Infolettre du SCCUQ - 1 mars 2018 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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Entre vous et moi

L’infolettre du SCCUQ est publiée tous les jeudis. Vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.

En réponse à des critiques qui nous ont été formulées, l’agenda est maintenant séparé et réparti dans trois sections auxquelles il se rattache.

Bonne semaine de lecture ou de relâche pour celles et ceux à qui ça s’applique.

Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ

 
 
SCCUQ
 
 
À l'agenda du SCCUQ
 
 
École des sciences de la gestion : votez pour votre futur doyen

Le SCCUQ invite les chargées et chargés de cours de l’École des sciences de la gestion à exprimer leur voix pour l’un des candidats au poste de doyen de l’ESG, soit Louis Baron, professeur titulaire au Département d’organisation et ressources humaines, et Komlan Sedzro, professeur titulaire et directeur au Département de finance. Il est important que le plus de personnes chargées de cours participent au processus de votation d’ici le 5 mars sur le système Omnivox.

 
 
Grèves étudiantes pour le 8 mars et la rémunération des stages : consignes aux personnes chargées de cours

L’Association des étudiantes et étudiants de la Faculté des sciences de l’éducation (ADESSE) a bloqué le Conseil d’administration de l'UQAM mardi. L'ADEESE sera en grève 3 journées en mars : le jeudi 8 mars (journée des femmes), le mardi 20 mars (journée prévue pour le CA de l'UQAM) et le jeudi 22 mars (journée en solidarité avec les étudiantes sages-femmes). L’Association facultaire étudiante de science politique et droit (AFESPED) sera également en grève le 8 mars. L’AFESH et l’AFEA (soit les étudiantes et étudiants en sciences humaines et en arts) pourraient aussi emboîter le pas. L'ADEESE a également voté une résolution pour être en grève à chacune des prochaines journées de rencontre du CA de l'UQAM et ce jusqu'à ce que le CA prenne position pour la rémunération des stages. Ces journées potentielles sont les 20 mars, 24 avril, 29 mai et le 19 juin 2018. La résolution vise aussi à bloquer la tenue des rencontres du CA et invite les autres associations étudiantes à être en grève ces mêmes journées.

Il est donc possible qu’il y ait des levées de cours lors de ces journées. Nous voulons vous rappeler que les personnes chargées de cours sous contrat doivent se présenter à leurs activités de travail, peu importe le lieu et la nature de cette activité et être prêtes à donner leurs activités d’enseignement. Vous devez donner ces activités d’enseignement pourvu que les conditions normales de travail et d’enseignement soient réunies.

Si vous désirez rapporter un incident ou si vous êtes confronté à une situation délicate, vous pourrez appeler le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM au numéro suivant : 514 987-3495. Nous vous assurons que nous allons suivre tous les développements et nous vous aviserons si nécessaire.

 
 
Le SCCUQ en quatre temps : conférence sur L’avenir du SCCUQ et du militantisme de ses membres, le 14 mars

Le SCCUQ présente quatre conférences-débats sur des périodes marquantes de l’histoire du Syndicat dans le cadre de son 40e anniversaire. Les conférences sur La création: de la gestation à la première grève de personnes chargées de cours, le 6 février, La grève des cœurs et le début de la reconnaissance, le 15 février, et L’évolution de la convention collective et les années 2000, le 21 février, ont été fort pertinentes. Il reste donc une conférence le mercredi 14 mars à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 et elle portera sur L’avenir du SCCUQ et du militantisme de ses membres. Les chargées et chargés de cours panellistes seront Bachir Sirois Moumni (communication), Anne-Sophie Bally (linguistique), Amadou Razack Yaya (chimie) et d’autres sont à confirmer. Veuillez confirmer votre présence à sccuq@uqam.ca d’ici le 10 mars pour que nous puissions prévoir le lunch en fonction du nombre de participants.

 
 
Reprise de l’assemblée générale spéciale sur la stabilisation de l’emploi, la campagne de communication et le changement de nom

L’assemblée générale spéciale du 22 février n’ayant pas eu quorum, elle sera reprise le mercredi 21 mars, à 12h45, salle A-2860. Les membres sont donc invités à une présentation et une discussion du dossier sur la stabilisation de l’emploi. Trois propositions seront ensuite mises aux voix: • Proposition sur la stabilisation de l’emploi • Proposition sur la campagne de communication • Proposition sur la requête en vertu de l’article 39 du Code du travail pour changer le nom du Syndicat.

