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Le doyen de la Faculté des arts a lancé officiellement un programme d’activités pour les 50 ans du Rapport Rioux, qui s’échelonnera sur les années 2018 et 2019 et s’intégrera à la célébration du cinquantenaire de l’UQAM. «Ces célébrations seront l’occasion de réaffirmer notre rôle de premier plan sur la question de l’enseignement des arts et de la recherche-création», précise-t-il. Le coup d’envoi de cette série d’événements prendra la forme d’un Symposium qui se tiendra le 16 mars. «Vous serez donc informés dans vos assemblées respectives de la programmation et des visées de cet important projet pour notre Faculté et vous pourrez vous référer à votre représentant départemental pour toute précision relative aux activités ou à votre participation», peut-on lire dans son message. Petite question: comme les chargées et chargés de cours ne sont pas nécessairement les bienvenus aux assemblées départementales, de quelle façon serons-nous informés? On se sent vraiment concernés et impliqués…
L’infolettre du SCCUQ fait relâche, sa publication hebdomadaire reprendra le 11 janvier. En attendant, je vous souhaite, au nom de l’ensemble des membres de l’équipe syndicale et de la secrétaire du Syndicat, de joyeuses fêtes et une bonne année 2018.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
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Fermeture du bureau syndical du 21 décembre 2017 au 8 janvier 2018
Les bureaux du SCCUQ fermeront le 21 décembre 2017 à midi et les officiers syndicaux reprendront du service le lundi 8 janvier 2018. Les membres du Comité exécutif, du Comité des agentes et agents de relations de travail, du Comité mobilisation-intégration et la secrétaire du Syndicat en profitent pour souhaiter de joyeuses fêtes et une bonne et heureuse année 2018 à toutes les chargées et tous les chargés de cours.
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Paniers de Noël : collecte de denrées non périssables au local du SCCUQ
Pour la 25e année, le comité des paniers de Noël de l’UQAM et l’Association sportive et communautaire du Centre-Sud organisent une collecte de denrées non périssables, afin de venir en aide aux familles dans le besoin de notre quartier UQAM Centre-Sud. Le SCCUQ fait partie des associations donatrices. Nous invitons chacune et chacun à apporter des denrées non périssables, une boîte est prévue à cet effet au local du SCCUQ (A-R540). La campagne se déroule jusqu’au 15 décembre. Participez généreusement à ce projet humanitaire pour les gens de notre quartier.
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Étude sur les usages académiques des technologies d’information et de communication s’adressant aux personnes chargées de cours
Les auteurs d’une étude sur Les usages académiques des technologies d’information et de communication (TIC) par le personnel enseignant, sollicitent le concours des chargées et chargés de cours qui ont actuellement, ou ont eu dans les sessions passées, des charges de cours. Cette enquête prend environ 10 minutes. Votre participation est volontaire. Vos réponses seront anonymes et resteront confidentielles durant et après l’étude. Veuillez répondre aux questions en ligne au plus tard le 22 décembre 2017. Toutes les réponses reçues seront analysées en groupe et non individuellement.
Lire la lettre de présentation et le rapport de suivi éthique.
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Éric Duchemin a commenté l’initiative environnementale de maires d’Amérique du Nord
La nouvelle mairesse de Montréal Valérie Plante s’est engagée mardi à respecter l’objectif canadien de réduction des gaz à effet de serre fixé dans le cadre de l’Accord de Paris en compagnie d’une cinquantaine de maires d’Amérique du Nord. «L’important, c’est que les villes s’engagent à poursuivre les réductions de GES. Elles sont en capacité de pouvoir réaliser des choses, notamment en aménagement du territoire puisque beaucoup des émissions viennent du transport», a indiqué au Journal de Montréal le chargé de cours Éric Duchemin, de l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM.
