| |
Belle journée du 4 novembre. La rencontre avec le recteur a permis à nombre de chargées et chargés de cours de lui faire part de notre absence du rapport sur la décentralisation et de nos craintes face au processus. L’assemblée générale qui a suivi, avec une forte participation de chargés de cours dont plusieurs nouvelles têtes, a permis de poursuivre la discussion sur la décentralisation et d’en entamer une autre sur les moyens de pression nécessaires pour faire débloquer les gros points en litige à la table de négociation. La partie patronale est censée revenir à cette table le 15 novembre avec la réponse de leurs mandants aux contre-propositions syndicales présentées mardi. Nous saurons alors si elle a bien entendu le message des syndiquées et syndiqués, et avec quelle force nous aurons à le répéter.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
|
|
|
| |
Rapport de la négo : en attente de réponses à nos contre-propositions
|
|
|
|
|
Portes ouvertes : nous avons conscientisé les futurs étudiantes et étudiants de l'UQAM
Les chargées et chargés de cours de l'UQAM étaient très visibles lors des Portes ouvertes de l'UQAM, le samedi 5 novembre. Toute la journée, une douzaine de chargées et chargés de cours ont expliqué aux futurs étudiantes et étudiants de l'UQAM, et souvent aussi à leurs parents, la réalité que nous vivons, sans dénigrer l'institution, mais plutôt en démontrant notre essentielle participation à la vie académique de l'université. Nous avons distribué des pommes à toutes les personnes rencontrées. Nous avons ainsi donné cinq caisses de pommes! Notre kiosque était un des plus beaux de cette journée.
|
|
|
|
| |
Affichage des charges de cours pour le trimestre d’hiver 2017: réponse à la proposition des cours attribués par ACCENT du 11 au 16 novembre
L’affichage principal des charges de cours pour le trimestre d’hiver 2017 est terminé. Les personnes chargées de cours ayant posé leurs candidatures sur une charge ne doivent pas oublier de répondre à la proposition des cours attribués par ACCENT entre le 11 et le 16 novembre.
|
|
|
| |
Assemblées d’unité en Études urbaines et touristiques, en Science politique, en Musique, en Chimie, en Géographie, en Histoire de l’art et en Design
La tournée des assemblées d’unité se poursuit. Elles se déroulent dans les locaux du SCCUQ (A-R540 et A-R505) à compter de 12h30. Au cours des prochains jours, nous recevrons les personnes chargées de cours (PCC) en Études urbaines et touristiques le vendredi 11 novembre, en Science politique, en Musique et en Chimie le mardi 15, en Géographie le 16, en Histoire de l’art le 17 et en Design le 18. Nous abordons les problèmes rencontrés localement, les PCC élisent leurs représentants à divers postes et il sera aussi question de décentralisation, de négociation de la convention collective et de moyens de pression. Nous vous attendons en grand nombre.
|
|
|
| |
Je suis chargé de cours à l’UQAM. Un statut dont pratiquement personne ne connaît la signification. Je ne suis pas un professeur, même si j’enseigne tout comme lui, ni un auxiliaire d’enseignement. Je l’ai été plus tôt dans ma carrière, comme bon nombre de mes 2200 collègues. Depuis, baccalauréat, maîtrise et doctorat en poche, je suis enfin devenu chargé de cours. J’ai conçu des cours, je transmets aux étudiants du bac, de la maîtrise ou du doctorat des connaissances longuement mûries au cours des 15 dernières années. J’ai l’immense privilège de pouvoir travailler dans un domaine vivant, intellectuellement stimulant, qui correspond en tous points à mes aspirations. En tous points… j’exagère. En cinq ans comme chargé de cours à l’UQAM, j’ai réalisé combien mon statut était précaire et combien il me serait quasiment impossible de rester chargé de cours, tant les obstacles sont nombreux.
Lire la suite du texte de Jean-Baptiste Plouhinec, membre du Comité de négociation, publié dans les pages Débats de La Presse+.
|
|
|
| |
UQAM : «On ne sait pas si on enseignera cet hiver», disent les chargés de cours
Les chargés de cours de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) crient à l’injustice. Leur salaire est en deçà de celui accordé à leurs collègues du réseau de l’Université du Québec (UQ) et leurs emplois s’avèrent très précaires. «On ne sait pas si on enseignera cet hiver», a déploré jeudi la présidente du Syndicat des chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ), Marie Blais. Cette dernière a ajouté que parmi les 2000 enseignants qu’elle représente et qui donnent près de 60% des cours à l’UQAM, plus de la moitié est en probation, ce qui accroît la précarité de leur emploi. Le jeudi 20 octobre, les chargés de cours de l’UQAM ont reçu l’appui de plusieurs de leurs collègues d’autres universités, qui ont partagé avec eux les gains qu’ils ont pu enregistrer dans les dernières années.
