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Pour une université réellement accessible
Cette semaine avait lieu la semaine québécoise des personnes handicapées. Au Québec, environ 287 000 personnes en situation de handicap sont aptes au travail et tentent de pouvoir intégrer le marché malgré les obstacles qui sont nombreux pour leur intégration et font en sorte qu’ils ont un taux d’emploi de près de la moitié de celui des personnes sans incapacité. Au cours des derniers mois, l’UQAM a procédé à de nombreuses consultations par rapport à la pédagogie inclusive, notamment pour trouver des solutions afin de permettre à des étudiantes et étudiants de tous les horizons de pouvoir intégrer avec succès le milieu universitaire. Si une telle initiative doit être saluée et démontre un réel engagement, force est de constater qu’il reste malheureusement encore beaucoup de chemin à faire pour ce qui est de l’intégration des personnes en situation de handicap chez les employé-e-s de l’Université. S’il peut être difficile pour un employeur de pallier aux défis d’intégration de tels employ-é-e-s, leur apport est pourtant inestimable dans un milieu de travail et des solutions innovantes existent pour le permettre. L’UQAM, qui s’est bâtie sur des valeurs d’accessibilité universelle, d’ouverture et d’audace (comme nous le rappelle le slogan de son 50e!), devrait justement se donner comme objectif anniversaire de devenir un exemple et une inspiration en matière d’intégration des personnes en situation de handicap.
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Mot de votre présidente : Remise des bourses du SPPEUQAM
Au cours des dernières semaines avaient lieu les remises des bourses du Fonds des chargés de cours de la Fondation de l’UQAM lors de cérémonies auxquelles des membres du Syndicat ont été fières et fiers de venir souligner l’excellence et l’engagement des étudiantes et étudiants récipiendaires. Je tiens à remercier membres du SPPEUQAM qui ont, par leurs généreuses donations au Fonds des chargés de cours, permis de récompenser des efforts de nos meilleurs étudiantes et étudiants en reconnaissance de l’excellence de leurs résultats académiques. Les bourses du Fonds des chargés de cours octroyées par la Fondation de l’UQAM de cette année vont aux étudiantes et étudiants suivant-e-s : - Anouck Beaucage, Faculté des arts : 1300$ ;
- Samuel Lesage, Faculté de science politique et de droit : 1300$ ;
- Sandra Doyon, École des sciences de la gestion : 1300$ ;
- Caroline Mimeault, Faculté de communication : 1300$ ;
- Gabriel Harrison–Hunter, Faculté des sciences : 1300$ ;
- Amélie Faubert, Faculté de sciences humaines : 1300$.
- La Bourse SPPEUQAM (SCCUQ) - Laurie-Girouard de 2500$ a été quant à elle décernée à Julie Charrette en reconnaissance de l’excellence de son engagement communautaire.
- La Bourse SPPEUQAM (SCCUQ) - Christiane-Malet de 1500$ a été remise à Charlène Forget qui maintient son inscription à temps complet à l’UQAM en faisant un stage à l’étranger.
Les bourses octroyées permettent non seulement de reconnaître l’excellence des étudiantes et étudiants que nous formons à tous les jours dans le cadre de nos cours, mais leur travail et leurs accomplissements exceptionnels se reflètent avantageusement sur l’ensemble des membres de notre Syndicat. Merci à nos étudiantes et à nos étudiants et bonne continuation!
Yvette Podkhlebnik, Présidente du SPPEUQAM
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Étude des projets d’intégration repoussée
L'étude des projets d'intégration par le Comité de liaison institutionnel a été repoussée au 25 juin. Plus de 160 projets ont été déposés. Les membres ayant soumis une demande devraient donc recevoir les réponses officielles dans le courant de la première semaine de juillet.
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RAPPEL : Dates d’affichages sur ACCENT pour le trimestre d’automne 2019
Les dates d’affichages sur ACCENT pour le trimestre d’automne 2019 sont les suivantes : - Disponibilités des affichages sur ACCENT : 10 juin 2019
- Période pour enregistrer les candidatures sur ACCENT : du 10 juin au 19 juin 2019
- Période de réponse à la proposition des cours attribués par ACCENT : du 28 juin 2019 au 4 juillet 2019
N’oubliez pas de notes ces dates à votre agenda pour pouvoir appliquer sur les cours désirés.
