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Je me demande bien comment ça se fait que l’UQAM ait été à peu près la dernière institution d’enseignement à suspendre ses activités mercredi en raison des conditions météorologiques. Il était passé 8h30, j’ai reçu un courriel à 9h50. Ça faisait un bon bout de temps que l’Université de Montréal, Concordia, la plupart des cégeps et toutes les commissions scolaires de l’île de Montréal avaient avisé les médias de leur fermeture. Quelqu’un dormait au gaz ou dormait tout court. Mais c’est quand même moins pire que le ministère des Transports et sa gestion de l’autoroute 13. Une des leçons à retenir dans ce cas-là, c’est qu’avec toutes les compressions budgétaires des dernières années tout le financement des «en cas» a été éliminé. En cas de grosse tempête, en cas de panne majeure, il n’y a pu de personnel additionnel prêt à répondre à l’urgence. De toute façon ça n’arrive qu’une fois par dix ans…
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
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L'évolution du programme de perfectionnement et de mise à jour des connaissances de 2012 à 2016
L'un des deux représentants des chargées, chargés de cours au Comité paritaire de perfectionnement, Jean-Pierre Girard, a présenté, lors du conseil syndical du 13 mars, l'évolution du programme de perfectionnement et de mise à jour des connaissances de 2012 à 2016 (demandes et financement) et a rappelé les critères d'admissibilité pour les différents volets du programme. Cette présentation visait à ouvrir un espace de discussion en vue de mieux connaître les besoins des déléguées, délégués et des membres du Syndicat en matière de perfectionnement.
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Séance d'information pour les nouvelles personnes chargées de cours le 21 mars
Une séance d'information s'adressant particulièrement aux nouvelles personnes chargées de cours se donnera le 21 mars, à 12 h 30, au lieu social du Syndicat, local A-R542 (pavillon Hubert-Aquin). La formation comprend un survol des thématiques suivantes : • le Syndicat des chargées et chargés de cours • les projets d’intégration • la convention collective • les programmes de perfectionnement • les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) • le régime de retraite. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence avant le 16 mars à blanchet.nathalie@uqam.ca
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Assemblée générale du 29 mars : deux invités de marque et présentation du budget
Le Syndicat des chargées et chargés de cours recevra deux invités de marque à l’occasion d’une assemblée générale le mercredi 29 mars à 13 h au N-M510 (Pavillon Paul-G-Lajoie). M. Yvon Therrien, président du Syndicat des travailleuses et travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs de la Place Dupuis, nous expliquera comment et pourquoi cet hôtel est en lock-out depuis la veille des fêtes de fin d’année. M. Jacques Létourneau, président de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), dont fait partie le SCCUQ, viendra nous entretenir de la tournée de la CSN, en marche vers le congrès 2017, vaste consultation auprès des membres. La trésorière du Syndicat, Marie Bouvier, présentera également les prévisions budgétaires du SCCUQ aux chargées et chargés de cours que nous espérons nombreux.
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Formation pour les membres des comités de liaison locaux, le 4 ou le 7 avril
Une formation s’adressant aux représentants des chargées et chargés de cours siégeant aux comités de liaison locaux sera donnée le 4 et le 7 avril, au choix des participants, à 12 h 30, au lieu social du Syndicat, local A-R542 (Pavillon Hubert-Aquin). Cette formation a pour but de vous outiller sur votre rôle de représentation au CLL de votre unité. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence en indiquant la date choisie avant le 31 mars à ross.marie-eve@uqam.ca
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Élections et états financiers : le SCCUQ tiendra son assemblée générale statutaire le 24 avril
L’assemblée générale statutaire du SCCUQ, servant principalement à l’élection des officiers syndicaux et à la présentation des états financiers, aura lieu le lundi 24 avril à 12h30 au R-M110 (Pavillon des Sciences de la gestion). Les postes en élection pour un mandat de deux ans sont la vice-présidence à la convention collective, la vice-présidence aux relations intersyndicales, le secrétariat général, la trésorerie, deux conseillères, conseillers au Comité mobilisation-intégration (CMI), une agente ou un agent au Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART), ainsi qu’une ou un membre aux comités suivants : Comité de surveillance des finances, Comité de perfectionnement et de mise à jour des connaissances, Comité de vérification du double emploi (et une ou un substitut), Comité conseil pour le développement international, Comité institutionnel d’application de la politique internationale, Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique et Comité permanent de révision du Règlement no 18 sur les infractions de nature académique (ce dernier poste est pour un mandat de trois ans). Au point trésorerie vous recevrez le rapport de l’auditeur indépendant et les états financiers 2016, les résultats réels comparés au budget 2016, le rapport du Comité de surveillance des finances et une proposition d’affectation au Fonds de défense professionnelle. Les personnes élues au CMI ou au CAART obtiendront 6 libérations (charges de cours) par année, à la V.-P. aux relations intersyndicales, au secrétariat général et à la trésorerie, 5 libérations par année et à la V.-P. à la convention collective, 7 libérations par année. Toutes les personnes chargées de cours sont les bienvenues.
