Infolettre du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l'UQAM - 21 mars 2019 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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Réponse au inquiétudes de l'exécutif du SPUQ sur notre changement de nom

Le monde entier est un théâtre, et tous hommes et femmes n’en sont que les acteurs. [1]

En lever de rideau, le nom du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM (SPPEUQAM) a suscité un enthousiasme réel auprès des membres et d’une bonne part de la communauté uqamienne. Cependant, des réserves s’expriment au sein de l’exécutif du SPUQ.

Suite aux deux articles publiés dans le SPUQ-Info de mars 2019 [2], nous tenons à réagir et à exprimer clairement nos intentions quant au changement de nom de notre syndicat.

Selon le SPUQ, notre nouveau nom fonde les prémices d’un conflit de nature shakespearienne. À notre avis, cette apparence de conflit se résume plutôt à une série de quiproquos où, à la fin de la pièce, il y aura eu Beaucoup de bruit pour rien. [3]

Le statut de professeur-e enseignant-e ou de chargé-e d’enseignement à temps plein

Soyons clairs, nous sommes totalement en accord avec le SPUQ lorsqu’il dénonce haut et fort la création d’un statut de chargé d’enseignement ou de professeur enseignant [4] à temps plein.

Ce modèle adopté, entre autres, par le Syndicat des chargées et chargés de cours de l'Université Laval, a été écarté lors de notre AG du 16 mars 2018. Nos membres ne voulaient pas d’un nouveau statut à plein temps qui aurait fragilisé un grand nombre de personnes chargées de cours qui en seraient exclues.

Il ne faut pas se leurrer, il y aura toujours des personnes chargées de cours qui seront appelées à prendre les derniers cours restants advenant la création d’un nouveau statut. Malheureusement, elles seront encore plus précaires dans ces conditions.

Une disparité de traitement existe déjà avec les professeur-e-s du SPUQ, nous ne voulons aucunement en créer une nouvelle au sein de nos membres. Cette situation s’est d’ailleurs produite avec nos collègues tutrices et tuteurs de la TÉLUQ (STTTU) lors l’instauration d’un statut de professeur-e-s sous contrat dédié-e-s presque exclusivement à l’enseignement. Le SPPEUQAM dénonce sur tous les fronts cette usurpation du travail des enseignant-e-s du STTTU, lesquel-le-s sont nombreux et nombreuses à avoir perdu leur gagne-pain.

Lors de l’assemblée générale du 16 mars 2018, nous avons voté pour un modèle de stabilisation équitable pour toutes et tous, qui ne propose en aucun cas de créer un statut d’enseignant-e à temps plein. Selon ce modèle, le mécanisme d’attribution des cours prévu à notre convention collective actuelle resterait en vigueur et chacun-e obtiendrait le nombre de cours lui étant habituellement attribué, et ce, peu importe le nombre.

À l’unanimité [5], les membres ont mandaté le prochain Comité de préparation de la négociation pour conserver ce mécanisme d’attribution lié à notre modèle de stabilisation.

Antérieurement, lors de la négociation pour le renouvellement de la convention collective

2012-2014, nous avons demandé de nous retirer du projet pilote portant sur l’engagement de personnes chargées de cours enseignant à temps plein sur une base annuelle. L’application de ce projet s’est révélée difficile en raison du peu de postes disponibles (10) et de l’impossibilité de l’implanter dans les départements offrants peu de cours.

Nos membres ont un grand souci d’équité, vertu qui découle en grande partie de notre expérience vécue de la précarité, et il est clair que toute idée de séparation par classe d’enseignant-e-s est incompatible avec nos visées.

C’est donc dire que nous n’avons pas d’agenda caché : le choix de notre nom ne dissimule pas l’intention de créer un nouveau statut. Nous allons plus loin dans cette lutte et invitons officiellement le SPUQ à s’unir au SPPEUQAM contre la création d’un statut de professeur-e enseignant-e ou de chargé-e d’enseignement à temps complet.

L’appellation de professeur-e enseignant-e pour le titre d’emploi

Après la démonstration de notre position officielle, résolutions des instances syndicales à l’appui, passons maintenant à l’acte principal, soit le rationnel qui sous-tend notre changement de nom.

Notre volonté est de changer l’appellation de notre emploi pour celle de professeur-e enseignant-e. Il s’agit d’une nouvelle dénomination sans incidence sur notre tâche ou sur notre statut actuel. Mais ce changement est très significatif aux plans symbolique et affectif. Il nous renvoie une image plus positive de nous-mêmes.