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Julien Tourreille analyse les répercussions de la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël par Donald Trump
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Au menu des États généraux de l’enseignement supérieur : la pieuvre de l’économie du savoir
«Gouvernance», «clientèle étudiante», «internationalisation», «assurance qualité»…: un nouveau lexique, de nouveaux concepts ont intégré le milieu de l’enseignement supérieur depuis plus d’une vingtaine d’années. Autant de petits pas qui nous ont progressivement entraînés vers une autre vision de l’éducation. Inoffensif en apparence, ce glissement a entraîné une nouvelle approche du savoir, une nouvelle conception de l’enseignement et de sa «gestion», une nouvelle définition des principaux acteurs de l’enseignement supérieur, étudiantes et étudiants y compris. Le premier rendez-vous des États généraux de l’enseignement supérieur (ÉGES) de mai 2017 a permis de nous élever au-dessus de ce système qui envisage l’éducation strictement en termes économiques, la marchandisation de l’éducation, et de nous poser un instant pour revenir à la base de la mission fondamentale de l’enseignement supérieur. Le comité école et société de la FNEEQ a fait une synthèse de ces échanges dans un outil interactif appelé la «pieuvre de l’économie du savoir» (accessible en ligne sur le site des ÉGES).
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Trois syndicats quittent le comité de lutte contre les violences sexuelles de l’UQO
Les syndicats représentant les chargés de cours, les professeurs et les étudiants salariés de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) ont décidé de retirer leurs représentantes au Comité consultatif pour une communauté exempte de harcèlement, de violence et d’agression à caractère sexuel. Plusieurs éléments sont reprochés à l’UQO dans sa gestion de ce comité dont le manque de transparence quant à la nomination et à la gouvernance. «La création d’un comité consultatif chapeauté par un comité décisionnel constitué uniquement de cadres crée une illusion de collégialité qui est impropre au contexte universitaire et qui mine le succès de l’initiative dans son ensemble», a soutenu Louise Briand, présidente du Syndicat des professeures et professeurs de l’UQO (SPUQO). L’intégration des étudiantes salariées et des chargées de cours est par ailleurs problématique par le refus de l’UQO de les rémunérer.
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L’UQO maintient la ligne dure
Le 11 décembre 2017 avait lieu la quinzième séance de négociation. Bien que cette séance devait durer toute la journée, les deux parties n’ont discuté qu’une heure et demie. L’UQO a démontré son intransigeance en maintenant des demandes inacceptables pour les personnes chargées de cours: • Une clause régionale qui aurait priorité sur nos points d’ancienneté • Une baisse radicale du nombre de libérations syndicales, ce qui affaiblirait le Syndicat • Une baisse de la rémunération pour la participation à des réunions institutionnelles, ce qui limiterait notre intégration. Par ailleurs, aucune avancée n’a pu être observée sur les EQE, l’évaluation de l’enseignement et le processus d’attribution des cours. Bref, l’UQO ne prend pas au sérieux cette négociation et le mandat d’intensification des moyens de pression allant jusqu’à la grève générale illimitée. La prochaine séance de négociation devait avoir lieu le 13 décembre. Elle est toutefois compromise par la ligne dure adoptée par l’UQO, peut-on lire sur le site du Syndicat.
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Appel à une mobilisation internationale : pour l’enseignement supérieur et la recherche, pour le progrès scientifique et humain
Dès les premiers jours de sa présidence, Donald Trump exprima sa volonté de contrôler les programmes de recherche susceptibles de recevoir des crédits fédéraux et de restreindre la diffusion des résultats de grandes agences fédérales comme l’Agence pour la protection de l’environnement (EPA). Rapidement, il prit de premières décisions en ce sens. Quelques années auparavant, Stephan Harper, premier ministre du Canada de 2006 à 2015, avait ouvert la voie. En Turquie, les universitaires sont l’une des cibles prioritaires de la répression contre toute opposition à Recep Tayyip Erdogan. De tels comportements autoritaires constituent une régression inquiétante pour la communauté universitaire, la science et la démocratie. Nous, organisations signataires du présent appel dont la FNEEQ, ne nous résignons pas à cette situation.
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Réforme Barrette : des administrateurs du privé ont remplacé la population dans l’administration du réseau
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L’état des négociations dans le préhospitalier : comme une ambulance sans roue
Des paramédicaux et des membres du personnel du secteur préhospitalier ont déposé le 8 décembre une ambulance dont trois roues sont manquantes devant les bureaux montréalais du ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette. Ils ont ensuite livré les trois roues manquantes au bureau du premier ministre, Philippe Couillard, l’invitant à prendre contact avec M. Barrette pour favoriser un déblocage rapide des négociations. Les syndicats CSN du secteur préhospitalier sont sans convention collective depuis le 31 mars 2015. «Nos négociations n’avancent plus, explique le représentant du secteur préhospitalier à la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS–CSN), Jean Gagnon. Cela fait un bout de temps que nous avons convenu de la carrosserie. Ce qui nous manque maintenant, ce sont trois roues : la surcharge de travail, les horaires de faction et les matières monétaires avec la CSAQ,»
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Centre de communications d’Urgences-santé : 210 répartiteurs, répartitrices et employées de bureau en grève le 20 décembre.
