Infolettre du SCCUQ - 15 février 2018 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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À l'agenda

L’infolettre du SCCUQ est publiée tous les jeudis. Vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.

Activités reliées au SCCUQ :

Jusqu’au 23 février : Période de demande de charges de cours pour le trimestre d’été
15 février : Conférence : La grève des cœurs et le début de la reconnaissance
19 février : Midi-discussion sur les propositions du Syndicat pour le Congrès de la FNEEQ
20 février : Séance d’information pour les nouvelles personnes chargées de cours
21 février : Conférence : L’évolution de la convention collective et les années 2000
27 février : Séances d’information sur les EQE et le perfectionnement courte et longue durées
8 mars : Journée internationale des femmes : débat midi à venir
13 mars : Session de formation pour les membres des Comités de liaison local
14 mars : Conférence : L’avenir du SCCUQ et du militantisme de ses membres

Activités reliées aux membres du SCCUQ :

Jusqu’au 25 février : L’exposition Mi-lieu à l’Écomusée du fier monde
22 février : Colloque sur l’intelligence artificielle et les données au service de la création
Jusqu’au 31 marsExposition Chto Delat? Pratique performatives de notre temps
15 mars : Atelier La gestion des données de recherche

Autres activités :

16 février : Séminaire: Un programme universel de revenu de base est-il un outil efficace pour réduire la pauvreté et l’exclusion sociale?
19 février : 5 à 7 du CFP : Le totalitarisme pervers, avec Alain Deneault
20 février : Journée mondiale de la justice sociale : journée d’actions régionales
20 février : Colloque Villes intelligentes et durables : design social, démocratie participative et économie circulaire
22 février : Journée d’étude sur le financement de l’éducation des adultes
26 février : Soirée Relations : Ciné-débat avec le film Minoritaires
1er mars : Colloque La parité, ça change le monde!
7 mars : Consensus : spectacle bénéfice en appui aux organisations qui luttent contre les violences sexuelles
8 mars : Journée internationale des femmes
8, 15 ou 22 marsAtelier d’Au bas de l’échelle sur Vos droits au travail
2 mai : Journée de réflexion sur les conditions de travail dans le milieu communautaire
3 au 5 mai : États généraux de l’enseignement supérieur
16 et 17 mai : Colloque sur l’enseignement des sciences et du génie à l’université
20 au 25 mai : L’Université féministe d’été : Quelle égalité dans un contexte de diversité?
2 au 29 septembre : Grande marche : de villes en villages pour le droit au logement

Messages et documents du SCCUQ :

Capsules d’information sur des modifications à la convention collective :
Vous souhaitez prendre votre retraite ?
Le congé à traitement différé.
Fin accélérée de la période de probation.
Appels à témoins :
Concernant les congés de maladie.
Concernant la conception de cours hybrides.

Politique de prévention et d’intervention en matière de harcèlement psychologique au SCCUQ
Réflexion du SCCUQ sur la décentralisation des ressources

 
 
Entre vous et moi

Le SCCUQ convoque ses membres à plusieurs rencontres au cours des prochains jours. Un midi-discussion permettra de discuter des propositions du Syndicat pour le Congrès de la FNEEQ le lundi 19 février. Une séance d’information s’adressant particulièrement aux nouvelles personnes chargées de cours se donnera le mardi 20 février, à 12h30. Il sera question du Syndicat, des projets d’intégration, de la convention collective, des programmes de perfectionnement, des exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) et du régime de retraite. Le lendemain, dans le cadre d’un 5 @ 7, la troisième conférence sur l’histoire du SCCUQ portera sur L’évolution de la convention collective et les années 2000. Finalement, le SCCUQ offrira le mardi 27 février deux séances d’information sur les programmes de perfectionnement et les demandes d’exigences de qualification pour l’enseignement (EQE).

Le vendredi 9 février, le Syndicat a soufflé ses 40 bougies en compagnie des musiciennes du quatuor Rhapsodie, de personnes chargées de cours de l’UQAM et de d’autres universités ainsi que de membres des exécutifs de la CSN, de la FNEEQ et du CCMM. Une vidéo sur l’histoire du SCCUQ a été dévoilée et nous en avons profité pour faire une autre vidéo sur l’événement pour celles et ceux qui n’auraient pu y assister.

Je vous invite également à aller faire un tour à l’Écomusée du fier monde où une dizaine de personnes chargées de cours et leurs étudiantes et étudiants exposent jusqu’au 25 février. Un bel exemple d’implication et de création.

Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ

 
 
SCCUQ
 
 
Grève étudiante du 20 février : consignes aux personnes chargées de cours

L’Association des étudiantes et étudiants de la Faculté des sciences de l’éducation (ADESSE) a voté la grève les 20 février et 8 mars. D’autres associations étudiantes tiennent des assemblées générales de grève pour le 8 mars, il est donc possible qu’il y ait des levées de cours. Nous voulons vous rappeler un certain nombre d’éléments essentiels dans les circonstances.

