Infolettre du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l'UQAM - 16 mai 2019 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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Des droits qui disparaissent...

Del Marsh, Greg Reed, Jabo Waggoner, Arthur Orr, Greg Albritton, Tim Melson, Tom Butler, Garlan Gudger, Larry Stutts, Sam Givhan, Steve Livingston, Clay Scofield, Andrew Jones, Jim McClendon, Randy Price, Cam Ward, Dan Roberts, Shay Shelnutt, Gerald Allen, Will Barfoot, Jack Williams, Donnie Chesteen, Clyde Chambliss, David Sessions et Chris Elliott.

25 hommes blancs ont décidé mercredi dernier d’enlever aux femmes de l’Alabama le droit à l’avortement (même en cas de viol ou d’inceste) qui leur avait pourtant été reconnu en 1973 sous Roe vs. Wade.

Depuis le début de l’année seulement (et on est juste au mois de mai!), vingt-huit états américains ont introduit plus de 300 règles supplémentaires pour restreindre le droit à l’interruption volontaire de grossesse.

L’arrivée à la Cour suprême de deux magistrats conservateurs nommés par le président Donald Trump, Neil Gorsuch et Brett Kavanaugh (le violeur de femmes), n’est pas étrangère à cette recrudescence des mesures anti-choix.

On ne fait plus juste du surplace chez nos voisins du sud, on recule carrément à coups de décennies…

Pourtant, au Québec, ça fera à peine 30 ans cette année que la Cour suprême du Canada a tranché dans un verdict unanime en faveur du droit des femmes à disposer de leur corps. À l'été 1989, lorsque Chantal Daigle décide de se faire avorter, son ex-conjoint Jean-Guy Tremblay tente de l'en empêcher devant les tribunaux. Le 8 août 1989, la cause se retrouve devant la plus haute instance du pays. Deux heures avant le dévoilement du jugement, on apprend que Chantal Daigle s'est déjà fait avorter... aux États-Unis.

Tous les droits dont nous bénéficions actuellement ont pour la plupart fait l’objet de rudes combats, de sacrifices incalculables et de luttes acharnées… droit d’une femme à disposer de son propre corps, droit au congé de maternité, mais aussi droit de vote, droit à la liberté d’expression, droit d’association, semaines de travail décentes, protection des travailleurs, etc.

Pourtant, si les récents développements en Alabama nous rappellent malheureusement quelque chose, c’est bien que ces droits acquis sont fragiles et peuvent rapidement disparaître à nouveau si nous ne restons pas vigilant-e-s.

 
 
À mettre à votre agenda
 
 
SPPEUQAM
 
 
Mot de votre présidente

La lutte contre le réchauffement climatique est une lutte de tous les jours et à l’échelle mondiale et, compte tenu de son urgence, elle s’inscrit dans un cadre de justice climatique et sociale. Les gouvernements, l’industrie, les organismes non gouvernementaux, les citoyens et les syndicats, doivent faire leur part.

Les délégué-es des syndicats de la FNEEQ réunis en conseil fédéral à Québec en mai 2019 ont adopté une série de recommandations appuyant le mouvement la Planète en grève.

Le SPPEUQAM a décidé de saisir cette occasion pour se doter de son propre Comité militant sur l’Environnement afin d’évaluer ce que nous pouvions faire collectivement, non seulement lors de la journée du 27 septembre, mais tout au long de l’année, pour lutter contre les changements climatiques.

J’encourage donc nos membres, particulièrement celles et ceux qui travaillent sur les questions liées à l’environnement, au développement durable et à la responsabilité sociale, à se joindre à nous le 5 juin prochain pour nous faire bénéficier de leur expertise en la matière afin de trouver des solutions et gestes significatifs à poser ensemble pour notre Planète.

D’ici là, vous pouvez aussi participer au Festival de la décroissance conviviale de Montréal, le 1er juin prochain, un évènement co-organisé par Emmanuelle Caccamo, l’une des nos membres.