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Création d’un programme public de psychothérapie : une bonne idée qui cache un autre cadeau aux cliniques privées
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Je signe pour la consigne sur les bouteilles de vin et de spiritueux : la fin du gaspillage
La campagne Verre : la fin du gaspillage a été lancée le 8 décembre par 3 organisations syndicales pour instaurer une consigne sur les bouteilles de vin et de spiritueux vendues par la Société des alcools du Québec (SAQ). Le samedi 9 décembre, des membres de ces 3 organisations, soit la Confédération des syndicats nationaux (CSN), le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP-Québec FTQ) et le Syndicat des Métallos (FTQ), étaient devant une vingtaine de succursales de la SAQ au Québec avec une pétition, question d’inviter les Québécois à «signer pour la consigne». Pour l’heure, seulement 14% du verre placé dans les bacs ou les sacs de recyclage par les citoyens est bel et bien recyclé.
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Message conjoint de la CSN et Davie : l'intervention de Justin Trudeau est nécessaire
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Révision des règles de financement des cégeps : un réinvestissement global est urgent, selon la CSQ
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) considère qu’une modification des règles de financement des cégeps qui ne s’accompagne pas d’une injection de ressources financières suffisantes constituerait un simple brassage improductif des ressources entre les établissements. Telle est la position exprimée par la CSQ et ses fédérations collégiales, la Fédération des enseignantes et enseignants de cégep (FEC-CSQ), la Fédération du personnel professionnel des collèges (FPPC-CSQ) et la Fédération du personnel de soutien de l’enseignement supérieur (FPSES-CSQ), dans leur avis présenté au comité d’expertes et d’experts sur l’actualisation du modèle d’allocation des ressources dans les cégeps.
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Publication de Statistique Canada sur le salaire des enseignants : le constat insultant d’une iniquité à corriger sans tarder
C’est avec indignation que la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) et l’Association provinciale des enseignantes et enseignants du Québec (APEQ-QPAT) ont pris connaissance des chiffres publiés par Statistique Canada faisant état d’un important retard salarial des enseignants québécois par rapport à leurs collègues du Canada. De tous points de vue, les salaires offerts par Québec arrivent au dernier rang. «On a beau le dire et le répéter, mais en comparant le salaire des enseignants québécois à ceux des autres provinces, on constate encore une fois qu’il est primordial de donner un coup de barre. C’est franchement insultant de voir ce manque de considération du gouvernement à l’endroit des enseignants qui tiennent pourtant l’école à bout de bras», a vivement réagi Mme Josée Scalabrini, présidente de la FSE-CSQ, qui dénonce aussi le retard du Québec quant aux investissements en éducation.
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Frais scolaires chargés aux parents : le ministre Proulx a encore oublié de consulter les profs
Sans vouloir statuer sur le bien-fondé du rapport déposé hier au ministre de l’Éducation sur les frais chargés aux parents, la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) trouve complètement anormal que le ministre ait procédé à une telle réflexion sans consultation des enseignants. Ces derniers sont pourtant parmi les premiers interpellés tous les jours par ce qui se trouve sur la facture présentée aux parents. «Tristement, le chemin emprunté par le ministre Proulx témoigne une fois de plus de sa façon cavalière de traiter les enseignants et l’ensemble du personnel de l’éducation», a déploré Josée Scalabrini, présidente de la FSE-CSQ.
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Projet de loi sur les taxes scolaires : un cadeau électoral au détriment de l’éducation.
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Services de garde en milieu familial : le ministre Fortin maintient son incohérence
«Si le ministre Luc Fortin était vraiment sérieux dans sa volonté d’améliorer la qualité des services de garde, il n’aurait certainement pas baissé les bras sur les exigences imposées aux garderies privées dans le projet de loi no 143.» Telle est la réaction de Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), et de Valérie Grenon, présidente de la Fédération des intervenantes en petite enfance du Québec (FIPEQ-CSQ), à l’appel de projets du ministre de la Famille pour renforcer la qualité des services de garde publics en milieu familial. Cela soulève également un enjeu d’équité. En effet, l’ensemble des enfants devrait avoir accès à des services adéquats, il est donc questionnable que le gouvernement décide de procéder à la pièce pour un enjeu aussi important.
