus tard, leur première convention collective n'a pas encore été signée et les syndiqués se butent à des méthodes de négociation indignes d'une fondation universitaire. Les employés de la Fondation de l'UQAM font face à une direction intransigeante qui refuse catégoriquement l'évaluation des emplois et la mise en place d'échelles salariales connues et diffusées, fondement même de l'équité entre employés.
Mercredi, l’ensemble des autres syndicats de l’UQAM a remis une carte d’appui au syndicat au directeur de la Fondation, Pierre Bélanger, qui l’a prise du bout des doigts. Mais, bonne nouvelle, la rectrice de l’UQAM, Magda Fusaro, a promis qu’il y aurait un règlement au conflit prochainement. Un premier test important pour la nouvelle rectrice parce qu’en attendant, comme plusieurs personnes, je continue de retenir mon don.
Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ
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Assemblée générale du SCCUQ le mercredi 31 janvier
Le SCCUQ convoque ses membres à une assemblée générale le mercredi 31 janvier, à 13h, au local DS-R510. À l’ordre du jour : • Élection d’une ou un membre du Comité des agentes et agents de relations de travail (remplacement d’un congé maladie) et d’une ou un ombudsman des personnes chargées de cours • Budget 2018 • Le point sur les négos à l’UQO, à l’UQAC et à la Téluq.
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40e anniversaire : conseil syndical, cocktail dînatoire et le SCCUQ en quatre temps
Vendredi 9 février : 40 ans, ça se fête
Conseil syndical à 14h au local PK-1350: • Rapport des 5 comités de travail en vue de la prochaine négociation (formation à distance, intégration, recherche et création, stabilisation de l’emploi et EQE) • Présentation de la Politique institutionnelle sur la pédagogie inclusive.
5 @ 7 Cocktail dînatoire à la Chaufferie du Cœur des sciences (CO-R700). La musique sera assurée par le quatuor Rhapsodie, quatre musiciennes virtuoses et dynamiques. Vous devez confirmer votre présence à sccuq@uqam.ca.
Le SCCUQ en quatre temps : conférences débats sur des périodes marquantes de son histoire
Mardi 6 février à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540: La création: de la gestation à la première grève de personnes chargées de cours. Avec Laval Rioux (secrétaire) et Denis Laferrière (directeur) du premier exécutif provisoire et Marc Choko, premier président du syndicat accrédité.
Jeudi 15 février 5 @ 7 (à compter de 17h), au lieu social du Syndicat, local A-R540: La grève des cœurs et le début de la reconnaissance. Avec le chargé de cours Réal Leblanc et l’ex-chargé de cours Robert Martin. Autre panelliste à confirmer.
Mercredi 21 février 5 @ 7 (à compter de 17h), au lieu social du Syndicat, local A-R540: L’évolution de la convention collective et les années 2000. Avec Sylvie Goupil, ancienne v.-p. à la convention collective, Jocelyn Chamard, ancien v.-p. à la convention collective, et Jean-François Tremblay, ancien agent du CAART et ancien porte-parole à la table de négociation.
Mercredi 14 mars à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540: Que deviendront le SCCUQ et le militantisme de ses membres? Chargées et chargés de cours panellistes à confirmer.
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Séance d’information pour les nouvelles personnes chargées de cours le 20 février
Une séance d’information s’adressant particulièrement aux nouvelles personnes chargées de cours se donnera le mardi 20 février, à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 (pavillon Hubert-Aquin). La formation comprend un survol des thématiques suivantes: • le Syndicat des chargées et chargés de cours • les projets d’intégration • la convention collective • les programmes de perfectionnement • les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) • le régime de retraite. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence au plus tard le 16 février à Mariève Ross.
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Formation pour les membres des comités de liaison locaux le 13 mars
Une formation s’adressant aux représentants des chargées et chargés de cours siégeant aux comités de liaison locaux (CLL) sera donnée le mardi 13 mars, à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 (Pavillon Hubert-Aquin). Cette formation a pour but de vous outiller sur votre rôle de représentation au CLL de votre unité. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence à Jean Régnier.
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«Inconduite» : l’euphémisme dans l’ombre de #MoiAussi, fait valoir Sandrine Ricci
Commettre une agression sexuelle n’est pas «mal se conduire», il s’agit d’un acte criminel. Dans le sillage du mouvement de dénonciation #MoiAussi, plusieurs invitent à nommer plus précisément la violence sexuelle. Si «féminisme» a été élu mot de l’année 2017 par le dictionnaire américain Merriam-Webster, l’expression «inconduite sexuelle» pourrait facilement remporter un prix citron, si l’on en croit la chargée de cours et sociologue Sandrine Ricci. Le mot est défini par plusieurs dictionnaires par «mauvaise conduite», ou même «écarts» et «dévergondage». «“Inconduite” est un terme qui participe de l’euphémisation des violences sexuelles», affirme Mme Ricci, dans un texte du Devoir.