 
 
Formation pour les membres des comités de liaison locaux le 13 mars

Une formation s’adressant aux représentants des chargées et chargés de cours siégeant aux comités de liaison locaux (CLL) sera donnée le mardi 13 mars, à 12h30, au lieu social du Syndicat, local A-R540 (Pavillon Hubert-Aquin). Cette formation a pour but de vous outiller sur votre rôle de représentation au CLL de votre unité. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence à Jean Régnier.

 
 
Babillard des membres
 
 
À l’agenda des membres du SCCUQ
 
 
Premier long métrage : Jeanne Leblanc livre un drame intimiste sur le retour au bercail d'une jeune fugueuse
PremierLongMetrage

La chargée de cours Jeanne Leblanc ne craint pas les sujets graves. Ses courts métrages remarqués, Une nuit avec toi (2011) et Carla en 10 secondes (2016), traitaient respectivement de la difficulté d'accepter son image corporelle et d'une histoire de viol collectif. Isla Blanca, son premier long métrage, raconte l'histoire de Mathilde, une jeune fugueuse qui rentre au bercail après huit ans d'absence pour assister à l'agonie de sa mère. Pour la chargée de cours au programme de cinéma de l'École des médias, il s'agit d'un projet qu'elle portait depuis 20 ans, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Sachiyo Kanzaki commente les youtubeuses virtuelles, vedettes émergentes sur Internet

De nouvelles vedettes font leur apparition sur YouTube et accumulent des millions de visionnements. Comment? En discutant de leur vie, en jouant à des jeux vidéo et en racontant des blagues. Mais ces jeunes femmes n'existent pas réellement: elles sont complètement virtuelles. Ces nouvelles célébrités, presque toutes des femmes, sont en réalité des personnages animés japonais. Leurs expressions, mouvements et paroles sont animés et scénarisés par une actrice pour ensuite être reproduits par un avatar virtuel. «On dit virtuel, mais au niveau de la production, ça reste un corps réel», explique la chargée de cours Sachiyo Kanzaki, qui s'intéresse à la culture japonaise.

Lire la suite du texte de Radio-Canada.

 
 
Louis-Karl Tremblay a présenté la pièce Les amis au Studio-théâtre Alfred-Laliberté
LouisKarlTremblay

Après une journée de travail, l'Homme converse au téléphone avec sa fiancée dans son appartement. C'est alors que neuf individus, une famille selon toute apparence, cognent à sa porte et entrent s'installer chez lui. Le metteur en scène et chargé de cours Louis-Karl Tremblay et les finissants en jeu, en scénographie et en études théâtrales de l'École supérieure de théâtre ont présenté jusqu'au 24 février, au Studio-théâtre Alfred-Laliberté, la pièce Les amis, un texte de Kōbō Abe qui oscille entre la dystopie et l'absurde, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Ariane Moffatt a prodigué ses conseils aux étudiantes et étudiants de Julie Leblanc

La salle Jacques-Hétu du pavillon de Musique était bondée, le 23 février dernier, pour la classe de maître donnée par la chanteuse et musicienne Ariane Moffatt. Devant près d'une centaine de personnes, l'artiste a parlé de son parcours musical et a interprété deux pièces, en plus d'offrir des conseils à quelques chanteurs des classes de la professeure Dominique Primeau et de la chargée de cours Julie Leblanc, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Nos politiques d’immigration doivent se conformer aux valeurs et à l’humanisme canadiens, selon Guillaume Cliche-Rivard

Le ministre fédéral de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, Ahmed Hussen, annonçait, le 15 février, qu’il comptait mettre en place, d’ici le 12 avril 2018, un plan visant à amender les dispositions légales et réglementaires qui touchant l’interdiction de territoire d’une personne immigrante pour fardeau excessif sur les services sociaux et médicaux canadiens, politique d’immigration qui, année après année, constitue un frein à l’immigration de centaines de familles au pays. En réponse à cette révision ministérielle plus que bienvenue, nous affirmons que la seule option possible est d’abroger cette inadmissibilité médicale afin que nos politiques d’immigration se conforment aux valeurs et à l’humanisme canadiens et que le pays cesse ainsi de se priver de milliers d’immigrants qualifiés et désireux de participer au développement de notre société.

