| |
Charges de cours du trimestre d’automne : enregistrement des candidatures jusqu’au 21 juin
L’affichage des charges de cours disponibles pour le trimestre d’automne 2017 sur Accent se terminera le 21 juin. La période de réponse obligatoire à la proposition des cours attribués par Accent sera du 30 juin au 6 juillet. Les affichages complémentaires (s’il y a lieu) se feront les 7 et 8, 14 et 15, 21 et 22, ainsi que les 28 et 29 août.
|
|
|
| |
Appel à témoins concernant les congés de maladie
Quelques personnes chargées de cours se sont récemment faites demander, par le Service de la santé et de la qualité de vie au travail de l'UQAM, des précisions quant au certificat médical fourni. Outre la mention de l’arrêt de travail, on leur a demandé à ce que le certificat spécifie le diagnostic, voire la médication. Le syndicat lance un appel à témoin. Si vous avez été contacté pour un certificat médical dit incomplet, que ce soit récemment ou antérieurement, veuillez nous écrire à l’une des adresses suivantes et nous donner les informations suivantes : • la date de début et de fin de votre congé de maladie • le motif des vérifications faites par l’UQAM.
Robert Drouin, poste téléphonique: 3536, courriel: drouin.robert@uqam.ca Peggy Roquigny poste téléphonique: 2789, courriel: roquigny.peggy@uqam.ca Stéphane Daniau poste téléphonique: 4886, courriel: daniau.stephane@uqam.ca
Vous participez à la conception de cours hybrides : faites-nous aussi part de votre expérience.
|
|
|
| |
Appui de l’intersyndical de l’UQAM à la professeure Louise Briand, représentante des professeures et professeurs au conseil d’administration de l’UQO
Aux membres du Comité de gouvernance et de déontologie du conseil d’administration de l’Université du Québec en Outaouais, les syndicats de l’Université du Québec à Montréal tiennent à vous faire part de leur indignation face au geste posé par le Comité de gouvernance et de déontologie du conseil d’administration de l’UQO de menacer la professeure Louise Briand de révocation. Les membres internes qui siègent au conseil d’administration des institutions d’enseignement supérieur ont droit à tous les égards qu’appelle la fonction d’administrateur. Plus particulièrement, la professeure Louise Briand mérite d’être traitée de manière équitable et respectueuse de sa liberté académique, de sa liberté politique et de sa liberté d’expression. Nous vous enjoignons de reconnaitre la contribution inestimable des membres du conseil d’administration issus de la communauté universitaire (personne chargée de cours, étudiante et étudiant, professeures et professeurs) ainsi que celle des observateurs permanents qui représentent les groupes soutien et professionnel.
Au nom de la collégialité et de l’intérêt de l’UQO, nous demandons le rejet de la plainte logée contre la professeure Louise Briand.
Syndicat des professeurs et professeures de l’UQAM (SPUQ)
Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ)
Syndicat des employées et employés de l’UQAM (SEUQAM)
Syndicat des étudiant-e-s employé-e-s de l’UQAM (SÉtuE)
|
|
|
| |
Simon Claus est récompensé par le CRTC pour un article sur la politique canadienne en matière de radiodiffusion
Chargé de cours à l'École des médias, Simon Claus est le lauréat 2017 du Prix d'excellence du CRTC en recherche sur les politiques, d'une valeur de 2 500 dollars, pour un article intitulé «La politique canadienne en matière de radiodiffusion en question: de Marconi à Netflix». Le Doctorant en communication a reçu ce prix lors du congrès annuel de l’Association canadienne de communication (ACC), qui a eu lieu récemment à Toronto. Son article sera publié sur le site Web du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC). Simon Claus sera également invité à présenter le contenu de son article aux conseillers du CRTC et à d’autres décideurs fédéraux plus tard cette année, peut-on lire sur Actualités UQAM.
|
|
|
|
|
Véronique Leblanc est commissaire pour l’exposition de l'artiste mexicain Gilberto Esparza
Des bruits étranges accueillent ces jours-ci le visiteur à la Galerie de l'UQAM. Dans la pénombre, une machine s'active, transformant les contaminants présents dans les eaux usées de Montréal en une énergie alternative qui alimente un écosystème aquatique. Au centre de la machine, une sphère transparente laisse voir les plantes qui se maintiennent en vie grâce aux rafales d'énergie lumineuse produites par les bactéries des égouts montréalais. Des petits poissons nagent au travers de la végétation. Plantas autofotosintéticas est la première exposition solo au Canada de l'artiste mexicain Gilberto Esparza. Les deux commissaires de l'exposition sont Véronique Leblanc, chargée de cours au Département d'histoire de l'art, et Nuria Carton de Grammont, chargée de cours à l'Université Concordia. L’exposition se termine le 17 juin, peut-on lire sur Actualités UQAM.
|
|
|
|
| |
André-Sébastien Aubin préconise des bulletins sans lettres ni pourcentages
Alors que Québec veut revoir la politique d’évaluation des élèves, la Colombie-Britannique fait figure de pionnière en la matière. Des écoles remplacent les traditionnels bulletins par des portfolios numériques sans notes, une tendance dont le Québec devrait s’inspirer, selon André-Sébastien Aubin, chargé de cours spécialisé en évaluation à l’UQAM. Or, avec son bulletin chiffré unique, le Québec est à contre-courant de cette tendance qui s’inscrit plutôt dans l’esprit de la réforme scolaire implantée ici au début des années 2000. «On était des défricheurs», lance-t-il. Mais pour différentes raisons, la réforme et ses nouveaux bulletins ont suscité beaucoup de grogne et de mécontentement, si bien que le gouvernement a réintroduit le bulletin chiffré pour tous, en 2012. «La recherche montre que ce qui est le plus utile pour aider un élève, c’est d’enlever les notes et de ne lui donner que des commentaires», affirme André-Sébastien Aubin au Journal de Montréal.