Les personnes chargées de cours sous contrat doivent se présenter à leurs activités de travail, peu importe le lieu et la nature de cette activité et être prêtes à donner leurs activités d’enseignement. Vous devez donner ces activités d’enseignement pourvu que les conditions normales de travail et d’enseignement soient réunies.

Si vous désirez rapporter un incident ou si vous êtes confronté à une situation délicate, vous pourrez appeler le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM au numéro suivant : 514 987-3495. Nous vous assurons que nous allons suivre tous les développements et nous vous aviserons si nécessaire.

 
 
Le SCCUQ en quatre temps : conférences-débats sur des périodes marquantes de l’histoire du Syndicat

Le SCCUQ présente quatre conférences-débats sur des périodes marquantes de l’histoire du Syndicat dans le cadre de son 40e anniversaire. Venez échanger avec des militantes et militants de différentes époques. Les conférences sur La création: de la gestation à la première grève de personnes chargées de cours, le 6 février, et La grève des cœurs et le début de la reconnaissance, le 15 février, ont été fort pertinentes. Il reste donc deux conférences.

Mercredi 21 février 5 @ 7 (à compter de 17h), au lieu social du Syndicat, local A-R540: L’évolution de la convention collective et les années 2000. Avec Sylvie Goupil, ancienne v.-p. à la convention collective, Jocelyn Chamard, ancien v.-p. à la convention collective, et Jean-François Tremblay, ancien agent du CAART et ancien porte-parole à la table de négociation.

Mercredi 14 mars à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540: L’avenir du SCCUQ et du militantisme de ses membres. Chargées et chargés de cours panellistes à confirmer.

Veuillez confirmer votre présence à sccuq@uqam.ca en spécifiant à quelle conférence vous désirez assister pour que nous puissions prévoir le lunch en fonction du nombre de participants.

 
 
Période de demande de charges de cours pour le trimestre d'été : jusqu’au 23 février

Les chargées et chargés de cours peuvent enregistrer leur déclaration d'emploi et leur candidature pour le trimestre d'été 2018 jusqu’au 23 février inclusivement dans ACCENT. Les personnes à qui seront attribuées des charges de cours devront retourner dans ACCENT répondre à l'offre de cours entre le 3 et le 8 mars inclusivement.

 
 
Midi-discussion sur les propositions du Syndicat pour le Congrès de la FNEEQ le 19 février

Le Comité exécutif invite toutes les personnes chargées de cours intéressées à discuter des propositions du Syndicat pour le Congrès de la FNEEQ à un midi-discussion le lundi 19 février à 12h30 au lieu social (A-R540). Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence à Olivier Aubry (aubry.olivier@uqam.ca) au plus tard le jeudi 15 février. Si vous ne pouvez être présents lundi, mais que vous avez des suggestions de propositions, vous pouvez les envoyer au même courriel.

 
 
Séance d’information pour les nouvelles personnes chargées de cours le 20 février

Une séance d’information s’adressant particulièrement aux nouvelles personnes chargées de cours se donnera le mardi 20 février, à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 (pavillon Hubert-Aquin). La formation comprend un survol des thématiques suivantes: • le Syndicat des chargées et chargés de cours • les projets d’intégration • la convention collective • les programmes de perfectionnement • les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) • le régime de retraite. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence au plus tard le 16 février à Mariève Ross.

 
 
Séances d’information le 27 février sur les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) et le perfectionnement de courte et de longue durées

Le SCCUQ offrira le mardi 27 février deux séances d’information aux personnes chargées de cours, au local R-2840 (Pavillon des Sciences de la gestion), selon l’horaire suivant : • 13h30 : Information sur les programmes de perfectionnement • 15h : Information sur les demandes d’exigences de qualification pour l’enseignement (EQE). Si vous désirez participer à l’une ou l’autre de ces rencontres, veuillez vous inscrire par téléphone en laissant un message au 514 987-3000 poste 3720, et ce, d’ici le 23 février. Votre message devra contenir votre nom, prénom, département et la ou les séances qui vous intéressent. Nous profitons de l’occasion pour vous rappeler que la procédure annuelle pour demander des EQE sur Accent est du 8 au 13 mars 2018. Les membres du Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART) ont hâte de vous rencontrer.

 
 
Formation pour les membres des comités de liaison locaux le 13 mars

Une formation s’adressant aux représentants des chargées et chargés de cours siégeant aux comités de liaison locaux (CLL) sera donnée le mardi 13 mars, à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 (Pavillon Hubert-Aquin). Cette formation a pour but de vous outiller sur votre rôle de représentation au CLL de votre unité. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence à Jean Régnier.

 
 
Changement de nom et assemblée générale spéciale

Les membres du SCCUQ, réunis en Conseil syndical élargi le 9 février, ont adopté la résolution que le SCCUQ exige le recours immédiat à l’article 39 pour changer le nom du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM et le renommer Syndicat des professeures et professeurs contractuels-les de l’Université du Québec à Montréal (SPPCUQ). Le comité exécutif du SCCUQ a reçu le mercredi 14 février une demande de convocation d’une assemblée générale spéciale pour traiter d’une campagne de dénonciation des iniquités qui affectent notre groupe professionnel, jumelée à une campagne de promotion de notre corps enseignant. Nous vous tiendrons au courant des développements dans les prochains jours.