Solidairement,

Yvette Podkhlebnik,

Présidente du SPPEUQAM

 
 
DERNIER RAPPEL : Assemblée générale du 22 mai 2019

Le 22 mai 2019 à 13h au N-M510 aura lieu notre prochaine assemblée générale. En plus de quelques nouvelles par rapport à divers dossiers courants, cette assemblée sera aussi l’occasion d’élire des candidates et des candidats à plusieurs postes à pourvoir au sein de différents comités, notamment le comité exécutif.

Un lunch sera servi dès 12h30 et un 5 à 7 suivra l’assemblée afin de souhaiter la bienvenue aux nouvelles et nouveaux élu-e-s.

Au plaisir de vous voir aussi nombreuses et nombreux qu’à notre dernière assemblée!

 
 
Création d’un comité militant sur l’Environnement - Première rencontre de discussion

Il a été décidé par le comité exécutif de mettre sur pieds un comité militant sur l’Environnement en réponse aux préoccupations exprimées par les membres et suite aux recommandations adoptées en matière d’environnement lors du conseil fédéral de la FNEEQ.

En plus de réfléchir à des actions qui pourraient être posées par le Syndicat et ses membres pour contribuer à la lutte aux changements climatiques, ce comité organisera aussi les activités de la Semaine de lutte aux changements climatiques du SPPEUQAM qui aura lieu en marge de la journée d’action La planète en grève du 27 septembre 2019.

Pour les personnes qui souhaiteraient s’impliquer ou simplement à partager leurs idées, une première rencontre de discussion aura lieu le 5 juin 2019 de 12h30 à 14h00 au lieu social du Syndicat.

Vous devez vous inscrire à cette activité en communiquant avec Flore Tanguay-Hébert.

Un lunch sera servi.

Pour voir la page Facebook de l'évènement, cliquez ici.

 
 
INVITATION : Festival de la décroissance conviviale de Montréal

Le 1er juin prochain, à l'occasion de la Journée internationale de la décroissance, aura lieu la deuxième édition du Festival de la décroissance conviviale de Montréal (6700, Durocher, Montréal). L’événement est organisé par le Collectif décroissance conviviale de Montréal.

Au programme : de nombreuses conférences sur l’économie post-croissance, la politique, l’écologie, le féminisme et également sur les actions concrètes menées dans les écovillages et dans le secteur des transports ; des cercles de discussion, notamment sur la justice sociale et sur les enjeux de gentrification reliés au site où se déroulera le festival ; des kiosques et des ateliers sur le tourisme à vélo, la démocratie directe, les ruches urbaines, la réparation conviviale, les basses technologies, les logiciels libres (et plus encore) ainsi qu’un spectacle de Fred Dubé.

Cet évènement est co-organisé par Emmanuelle Caccamo, chargée de cours à l’École des médias.

Pour voir la page Facebook de l’évènement, cliquez ici.

Pour voir le programme complet de l’évènement, cliquez ici.

 
 
RAPPEL : Dépôt des demandes de perfectionnement court

La date limite pour le dépôt des demandes de perfectionnement court à l’attention de Madame Francine Bédard est le 7 juin 2019. Pour en savoir plus sur les bourses de perfectionnement de courte durée, rendez-vous sur la page correspondante sur le site du Syndicat en cliquant ici.

 
 
RAPPEL : Dates d’affichages sur ACCENT pour le trimestre d’automne 2019

Les dates d’affichages sur ACCENT pour le trimestre d’automne 2019 sont les suivantes:

  • Disponibilités des affichages sur ACCENT : 10 juin 2019
  • Période pour enregistrer les candidatures sur ACCENT : du 10 juin au 19 juin 2019
  • Période de réponse à la proposition des cours attribués par ACCENT : du 28 juin 2019 au 4 juillet 2019

N’oubliez pas de notes ces dates à votre agenda pour pouvoir appliquer sur les cours désirés.

