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Grosse semaine. Donald Trump signe le 4 pour cent de son conseiller à la sécurité nationale, Michael Flynn. Claude Julien signe avec le Canadien et l’UQAM signe avec ses chargées et chargés de cours. OK, la dernière signature reste à confirmer. À vendredi, 13h, au A-M050.
Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ
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Entente de principe SCCUQ-UQAM : assemblée générale spéciale le vendredi 17 février
Le Syndicat des chargées et chargés de cours (SCCUQ) et la direction de l’UQAM ont conclu une entente de principe à la table de négociation vendredi. Le Syndicat a obtenu des gains sur les plans salarial et normatif. Le SCCUQ convoque ses membres à une Assemblée générale spéciale le vendredi 17 février, à 13h, au A-M050 (Pavillon Hubert-Aquin), pour leur présenter le contenu de l’entente de principe, la recommandation du Comité exécutif et procéder à une discussion et à un vote secret sur le contenu de la nouvelle convention collective. Un 5 à 7 suivra au lieu social du Syndicat.
Lire le texte de La Presse canadienne sur l’entente de principe.
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Affichage principal des charges de cours du trimestre d’été 2017 du 15 au 24 février
Les charges de cours disponibles pour le trimestre Été 2017 seront affichées sur Accent à compter du 15 février et les personnes chargées de cours auront jusqu’au 24 février pour enregistrer leurs candidatures. Elles devront par la suite répondre à la proposition de cours attribués sur Accent entre le 4 et le 9 mars.
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Séances d’information le 27 février : exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) et perfectionnement de courte et de longue durées
Le SCCUQ offrira le lundi 27 février 2017 deux séances d’information aux personnes chargées de cours, au local A-M050 (Pavillon Hubert-Aquin), selon l’horaire suivant: • 13h30 : Information sur les programmes de perfectionnement • 15h : Information sur les demandes d’exigences de qualification pour l’enseignement (EQE).
Si vous désirez participer à l’une ou l’autre de ces rencontres, veuillez vous inscrire par téléphone en laissant un message au 514 987-3000 poste 3720, et ce, d’ici le 23 février. Votre message devra contenir votre nom, prénom, département et la ou les séances qui vous intéressent. Nous profitons de l’occasion pour vous rappeler que la procédure annuelle pour demander des EQE sur Accent est du 8 au 13 mars 2017. Les membres du Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART) ont hâte de vous rencontrer.
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Vernissage réussi pour l’exposition Prendre lieux qui implique neuf chargées et chargés de cours
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L’exposition Prendre lieux présente à l'Écomusée du fier monde jusqu’au 26 février une série d'œuvres en dyade créées par 18 artistes, chargés de cours et étudiants de l’École des arts visuels et médiatiques (EAVM). Lors du vernissage de l’exposition, Bernard Tremblay, président du Conseil d’administration de l’Écomusée du fier monde, Jean-Christian Pleau, doyen de la Faculté des arts, Éric Raymond, directeur de l’École des arts visuels et médiatiques, ainsi que Patricia Gauvin et Dominique Sarrazin, les deux artistes chargées de cours qui ont lancé le projet ont tour à tour pris la parole. Ils ont ensuite été rejoints par les 18 artistes composant les dyades. Plus d’une centaine de personnes étaient présentes, dont Marie Blais et Olivier Aubry qui représentaient le Comité exécutif du SCCUQ. Le projet a été réalisé en partie grâce à un projet d’intégration qui a été très apprécié. «Prendre lieux vise à faire connaître le travail artistique souvent méconnu de nos chargés de cours», explique Dominique Sarrazin. «Chaque chargé de cours a été invité à choisir un étudiant avec lequel il partage des sensibilités artistiques afin de réaliser des œuvres en dyade», a-t-elle précisé à ActualitésUQAM.
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Éric Duchemin organise la 9e École d’été sur l’agriculture urbaine de l’UQAM
La 9e École d’été sur l’agriculture urbaine de l’UQAM, organisée par le Laboratoire d’agriculture urbaine (AU/LAB) en collaboration avec l’Institut des sciences de l’environnement du l’UQAM (ISE), se tiendra cet été à Montréal du 14 au 18 août. Le thème retenu cette année est le rôle de l’agriculture urbaine dans la réappropriation par le citadin de l’espace et de l’agriculture en ville. «Nous avons divisé le thème en trois volets», explique Éric Duchemin, chargé de cours à l’Institut des sciences de l’environnement et co-coordonnateur de l’événement.
Lire la suite du texte du Devoir.
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Elsa Acem publie un article sur une pratique inquiétante du système de santé
Chargée de cours au Département des sciences juridiques, Elsa Acem a publié récemment un article dans le McGill Journal of Law and Health qui aborde un chapitre méconnu de l'histoire du système de santé québécois. Sa recherche porte sur la régulation, depuis les années 1970, de la réutilisation du matériel médical à usage unique – cathéters, dialyseurs, cardiostimulateurs –, une pratique controversée en raison des risques de transmission d'infections qu'elle comporte.
Lire la suite.