 
 
Indemnités et rémunération majorées à 49$ de l’heure depuis le 1er janvier

Les indemnités ou la rémunération versées pour les disponibilités complémentaires, la représentation aux conseils académiques, aux comités de programmes, aux assemblées départementales, aux instances universitaires, aux comités de liaison locaux ainsi que pour les activités autres que l’enseignement ont été majorées à 49$ de l’heure en date du 1er janvier 2018.

 
 
Babillard des membres
 
 
L’exposition Mi-lieu : une dizaine de personnes chargées de cours parrainent une trentaine d’étudiantes et étudiants
mi-lieu

Dans le cadre de Mi-lieu, une exposition du 15 au 25 février, à l’Écomusée du fier monde, 2050, rue Amherst, à Montréal, une dizaine d’artistes,  chargées et chargés de cours de l’École des arts visuels et médiatiques, de l’École de design et du Département d’histoire de l’art, parrainent 30 artistes émergents, étudiants de l’UQAM. Par leurs créations pluridisciplinaires, ils vous proposent une vision artistique du mandat de l’Écomusée du fier monde, musée d’histoire et musée citoyen. Dominique Sarrazin, Patricia Gauvin, Andrée-Anne Dupuis-Bouret, Sophie Castonguay, Laurent Pilon, Lise Nantel, Suzanne Blouin, Nicole Milette, Denis Rioux et Dominique Sirois-Rouleau participent à l’événement. Performances artistiques le mercredi 21 février, de 17h à 19h • Journée pédagogique: mise en espace d’un projet de création pédagogique et dispositif de présentation le jeudi 22 février, 12h30 à 14h • Table ronde avec les artistes le vendredi 23 février, de 9h30 à 12h30. Heures d’ouverture: le mercredi de 11h à 20h, le jeudi et vendredi de 9h30 à 16h et le samedi et dimanche de 10h30 à 17h.

 
 
Nadia Seraiocco présentera une conférence en ouverture d’un colloque sur l'intelligence artificielle à l’UQAM

Depuis quelques années, l'intelligence artificielle et les données numériques contribuent à faire vivre de nouvelles expériences artistiques dans l'espace public. Quelles sont les possibilités offertes par ces nouvelles technologies dans le domaine de la création? À quelles préoccupations éthiques font face les créateurs et les concepteurs dans l'utilisation des données? Ces questions et bien d'autres seront au centre des réflexions lors du colloque I.A.rt: l'intelligence artificielle et les données au service de la création dans l'espace public, qui se tiendra le 22 février au pavillon Sherbrooke. En ouverture du colloque, Nadia Seraiocco, chargée de cours à l'École des médias, présentera un historique de l'intelligence artificielle – et de ses concepts de base – ainsi qu'une vue d'ensemble sur le maillage entre les données et la création. La diplômée est également chroniqueuse à l'émission La sphère, peut-on lire sur Actualités UQAM.

Taxer Netflix et Amazon : les élus doivent se tenir debout, selon Nadia Seraiocco.

 
 
Le mouvement #MeToo happe aussi le milieu de la mode : rien d’étonnant selon Madeleine Goubau

Le New York Times a été le premier média à faire enquête sur les agressions sexuelles dans le milieu de la mode, publiant des dénonciations visant les photographes vedettes Bruce Weber et Mario Testino. Abus de pouvoir et harcèlement sont courants dans cette industrie dominée par une petite poignée de personnes très influentes, mais les choses changent petit à petit, selon la chargée de cours Madeleine Goubau, dans un texte de Radio-Canada. En plus des agressions commises contre des femmes, pas moins de 15 mannequins hommes et 13 assistants ont dénoncé les comportements sexuels déplacés des deux photographes. Il n’y a là rien d’étonnant, rapporte-t-elle.

 
 
Décrochage des jeunes enseignants : Yolande Brunelle questionne la réelle volonté des partis politiques

Quand on sait que plus de 25% des diplômés en enseignement quittent la profession après 5 ans, que faut-il faire pour contrer l'exode? Plus de 80 personnes ont assisté le 7 février à l'UQAM à une table ronde sur le décrochage des jeunes enseignants. L'événement, intitulé «Enseigner: abandonner ou persévérer?», était organisé par le Conseil de diplômés de la Faculté des sciences de l'éducation. «En cette année électorale, on risque d'entendre les partis politiques claironner à quel point l'éducation est une priorité. Mais proposeront-ils des mesures concrètes pour aider les jeunes enseignants?» s'interroge la chargée de cours Yolande Brunelle, présidente du Conseil de diplômés de la Faculté des sciences de l'éducation et lauréate du prix Reconnaissance 2014, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Cannabis : André Lamoureux croit que c’est une bonne chose que chaque province puisse y aller à son rythme

Les Canadiens ont avantage à bien connaître les politiques du cannabis de chaque province puisque leurs lois sur les joints légaux seront bien différentes de l’une à l’autre. Le chargé de cours André Lamoureux croit que chaque province peut y aller à son rythme. «Au Québec, on a été parmi les plus prudents, et c’est très bien», ajoute-t-il, dans un texte du Journal de Montréal.

