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Le beau temps et le soleil se sont enfin pointés, la session d’été tire à sa fin et notre barbecue annuel ainsi que notre dernière assemblée générale avant la pause estivale arrivent à grands pas. L’occasion est belle de passer un bon moment ensemble, de se retrouver de façon conviviale et d’apprécier la compagnie de nos collègues après une année chargée de débats passionnés, de questionnements identitaires et de discussions engagées. La session d’automne s’annonce riche en projets excitants et en décisions importantes à l’aube de nos négociations et c’est uni-e-s que nous pourrons accomplir de grandes choses et avancer dans l’amélioration de nos conditions de travail. Au plaisir donc de vous voir lundi!
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Mot de votre présidente : Assemblée générale du 17 juin 2019
Chères, chers membres du SPPEUQAM, La session d’été tire à sa fin. Avant de nous quitter pour la période estivale, nous invitons très cordialement à notre barbecue annuel et notre dernière assemblée générale qui auront lieu le 17 juin à partir de midi. Votre présence est très importante, car nous avons encore des élections à différents postes et nous présenterons l’avancement de certains dossiers. Soyez nombreuses et nombreux à vous prononcer, car c’est le principe de la démocratie syndicale que de choisir nos représentants.es. Le syndicat sera fermé du 1 juillet au 31 juillet inclusivement. Si, pendant cette fermeture, vous avez un problème urgent, contactez-moi par courriel à l’adresse suivante : podkhlebnik.yvette@uqam.ca En vous souhaitant à toutes et à tous une excellente fin de session et au plaisir de vous voir au barbecue de lundi prochain, Cordialement, Yvette Podkhlebnik, Présidente du SPPEUQAM
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RAPPEL : Dates d’affichages sur ACCENT pour le trimestre d’automne 2019
Les dates d’affichages sur ACCENT pour le trimestre d’automne 2019 sont les suivantes : - Disponibilités des affichages sur ACCENT : 10 juin 2019
- Période pour enregistrer les candidatures sur ACCENT : du 10 juin au 19 juin 2019
- Période de réponse à la proposition des cours attribués par ACCENT : du 28 juin 2019 au 4 juillet 2019
N’oubliez pas de notes ces dates à votre agenda pour pouvoir appliquer sur les cours désirés.
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INVITATION : Barbecue annuel et dernière assemblée générale avant l’été
Vous êtes cordialement invité-e-s à venir célébrer le début de la saison estivale avec vos collègues autour d’un barbecue convivial qui se déroulera dans la cour intérieure du Pavillon Aquin le 17 juin 2019 de 12h à 14h (au Département bar et bouffe en cas de pluie). Cette célébration sera suivie de notre dernière assemblée générale avant l’été. Merci de confirmer votre présence avant le 14 juin 2019. En espérant vous y voir nombreuses, nombreux et l’esprit à la fête!
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Étude des projets d’intégration repoussée
L'étude des projets d'intégration par le Comité de liaison institutionnel a été repoussée au 25 juin. Plus de 160 projets ont été déposés. Les membres ayant soumis une demande devraient donc recevoir les réponses officielles dans le courant de la première semaine de juillet.
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Monde social et de l'éducation
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Pourquoi faut-il s’inquiéter de la dérégulation des frais de scolarité pour les étudiants internationaux ?
À l’instar de l’AELIÉS et de la CADEUL, ainsi que de plusieurs autres associations étudiantes à travers le Québec qui exigent un moratoire, le SCCCUL s’inquiète des impacts néfastes de la dérèglementation des droits de scolarité pour les étudiants internationaux et dénonce le « libéralisme économique » dans les universités québécoises. Pourquoi les membres du SCCCUL ont pris une telle position en assemblée générale ? - parce que cela va à l’encontre d’une plus grande accessibilité aux études;
- parce que cela favorise la compétition entre les universités;
- parce que ce sont les petites universités en région et les universités francophones qui risquent d’être pénalisées par cette course aux « étudiants payants » et par la dérive du sous-financement public que ce changement de paradigme entraîne;
- parce que plus de ressources seront consacrées au « marketing » plutôt qu’à la mission d’enseignement;
- parce que cela accroît l’endettement des étudiants, qui doivent payer plus cher pour poursuivre leurs études supérieures;
- parce que l’éducation n’est pas une marchandise et que le financement des universités doit être considéré comme un service public et ne doit pas se faire sur le dos des étudiantes et étudiants étrangers.