|
|
|
| |
Les libéraux sur le terrain de la constitution : une tentative pour empêcher la CAQ de les dépasser, selon André Lamoureux
Deux récents sondages placent la Coalition avenir Québec (CAQ) en bonne position dans les intentions de vote pour les prochaines élections provinciales de 2018. Le politologue et chargé de cours à la Faculté de science politique, André Lamoureux, ajoute que les libéraux sont conscients de l'insatisfaction envers le gouvernement Couillard. «Et l'initiative qu'il [Philippe Couillard] vient de prendre pour la constitution est pour empêcher la CAQ de le dépasser», commente-t-il pour Radio-Canada.
|
|
|
| |
Barack Obama : une conférence qui sert d’abord à remplir les poches du conférencier, commente Élisabeth Vallet
Barack Obama a prononcé une conférence publique à guichets fermés à Montréal. Comme tous ses prédécesseurs récents, depuis son retrait de la Maison-Blanche, l’ancien président se fait donc conférencier émérite à plusieurs centaines de milliers de dollars tout en écrivant ses très lucratives mémoires. «Ce genre de conférence, c’est indéniable, sert d’abord à remplir les poches du conférencier, commente Élisabeth Vallet, chargée de cours, chercheuse à l’Observatoire sur les États-Unis de l’UQAM pour Le Devoir. Mais ce n’est pas nouveau. Reagan déjà avait fait pas mal d’argent avec cette pratique, qui correspond aussi à la fascination des foules pour les puissants. Il y a de l’engouement pour Barack Obama comme il y en aura pour le Dalaï-lama [en octobre à Montréal].»
|
|
|
| |
Donald Cuccioletta critique le livre Evicted : Poverty and Profit in the American City
Donald Cuccioletta, chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand, et la sociologue Cécile Van de Velde critiquent le livre Evicted : Poverty and Profit in the American City, de l'Américain Matthew Desmond à l’antenne de Radio-Canada. Récompensé d'un Pulitzer, cet essai dresse un portrait sombre de la situation immobilière aux États-Unis. On y apprend qu'une famille sur quatre dépense plus de 70% de son salaire pour son logement et qu'une personne sur huit s'attend à se faire évincer d'un jour à l'autre de sa demeure.
|
|
|
|
|
65e Congrès de la CSN, Voir loin, viser juste : discussion d’un plan d’action pour sortir les libéraux de Québec
| |
Au terme du 65e Congrès, qui s’est déroulé à Montréal du 5 au 9 juin, les délégué-es des syndicats ont réélu Jacques Létourneau à la présidence de la Confédération des syndicats nationaux (CSN) pour le prochain mandat d’une durée de trois ans. Les quelque 1300 délégué-es ont également réélu par acclamation Jean Lortie au secrétariat général, Pierre Patry à la trésorerie, Jean Lacharité à la deuxième vice-présidence, et Véronique De Sève à la troisième vice-présidence. Caroline Senneville a, pour sa part, été portée à la première vice-présidence de la CSN. Sur le thème Voir loin, viser juste, les délégué-es ont débattu d’un plan d’action conduisant à la prochaine élection québécoise, en octobre 2018. L’objectif sera alors d’interpeller les partis politiques et les différents candidats et candidates sur un ensemble de positions sociales et liées au monde du travail. «Après trois ans d’austérité, nous souhaitons un changement majeur dans les décisions qui sont prises à Québec», a poursuivi Jacques Létourneau.
Lire la suite.
Vidéos : Ouverture et conclusion du 65e congrès de la CSN.
Vidéo : Contre vents et marées, protéger la mission de la CSN.
Proposition sur la vie syndicale : un vaste chantier s’amorce.
Syndicalisation : un rapport d'étape encourageant.
La démocratie syndicale : un virage nécessaire.
Manifeste : faire les choses autrement.
Industrie de la crevette : noyés dans le trou noir.
Environnement et développement durable : la grande séduction anticostienne.
Ateliers thématiques : comprendre pour agir.
International : des pays et des luttes.
Le populisme de droite : une arme de destruction massive des solidarités.
Accord de libre-échange : l'union fait la force.
Syndicalisme palestinien : debout malgré tout.
|
|
|
|
| |
Congrès de l’AFPC-Québec : le SÉtuE fait valoir ses points dans un contexte difficile
Une délégation du SÉtuE a participé du 21 au 23 avril au congrès triennal de l’AFPC-Québec. Malgré le fonctionnement du congrès qui gagnerait clairement à être amélioré, le SÉtuE a réussi à gagner l’appui de la majorité pour la plupart de ses revendications importantes. Le congrès fut grandement divisé entre les sections locales à chartes directes (principalement issues du milieu universitaire) et les éléments (regroupant les employé-e-s des ministères fédéraux). Cette tension s’explique à la fois par la culture politique différente qui règne dans ces deux milieux, mais aussi par la nature bien différente du travail, que ce soit au niveau du caractère temps plein ou temps partiel ou de la permanence de l’emploi. Les sections universitaires ont montré leur solidarité même quand les sujets ne les affectaient pas directement. En revanche, lorsqu’il s’agissait de prendre des mesures concrètes pour favoriser ou aider les membres à statut précaire et, plus largement, les sections universitaires, la solidarité semblait moins forte. Le congrès a voté en faveur de la résolution du SÉtuE à l’effet que les indemnités de grève deviennent égales pour tout le monde, peu importe si les travailleurs et travailleuses travaillent à temps plein ou à temps partiel, soit 75$ pour 4h de piquetage.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Raif Badawi emprisonné depuis cinq ans : qu’attend Justin Trudeau pour agir ?