Lire la suite du texte de Guillaume Cliche-Rivard publié par Le Devoir.

 
 
Élisabeth Vallet a analysé le discours de Dominique de Villepin à l’ONU en 2003

La chargée de cours Élisabeth Vallet a analysé le discours prononcé par Dominique de Villepin à l’ONU le 14 février 2003 sur l’alternative à la guerre en Irak, à l’émission Plus on est de fous, plus on lit!, à l’antenne de Radio-Canada.

 
 
Monde syndical
 
 
À l’agenda syndical et social
 
 
Lettre de l’ADEESE aux directions de programmes et superviseur.e.s de stage

L’Association des étudiantes et étudiants de la Faculté des sciences de l’éducation de l’UQAM (ADEESE) a adopté deux journées de grève (20 février 2018, 8 mars 2018) lors de la rencontre de l’Assemblée générale du 29 janvier 2018, auxquelles se sont ajoutées deux journées de grève supplémentaires (20 mars 2018, 22 mars 2018) lors de l’assemblée générale du 21 février 2018 afin d’exiger une rémunération pour l’ensemble des stagiaires. Lorsque les activités de formation offertes par la faculté sont interrompues en raison d’une grève étudiante, les heures de formation manquées ne sont pas reprises. Ainsi, les 121 cours qui n’ont pas eu lieu le 20 février dernier ne seront pas repris et aucune démarche de la faculté n’a été prise en ce sens. C’est autant de cours qui seront annulés lors des journées de grève des 8 mars, 20 mars et 22 mars 2018. Conséquemment, rien ne justifie qu’il en soit autrement pour les activités de formation pratique.

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Négociation du SPUQO : un arbitre impartial doit trancher

À la demande du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais (SPUQO), le conciliateur a convoqué les parties à une 42e rencontre de négociation, qui a eu lieu mercredi. «Le comité de négociation entretenait des espoirs de convenir, enfin, d’une entente de principe: or, nous avons été déçus. Il était toutefois nécessaire de tenir cette rencontre afin de vérifier la teneur des propos du recteur dans son communiqué du 16 février 2018 selon lesquels la demande d’arbitrage et le vote de grève de l’assemblée générale mettaient fin au processus de négociation et de conciliation entre l’UQO et le Syndicat des professeurs, de préciser Louise Briand, présidente du SPUQO. Dit autrement, nous avions le devoir de donner une ultime chance à la partie patronale de reconsidérer notre proposition de règlement du 6 février avant de conclure définitivement qu’une entente sur les clauses restantes était impossible. Bref, la rencontre s’est malheureusement soldée par un échec.»

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La convention collective des chargées et chargés de cours de l’UQO est signée

Le 26 février 2018 a eu lieu la signature officielle de la convention collective des chargées et chargés de cours de l’UQO. L’entente de principe étant survenue le 27 janvier, les deux parties ont été d’une très grande efficacité afin de la faire entérinée par l’Assemblée générale du SCCC-UQO et par le Conseil d’administration de l’Université ainsi que de rédiger le nouveau texte. «Nous sommes heureux du dénouement de cette négociation. Nous pouvons désormais rebâtir des relations de travail solides». Ce nouveau contrat de travail prévoit notamment un processus d’attribution simplifié, une plus grande présence des personnes chargées de cours aux Conseils de module, une plus grande sécurité d’emploi, un meilleur encadrement de l’évaluation des enseignements, une augmentation des budgets d’intégration et de perfectionnement ainsi que des hausses de salaire.

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Enseignement supérieur : pour une vision large de la réussite éducative

La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ–CSN) dénonce une vision réductrice de la réussite éducative véhiculée notamment par la notion de «contrats de réussite». Certaines personnes ont réagi négativement en apprenant que les établissements d’enseignement n’hésitent pas à multiplier les moyens pour aider les cégépiens afin de leur permettre d’obtenir un diplôme. La FNEEQ–CSN défend une vision beaucoup plus large de la réussite éducative qui englobe l’ensemble du développement de la personne. Elle n’est pas reliée uniquement à l’obtention d’un diplôme, mais contribue à former des citoyennes et des citoyens. La relation maître-élève, les troubles d’apprentissage, la motivation scolaire ou des conditions socioéconomiques difficiles sont quelques-uns des éléments qui peuvent avoir un impact significatif sur le parcours scolaire. La réussite éducative est beaucoup plus large et plus complexe que ne le démontrent les données statistiques colligées inégalement par les établissements d’enseignement.