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Une lutte contre la pauvreté discriminatoire
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) salue le fait que le gouvernement reconnaisse enfin qu’il faut un minimum pour vivre décemment en mettant sur pied le revenu de base pour certains prestataires de l’aide sociale. Dans son plan, Québec prévoit verser progressivement un revenu de base qui sera de 18 000$ par année en 2023 pour une personne vivant seule. Mais pour les autres personnes, la situation demeurera quasi la même qu’auparavant: certes, il y aura certains incitatifs, mais aussi des pénalités pour les personnes sur l’aide sociale aptes au travail qui ne participeront pas aux mesures d’employabilité. La FTQ déplore haut et fort la création de deux classes de pauvres. «La pauvreté n’attend pas, Québec devrait hausser immédiatement les prestations pour toutes les personnes. Le coût des biens et des services ne cesse d’augmenter de même que les loyers, par exemple», déclare le président de la FTQ, Daniel Boyer.
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Un effort significatif mais encore insuffisant, selon la CSQ.
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Le SPGQ dénonce la culture du harcèlement psychologique et sexuel qui sévit à Revenu Québec
Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) dénonce vigoureusement la culture du harcèlement qui gangrène Revenu Québec et dont sont victimes certaines de ses membres. «De nombreuses tentatives de musellement ont été exercées sur nos membres, alors qu’elles sont carrément victimes de harcèlement psychologique, notamment à caractère sexuel, de la part de personnes en autorité au sein de Revenu Québec. Il appartient à l’employeur non pas de museler les victimes, mais de museler la tentation dégradante de harcèlement de ses gestionnaires», dénonce Richard Perron, président du SPGQ.
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Hydrocarbures : le gouvernement Couillard fait fausse route
Le 16 novembre dernier, un front commun inédit d’organisations de la société civile représentant plus de 1,5 million de personnes (infirmières, personnel enseignant, agriculteurs, retraités, employés de la fonction publique, travailleurs, écologistes et citoyens de toutes les régions du Québec) demandait d’une seule voix au gouvernement du Québec de retirer intégralement les projets de règlement sur les hydrocarbures qu’il a l’intention d’adopter d’ici quelques semaines. Alors que l’impératif climatique, les connaissances scientifiques et les questions légitimes relatives à l’acceptabilité sociale imposent une réalité nouvelle, le gouvernement du Québec joue sa crédibilité en matière de lutte aux changements climatiques en encourageant le développement de l’industrie pétrolière et gazière sur son territoire.
Lire la suite de la lettre d’opinion parue dans La Presse+.
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Le projet de loi n°157 confie la prise en charge du cannabis au public tout en ouvrant la porte au privé
De passage à la Commission de la santé et des services sociaux, le 7 décembre, la FTQ et le SCFP ont salué la décision du gouvernement de confier à une société d’État la prise en charge du cannabis, de manière à prioriser les objectifs de santé publique. «Nous estimons qu’en matière de distribution et de vente de cannabis, le modèle public choisi par le gouvernement va permettre un meilleur encadrement de la consommation. Cependant, il nous faut mettre le gouvernement en garde contre deux dispositions du projet de loi qui, il nous semble, ouvrent la porte à la privatisation. Il s’agit d’une partie de l’entreposage, du transport et de la livraison. Nous souhaitons des balises claires à cet égard», a déclaré le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux.
Lire la suite.
Cannabis : le Québec va rater le train, selon le SFPQ.
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Pays-Bas : grève pour préserver une éducation primaire de qualité
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Québec «ne peut» interdire les relations professeur-étudiant
Même s’il le voulait, le gouvernement ne peut proscrire formellement les liaisons entre professeur et étudiant, laisse entendre la ministre Hélène David. «Ce n’est pas du tout qu’on ne veut pas», a assuré vendredi la ministre de l’Enseignement supérieur, qui pilote le projet de loi visant à prévenir et combattre les violences sexuelles sur les campus. Des enjeux législatifs et constitutionnels limiteraient toutefois ses actions. «Il faut tenir compte de tout cet environnement juridique. On essaie de composer avec tout ça», explique-t-elle.
Lire la suite du texte du Journal de Montréal.
Enseignement supérieur et garderies : nouvelles lois, nouvelles normes.