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Nicole Turcotte est l’idéatrice du jeu éducatif en enseignement de la danse Mots à la volée
Deux nouveaux jeux éducatifs en enseignement de la danse ont fait leur apparition au cours des derniers mois. Les jeux 26 cartes à danser et Mots à la volée ont plusieurs points en commun: les deux visent à mettre les enfants en mouvement, les deux misent sur le plaisir et les deux ont bénéficié de la collaboration du Département de danse de l'UQAM. Le jeu Mots à la volée, créé par l'Association québécoise des enseignants de la danse à l'école, est une idée de Nicole Turcotte, chargée de cours au Département de danse, où elle a été professeure invitée durant six ans. Il s'adresse principalement aux élèves du primaire et du secondaire. «Ses règles peuvent être adaptées à plusieurs contextes, affirme Nicole Turcotte. Par exemple, les enfants allophones qui ne maîtrisent pas la langue française peuvent se servir des pictogrammes pour jouer», peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Journée nationale contre l’islamophobie : L’instrumentalisation d’un drame, soutient André Lamoureux
Ainsi, après s’être lancé dans la contestation judiciaire des prescriptions de la loi 62 visant l’interdiction du niqab et de la burqa aux fins de prestation et de réception des services publics, le Conseil national des musulmans canadiens (CNMC) exige maintenant que le 29 janvier de chaque année, se référant à l’attentat survenu à Québec en janvier dernier contre une mosquée, devienne une «Journée nationale contre l’islamophobie». Il instrumentalise cet événement tragique pour relancer une croisade contre «l’islamophobie». Lors de cette tuerie horrible, les Québécois ont pourtant très largement, voire presque unanimement, condamné le geste d’Alexandre Bissonnette, soutient le chargé de cours André Lamoureux dans un texte publié par Le Devoir.
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Lukas Brochard et Guillaume Cliche-Rivard mènent leurs étudiants aux grands honneurs lors d'une simulation de l'ONU
Une délégation de la Faculté de science politique et de droit a remporté, une fois de plus, la plus haute distinction (prix Outstanding Delegation) lors d'une simulation de l'ONU (NMUN) qui se déroulait aux îles Galápagos, du 5 au 14 janvier derniers. La délégation représentait l'Allemagne lors de la compétition. Le cours crédité de la Simulation NMUN (FPD-5000) est offert chaque année d'octobre à avril et est donné par les chargés de cours Lukas Brochard et Me Guillaume Cliche-Rivard. Une nouvelle délégation de 22 délégués se prépare à représenter la Tunisie à New York à la fin mars 2018. La délégation de la FSPD a remporté ce concours 11 fois lors des 12 dernières années, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Les vêtements pare-balles de plus en plus populaires aux États-Unis fait remarquer Madeleine Goubau
Le fait qu'environ 310 millions d'armes à feu soient en circulation aux États-Unis a des répercussions sur la mode dans ce pays, explique la chargée de cours et journaliste Madeleine Goubau. De plus en plus, des designers conçoivent des vêtements pare-balles comme des t-shirts, camisoles, vestes et manteaux pour les Américains qui craignent pour leur sécurité. Ce ne sont plus seulement les policiers ou les forces de l’ordre qui se dotent de gilets pare-balles, fait remarquer Madeleine Goubau dans un texte de Radio-Canada. Des vêtements tout à fait normaux, au goût du jour pour M. et Mme tout-le-monde, sont maintenant conçus pour résister à différents types de projectiles.
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Sommes-nous en guerre fiscale? Brigitte Alepin répond oui
La réduction de 40% du taux d’imposition des sociétés aux États-Unis entraînera-t-elle une vague de fond vers la défiscalisation des entreprises multinationales? Sera-t-elle assez puissante pour permettre de franchir le point de bascule menant à une défiscalisation totale des multinationales au nom du principe néolibéral d’attrait du capital d’investissement? La question mérite certes un examen attentif. La concurrence fiscale que se livrent les États risque d’accentuer la pauvreté en créant une richesse monopolistique excessive. Est-ce que la guerre fiscale est commencée? Sous certaines formes et dans de nombreux États, elle est déjà bien engagée, soutient la chargée de cours Brigitte Alepin dans le Devoir.