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Violences à caractère sexuel : les initiations sont la mauvaise cible, met en garde Sandrine Ricci
Lorsqu'elle en viendra à adopter une loi-cadre pour contrer les violences à caractère sexuel dans les milieux universitaires, la ministre de l'Enseignement supérieur, Hélène David, aura intérêt à ne pas se tromper de cible. L’étude vient en effet de démontrer que les fameuses initiations sur les campus, qui ont fait les manchettes l'automne dernier, ne comptent que pour 12% des contextes dans lesquels surviennent les agressions, la coercition et le harcèlement sexuel. C'est plutôt au cours d'activités sociales, fêtes, 5 à 7 et autres événements du genre (sauf les initiations) qui se déroulent en lien avec l'université qu'on observe le plus de cas de violences sexuelles (47,4%), indique le rapport Enquête, sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire (ESSIMU). Pas moins de 38,7 % de ces agressions surviennent aussi lors d'activités d'enseignement ou d'études, a souligné lundi Sandrine Ricci, chargée de cours au département de sociologie de l'UQAM et coordonnatrice du Réseau québécois en études féministes.
Lire la suite du texte du Nouvelliste.
Un autre scandale lors d'une initiation à l'Université McGill.
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Mohamed Reda Khomsi contribue à décoder l’ADN touristique de Montréal
Depuis 10 ans, le nombre de touristes a augmenté de 50% à Montréal. Ces données sont issues d’un colloque qu’organisait mercredi le Département d’études urbaines et touristiques (DEUT) de l’ESG-UQAM dans le cadre de ses 40 ans d’existence. Voici un aperçu en trois points de ce qui fait l’ADN touristique de Montréal. Pour asseoir son image de marque, la ville dispose d’un slogan: Montréal, métropole culturelle. L’offre culturelle attire 26% des touristes, et ses retombées touristiques sont de plus de 1G$ par an, a calculé Tourisme Montréal. «L’Expo 67 a été un tournant majeur dans le développement touristique de Montréal, mais le succès d’une ville tient aussi dans le développement d’une trame événementielle», résume Mohamed Reda Khomsi, chargé de cours en management et technologie, dans un texte publié par le journal Métro.
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Des étudiants d’Elise Hansbury ont déposé un mémoire à la Cour interaméricaine des droits de l’homme
La Clinique internationale de défense des droits humains de l’UQAM (CIDDHU), en collaboration avec Avocats sans frontières Canada (ASFC), a soumis en février un mémoire à la Cour interaméricaine des droits de l’homme (Cour IDH) dans le cadre d’une demande d’avis consultatif déposée par la République du Costa Rica. Le document de 31 pages a été rédigé par les étudiants Daniel Cuzmanov et Claudia Feuvrier, du baccalauréat en relations internationales et droit international, et Jean-Philippe Maltais, du baccalauréat en droit, sous la supervision de Joelle Cardinal, case manager à la CIDDHU, et de Me Elise Hansbury, chargée de cours au Département des sciences juridiques. «La République du Costa Rica a envoyé une demande à la Cour IDH concernant l'interprétation de la Convention américaine des droits de l'Homme quant à la procédure de changement de nom pour les personnes changeant de genre», explique Elise Hansbury, qui est aussi chargée de cours à la CIDDHU.