 
 
Allégations de collusion entre le gouvernement russe et la campagne de Trump : Poutine bien en selle, selon Yann Breault

De nouvelles allégations de collusion entre le gouvernement russe et la campagne de Donald Trump ont émané la semaine dernière de Russie, à un mois de l’élection présidentielle. Les sources : une prostituée et le principal opposant à Vladimir Poutine, Alexeï Navalny. La vidéo, qui a fait l’objet de nombreux articles aux États-Unis, mais a été ignorée dans les médias d’État russes, aura-t-elle un impact quelconque sur l’élection ? Le chargé de cours et expert de la Russie Yann Breault en doute. «Ça ne changera pas grand-chose. Navalny jouit d’une audience concentrée dans une mince couche de la société. Sa stratégie de boycottage va tout au plus avoir un impact sur 5 à 10% de l’électorat», dit-il dans un texte de La Presse+.

 
 
Monde syndical
 
 
Desjardins Assurances : d’autres salariés de l’UQAM dénoncent de trop nombreux cas de refus

Le syndicat des employés de soutien représentant le plus grand nombre de salariés à l’UQAM, le SEUQAM, dénonce le traitement des dossiers de ses membres par Desjardins Assurances. Le SEUQAM demande  à l’assureur de revoir son approche, car il existe de nombreux cas de refus en assurance salaire qui laissent plusieurs démunis. «Le cas du professeur Archibald n’est pas unique. Il est trop répandu parmi nos membres à l’UQAM et Desjardins Assurances a souvent des comportements insistants et attitudes harcelantes face aux gens atteints de problèmes notamment de santé mentale», d’expliquer la présidente du SEUQAM, Thérèse Fillion. L’assureur va souvent remettre en question le diagnostic ou le pronostic du médecin traitant.

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Projet de loi modifiant la Charte de l’Université de Montréal : une coordination nationale pour une gouvernance plus collégiale

Lors des travaux de la Commission de la culture et de l’éducation sur le projet de loi modifiant la Charte de l’Université de Montréal, la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) a tenu à réaffirmer la nécessité d’instaurer une loi-cadre visant une véritable coordination des universités du Québec et une gouvernance plus collégiale au sein des établissements. Pour la FNEEQ-CSN, la modernisation de la Charte doit assurer une participation représentative de chaque catégorie de personnel, notamment les personnes chargées de cours. En 1967, période de la dernière modification de la Charte, le portait des universités était bien différent d’aujourd’hui. Actuellement, plus de la moitié des cours au premier cycle à l’Université de Montréal sont donnés par ce groupe d’enseignantes et d’enseignants contractuels. En dépit des voix qui s’y opposent, l’exclusion des chargées et des chargés de cours au sein des instances décisionnelles est injustifiable.

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Les membres de la FQPPU demandent unanimement le retrait du projet de loi 234.

 
 
Grève des professeures et professeurs de l’UQO : les membres de la FQPPU condamnent unanimement le comportement de la direction

Réunis en Conseil fédéral, les membres de la Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) ont adopté unanimement une résolution en appui au Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais (SPUQO). Le syndicat, qui a tenu trois activités de débrayage au cours des dernières semaines, tente activement d’obtenir la collaboration de la direction de l’UQO dans la négociation visant le renouvellement de la convention collective de ses membres, qui sont sans contrat de travail depuis le 30 avril 2015. «La FQPPU condamne vigoureusement l’attitude de la direction de l’UQO, qui ralentit sciemment le processus de négociation en ne fournissant pas de mandat au comité patronal qui siège à la table de négociation», affirme Jean-Marie Lafortune, président de la FQPPU.

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Sondage sur la Politique de la réussite éducative : Y a-t-il un ministre de l’Éducation pour les profs?

Une crise de confiance se dessine entre le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, et le personnel enseignant au Québec. Selon une consultation portant sur la Politique de la réussite éducative, menée récemment par la FAE auprès de ses membres, près de 86% des enseignantes et enseignants sondés affirment ne pas avoir confiance au ministre Proulx pour qu’il reconnaisse concrètement leur autonomie professionnelle. Depuis sa nomination, il y a deux ans, le ministre Proulx a systématiquement rejeté les solutions des enseignantes et enseignants visant à améliorer leur quotidien. À la lumière de ce résultat, force est de constater que le ministre Proulx, qui a promis beaucoup, déçoit aussi beaucoup.