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L’exposition Bêtes d’affiches créée par Marc H. Choko à la Galerie du musée Villa Montebello de Trouville-sur-Mer, en France
L’exposition Bêtes d’affiches créée par Marc H. Choko, chargé de cours à l’École de design, poursuit son chemin et est présentée jusqu’au 8 mai à la Galerie du musée Villa Montebello de Trouville-sur-Mer, en France. Cette nouvelle version compte 55 œuvres provenant d’une dizaine de pays, qui mettent en vedette des animaux vendeurs de produits divers. Elle illustre comment nos amies les bêtes et leur caractère sont exploités de multiples façons (humour, surprise, empathie) par les publicitaires pour attirer l’attention du public et vendre les produits de consommation courante qui nous entourent, et ce, depuis une centaine d’années, peut-on lire sur ActualitésUQAM.
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L’amour au temps des réseaux sociaux : mise en garde de Maude Lecompte
Même si les relations de couple qui ont débuté sur les réseaux sociaux peuvent se terminer en conte de fées, il y a un risque de désillusion lors du premier rendez-vous, estime Maude Lecompte, chargée de cours en Sexologie. «Les échanges textuels qui précèdent la rencontre peuvent permettre de mieux connaître l’autre. Ils peuvent aussi être à l’origine d’une déception. Les échanges peuvent être trompeurs ou embellir la réalité», met en garde Mme Lecompte. D’après elle, les célibataires se tournent vers les réseaux sociaux «principalement pour la simplicité des choses».
Lire la suite du texte du journal Le Reflet.
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Patrick Daigle amène ses étudiantes et étudiants au mont Mansfield, au Vermont
Vingt-six étudiants au baccalauréat d'intervention en activité physique ont participé à un stage au mont Mansfield, au Vermont, dans le cadre du cours Enseigner l'éducation physique et la santé en milieu de plein air. En équipe, les étudiants devaient planifier les activités, le matériel, les déplacements et la nourriture durant un week-end de trois jours en contexte de plein air. Ce cours, qui culmine par le stage au mont Mandsfield, est offert depuis quatre ans au Département des sciences de l'activité physique. «C'est la première fois que ce cours se donne en team teaching», souligne le professeur Tegwen Gadais, qui enseigne avec le chargé de cours Patrick Daigle.
Lire la suite.
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Julien Tourreille commente la rencontre Trudeau-Trump
Le chargé de cours en Science politique Julien Tourreille commente la rencontre entre le premier ministre canadien, Justin Trudeau, et le président américain, Donald Trump, pour la station de radio FM93.
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Rendez-vous national sur la main-d’œuvre : Le gouvernement Couillard doit tenir compte des préoccupations des travailleuses et des travailleurs
À l’ouverture du Rendez-vous national sur la main-d’œuvre, les présidences des centrales syndicales québécoises lancent un message clair au gouvernement Couillard : la qualité de vie au travail doit être au cœur des moyens mis en œuvre dans une stratégie visant à assurer le développement économique du Québec et la prospérité de l’ensemble des Québécoises et Québécois.
Lire la suite.
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Relations interculturelles : pour une commission sur le racisme systémique
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Les professeurs de l'Université de Sherbrooke prolongent leur grève
Déclenchée mardi, la grève des professeurs de l'Université de Sherbrooke se poursuivra jusqu'à vendredi. Au départ, les syndiqués avaient voté pour trois jours de grève. La plus récente rencontre avec l'employeur, qui a eu lieu jeudi, n'a pas donné les résultats escomptés: le syndicat soutient qu'il n'y a eu aucun progrès. Les quelque 430 membres du Syndicat des professeurs de l'Université de Sherbrooke sont sans contrat de travail depuis mars 2015. La surcharge de travail est au coeur du litige. Le syndicat réclame un plancher d'emploi qui serait inscrit dans la convention collective afin de garantir un niveau minimal de ressources.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
Le sous-financement de l’éducation est montré du doigt. Des milliers d'étudiants de l'UdeS appuieront les profs en grève.
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Un premier «coup de semonce» des employés de soutien à l'Université Laval
En conflit de travail pour la première fois en 35 ans avec ses employés de soutien, l'Université Laval a reçu le 9 février un premier avertissement: un blocus de toutes les entrées du campus pendant l'heure de pointe matinale. Et les syndiqués promettent d'autres types de coups d'éclat si aucun signe positif ne leur parvient de la direction.
Lire la suite du texte du Soleil.
L'U. Laval empêche un nouveau blocus.
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Grève en vue à l’Université Algoma
L’association académique représentant les 170 universitaires à temps partiel de l’Université Algoma pourrait déclencher une grève dès le 3 mars si une entente n’intervient pas d’ici la fin du mois. Les pratiques équitables en matière de salaire, d’embauche et d’évaluation sont au cœur des négociations. «C’est une question d’équité. Le personnel à temps partiel de l’Université Algoma est le moins bien payé en Ontario et l’administration leur demande d’enseigner près de la moitié de tous les cours», indique le président de l’ACPPU, James Compton.