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Quand Trump fait dériver les États-Unis, la Chine progresse, selon Donald Cuccioletta
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Amère déception des personnes employées de la Fondation de l'UQAM face à l'attitude de leur direction
Les 20 personnes employées de la Fondation de l'UQAM sont sans contrat de travail depuis leur accréditation en 2015. Trois ans plus tard, leur première convention collective n'a pas encore été signée et les syndiqués se butent à des méthodes de négociations indignes d'une fondation universitaire. Les employés de la Fondation de l'UQAM font face à une direction intransigeante qui refuse catégoriquement l'évaluation des emplois et la mise en place d'échelles salariales connues et diffusées, fondement même de l'équité entre employés. En conciliation depuis le 20 juillet 2017, les rencontres de négociation n'ont pas donné les résultats escomptés.
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Pas de grève pour les chargés de cours de l’UQO avant le 21 janvier
Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO) et la direction de l’UQO ont convenu de quatre dates de négociation avec une conciliatrice les 21, 26, 27 et 28 janvier 2018. Afin de laisser une dernière chance à la négociation, le SCCC-UQO a décidé de ne pas exercer son mandat de grève jusqu’au 21 janvier. Des actions de visibilité seront toutefois maintenues pendant cette période. «Tant la partie patronale que nous avons ouvert nos agendas pour négocier même pendant la fin de semaine. Après chacune des séances de négo, nous réévaluerons nos actions», a déclaré Marie-Josée Bourget, présidente du SCCC-UQO.
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Négociations à l’UQO : le recteur Denis Harrisson pousse les profs à la grève
Mercredi matin entre 8h30 et 9h30, les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais (SPUQO) ont exercé leur droit de grève, contredisant ainsi les prétentions du recteur Denis Harrisson. Celui-ci avait annoncé sur le site de l’UQO que l’arrêt de travail d’une heure prévu ce matin pouvait ne pas se concrétiser tellement une entente était envisageable. «Lundi dernier, lors de la première de deux séances de conciliation que nous avons demandées, l’équipe patronale n’avait pas le mandat de répondre à la contre-proposition que nous lui avons présentée», de déclarer Louise Briand, présidente du SPUQO.
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UQO : la plainte contre la professeure Louise Briand est rejetée
La professeure de l'Université du Québec en Outaouais, Louise Briand a récemment été informée que la plainte contre elle avait été rejetée, mais sans explication! En mai 2017, la Fédération des professionnèles (FP-CSN) a lancé une campagne pour dénoncer l’exclusion illégale de Louise Briand, professeure à l’UQO, du conseil d’administration de l’UQO et la plainte en déontologie qui a été logée contre elle. La professeure Briand a comparu devant le Comité de gouvernance et d’éthique du conseil d’administration de l’UQO le 6 septembre et elle ne connaissait pas, plus de trois mois après sa comparution, la décision du comité, bien qu’elle ait contacté le président du comité à deux reprises. À la suite des pressions à un plus haut niveau, coup de théâtre! Le 21 décembre 2017, la professeure Briand a reçu une lettre du président du Comité de gouvernance et d’éthique stipulant que la plainte contre elle avait été rejetée, mais sans qu’aucune explication lui soit donnée!
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Les modifications proposées à la charte de l’U de M sèment la controverse
Le projet de modernisation de la Charte de l’Université de Montréal est plutôt bien accepté des étudiants, chargés de cours et diplômés, mais pas des professeurs. Inscrire dans la Charte les chargés de cours, les étudiants, les employés et les diplômés est un des quatre objectifs de cette réforme avance le recteur Guy Breton. «La nouvelle Charte modifie les équilibres au sein de l’université, menace la liberté académique et la collégialité et modifie les conditions de travail des professeurs sans négociation», dénonce le président du Syndicat général des professeurs et professeures de l’Université de Montréal (SGPUM), Jean Portugais. Selon le SGPUM, la structure de gouvernance devient moins collégiale et plus autoritaire, notamment parce que l’assemblée universitaire perd des pouvoirs au profit du conseil. «La collégialité à laquelle tiennent les professeurs exclue tous ceux qui ne sont pas professeurs!» rétorque Guy Breton.
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
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Appel à une mobilisation internationale : pour l’enseignement supérieur et la recherche, pour le progrès scientifique et humain
Dès les premiers jours de sa présidence, Donald Trump exprima sa volonté de contrôler les programmes de recherche susceptibles de recevoir des crédits fédéraux et de restreindre la diffusion des résultats de grandes agences fédérales comme l’Agence pour la Protection de l’Environnement (EPA). Rapidement, il prit de premières décisions en ce sens. Quelques années auparavant, Stephan Harper, premier ministre du Canada de 2006 à 2015, avait ouvert la voie. En Turquie, les universitaires sont l’une des cibles prioritaires de la répression contre toute opposition à Recep Tayyip Erdogan. De tels comportements autoritaires constituent une régression inquiétante pour la communauté universitaire, la science et la démocratie. Dans le même temps, partout dans le monde, l’enseignement supérieur et la recherche (ESR) subissent des transformations profondes qui s’accompagnent d’un recul des libertés universitaire, scientifique et professionnelle.