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Livre de Sébastien Proulx : une réflexion électoraliste, déplore la FSE-CSQ

La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE‑CSQ) déplore les propos tenus par le ministre Sébastien Proulx dans le livre qu’il a lancé mardi. Selon la présidente de la FSE-CSQ, Josée Scalabrini, sa courte réflexion complétée durant le temps des Fêtes, sans la contribution du personnel enseignant, n’a clairement pas été suffisante et passe à côté de l’essentiel. Pour la FSE-CSQ, valoriser la profession enseignante et les enseignantes et enseignants, ça commence par les écouter, leur donner de meilleures conditions d’enseignement, de meilleurs salaires, des classes équilibrées et une tâche moins lourde, en respectant leur jugement professionnel et leur autonomie. Plusieurs idées énoncées par le ministre font preuve d’une grande méconnaissance de ce qui se passe réellement sur le terrain.

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Les profs veulent parler salaire avec le ministre Proulx.
Transition scolaire : Le succès repose sur la coordination, selon la CSQ.

 
 
Modifications aux exigences des programmes : une décision lourde de conséquences

La situation des élèves à risque ou handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage (EHDAA) constitue un enjeu prioritaire pour la Fédération autonome de l’enseignement (FAE). Depuis 2011-2012, le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES) a instauré la possibilité, dans le régime pédagogique, de modifier les exigences des programmes pour ces élèves. Ce changement inquiète profondément les enseignantes et enseignants, en raison des dérives et des conséquences importantes qu’il entraîne. La FAE dénonce cette manière de faire puisque modifier les exigences des programmes, c’est donner une illusion de réussite aux élèves visés et à leurs parents, peut-on lire sur le site de la FAE.

 
 
Budget fédéral : Trop d’enjeux en suspens malgré certaines avancées sociales

Bien que la CSN salue certaines mesures du budget fédéral 2018, comme le retrait du système de paye Phénix ou l’équité salariale, elle reste sur sa faim concernant de nombreux autres aspects, notamment en ce qui a trait à la lutte aux paradis fiscaux et le soutien à l’industrie médiatique, les mesures annoncées par le gouvernement Trudeau dans son budget représentent un pas dans la bonne direction, mais une déception quant à l’ampleur des mesures. Engagée dans une importante campagne pour soutenir les salarié-es du chantier naval Davie, qui a été laissé de côté depuis de nombreuses années par le gouvernement fédéral, la CSN déplore qu’aucune somme n’ait été réservée à l’octroi de contrats de brise-glace ou pour d’autres projets.

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Trou noir des prestations d’assurance-emploi : des mesures insuffisantes.
FTQ : Des revendications syndicales entendues : égalité hommes-femmes et gâchis du système de paye Phénix.
La CSQ est déçue du refus d’assurer une équité fiscale dans le secteur du commerce numérique.
SCFP : «On soigne les symptômes sans guérir la maladie»
Signaux positifs pour l’équité salariale mais trop de travailleurs abandonnés.
FQPPU : De bonnes nouvelles pour la science, mais un bilan mitigé en matière de justice fiscale et de transparence.
Investissements importants dans la recherche fondamentale.
AIM : Le Budget fédéral rate la cible.
FRAPRU : Déception sur le refus d’accélérer les investissements prévus dans le logement social.
RAPSIM : Itinérance et logement social, des engagements manquants.
RQOH : Des priorités contestables en matière de logement.
IRIS : Une autre année sur le neutre.

 
 
Les sages-femmes sur les talons de Gaétan Barrette

Devant l’offre globale inacceptable qui leur a été faite par le gouvernement, des sages-femmes de la région de Gatineau, soutenues par des travailleuses en grève des centres de la petite enfance (CPE), étaient présentes lors d’un point de presse donné mardi par le ministre Barrette sur les soins de santé offerts en obstétrique dans la région de l’Outaouais. Elles en ont ajouté une couche puisque le matin, elles ont profité du fait que leurs porte-parole négociaient à Québec avec les représentants du ministère de la Santé et des Services sociaux pour tenir une action devant les bureaux où se déroulait ladite négociation. Rappelons que la garde constitue le pilier de la pratique des sages-femmes, puisqu’elle permet d’assurer la continuité des soins durant toute la grossesse, l’accouchement et le suivi postnatal. À l’heure actuelle, les sages-femmes sont payées moins de 2$ l’heure de garde effectuée.