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La CSN lance la première phase de son enquête sur les impacts des transferts du personnel des CLSC vers les GMF
Alors que les transferts du personnel des CLSC vers les Groupes de médecine de famille (GMF) battent leur plein, la CSN lance la première phase d’une vaste enquête à l’intention de ses membres afin de documenter les effets de ces transferts sur le personnel concerné ainsi que sur l’accessibilité aux services sociaux pour la population. «Nous continuons à soutenir les professionnel-les ainsi que le personnel de bureau et de l’administration directement touchés par la situation, comme nous l’avons fait depuis l’annonce initiale des transferts par le ministre Barrette, souligne d’entrée de jeu le vice-président de la CSN, Jean Lacharité. Il est important pour nous de connaître la réalité sur le terrain de ces travailleuses et travailleurs afin de pouvoir mesurer les répercussions des transferts et d’être en mesure d’agir en conséquence.»
Lire la suite.
Infographie : Impacts des transferts de ressources des CLSC vers les GMF.
Vidéo : Mon CLSC, j’y tiens. La CSN en action pour défendre les CLSC.
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Nouvelle analyse sur le financement : les établissements de santé et de services sociaux forcés de renoncer aux priorités du MSSS
Une analyse des budgets des établissements du réseau de la santé et des services sociaux, menée par la Confédération des syndicats nationaux (CSN), conclut que le sous-financement est beaucoup plus important que ce que le gouvernement laisse croire. L’analyse démontre l’existence de coupes nettes dans plusieurs secteurs pourtant identifiés comme des priorités par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). «Cette situation est plus inquiétante que jamais, selon le président de la CSN, Jacques Létourneau. Nous demandons au gouvernement de prendre acte des effets désastreux de l’austérité sur le réseau et de profiter du prochain budget pour réinvestir massivement afin de répondre adéquatement aux besoins de la population.»
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La CSQ dénonce le contrôle excessif du ministre Barrette.
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Secteur préhospitalier, en grève !
Au cours des derniers jours, un vaste mouvement de grève s’est levé dans le secteur préhospitalier. Dans ce secteur soumis aux services essentiels, la stratégie de grève déployée par la CSN exerce dans les faits une pression très importante sur l’ensemble des décideurs du réseau. Les conséquences de la grève sont multiples pour l’administration et la régie interne des entreprises du secteur. Actuellement, le ministre Gaétan Barrette refuse de s’impliquer dans les négociations malgré le fait que son ministère soit celui qui finance les services à la population. Les conventions collectives sont échues depuis le 31 mars 2015.
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Une centaine de délégué-es CSN en colère contre une association patronale de CPE
Près d’une centaine de délégué-es des syndicats de travailleuses et de travailleurs en CPE ont manifesté, mercredi à Saint-Hubert, devant le CPE Aux Mille jeux, membre de l’Association patronale nationale des CPE (APNCPE). Elles ont voulu dénoncer l’absence de volonté de cette association qui refuse systématiquement d’entamer les négociations nationales pour le renouvellement des conventions collectives de milliers de travailleuses en CPE, lesquelles sont échues depuis le 31 mars 2015. «Voilà des mois que nous tentons de faire entendre raison à l’APNCPE pour qu’elle réintègre la table nationale, comme l’on fait jusqu’à maintenant toutes les autres associations patronales et le ministère de la Famille (MFA)», lance Louise Labrie, membre du comité national de négociation de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS–CSN).
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Cours d'éducation financière : duel entre les syndicats et le secteur financier
Le cours en finances personnelles que le gouvernement du Québec veut imposer aux étudiants du secondaire place les syndicats d'enseignants - qui s'opposent à une telle mesure - en rivalité avec le milieu de la finance, qui souhaiterait quant à lui voir les Québécois être plus à l'aise à gérer leurs économies et à parler d'argent. Le ministre de l'Éducation, Sébastien Proulx, entend rendre le futur cours de finances personnelles obligatoire dans toutes les écoles secondaires de la province à partir de septembre, mais les syndicats d'enseignants réclament une suspension du déploiement préconisé.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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Rassemblement pour sauver les universités des patrons et des banquiers!
Les représentants du Conseil provincial du secteur universitaire (CPSU) du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) ont appuyé les employés étudiants de l’Université de Montréal qui se sont rassemblés devant les locaux des HEC de Montréal où le ministre des Finances, Carlos Leitão, devait tenir une consultation prébudgétaire. Sa participation à l’évènement organisé aux HEC de Montréal été annulée à la dernière minute pour des raisons inconnues. Ce rassemblement visait à dénoncer les compressions faites par le Gouvernement du Québec en éducation et plus particulièrement dans le secteur universitaire. Ces mesures d’austérité se répercutent en grande partie sur la qualité du service offert aux étudiants.