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Loi sur les normes du travail touchant aux pourboires : la CSN et la FTQ s’opposent à la modification de l’article 50

La Confédération des syndicats nationaux (CSN) et la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) ainsi que leurs fédérations et syndicats affiliés s’opposent à toute modification de l’article 50 de la Loi sur les normes du travail (LNT) qui toucherait aux pourboires. «Plusieurs voix demandent au gouvernement de modifier la LNT afin de donner le pouvoir aux patrons de partager les pourboires des serveuses et des serveurs avec les salarié-es travaillant dans les cuisines dans le but, soutiennent-ils, de valoriser ces métiers. Pour nous, cette proposition ne ferait que déplacer le problème des bas salarié-es de la restauration. Ce genre de nivellement vers le bas risque de dévaloriser entièrement le secteur de la restauration, l’effet contraire de ce qui est recherché ici», de préciser Jacques Létourneau, président de la CSN.

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Une disposition vitale de la loi 101 laissée lettre morte depuis 15 ans : Après la poursuite, l’offensive citoyenne !

À l’invitation de la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB), un vaste front commun s’est réuni mardi à l’Assemblée nationale afin de procéder au lancement d’une importante pétition concernant la loi 101. Disponible en ligne sur le site languefrancaise.quebec, la pétition exhorte le gouvernement Couillard à respecter la démocratie québécoise et le statut du français comme seule langue officielle de l’Administration publique. L’objectif consiste à ce que soit enfin mis en vigueur l’article 1 de la loi 104, adopté à l’unanimité par l’Assemblée nationale il y a plus de 15 ans, mais laissé lettre morte depuis. Cette disposition précise que les ministères et organismes publics doivent correspondre uniquement en français avec les corporations établies au Québec.

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Épuisement du personnel du réseau de santé : des employeurs profitent des négociations locales pour affaiblir davantage le personnel

Pendant que les signaux de détresse du personnel du réseau de la santé et des services sociaux s’accumulent, certains employeurs veulent profiter des négociations locales actuellement en cours pour s’en prendre davantage aux conditions de travail du personnel. Dans les derniers jours, le ministre Barrette a indiqué que ces négociations étaient une occasion de répondre aux préoccupations du personnel. Pour la FSSS-CSN, plusieurs demandes patronales actuellement déposées aux tables de négociation sont plutôt une preuve supplémentaire du peu de considération des employeurs et du gouvernement pour celles et ceux qui donnent les services à la population.

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Une entente locale qui démontre une volonté d’améliorer les conditions de travail.
Le personnel est à bout de souffle au CISSS-Bas-Saint-Laurent.
La surcharge et la détresse touchent tous les titres d’emplois.
Désorganisation des soins et maltraitance organisationnelle : La CSQ réclame une enquête de la protectrice du citoyen.
Campagne de la FSQ-CSQ : Portez le cœur brisé en appui au personnel de la santé.

 
 
Journée d'amour à la presse écrite : des journalistes rencontrent les députés à Ottawa

Pour souligner la journée de la Saint-Valentin, des représentants du milieu de la presse écrite ont organisé, partout au Québec ainsi qu’à Ottawa, une journée pour l’amour de l’information. Pour l’occasion, la Fédération nationale des communications – CSN (FNC‑CSN) a remis une lettre ouverte signée par des milliers de citoyens et de personnalités publiques au gouvernement Trudeau, afin de lui rappeler l’urgence d’agir rapidement pour soutenir un secteur en difficulté, mais qui demeure essentiel à la santé de la démocratie. La FNC-CSN s’attend à ce que le gouvernement fédéral passe de la parole aux actes et qu’il instaure des mesures concrètes lors du prochain budget, afin de freiner les fermetures et les pertes d’emplois.

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REM : la CSN salue l’importance accordée au contenu québécois, mais se désole pour l’usine Bombardier de La Pocatière

La CSN accueille favorablement l’annonce d’aujourd’hui de la Caisse de dépôt et placement du Québec concernant le REM et l’importance accordée au contenu québécois dans le projet, mais souligne sa déception quant au fait que l’usine Bombardier de La Pocatière n’ait pas été retenue. À la Fédération de l’industrie manufacturière-CSN, on se réjouit aussi que le projet crée et consolide des milliers d’emplois, dont ceux de l’usine Alstom de Sorel Tracy. Au cours des prochains jours, la CSN entend obtenir des éclaircissements. «Nous avons toujours quelques interrogations, indique Pierre Patry, trésorier de la CSN. Nous prenons acte des modifications apportées au projet, mais il reste pour nous quelques points importants en suspens. Par exemple, quels seront les impacts environnementaux, quel sera le mode de propriété et comment se fera l’arrimage avec le réseau de transport en commun?»

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Négociation chez Transco Montréal : les salariées et salariés rejettent l’entente de principe à 83 %

Les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Transco–CSN (STTT–CSN) ont rejeté l’entente de principe intervenue le 31 janvier dernier, après deux jours de grève. Présentée aux membres, celle-ci fut rejetée à 83%, par voie de scrutin secret lors d’une assemblée générale tenue à Montréal le 12 février. «Les membres ont jugé que l’entente de principe que nous leur avons présentée n’était pas à la hauteur de leurs attentes. Elles et ils ont longuement argumenté sur la question des augmentations salariales qui ne réussissent pas à maintenir leur pouvoir d’achat. Il s’agit d’un message clair envers l’employeur : il lui faudra considérer sérieusement ce rejet s’il ne veut pas que les conductrices et les conducteurs exercent à nouveau leur mandat de grève», de déclarer Carole Laplante, présidente du STTT–CSN.