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Thème du 8 mars 2018, Journée internationale des femmes : Féministes tant qu’il le faudra!
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Féministes tant qu’il le faudra! Le thème du 8 mars 2018 résonne plus que jamais alors que les derniers mois ont été marqués par des événements sans précédent avec les nombreuses vagues de dénonciation des agressions sexuelles perpétrées à l’endroit des femmes. Travaillons à combattre et à mettre un terme aux multiples violences faites aux femmes, dont celles qui sont commises envers les femmes autochtones. Dénonçons aussi l’impact sexiste du néolibéralisme et des mesures d’austérité, dont les coupes dans les services publics, la commercialisation des services éducatifs à la petite enfance et la discrimination systémique en emploi qui persiste pour toutes les femmes et en particulier pour les femmes racisées ou en situation de handicap. Et tant qu’il le faudra, revendiquons l’égalité entre les femmes et les hommes et entre les femmes elles-mêmes. Les outils du 8 mars 2018 sur le thème de Féministes tant qu’il le faudra! sont maintenant en ligne.
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Hausse de 0,75 $ du salaire minimum en 2018 : le gouvernement doit faire plus et plus rapidement
Bien que la CSN accueille favorablement l’annonce de la hausse prochaine du salaire minimum de 0,75$ l’heure, le portant ainsi à 12$ l’heure, elle estime que cela reste insuffisant pour de nombreux salarié-es qui peinent à joindre les deux bouts, même s’ils travaillent à temps plein. Pour l’organisation syndicale, le gouvernement doit impérativement hausser le salaire minimum de façon significative afin d’atteindre 15$ l’heure, et ce, dans les plus brefs délais. La hausse annoncée par le ministre Viens, qui devrait toucher près de 10% des travailleuses et travailleurs du Québec, ne permettra pas à ces salarié-es de sortir de façon durable de la pauvreté.
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«On est encore loin du salaire minimum à 15$ l’heure» — Daniel Boyer, président de la FTQ.
La preuve que la mobilisation pour le salaire minimum à 15 $ doit se poursuivre, affirme la CSQ.
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Stratégie éducative 0-8 ans : trop peu trop tard
La stratégie éducative 0-8 ans déposée par le gouvernement du Québec constitue un pas dans la bonne direction pour atteindre l’égalité des chances et améliorer la qualité des services éducatifs. Toutefois, pour réussir, le gouvernement devra être davantage à l’écoute des travailleuses et des travailleurs des réseaux éducatifs et allouer les ressources financières requises. Après des années de coupes, cette stratégie propose trop peu et arrive trop tard. L’accessibilité aux services éducatifs à la petite enfance constitue un principe revendiqué depuis longtemps par la CSN, dans le but d’assurer l’égalité des chances. «Le gouvernement entend soutenir différents organismes communautaires afin de rejoindre les enfants qui ne fréquentent pas les services de garde éducatifs et c’est une bonne chose. Cependant, nous réitérons qu’il doit aller plus loin ; pour nous, la gratuité pour les familles à faible revenu doit être mise en place», explique Véronique De Sève, vice-présidente de la CSN.
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Le gouvernement s’éveille à l’approche des élections, selon la CSQ.
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Investissements pour rénover les écoles : réaction prudente de la CSQ
«Tout investissement significatif pour l’entretien et la rénovation de nos écoles est le bienvenu, car les besoins sont énormes. Cependant, le ministre doit s’assurer que ces sommes annoncées se concrétiseront réellement, ce qui n’a pas toujours été le cas par le passé.» Telle est la réaction de Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) à l’annonce du ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, d’un investissement de près de 740 millions de dollars pour rénover les écoles du Québec en 2018.
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Impacts de la transition énergétique sur la main-d’œuvre : des effets positifs si le Québec s’y prépare
Alors que les impacts de la transition énergétique sur la main-d’œuvre et les entreprises n’ont pas été réellement pris en compte dans la Politique énergétique 2030 et que le gouvernement travaille actuellement sur la Stratégie de la main-d’œuvre, un groupe de travail multisectoriel a dévoilé une étude inédite sur les impacts de la transition énergétique sur la main-d’œuvre et les entreprises québécoises à l’horizon 2030. Les effets anticipés de la transition énergétique seraient largement positifs si le Québec s’y prépare dès maintenant, affirme ce regroupement composé du monde syndical, patronal, de l’environnement, académique et de l’économie sociale. La formation de la main-d’œuvre sera une des clés d’une transition énergétique réussie et inclusive, ainsi que le développement d’entreprises de calibre mondial dans une série de créneaux porteurs.