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Une application pour trouver du pot : des entreprises n’attendent pas un changement législatif pour prendre le marché, constate André Lamoureux
Flairant la décriminalisation prochaine de la marijuana récréative par le gouvernement fédéral, une entreprise américaine lance une application permettant de trouver facilement la substance dans toutes les grandes villes du Canada, incluant à Montréal. «On constate que ces entrepreneurs veulent occuper le marché le plus rapidement possible. Les compagnies qui auront joué le jeu et qui auront attendu un changement législatif seront pénalisées, alors que ces grosses entreprises prennent les devants», affirme André Lamoureux, chargé de cours au Département de sciences politiques, au journal Métro. Les candidats pour succéder le chef du NPD Thomas Mulcair débattaient dimanche devant les sympathisants du Nouveau Parti démocratique en exposant leurs ambitions en cas de victoire en octobre prochain. Guy Caron, Peter Julian, Charlie Angus et Niki Ashton ont eu des échanges courtois tout en évitant l'éléphant dans la pièce, le manifeste du bond en avant (le Leap Manifesto). Un premier débat qui avait plutôt des allures de discussions, commente André Lamoureux à l’antenne de Radio-Canada.
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Elisabeth Vallet trace le parallèle entre les campagnes présidentielles française et américaine
Scandales, accusations contre le système judiciaire, tensions avec les médias, sondages étonnants : la course à la présidence en France commence à faire penser à celle, toute récente, aux États-Unis. Elisabeth Vallet, chargée de cours en science politique et directrice de recherche à la Chaire Raoul-Dandurand, analyse les similarités et les différences entre les deux campagnes présidentielles pour Dessine-moi un dimanche à l’antenne de Radio-Canada.
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15 % moins de cours offerts à l’U. Laval : les compressions ont eu des impacts concrets, selon le syndicat des chargés de cours
À l’Université Laval, le nombre de cours offerts a diminué de 15% l’an dernier, à la suite des compressions imposées par Québec dans le réseau universitaire, a appris Le Journal de Montréal. Au total, c’est 1300 cours de moins qui ont été offerts aux étudiants en 2015-2016, selon une compilation effectuée par le Syndicat des chargés de cours de l’Université Laval (SCCUL), à partir de données obtenues auprès de la direction. «C’est énorme!» laisse tomber Christine Gauthier, présidente du SCCUL. En 2015-2016, l’Université Laval a dû jongler avec des compressions de 22 millions $. Des cours ont été carrément abolis alors que d’autres, offerts à plusieurs groupes dans des plages horaires différentes, ont été fusionnés, ce qui a eu pour effet d’augmenter le nombre d’élèves par cours, explique Mme Gauthier. «Les étudiants sont pénalisés. C’est difficile de proposer un encadrement de qualité lorsqu’il y a 200 étudiants dans un groupe», ajoute-t-elle.
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Grève à l’Université Laval : la demande d’injonction provisoire rejetée
Le Syndicat des employés de soutien de l'Université Laval (SEUL) n'a pas réussi à convaincre le Tribunal administratif du travail (TAT) que la direction de l'établissement avait recours à des briseurs de grève. Le juge Christian Drolet a rejeté vendredi la demande d’injonction provisoire que le syndicat avait déposée pour contraindre l’Université Laval à respecter les dispositions anti-briseurs de grève prévues à l’article 109.1 du Code du travail. Il soutient que le syndicat n’a pas «établi de façon prépondérante qu’il y a apparence que l’Université utilise illégalement les services» de salariés. Le SEUL affirmait dans sa demande d’injonction provisoire que les agents contractuels font partie de son accréditation et n’ont par conséquent pas le droit de travailler durant la grève. Quant aux auxiliaires d’enseignement, le syndicat faisait valoir qu’ils exécutent plus de tâches et d’heures de travail que ce qui est prévu dans leur accréditation.
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Manifestation des employés de l'U. Laval devant la résidence du recteur.