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Sondage auprès du personnel de la santé de Laval : 72 % sont inquiets pour la qualité des soins aux patients.
«Couillard et Barrette doivent entendre le cri du personnel de la santé».

 
 
Les salarié-es de Transco Montréal adoptent un nouveau mandat de grève à 85%

Les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Transco–CSN (STTT–CSN) ont adopté un nouveau mandat de grève à 85%, par voie de scrutin secret, mercredi. «Encore une fois, la démocratie syndicale a parlé. Après avoir rejeté l’entente de principe à 83% le 12 février dernier parce qu’elle ne répondait pas à leurs attentes, les membres de notre syndicat ont décidé d’adopter un troisième mandat de grève en autant de mois. Alors que l’employeur a lancé des menaces de pertes de circuits et de pertes d’emplois, ils ont même ouvert la porte à la grève générale illimitée, à exercer au moment jugé opportun, de préciser Carole Laplante, présidente du STTT–CSN. Je ne suis pas plus heureuse que nos membres d’avoir à me battre pour obtenir un salaire décent. Mais nous avons décidé de nous tenir debout même si nous savons que notre journée de grève d’aujourd’hui et qu’un éventuel conflit touche des milliers d’élèves que nous connaissons par leur nom et dont nous prenons soin tous les jours d’école.»

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Fermeture de GE Power : la CSN rencontre Dominique Anglade

Divers représentants de la CSN dont le président, Jacques Létourneau, ont rencontré Dominique Anglade, vice-première ministre et ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation, mardi, pour sauver l’entreprise GE Power à La Prairie. «Nous sommes heureux de cette rencontre durant laquelle nous avons partagé nos préoccupations avec madame Anglade. Bien au fait de la fermeture de notre usine prévue le 1er juillet prochain, elle a reconnu la responsabilité du gouvernement, particulièrement lorsqu’une société d’État aussi importante qu’Hydro-Québec demeure le principal client de GE Power à La Prairie, de souligner Hugues Rolland, président du Syndicat national des travailleurs en accessoires électriques (CSN) (SNTAE). Alors que GE refuse toujours de nous recevoir, nous attendons une rencontre imminente avec Hydro-Québec.»

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Les salariés de l’usine Kruger de Lennoxville sont à bout de souffle.
Entente de principe à la MRC Maskinongé.
Signature de la convention des employés de l’aréna de Mascouche.
Accident ayant causé la mort d’un travailleur du ministère des Transports.
Allocations de dépenses : Les élus de Granby refilent le paiement de leurs impôts à la population.

 
 
Kenya : défaite en justice pour Bridge Academies

La Cour suprême du Kenya à Nairobi a débouté une plainte déposée par Bridge Academies à l’encontre du syndicat de l’enseignement KNUT et de son président Wilson Sossion, au motif de défendre l’éducation de qualité. Le prestataire de services éducatifs payants Bridge Academies a perdu un procès face à l’affilié kenyan de l’Internationale de l’éducation (IE), le Kenya National Union of Teachers (KNUT), et son président Wilson Sossion. Selon Bridge, le KNUT se serait livré à des pratiques diffamatoires à son encontre et Sossion aurait agi dans l’intérêt de l’IE, des arguments jugés irrecevables par le juge en chef de la Cour suprême, Richard Mwongo.

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Pérou : l’enseignement privé «à bas coût» examiné en détail.
Burkina Faso : les syndicats d’enseignants unis signent un protocole d’accord.

 
 
Monde de l’éducation
 
 
Création d’une Chaire UNESCO en prévention de la radicalisation au Québec

Trois universités québécoises unissent leur expertise pour créer la toute première Chaire UNESCO du monde en prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violents. Cette nouvelle chaire d’études a été lancée vendredi à l’Université de Sherbrooke, de concert avec l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et l’Université Concordia. La professeure de l’UQAM Ghayda Hassan, cotitulaire de la chaire, soutient que les chercheurs souhaitent demeurer «très concrets» dans leurs actions. Ils veulent mettre sur pied des programmes innovants en recherche-action, et offrir des formations et des ressources à l’intention des intervenants qui travaillent sur le terrain, en particulier dans les milieux des services sociaux, scolaires et communautaires.