La CSN invite ses membres et la population à participer à l’un des rassemblements soulignant les cinq années d’emprisonnement de Raif Badawi en Arabie Saoudite, le jeudi 15 juin à Sherbrooke et Ottawa, et le vendredi 16 juin à Montréal (à 17h30 devant le Métro Mont-Royal), Québec, Rimouski et Thetford Mines. La CSN exhorte en outre le premier ministre Justin Trudeau à intervenir personnellement pour faire libérer le blogueur qui est incarcéré depuis le 17 juin 2012. «Personne n’était surpris de constater que Stephen Harper n’agisse pas et laisse croupir Raif Badawi en prison, a déclaré le président de la CSN, Jacques Létourneau. Mais que le premier ministre Justin Trudeau refuse d’assumer un rôle de leader sur la scène internationale sur que la question des droits de la personne dépasse l’entendement. S’il est réellement préoccupé par la liberté d’expression et les droits de la personne, il doit agir sans délai.»
Lire la suite.
|
|
|
|
|
Les employés de soutien de la TÉLUQ adoptent des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève
|
|
|
|
| |
Négociation au Collège Stanislas : le Collège s’apprête à mettre une trentaine de travailleurs à la rue
Les employé-es de soutien du collège Stanislas ont dénoncé l’attitude odieuse de l’employer qui a l’intention de les mettre tous à la porte et d’avoir recours à la sous-traitance en point de presse le 10 juin. «Notre employeur fait pendre une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes. Son attitude va à l’encontre de la convention collective dûment signée par les parties, qui interdit le recours à la sous-traitance. Depuis le début de la négociation, nous avons l’impression qu’il n’a jamais réellement eu l’intention de trouver un compromis, mais plutôt de nous remplacer par une compagnie privée», a déploré le président du Syndicat des employé-es de soutien du Collège Stanislas-CSN, Jean Lacoursière.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Négociation dans les CPE : manifestation des représentantes des 11 000 travailleuses et travailleurs membres de la CSN
Réunies à Québec à l’occasion de leur instance de négociation, une centaine de représentantes de 37 syndicats regroupant 11 000 travailleuses et travailleurs en CPE, membres de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), ont manifesté le 13 juin devant les bureaux du ministère de la Famille. Dénonçant notamment la lenteur des négociations alors que leurs conventions collectives sont échues depuis le 31 mars 2015, les délégué-es recommanderont à leurs membres de mettre en place un plan d’action lourd, incluant le recours à la grève applicable à l’automne prochain.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Milieux majoritairement masculins : la CSN, fière partenaire du concours Chapeau les filles
Encore une fois, la CSN se réjouit de remettre trois bourses à des femmes qui se sont démarquées dans le cadre du concours Chapeau les filles! et de son volet Excelle Science. D’année en année, l’événement permet à des jeunes filles d’intégrer des professions ou des métiers traditionnellement masculins. En remettant les prix, la vice-présidence de la CSN, Véronique De Sève, a salué la ténacité et la détermination des trois étudiantes qui se sont illustrées dans l’édition 2017 du concours. «Je suis très fière de savoir que le soutien de la CSN les aide à poursuivre leur but et à se dégager des rôles plus traditionnels qui leur sont souvent attribués de facto», a-t-elle souligné.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Privatisation : victoire de la CSN contre un CHSLD privé des Laurentides
La Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) obtient une victoire importante contre la privatisation des soins d’hébergement des aîné-es dans les Laurentides. Le tribunal d’arbitrage a donné raison à la FSSS-CSN en suspendant l’appel d’offres lancé par le CISSS des Laurentides. Cette décision permet de suspendre l’octroi d’un contrat de plusieurs millions de dollars à un CHSLD privé et donne une occasion à la FSSS-CSN de développer une alternative publique en faveur des aîné-es et du personnel. «Cette décision obtenue par la FSSS-CSN est une victoire pour toutes les catégories d’emploi du CISSS des Laurentides et surtout pour la population de la région», lance Jeff Begley, président de la FSSS-CSN.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Nouvelle convention collective aux Industries Mailhot
|
|
|
| |
Contenu régional et canadien dans le matériel roulant : la CSN partage les inquiétudes des élus et des entreprises
Les présidences du Syndicat des employés de Bombardier La Pocatière–CSN (SEBLP), de la Fédération de l’industrie manufacturière–CSN (FIM) et du Conseil central du Bas-Saint-Laurent–CSN (CCBSL) partagent les inquiétudes des élus et des entreprises manufacturières de la région à l’égard de l’exigence du contenu local et canadien dans les projets de transport de matériel roulant. «La décision de l’Agence métropolitaine de transport (AMT) d’abaisser les exigences de contenu canadien de 25 à 15 % dans le matériel roulant qu’elle acquiert pour ses opérations menace directement des milliers d’emplois du secteur manufacturier au Québec», de préciser Mario Guignard, président du SEBLP.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Exploitation des travailleurs d’agence : qu’attend le gouvernement pour légiférer?
Avez-vous lu la série d’articles parus dans le quotidien La Presse, ce samedi, à propos, notamment, des travailleuses et des travailleurs d’agence? À la lecture de ces articles, une question surgit: qu’attend le gouvernement pour légiférer afin de faire cesser l’exploitation dont sont victimes les travailleuses et les travailleurs employés par des agences de placement? C’est la question qu’avait posée la CSN dans le cadre du Rendez-vous national sur la main-d’œuvre en février dernier, et qu’elle réitère ces jours-ci. À l’époque, le premier ministre lui-même avait avoué que la situation était insoutenable «On m’a raconté des histoires à faire dresser les cheveux sur la tête. Ce sont des entreprises instables, qui font faillite et qui renaissent sous un autre nom; les travailleurs se retrouvent souvent abandonnés», avait lancé le premier ministre. Pourtant, depuis, c’est le silence radio.