Pour lire le reste de ce texte du Syndicat des Chargées et Chargés de Cours de l’Université Laval, cliquez ici.
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Vidéo expliquant aux employés de l’UQO comment s’habiller : Controverse, excuses et malaise
« Paternaliste », « condescendante » et « sexiste » : une vidéo recommande au personnel la façon de s’habiller à l'UQO Le personnel enseignant de l'Université du Québec en Outaouais (UQO) devrait éviter de s'habiller « en mode week-end » ou en « mode séduction : les décolletés plongeants, les bretelles spaghettis », selon une vidéo mise en ligne sur le compte YouTube de l'établissement et retirée vendredi matin. Des membres du personnel enseignant de l’UQO ont été surpris de recevoir dans leur boîte courriel une vidéo leur expliquant comment s’habiller, vendredi dernier. Une situation dénoncée par des syndicats du personnel de l'établissement. L’idée de contrôler la tenue vestimentaire d’adultes me semble très condescendante et très paternaliste , a affirmé Stéphanie Demers, présidente du Syndicat des professeures et des professeurs de l’Université du Québec en Outaouais. Pour lire le reste de cet article de Radio-Canada, cliquez ici.
Vidéo controversée : le recteur de l’UQO s’excuse Le recteur de l’Université du Québec en Outaouais (UQO), Denis Harrisson, prend sur ses épaules la responsabilité entourant la diffusion d’une vidéo sur la chaîne YouTube de l’université recommandant des conseils de mode pour le corps professoral. [...] « Il était nécessaire de retirer cette vidéo controversée. De fait, elle n’aurait jamais dû y être. À titre de chef d’établissement de l’UQO, j’assume la responsabilité de ce qui s’est produit et je m’excuse pour le malaise créé autant pour les membres de la communauté de l’UQO que parmi les citoyens. Le projet E3 sera temporairement retiré et révisé sous ma supervision », a indiqué le recteur dans une lettre au Droit. Pour lire la lettre et l’article à ce sujet dans Le Droit, cliquez ici.
Retour sur la controverse vestimentaire de l’UQO Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO) a hésité à revenir sur la controverse entourant une vidéo qui donnait des conseils vestimentaires aux employées et aux employés de l’UQO. Cette vidéo a heureusement été retirée du site de l’Université. Cette controverse a aussi permis de débattre des enjeux féministes. Nous avons collectivement pris conscience du poids supplémentaire que devaient porter nos collègues féminines, notamment sur le jugement qu’on pouvait porter sur leur tenue vestimentaire. Chargées de cours, étudiantes, étudiantes salariées, professeures, professionnelles, cadres et employées de soutien vivent avec une contrainte supplémentaire et nous devons tout faire pour cheminer vers une plus grande égalité de traitement. Une fois les excuses faites et la vidéo retirée, nous pourrions passer à autre chose. Pourtant, cette controverse cache un malaise plus profond. D’une part, des décisions stratégiques sont prises sans concertation avec la communauté universitaire. Si les personnes étudiantes, étudiantes salariées, professionnelles, professeures, employées de soutien et chargées de cours avaient pu élire des représentantes et des représentants au Comité E3, probablement que la vidéo n’aurait jamais été produite. À l’heure actuelle, la consultation semble être un fardeau pour la direction de l’UQO. Pourtant, c’est par la consultation que nous pouvons bâtir une communauté universitaire harmonieuse et dynamique. Pour lire le reste de cet excellent texte du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQO (SCCC-UQO), cliquez ici.