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Les libéraux doivent bonifier le régime de retraite (RRQ), réclament la CSN, la CSQ et la FTQ
Au moment où le gouvernement du Québec annonce le dépôt de son prochain budget pour le 28 mars, les organisations syndicales CSN, CSQ et FTQ estiment que le temps est venu pour le gouvernement de bonifier le Régime de rentes du Québec (RRQ). Il y a consensus à travers le pays. Ottawa et toutes les provinces, sauf le Québec, ont signé l’accord de Vancouver bonifiant le Régime de pensions du Canada (RPC). Ce n’est pas juste les centrales syndicales et les groupes de retraités qui réclament cet ajustement, il y a aussi le comité d’experts mandaté par le gouvernement et présidé par l’ancien PDG du Mouvement Desjardins, Alban D’Amours. Ce que nous propose le gouvernement c’est une amélioration anémique, alors que la qualité des régimes se dégrade, notamment en raison des clauses de disparités de traitement (clauses orphelins), ainsi que du désengagement des employeurs face à la retraite de leurs employés. Il faut savoir que le reste du Canada a pris acte de cette problématique. Le Québec, au lieu de jouer un rôle de leader, fait fi de cette réalité.
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Grève générale dans le secteur préhospitalier : la CSN et la FTQ lancent un appel à Gaétan Barrette
La grève générale entamée il y a six semaines par les travailleuses et les travailleurs du secteur préhospitalier est inédite par son ampleur. En se retirant des travaux au beau milieu de la négociation pour le renouvellement des conventions collectives, le ministre de la Santé et des Services sociaux a provoqué la colère de celles et ceux qui assurent les services préhospitaliers d’urgence, au quotidien. Alors que les conventions collectives sont échues depuis près de deux ans, la négociation est dans une impasse pour ce qui est des matières à incidences financières telles que les salaires, la retraite ainsi que les charges de travail et les horaires de faction. À l’occasion d’une rare démonstration de solidarité intersyndicale dans ce secteur, où plusieurs organisations syndicales différentes sont présentes, la CSN et la FTQ ont convié les travailleurs et travailleuses de tous les syndicats du secteur à joindre leurs voix pour une manifestation unitaire, tenue jeudi à Montréal.
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Fin de l’instabilité et de la précarité pour les professeures et professeurs de l’Académie Linguistique Internationale
Les représentantes et représentants du Syndicat des professeures et professeurs de l’Académie Linguistique Internationale ont procédé le 14 mars à la signature de leur première convention collective mettant fin ainsi à l’instabilité et la précarité de ses membres. Accrédités depuis un an à la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec – CSN, la trentaine de professeures et professeurs étaient dans l’attente de leur premier contrat de travail depuis ce temps. À la suite de cette négociation, les membres du syndicat ont obtenu des gains appréciables, dont des augmentations de salaire pour chacun d’entre eux, le respect de l’ancienneté et une échelle de salaires.
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Musée de la Nation huronne-wendat : victoire syndicale sur presque toute la ligne en arbitrage d’une première convention collective
La Fédération nationale des communications (FNC–CSN) et le Syndicat des travailleuses et travailleurs du Musée de la Nation huronne-wendat accueillent avec satisfaction la décision arbitrale de Me Carol Girard rendue à la fin février. Alors que les employé-es du musée tentent de signer leur premier contrat de travail depuis 2013, l’arbitre leur donne raison sur la grande majorité de leurs demandes et impose une première convention collective qui détermine des conditions de travail plus respectueuses de l’expertise et du savoir-faire de ces travailleurs et travailleuses de la Nation huronne-wendat. En matière d’ancienneté, de vacances, de congés fériés, de congés de maladie, de congés sociaux, de congés parentaux et même de libérations syndicales, l’arbitre tranche en faveur du syndicat. Même sur les questions salariales, la décision arbitrale détermine que les employé-es recevront 2% d’augmentation par année pendant 3 ans alors que l’employeur n’offrait que 0,5%, 1,6% et 0,8%.
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CPE : des lacets pour démontrer l’attachement au réseau
Des centaines de membres de la Fédération des intervenantes en petite enfance du Québec (FIPEQ-CSQ) ont distribué des lacets et prospectus devant des CPE des quatre coins du Québec pour inciter les parents à exprimer leur attachement au réseau public des services de garde dans le cadre des négociations d'une nouvelle convention collective pour les intervenantes en CPE.