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Ne pas taxer Netflix et les autres : une décision dont le gouvernement ne connaît pas le coût
La Coalition pour la culture et les médias estime inconcevable que le gouvernement Trudeau – qui martèle depuis des mois qu’il n’est pas question de taxer Netflix – ignore à quelle hauteur se chiffrent les pertes de revenu encourues par l’absence de taxation dans le commerce électronique provenant de l’étranger. La Coalition a été surprise d’apprendre, dans La Presse, que le gouvernement n’a pas encore en sa possession de données financières sur le montant qu’il perd annuellement avec sa décision de ne pas percevoir des taxes sur un produit comme Netflix ou sur des plateformes de commerce en ligne comme Amazon. Pourtant, la fiscaliste Marwah Rizqy a été en mesure d’évaluer cette perte à presque 40 millions de dollars par année, uniquement pour Netflix, et ce pour le seul gouvernement fédéral. Il s’agit de sommes d’argent colossales qui, combinées aux taxes que pourraient encaisser les provinces, permettraient de soutenir moult productions culturelles ou encore de financer des mesures sociales.
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Contrats de brise-glaces au chantier naval Davie : une étape pour assurer le maintien des emplois à Lévis.
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Exclusion du personnel de la SAQ à la Société québécoise du cannabis : la ministre fait volte-face
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Appui de la FIM–CSN aux 1030 lock-outés de l’Aluminerie de Bécancour
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Projet de loi no 155 et contrats accordés par les municipalités : le gouvernement libéral va-t-il confirmer l’adoption de règles laxistes?
De passage aux consultations sur le projet de loi n°155, qui touche diverses dispositions concernant le secteur municipal, les représentants du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) ont attiré l’attention sur un point décisif dans les règles d’octroi des contrats. Ils soulignent que dans son état actuel, le projet de loi confirme de graves lacunes déjà présentes dans le projet de loi 122, adopté en 2017 dans la controverse. Le SCFP déplore surtout que les règles d’octroi des contrats comportant des dépenses de 25 000$ à 100 000$ pourraient être établies au cas par cas par chacune des 1110 villes et municipalités du Québec. En clair, le gouvernement du Québec leur permettrait d’octroyer de gré à gré tous les contrats de moins de 100 000$.
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Des centres d’appels humains pour des services publics de qualité
Les travailleuses et les travailleurs des centres d’appels du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Solidarité sociale (MTESS) et de Services Québec pourront bénéficier du régime d’horaire variable dès le 18 janvier. Ce projet a été accepté par les membres à près de 100% lors d’une assemblée de votes. Les centres concernés sont le Centre de relations avec la clientèle de Services Québec (CRCSQ), le Centre de communication avec la clientèle (CCC) ainsi que le Centre d’assistance au placement (CAP). Ce gain est le résultat d’une série de séances de négociation qui se sont déroulées à l’automne 2017 auprès de l’employeur.
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Visionner la vidéo.
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Permission de sortie pour le dirigeant du syndicat iranien de l’éducation, Esmail Abdi
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Des résidences mieux protégés à l'Université Laval
L’Université Laval ne lésine pas sur la sécurité et engage 770 000$ supplémentaires pour protéger ses résidences étudiantes. Une décision prise dans la foulée de la série d’intrusions et d’agressions sexuelles survenue à l’automne 2016. Les nouvelles mesures de sécurité consistent en l’installation de «contrôles d’accès électroniques [lecteurs de puces] sur les portes extérieures, intérieures et les ascenseurs». Des caméras de surveillance seront quant à elles braquées sur «les aires communes».
Lire la suite du texte du Soleil.
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La loi visant à contrer les violences sexuelles aux cycles supérieurs : un bon outil selon plusieurs
L’Assemblée nationale adoptait à l’unanimité, le 8 décembre, le projet de loi 151 visant à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur. Dans le cadre de sa série d’articles sur les obstacles à l’éducation des adultes rencontrées par les femmes, l’ICÉA jette un regard sur cette nouvelle loi.
Lire le texte.
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Mettre fin aux propos haineux et violents contre les chercheurs en sciences sociales
Nous, professeures et professeurs en sciences sociales de l’Université Laval, ainsi que des collègues d’autres facultés de notre institution de recherche et d’enseignement supérieur, lançons cet appel pour condamner fermement les propos haineux et violents tenus à l’encontre des chercheurs en sciences sociales. Depuis quelques années en effet, et de façon plus récurrente en 2016-2017, certains chroniqueurs (radios, quotidiens de presse) et leurs lecteurs et auditeurs s’évertuent à émettre des propos haineux et des violences verbales peu subtiles aux chercheurs universitaires qui, en prenant la parole dans l’espace public québécois, assument leur responsabilité sociale en éclairant scientifiquement des enjeux sociaux sensibles tels que la misogynie et l’homophobie, et des tensions liées à l’immigration et à la religion, ou encore le racisme, l’islamophobie et autres formes de radicalisations violentes ou menant à la violence.