 
 
RAPPEL : Campagne de prévention vélo

Du 13 au 24 mai 2019 aura lieu la Campagne de prévention vélo du Service de la prévention et de la sécurité.

Les kiosques sur la prévention du vol de vélo et les pratiques sécuritaires sont de retour avec le printemps !

La communauté universitaire pourra ainsi apprendre quelques astuces pour prévenir le vol de vélo et les consignes pour prévenir les collisions, et se familiariser avec les services offerts aux cyclistes de l'UQAM. Cette activité se combinera au travail des agents de sécurité qui patrouilleront quotidiennement dans les différentes installations pour renseigner les cyclistes et procéder, si requis, à des verrouillages préventifs de vélos.

Sous forme de premier arrivé, premier servi, tout au long des deux semaines de campagne, les participants pourront choisir entre des trousses de réparation de crevaison, des serres pantalons ou des clochettes.

De plus, une visite au kiosque vous donnera droit au tirage d’un vélo d’une valeur d’environ 250 $. Le tirage aura lieu le lundi 27 mai 2019.

Horaire des kiosques d’information et de burinage vélo (en partenariat avec le SPVM) :

  • Le Campus central (400, rue Sainte-Catherine Est) - 17, 15 et 16 mai 2019 de 9 h à 15 h (devant l’entrée)
  • Le Complexe scientifique Pierre-Dansereau (145, av. du Président-Kennedy) -  21, 22 et 23 mai 2019 de 9 h à 15 h (dans la cour intérieure)

Nous tenons à remercier nos partenaires : développement durable, le SPVM et SOS Vélo.

Venez en grand nombre !

 
 
Monde social et de l'éducation
 
 
Liberté académique, liberté d’expression : une utopie pour les chargé.e.s de cours ?

Des collègues professeurs de l’Université Laval ont remis à l’ordre du jour médiatique, le 1er février dernier, la crainte des universitaires face à la perte progressive des libertés académiques dans les institutions d’enseignement supérieur.

La lettre, signée par plus de 450 professeures, chargées de cours et étudiants, dénonce la « managérialisation » des cégeps et des universités, qui porterait atteinte à la collégialité et aux libertés historiques dont jouissent les chercheurs et les acteurs des universités, celles notamment de critiquer … l’ordre établi, de faire valoir tous les points de vue critiques de la recherche et sur la société, de s’exprimer librement sur les institutions du savoir, de critiquer ouvertement des « partenariats » pouvant être nuisibles, de participer de manière collégiale aux décisions qui sont prises par les départements et les universités.

Les questions sous-jacentes à ce débat sont importantes. Par exemple, les universités sont-elles des employeurs comme les autres? Des employeurs envers qui nous avons une obligation de loyauté et avec qui nous ne pouvons pas diverger d’opinions publiquement? Des employeurs qui peuvent unilatéralement décider ce qui est bon pour l’institution et imposer leur vision? Des employeurs qui peuvent congédier des professeurs ou des chargés de cours parce qu’ils ont émis une opinion contraire ou ont fait connaître un enjeu délicat mais important pour la société?

Assurément, non. Mais si la réponse semble simple, la réalité elle, est beaucoup plus complexe.

Pour lire le reste de cet article publié sur le site du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université Laval, cliquez ici.

 
 
L’Université du Québec réclame 5 M$ pour recruter à l’international

Se croyant désavantagé par rapport aux universités anglophones, le réseau de l’Université du Québec réclame une aide spéciale de 5 millions $ pour l’aider à recruter des étudiants internationaux.

«On n’est pas dans les mêmes marchés, on n’est pas égaux», plaide Johanne Jean, présidente de l’Université du Québec (UQ).