Lors du processus décisionnel pour trouver ce nouveau nom, plusieurs suggestions ont été proposées par nos membres. En aucun cas celles-ci ne faisaient référence à des statuts existants ailleurs. Nous nous sommes plutôt attardé-e-s à la signification des termes utilisés de manière à ce qu’ils reflètent adéquatement notre travail.

C’est donc sans surprise que le nom de professeur-e chargé-e d’enseignement, proposé par sept membres du département de linguistique suite à la réalisation d'un travail lexicographique, a été celui qui a trouvé le plus de résonance pour nous.

Par la suite, nous avons décidé, collectivement, de ne plus faire mention du terme « chargé-e », car il renvoyait à notre ancienne appellation qui avait une connotation négative associée à notre précarité.

Le terme professeur-e est employé usuellement pour désigner toute personne spécialisée dans l’enseignement d’une discipline, d’un art, d’une technique. C’est l’appellation qui est utilisée pour les professeur-e-s de CÉGEP qui, soit dit en passant, ne sont pas rémunéré-e-s pour faire de la recherche.

Quant au dénominatif « enseignant-e », il précise simplement la raison d’être principale de notre corps d’emploi, telle que définie par nos tâches. [6]

Des professeur-e-s ici et ailleurs

À l’Université Concordia, les personnes ayant la fonction de chargé-e de cours se nomment professeur-e-s. Dans cette université montréalaise, personne ne craint qu’un jour elles n’obtiennent un statut de professeur-e enseignant-e à temps plein.

Paradoxalement, ce sont souvent des professeur-e-s membres de syndicats de professeur-e-s régulier-ère-s qui obtiennent ce statut dans les universités du monde anglophone et non les personnes chargées de cours. À noter que le dédoublement du titre de professeur-e à l’Université Concordia ne crée aucun conflit au sein des deux syndicats les représentant.

En ce sens, nous sommes en tout point en accord avec la position de l’Association des professeur-e-s de l’Université d’Ottawa (APUO), position partagée par le SPUQ [7]. Cette association s’est prononcée très nettement contre la création de statuts de professeur-e-s-enseignant-e-s. Cependant, elle accepte sans réserve que leurs chargé-e-s de cours se nomment professeur-e-s. Là encore, il n’y a aucun conflit à ce sujet entre les deux syndicats respectifs.

Il est bien évident que les professeur-e-s régulier-ère-s ne seront pas perçu-e-s comme étant exclusivement des professeur-e-s chercheur-e-s en raison de notre nouveau titre d’emploi, car tout le monde au Québec sait qu’un-e professeur-e enseigne. Nos étudiant-e-s à l’UQAM le savent également. C’est peut-être pour cette raison que la plupart des étudiant-e-s nous appellent déjà professeur-e, car pour eux et elles cela va de soi.

Pas de confusion à l’UQAM

Il est sain que ce débat ait lieu entre le SPUQ et le SPPEUQAM. Nous sommes ravi-e-s de constater que la confusion que pourrait créer l’utilisation du terme professeur-e par nos deux syndicats n’est pas un enjeu pour le SPUQ. Cela tient probablement au fait qu’il utilise déjà cette appellation pour le statut de professeur-e-s associé-e-s.

Ceux-ci et celles-ci ne sont pas rémunéré-e-s par l’employeur pour faire de la recherche et n’enseignent pas sous ce statut. Par ailleurs, plusieurs de ces professeur-e-s associé-e-s sont des personnes chargées de cours qui portent ces deux titres.

Nos membres sont régulièrement invité-e-s par les médias pour commenter l’actualité sous le vocable de professeur-e associé-e. Le SPUQ, loin de s’en offusquer, profite du rayonnement de nos spécialistes.

Probablement sait-il comme nous que le terme professeur-e est employé un peu partout à l’international pour nommer les personnes chargées de cours.

Une question de fierté et de reconnaissance

À l’UQAM, la Direction ne s’est pas opposée au changement de nom de notre syndicat, ni non plus signifié son désaccord comme le prétend le SPUQ. La lettre officielle envoyée par l’UQAM au Tribunal administratif du travail expliquait qu’elle ne se positionnait pas face à un éventuel changement de titre d’emploi. Elle réservait ce droit pour plus tard.