Lire la suite du texte publié par Le Soleil.
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Les étudiants parents souhaitent l’appui des universités
À l’Université de Montréal, le conseiller Martin Rioux a reçu de la fédération étudiante en 2009 le mandat d’élaborer des programmes pour étudiants parents. Il a depuis organisé des activités mensuelles, dont un BBQ d’orientation, une cueillette de pommes, une activité avec le père Noël et une sortie à la cabane à sucre. Ces activités sont financées par des fonds étudiants – ce n’est pas le cas dans toutes les universités – et s’adressent uniquement aux étudiants parents. Les universités ne disposent pas toutes d’un budget pour aider les étudiants parents, et les intervenants estiment qu’il serait plus facile d’obtenir de l’aide financière si le nombre d’étudiants parents était connu. Malheureusement, peu d’universités tiennent des registres, et il existe peu de données fiables à l’échelle provinciale ou nationale.
Lire le texte sur le site Affaires universitaires.
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Rénovation des écoles et manœuvres électorales
Évidemment, personne ne s’élève contre les investissements de 740 M$ annoncés hier par le gouvernement Couillard pour la rénovation et l’entretien d’écoles québécoises. En fait, l’ensemble des acteurs du milieu s’accorde pour dire qu’il était plus que temps. Cependant, il importe de relativiser cette annonce qui comporte toutes les apparences d’une manœuvre électoraliste. Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, peut bien s’enorgueillir de faire une telle annonce pour les rénovations et la remise en état des 1282 écoles du Québec. Cependant, il faut noter qu’en mars dernier, le gouvernement avait déjà promis des investissements de 724 M$. Ainsi, cela signifie que l’annonce d’hier constitue une augmentation du budget dédié à l’entretien des écoles de seulement 16 M$.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Le financement de l’éducation des adultes, faire le point : des spécialistes explorent 9 secteurs
Après un premier mandat du gouvernement de M. Couillard, l’ICÉA a été à même de constater une diminution importante du financement public en éducation des adultes (Enquête 2016) et de ses effets (Portraits 2017). Afin d’approfondir nos connaissances sur ce dossier, l’ICÉA fait appel à neuf spécialistes d’autant de secteurs qui permettront de : • Évaluer l’écart entre les coupes effectuées dans chacun des secteurs de l’éducation des adultes depuis 2013 et les annonces d’investissement récentes. • Évaluer si les investissements prévus répondent aux besoins en matière d’éducation des adultes. Journée d'étude sur le financement de l'éducation des adultes le 22 février de 9h à 15h. Inscrivez-vous d’ici le 31 janvier, afin que l’ICÉA puisse louer une salle appropriée. Confirmez votre présence auprès de Louise Brossard: lbrossard@icea.qc.ca.
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L’intelligence artificielle québécoise aura pignon sur rue à Montréal
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Le secteur de l’intelligence artificielle québécois disposera d’un «centre d’excellence mondial» à Montréal où se concentreront ses forces vives tant en recherche fondamentale qu’en expérimentation technologique et commerciale, et en financement et en développement d’entreprises. «Nous sommes actuellement dans le peloton de tête dans le monde en intelligence artificielle, mais pour rester dans la course, il va falloir faire des choses différemment parce qu’on n’aura jamais les capitaux des Chinois ni des Américains», a déclaré lundi le coprésident du comité d’orientation pour la création de la grappe québécoise en intelligence artificielle, Pierre Boivin. La solution qui a été trouvée est de lui donner pignon sur rue dans «un centre d’excellence mondial nouveau modèle» disposant de plus «d’un demi-million de pieds carrés» en ville où se retrouveront 160 chercheurs de l’Institut des algorithmes d’apprentissage de Montréal (MILA) de l’Université de Montréal, ainsi que leurs collègues de l’Université McGill.
Lire la suite du texte du Devoir.
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Les femmes comptent pour 53% des diplômés universitaires, mais elles ne représentent que 45% des cadres de premier niveau, 35% des directeurs, 25% des vice-présidents et 15% des PDG. Accepteriez-vous de jouer au poker contre un adversaire qui a trois fois plus de cartes dans son jeu que vous? Si oui, écrivez-moi, je nous organise une partie. Mais sinon, je comprends que vous n’ayez pas envie d’être le dindon de la farce et que vous passiez votre tour. C’est pourtant le type de partie inique que les femmes doivent accepter de jouer sur le marché du travail.