Lire la suite du blogue de Jean Lacharité.
|
|
|
| |
Cannabis : l’État québécois a un rôle primordial à jouer
La légalisation du cannabis au Canada vise des objectifs sociaux, de santé publique et de sécurité, qui seront beaucoup plus difficiles à atteindre si Québec choisit de confier la commercialisation au secteur privé. Le gouvernement québécois dit réfléchir actuellement à la question et il annonce une période de consultation qui aura lieu durant l’été. Nous espérons que cette consultation permettra une véritable réflexion qui était jusqu’à maintenant confinée au conseil des ministres et alimentée par un grand nombre de lobbyistes qui œuvrent dans l’ombre pour s’approprier ce marché légalisé. C’est un changement très sérieux qui se profile. Le gouvernement Couillard aurait intérêt à considérer le rôle primordial de l’État si on veut atteindre les objectifs fixés.
Lire la suite de la lettre publiée dans Le Devoir.
|
|
|
| |
Plaintes de maintien de l’équité salariale dans le secteur public: impasse à la table de conciliation
Après plus de quatre ans à la table de conciliation sur les plaintes en maintien de l’équité salariale de 2010, les syndicats affiliés à la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), le SCFP, le SQEES et le SEPB, ont demandé à la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) de référer le dossier au processus d’enquête afin d’en arriver à une décision pour l’ensemble des plaintes de maintien de l’équité salariale du secteur public. «Au lieu de permettre aux milliers de femmes qui oeuvrent dans le secteur public d’obtenir des ajustements salariaux qui reflètent la juste valeur de l’emploi qu’elles occupent et de recevoir la rétroactivité qu’elles méritent, le Conseil du trésor fait trainer le dossier depuis le 31 décembre 2010. C’est inacceptable!» déplore le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Dépôt du projet de loi no 144 modifiant la LIP : la FSE-CSQ veut le retrait des références aux cibles chiffrées
La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) demande au ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, M. Sébastien Proulx, de profiter de l’ouverture faite à la Loi sur l’instruction publique (LIP) par le dépôt du projet de loi no 144 pour retirer les références à l’atteinte des cibles et d’indicateurs de réussite, qui ont occasionné des dérives importantes du côté de l’évaluation des apprentissages. «L’introduction de cibles chiffrées de réussite entraîne son lot de dérives et de pression sur les enseignants. Le ministre a fait des constats et a émis une directive. En toute cohérence, s’il veut aller plus loin qu’un rappel des balises existantes pour régler le problème, il doit poursuivre la démarche et retirer de la loi les références aux cibles et indicateurs, chiffrés dans les milieux», a fait savoir Josée Scalabrini, présidente de la FSE-CSQ.
Lire la suite.
La CSQ salue les mesures pour les élèves sans-papiers.
|
|
|
| |
Suppressions de postes à BAnQ : le SPGQ dénonce la perte d’expertise en culture
Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) dénonce la décision de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) de supprimer plusieurs postes professionnels, ce qui accentuera la perte d'expertise du gouvernement dans la promotion de la culture. BAnQ a informé le SPGQ le 5 juin que six postes professionnels permanents seront abolis d’ici six mois, sans compter les postes occasionnels qui prendront fin prématurément. Les postes visés sont ceux de bibliothécaire, d'archiviste, d'agent culturel et d'agent de recherche. Il s'agit de la quatrième vague d'abolition de postes depuis 2009. «Par ce geste, BAnQ va atrophier son expertise en promotion de la culture, plus précisément en matière d’expositions et d’événements, en bibliothéconomie et archivistique, mais aussi sur les volets éducation et animation aux usagers. En agissant ainsi, BAnQ met en péril son mandat de promotion de la culture et son volet éducatif», dénonce Richard Perron, président du SPGQ.
Lire la suite.
|
|
|
| |
FTQ : «Encore une fois, Québec poursuit sa privatisation du système de santé, c’est indécent!»
Québec se prépare à sous-traiter plus de 800 postes en soins à domicile dans la grande région de Montréal et Laval. La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) dénonce vivement l’appel d’offres de SigmaSanté, un organisme chargé de gérer l’approvisionnement en commun de produits et de services pour les régions de Montréal et de Laval, et qui se prépare à donner au privé des emplois en soutien à domicile d’auxiliaires aux services de santé et sociaux (ASSS), de travailleuses et de travailleurs sociaux, d’ergothérapeutes et de physiothérapeutes. Dans un appel d’offres daté du 5 mai dernier, SigmaSanté invite, au nom des Centres intégrés universitaires de santé et de services sociaux (CIUSSS) et des Centres intégrés de santé et de services sociaux (CISSS) de Montréal et de Laval, le secteur privé à déposer des propositions pour offrir le service de soutient à domicile.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Offensive de la CSQ en Gaspésie : une dizaine de municipalités s’opposent au projet Optilab
Alors qu’une dizaine de municipalités de la Gaspésie ont déjà manifesté leur opposition au projet de centralisation des laboratoires médicaux publics du Québec (Optilab), les syndicats de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) de la Gaspésie invitent les autres élus de la région à joindre le mouvement sans plus tarder. Plusieurs résolutions d’opposition ont été adoptées par les municipalités et envoyées au ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette. Ces résolutions font suite à une lettre des syndicats de la CSQ adressée aux élus de la région, au cours des dernières semaines. «Les élus doivent veiller au respect des droits et des intérêts des personnes qu’ils représentent. Il est évident que le projet Optilab, mis en œuvre par le ministère de la Santé et des Services sociaux, pénalisera la population de nombreuses régions du Québec, dont la Gaspésie», explique la porte-parole de la CSQ dans la région, Micheline Barriault.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
Conditions de vie des personnes aînées : le Parti québécois et cinq organismes d’aînés du Québec réclament la tenue d’états généraux
Le porte-parole de l’opposition officielle pour les aînés, Harold LeBel, l’AQDR, l’AQRP, l’AREQ-CSQ, le Carrefour 50 + du Québec ainsi que le réseau FADOQ unissent leur voix pour réclamer au gouvernement du Québec la tenue d’états généraux sur les conditions de vie des personnes aînées. Le gouvernement doit cesser de prendre à la légère le défi que représente le vieillissement de la population. À ce sujet, il doit entendre tous les acteurs de la société. À la suite du forum gouvernemental sur l’évaluation de la politique Vieillir et vivre ensemble (VVE), le Parti québécois et les organismes d’aînés constatent qu’il n’y a pas de vision d’ensemble quant aux différents enjeux touchant les aînés dans les décisions du gouvernement.