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Des universités de la N.-É. en cour contre le syndicat des enseignants
Des représentants de cinq universités se sont rendus devant les tribunaux, vendredi, afin de demander au juge qu'il ordonne au Syndicat des enseignants de la Nouvelle-Écosse d'accepter des étudiants en enseignement dans les salles de classe, dans le cadre de leurs stages. Ces derniers ont besoin d’un minimum de 15 semaines de formation et de pratique dans des écoles afin d’obtenir leur baccalauréat en enseignement. Le Syndicat des enseignants de la Nouvelle-Écosse refuse de prendre des étudiants en formation dans leurs salles de classe dans le cadre de leur grève du zèle qui a commencé en décembre dernier.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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La CSN revendique un soutien d’urgence aux médias écrits
La CSN demande au gouvernement de Philippe Couillard de prévoir un soutien d’urgence aux médias écrits dans son prochain budget. Deux mesures sont avancées à cet égard : un crédit d’impôt sur la masse salariale et l’intégration de la presse écrite aux programmes existants de modernisation technologique. La FNC–CSN a fait parvenir la semaine dernière aux 125 député-es de l’Assemblée nationale une correspondance incluant un résumé de 14 recommandations visant à soutenir l’ensemble des médias dans la crise actuelle.
Lire la suite et visionner la vidéo.
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Après deux mois de lock-out : le syndicat interpelle la haute direction des Hôtels Gouverneur
Les membres du Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD), en lock-out depuis le 14 décembre, ont manifesté jeudi midi devant le siège social de leur employeur, à Montréal. «Depuis le mois de mai dernier qui a marqué le début de notre négociation, nous avons rapidement demandé la conciliation. L’attitude de l’employeur nous indiquait déjà qu’un conflit se dessinait à l’horizon. Très peu d’avancées ont été réalisées depuis tout ce temps. Les pourparlers piétinent et la partie patronale n’a toujours pas les mandats qu’il lui faut pour régler cette négociation. L’employeur est même revenu sur plusieurs engagements relativement à des éléments normatifs sur lesquels nous nous étions entendus», de dénoncer Yvon Therrien, président du STTHGPD.
Lire la suite.
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Les juristes de l'État poursuivent leur grève
Contre toute attente, même celle du président de leur syndicat, les juristes de l'État ont décidé mardi soir de poursuivre la grève. La sortie en règle du président du Conseil du trésor, Pierre Moreau, contre «l'intransigeance» de l'exécutif syndical «a eu l'effet de jeter de l'huile sur le feu», selon le président Jean Denis. «Et il a créé un monstre». Lors d'une assemblée extraordinaire, les avocats et notaires du gouvernement ont voté à 63% en faveur de la grève, qui en est à sa 17e semaine, le plus long débrayage dans le secteur public de l'histoire du Canada. Le taux de participation était de 77%.
Lire la suite du texte de La Presse.
Le gouvernement répond aux revendications des juristes de l’État, selon Couillard.
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Dangereux revirement concernant le projet de loi 102 et le droit d’accès aux informations sur les conditions d’autorisations environnementales
Monsieur le premier ministre, les personnes et organismes soussignés, dont la CSN et la FTQ, vous demandent d’intervenir pour assurer que l’équilibre social, dont vous avez la responsabilité ultime au Québec, soit maintenu dans le processus de réforme actuel de l’importante Loi sur la qualité de l’environnement (LQE). Nous vous rappelons que cette loi est la seule qui donne à la population québécoise, de façon limitée, certains droits d’accès à l’information, de participation et d’accès à la justice en matière d’environnement et que ces droits sont demeurés inchangés depuis 1978.
Lire la suite.
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Possibles arrêts de travail chez Cédrico de Price et Maxi d’Asbestos, des ententes dans sept municipalités
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Des affiches controversées à l’UQAM faisaient partie d’un coup d’éclat médiatique
Une affiche, qui a fait grand bruit voilà deux semaines, faisait en fait partie d’un coup d’éclat médiatique réalisé par Radio-Canada. Publiée ce matin, la vidéo de la série Corde sensible, explique la démarche de la journaliste Marie-Ève Tremblay. Elle a déjà été partagée plus de 900 fois en 3 heures. Pour tester la tolérance des étudiants universitaires par rapport à des discours plus tranchés, la journaliste et une professeure de l'UQAM ont installé deux affiches aux propos peu nuancés à l’UQAM: l’une portant sur le sentiment identitaire de droite, l’autre, se positionnant pour les actes de vandalisme anti-gentrification. Alors que la deuxième affiche n’a pas fait réagir, la première a beaucoup fait parler, à l’UQAM comme dans les réseaux sociaux.
Lire la suite du texte du Journal de Montréal.
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Québec prépare un «réinvestissement» dans les universités
Cinq ans après le printemps érable, Québec va finalement réinvestir dans les universités, qui n'ont jamais vu l'ombre des millions promis à l'époque. «Le thème principal du budget, ça va être l'enseignement supérieur, la formation et la main-d'oeuvre», a révélé le ministre des Finances, Carlos Leitão, lors d'un entretien avec La Presse plus tôt cette semaine. Par «enseignement supérieur», il entend autant les universités que les cégeps. Il y a longtemps qu'un gouvernement a placé ce secteur au coeur d'un budget.
Lire la suite.
Québec : près de 2 milliards de surplus pour les huit premiers mois de l’exercice.
