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Affichage principal des charges de cours de l’automne
Les personnes chargées de cours désirant appliquer sur une charge de cours pour le trimestre d’Automne 2014 ont jusqu'à aujourd'hui, 19 juin, pour enregistrer leur déclaration d’emploi et leur candidature dans Accent (www.app.uqam.ca/accent). ATTENTION! Vous devrez retourner dans ACCENT pour répondre à l'offre de cours du 27 juin au 2 juillet inclusivement.
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Fermeture du secrétariat du SCCUQ pour la période estivale
Veuillez prendre note que, durant la période estivale, le secrétariat du SCCUQ sera fermé à compter du mardi 1er juillet, et ce, jusqu’au dimanche 3 août inclusivement. Toutefois, si vous désirez communiquer avec un membre de l’équipe syndicale, vous pouvez nous joindre au 514 987-3000 poste 3720. Les activités régulières du secrétariat reprendront le lundi 4 août.
Pour sa part, l'infolettre prendra des vacances après la parution du 26 juin, soit jeudi prochain. Nous vous souhaitons un très bel été!
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Julie Bramond et Iraj Bazrgari au service des étudiants non francophones
Julie Bramond et Iraj Bazrgari, chargée et chargé de cours à l’École de langue, ont développé Pôluqàm, une structure de soutien pour les étudiantes et étudiants du certificat de français pour non francophone. Il s’agit d’un pôle de soutien qui propose aux étudiants un certain nombre de services : clubs de lecture, discussions lors de dîners-causeries, réseautage professionnel, présentation du monde professionnel québécois, méthodologie universitaire, sorties culturelles et présentation de toutes les ressources dont ils peuvent bénéficier. Chaque étudiant inscrit au certificat est automatiquement inscrit à Pôluqàm grâce à une plate-forme Moodle. Une page Facebook est mise à jour par des posts sur les informations importantes concernant Pôluqàm, mais aussi sur toute ressource, activité ou événement pertinent qui serait susceptible d'intéresser ces étudiants.
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L’U de M abolit l’accompagnement professionnel des étudiants de musique
Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l'Université de Montréal (SCCCUM) dénonce la décision unilatérale de la Faculté de musique de l'Université de Montréal de mettre fin à l'accompagnement professionnel offert aux étudiantes et étudiants en interprétation de la faculté à compter de la rentrée. « Les singularités de l'enseignement de la musique nécessitent des heures d'accompagnement par des pianistes accompagnateurs ou coachs professionnels aguerris. Jusqu'à maintenant, les étudiants bénéficiaient d'un certain nombre d'heures à utiliser tout au long de leur apprentissage instrumental ou vocal. Or, à compter de septembre prochain, les étudiants devront défrayer eux-mêmes les frais encourus pour l'accompagnement, pourtant nécessaires à leur formation, et devront rechercher leurs accompagnateurs, accompagnatrices et coachs vocaux dans le privé », indique Frédéric Kantorowski, président du SCCCUM.
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Le fédéral veut créer deux catégories de personnes immigrantes
Le projet de loi fédérale C-24 vise à créer deux catégories de personnes immigrantes : celles qui méritent leur statut de citoyen canadien, et celles qui ne le méritent pas à cause de leur passé. Elle sanctionne un individu d’une double peine s’il est reconnu coupable d’un délit : il reçoit sa peine du tribunal, et en plus il est expulsé du Canada. Même les personnes nées ici, mais de parents issus de l’immigration, s’exposent à une possibilité d’être expulsées du Canada. Nous croyons que ce projet de loi amène des mesures disproportionnées pour des réfugiés. Le comité immigration du CCMM–CSN invite les membres des syndicats à signer une pétition pour dénoncer le projet de loi. La pétition est en anglais puisqu'elle a été initiée par un résident de la Colombie-Britannique.
Plus d’infos sur les impacts de ce projet de loi.
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Le CIMM condamne le projet de loi sur les régimes de retraite
Le Comité intersyndical du Montréal métropolitain (CIMM) condamne le projet de loi favorisant la santé financière et la pérennité des régimes de retraite à prestations déterminées du secteur municipal. Ce projet de loi constitue une attaque sans précédent aux droits des travailleuses et des travailleurs des municipalités et une violation du droit à la libre négociation et des ententes négociées.
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Les employées et employés d’entretien de la STM manifestent.