Lire la suite.
CSQ : Il faut procéder à une analyse différenciée selon les sexes.
|
|
|
|
| |
Construction : Une loi spéciale inefficace
Moins de deux semaines après l’adoption d’une loi spéciale anti-démocratique contre les syndiqués de la construction, des chantiers un peu partout au Québec sont paralysés en raison de la grève des ingénieurs du gouvernement du Québec! Par exemple, plus de 55 personnes on été mises à pied le 9 juin sur le chantier du parc éolien de Nicolas Riou dans la MRC des Basques. La loi spéciale était soi-disant justifiée par l’impact économique de la grève dans la construction. Pour la FTQ-Construction, c’est une autre preuve de l’incohérence du gouvernement.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Le taux de présence syndicale recule en 2016 au Québec
Au Québec, le taux de présence syndicale, c’est-à-dire la proportion de travailleuses et de travailleurs couverts par une convention collective, est passé de 39,4% en 2015 à 38,6% en 2016, soit une baisse de 0,8 point de pourcentage (pp). Le nombre d’employés syndiqués a diminué d’environ 12000 personnes alors que le nombre de non-syndiqués a continué de progresser. Comme illustré à la figure suivante, le taux de présence syndicale suit une tendance à la baisse depuis plusieurs années. Les données de 2016 confirment une situation déjà bien établie: l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes est plus élevé pour les non-syndiqués que pour les syndiqués. Pour chaque dollar gagné par un homme syndiqué en 2016, une femme syndiquée recevait 96,2 cents (salaire horaire médian). En comparaison, les femmes non syndiquées n’obtenaient que 85 cents.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
Pour un respect de nos processus et de nos universités : le comité de sélection du recteur de l’UQAM a raison de choisir de lancer un nouvel appel de candidatures
Dans un article paru le 1er juin, le journaliste Marco Fortier affirme que le «comité de sélection est contesté après avoir lancé un nouvel appel de candidatures». À titre de candidate au rectorat de l’UQAM, je souhaite me dissocier publiquement de la lecture des résultats de la consultation qui sont présentés dans cet article. Je réitère donc ma confiance dans le processus de nomination et le comité de sélection de la nouvelle rectrice, du nouveau recteur de l’UQAM, et je confirme mon intention de proposer de nouveau ma candidature dans le cadre du nouvel appel planifié à l’automne.
Lire la suite du texte de Corinne Gendron publié par Le Devoir.
|
|
|
|
| |
Les universités des régions passent à la caisse
Le gouvernement Couillard fait de l'Université Bishop's la grande gagnante de son réinvestissement, toutes proportions gardées. Il augmente sa subvention de 19%, une hausse six fois plus importante que celle accordée à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et à l'Université de Montréal, a appris La Presse. De façon générale, les établissements en région sont plus choyés que les autres, en vertu du projet de règles budgétaires du ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur.
Lire la suite.
Bishop's : «On va cesser de se concentrer sur la survie».
Québec octroie 1,5 M$ de plus à l’UQAR.
|
|
|
|
|
Vers des horaires modifiés à l'Université Laval
La rectrice de l'Université Laval Sophie D'Amours souhaite modifier l'horaire des cours afin d'étaler dans le temps les déplacements des étudiants et employés et amoindrir le trafic autour du campus. «On va faire partie de la solution», a-t-elle lancé lors d'un point de presse qui marquait son tout premier jour à la tête de l'Université Laval, le 1er juin. Selon elle, Québec aura des «défis de congestion importants» à affronter au cours des prochaines années avec la construction du Phare et le réaménagement routier à la tête des ponts, et elle souhaite que l'Université Laval soit partie prenante du changement.
Lire la suite du texte du Soleil.
|
|
|
|
| |
Six universitaires autochtones partagent leurs réflexions entourant le 150e
La confédération a été décrite comme un moment décisif, pour le pire, dans la vie des Premières Nations, des Inuits et des Métis du Canada. Le fait que les droits accordés aux Autochtones lors de la proclamation royale britannique de 1763 et que les traités subséquents n’aient pas été respectés est bien documenté. Le bien-être des Autochtones ainsi que la vitalité de leurs cultures et de leurs langues se sont fortement détériorés, en particulier après l’adoption de la Loi sur les Indiens de 1876. La Commission de vérité et réconciliation (CVR) du Canada affirme que «la réconciliation nationale est le cadre le plus approprié pour orienter la commémoration» du 150e anniversaire de la Confédération. À son avis, il s’agit d’«une occasion pour les Canadiens de faire le point sur leur passé, et de célébrer les réalisations du pays sans se dérober à la responsabilité de ses échecs». Voici les réflexions de six chercheurs autochtones dans des universités canadiennes qui nous font découvrir leur vision d’un «Canada réconcilié».