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La FTQ et ses syndicats affiliés luttent contre l’itinérance
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) et ses syndicats affiliés parrainent pour une troisième année consécutive une semaine de lutte contre l’itinérance, du 13 au 17 mars, dont l’objectif est de venir en aide aux sans-abris. «Conscients que chaque geste est important, cette semaine de l’itinérance est l’occasion pour la FTQ et ses syndicats affiliés de réaffirmer nos valeurs de justice sociale et de solidarité en étant présents dans nos communautés. Cette semaine met également en lumière l’impact catastrophique des politiques d’austérité sur les personnes plus démunies de la société», déclare le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux.
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Nouveau contrat de travail pour les syndiqués de la Biscuiterie Dominic de Joliette
Les syndiqué-es de la Biscuiterie Dominic inc. de Joliette ont adopté le 11 mars en assemblée générale les termes de leur nouvelle convention collective dans une proportion de 88%. En plus de ne prévoir aucun recul des acquis syndicaux, la nouvelle entente, d’une durée de 5 ans, prévoit notamment une amélioration souhaitée pour optimiser les heures de travail pour les salarié-es plus anciens travaillant sur le quart de jour. Un irritant qui a généré pour les syndiqué-es beaucoup d’insatisfactions au fil des ans, car les besoins de productions généraient des heures de travail aux salarié-es du quart de nuit.
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Le gouvernement libéral se prépare à offrir la SAQ à ses petits amis
Quelle triste nouvelle de constater que l’annonce du retrait des drapeaux du Québec a reçu plus d’attention que la perte de centaines d’emplois de qualité au sein de la société d’État. Non seulement a-t-elle reçu plus d’attention, mais la direction de la SAQ a fait volte-face en moins de 24 heures alors que les discussions afin de minimiser l’impact des suppressions annoncées se retrouvent face à un mur. Même si le syndicat (section locale 3535 du SCFP) a bien tenté d’avoir des discussions avec l’entreprise afin d’évaluer les méthodes de travail comme il l’a toujours fait et de trouver des solutions aux défis qui se posaient, cette fois-ci les discussions sont stériles et peu importe les propositions, il y a toujours une fin de non-recevoir.
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La FTQ s’oppose à la privatisation de la SAQ.
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Pour l’abolition de la mesure fiscale touchant les victimes d'accidents et de maladies du travail
Le SFPQ ajoute sa voix à celles de l’Union des travailleurs et travailleuses accidenté-es de Montréal (UTTAM) et d’autres organisations politiques et syndicales pour réclamer au ministre Leitao d’abolir la taxe spéciale touchant les victimes d'accidents et de maladies du travail. Celle-ci peut atteindre 2 079$ par année. Une campagne courriel est en cours sur le site Web de l’UTTAM pour dénoncer cette mesure.
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Étude de l’Institut Fraser sur le salaire des fonctionnaires : un amalgame douteux et trompeur qui fausse la réalité
Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) condamne vigoureusement les conclusions d’une «étude» de l'Institut Fraser qui affirme que les employés du secteur public gagnent un salaire de 9,1% supérieur en moyenne à celui des employés comparables du secteur privé. «L’Institut Fraser induit dangereusement le public en erreur, car il ne fait aucune distinction entre les fonctionnaires provinciaux, municipaux et fédéraux. Pourtant, ces deux derniers ont une rémunération globale de 18,7 à 41,5% supérieure à celle des fonctionnaires provinciaux», dénonce le président du SPGQ, M. Richard Perron. Le salaire des employés de l'administration publique québécoise est inférieur de 9,3% à celui de l'ensemble des autres salariés du Québec, selon les données de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ).
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Agence du revenu du Québec : le SPGQ demande l’intervention de la ministre Vien
Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) demande l’intervention de la ministre responsable du Travail, Mme Dominique Vien, afin que l’Agence du revenu du Québec (ARQ) cesse de paralyser le recours à l’arbitrage de ses membres. «Nous sommes devant un employeur qui tente par tous les moyens de retarder les procédures de traitement des griefs. Ainsi, nos membres qui, par exemple, prétendent avoir été victimes d’un congédiement sans raison valable ne peuvent faire entendre leur grief à un arbitre», explique Richard Perron, président du SPGQ. Depuis la transformation de l’ARQ en agence, la procédure d’arbitrage relève désormais de l’ARQ alors qu’auparavant elle incombait au Conseil du trésor.