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Projet de loi 152 : à la défense de la sécurité d’emploi sur les chantiers de construction

En commission parlementaire sur le projet de loi 152, qui concerne les suites à donner à certaines recommandations de la commission Charbonneau, le président de la CSN-Construction, Pierre Brassard, a été clair: sans sécurité d’emploi, les travailleuses et les travailleurs de la construction ne seront pas tentés de dénoncer des situations problématiques. Selon lui, il y a un éléphant dans la pièce qu’on refuse de voir depuis trop longtemps. «La crainte de perdre sa job ou de ne pas être réembauché, c’est plus fort que tout. Le travailleur ou la travailleuse qui voudrait dénoncer une situation, mais qui risque de ne plus avoir de travail s’il le fait, va y penser à deux fois. Si le lanceur d’alerte n’est pas protégé par la sécurité d’emploi et le droit de rappel, il va préférer se taire.»

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La FTQ est fortement préoccupée par certains articles du projet de loi no 152.
CSD : Quand les bonnes intentions ont pour effet de nuire et d’affaiblir.

 
 
Assurance invalidité et santé psychologique : «Il est temps de créer une instance indépendante de révision»

Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) lance un appel à mettre sur pied le plus rapidement possible un mécanisme indépendant de révision des dossiers d’assurance invalidité. S’inscrivant dans la foulée du débat lancé par l’écrivain Samuel Archibald, le SCFP souligne que le problème est récurrent parmi ses membres, notamment dans le secteur des communications. «Même avec nos moyens comme grande organisation syndicale, il est très difficile de corriger ces erreurs et ces injustices subies par nos membres. Imaginez alors ce que c’est, faire face à un grand assureur sans assistance quand on est vulnérable psychologiquement», a expliqué Denis Bolduc, président du SCFP-Québec.

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Février est le mois de l’histoire des Noirs
Fevrier

C’est le mois au cours duquel nous témoignons du progrès, de la richesse et de la diversité des réalisations des Canadiennes et Canadiens d’origine africaine. Au cours des années 1920, un Afro-Américain du nom de Carter G. Woodson a fondé et promu la Semaine de l’histoire des Noirs. Cette période de février a été retenue parce que des personnages tels que Frederick Douglass et Abraham Lincoln y célébraient leur anniversaire de naissance. En 1976, cet événement d’une semaine est devenu un événement durant un mois entier. C’est un moment qui s’offre à nous tous de réfléchir sur l’histoire et l’expérience de vie des Afro-Américains et des Afro-Canadiens dont les contributions demeurent trop peu connues. Voici quelques liens utiles sur le mois de l’histoire des Noirs.

 
 
Un nouveau contrat de travail pour les trois syndicats du Journal de Québec

Ce lundi a eu lieu la dernière de trois assemblées générales de ratification de l’entente de principe survenue le 2 février entre le Journal de Québec et trois de ses unités syndicales. L’unité de bureau a ratifié l’entente à 93%, l’imprimerie à 78% et la rédaction (journalistes et employés de soutien à la salle de rédaction) à 94%. «Nous sommes satisfaits de cette entente. Les parties, en partenariat, ont procédé à un exercice de rationalisation. Cet exercice a permis de conserver 100% de la production du Journal de Québec à l’imprimerie de Québec, ce qui n’était pas acquis au début des négociations», d’expliquer Nina Laflamme, conseillère syndicale au SCFP.

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Entente de principe entérinée à TVA Rimouski.

 
 
Le SFPQ réclame des changements au Code de la sécurité routière pour améliorer les interventions d’urgences des patrouilleurs de la route

Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) réclame que le Code de la sécurité routière soit modifié afin que les véhicules des patrouilleurs de Transports Québec (MTMDET) puissent bénéficier du statut de véhicule d’urgence lorsque ces derniers répondent à un accident. «Jour et nuit, près de 200 patrouilleurs du MTMDET veillent à la surveillance et à l’entretien en temps réel du réseau routier, ce qui contribue directement à la prévention d’accidents. Les patrouilleurs sillonnent les routes et les autoroutes du Québec afin de porter assistance aux usagers», indique le président général du SFPQ, Christian Daigle.

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Un nouveau podcast retrace les 25 ans d'histoire de l'Internationale de l'éducation

À l’occasion des 25 ans de l'Internationale de l’éducation (IE), Fred van Leeuwen, Secrétaire général fondateur, raconte la naissance de l'organisation et comment il perçoit son influence future. «En 1993, nous n’étions pas tout à fait sûrs de pouvoir gérer efficacement cette organisation avec une telle diversité idéologique, mais nous y sommes parvenus», a expliqué van Leeuwen au cours du podcast. Des idées qui ont germé au début des années 1980 à la création de l’IE à Stockholm, en Suède, en 1993, le Secrétaire général sortant de l'IE, Fred van Leeuwen, examine le passé, mais aussi l'avenir de l'organisation et du métier d’enseignant. «L'enseignement est devenu un métier à la perspective mondiale et les enseignants doivent prendre part à la discussion qui a actuellement lieu sur l'avenir de la profession.»