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Le harcèlement sexuel au travail est inacceptable, confirme un jugement important du Tribunal des droits de la personne
Un propriétaire de restaurant a été condamné par le Tribunal des droits de la personne à verser 26 000 $ en dommages moraux et punitifs à une employée pour des gestes et des propos à caractère sexuel, une cause portée par la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse. « Cette victoire extrêmement importante pour la Commission et plus généralement, pour la société, n’aurait pas été possible sans le courage de la plaignante, courage que nous tenons à saluer. Le jugement souligne clairement à quel point le harcèlement sexuel en milieu de travail est inacceptable en 2019. Le montant accordé à la plaignante, qui a été profondément marquée par les gestes de son patron, en témoigne », a déclaré aujourd’hui Philippe-André Tessier, président de la Commission. Pour lire le reste de cet article de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse, cliquez ici.
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Reprendre le travail après un burn-out, un long cheminement émotionnel
Le burn-out, en lien avec un stress chronique et parfois aigu, se traduit par une grande fatigue émotionnelle, un cynisme vis-à-vis de son activité et une dilution du sentiment d’accomplissement au travail. Le syndrome d’épuisement professionnel se manifeste en conséquence à la fois par une érosion de l’engagement (en réaction à l’épuisement), une érosion des sentiments (à mesure que le cynisme s’installe) et une érosion de l’adéquation entre le poste et le travailleur (vécu comme une crise personnelle). Le burn-out est donc étroitement lié à un processus émotionnel, ce qui implique d’analyser le cheminement vers le retour à la vie professionnelle au prisme de ces émotions. Dès qu’il survient se met en effet en place un dispositif, inconscient ou non, de protection – psychologique et psychique – par rapport à un lieu de travail considéré comme toxique. L’adaptation au management du modèle théorique de la psychiatre Elisabeth Kübler-Ross sur le processus de deuil est à ce sujet particulièrement éclairant. Si l’on reprend ce modèle par analogie, la période de burn-out correspond aux sept premières étapes. Pour lire cet article de The Conversation, cliquez ici.
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Une succursale de la SQDC obtient un mandat de grève
Les syndiqués de la Société québécoise du cannabis de la succursale de Rosemont-Petite-Patrie, à Montréal, viennent de se doter d'un mandat de grève - le premier qui touche la SQDC depuis qu'elle a été créée. Ces 21 travailleurs sont membres du syndicat des Travailleurs unis de l'alimentation et du commerce (TUAC) qui est affilié à la FTQ. Et le mandat de grève générale et illimitée a été voté à l'unanimité. Les salaires sont au coeur du litige. Le salaire d'embauche est de 14 $ l'heure à la SQDC. Au cours d'une entrevue avec La Presse canadienne, mardi, le président du conseil provincial des TUAC-FTQ, Antonio Filato, a déploré le fait que les conditions de travail des employés de la SQDC soient comparées à celles qui prévalent dans le commerce de détail. Or, ces travailleurs ne vendent pas un produit comme un autre; ils ont aussi une mission sociale reliée à la santé-sécurité du public, a-t-il fait valoir. De plus, il dit ne pas comprendre que la rémunération des dirigeants de la SQDC soit comparée à celle des dirigeants de la SAQ ou d'autres sociétés d'État, alors que ce n'est pas le cas pour les employés de la SQDC. «Pour les dirigeants, ils comparent les salaires aux sociétés d'État, mais pour les salariés, on va les comparer à d'autres domaines», comme le commerce de détail, où les salaires sont bien moindres, s'insurge M. Filato. Pour lire le reste de cet article de La Presse, cliquez ici.