Lire la suite de l’éditorial de L’actualité.
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Un 5 à 7 du CFP sur Le totalitarisme pervers avec Alain Deneault le 19 février
Un 5 à 7 du Centre de formation populaire portera sur Le totalitarisme pervers avec Alain Deneault comme invité le lundi 19 février à la Taverne Jarry, 552 rue Jarry Est. Alors que la pratique politique moderne voudrait que les sujets d’une collectivité obéissent aux lois, non aux puissants, on assiste à un renversement pervers: ce sont les multinationales, aujourd’hui, qui soumettent la délibération des assemblées politiques à d’autres «lois», leurs lois, qu’elles s’assurent de rendre efficaces: la «loi» du marché, la «loi» de la concurrence, la «loi» universelle de l’offre et de la demande. Ce livre, Le totalitarisme pervers, à paraître le 31 janvier 2018 aux Éditions ÉCOSOCIÉTÉ, étudie la façon dont les pétrolières, imitées en cela par des multinationales d’autres secteurs, se constituent telles des autorités souveraines de nature privée.
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Journée d’actions le 20 février : forçons Québec à faire le choix de la justice sociale!
Nous avons les moyens de réinvestir massivement dans les services publics, les programmes sociaux et l’action communautaire autonome! Non seulement les surplus sont gigantesques, mais le gouvernement peut aller chercher des milliards de $ avec des mesures fiscales plus équitables, comme le propose la Coalition Main rouge avec ses 10 milliards de solutions. Le 20 février, la Coalition Main rouge souligne la Journée mondiale de la justice sociale par une journée d’actions régionales. Forçons le gouvernement du Québec à faire le choix de la justice sociale! Joignez-vous aux actions organisées dans votre région ou dans votre milieu (détails à venir).
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Nouveau groupe de soutien pour les jeunes femmes organisé par le Y des femmes
Le Y des femmes de Montréal propose aux jeunes femmes de 17 à 25 ans ayant vécu une expérience d’intimidation de se joindre à son nouveau groupe de soutien pour les jeunes femmes. Développé par les services jeunesse, le groupe, supervisé par Saraounia Compère, étudiante à la maîtrise en travail social, offre l’occasion de réfléchir et d’échanger sur le phénomène de l’intimidation et les conséquences sur soi. Les rencontres auront lieu hebdomadairement au Y des femmes de Montréal, 1355, boul. René-Lévesque Ouest (coin Crescent), à Montréal, pour une période de 11 semaines à compter de la fin janvier. Le nombre d’inscriptions est limité.
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Portrait des inégalités socioéconomiques touchant les Autochtones au Québec
La réalité des Autochtones au Canada est marquée par des problèmes sociaux de taille. Parmi les enjeux les plus souvent cités, on compte l’accès déficient à l’eau potable, le délabrement et le surpeuplement des logements, les disparitions et assassinats de femmes et de filles ainsi que les vagues de suicides qu’ont connues plusieurs communautés. Afin d’y voir plus clair, nous dressons dans cette note un portrait de la condition socioéconomique des Autochtones au Québec en mettant l’accent sur les inégalités vécues par rapport aux non-Autochtones. Dans un premier temps, il sera brièvement question de la situation des Autochtones au Canada. Dans un deuxième temps, nous ferons le portrait de la situation des Autochtones au Québec, en nous intéressant d’abord aux données démographiques et géographiques. Ensuite, nous nous pencherons sur les inégalités à caractère économique, telles que l’emploi et le revenu. Enfin, il sera question des inégalités sociales se rapportant notamment à la santé et à la justice.
Lire la note socio-économique de l’IRIS.
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Portrait des groupes écologistes communautaires du Québec
Le mouvement environnemental québécois, né dans les années 1970, a souvent exprimé le désir de mieux se connaître. Le Réseau québécois des groupes écologistes est fondé par et pour les groupes en 1982 avec objectif de regrouper, renforcer et parfois représenter les groupes écologistes du Québec. Les organisations fondatrices souhaitent développer leurs solidarités, s’allier sur certains enjeux stratégiques, partager des connaissances et constituer une mémoire collective. Il s’agit d’une histoire fascinante et complexe avec plusieurs mutations et nombre de difficultés criantes. C’est pour ces raisons qu’elle résidait dans la tradition orale et restait jusqu’à récemment plutôt mal connue. Pour en savoir davantage, consultez cette nouvelle étude sur les groupes écologistes communautaires du Québec.