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Radio-Canada : les syndiquées et syndiqués craignent de nouvelles compressions
Lors d'un rassemblement tenu mardi, les présidences des syndicats représentant les travailleuses et les travailleurs du diffuseur public ont interpellé les 12 membres du conseil d'administration de CBC/Radio-Canada afin de dénoncer l'adoption imminente de nouvelles compressions. « Depuis 2009, près de 450 millions $ ont été retranchés du budget de CRC/RC et plus de 2000 postes ont été supprimés. Sans qu'il n'y ait eu de débat sur son avenir, nous assistons à une mort lente pas asphyxie d'un bien collectif essentiel à la population canadienne, d'un service public qui a pour mission de faire vivre la culture et d'informer plus de 35 millions de citoyennes et de citoyens. Alors que la Norvège consacre annuellement 180 $ par habitant à son diffuseur public, nous venons tout juste d'atteindre 29 $, à la suite des dernières compressions de mars 2014 », de souligner Alex Levasseur, président du Syndicat des communications de Radio-Canada (FNC-CSN).
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Les syndiqués ratifient l’entente.
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Santé et services sociaux en Estrie : les fusions, c’est pas la solution
Les syndicats de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) de l'Estrie se mobilisent contre les projets de fusions d'établissements dans la région. « Ces fusions entraîneraient un déplacement du personnel sur le territoire, ce qui aurait nécessairement un impact sur le niveau de services à la population. De plus, ces projets ciblent des établissements aux missions bien différentes. Le personnel de ces différents établissements développe une expertise auprès des usagers. On ne peut pas par exemple intervenir de la même manière face à un usager en réadaptation physique ou mentale », explique Jeff Begley, président de la FSSS-CSN. Pour la FSSS-CSN, la création de mégastructures a souvent pour effet d'augmenter le nombre de cadres et de rendre plus complexe la dispensation des services.
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Rabais d’assurances pour les membres de la FNEEQ
La Capitale assurances générales offre à tous les membres de syndicats affiliés à la FNEEQ une réduction exclusive de 10 % sur les assurances automobile, habitation et véhicule de loisirs. La Capitale offre également plusieurs avantages, dont la protection contre les dégâts d’eaux, qui peut être ajustée à vos besoins. Comme le SCCUQ fait partie des syndicats affiliés à la FNEEQ, vous pouvez profiter de ces avantages.
Pour plus d’informations.
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Monde social et de l'éducation
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L'éducation avant la santé, dit Bolduc
L'éducation devrait être la priorité des Québécoises et des Québécois, bien avant la santé, dit le ministre libéral de l'Éducation - et ancien ministre de la Santé - Yves Bolduc. « Je pense que le ministre qui va guérir les maladies au Québec, ce n'est pas le ministre de la Santé. C'est le ministre de l'Éducation », a lancé samedi matin Pierre Lavoie, lors du défi qui porte son nom. Et le député libéral a fait son choix. « La priorité des Québécois, ça devrait être l'éducation », a-t-il fait savoir au Soleil.
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Femmes autochtones assassinées et disparues : Québec doit agir
La coalition pour les droits des peuples autochtones au Québec demande que le gouvernement du Québec réagisse urgemment afin de mettre en place un plan d'action pour lutter contre les violences faites envers les femmes autochtones, et ce, en collaboration avec Femmes Autochtones du Québec et les organismes de la société civile. Dans un rapport publié récemment, la Gendarmerie royale du Canada ajoute de nouvelles preuves à la conclusion qu'elle avait rendu publique plus tôt, à savoir que 1017 femmes et fillettes autochtones ont été tuées entre 1980 et 2012, un taux d'homicide au moins 4 fois supérieur à celui de toutes les autres femmes. 46 meurtres de femmes autochtones ont été répertoriés au Québec.
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Éducation supérieure : M. Bolduc, nous demeurons vigilants
Moins de deux ans après le Printemps érable, une équipe du Parti libéral du Québec est de retour au gouvernement. La question de la hausse des droits de scolarité avait alors poussé des dizaines de milliers d’étudiantes et d'étudiants (et plusieurs centaines de profs) à manifester presque quotidiennement dans les rues. Tout au long du conflit, les étudiants, et ceux et celles qui les appuyaient (notamment les Profs contre la hausse), avaient fait la démonstration qu’outre la hausse injuste, d’autres graves problèmes touchent les universités du Québec. Les enjeux soulevés lors de cette mobilisation – l’accès aux études, la marchandisation de l’éducation, une recherche de plus en plus instrumentalisée – n’ont pas disparu par enchantement malgré la fin de la grève.