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Grève évitée à l’Université de Moncton
La direction de l'Université de Moncton et le syndicat qui représente les professeurs et bibliothécaires (ABPPUM) de son campus de Moncton ont conclu une entente de principe vendredi, selon Radio-Canada, que les membres ont ratifiée à 97,4% lundi, selon L’Acadie Nouvelle. L'ABPPUM a récemment annoncé son intention de tenir un vote de grève les 13 et 14 mars. Les professeurs et bibliothécaires dénonçaient notamment l'écart salarial entre eux et leurs homologues anglophones de la province, et ce, malgré une entente signée en 2015. Ils affirmaient que l'université leur offrait moins de la moitié de l’augmentation salariale nécessaire pour atteindre la parité. Le président de l'ABPPUM, Étienne Dako, estimait qu'une augmentation de 6,6% était nécessaire pour rattraper la moyenne provinciale. Ils ont obtenu 4,2% sur trois ans.
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Atlanta : la privatisation en question lors de la conférence de la Comparative and International Education Society
L’Internationale de l’éducation (IE) a placé la privatisation et la commercialisation dans et de l'éducation au centre des débats lors de la Conférence de la Comparative and International Education Society (CIES), qui s’est tenue à Atlanta, aux États-Unis, du 5 au 9 mars. L'IE a présenté des projets de recherche liés à sa campagne «Réponse mondiale» à un public international composé de chercheuses et de chercheurs et a constitué une alliance stratégique pour ses futures activités de recherche.
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Asseoir la légitimité des études des femmes
Bien que plus pertinente que jamais, la discipline semble devoir toujours justifier son existence. Certains des défis auxquels les programmes d’études féministes sont confrontés découlent d’idées préconçues dommageables et sexistes à propos du féminisme, qui serait le fait de femmes sans soutiens-gorge et aux jambes poilues, qui détestent les hommes… Pour contrer ces idées fausses, hélas remarquablement persistantes, de nombreux programmes d’études des femmes ont depuis quelques années changé de nom – devenant, par exemple, des programmes d’études de genre. Certains ont même opté pour des noms complexes évoquant les revendications féministes en matière de diversité.
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
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L'éducation populaire sous les projecteurs du Conseil supérieur de l’éducation le 22 mars
Le Conseil supérieur de l’éducation présentera son avis sur l’éducation populaire le 22 mars, de 10h30 à 12h30 au local N-M210 du Pavillon Paul-Gérin-Lajoie de l’UQAM. Cet avis fait un portrait très juste de l’éducation populaire et montre tout son intérêt et son apport. L'événement est organisé conjointement par l’ICÉA et Audrey Dahl, professeure au Département d’éducation et formation spécialisées de l’UQAM. Vous pouvez assister à l’événement sur place ou en webdiffusion. À partir d’un ordinateur, cliquez sur ce lien ou copiez-le dans un moteur de recherche (Google ou autre).
Lire la suite.
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L’UQAC reporte encore l’embauche d’un recteur
L'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) ne parviendra pas à embaucher un nouveau recteur avant la fin du mandat de Martin Gauthier, le 25 avril. L’UQAC nommera un recteur intérimaire pour le remplacer. Le conseil d'administration de l'UQAC répond ainsi à la recommandation de la présidente du Réseau de l'Université du Québec, Sylvie Beauchamp, pour dénouer l'impasse dans laquelle l'établissement se trouve depuis que Martin Gauthier a annoncé son départ. Dans un communiqué, l’UQAC indique qu'elle reconnaît les difficultés à recruter des candidats.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Des étudiants nous expliquent pourquoi ils consomment des smart drugs
Les smart drugs atteignent leur sommet de popularité auprès des étudiants universitaires en période de fin de session. Selon des consommateurs réguliers, ces drogues permettent réellement de mieux performer à l'école. Le danger qui y est associé est cependant souvent banalisé. Psychostimulants, nootropes, psychotropes, smart drugs… une variété de termes pour décrire ces substances qui optimisent certaines capacités du système nerveux central. En clair, sous l'effet des smart drugs, le cerveau est hyperstimulé par des processus chimiques qui décuplent la concentration, la mémoire ou bien diminuent les effets de la fatigue.
Lire la suite sur Vice.
Les universités s’attaquent à la crise de surdoses d’opioïdes qui secoue le Canada.