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INVITATION : Barbecue annuel et dernière assemblée générale avant l’été
Vous êtes cordialement invité-e-s à venir célébrer le début de la saison estivale avec vos collègues autour d’un barbecue convivial qui se déroulera dans la cour intérieure du Pavillon Aquin le 17 juin 2019 de 12h à 14h (au Département bar et bouffe en cas de pluie). Cette célébration sera suivie de notre dernière assemblée générale avant l’été. Merci de confirmer votre présence avant le 14 juin 2019. En espérant vous y voir nombreuses, nombreux et l’esprit à la fête!
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Monde social et de l'éducation
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L’UQO ne souhaite pas honorer la mémoire de Donalda Charron
Le Comité de toponymie de l’UQO, composé de cinq hommes et d’une femme, a décidé de ne pas retenir la demande du SCCC-UQO d’honorer la mémoire de Donalda Charron en désignant un lieu. Donalda Charron est la première femme présidente d’un syndicat au Québec. Il y a cent ans cette année, les Allumettières déclenchaient une première grève qui allait marquer l’histoire de la région. Rappelons qu’une des revendications des Allumettières étaient l’absence d’hommes contremaîtres à l’intérieur de l’usine E. B. Eddy de Hull, où travaillaient uniquement des femmes, afin d’éviter des agressions sexuelles. Il est ironique que la décision de l’UQO soit prise trois mois avant la mise en place de sa politique de lutte contre les violences sexuelles! Le SCCC-UQO continue d’affirmer que Donalda Charron est un modèle pour notre communauté universitaire et déplore le peu de sensibilité du boy’s club à la tête de notre Université. Le SCCC-UQO déplore enfin que le Comité de toponymie de l’UQO ne compte aucune personne étudiante, employée de soutien, professionnelle ou chargée de cours. La mémoire de l’UQO semble être l’affaire de la direction. Pour voir ce texte sur le site du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université du Québec en Outaouais, cliquez ici. Pour lire leur article intitulé Donalda Charron, un modèle pour l’UQO, cliquez ici.
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Le conflit à la TÉLUQ - Les partis d’opposition aux côtés des tutrices et des tuteurs
Inquiète de l’avenir de l’Université Téluq, la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) apprécie le soutien exprimé par deux des porte-paroles en matière d’enseignement supérieur des partis de l’opposition. Marwah Rizqy, députée libérale dans Saint-Laurent et Gabriel Nadeau-Dubois, député de Québec Solidaire dans Gouin unissent leur voix à celles des représentant.es des syndicats composés de chargés.es de cours pour questionner le gouvernement sur le conflit qui oppose l’université à ses tutrices et ses tuteurs depuis deux ans. En négociation depuis plus de 21 mois, la situation à l’Université Téluq s’est envenimée en raison de l’entêtement de la direction à se débarrasser de ses tutrices et tuteurs d’expérience compromettant ainsi la qualité de l’encadrement. À la suite de nouvelles exigences patronales, forçant les membres du syndicat à déclencher la grève générale illimitée le 28 janvier 2019, des milliers d’étudiantes et d’étudiants se sont trouvés privés du soutien nécessaire à la réussite de leurs cours. Les inscriptions pour cet été ont fondu de 60 % jetant une ombre menaçante sur l’avenir de l’université. « La Téluq est la porte d’entrée de l’enseignement supérieur pour bon nombre d’étudiantes et d’étudiants de première génération. Son modèle favorise la conciliation travail, études et vie personnelle. Malheureusement, l’entêtement de la direction à sabrer l’encadrement laisse planer un sérieux doute sur le maintien de la qualité des diplômes provenant de cette université », souligne Richard Bousquet, vice-président et responsable du regroupement université de la FNEEQ-CSN. Pour la FNEEQ-CSN, la question est d’autant plus préoccupante que rien n’a filtré de l’enquête approfondie demandée par l’ex-ministre Hélène David à l’été 2018. L’Université Téluq poursuit toujours sa restructuration dont l’essentiel consiste à fragmenter la tâche jusqu’ici dévolue aux tutrices et aux tuteurs et à en transférer une bonne partie à un autre groupe d’enseignants contractuels et embauchés à cette fin. La situation préoccupe l’ensemble des chargé.es de cours du Québec qui y voient un modèle de formation à distance qui pourrait aussi les affecter s’il était exporté aux autres universités. Pour voir la conférence de presse à Québec, cliquez ici.