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Bilan de la grève de 2012 : Le mouvement étudiant a atteint son premier objectif
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Les écoles privées du Québec à l’abri de l’austérité
Le monde scolaire québécois est parcouru par une séparation nette entre le réseau public et les écoles privées. Après l’application des mesures d’austérité par le gouvernement Couillard, il appert que les écoles privées ressortent de ces dernières années de coupes avec un positionnement qui les avantage encore plus qu’avant comparativement aux écoles publiques. Dans une note publiée la semaine dernière, j’ai réalisé une analyse comparative des revenus des écoles privées et publiques, et les résultats sont limpides: les écoles privées ont traversé beaucoup plus facilement cette période difficile.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Une loi-cadre pour contrer la violence sexuelle sur les campus d’ici la prochaine rentrée scolaire
La ministre Hélène David espère adopter, d’ici la prochaine rentrée scolaire, une loi-cadre pour contrer les violences à caractère sexuel sur les campus, collégiaux et universitaires. Elle souhaite ainsi éviter les débordements souvent associés aux activités d’initiations. C’est ce qu’a annoncé la ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, en marge de la première journée de réflexion sur les violences à caractère sexuel qui se tenait mardi à Chicoutimi. «Je veux que, le plus rapidement possible, on dépose ce projet de loi-cadre, répond la ministre. Je prévois la rentrée prochaine ; je veux que toutes les activités d’accueil et d’intégration, qu’on appelle aussi initiations, se passent bien.»
Lire la suite du texte du Devoir.
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Brigade sur le campus de l’Université Laval contre la violence sexuelle
L'Université Laval entraîne une brigade d'étudiants capables de détecter les situations glissantes durant lesquelles il y a danger de violence sexuelle ou durant lesquelles le consentement clair n'a pas été exprimé. Ils sauront même intervenir «subtilement» jusque dans les initiations de début de session et les soirées bien arrosées.
Lire la suite du texte du Soleil.
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L'histoire se répète. En mai 1991, le recteur Hubert Laforge quittait dans la plus grande confusion la direction de l'UQAC après un règne éphémère de deux ans et demi. Ce n'était toutefois pas la conséquence de pressions syndicales, mais plutôt d'un affrontement avec le ministère de l'Enseignement supérieur. La raison fondamentale était tout à fait semblable à celle qui a inspiré au recteur Martin Gauthier la décision de renoncer à la sollicitation d'un renouvellement de son mandat.
Lire la suite de la chronique du Quotidien.
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Un déficit moins élevé que prévu à l'UQTR
L'Université du Québec à Trois-Rivières avait annoncé que son déficit serait d'un peu plus de 14,2 millions $ pour l'exercice financier de 2016-2017 qui se terminera le 30 avril. Lundi, le recteur, Daniel McMahon, a réuni la presse pour annoncer une bonne nouvelle. Le déficit s'élèvera plutôt à 10 411 944 $, soit presque 4 millions $ de moins que prévu. Cette progression encourageante, l'UQTR la doit à son plan de redressement approuvé tout dernièrement par le gouvernement ainsi qu'à une hausse inattendue d'étudiants.
Lire la suite du texte du Nouvelliste.
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Droits d’auteurs : recours collectif autorisé contre l’Université Laval
Un recours collectif en droits d'auteurs intenté contre l'Université Laval a été autorisé la semaine dernière par la Cour d'appel du Québec, peut-on lire sur le site de Radio-Canada. Le tribunal a donné raison à COPIBEC, un organisme sans but lucratif qui représente des milliers d'auteurs et d'éditeurs dont les œuvres auraient été reproduites sans permission par l'Université Laval. En donnant le feu vert au recours collectif, la Cour d'appel a ainsi infirmé la décision d'un juge de première instance qui avait rejeté cette demande en février 2016. COPIBEC a institué sa requête en novembre 2014 en réclamant près de 4 millions de dollars à l'Université Laval.
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Publicités «in english only» pour l’Université de Montréal
En pleine campagne de recrutement, l’Université de Montréal courtise les étudiants d’Ottawa… en anglais seulement. L’université, qui n’offre que des programmes de langue française, a pourtant choisi l’anglais pour sa plus récente offensive publicitaire dans la capitale fédérale. À Montréal et à Gatineau, l’UdeM s’affiche en français. Dans les cégeps anglophones, elle le fait dans les deux langues officielles. C’est néanmoins l’anglais que l’Université de Montréal a choisi d’employer pour s’adresser à de potentiels étudiants de la région d’Ottawa, dans le réseau d’autobus municipal et les bars et restaurants du centre-ville.
Lire la suite du texte du Devoir.
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Le 22 mars : un rendez-vous qui met en lumière l’éducation populaire
L’ICÉA invite le Conseil supérieur de l’éducation à présenter son excellent avis portant sur l’éducation populaire. L’avis est étoffé, bien documenté et offre un tour d'horizon assez complet de l'éducation populaire. Il présente notamment un historique très juste de l’éducation populaire où les actrices et acteurs de ce secteur s’y reconnaissent. Il réaffirme son rôle central en matière d’éducation tout au long et tout au large de la vie. Ainsi, rappelle-t-il, l’éducation populaire ne se réduit pas à un objectif de développement de la main-d’œuvre, comme le voient trop souvent les gouvernements. Elle constitue l’un des lieux où les nombreux besoins d’apprentissage, qui s’expriment différemment tout au long de la vie, peuvent trouver une réponse. Elle est accessible à un grand nombre de personnes, notamment aux populations marginalisées, et crée des liens et du sens.