Lire la suite du texte d’opinion adressé au ministre Bolduc sur ledevoir.com
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Bonne fête aux pères (présents)
Dimanche c’était la fête des Pères. Eve-Lyne Couturier nous relate, sur son blogue : « Ceux et celles qui me connaissent bien (ou me lisent régulièrement) savent que je déteste l’expression « bon père de famille », surtout quand on parle de gouvernement. Je veux bien que cela réfère à une expression juridique, mais celle-ci est démodée et renforce une image de paternité limitée et réductrice. Contrairement à ce que certains sites web semblent prétendre, il n’y a pas qu’une seule manière d’être père, soit d’être un homme stéréotypé, conjoint d’une femme stéréotypée. Les familles sont plutôt de diverses formes, les pères tenant des rôles différents selon les cas. "
Lire la suite sur le site de l’IRIS.
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Une victoire franco-ontarienne
Bien des Franco-Ontariens ont poussé un soupir de soulagement en constatant que les libéraux de Kathleen Wynne ont remporté une victoire sans équivoque et gouverneront l'Ontario pour les quatre prochaines années. Leur allégeance traditionnelle à l'endroit des libéraux ne se dément pas. Une victoire des conservateurs de Tim Hudak aurait fragilisé plusieurs acquis de la francophonie ontarienne.
Lire la suite du texte du Droit.
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L’accord TTIP ouvre la porte à la privatisation de l’éducation
L’intention de l’Union européenne d’incorporer les services de l’éducation dans un accord de libre-échange en cours de négociation avec les États-Unis fait l’objet de très sévères critiques de la part du secteur de l’éducation en Europe, craignant que le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement ouvre la voie à la privatisation. « Hormis quelques petites exceptions, concrètement, l’UE laisse la porte grande ouverte aux entreprises américaines à but lucratif pour dispenser des prestations éducatives de l’école primaire jusqu’à l’université », a souligné Martin Rømer, le Directeur du CSEE, dans une déclaration en date du 16 juin.
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États-Unis : les enseignantes et enseignants sur un siège éjectable
La sécurité de l'emploi, c'est fini pour les enseignants en Californie. C'est du moins ce qu'a décidé un juge de Los Angeles. Un groupe de neuf élèves a intenté il y a deux ans un procès demandant la suppression du statut de titulaire qui empêche de licencier des profs jugés incompétents. Le juge a statué en faveur de ces élèves en estimant que le système en place était « inconstitutionnel » et violait les droits civiques des élèves. Une grande première sur le plan légal qui relance le débat sur les causes de l'échec scolaire et risque d'avoir de grosses répercussions sur le mode de recrutement et d'évaluation des enseignants au plan national.
Lire la suite sur lepoint.fr
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30 millions d’enfants africains ne sont toujours pas scolarisés
Dans le monde, des milliers de personnes se mobilisent dans le cadre d’événements célébrant la Journée de l’enfant africain afin de mettre en lumière l’éducation pour tou(te)s et partout, en particulier en Afrique subsaharienne, où l’éducation de qualité est toujours menacée. Des organisations internationales, comme l’Internationale de l’éducation (IE), l’UNESCO et l’UNICEF, des ONG internationale, telles que A World at School et Girls not Brides, ainsi que les enseignantes, enseignants et les élèves de 45 pays ont rédigé une déclaration le 16 juin pour souligner l’importance d’une éducation de qualité pour celles et ceux qui vivent dans les régions d’Afrique les plus pauvres et les plus durement touchées.
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Norvège : Le Gouvernement va doubler l’aide à l'éducation dans le monde
« L'éducation est un facteur clé de réduction de la pauvreté. » Tel est le discours qu’a tenu la première ministre Erna Solberg le 16 juin. « C’est pourquoi le Gouvernement a décidé de doubler son aide au développement de l'éducation dans les pays victimes d’une extrême pauvreté, de la crise et des conflits. Il nous paraît particulièrement important de veiller à ce que davantage de filles aient accès à l'éducation. » Toujours selon elle, l'éducation constitue un moyen d’échapper à la pauvreté et personne n'en a plus besoin que les enfants qui grandissent dans les pays les plus pauvres de la planète ou dans les zones de conflits.
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La réduction de l’aide à l’éducation menace le développement
Ces deux dernières années, c’est dans les pays les plus éloignés des objectifs de l’éducation que les coupes budgétaires se font le plus durement sentir, mettant hors de portée les objectifs de développement et laissant des millions d’enfants déscolarisés, selon le Rapport mondial de suivi sur l’éducation pour tous (EPT) de l’UNESCO. Bien que la moitié des enfants non scolarisés dans le monde vivent dans des pays touchés par des conflits, l’éducation n’a reçu que 2 pour cent de l’aide humanitaire en 2013, soit à peine la moitié de l’objectif modeste de 4 pour cent fixé par les Nations Unies l’année dernière.
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