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Pays-Bas : les éducatrices et éducateurs toujours en Code rouge.
Belgique : «MRtouchepasànospensions», disent les syndicats de l’éducation.
3e Conférence mondiale des femmes : Les syndicalistes de l’éducation s’élèvent contre la violence sexuelle et le harcèlement.
États-Unis : l'action conjointe des syndicats d'enseignants vise à mettre la Secrétaire à l'Éducation sur la corde raide.
Royaume-Uni : le gouvernement reçoit un carton jaune au sujet de la pénurie d’enseignants.

 
 
Monde de l’éducation
 
 
Réplique à Alain Dubuc : l’UQ, un réseau tourné vers l’avenir

Le 1er février dernier, Alain Dubuc dans les pages de La Presse+ laissait entendre que le vrai problème de l’UQAM tenait non pas à son caractère public, mais bien à son appartenance au réseau de l’UQ. En tant que présidente de l’Université du Québec, il est de mon devoir de contredire de tels propos. L’Université du Québec est un réseau de dix établissements autonomes, dotés de caractéristiques distinctives. Avec les UQAM, UQTR, UQAC, UQAR, UQO, UQAT, INRS, ENAP, ÉTS, TÉLUQ, le réseau diplôme en 2018 le tiers des étudiantes et étudiants universitaires de tout le Québec. Le quart d’entre eux affirment qu’ils n’auraient pas fréquenté l’université si leur établissement n’avait pas existé. Grâce au réseau, des pas de géants ont été franchis pour le rehaussement du taux de diplomation au Québec, particulièrement chez les francophones.

Lire la suite du texte publié par Le Quotidien.

 
 
Traitement inéquitable envers l’UQ en Outaouais

L'intervention publique de Lise Bissonnette, présidente démissionnaire du conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), dans Le Devoir du 31 janvier, est effectivement un «cri du coeur» qui doit être entendu et pris au sérieux par le gouvernement du Québec. Ce qui est vrai pour l’UQAM l’est aussi pour les universités du Québec en région. Cependant, de façon singulière, ce «cri du coeur» pourrait également venir des dirigeants de l’UQO.

Lire la suite du texte publié par Le Devoir.

 
 
L’Université Laval étend ses efforts pour lutter contre les violences sexuelles à ses employés

La campagne de prévention de la violence à caractère sexuel Sans oui c’est non se déroulera pour une troisième année consécutive sur le campus, cette fois du 12 au 23 février. Or pour la première fois, les employés seront spécifiquement visés par une activité de sensibilisation. Tout au long de la campagne, de brèves capsules interactives présentant des mises en situation seront envoyées par courriel à tous les membres du personnel. Les employés seront invités à tester leur connaissance en matière de harcèlement sexuel en répondant à une question qui sera suivie d’avis d’experts sur le sujet.

Lire la suite du texte de TVA Nouvelles.

 
 
Monde social
 
 
L’art de travailler moins grâce aux politiques publiques

Les normes du travail au Québec ont besoin d’un bon coup de dépoussiérage. Adopté en 1979 (et mis en application en 1980), le Code du travail a connu deux révisions majeures: une en 1990 et l’autre en 2002. Voilà donc plus de 15 ans que l’on vit avec les mêmes règles entourant le travail, même si celui-ci (et la vie qui l’entoure) a bien changé. Nous devions avoir une nouvelle mouture l’an dernier, mais finalement, l’exercice a été repoussé et c’est au mois de mars que nous devrions voir les résultats. À moins, bien sûr, que les élections imminentes changent de nouveau le calendrier. D’abord, nous travaillons plus. Entre 1986 et 2010, on remarque que les Québécois·es travaillent plus collectivement. On estime que le temps de travail moyen a augmenté de 4 heures par semaine.

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

 
 
Doit-on s’inquiéter des récents soubresauts des bourses américaines ?

Les marchés financiers se sont emballés la semaine dernière, ravivant chez certains la crainte de voir l’économie entière sombrer dans une récession de l’ampleur de celle qu’elle a connue en 2008. Maintenant que la poussière est retombée, essayons de comprendre ce qui s’est passé. Soulignons d’abord que l’économie américaine fonctionne depuis plusieurs mois à plein régime. Donald Trump, en poste depuis un an à la Maison-Blanche, s’est évidemment attribué le mérite de cet apparent succès. Il faudrait cependant rappeler au président américain que la politique monétaire mise de l’avant depuis la crise de 2008 par la Réserve fédérale, qui est la banque centrale américaine, a été de maintenir, jusqu’en 2015, de bas taux d’intérêt et d’injecter massivement des liquidités dans l’économie. Ces mesures, conçues pour stimuler l’activité économique, ont fonctionné, mais elles ont aussi créé un environnement propice à la spéculation financière.