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
|
|
|
| |
Suppléances à répétition : une situation pas si exceptionnelle
Dans le cadre d’un reportage de Marie-France Bélanger diffusé à Radio-Canada le 1er juin dernier, Stéphanie Dion, mère d’un élève de 1re année à l’école Saint-Jean-de-Brébeuf à Montréal, a dénoncé la ronde incessante des dix suppléants qui se sont succédé de janvier à avril dans cette classe et les impacts dramatiques sur ses camarades et lui. La présidente de la Commission scolaire de Montréal (CSDM), Catherine Harel-Bourdon, y réagissait en disant que cette situation était exceptionnelle. Or, il n’en est rien. Quelques heures seulement après la diffusion du reportage, des dizaines de parents ont informé le mouvement Je protège mon école publique que leurs enfants ont vécu ou vivent présentement la même chose. Plus d’une trentaine de cas similaires ont été dénoncés, plusieurs à la CSDM, mais aussi des cas provenant des commissions scolaires Marie-Victorin (région de Longueuil), des Trois-Lacs (région de Vaudreuil-Soulanges), de la Pointe-de-l’Île (à Montréal) et du Val-des-Cerfs (région de Granby).
Lire la suite.
|
|
|
| |
Une école universitaire au primaire : un établissement nouveau genre verra le jour à Terrebonne en septembre
Une école primaire tente un nouveau modèle, visant à mettre en application les nouvelles pratiques pédagogiques et les savoirs scientifiques dans l’enseignement quotidien, et ce, sous la supervision de chercheurs universitaires, qui pourront documenter le tout. L’école ouvrira ses portes à Terrebonne en septembre. «Pourquoi, en éducation, n’avons-nous pas le même modèle que les hôpitaux universitaires, qui permet de retrouver dans un même endroit de vrais élèves, des enseignants à jour dans les pratiques probantes, des stagiaires et des universitaires qui vont pouvoir observer les difficultés et les défis rencontrés dans les classes afin de mettre en relation la pratique et le savoir?» C’est à la suite de cette réflexion que France-Lyne Masse, directrice des ressources éducatives à la Commission scolaire des Affluents, a eu l’idée de cette nouvelle «école universitaire au primaire», projet monté en collaboration avec le Département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières.
Lire la suite du texte du Devoir.
|
|
|
|
|
50 faits méconnus à propos des universités canadiennes
Amusez-vous à découvrir ces 50 faits sur affairesuniversitaires.ca à l’occasion du 150e anniversaire de la Confédération. L’Université York, à Toronto, possède une parcelle de 145 hectares au sein de la forêt de nuages Las Nubes, au Costa Rica. Un laboratoire de l’Université McMaster abrite une partie du cerveau d’Einstein. La bibliothèque de HEC Montréal est la plus importante bibliothèque bilingue en gestion au Canada. Les racines de l’Université Laval remontent à la fondation du Séminaire de Québec en 1663, en faisant ainsi le plus ancien établissement d’enseignement supérieur au Canada. L’Université Bishop’s, à Lennoxville, au Québec, propose depuis des années des cours consacrés au brassage de la bière. Le premier club de hockey structuré au monde a été fondé par des étudiants de l’Université McGill.
|
|
|
|
| |
Manif-Action : à bas Airbnb, le 22 juin
Le Comité logement du Plateau Mont-Royal est actuellement en campagne pour interdire immédiatement l’hébergement touristique via les plateformes de type Airbnb. Une manif-action sur le thème À bas Airbnb! se tiendra le jeudi 22 juin, à 18h, à l’intersection du boulevard Saint-Laurent et de la rue Rachel (dans le parc). S’il fait beau, la manif sera suivie d’un événement festif avec de la nourriture et de la musique. Actuellement, à Montréal, plus de 12 000 espaces d'hébergement sont proposés sur l'unique plateforme d'Airbnb, dont plus de 3 000 dans le seul arrondissement du Plateau Mont-Royal. Dans ce quartier, près de 5% des logements seraient touchés par la location Airbnb.
|
|
|
| |
Le sous-financement des maisons d’hébergement pour femmes : facteur aggravant de la marginalisation des femmes immigrantes au Québec
Le présent rapport de recherche de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) analyse les facteurs structurels liés aux institutions, à l’histoire coloniale, aux politiques d’immigration et au traitement médiatique de la violence qui tendent à minimiser ou à rendre invisibles les discriminations multiples et simultanées que vivent les femmes immigrantes et les femmes autochtones violentées. Ces facteurs structurels ont une incidence importante sur l’intervention des maisons d’hébergement auprès des femmes et sur le suivi de celles-ci. Une analyse détaillée des types de services dispensés et des heures de travail effectuées selon les ressources dont disposent actuellement les maisons d’hébergement au Québec a permis de mettre en lumière l’existence d’un sous-financement affectant la qualité des interventions destinées aux femmes immigrantes et aux femmes autochtones.