Lire la suite du texte de La Presse canadienne.

 
 
Innovation à l’UdeM pour empêcher les étudiants de déprimer

L'Université de Montréal met désormais à la disposition de ses étudiants des lampes de luminothérapie afin de tenter de combattre la dépression saisonnière. Le manque d’énergie, les troubles du sommeil et les gains de poids sont les principaux symptômes ressentis par ceux qui souffrent de ce syndrome saisonnier. «Les universités se sont longtemps préoccupées de la santé physique des universitaires, mais avec ce projet de luminothérapie, on s’occupe de la santé mentale aussi», a affirmé Pier-Luc Turcotte, ergothérapeute et étudiant au doctorat en santé communautaire.

Lire la suite du texte du Journal de Montréal.

 
 
Nouveau campus MIL : un campus «vert» au cœur de la ville

En bâtissant son nouveau campus MIL sur les friches de l’ancienne gare de triage d’Outremont, l’Université de Montréal fait bien plus qu’agrandir ses installations pour répondre à ses besoins d’espace actuels et futurs. Elle s’est lancée dans une fascinante aventure de restauration d’un site clé de la trame urbaine montréalaise, dont l’aménagement vise à répondre aux critères du développement durable, tant dans la construction des bâtiments que dans la création d’un nouvel espace urbain.

Lire la suite du texte du Devoir.

 
 
Le système juridique québécois, une inspiration pour les juges chinois grâce à l’UdeM

Le Québec fait avancer les droits de la personne en Chine, en offrant une formation à des juges chinois. L’Université de Montréal offre aux juges chinois de venir étudier les fondements du droit québécois, c’est-à-dire la combinaison de common law et de droit civil, et l’administration de la justice. La formation des juges a ainsi permis de rendre les tribunaux en Chine plus transparents. Le Québec est un «superbe laboratoire», a affirmé d’emblée le vice-recteur aux affaires internationales de l’Université de Montréal, Guy Lefebvre. L’établissement entretient des liens avec la Chine, un pays de tradition civiliste, depuis 20 ans, et est partenaire d’une cinquantaine d’universités chinoises.

Lire la suite du texte de La Presse canadienne.

 
 
Armes à feu : Bishop’s lance un appel aux étudiants américains sanctionnés
ArmesFeu

Dans la foulée de la fusillade meurtrière en Floride, le principal de l’Université Bishop’s, Michael Goldbloom, lance un appel aux étudiants américains qui pourraient être sanctionnés pour avoir manifesté pacifiquement. Bishop’s emboîte ainsi le pas à plusieurs institutions américaines au sein du mouvement #neveragain.

Lire la suite du texte de La Tribune.

 
 
Dix ans après leur création, les cours en ligne ouverts sont plus nombreux que jamais et continuent d’évoluer

En 2008, Stephen Downes et George Siemens, professeurs à l’Université du Manitoba, ont donné un cours sur la théorie de l’apprentissage qui a été suivi en classe par environ 25 étudiants payants et en ligne par 2 300 étudiants non payants. Dave Cormier, leur collègue de l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard, a qualifié l’expérience de «massive open online course», ou « MOOC » (cours en ligne ouvert à tous, ou CLOT). Depuis, le CLOT a connu des hauts et des bas. Après un fort engouement (en 2012, un article du New York Times avait proclamé «l’année du CLOT»), il a disparu du paysage (en 2017, le blogue Inside Higher Ed l’a déclaré mort). Or, 10 ans après sa création, ce mode d’apprentissage est encore bien vivant.

Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.