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L'éducation sexuelle sera obligatoire pour tous les élèves dès septembre
Tous les élèves québécois du primaire et du secondaire devront suivre des cours d'éducation sexuelle à compter de septembre prochain, selon ce qu'a appris La Presse canadienne mercredi. L'information a été confirmée par le premier ministre Philippe Couillard, au cours d'un entretien exclusif avec l'agence à ses bureaux de Québec, en présence de la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Condition féminine, Hélène David. Au cours des deux dernières années, le ministre de l'Éducation, Sébastien Proulx, a bien tenté, sur la pointe des pieds, d'implanter graduellement, sur une base volontaire, l'éducation sexuelle à l'école, mais sans grand succès.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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2017 : Revue de l’année en enseignement supérieur
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Quand les fonds publics diminuent en éducation des adultes : des portraits qui en disent long
L’ICÉA rendait publique, le 21 novembre, l’une de ses productions de l’automne: Les impacts humains de l’austérité. Le portrait de trois organisations fragilisées par les réductions du financement public en éducation des adultes. Cette étude, au titre évocateur, constitue le deuxième volet d’une première enquête produite en 2016 par l’ICÉA. Le but de ses deux productions est de mesurer l’impact des réductions du financement public en éducation des adultes entre 2010 et 2015.
Lire la suite.
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Recensement 2016 : une société polarisée sur le plan des acquis scolaires
Les données du recensement 2016 sur les plus hauts niveaux de scolarité atteints par les personnes âgées de 25 à 64 ans montrent une société polarisée sur le plan des acquis scolaires. Alors que 32% de la population est faiblement scolarisée, possédant ou bien un diplôme d’études secondaires (19%) ou ne possédant pas cette diplomation de base (13%), 26% de la population détient une scolarité de niveau baccalauréat ou supérieure à ce diplôme. Le taux de personnes fortement scolarisées s’élève à 45%, si l’on prend en compte l’ensemble des personnes détenant une scolarité de niveau postsecondaire (de niveau collégial et plus). Depuis la décennie 1990, la proportion de la population âgée de 25 à 64 ans ne possédant pas un diplôme d’études secondaires a diminué de manière continue, passant de 39% à 13%.
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Sortir la recherche des labos
Au Québec, quelque 80 chercheurs planchent sur des projets de chimie verte. «Par habitant, nous sommes le chef de file au Canada», explique Michel Lachance, du Centre québécois de valorisation des biotechnologies (CQVB). Son organisme joue un peu le rôle de courtier entre la recherche et l'industrie, explique le directeur du secteur des bioproduits industriels et des technologies vertes. Le but est de promouvoir l'utilisation des travaux des uns chez les autres, au bénéfice de tous. Si l'intérêt de l'industrie commence à se manifester, le financement, lui, n'est pas encore au rendez-vous.
Lire la suite du texte du journal Les Affaires.
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Quand les universités se lancent en promotion immobilière
De nombreuses universités aménagent leurs grands terrains vacants pour en tirer des revenus. Au Canada, l’Université de la Colombie-Britannique est la pionnière en matière de promotion immobilière. En 1984, son premier projet résidentiel a généré des profits de 81 millions de dollars, selon la UBC Properties Trust. Une décennie plus tard, l’Université a mis sur pied un programme d’aménagement à long terme qui se poursuit à ce jour. À la fin de la présente année universitaire, ses projets immobiliers devraient lui avoir permis d’accumuler 675 millions de dollars. L’Université projette d’atteindre la somme impressionnante de 2 milliards de dollars au cours des 20 prochaines années; 350 millions de ces fonds ont déjà été investis dans la construction de résidences étudiantes dont l’établissement avait grand besoin.
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
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Appel à la mobilisation à l’occasion de la sixième ronde de négociations sur l’ALÉNA à Montréal : les peuples et la planète avant le profit
Dans le contexte de la prochaine ronde de négociations de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA) prévu à Montréal du 23 au 27 janvier prochains, il est important que les organisations syndicales, écologistes et autres organisations de la société civile démontrent leur opposition à un accord commercial pro-entreprise, comme ce fut le cas lors des mobilisations contre le projet de Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA). Common Frontier, Trade Justice Network, le Conseil des Canadiens et le Réseau québécois sur l’intégration continentale se sont unis pour manifester leur opposition à la libéralisation des marchés au détriment des droits des peuples et de l’environnement. Rassemblement citoyen à Montréal le 27 janvier 2018 à 12h - lieu à confirmer. Cette manifestation, à l’initiative du RQIC. sera suivie d’une rencontre conviviale et récréative et d’une rencontre stratégique multinationale.