Lire la suite du texte du journal Métro.
|
|
|
| |
Julie Bramond présente ses nouveaux bijoux au Marché aux trouvailles et au Marché artisanal
|
|
|
|
|
Caroline Hayeur présente une exposition sur le tango à la galerie Occurrence
L'abrazo, c'est la manière de se prendre dans les bras, le moment où, dès les premiers instants d'un tango, on s'installe dans une posture qui épouse (embrasse) celle de l'autre. Abrazo, c'est aussi le thème et le titre de l'exposition sur le tango de la chargée de cours et photographe Caroline Hayeur, de l'École des médias, réalisée en collaboration avec l'artiste interdisciplinaire, performeuse et danseuse de tango D.Kimm. L'exposition est présentée à la galerie Occurrence – Espace d’art et d’essai contemporains, du mardi au samedi, de midi à 17h, jusqu'au 20 décembre.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
André Lamoureux critique le Projet de loi 62 sur la neutralité religieuse de l’État
Le chargé de cours au Département de science politique André Lamoureux commente le Projet de loi 62 sur la neutralité religieuse de l’État à l’antenne de Radio-Canada. Le porte-parole du Rassemblement pour la laïcité considère que le projet de loi va complètement à l’encontre d’un projet laïque de société.
|
|
|
|
|
Élisabeth Vallet analyse la campagne électorale américaine à deux jours du scrutin
|
|
|
|
|
|
Semaine de l’autogestion à l’UQAM, du 14 au 18 novembre
| |
Face à une administration de moins en moins à l’écoute de la communauté, qui préfère couper dans les services et dans les conditions de travail de ses employé.es, qui préfère convoquer des étudiant.es en comité disciplinaire que de tolérer la moindre remise en question de ses orientations, voici les activités prévues dans le cadre de la semaine de l’autogestion, du 14 au 18 novembre, organisée par l’AFÉA, l’ABICEP, l’AFESH, l’ADEESE, l’AFELC et le SÉtuE: • Le Ras-Le-Bol présente le Cocktail de fruits dînatoire lundi 14 novembre, à 17h30, au 2e étage du J • Atelier-discussion: UQAM autogérée, oui! Mais comment? le mardi 15 novembre, à 17h (local à venir) • Table-ronde: Démystifier la décentralisation, le mercredi 16 novembre, à 12h30, au A-R540 • Atelier de bannières sauvages et forum discussion: À nous l’UQAM - Quelle université voulons nous?, le jeudi 17 novembre, à 12h30, à l’Agora du J (nourriture et café sur place) • Bed in: Sous écoute - nous sommes Patrick Lagacé!, après les 5@7 interfacultaire, à l’Agora du J • Manif crépusculaire : En criss contre la précarité!, au moment du coucher du soleil (16h20), au parc Émilie-Gamelin.
|
|
|
|
|
|
Ma place en santé, j’y tiens : manifestation au Conseil général du Parti libéral du Québec le 12 novembre
Les militantes et militants du Parti libéral du Québec se réuniront en conseil général le 12 novembre au Sheraton de Laval, 2440, autoroute des Laurentides, à Laval. Il est impossible de croire qu'ils sont toutes et tous en accord avec ce que Gaétan Barrette est en train de faire du réseau public de santé et de services sociaux. C'est l'occasion pour nous d'aller les interpeller de 9h30 à 12h. Ils doivent se commettre, prendre leurs responsabilités et tout faire pour empêcher ce saccage. Vous avez besoin d’une place en autobus, contactez le Conseil central du Montréal métropolitain (CSN) au 514 598-2021.
|
|
|
|
| |
SPUQinfo : Réactions au Rapport sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire à l’UQAM
Malgré toutes les preuves de vitalité et de performance qu’elle a données au long de ces jeunes années d’existence (augmentation fulgurante de la population étudiante et des diplômées, diplômés, développement et reconnaissance nationale et internationale de la recherche et de la création), la singularité de l’UQAM n’a eu de cesse de provoquer agacement et irritation au sein des ministères successifs de l’enseignement supérieur et des administrateurs qui partagent leur idéologie. Aussi et compte tenu du passé des auteures du Rapport sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire à l’UQAM (l’une d’entre elles – Louise Dandurand – avait participé activement aux balbutiements de la facultarisation alors qu’elle était vice-rectrice à la Recherche et à la Création, la seconde, Hélène P. Tremblay, a été sous-ministre adjointe d’un gouvernement libéral), on ne peut guère s’étonner que leur principale recommandation («pistes de solution» – écrivent-elles –, on appréciera la nuance!) consiste dans un alignement du mode de gestion de notre université sur celui des universités traditionnelles.