Dès septembre, toutes les universités québécoises pourront exiger des droits de scolarité aussi élevés qu’elles le souhaitent aux étudiants internationaux. Cette déréglementation mise de l’avant par l’ex-ministre de l’Enseignement supérieur Hélène David se veut un moyen de financer les universités.

Mme Jean craint toutefois que les plus petites universités francophones, membres de l’UQ, n’obtiennent pas leur part du gâteau. «Le bassin d’étudiants anglophones est beaucoup plus large et nous, si on recrute dans des pays non francophones, il faut prévoir de l’argent pour la francisation.»

La preuve selon Mme Jean, c’est que les frais de scolarité des étudiants internationaux sont déjà déréglementés depuis 10 ans dans six disciplines : sciences pures, génie, administration, mathématique, informatique et droit.

En 10 ans, les universités membres de l’UQ ont vu leur clientèle étrangère augmenter de 30 %, alors que pour les universités anglophones du Québec, cette même clientèle a augmenté de 300 %.

Pour lire le reste de cet article dans Le Soleil, cliquez ici.

 
 
Faut-il financer nos universités sur le dos des étudiants ?

À l’article dans lequel Johanne Jean, présidente de l’Université du Québec, déplore la difficulté pour certaines universités de recruter à l’étranger, Sylvain Marois, chargé de cours et doctorant en relations industrielles, a offert une réponse.

En voici un extrait :

L’article résume bien la déréglementation des droits de scolarité des étudiants internationaux, une déréglementation qui, selon Mme Johanne Jean, présidente de l’Université du Québec, serait discriminatoire envers les universités en région. Elle a sans doute raison! Une étude récente démontre d’ailleurs les conséquences d’une telle politique gouvernementale. Si nous partageons ces inquiétudes, ce qui étonne, c’est l’absence de questionnement sur le financement public des universités, de toutes les universités. Car la véritable menace, le cheval de Troie, c’est le remplacement d’un financement public par une source externe, les étudiants internationaux.

Pour lire le reste de la réplique de M. Marois dans Le Soleil, cliquez ici.

 
 
Les inscriptions d’été à la TÉLUQ fondent de 60%

Alors que de nombreuses universités peinent à recruter assez d'étudiants pour joindre les deux bouts, la TELUQ - une université qui offre de la formation à distance - voit ses inscriptions d'été fondre de 60 % en raison de la grève de ses tuteurs.

Contrairement aux autres universités qui ont un campus, l'offre de cours et le nombre d'étudiants à la TELUQ sont habituellement sensiblement les mêmes à la session d'été, à la session d'automne et à la session d'hiver.

La baisse de 60 % du nombre d'inscriptions pour cet été, confirmée par Marie-Thérèse Brunelle, directrice des affaires publiques à la TELUQ, va de pair avec une offre de cours qui a rétréci comme peau de chagrin.

Ainsi, alors que quelque 300 cours seraient normalement offerts, seulement 136 le seront cet été.

Pour lire le reste de cet article de La Presse, cliquez ici.

 
 
Babillard des membres
 
 
La plus haute distinction à la simulation des Nations Unies pour le groupe de Léa Pelletier-Marcotte

La délégation étudiante de la Faculté de science politique et de droit a remporté de nouveau le prix Outstanding Delegation, soit la plus haute distinction, lors de l’édition 2019 du concours de Simulation des Nations Unies (National Model United Nations), qui s’est déroulé au siège de l’ONU à New York, du 14 au 18 avril (conférence B). Il s’agissait d’un 12e Outstanding Delegation Award en 14 ans pour la Faculté.

Cette compétition, la plus importante du genre, réunit annuellement plus de 5 000 étudiants en provenance de plus de 340 universités à travers le monde, chacune des délégations représentant un pays membre de l’ONU.

Représentant les intérêts de l’Irlande, la délégation composée de 24 étudiants inscrits aux programmes de baccalauréat en relations internationales et droit international (BRIDI), en science politique et en communication politique et société a obtenu par ailleurs quatre Outstanding Position Paper. Ils ont aussi reçu deux Outstanding Delegate in Committee (prix votés par les pairs dans chacun des comités).