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

 
 
La campagne Manifester sans peur vise l’interdiction des balles de plastique et des armes explosives
LaCampagne

La LDL exprime son appui à la campagne «Manifester sans peur», qui vise l’interdiction des balles de plastique et des armes explosives. La LDL compte participer activement à cette campagne, solliciter ses réseaux et interpeller les autorités politiques.

 
 
Les organismes communautaires du Québec lancent un cri d'alarme

Des organismes communautaires qui ont écopé des conséquences de l'austérité libérale réclament maintenant leur part du gâteau des surplus budgétaires de l'État. Ils espèrent récolter plus que des miettes lors du prochain budget. Une pétition de près de 30 000 signataires de la campagne Engagez-vous pour le communautaire a été déposée à l'Assemblée nationale, la semaine dernière, pour exiger un réinvestissement de 475 millions $ qui aiderait 4000 organismes communautaires dans le domaine de la famille, de la santé et des services sociaux, de l'éducation, de l'immigration et de la défense des droits.

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Chronique de Josée Legault : L’indécence libérale.

 
 
Sondage et journée de réflexion sur les conditions de travail dans le milieu communautaire

Nous croyons qu’il est grand temps de parler des conditions de travail dans le milieu des organismes communautaires. Au cours des dernières années, la stagnation ou la faible augmentation du financement de nos organisations nous permet difficilement, en tant que travailleuses et travailleur, de suivre financièrement l’explosion fulgurante des coûts du loyer, de la nourriture, des études ou de toutes les dépenses qui nous permettent d’être en communication avec d’autres. C’est dans cet esprit qu’Au bas de l’échelle, le Centre de formation populaire et le Regroupement intersectoriel des organismes communautaires de Montréal sondent le milieu. Les résultats serviront de point de départ à une journée de réflexion montréalaise sur la nécessité d’améliorer nos conditions de travail, qui se tiendra le 2 mai 2018 au Centre St-Pierre.

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Le communautaire plus mobilisé que jamais : retour sur les actions du 7 février
LeCommunautaire

Les organismes communautaires de tout le Québec étaient en action hier afin d’exprimer leur colère au gouvernement et d’obtenir des engagements pour le prochain budget. Occupations, blocages, graffitis, drop de bannières, tribunaux populaires, ateliers d’éducation populaire, rencontre de député-e-s, distribution de tracts, manifestations… bref, une diversité d’actions et d’activités qui reflètent la couleur et la vitalité de notre mouvement. Une grande délégation d’organismes communautaires s’est rendue à l’Assemblée nationale pour le dépôt des 31 371 signatures de la pétition pour un meilleur financement des organismes communautaires. Merci aux nombreux organismes de la Montérégie, de la Mauricie, du Centre-du-Québec, de Montréal et de Québec qui étaient présents pour l’occasion.

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Le fédéral et le provincial doivent investir dans le logement social

Le gouvernement Trudeau réfléchit encore à la manière de faire atterrir sa Stratégie canadienne sur le logement. Le 22 novembre, il a promis 40 milliards $ en 10 ans, dont une trentaine proviendront de ses propres coffres. Il a aussi annoncé une multitude de Fonds et d’initiatives à travers lesquels il prévoit notamment soutenir la construction de logements privés dits «abordables» durant 10 ans. Au FRAPRU, nous ne croyons pas que le financement de logements privés à but lucratif permettra d’atteindre les objectifs de la Stratégie. Nous demandons à Ottawa de choisir plutôt le logement social, sans ambiguïté ni tergiversation. Certes, le fédéral devra verser des subventions pour permettre la construction de nouveaux ensembles coopératifs et sans but lucratif d’habitation, mais il aura l’assurance que tous ces fonds publics serviront à fournir des logements décents à des loyers rencontrant la capacité de payer des ménages actuellement mal logés.

Lire la suite du texte du FRAPRU publié par Le Soleil.

Soutien communautaire en logement social : campagne de lettres pour des investissements maintenant.
De Protecteur à Commissaire aux personnes itinérantes, beaucoup reste à faire!
Pour en finir avec l’impunité policière.

 
 
Étude des coûts du système de transport par automobile au Québec : 43 milliards de dollars par an

Une étude de l’organisme Trajectoire rassemble les données permettant de donner une vue d’ensemble de la totalité des coûts du système de transport par automobile au Québec et de leur évolution dans le temps sur une période de deux décennies. L’étude permet de conclure que les coûts du système de transport par automobile ont augmenté depuis vingt ans à un rythme qui surpasse celui de la croissance de la population, et que rien n’indique que cette tendance lourde sera inversée dans un avenir prévisible. Le transport automobile coûte 43 milliards de dollars par an aux Québécois. Au moins 7,6 G $ par an, soit plus de 900$ par habitant, doivent aussi être dépensés pour couvrir les dépenses liées aux externalités: santé publique, sécurité routière, urgences environnementales et justice.

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