Lire la suite du SPUQinfo, numéro spécial : Réactions au Rapport sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire à l’UQAM.
|
|
|
|
|
La lecture en cadeau : offrez le plaisir de la lecture à un enfant!
Pour une treizième année, le SEUQAM est heureux de s’associer à la collecte de livres La lecture en cadeau. Ce projet, mis sur pied par la Fondation pour l’alphabétisation, a permis de rejoindre plus de 400 000 enfants de milieux défavorisés de 0 à 12 ans. Vous souhaitez contribuer à prévenir le décrochage scolaire ainsi que l’analphabétisme et bien sûr faire découvrir le plaisir de la lecture à un enfant? Vous êtes invités à déposer vos livres neufs d’ici le 9 décembre aux endroits suivants: • Bibliothèque centrale (A-M100) • Bibliothèque des sciences (KI-R145) • Bibliothèque des sciences juridiques et politiques (A-2164) • Bibliothèque des sciences de l’éducation (N-1000) • Coop UQAM (J-M205) • Kiosque d'accueil et renseignements (J-M320) • ou au SEUQAM (A-2360). Vous pouvez aussi faire un don en argent qui servira à la logistique du programme. Les dons de 20$ et plus donnent droit à un reçu fiscal. Communiquez alors avec Maude N. Béland à beland.maude_n@uqam.ca. Pour en savoir plus sur cette collecte et connaître les critères auxquels doivent répondre les livres offerts, consultez l’article paru sur le site du SEUQAM. Nous vous invitons également à regarder cette vidéo qui explique comment participer. En 12 ans, grâce à La lecture en cadeau à l'UQAM, plus de 5 500 livres ont été remis à la Fondation pour l’alphabétisation.
|
|
|
|
|
|
128 films du 10 au 20 novembre à Montréal : la CSN fière partenaire des RIDM
La Confédération des syndicats nationaux (CSN) est heureuse de s’associer une fois de plus aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) qui se tiennent du 10 au 20 novembre pour cette 19e année. «Cette année encore, la programmation des RIDM témoigne de la pertinence d’un tel événement à Montréal, qui consacre l’engagement de réalisateurs et de réalisatrices dans leur milieu, a indiqué le président de la CSN, Jacques Létourneau. On ne le dira jamais assez, le point de vue critique est essentiel à la santé des sociétés démocratiques, et le documentaire engagé permet justement de prendre du recul pour mieux comprendre le monde qui nous entoure.» Pour cette édition du RIDM, la CSN présente 10 longs-métrages.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
Augmentation des accidents et incidents au CHU Sainte-Justine : le ministre Barrette s’entête à nier les effets des compressions budgétaires
|
|
|
|
|
Consultations publiques sur la réussite éducative : la CSQ rappelle à quel point les mesures d'austérité ont fait mal au milieu de l'éducation
Dans le cadre des consultations gouvernementales sur la réussite éducative, qui sont de passage à Montréal, le Syndicat du soutien en éducation de la Pointe-de-l'Île (SSEPI-CSQ) et le Syndicat des professionnelles et professionnels du milieu de l'éducation de Montréal (SPPMEM-CSQ), affiliés à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) ont fait entendre leur voix vendredi. «La CSQ soutient qu'il faut aussi agir pour corriger les inégalités engendrées par les pratiques mises en place depuis de nombreuses années au sein du réseau de l'éducation et qui ont été bien mises en lumière par le Conseil supérieur de l'éducation. Cette situation est particulièrement criante à Montréal. Il est clair pour nous que le ministre doit tenir compte de cette analyse dans le cadre des consultations en cours», déclare Line Camerlain, vice-présidente de la CSQ.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
|
Conseil des collèges : le SPGQ plaide pour un meilleur financement du collégial
Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) s’interroge sur la pertinence de l‘instauration d’un Conseil des collèges par le gouvernement. Sans rejeter l’idée, le SPGQ redoute un impact négatif sur le financement du système d’éducation collégial. «La mise en place de cette nouvelle structure soulève des questions. Depuis 6 ans, le nombre de professionnelles et professionnels au sein des 16 collèges représentés par le SPGQ a diminué de 11%. Ces coupes ont eu un impact direct sur la qualité des services offerts aux étudiants», rappelle Richard Perron, président du SPGQ.