La délégation était notamment encadrée par la chargée de cours Léa Pelletier-Marcotte (M.A. science politique, 2012).

Pour voir l’article d’Actualités UQAM sur le sujet, cliquez ici.

 
 
Victoire au Concours Charles-Rousseau pour l’équipe de Gaëlle Breton-Le Goff

L’équipe de la Faculté de science politique et de droit de l'UQAM a remporté la première place au Concours Charles-Rousseau, qui avait lieu du 6 au 11 mai derniers à l'Université de Strasbourg. L'équipe championne était composée de Stella Warnier, Maël Foucault, André-Philippe Ouellet et Sergiu Savciuc, et elle était entrainée par la chargée de cours au Département des sciences juridiques Gaëlle Breton-Le Goff et Jonathan Kuntz, chargé de cours à l'Université de Sherbrooke.

Pour lire le reste de cet article d’Actualités UQAM, cliquez ici.

 
 
Les bienfaits des jardins pédagogiques : Lab-École d’Éric Duchemin

Le chargé de cours à l’Institut des sciences de l'environnement Éric Duchemin (Ph.D. sciences de l'environnement, 2000) fait partie de l’équipe de collaborateurs de la publication Penser l’école de demain, lancée en mars dernier par le Lab-École. Fondé par le trio formé de Ricardo Larrivée, Pierre Thibeault et Pierre Lavoie, et appuyé financièrement par le ministère québécois de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, l’OBNL a pour mission de rassembler des experts provenant de différents domaines (architecture, alimentation, éducation, etc.) dans le but de concevoir les écoles de demain.

Penser l’école de demain présente une série de constats formulés dans la foulée des consultations menées en 2018 auprès des intervenants du milieu scolaire, de la communauté et des élèves. On y trouve également des propositions innovantes et des bonnes pratiques à mettre en place dans les écoles québécoises.

Pour lire le reste de cet article dans Actualités UQAM, cliquez ici.

 
 
Une pratique millénaire et protégée : Explications sur la fauconnerie par Mauricio Ruiz

Dans un article d’Actualité UQAM de la série Doc en poche, Mauricio Ruiz, chargé de cours en histoire de l’art, décrit le rôle des livres dans la transmission et la sauvegarde de la fauconnerie.

Vous pouvez lire ce texte en cliquant ici.

 
 
Les consommateurs de cannabis préfèrent encore le marché noir - Analyse d’André Lamoureux

Les consommateurs québécois de cannabis boudent la Société québécoise de cannabis (SQDC), alors que plus de 60 % d’entre eux continuent de s’alimenter sur le marché noir, révèle un sondage de l’Université Dalhousie.

Le coup de sonde mené le mois dernier indique qu’une majorité de consommateurs québécois s’approvisionnent encore auprès de leur ancien fournisseur malgré la légalisation du cannabis il y a plus de six mois (17 octobre dernier).

Pour lire l’analyse d’André Lamoureux, chargé de cours au département de science politique, sur le sujet dans le Journal de Québec, cliquez ici.

 
 
Ces extrémistes qui s’approprient le Moyen-Âge - Analyse de Geneviève Pigeon

Au Michigan, à Kalamazoo, il y avait ces derniers jours le 54e congrès international d’études médiévales qui attirait de nombreux experts universitaires du Moyen-Âge qui étaient réunis sous un certain fond de controverse. Comme le soulignait le New York Times, ce champ d’étude est bousculé par des tensions idéologiques et des tensions théoriques.

Après avoir assisté à l’évènement, Geneviève Pigeon, chargée de cours au département de science des religions étaient en entrevue à Radio-Canada à l’émission 15-18 pour parler de son expérience dans une entrevue que vous pouvez écouter en cliquant ici.