Lire la suite.
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Une École d’été en pédagogie de l’enseignement supérieur
Du 14 au 17 août, le Centre d’études et de développement pour l’innovation technopédagogique (CEDIT), de l’Université de Sherbrooke, tiendra une École d’été en pédagogie de l’enseignement supérieur. Il s’agit d’une formation de 3e cycle créditée qui s’adresse aux professeurs, aux chargés de cours collégiaux et universitaires, ainsi qu’aux doctorants et aux conseillers pédagogiques de toutes disciplines. «Nous invitons nos collègues à venir se frotter aux plus récentes innovations pédagogiques, énonce Denis Bédard, professeur titulaire au Département de pédagogie de la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke et directeur du CEDIT. Mais il ne s’agit pas de venir s’asseoir pour écouter ce qu’on aura à dire, prévient-il, mais bien à confronter ses expériences en pédagogie.»
Lire la suite du texte du Devoir.
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Montréal : meilleure ville universitaire du monde, selon les étudiants
La métropole québécoise a mis fin au règne de cinq ans de Paris à titre de ville préférée des étudiants étrangers, selon une étude de l'Institut Quacquarelli Symonds (QS). La cinquième édition du classement de QS des meilleures villes étudiantes de la planète, qui dénombre les 100 villes les plus prisées des étudiants, a couronné Montréal comme meilleure ville universitaire du monde. L’organisme souligne que Montréal profite d’un nouvel essor économique et des prévisions de croissances pour 2017, après une période de stagnation au cours des dernières années. Montréal est également reconnue comme la «ville la plus intelligente du monde», selon QS, en raison du développement de son industrie de l’intelligence artificielle.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
Montréal investit 10 M$ en recherche dans trois universités montréalaises dont l’UQAM pour de nouvelles technologies.
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Des projets de recherche sur mesure pour les entreprises
On a longtemps vu les chercheurs universitaires dans leur tour d'ivoire. Or ils sont de plus en plus amenés à travailler avec différents acteurs du milieu. Des entreprises qui, notamment, se nourrissent des résultats de projets de recherche appliquée, alors que les professeurs et leurs étudiants des cycles supérieurs profitent de ces expériences et de ces accès à des données du terrain. Voici deux projets réalisés en partenariat.
Lire la suite du texte de La Presse.
Quand le chercheur universitaire conquiert les marchés.
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L’Université Laval s'éloigne des énergies fossiles
L’Université Laval s’engage à retirer ses investissements du secteur des énergies fossiles, une première pour une université canadienne. Mais même si le mouvement de désinvestissement prend de plus en plus d’ampleur à l’échelle de la planète, les autres universités québécoises tardent à s’engager sur cette voie, a constaté Le Devoir. L’établissement agit ainsi de façon «responsable» par rapport à la crise des changements climatiques, en plus de miser sur «un meilleur rendement à long terme» en optant pour des investissements dans les énergies renouvelables, selon le vice-recteur exécutif et responsable du volet développement durable, Éric Bauce.
Lire la suite.
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Trois questions à se poser quand une étude est contestée
Une agence américaine a été accusée cette semaine d’avoir trafiqué des données dans le cadre d’une étude de 2015 sur les changements climatiques. Bien que l’accusation ait été publiée dans l’un des journaux les plus lus du monde anglophone, il s’est avéré rapidement qu’elle ne reposait que sur du vent. Mais comment peut-on juger de la véracité d’une telle accusation, quand on n'est pas soi-même scientifique? Le Détecteur de rumeurs vous refile ses astuces! Trois questions à se poser pour vérifier la solidité de cette accusation: demandez-vous si le reportage a présenté un portrait complet du problème, si l’accusation s’appuie sur des faits ou sur des opinions, et si ces faits, le cas échéant, reposent sur des résultats qui ont été reproduits ailleurs.
Lire la suite du texte de l’Agence Science-presse.
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Le rôle des conseillères et conseillers scolaires se renforce au sein des communautés scolaires canadiennes
Qu’il s’agisse d’assurer un encadrement psychologique ou de préparer les étudiantes et étudiants à leurs carrières futures, les conseillères et conseillers scolaires observent une évolution des pratiques au sein des établissements scolaires canadiens, où elles et ils occupent une place de plus en plus importante dans la vie des jeunes.
Lire la suite.
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Situation des femmes détenues au Leclerc : des organisations interpellent le ministre Coiteux
Un an après le transfert des femmes détenues à la Maison Tanguay vers l’Établissement de détention Leclerc, la Ligue des droits et libertés (LDL) et la Fédération de femmes du Québec (FFQ) dénoncent les problèmes de fond qui persistent et entraînent des violations inacceptables de leurs droits. Réunies ce matin devant le palais de justice de Montréal en présence de représentant-e-s de plusieurs organisations, elles pressent le ministre de la Sécurité publique de prendre les mesures nécessaires pour corriger la situation. «Plusieurs problèmes systémiques que nous dénoncions n’ont toujours pas été réglés, dont la mixité hommes/femmes qui demeure un problème majeur, constituant aussi un frein au développement d’une philosophie et d’une expertise spécifiques à un centre de détention pour femmes», affirme Mélanie Sarazin, présidente de la FFQ. Les organisations déplorent aussi la culture, l’attitude et le manque de formation du personnel pour intervenir auprès de détenues femmes.