Lire la suite.
La CSQ expose ses propositions pour le réseau collégial.
|
|
|
|
|
|
Projet de loi 110 : chronologie d'un chaos annoncé dans les municipalités du Québec
Le projet de loi 110 (PL110) concernant Le régime de négociation des conventions collectives et de règlement des différends dans le secteur municipal, vient d’être adopté et sanctionné le 2 novembre par l’Assemblée nationale du Québec. Inutile et sans fondement, il a été maintes fois décrié par le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) et la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP–CSN). De toute évidence, cette loi a été écrite et pensée par des individus qui ne connaissent rien aux relations de travail. Cette nouvelle loi crée des conditions qui amèneront rapidement des conflits de travail car elle limite la durée du processus de négociation à un délai qui est bien en deçà de la normale dans le secteur municipal et le secteur du transport terrestre. Plus les délais sont courts, plus les travailleurs seront obligés d’appliquer la pression tôt. Plus les enjeux seront majeurs, plus il y aura risque de grève rapide.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
Agents de la paix en services correctionnels : occupation et blocage de bureaux gouvernementaux à Québec et à Montréal
Les agentes et agents de la paix en services correctionnels du Québec ont bloqué mercredi les locaux du Conseil du trésor à Québec et occupé les bureaux du ministre Coiteux à Montréal afin d’accentuer la pression sur le gouvernement dans le cadre des négociations en vue du renouvellement de leur convention collective. Par cette action, les membres du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec–CSN entendent dénoncer les récentes offres de l’employeur. Alors qu’ils sont sans contrat de travail depuis le 1er avril 2015, les négociations achoppent sur quatre enjeux majeurs pour le SAPSCQ–CSN, soit la formation obligatoire des agentes et agents, les offres salariales, le régime de retraite et le retour de la précarité pour les salarié-es à temps partiel.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Chauffeurs d’autobus : entente dans Lanaudière, la table est mise pour la négo à Longueuil
Les membres du Syndicat des employé-es de Lanau-Bus (FEESP–CSN), représentant une centaine de chauffeurs d’autobus dans Lanaudière, ont adopté samedi la recommandation de la conciliatrice au dossier, dans une proportion de 89,6%. Les activités normales de Lanau-Bus ont repris dimanche. La recommandation prévoit le renouvellement de la convention collective du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2019. Sur l’enjeu primordial des horaires de travail, un comité paritaire sera mis en place afin de trouver des solutions pour améliorer la qualité de vie des travailleuses et des travailleurs. Par ailleurs, les chauffeurs d’autobus du Réseau de transport de Longueuil (RTL) ont adopté dimanche à l’unanimité le projet de renouvellement de leur convention collective qui viendra à échéance le 31 décembre. Les principales revendications syndicales sont : les temps de parcours et les périodes de battement, la réduction de la durée de l’amplitude, la sécurité d’emploi, le salaire et la rétroactivité, le quantum des vacances.
Les surintendants de Montreal Gateway Terminals se syndiquent.