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INVITATION : Los subrogados de Véronique Leblanc
Los subrogados | Les substituts réunit huit artistes de la performance, quatre à Mexico et quatre à Montréal. Chacune et chacun des artistes a été invité.e à réactualiser ou à créer une œuvre qui sera performée simultanément par un.e artiste délégué.e dans l’autre ville. La facilité avec laquelle nous accédons désormais à de la documentation vidéo, voire la possibilité de la diffusion en temps réel d’une performance sur diverses plateformes électroniques, transforme les manières dont les œuvres se manifestent, et dont elles sont reçues et interprétées. L’événement propose de repenser la performance du point de vue de sa nouvelle dimension contradictoire : alors qu’il semble de moins en moins nécessaire de parcourir physiquement les distances qui nous séparent pour assister à la réalisation d’une action, les artistes sont de plus en plus encouragés à constamment se déplacer pour participer à des résidences, des festivals, des biennales, etc. Conçu par Véronique Leblanc, chargée de cours en histoire de l’art et commissaire invitée au MAC, et Alejandra Labastida, commissaire adjointe au MUAC, cet événement gratuit est coprésenté par le Museo Universitario Arte Contemporáneo (MUAC) de Mexico et le MAC (Montréal), le jeudi 20 juin 2019 à 18h00 dans le cadre de Place Publique, à la Fonderie Darling. Pour en savoir plus sur cet évènement, cliquez ici.
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L'intervention interculturelle : Ouvrage sous la co-direction de Bouchra Taïbi
Des solutions concrètes pour des enjeux actuels! L’immigration et l’inclusion des nouveaux arrivants sont aujourd’hui les pierres angulaires de nombreuses politiques sociales et économiques. Dans ce contexte, l’intervention interculturelle en travail social revêt une importance stratégique. Axé sur les problématiques propres au contexte nord-américain, ce manuel débute par un tour d’horizon sur l’histoire de l’immigration et le passé colonial du Canada. Résolument concret et pratique, l’ouvrage présente les défis actuels du vivre-ensemble, les idéologies et les approches d’intervention auprès des immigrants, des réfugiés et des Autochtones, ainsi que les possibilités de croisements de plusieurs domaines pour l’intervenant. Cette 3e édition offre au futur travailleur social les outils d’action et de réflexion nécessaires à la préparation d’une intervention adaptée et efficace. Bouchra Taïbi, chargée de cours à l’École de travail social, a co-dirigé cet ouvrage paru aux éditions Chenelière Éducation. Pour en savoir plus et vous procurer cet ouvrage, cliquez ici.
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Comment #moiaussi a changé la face de la musique pop : Analyse de Sandrine Galand
On assiste dernièrement à une véritable prolifération d’œuvres musicales ouvertement féministes. Laurence Nerbonne souffle sur les braises de #MoiAussi avec Feu, et Hanorah, notamment, s’impose comme une porte-parole des survivantes d’agressions sexuelles sur son EP For the Good Guys and the Bad Guys. Les exemples très récents et locaux se multiplient. Faut-il y voir un signe des temps? Si l’actrice américaine Alyssa Milano a balayé la twittosphère et lancé le mouvement #MeToo, c’est pourtant à Tarana Burke, une militante féministe de Harlem, que revient la maternité de cette expression datant de 2006, mais véritablement consacrée dans la foulée de l’affaire Weinstein. Initié par des femmes financièrement privilégiées, des actrices d’Hollywood pour la plupart, ce phénomène viral s’enracine dans le monde du spectacle. Par la force des choses, ces mots et ces idées allaient éventuellement être repris par d’autres artistes. Depuis octobre 2017, la parole se libère, notre monde change. Si bien que le féminisme se conjugue de plus en plus avec les mélodies accrocheuses et entraînantes de la musique populaire, avec les créations de ces auteures-compositrices-interprètes qui aspirent au succès commercial. Pour lire cet article du Voir dans lequel Sandrine Galand, chargée des cours à la Faculté des sciences humaines, offre une analyse, cliquez ici.
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