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Des psychologues du réseau public dénoncent la disparition progressive de leur profession
Des psychologues du Centre de réadaptation en dépendance de Montréal sortent de l'ombre pour dénoncer la disparition progressive de leur profession du réseau public. Dans une lettre qui circule à l'interne, ils affirment qu'ils sont de plus en plus remplacés par des travailleurs sociaux ou des psychoéducateurs. L'un des 15 signataires de la lettre, Jacques Normand, dit que le Centre, qui vient en aide aux toxicomanes, a perdu une dizaine de psychologues en trois ans. Trois postes de psychologues vacants ont récemment été remplacés par des «agents de relations humaines». Ils sont travailleurs sociaux, criminologues ou psychoéducateurs. Plusieurs psychologues ont posé leur candidature pour ces postes, mais ils «se sont fait répondre qu’il n’y avait pas d’emploi disponible», peut-on lire dans la lettre.
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Quelles sont vos expériences en ce qui concerne la race et le racisme dans le secteur communautaire ?
Cette année, le Centre des organismes communautaires (COCo) entreprend Diversité d’Abord, un projet de recherche d’envergure, dans le but de cibler les impacts du racisme et du colonialisme au sein du secteur à but non lucratif au Québec. Depuis plusieurs années, le COCo est à l’écoute d’histoires et d’expériences personnelles qui révèlent une problématique systémique répandue. Le temps est donc venu d’approfondir la question, c’est-à-dire, de commencer à compiler des chiffres, à recueillir des histoires – à en parler, ouvertement.
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Suramendes compensatoires : un sans-abri s'adresse à la Cour suprême
Les suramendes compensatoires imposées obligatoirement depuis 2013 à toute personne condamnée constituent-elles une peine disproportionnée pour certains contrevenants démunis? C'est à cette question que la Cour suprême devrait répondre si elle accepte d'entendre le pourvoi d'Alex Boudrault, un sans-abri condamné à trois ans de prison pour différents délits et à une suramende de 1400$. Après une défaite mitigée à deux juges contre un en Cour d'appel, en novembre dernier, l'avocat de M. Boudrault, Yves Gratton, s'adresse à la Cour suprême dans l'espoir de trancher l'aspect constitutionnel des suramendes compensatoires. Cet avocat de l'aide juridique considère que le fait d'enlever aux juges la discrétion d'imposer ou non ce type d'amende enfreint l'article 12 de la Charte canadienne des droits et libertés quand le contrevenant est démuni.
Lire la suite du texte de La Presse.
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Des intervenants en itinérance pour former les policiers
La Mission Old Brewery a présenté mardi les détails d’un partenariat avec le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) pour améliorer les relations entre policiers et itinérants. Ce partenariat entre le SPVM et le plus grand refuge de Montréal prendra notamment la forme d’une formation complémentaire donnée aux policiers. Elle abordera notamment la question des interventions face aux personnes ayant des problèmes de santé mentale qui touche de 30% à 50% des personnes en situation d’itinérance à Montréal. «En itinérance, on a des façons d’interagir qui sont à l’opposé de celles de la police. Eux, veulent contrôler une situation le plus rapidement possible, alors que nous on se donne du temps et de l’espace à la personne. Alors, face à une personne en crise, on a certainement des méthodes à leur suggérer pour désamorcer», a expliqué à Métro Matthew Pearce, président de la Mission Old Brewery.
Lire la suite du texte du journal Métro.
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Lutte à la pauvreté : le printemps de toutes les déceptions?
Un enjeu majeur est passé pratiquement inaperçu à la rentrée parlementaire la semaine dernière à Québec: la lutte à la pauvreté. À l’ajournement du mois de décembre, le gouvernement prétendait pourtant que cet enjeu faisait désormais partie de ses priorités. Plusieurs dossiers sont à suivre dans les prochains mois (salaire minimum, Loi 25, revenu minimum garanti et Plan d’action gouvernemental en matière de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale) en matière de lutte à la pauvreté et, jusqu’à preuve du contraire, nous trouvons illusoire de croire que ce gouvernement, champion de l’austérité, saura livrer la marchandise.
Lire la suite du texte du Collectif pour un Québec sans pauvreté.
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Pour plus d’investissements dans AccèsLogis : le FRAPRU campe chez Leitão
Le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) a installé un campement, le 14 février, au bureau du ministre des Finances, situé au 380, rue Saint-Antoine Ouest, 5e étage, à Montréal. À quelques semaines du budget, l’organisme de défense du droit au logement presse Carlos Leitão de reconduire et de bonifier le programme AccèsLogis. Au même moment, des membres du FRAPRU ont également été en action à Sherbrooke, Châteauguay, Trois-Rivières, Shawinigan, Rouyn-Noranda, La Sarre, Rimouski et Saguenay.