|
|
|
|
|
Entrée en vigueur de l’Accord de Paris sur le climat : il faut passer de la parole aux actes
| |
Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) se réjouit de l’entrée en vigueur de l’Accord de Paris sur le climat, mais s’inquiète du manque de planification pour atteindre nos objectifs de réduction des gaz à effet de serre (GES). «Les gouvernements doivent mettre en place une véritable stratégie de transition juste visant la création d’emplois de qualité en accord avec des cibles de réductions plus ambitieuses. Les travailleurs et travailleuses ne doivent pas faire les frais de la transition vers une économie plus respectueuse de notre environnement, mais plutôt être au cœur de cette transition», rappelle le président de la FTQ, Daniel Boyer. Cet accord, issu d’une rencontre internationale à Paris en décembre 2015 (COP21), vise notamment à limiter le réchauffement climatique à 2oC et même à poursuivre les actions pour ne pas dépasser 1,5oC. Chaque État signataire est responsable de réduire ses émissions de GES et de définir les moyens pour y arriver.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
La signature de l’AÉCG inquiète les syndicats de l’éducation
L’Internationale de l’éducation (IE) et les institutions internationales s’inquiètent des effets de la signature de l’Accord économique et commercial global (AÉCG) entre le Canada et l'UE sur les services publics, notamment l'éducation et des limites que l’accord impose à l’espace public. «L’AÉCG comporte des engagements importants concernant le financement privé des services de l’éducation», a commenté Fred van Leeuwen, secrétaire général de l'IE. Il explique que le Canada et les États membres de l’UE ouvrent ainsi effectivement la porte à des fournisseurs étrangers de services éducatifs recherchant un profit, mais qu’ils octroient également aux investisseurs privés de nouveaux droits qui dépassent tous les accords commerciaux existants. Parallèlement, il n’est fait aucune référence à la moindre exception concernant les services publics dans la portée de l’accord.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
Équateur : la brutale persécution des syndicats des professeurs s'aggrave
Rosana Palacios, présidente de l’Unión Nacional de Educadores (UNE), a été menacée de poursuites pénales et il lui a été interdit de prendre la parole au nom de son union. Le Comité exécutif de l’UNE, qui s’est réuni le 22 octobre dernier, a convenu de continuer sa lutte visant à anéantir la campagne frauduleuse menée par le gouvernement qui n’a pour autre but que de dissoudre l’UNE. Dans une déclaration, l’UNE soutient que «la défense d’une éducation publique séculaire et plurinationale et les droits des professeurs, c’est là notre obligation». Les bureaux de l’UNE situés dans les provinces équatoriennes ont été saccagés et occupés, et le gouvernement en loue quelques-uns pour en tirer profit. Les comptes en banque de l’UNE ont été fermés et les professeurs courent un risque s’ils sont en contact avec les représentants de l’UNE.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
|
Royaume-Uni : les enfants défavorisés seront les plus touchés par les coupes budgétaires
Les enfants défavorisés sont susceptibles d’être les plus durement touchés par les changements apportés au financement de l’éducation par le Gouvernement, selon la nouvelle initiative en ligne School Cuts lancée par deux syndicats d'enseignantes et d’enseignants au Royaume-Uni. Il est probable que les écoles qui comptent les enfants les plus défavorisés subiront les plus grandes coupes budgétaires lorsque le Gouvernement réaffectera les fonds destinés aux établissements scolaires, selon des calculs effectués par le National Union of Teachers (NUT) et l’Association of Teachers and Lecturers (ATL).
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
Philippines : éclairer les pratiques obscures de l’édu-business
Les enseignantes et enseignants syndicalistes et les étudiantes et étudiants présents à l’occasion d’un forum organisé à l’Université Polytechnique des Philippines, à Manille, ont obtenu des informations de première main relatives au fonctionnement des établissements appelés «centres d’éducation privée à prix abordable», dans leur pays. Ces écoles représentent une co-entreprise entre l’entreprise d’édu-business Pearson et le grand conglomérat philippin Ayala Corporation. Elles opèrent souvent sur la base de dérogations accordées par le ministère de l’Éducation, en vertu d’un protocole d’entente appliqué en violation flagrante des normes constitutionnelles relatives à la fourniture d’une éducation de base dans le pays.
Lire la suite.
|
|
|
| |
ÉTS, UQAM et Concordia : quand la techno et les PME font évoluer l'offre
|
|
|
|
|
Laval, Polytechnique et McGill : les cours en ligne ouverts à tous, une tendance lourde
Cybersécurité, bio-ingénierie, développement durable, expérience client: les universités proposent encore cette année de nouveaux programmes liés aux préoccupations de la société québécoise. Suivant la tendance mondiale, quelques nouveautés prennent la forme de cours en ligne ouverts à tous, ou MOOC (Massive Open Online Classes). Coup d'œil sur les propositions de l'Université Laval, Polytechnique Montréal et l'Université McGill.
Lire la suite du texte de La Presse.
|
|
|
|
|
|
Recrutement : l'UQTR en compétition avec les autres universités
La fameuse baisse démographique qui a frappé les écoles primaires du Québec, puis les écoles secondaires et les collèges commence à se faire sentir sérieusement dans les universités. La baisse sera d'environ 7,5%, entre 2012 et 2027 et le creux de la vague est attendu pour 2020. Il représentera une diminution d'effectifs étudiants de 23%, rien de moins, dans la région de Trois-Rivières. L'Université du Québec à Trois-Rivières n'a pas l'intention de se croiser les bras. Elle qui affiche une hausse annuelle de ses effectifs depuis des années, grâce notamment aux innovations importantes dans sa carte de programmes, commence à sentir le phénomène. «Cette année, on a eu 0,03% d'augmentation. D'autres universités sont dans le négatif depuis un an ou deux», constate Jean-Paul Loyer. Une mission importante pèse désormais sur le Bureau de l'international et du recrutement dont il est le directeur adjoint.