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Des étudiants menacent de bouder les pollueurs
À bon entendeur : les étudiants universitaires disposent d’un pouvoir énorme, celui de choisir l’entreprise où ils travailleront. Grâce à ce levier, ils peuvent rompre l’inertie des sociétés privées qui n’agissent pas en adéquation avec la gravité de la crise climatique, croit Corentin Bisot, un étudiant français qui a lancé un manifeste sur ce thème l’automne dernier et qui était de passage à Montréal ces jours-ci. Dans le Manifeste étudiant pour un réveil écologique, signé jusqu’à maintenant par 27 819 étudiants inscrits à plus de 300 établissements d’enseignement supérieur en France, les rédacteurs expriment leur détermination à changer un système économique en lequel ils ne croient plus. « Face à l’ampleur du défi, nous avons conscience que les engagements individuels, bien que louables, ne suffiront pas, peut-on lire dans le texte. En effet, à quoi cela rime-t-il de se déplacer à vélo, quand on travaille par ailleurs pour une entreprise dont l’activité contribue à l’accélération du changement climatique ou de l’épuisement des ressources ? » « Est-ce que, en donnant son énergie de 9 h à 17 h tous les jours, on travaille vraiment dans son propre intérêt — même si on touche un salaire à la fin — en sachant qu’à long terme, on est peut-être en train de se tirer une balle dans le pied ? » demande Corentin Bisot en entrevue avec Le Devoir. Cet étudiant de troisième année à la très sélecte École polytechnique, l’une des écoles d’ingénierie les plus reconnues de France, effectue présentement un stage à l’Université Cornell, dans l’État de New York. En visite à Montréal, il donnait lundi soir une présentation à L’Esplanade, un espace collaboratif voué à l’entrepreneuriat et à l’innovation sociale, pour raconter son expérience à ceux qui voudraient la reproduire au Québec. Pour lire le reste de cet article dans Le Devoir, cliquez ici.
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Lever les barrières pour les travailleurs en situation de handicap
Depuis plusieurs années, les employeurs de toutes les régions du Québec sont aux prises avec un enjeu important de rareté de main-d’oeuvre et cherchent des solutions. Une des façons de remédier à cette situation est d’avoir recours à des bassins de population pour qui l’accès à l’emploi peut être parsemé d’obstacles, mais qui représentent un potentiel extraordinaire. Dans le cadre de la semaine québécoise des personnes handicapées (qui se tient du 1er au 7 juin), rappelons qu’il y a environ 287 000 personnes en situation de handicap et aptes au travail, vivant au Québec. Il s’agit de personnes possédant les compétences et les ambitions nécessaires afin d’intégrer le marché du travail, mais qui se heurtent souvent à des difficultés d’intégration. Cette situation se traduit par un taux d’emploi de près de la moitié de celui des personnes sans incapacité. Il est vrai que l’embauche de personnes en situation de handicap peut également représenter un défi pour les employeurs. Pourtant, certains d’entre eux ont décidé de mettre en oeuvre des solutions pour les intégrer dans leur milieu de travail et ont pu constater une plus-value remarquable. De manière générale, ils bénéficient de l’apport de personnes compétentes et engagées, qui s’investissent au travail et qui changent moins d’emploi. Le tout a un impact positif sur le climat et la culture organisationnelle, de même que sur la productivité. Non seulement l’objectif économique est mieux servi, mais, en outre, les personnes en situation de handicap pourront avoir une possibilité de plus de se réaliser avec fierté. Pour lire le reste de cet article dans Le Devoir, cliquez ici.
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Les travailleurs de Velan Montréal s'affichent publiquement pour dénoncer la délocalisation de 195 emplois vers l’Asie
Les travailleurs de l’usine montréalaise Velan, fleuron de l’économie québécoise et chef de file international en matière de robinetterie industrielle, ont tenu une action symbolique au cours de l’avant-midi du 5 juin 2019 pour dénoncer la délocalisation des opérations de l’entreprise vers l’Asie, qui entraînera l’abolition de 195 emplois d’ici 2021. Lors de cette activité, les employés ont tapissé la pelouse entourant les lieux de travail de pancartes intitulées « Le vrai visage de la délocalisation » illustrant une mosaïque des visages des quelque 200 employés qui perdront leur emploi d’ici 18 mois. « Le geste symbolique que nous posons ce matin a pour objectif d’envoyer un message clair à notre employeur : le vrai visage de la délocalisation, c’est la mise à pied de 195 travailleurs, pères de famille pour plusieurs, cumulant en moyenne près de 15 ans d’ancienneté chez Velan. Nous lançons aujourd’hui un cri du cœur pour tenter de sauver ces emplois et les mainten Pour lire la nouvelle de la CSN sur le sujet, cliquez ici.