La reconnaissance et la valorisation de notre apport à l’Université doivent passer par un titre d’emploi qui nous tienne à cœur, qui rende compte de notre réalité universitaire et qui soit universellement reconnu. [8]

Nous serions de facto la première université francophone au Québec à avoir deux titres d’emploi qui comportent le terme de professeur-e. Il s’agit donc d’une nouvelle occasion pour toute la communauté de continuer cette marche vers l’avant. Osons l’UQAM! [9]

En terminant, nous accueillons avec joie l’offre du SPUQ de fonder un combat commun, avec les chargé-e-s de cours, contre la précarisation du personnel enseignant. [10]

Espérons que, lorsque le rideau et les masques tomberont, ces belles répliques se matérialiseront et que cette collaboration aura été plus qu’un Songe d’une nuit d’été. [11]

Solidairement,

Les membres du Comité exécutif du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l'UQAM


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Références :
[1] "All the world’s a stage, And all the men and women merely players". Citation de la pièce de Shakespeare, Comme il vous plaira (As You Like It).
[2] SPUQ-Info, mars 2019 : spuq.uqam.ca/documents/x_documents/503_spuq-info_309_.pdf
[3] Much Ado About Nothing, comédie de Shakespeare.
[4] Voir SPUQ-Info, mars 2019.
[5] Réf. : sppeuqam.org/retour-sur-lassemblee-generale-du-12-mars-2019/
[6] Tâches définies par notre convention collective et respectant la portée intentionnelle de notre accréditation syndicale.
[7] Voir SPUQ-info, mars 2019
[8] Le titre « chargé-e de cours » n’est pas reconnu à l’international. C’est plutôt le titre de professeur-e qui est commun pour la fonction de chargé-e de cours.
[9] Osons l’UQAM, slogan de Madame Magda Fusaro lors de son allocution pour la course au rectorat.
[10] Voir SPUQ-Info, mars 2019.
[11] A Midsummer Night's Dream, comédie de Shakespeare racontant les mésaventures amoureuses de deux couples dont la vie devient illusion et théâtre sous la manipulation capricieuse d’êtres féériques.
 
 
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SPPEUQAM
 
 
Conseil syndical élargi du 25 mars 2019

Le lundi 25 mars 2019 à 13h aura lieu au local DS-M445 (Pavillon J.-A.-De Sève) un conseil syndical élargi.

À l’ordre du jour, sont prévues des élections pour le Comité d’apprentissage et de la recherche et la présentation des travaux des comités militants (Intégration et EQE).

Un lunch sera servi dès 12h30.

 
 
RAPPEL : Vote pour la candidature au poste de doyen de la Faculté des sciences de l’Éducation

Conformément aux dispositions prévues au Règlement no 3 des procédures de désignation, un comité de sélection en vue de la désignation de la doyenne, du doyen de la Faculté des sciences de l’éducation, dont Madame Danielle Laberge, Vice-rectrice à la Vie académique par intérim, assume la présidence, a été constitué.

Les membres de ce comité ont pris connaissance du dossier de candidature reçu et, après examen, recommandent que la candidature de monsieur Jean Bélanger, professeur au Département d’éducation et formation spécialisées, soit soumise à la consultation.

Vous pouvez consulter la lettre de présentation et le curriculum vitæ du candidat sur le site Internet du Secrétariat des instances, sous l’onglet « Consultations en cours ».

La campagne d’information du candidat s’échelonnera du 11 au 22 mars prochain. Une rencontre publique du candidat avec toute la communauté aura lieu :

  • Le 19 mars 2019, de 12 h 30 à 13 h 30, à la salle N-3785.

Le scrutin se déroulera à compter du 25 mars à 10 h jusqu’au 2 avril 2019 à 15 h, au moyen du système Omnivox. Les instructions pour ce faire seront acheminées ultérieurement aux personnes concernées.

Il est important que les membres du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM fassent entendre leur voix.

Après examen des résultats de la consultation, le Comité de sélection formulera une recommandation au Conseil académique de la faculté qui à son tour en formulera une à la Commission des études du 16 avril 2019. Celle-ci recommandera au Conseil d’administration du 30 avril 2019 la nomination du candidat.

Les personnes qui désirent des renseignements concernant la procédure de désignation peuvent s’adresser à Isabelle Lafrance, directrice intérimaire du Secrétariat des instances.

 
 
Invitations
 
 
INVITATION : Formation sur les programmes de perfectionnement et de mise à jour des connaissances

Une formation sur les programmes de perfectionnement et de mise à jour des connaissances aura lieu le mardi 16 avril à 12h30 au local social du Syndicat (AR-540).

Ces programmes sont l’occasion pour des personnes chargé-e-s de cours d’obtenir des fonds pour :

  • Acquérir de nouvelles connaissances, créditées ou non, afin d’améliorer la qualité de la formation ;
  • Avancer des connaissances dans une perspective d’améliorer la qualité de la formation par la préparation, la production ou la diffusion des connaissances ;
  • Mener des projets liés aux priorités institutionnelles de diplômation ou aux préoccupations pédagogiques de l’enseignement universitaires, aux orientations académiques et à la participation extra-institutionnelle.