Lire la suite du texte du Nouvelliste.
|
|
|
|
| |
UQAC : le recteur Martin Gauthier renonce à un deuxième mandat
Après avoir initialement demandé à exercer un second mandat comme recteur de l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), Martin Gauthier renonce dans une lettre envoyée à Sylvie Beauchamp, présidente de l'Université du Québec, et Laval Boulianne, président du conseil d'administration de l'UQAC. Face à la grogne des syndiqués, il reconnaît que sa candidature était contestée. Le recteur demeurera toutefois en poste jusqu'à la fin de son mandat le 25 avril 2017.
Lire la suite du texte du Quotidien.
U. de Sherbrooke : Réjean Hébert ne sera pas de la course au rectorat.
|
|
|
| |
Un don de 600 000$ pour la littérature jeunesse et l'environnement à Concordia
Le 18 octobre, le Groupe Banque TD a annoncé un don de 600 000$ à Concordia. «L'Université s'est donné neuf vecteurs stratégiques, dont, entre autres, doubler ses efforts de recherche et à s'ouvrir au monde, déclare Alan Shepard, recteur de Concordia. Le Groupe Banque TD apporte du soutien à nos projets, à nos étudiants et à notre société grâce à ce don qui stimulera le développement de programmes novateurs.» «La TD est fière de soutenir ces initiatives pionnières et d'ainsi consolider son engagement envers la littérature jeunesse et l'environnement, souligne Frank McKenna, président suppléant du Conseil, Groupe Banque TD. D'une part, ce don favorisera l'accessibilité du programme ABRACADABRA, qui aide à développer plus rapidement l'apprentissage à la lecture. D'autre part, grâce aux stages en durabilité, il donnera aux jeunes professionnels qui souhaitent poursuivre une carrière dans le secteur environnemental l'occasion d'obtenir une expérience de travail enrichissante.»
Lire la suite du texte de La Presse.
Concordia mise sur l’approche multidisciplinaire.
|
|
|
| |
Université de Moncton : une autre étape cruciale pour l’avenir des programmes
Le sort de plusieurs programmes menacés sera à l’ordre du jour, vendredi, lors de la réunion du sénat académique de l’Université de Moncton. Il s’agit d’un test important pour la planification académique de l’établissement. Un document de plus de 500 pages contient 83 recommandations qui vont de l’abolition à la réforme, en passant par le développement de nouveaux programmes. Si le rapport est adopté tel quel, 21 programmes passeront à la trappe. Les spécialisations en sciences sociales (qui seraient remplacées par des programmes avec distinction, comme ceux que l’on retrouve dans les universités anglophones) ainsi que les majeures en philosophie et en géographie sont notamment menacées.
Lire la suite du texte de L’Acadie nouvelle.
|
|
|
|
|
Lancement du livre de l’IRIS Cinq chantiers pour changer le Québec
L'Institut de recherche et d'informations socioéconomiques (votre bien-aimé IRIS) et les éditions Écosociété vous invitent chaleureusement à venir festoyer au lancement du livre Cinq chantiers pour changer le Québec le 23 novembre 2016 –à la Société des arts technologiques [SAT], 1201 boul. St-Laurent, Montréal. Venez discuter avec les auteur·e·s et prendre un verre en notre compagnie! Le Québec est plongé dans un profond désarroi politique. Avec ce livre, l'IRIS prend un pas de recul sur les analyses à chaud et les critiques pour mettre de l'avant de nouvelles idées. Nous voulons brasser la cage et inspirer un certain goût pour l'audace et l'action collective.Devenez membre de l'IRIS sur place et obtenez un livre gratuit. Pour les personnes déjà membres, il sera possible de se le procurer au rabais. Avec la contribution de: Eve-Lyne Couturier, Minh Nguyen, Julia Posca, François Desrochers, Philippe Hurteau, Vivian Labrie, Simon Tremblay-Pepin, Louis Gaudreau, Guillaume Hébert, Jennie Laure Sully, Renaud Gignac et Bertrand Schepper.