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Médaille du Patriote reçue par Jean François Payette
Le chargé de cours au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale de l’ESG UQAM Jean-François Payette (B.A. science politique, 2004; M.A. relations internationales, 2006) a reçu la Médaille du Patriote 2019 pour sa contribution à l’avancement du Québec à titre d’auteur, de chercheur et d’enseignant universitaire, en plus de celui de collaborateur du regretté Bernard Landry, qui fut premier ministre et professeur au même département. Ce prix lui a été remis par la Société nationale du Québec à Laval, à l’occasion de la fête des Patriotes, le 20 mai dernier. Ce même jour, la Ville de Laval renommait le Parc des Prairies en l’honneur de Bernard Landry, décédé le 6 novembre 2018. Pour lire l’article d’Actualités UQAM sur le sujet, cliquez ici.
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Accueillir les enfants plurilingues - Colloque et entrevue avec Nancy Allen
Pour les enfants issus de l’immigration, la fréquentation d’un centre de la petite enfance (CPE) ou d’une garderie est souvent l’une des premières expériences d’imprégnation culturelle et linguistique. Les recherches démontrent toutefois que les enfants qui parlent une autre langue que le français ont de la difficulté à faire l’apprentissage de cette nouvelle langue. «Les maternelles quatre ans ciblent en particulier les enfants vulnérables et l’on sait que la non-maîtrise de la langue française est un facteur de vulnérabilité», explique Nancy Allen, chargée de cours au Département de didactique des langues et coresponsable du colloque L’accueil des enfants plurilingues et pluriculturels et de leur famille en éducation à la petite enfance: enjeux et inspirations. Pour lire l’article d’Actualités UQAM sur le sujet, cliquez ici. Pour écouter l’entrevue de Nancy Allen avec Radio-Canada international, cliquez ici.
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La classe du futur avec Jérémie Bisaillon
Une équipe étudiante, formée en design de l’environnement et en éducation, a été mandatée pour réaliser une classe d’apprentissage actif, un espace combinant les nouvelles technologies et les méthodes d’enseignement et d’apprentissage actuelles. Mené par la Faculté des sciences de l'éducation en collaboration avec l'École de design, le projet de recherche-création, lancé dans le cadre du 50e anniversaire de l’UQAM, a pour objectif de repenser la classe de demain. Cette classe universitaire du futur, qui regroupera plusieurs locaux déjà existants, sera aménagée dans le pavillon des Sciences de l’éducation (N). Elle permettra aux enseignants en formation de se familiariser avec la pédagogie active et d’apprendre à évoluer dans un espace où les technologies sont à portée de main et où la mobilité du mobilier permet plusieurs configurations possibles afin de faciliter les apprentissages. De la formation continue pour les professionnels du milieu de l’éducation pourrait y être donnée. Parmi les participant-e-s du projet se trouve le chargé de cours en didactique, Jérémie Bisaillon. Pour lire l’article d’Actualités UQAM sur le sujet, cliquez ici.
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Danse et technologies - Un cours d’été de Julien Blais
Pendant un mois intensif, les étudiants et étudiantes du cours Danse et technologies se sont initiés aux enjeux esthétiques, techniques et pédagogiques soulevés par la rencontre entre la danse et les technologies. Le 23 mai dernier, les quatre équipes formées par le chargé de cours de l’École des médias Julien Blais présentaient les résultats de leurs expérimentations dans quatre lieux aux ambiances totalement différentes. Pour voir les photos de cet évènement sur Actualités UQAM, cliquez ici.
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Le centre-ville de Longueuil protégé des inondations - Analyse d’Ursule Boyer-Villemaire
Avec les inondations qui ont frappé plusieurs municipalités du Québec ce printemps émerge à nouveau la question de l’aménagement du territoire. Doit-on encore construire à proximité des cours d’eau? Y a-t-il lieu de s’inquiéter sur la Rive-Sud? À Longueuil, on se pose entre autres la question si le projet de centre-ville autour de la Place Charles-Le Moyne restera-t-il au sec? Selon les experts, il semble bien que oui. Lorsqu’il est question d’aménagement du territoire dans des zones jugées à risque d’être inondées, les précautions sont de mises, avise la chargée de cours au Département de géographie de l’Université du Québec à Montréal Ursule Boyer-Villemaire. Cette dernière s’est penchée sur l’évolution des risques associés aux changements climatiques. «De plus en plus, c’est le « vivre avec » qui s’avère une situation plus résiliente, décrit-elle. Il faut faire place à l’eau: si elle déborde, il faut qu’elle ne fasse pas trop de dommages et ne tue personne.» Éviter les logements au sous-sol ou au rez-de-chaussée et privilégier par exemple des garages ou des espaces publics, pour lesquels les dommages seraient moindres, en est un exemple. Pour lire le reste de cet article dans Le courrier du sud, cliquez ici.
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