 
 
Le cégep est un droit, mais pas le diplôme

«Le cégep, c'est un droit», lance Bernard Tremblay, président de la Fédération des cégeps du Québec. «Ceux qui avaient de la misère au primaire et au secondaire sont nombreux à poursuivre leurs études au cégep. Et la Charte des droits ne protège pas seulement les jeunes de moins de 16 ans.» Bernard Tremblay plaide donc pour que les cégeps, qui accueillent de plus en plus d'élèves ayant des difficultés d'apprentissage ou des handicaps, aient droit à de plus généreuses subventions, comme en bénéficient, fait-il remarquer, les élèves du primaire et du secondaire. Cela ne signifie pas pour autant que ces cégépiens soient immunisés contre toute suspension ou expulsion et que l'obtention du diplôme soit un droit, comme l'a appris un jeune Beauceron il y a quelques semaines. Dans les faits, si ses handicaps lui garantissaient des accommodements, ils ne pouvaient lui garantir un diplôme.

Lire la suite du texte de La Presse.

Aux cégeps de l'échec.

 
 
Recherche médicale : médecins ou panneaux-réclames?

Le mystère plane au sujet des médecins-chercheurs québécois qui empochent des dizaines de milliers de dollars grâce aux compagnies pharmaceutiques. Qui sont-ils, combien sont-ils et combien gagnent-ils? Impossible de le savoir. Un manque de transparence inacceptable pour de nombreux professeurs inquiets de cette symbiose.

Lire la suite du texte de La Presse.

Recherche médicale : «un conflit d'intérêts financier flagrant».

 
 
Monde social
 
 
Entretien sur la démarche de la CORPS féministe

Produit par Florence B. Lepage et Audrey Gosselin Pellerin, en collaboration avec CKUT 90,3 FM, ce balado donne accès à un entretien avec Nesrine Bessaih et Lorraine Fontaine de la Collective pour un ouvrage de référence participatif sur la santé des femmes (CORPS féministe) qui travaille à l’adaptation en français d’une partie d'Our Bodies, Ourselves, un processus auquel la Table des groupes de femmes de Montréal collabore.

 
 
Lutte contre les paradis fiscaux : une délégation québécoise a rencontré le cabinet de la ministre du Revenu national

Une délégation québécoise menée par le comédien Vincent Graton a rencontré samedi le cabinet de la ministre du Revenu national, Mme Diane Lebouthillier, et des représentants de l’Agence de revenu du Canada (ARC) pour leur faire part de ses vives préoccupations face aux mesures insuffisantes prises par le gouvernement fédéral afin de contrer le recours aux paradis fiscaux. La délégation présentera également aux représentants du cabinet et de l’ARC diverses pistes de solution qui devraient être mises en œuvre. «Après avoir interpellé plusieurs fois le premier ministre Trudeau, le cabinet de la ministre du Revenu national m’a finalement accordé une rencontre. L’indignation populaire ne fait plus de doute. La population demande clairement au gouvernement fédéral de mettre en place des solutions plus efficaces et ambitieuses pour s’attaquer aux paradis fiscaux et c’est le message que nous sommes allés porter aux représentants de la ministre», explique Vincent Graton.

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Mettre fin à la gloutonnerie des médecins

Le Devoir a publié mardi une lettre du directeur général de l’IREC, Robert Laplante, sur le problème de la rémunération des médecins québécois. Selon lui, la question devra être au centre des élections de cet automne. «La politique provinciale est tout entière conditionnée par la confiscation des ressources publiques menées par des organisations bénéficiant de la complicité et de la connivence d’un tandem de docteurs et qui sont parvenues, d’un commun dessein, à se goinfrer dans l’assiette au beurre. Et à le faire sur le dos des infirmières et du personnel auxiliaire, au détriment de la qualité et de la pérennité des services publics, au mépris de la qualité des soins et de la prise en charge décente des défis de société que nous pose le vieillissement de la population.»

 
 
Cannabis : l’État contre le marché noir

Récemment nous avons appris que six producteurs de cannabis ont conclu une entente avec la Société québécoise du cannabis (SQC), la filiale qui aura la tâche de distribuer la marijuana pour la SAQ. Cette production est évaluée à environ 62 000 kg de cannabis annuellement. Même s’il s’agira de «la plus grande vente mondiale de cannabis légal» jamais réalisée dans le monde, s’interroger à savoir si c’est suffisant nous apparait justifié. L’an dernier nous avons réalisé une étude qui se basait sur les données officielles du Colorado et qui estimait le marché du cannabis récréatif légal québécois à 1,33 G$ (p.16). Selon les données recueillies par Statistique Canada, cette estimation semble se confirmer.

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