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Le logement social au Canada : seulement 3,7% !
Les chiffres dévoilés le 8 février par Statistique Canada, résultats du dernier recensement réalisé au printemps 2016, indiquent le besoin d’un réinvestissement massif pour étendre l’offre de logements sociaux et communautaires. Le nombre total de logements privés au Canada se chiffre maintenant à 15 412 443. C’est dire que la part du logement social et communautaire (570 000 unités) dans l’ensemble du parc immobilier résidentiel n’est plus que de 3,7%! Dans le secteur locatif, cette embellie se traduit bon an mal an par des augmentations de loyer constamment supérieures à celles des revenus des locataires, en particulier ceux des ménages à faible revenu. À 4,1%, la part du logement social et communautaire reste légèrement supérieure au Québec, résultat des efforts qui ont été consacrés au développement de ce secteur (programmes Logement abordable Québec et AccèsLogis) depuis le retrait du gouvernement fédéral au milieu des années 1990.
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Si l’amour est aveugle, votre portefeuille l’est-il?
L’amour et l’argent, ou l’argent en amour, un thème qu’on tente tant bien que mal d’éviter, une sorte de tabou qui représente une des principales causes de conflits au sein des couples. Pourtant, tôt ou tard, on devra bien en parler, parce qu’après tout être en couple, ça veut souvent dire vivre ensemble, partager des lieux, des biens et des services, et donc déterminer comment chacun·e contribuera. À ce sujet, Hélène Belleau, sociologue et professeure à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), et Delphine Lobet, docteure en sociologie et diplômée en gestion, ont publié un ouvrage, L’amour et l’argent - Guide de survie en 60 questions (publié chez Remue-Ménage), tout aussi intéressant que pertinent. Leur livre démystifie la question de l’argent (et du temps) au sein des couples.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Cachez ce BAPE que je ne saurais voir
Depuis quelques années le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) ne se fait pas aimer des promoteurs de grands projets ni du lobby patronal. Pour comprendre pourquoi, il suffit de lire le récent rapport du BAPE sur le Réseau électrique métropolitain (REM), un projet soutenu par le gouvernement. On ne se surprend donc pas de voir le gouvernement Couillard réagir en tentant de mettre en place une nouvelle structure d’évaluation économique qui fera concurrence au BAPE.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Environnement : le ministère de l'Énergie pourra faire concurrence au BAPE
Le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles a profité de l’élaboration de ses orientations en matière d’acceptabilité sociale pour mettre sur pied une nouvelle structure qui sera responsable de l’analyse économique des projets majeurs. Ce bureau pourrait donc faire concurrence au BAPE, voire supplanter l’organisme indépendant, qui évalue les enjeux économiques depuis près de 40 ans. Un souhait maintes fois exprimé par le lobby patronal. La publication des «cinq orientations en matière d’acceptabilité sociale» est passée totalement inaperçue. Il faut dire que le document d’une douzaine de pages a simplement été mis en ligne sur le site du ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles (MERN). En plus de «clarifier le rôle d’accompagnateur» du ministère, le document confirme la mise en place du «Bureau de coordination des projets majeurs et d’analyse des impacts économiques», selon ce qu’on peut lire dans le texte mis en ligne le 24 janvier.
Lire la suite du texte du Devoir.
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AÉCG : une étape franchie, mais une légitimité démocratique encore loin d’être gagnée
ATTAC-Québec dénonce l’entrée en vigueur provisoire, à compter du 1er mars 2017, de 90% de l’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne (AÉCG), à la suite du vote favorable qui a eu lieu au Parlement européen le 15 février. L’association juge consternant que cette entrée en vigueur se fasse sans l’approbation des Parlements nationaux et régionaux de l’UE – un processus qui s’amorce seulement maintenant – et sans que des consultations publiques significatives, pourtant demandées par de nombreux groupes de la société civile, n’aient jamais été accordées concernant l’AÉCG au Canada. «Refuser d’entendre celles et ceux qui ont des critiques légitimes est inquiétant pour la démocratie au Canada. Mais, dans ce contexte, qu’on ose en plus parler d’un accord progressiste et qu’on ose aussi amalgamer les critiques de la gauche à celles des courants populistes protectionnistes, voire xénophobes de l’extrême droite, c’est encore plus inacceptable», indique Claude Vaillancourt, président d’ATTAC-Québec.
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Évolution de la demande de carburants au Québec
La politique énergétique du gouvernement du Québec présente des objectifs unanimement salués comme ambitieux, en particulier en ce qui concerne la cible de réduction de la consommation de produits pétroliers, soit celle d’une baisse de 40% d’ici 2030. Malheureusement, rien dans cette politique n’est proposé pour répondre à l’ambition de ces objectifs. Dans cette fiche, l’Institut de recherche en économie contemporaine reprend ses propositions en faveur des biocarburants et présente les estimations de leurs impacts sur la consommation d’essence et de diesel.
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