Pour assister à cette formation, vous devez vous inscrire en envoyant un message à Laurence Castonguay-Émery à castonguay_emery.laurence@uqam.ca

 
 
INVITATION : Midi-conférence “Expériences numériques en enseignement”

Le développement des outils numériques offre de nombreuses opportunités pédagogiques pour

l’enseignement universitaire. L’intégration du numérique dans l’enseignement représente de nouveaux défis à relever, mais également des opportunités à saisir.

C’est pour discuter de ces enjeux que les personnes chargées de cours de la Faculté des sciences sont invitées à un midi-conférence le mardi 26 mars 2019 de 12h30 à 14h00 au PK-1140, au cours duquel plusieurs intervenants viendront présenter les possibilités offertes ainsi que les ressources mises à votre disposition.

Intervenants :

- Louis-Sébastien Guimond, Vice-recteur aux systèmes d’information

- Jean-François Tremblay, directeur production audiovisuelle et multimédia, serv. audiovisuel, UQAM

- Yves Munn, chargé de projets technopédagogiques, serv. audiovisuel, UQAM

- Philippe R. Flamand, chargé de projets technopédagogiques, serv. audiovisuel, UQAM

- Frédéric Fournier, professeur, département de didactique

Pour la logistique, nous vous demandons de mentionner votre participation à Mme Marie-Ève Vallée en écrivant à vallee.marie-eve@uqam.ca

 
 
INVITATION : Dernières rencontres de consultation sur la pédagogie inclusive

Les deux dernières rencontres de consultation du Comité-conseil permanent sur la pédagogie inclusive sont les suivantes :

26 mars 12h-14h  L’ESG et Sciences politiques et droit

28 mars 12h-14h Communication.

Si vous ne pouvez pas vous présenter à la date indiquée pour votre faculté, joignez-vous à nous à une autre date indiquée ci-haut.

Pour participer à une rencontre, veuillez vous inscrire le plus rapidement possible en écrivant à sccuq@uqam.ca.

Venez avec un lunch et les boissons seront servies.

Lieu des rencontres : Local social du syndicat AR-540

Cette démarche s’inscrit dans le contexte d’élaboration d’une politique de la pédagogie inclusive pour répondre aux besoins des étudiantes et des étudiants en situation de handicap.

La nouvelle politique pourrait avoir un impact important sur les conditions de travail des enseignant-e-s et il est donc important que les membres du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM participent en grand nombre.

Pour plus de détails contactez Yvette Podkhlebnik, vice -président aux affaires universitaires au 3180 pour par courriel podkhlebnik.yvette@uqam.ca


 
 
INVITATION : Formation pour les membres des comités de liaison locaux

Une formation s’adressant aux représentants des chargées et chargés de cours siégeant aux comités de liaison locaux sera donnée le 10 avril, à 12 h 30, au lieu social du Syndicat, local A-R542 (Pavillon Hubert-Aquin).

Cette formation a pour but de vous outiller sur votre rôle de représentation au CLL de votre unité.

Un lunch sera servi.

Vous devez confirmer votre présence avant le 5 avril à castonguay_emery.laurence@uqam.ca


 
 
INVITATION : École de la relève syndicale 2019

Depuis plus de quinze ans, le comité national des jeunes de la CSN organise une formation estivale d’initiation au syndicalisme à l’intention des jeunes syndiqué-es.

L’École de la relève syndicale est d’abord et avant tout destinée aux membres ayant peu ou pas d’expérience syndicale. Elle est donc ouverte à toutes celles et à tous ceux qui n’assument pas encore de fonctions au sein de leur syndicat.

Vous trouverez toute l’information sur cette activité à la fois formatrice et ludique ici : https://www.csn.qc.ca/ecole/

Conditions d'admission

Pour participer à la formation, il faut être âgé de 35 ans et moins.

Le nombre de places disponibles est limité à 25 personnes par session.

Un maximum de deux personnes par syndicat peut participer à chacune des sessions.

Le principe de « premier arrivé, premier inscrit » sera appliqué. Par ailleurs, en cas de désistement de personnes inscrites, une liste d’attente sera constituée pour permettre à d’autres jeunes de participer à l’École de la relève.

Il est à noter qu’une personne qui a déjà suivi la formation ne peut pas s’inscrire à l’École de la relève.