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Le régime public-privé d'assurance médicaments du Québec : un modèle obsolète ?
En 1997, le Québec se dote d’un régime hybride (public-privé) d’assurance médicaments, qui assure à l’ensemble de la population québécoise un accès à une couverture d’assurance pour les médicaments d’ordonnance. Alternative à la mise en place d’un régime public universel, le régime hybride est néanmoins considéré à l’époque comme une importante avancée. On vise alors à permettre un meilleur accès aux médicaments sans entraîner de hausse importante des dépenses publiques. Vingt ans plus tard, le temps est venu d’évaluer les résultats du régime hybride québécois et de déterminer si le Québec devrait plutôt migrer vers une couverture publique universelle des médicaments d’ordonnance. Dans cette note socioéconomique de l’IRIS, nous examinons les origines du régime québécois et évaluons ses effets à la lumière de trois objectifs majeurs de tout système d’assurance médicaments: l’accessibilité aux médicaments, l’équité financière et la pérennité du système en termes de coûts.
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Le plan d’action de Québec laisse tomber les ménages parmi les plus pauvres et fait trop peu pour le droit au logement
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Des promesses électorales à saveur de lutte à la pauvreté
Le gouvernement a présenté hier son plan d’action contre la pauvreté. Pardon, son Plan d'action gouvernemental pour l'inclusion économique et la participation sociale. Le document se lit comme un programme électoral. Ainsi, entre les lignes, on peut lire que si le PLQ est réélu, les groupes communautaires recevront plus d’argent, les logements sociaux promis seront construits, les personnes prestataires d’aide de dernier recours auront plus d’argent dans leurs poches et elles pourront accéder plus facilement aux services de garde subventionnés, aux maternelles 4 ans, à la culture et aux loisirs. Mais avant de déboucher le Cava (le champagne des pauvres), prenons le temps de voir les détails du plan.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Par-delà la guignolée : l’angle mort de la philanthropie
La guignolée des médias est de retour comme chaque année, annonçant tristement que même une société riche comme la nôtre peine à assurer des conditions de vie décentes à l’ensemble de ses citoyennes et citoyens. L’événement, organisé en appui aux organismes qui viennent en aide aux plus pauvres, a permis l’an dernier d’amasser 3,2 millions de dollars en dons et d’aider 300 000 personnes, selon le site de l’organisme. À ce propos, il semble que la philanthropie se porte de mieux en mieux chez nous, et ce, malgré la piètre réputation des Québécoises et des Québécois en la matière. Selon Épisode, une firme montréalaise d’experts-conseils en collecte de fonds, les Québécoises et les Québécois ont donné 252$ en moyenne en 2016, un chiffre en hausse de 30$ par rapport à 2013. Il faut pour applaudir cette tendance faire abstraction du portrait de la croissance des inégalités dans la province.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Des ressources pro-choix sur le web
Les centres de santé des femmes du Québec viennent de lancer un site web commun qui propose des ressources pro-choix propres au contexte québécois. Pour l'instant, vous y trouverez entre autres: • Un guide d’aide à la prise de décision face à une grossesse non planifiée • Un guide de soutien après l’avortement • Un récit de l’histoire de l’avortement au Québec • et beaucoup d’autres informations intéressantes!
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L’égalité des droits des femmes au cœur de l’Assemblée nationale
Dans le cadre du mandat d’initiative sur la place des femmes en politique initiée par la Commission des relations avec les citoyens, le Réseau des tables régionales de groupes de femmes a déposé un mémoire rédigé en collaboration avec plusieurs tables de groupes de femmes et présenté le 6 décembre. En premier lieu, le Réseau dresse un portait des femmes à l’Assemblée nationale en faisant ressortir des données régionales quant à leur représentativité au sein des élu.es. Si les statistiques parlent d’elles-mêmes pour l’Assemblée nationale, elles sont encore plus troublantes en ce qui a trait à la présence des députées dans les régions où elles sont parfois complètement absentes.
Lire la suite.