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Comment retenir les étudiants étrangers?
Tout un tour de force que réalise l'Institut national de la recherche scientifique (INRS) à Québec. Près de 60% des étudiants de cette université de deuxième et de troisième cycles proviennent d'une quarantaine de pays. Ces étudiants étrangers apprécient tellement la qualité de la vie dans la capitale que 50% des finissants décident d'y établir leurs pénates à la fin de leur parcours académique, signale le recteur par intérim Claude Arbour. Un exploit étant donné que le taux de rétention des étudiants étrangers au Québec est d'à peine 25%.
Lire la suite du texte du Soleil.
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Santé mentale dans les universités : à la croisée des chemins?
La santé mentale des étudiants universitaires est un sujet préoccupant, selon certains groupes d'étudiants. Ceux-ci veulent pouvoir mieux aider leurs pairs et réclament de meilleures ressources aux institutions et au gouvernement. Cet automne, l'Association de santé des universités et des collèges de l'Ontario rapportait des niveaux élevés d'angoisse chez les étudiants. La présidente de l'organisation se désole de voir que la situation ne s'améliore toujours pas sur les campus. La Commission de la Santé mentale du Canada révélait récemment que les jeunes de 20 à 29 ans sont les plus touchés par les maladies et les problèmes associés à la santé mentale. Les projections indiquent que cette situation se maintiendra pour les prochaines décennies. Le suicide demeure la deuxième cause de décès chez les jeunes âgés de 15 à 34 ans. Le rapport indique toutefois que le nombre de suicides tend à diminuer.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Énergies fossiles : l'Université de Sherbrooke invitée à imiter Laval
Des étudiants interpellent les candidats à la course au rectorat de l'Université de Sherbrooke afin que l'institution retire ses investissements des énergies fossiles, comme l'a annoncé l'Université Laval récemment. Ils se sont regroupés pour lancer le mouvement Solidarité étudiante contre les oléoducs, un comité qui regroupe une soixantaine d'étudiants de plusieurs facultés.
Lire la suite du texte de La Tribune.
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Un indicateur de la fragilisation des organisations : témoigner des résultats obtenus
Parmi les indicateurs développés pour Apprendre + Agir, on retrouve un indicateur original de l’Institut de coopération pour l’éducation des adultes (ICÉA). Cet indicateur a été construit à partir des résultats d’une enquête de l'Institut publiée en 2016. Il témoigne des résultats obtenus par l'ICÉA dans sa réflexion sur la situation des organisations dont le financement public a été réduit par les gouvernements au cours des dernières années. Il a permis de dresser un portrait des mesures qu’elles ont dû mettre en œuvre pour faire face à ces réductions. À ce titre, l'ICÉA constate que les réductions du financement public dédié à l’éducation des adultes ont fragilisé de nombreuses organisations du secteur.
Lire la suite.
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Des milléniaux éduqués et surqualifiés pour leur emploi
Selon les plus récentes données de Statistique Canada, le taux de chômage chez les jeunes âgés de 15 à 24 est deux fois plus élevé que la moyenne nationale. Les données révèlent également que près du quart des milléniaux occupent des postes pour lesquels ils sont surqualifiés. Une réalité à laquelle les jeunes en Atlantique n'échappent pas. Selon Statistique Canada, ce sont 12% des jeunes Canadiens qui ne sont pas à l’emploi. Si le Canada n’a jamais compté autant de diplômés universitaires, soit deux millions en 2015, tous ne trouvent pas chaussure à leur pied en matière d’emploi, se contentant d’emplois saisonniers et moins bien rémunérés.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Marcher pour l’égalité de toutes et tous le 26 mars
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Dans le cadre de la Semaine d’Action Contre le Racisme, nous appelons les Québécoises et Québécois dans toute leur diversité à marcher pour l’égalité de toutes et tous. Nous refusons de vivre dans une société où un Traouré, Ben Said ou Sanchez est discriminé à l’embauche à cause de son nom. Où un immigrant racisé n’a pas un emploi à la hauteur de ses qualifications. Où un noir ou un autochtone est profilé par la police. Où des femmes autochtones se font assassiner ou disparaissent. Où des Québécoises portant un foulard se font agresser dans la rue. Où les mosquées se font vandaliser. Où des citoyen-ne-s sont pénalisé-e-s du simple fait de leur handicap, leur orientation sexuelle où leur sexe. Dimanche 26 mars, de Chicoutimi à Montréal (rendez-vous à 14h à la Place Émilie-Gamelin, métro Berri-UQAM) en passant par Sherbrooke, Québec et Trois-Rivières, nous serons des familles, des jeunes et des aînées, des femmes et des hommes... Nous marchons, pour ceux qui, à cause de leur différence, n’ont pas les mêmes chances. Nous marchons car les discours ne suffisent pas. Nous marchons car nos dirigeants doivent passer à l’action.