|
|
|
|
| |
Lancement de la boîte à outils 2.0 du RQGE
Le lancement de la boîte à outils 2.0 du Réseau québécois des groupes écologistes (RQGE) se tiendra lors de son 6@8 annuel, le mercredi 16 novembre à la coop Café Touski, 2361, rue Ontario Est, à Montréal. La boîte à outils mise à disposition par le RQGE aide ses usagers à accroître leur autonomie d’action et à développer leur gestion organisationnelle. Elle est composée de quatre catégories : expertises, communication, saine gestion et outils d’analyse. L’accès à ces outils est maintenant gratuit pour tous : nos membres et partenaires et les organismes et particuliers de l’ensemble des secteurs communautaires.
|
|
|
|
|
Formation de la LDL sur l'environnement et les droits humains le jeudi 24 novembre
Dans le contexte actuel au Québec, au Canada et dans le monde, où les enjeux environnementaux se mêlent de plus en plus aux enjeux économiques, sociaux et politiques qui confrontent les sociétés, la Ligue des droits et libertés invite ses membres et sympathisant-e-s à un atelier de formation sur l'environnement et les droits de la personne le jeudi 24 novembre, de 19h à 21h, au 516 Beaubien Est, à Montréal (Métro Beaubien). Cette formation, qui sera donnée par Sylvie Paquerot, permettra aux participant-e-s de se familiariser avec l'analyse des enjeux environnementaux d'un point de vue de droits de la personne et d'échanger sur le rôle d'une organisation de défense des droits comme la LDL face à ces enjeux. Sylvie Paquerot est professeure à l'École d'études politiques de l'Université d'Ottawa. Ses recherches portent notamment sur la gouvernance mondiale et le droit international de l’eau. Aucun frais de participation. Places limitées, inscription obligatoire à communication@liguedesdroits.ca ou au 514 849-7717, poste 24.
|
|
|
|
|
|
Wall Street sera-t-elle satisfaite du résultat de l’élection?
Selon le magazine Fortune, le secteur financier étasunien aurait globalement versé près de 800 millions de dollars américains à des candidatures ou des partis en vue de l’élection présidentielle aux États-Unis, un montant en hausse de 35 % par rapport à 2008. Et comme on le sait, c’est le camp démocrate qui reçoit la part du lion de cette manne financière. Ceci dit, une victoire de Donald Trump importunerait-elle vraiment Wall Street? Si l’on ne se fie qu’aux positions des candidat·e·s à la présidence en matière de régulation du secteur financier, il peut être difficile de déterminer lequel de la démocrate ou du républicain serait le plus favorable à Wall Street. Un article du Wall Street Journal (WSJ) rapporte ainsi que, s’il est élu, Donald Trump abrogera la loi Dodd-Frank, adoptée dans la foulée de la crise de 2008. L’industrie financière cherche depuis à en réduire la portée à coup de millions de dollars en activités de lobbyisme.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
|
|
|
|
|
|
Le milieu communautaire en marche : diverses manifestations ont eu lieu au Québec pour réclamer un meilleur financement
| |
Plus de 3000 personnes ont marché au centre-ville de Montréal pour demander un rehaussement du financement des groupes communautaires. D’autres manifestations avaient cours, mercredi, à Québec, à Laval, à Gatineau, à Sherbrooke, à Rimouski, à Lévis, à Rouyn-Noranda et à Terrebonne. Un grand thème les rassemblait : «communautaire en colère contre le financement austère». Ces marches étaient le point culminant de trois journées de grève ou de suspension d’activités, en tout ou en partie, pour plusieurs de ces groupes de femmes, d’aide aux personnes itinérantes ou assistées sociales, des groupes d’alphabétisation ou d’aide aux personnes handicapées, de défense des droits des locataires et autres. Ces groupes se disent sous-financés de façon chronique, au point d’avoir de la difficulté à accomplir leurs tâches d’accompagnement, de conseil, d’aide, d’écoute. Ces groupes revendiquent collectivement un rehaussement de leur financement de l’ordre de 475 millions de dollars. À l’appui de leur cause, ils plaident que le soutien qu’ils fournissent représente même une économie pour le gouvernement.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
La CSN et la CSQ solidaires des groupes communautaires en grève.