Pour Ramani, Kadiatou, Margarita, Dina et Nadège.
|
|
|
| |
Nouvelle trousse virtuelle portant sur les cyberviolences
Afin d’appuyer les femmes, les parents et les actrices du milieu scolaire, le CDÉACF a réalisé une trousse virtuelle portant sur les cyberviolences (intimidation, harcèlement et autres violences ayant lieu dans un environnement numérique). Cette sélection de ressources comporte principalement des guides et des outils pratiques permettant une meilleure compréhension des cyberviolences, leur prévention ou donnant des stratégies pour y faire face. Cette trousse sera bonifiée dans les prochains mois par des productions issues de projets qui sont en cours de réalisation.
|
|
|
| |
Arrêtons de payer pour la F1
On apprenait récemment que les trois paliers de gouvernement allaient investir 98,5 millions de dollars afin d’assurer la tenue du Grand Prix de Montréal entre 2025 et 2029. Il s’agit d’une moyenne de 19,7 M$ annuellement pendant 5 ans, soit une hausse de 5% par rapport au 18,7 M$ que le public donne actuellement à la F1 afin de retenir le Grand Prix. Ce qui veut dire qu’entre 2009 et 2029 les contribuables auront payé près de 400 M$ en subventions pour soutenir un sport en perte de vitesse. Pour soutenir cette position, nos élu·e·s s’appuient sur deux grandes affirmations, la première est que le Grand Prix de Montréal génère d’importantes retombées économiques et la seconde, que l’événement fait rayonner la métropole à l’international. Qu’en est-il? Du point de vue environnemental, le Grand Prix est certainement une horreur, l’image que Montréal projette à travers le Grand Prix est loin d’être aussi intéressante qu’on le prétend et la rentabilité pour les contribuables n’est pas au rendez-vous. Dans ces conditions, il me semble naturel de questionner la validité de tenir ce type d’événement au Québec, surtout si le privé semble incapable d’en assumer seul le financement.
Lire le billet sur le blogue de l’IRIS.
|
|
|
| |
Salaire minimum : mon rêve ontarien
Nous apprenions récemment que le salaire minimum ontarien allait connaître une hausse importante et rapide. Actuellement à 11,40$ de l’heure, il passera à 14$ en janvier 2018 et à 15$ en 2019. Cette augmentation de 32 % en tout juste 18 mois a relancé le débat de ce côté de la rivière Outaouais. Il s’en trouve plusieurs pour rappeler que la situation au Québec est bien différente que celle en Ontario. Le coût de la vie est plus élevé du côté ontarien, tandis que les politiques fiscales sont plus généreuses côté québécois. Donc, tant mieux pour les bas salarié·e·s ontariens, mais la réalité étant ce qu’elle est, il ne serait pas sage de s’en inspirer pour faire pression sur le gouvernement québécois. Loin de moi l’idée de remettre en question la pertinence de la redistribution fiscale, mais celle-ci ne constitue qu’un élément dans l’équation de la lutte à la pauvreté. La redistribution salariale doit aussi faire partie des solutions envisagées. Il n’est pas surprenant que les regroupements patronaux soient tout d’un coup épris de fiscalité: ils ont bien compris que les sommes redistribuées fiscalement proviennent essentiellement de la poche des contribuables.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
|
|
|
|
|
L’heure des brasiers : l’Université populaire des Nouveaux Cahiers du socialisme du 17 au 19 août
Les Nouveaux Cahiers du socialisme (NCS) présentent l’Université populaire des NCS 2017 sous le thème L’heure des brasiers du 17 au 19 août à l’Université du Québec à Montréal. Avec l’élection de Donald Trump, le monde est entré dans une nouvelle ère. Le virage vers l’«austéritarisme», sous diverses formes, semble être, un peu partout, une tendance de fond. Les politiques néolibérales sont renforcées (privatisation, réglementation, financiarisation débridée, etc.), quitte à enfoncer davantage la planète dans le processus de destruction de l’environnement et dans celui de l’accumulation pour l’accumulation. L’Université populaire est un lieu de réflexion et de transmission de savoir ouvert à tous et à toutes, jeunes et moins jeunes, universitaires ou non. Pour consulter le programme ou s’inscrire.
|
|
|
|
| |
Le Montréal des sans-papiers
Nous les croisons sans les voir dans les rues de Montréal. Ils font le tri de nos rebuts, récurent les toilettes de nos cliniques médicales, passent l'aspirateur, la nuit, dans les couloirs de nos bureaux. Ils sont des dizaines de milliers, mais ils sont invisibles. Sans eux, l'économie de la ville subirait un dur coup, puisque ces travailleurs de l'ombre occupent les emplois dont personne ne veut. Sans le moindre filet de sécurité. Bienvenue dans le monde occulte des sans-papiers de Montréal.
Lire la suite du texte de La Presse.