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Le dogme du libre-échange
Le commerce international: un sujet plutôt complexe, ou du moins d’apparence assez inaccessible. Même après l’obtention d’une maîtrise en économie et une expérience en tant qu’auxiliaire d’enseignement pour un cours traitant de ce sujet, je n’ai pas l’impression d’avoir reçu un enseignement assez nuancé pour pouvoir remettre en question les bienfaits «assurés» du libre-échange. À quoi tient donc l’apparence de consensus parmi les économistes que le libre-échange génère nécessairement mieux-être social, croissance économique, richesse augmentée pour tous et alouette...? Cela tient sans doute au mode d’enseignement des théories économiques classiques, au peu de place qu’elles laissent aux observations empiriques. Mais surtout à un modèle d’équilibre général (qui repose lui-même sur des hypothèses des plus farfelues).
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Philippe Couillard va à l’encontre d’une politique gouvernementale : les droits ça se défend collectivement, pas au mérite
Le Regroupement des organismes en défense collective des droits (RODCD) proteste contre la déclaration du premier ministre du Québec, le 13 mars, à Roberval, après qu’un groupe de sans-emplois de son comté ait annoncé qu’il devait fermer temporairement ses portes pour une énième fois. Philippe Couillard, s’est défendu en affirmant que le gouvernement regarde «la situation de tous les organismes à leur mérite». «C’est scandaleux! Ça va à l’encontre de la Politique de reconnaissance et de soutien de l’action communautaire», s’insurge Véronique Laflamme, porte-parole du RODCD. Elle rappelle que le RODCD revendique justement un rehaussement de 40 millions $ du financement de base des organismes de défense collective des droits dans le budget qui sera déposé le 28 mars. «Il est urgent que le gouvernement réagisse et réponde enfin aux revendications du RODCD», conclut-elle.
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Hydro-Québec et la vente à perte aux États-Unis
Les derniers jours ont été tumultueux pour Hydro-Québec et son projet Northern Pass Transmission (NPT). Rappelons qu’Hydro-Québec se proposait d’investir 1,6 G$ afin de vendre une part de ses importants surplus à la Nouvelle-Angleterre. Cela semblait une bonne nouvelle. Pourtant, le projet avait déjà du plomb dans l’aile. Hydro-Québec semble prendre tous les risques et laisse les bénéfices aux Américains. Le tout en refusant les privilèges accordés à la population américaine à la population québécoise.
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Le numéro sur le racisme de la revue Droits et libertés sur le net
Le numéro sur le racisme de la revue de la Ligue des droits et libertés est disponible sur Internet. Au sommaire : • Peut-on être raciste sans le savoir? • Qu’est-ce que la racialisation? • Des initiatives contre le profilage racial • «Juste parce que je suis autochtone» • La gauche et les luttes antiracistes • Enjeux de l’intersectionnalité dans le mouvement des femmes.
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Un programme aidant les jeunes itinérants suscite des envies
Le programme d’un organisme du centre-ville, qui vient en aide à des jeunes Montréalais vivant une grande précarité, va être repris dans différents arrondissements après avoir vu son idée être dupliquée à l’international. Montréal-Nord dès l’été, Longueuil en septembre, éventuellement Verdun et le Sud-Ouest dans les prochains mois: lancé en 2000 dans l’arrondissement de Ville-Marie, le programme TAPAJ, déjà présent dans Hochelaga-Maisonneuve depuis 2015 en collaboration avec l’organisme Dianova, va continuer de s’étendre, suscitant admiration et envie du milieu.
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Un campement d’itinérants à l’ombre des tours à condos.
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