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Consultation citoyenne sur le racisme systémique
La Table de concertation contre le racisme systémique (TCRS), dont la Ligue des droits et libertés est membre, a annoncé en conférence de presse le lancement d’une vaste démarche citoyenne indépendante sur le racisme systémique. La TCRS s’est engagée «à travailler à long terme pour des changements tangibles, en mettant sur pied une démarche sérieuse, indépendante qui ne sera pas soumise aux calculs électoralistes et partisans».
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Quand le juge serre la main de l'accusé
Il est plutôt rare de voir un juge quitter son siège pour aller serrer la main d'un accusé et le féliciter pour ses progrès. C'est pourtant un changement de culture qu'a réussi à provoquer un tribunal spécialisé en santé mentale depuis sa mise en place à la Cour municipale de Québec en 2014. Près de 300 dossiers ont été traités jusqu’à maintenant par le projet d’Intervention multisectorielle programmes d’accompagnement à la cour municipale (IMPAC). Ce tribunal adapté accompagne des personnes en situation d’itinérance ou qui vivent des problèmes de santé mentale qui ont commis différents délits.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
L’itinérance féminine reste tapie dans l’ombre.
Distribuer du bonheur, en boîte de pizza.
Après 10 ans dans la rue, il redonne au suivant.
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Un projet de loi pour une justice plus efficace et plus accessible
La ministre de la Justice du Québec, Stéphanie Vallée, a déposé le 8 décembre le projet de loi 168 «visant à favoriser l'accès à la justice et à en accroître l'efficacité», dans le but notamment de s'attaquer à la problématique des délais judiciaires. Le projet de loi permettra des changements importants au système de justice et aura dans son application «un impact réel sur les citoyens», affirme la ministre Vallée. Il contient plus de 169 articles et 40 mesures proposant des modifications au Code de procédure pénale, au Code de procédure civile, à la Charte des droits et libertés de la personne et à plus d’une vingtaine de lois. Le gouvernement veut entre autres bonifier le régime d’aide juridique en donnant accès aux plus démunis à des services de médiation et de conciliation, pour éviter que des dossiers soient judiciarisés sans que cela soit nécessaire.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
Plus de suivi demandé contre les évictions abusives de logement.
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Pour mieux comprendre et défendre le droit collectif d’association
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La commission Chamberland propose un «régime d’immunité» pour les journalistes
Le gouvernement du Québec doit créer un «régime d'immunité» capable d'assurer la protection du matériel et des sources journalistiques et mieux encadrer les rapports entre les élus et la police, conclut la commission Chamberland dans un rapport de plus de 200 pages dévoilé jeudi. Selon la commission, Québec devrait suivre l’exemple de la Loi sur la protection des sources journalistiques adoptée par Ottawa à l’initiative du sénateur Jean-Guy Carignan en créant, pour les matières civiles et pénales, sa propre Loi sur la protection du matériel et des sources journalistiques.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Le réchauffement climatique, seul responsable de la canicule en 2016
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Le développement des inégalités avec l'âge : une perspective internationale
L’érosion des mécanismes d’encadrement de l’économie de marché et de partage de la valeur a généré d’importantes inégalités socio-économiques au cours des dernières décennies. Ces inégalités se déclinent de différentes manières, notamment sur le plan de l’âge des personnes. Le niveau des revenus, l’accès aux soins de santé et à l’habitation ainsi que le temps passé au travail sont autant d’aspects de la vie qui connaissent aujourd’hui de fortes variations entre les groupes d’âge, mais aussi au sein des mêmes groupes d’âge. Ces réalités soulèvent des questionnements légitimes sur les moyens mis de l’avant par les États pour agir sur les causes de ces asymétries et limiter les effets régressifs qu’elles engendrent dans la société. Ce Bulletin de la retraite de l’IREC prend pour prétexte la publication récente d’un rapport de l’OCDE portant sur ces inégalités pour mieux comprendre cet enjeu.
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Apple va payer son amende de 13 milliards : appel à signer pour l’instauration d’une taxe globale sur les multinationales
Depuis le début de novembre, les révélations des «Paradise Papers» sur les filiales créées par Apple à Jersey et les actions menées par Attac dans le cadre de la campagne « Apple paye tes impôts » - #iPhoneRevolt ont permis d’accentuer la pression sur la multinationale qui s’est enfin décidée à verser l’amende de 13 milliards d’euros prononcée en août 2016 par la Commission européenne. C’est une première victoire qui montre que même un géant comme Apple n’est pas au-dessus des lois.
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