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Année électorale : les affirmations douteuses du PLQ
En cette année électorale, chaque parti voudra parfaire son image de marque. Au Parti libéral du Québec (PLQ), on cherchera à se défaire une fois pour toutes de l’étiquette gênante du «gouvernement de l’austérité». Pas vraiment parce que le parti de M. Couillard regrette les coupes qu’il a imposées, mais seulement parce qu’il est difficile de se faire réélire en trainant avec soi l’image d’un incendiaire. Dans ce texte, je propose de vérifier la validité d’un mantra que le ministre des Finances répète tous les jours depuis près de quatre ans: il n’y a pas d’austérité au Québec, mais simplement un ralentissement du rythme d’augmentation des dépenses.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Qu’est-ce qui se cache derrière le 15$/h?
On ne se lasse pas de nous rappeler que l’origine de la campagne pour la hausse du salaire minimum à 15$ provient des États-Unis, de certaines villes où le coût de la vie est si élevé qu’il est pratiquement impossible de se loger près de son travail quand on est employé au salaire minimum. La situation est différente ici. On a de nombreux programmes pour soutenir le revenu des personnes les plus précaires (surtout les familles) et, grâce à un ensemble de facteurs, l’immobilier et le marché locatif sont beaucoup plus abordables qu’ailleurs. Est-ce à dire que le salaire minimum à 11,25$ est juste? Pour le savoir, il faut d’abord définir ce qui est «juste» avec un salaire minimum.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Le père Emmett Johns, un héritage exceptionnel
C’est avec beaucoup d’émotion que toutes personnes touchées par les réalités de l’itinérance ont appris le décès du père Emmet Johns. Il y a d’abord des milliers de jeunes (aujourd’hui devenus adultes et parfois même retraités !) qui ont bénéficié du soutien de son action depuis 30 ans. L’œuvre de POPS a été remarquable, par son approche terrain d'aide inconditionnelle et sa reconnaissance du droit à l'erreur. Son travail devenu celui d’un organisme solide avec toute une équipe a permis à des milliers de jeunes d’éviter la rue et de s’en sortir. Il a légué un héritage exceptionnel avec l'action toujours nécessaire de Dans la rue 30 ans plus tard, avec son centre de jour, son hébergement, son école de la rue, son motorisé qui sillonne les rues et ses logements sociaux.
Lire la suite du texte du RAPSIM.
Les jeunes de la rue perdent leur «père».
Henri Conard lègue plus de 500 000 $ pour lutter contre la pauvreté.
Toronto est appelée à s'inspirer de Montréal concernant les itinérants.
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Ouverture de poste à la coordination de la Ligue des droits et libertés
La Ligue des droits et libertés (LDL) est une organisation qui réunit des militant-e-s de tout horizon et de différents milieux qui rassemblent leurs énergies pour faire connaître, défendre et promouvoir l’universalité, l’indivisibilité et l’interdépendance des droits de la personne. La LDL est actuellement à la recherche de candidatures au poste de coordination dont les principales fonctions consistent à assurer le bon fonctionnement de l’organisme, ses représentations extérieures, y compris avec les médias, et les liens avec ses partenaires. La coordination voit également à la mise en œuvre des orientations générales de la LDL, du plan d’action, est responsable de l’équipe de travail ainsi que de la saine administration financière de l’organisme.
Lire la suite.
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Soutien financier aux organismes communautaires du gouvernement du Québec : données 2014-2015
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Être de gauche en période de noirceur
Les périodes de noirceur sont des moments où la gauche affronte de nouveaux défis. Comment reprendre l’initiative lorsque les reculs sont si brutaux? Comment, devant tant de désespoirs, faire imaginer le retour à un devenir plein d’espoirs? Et, face à tant de capitulations, d’opportunisme et de silences complaisants, comment demeurer conséquents avec ses principes?
Lire la suite du texte d’Emir Simão Sader, sociologue brésilien, professeur en sciences politiques à l’université de Campinas publié par le journal web Brasil 247.
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Google renforce la mise sur liste noire des sites Web et des journalistes de gauche
Dans une expansion généralisée de ses mesures visant à censurer Internet, Google a supprimé les principaux sites Web et journalistes de gauche de sa plate-forme d’agrégation d’articles d’informations, Google News. Au moment de la publication de cet article, une recherche pour «World Socialist Web Site» sur news.google.com ne renvoyait pas un seul article publié sur le WSWS. Une recherche du titre exact de l’un des articles publiés pendant cette période ne donne par ailleurs aucun résultat. Au cours des sept derniers jours, news.google.com n’a redirigé que 53 personnes vers le World Socialist Web Site, ce qui représente une baisse de 92 pour cent pour la moyenne hebdomadaire par rapport aux plus de 650 au cours de la dernière année.
Lire la suite sur le site legrandsoir.info
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