La Coalition Main rouge s’engage pour le communautaire.
|
|
|
|
| |
Loi 70 adoptée : des assistés sociaux devront vivre avec 399$ par mois
Certains assistés sociaux devront se débrouiller pour vivre désormais avec aussi peu que 399$ par mois, en vertu de la Loi 70 adoptée jeudi. Avec cette loi, le gouvernement s'arroge le pouvoir de couper environ du tiers la prestation de base mensuelle de 623$ des nouveaux demandeurs d'aide sociale jugés aptes à travailler qui refusent d'entreprendre un parcours de recherche d'emploi. Au moment du vote, les trois élus de Québec solidaire étaient si outrés de l'approche punitive choisie par le gouvernement que Françoise David, Amir Khadir et Manon Massé se sont levés tour à tour pour voter contre le projet de loi, tout en tournant le dos au gouvernement, un geste symbolique inusité à l'Assemblée nationale.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
|
|
|
| |
Solos, solidaires et sur le web : parlons de monoparentalité
|
|
|
| |
Santé mentale : un nouveau projet pour ne plus échapper des jeunes en détresse
Le système de santé échappe trop souvent des jeunes aux prises avec des problèmes de santé mentale. Pour mieux les rejoindre, les suivre et leur donner des services adéquats, un nouveau projet a été lancé hier par le Réseau d’intervention de proximité auprès des jeunes de la rue (RIPAJ). Aidés par une coordonnatrice, une clinicienne, une assistante de recherche et la collaboration d’un réseau d’organismes mené par le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), les responsables du projet de recherche ACCESS Esprits ouverts-RIPAJ veulent provoquer un «changement de culture» dans l’organisation des services. «Une histoire typique, c’est un jeune qui vit des troubles dans sa famille ou à l’école, et qui approche un psychologue en milieu scolaire. On l’envoie à plusieurs portes différentes et c’est difficile pour lui de s’y retrouver. Il y a des listes d’attente pour obtenir de l’aide», a relaté la Dre Amal Abdel-Baki, psychiatre au CHUM.
Lire la suite du texte du journal Métro.
|
|
|
|
|
Logement des Premières Nations : l'argent sera bienvenu, mais il ne suffira pas
L'argent frais du gouvernement fédéral pour le logement des Premières Nations sera le bienvenu, mais ces nouveaux fonds ne régleront pas la pénurie titanesque qui perdure depuis au moins une génération, a indiqué mercredi un chef autochtone. Kevin Hart, chef régional de l'Assemblée des Premières Nations (APN), estime que le problème ne sera pas réglé «de son vivant ou du vivant de ses enfants». M. Hart a fait ces commentaires en marge d'une conférence de l'APN sur le logement et les infrastructures à Winnipeg.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
Des démocrates déchirés par la question des sans-abri.
Un projet de mini-opéra pour combattre l’itinérance.
|
|
|
|
|
|
L’AÉCG : signé, mais avec du plomb dans l’aile
Ainsi, la Wallonie et les autres gouvernements régionaux belges opposés à la signature de l’Accord économique et commercial global (AÉCG) entre le Canada et l’Union européenne ont finalement accepté une entente et l’AÉCG a pu être signé à Bruxelles le 30 octobre. Mais il est loin d’être ratifié, car la fronde wallonne a entre autres touché le talon d’Achille de ces accords de libre-échange: le mécanisme de règlement des différends entre les investisseurs et les États (RDIE), les fameux tribunaux d’arbitrage privés qui, dans la plus grande opacité, tranchent souvent en faveur des entreprises intentant des poursuites contre les États ainsi qu’en faveur d’un système qui leur fait faire beaucoup d’argent. Au Canada et au Québec, on connaît trop bien ces poursuites «démocraticides», l’ALÉNA ayant permis «à des entreprises américaines et mexicaines de lancer 39 poursuites contre le Canada. Plusieurs ne sont toujours pas réglées», indique le Réseau québécois sur l’intégration continentale sur son site Web.
Lire la suite du texte publié par la revue Relations.
Le Canada, l’Accord de Paris et l’AÉCG : il faudrait applaudir ?
|
|
|
|
| |
Le CEDAW tient le Canada responsable de ses résultats décevants en matière de droits des femmes
Les résultats du Canada en matière d’égalité des femmes ont été la cible de toutes les critiques aux Nations Unies, à Genève, à la fin octobre. La 65e session du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes (CEDAW) a lieu à un moment opportun pour les Canadiennes. Le Canada a un nouveau gouvernement fédéral, ainsi qu’un premier ministre qui se dit féministe, préconise une relation de nation à nation et reconnaît que «la pauvreté est sexiste». Nous savons que les mots comptent, mais il nous faut maintenant de l’action. Des décennies de modifications législatives régressives et de réductions budgétaires ont considérablement érodé les droits des femmes au Canada, en vertu de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW). Depuis 1995, le Canada est passé de la première à la 25e place sur l’Indice d’inégalités de genre des Nations Unies.
Lire la suite.
|
|
|
|
|