|
|
|
| |
L’habitation au cœur de la nouvelle politique de développement social de Montréal
Le maire de Montréal, Denis Coderre, promet de faire du logement une priorité de la toute première politique de développement social de la Ville. Cela pourrait avoir comme effet de soumettre les promoteurs immobiliers à des exigences plus élevées en matière de logement social. «C’est une demande qui est revenue énormément. Il manque des logements sociaux et abordables à Montréal», a ajouté le protecteur des personnes en situation d'itinérance de la Ville de Montréal, Serge Lareault. La politique présentée le 7 juin définit de grandes orientations visant à inclure, à protéger et à rendre plus accessibles les services municipaux aux personnes et aux communautés vulnérables. À l’instar de la Politique de l’enfant et du Plan d’action montréalais en itinérance, elle sera suivie d’un plan d’action qui doit être adopté dans les prochains mois.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
|
|
|
| |
Un rapport de recherche révèle de sérieuses menaces à la liberté d’association au Québec
Alors que le Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit de réunion pacifique et sur la liberté d’association vient tout juste de déposer son rapport à l’Assemblée générale de l’ONU, une recherche rendue publique la semaine dernière démontre qu’au Québec, il existe de sérieuses entraves au droit collectif d’association des OSBL. Intitulée La surveillance et le contrôle technocratique des organismes sans but lucratif (OSBL) : un enjeu de droits collectifs, la recherche s’inspire de la théorie de la liberté d’association que propose le Rapporteur spécial et de son plaidoyer en faveur des organisations de la société civile dont la mission est de faciliter la participation active des citoyen-ne-s à l’édification de sociétés démocratiques. Cette étude, issue d’une collaboration entre la Ligue des droits et libertés (LDL), la Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles (TRPOCB) et le Service aux collectivités de l’UQAM, démontre comment les différentes exigences administratives imposées par les gouvernements et leur articulation constituent de graves freins au droit collectif d’association des OSBL au Québec.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Avec ou sans les amendements du Commissaire, le projet de loi 56 continue d’être une entrave au droit d’association
À quelques jours de la fin de son mandat, le Commissaire au lobbyisme tente encore une fois d’assujettir les OSBL à la Loi sur la transparence et l’éthique en matière de lobbyisme, et ce, sans égard aux conclusions des trois consultations des 10 dernières années. Dans son dernier rapport, il réintègre même sa proposition de considérer l’appel au public comme une activité à déclarer au registre des lobbyistes, sujet pourtant disparu des débats après 2007. Le Groupe des organisations opposées à l’assujettissement de tous les OSBL à la loi sur le lobbyisme (Groupe des OSBL) rappelle une fois de plus que ces changements équivaudraient à museler la société civile et ne sont justifiés par aucun nouvel argument. «Combien de temps devrons-nous répéter ce que des centaines d’organisations s’évertuent à dire depuis des années ? se questionne Nicole Fillion de la Ligue des droits et libertés. Assujettir à la Loi les OSBL met en péril l’existence de milliers d’entre eux. Et conséquemment, cela compromet aussi le droit d’association et la liberté d’expression, deux éléments indispensables à une société démocratique fondée sur les droits.»
Lire la suite.
Les citoyennes et les citoyens toujours dans la mire du commissaire au lobbyisme.
Le commissaire au lobbyisme du Québec s’impatiente : la transparence ne peut se contenter de belles paroles.
|
|
|
| |
Rapport de recherche de l’IREC sur la rémunération des hauts dirigeants dans le secteur coopératif québécois
L'Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) a publié le 12 juin un rapport de recherche indépendant sur la rémunération des hauts dirigeants en milieu coopératif. L'ouvrage, rédigé par notre directeur général, Robert Laplante, ainsi que par Gabriel Arsenault, professeur adjoint à l'École des hautes études publiques de l'Université de Moncton, fait notamment état d'importantes disparités dans les rémunérations des dirigeants et du reste des employés et de l'importance grandissante de la prime au rendement comme forme de rémunération chez Desjardins, en plus de revenir sur la fermeture de plus de 1 000 caisses depuis le milieu des années 1990 (dans un contexte de croissance des actifs).
Lire le rapport de recherche de l’IREC.
|
|
|
| |
Le BEI manque de transparence, selon plusieurs organismes
Un an après son entrée en service, le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) n’apporte pas la transparence voulue, selon un collectif d’organismes qui a effectué une sortie publique mardi. Le BEI a pourtant été créé pour rassurer la population dans le cas où un policier blesserait ou tuerait un citoyen dans le cadre d’une opération policière. Avant, ce type d’enquête était toujours confié à un autre corps policier ce qui laissait planer des soupçons de manque d’indépendance. La coalition, composée de la Ligue des droits et libertés, Montréal Républik, de la Coalition contre la répression des abus policiers et du Conseil central du Montréal métropolitain (CSN), demande au ministère de la Sécurité publique de revoir la loi et la réglementation pour permettre d’avoir accès aux documents d’enquête lorsqu’un dossier ne mène pas à des accusations de la part du Directeur des poursuites criminelles et pénales comme ça a été le cas récemment.
Lire la suite du texte du journal Métro.
Les agents du SPVM formés au nouveau pistolet électrique.
|
|
|
| |
Les batteries stationnaires au lithium : une opportunité pour Hydro-Québec
Dans deux notes précédentes, nous avons exploré le potentiel québécois dans le développement de certains créneaux d'activités reliés aux véhicules électriques. Dans cette troisième note, l’Institut de recherche en économie contemporaine (IREC) fait valoir les avantages qu'il y aurait à développer, de façon simultanée, le créneau des batteries au lithium pour les usages résidentiels. Reconnaissant d’emblée comme illusoire la volonté d’implanter sur le territoire du Québec des installations de fabrication de voitures électriques de grande série, nous avons plutôt opté pour les activités reliées à la production de batteries pour véhicules ainsi que pour l’industrie des équipements de transport moyen et lourd, secteur pour lequel il existe déjà un écosystème productif au Québec.
|
|
|
| |
REM : Les manufacturiers inquiets de l’absence de contenu québécois
La plus importante organisation du secteur manufacturier québécois dénonce l’absence d’exigences de contenu canadien dans le projet de Réseau électrique métropolitain (REM) que construira la Caisse de dépôt et placement au cours des prochaines années. Trois semaines après l’octroi d’un contrat majeur de l’Autorité métropolitaine de transport (AMT) à un constructeur chinois, le Québec ne peut voir un autre projet d’importance lui échapper, dénonce Éric Tétrault, le président de Manufacturiers et Exportateurs du Québec, une association qui regroupe plus de 1100 entreprises du secteur.
Lire la suite du texte du Journal de Montréal.
|
|
|
| |
Vaudreuil-Dorion : plainte de la Fondation Rivières contre le projet d'hôtel de ville en zone inondable
|
|
|
|