Infolettre du SCCUQ - 15 mars 2018 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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L’infolettre du SCCUQ est publiée tous les jeudis. Vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.

 
 
Entre vous et moi : on vous attend à l’assemblée demain

Les points à l’ordre du jour de l’assemblée générale spéciale de demain (vendredi) sont importants pour l’avenir des personnes chargées de cours et du Syndicat. Nous vous invitons à venir débattre entre collègues du dossier sur la stabilisation de l’emploi, de la campagne de communication et du changement de nom.

Des membres se sont informés si elles ou ils pouvaient voter par procuration. Techniquement, nos statuts et règlements prévoient à l’article 34.1 que nous fonctionnons avec le code de procédures de la CSN qui dit à l’article 37 que ce sont les personnes présentes dans la salle des délibérations qui ont droit de vote. Cela reflète l’esprit même des délibérations syndicales. Les gens discutent, forgent leur opinion au contact des arguments des uns et des autres, peuvent modifier la proposition en amenant des amendements et votent à la fin de ce processus collectif.

Au plaisir de vous voir nombreuses et nombreux demain.

Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ

 
 
SCCUQ
 
 
À l'agenda du SCCUQ
 
 
Reprise de l’assemblée générale spéciale sur la stabilisation de l’emploi, la campagne de communication et le changement de nom

L’assemblée générale spéciale du 22 février n’ayant pas eu quorum, elle sera reprise le vendredi 16 mars, à 12h45, salle A-2885, et non le 21 mars tel que déjà annoncé. Les membres sont donc invités à une présentation et une discussion du dossier sur la stabilisation de l’emploi. Trois propositions seront ensuite mises aux voix: • Proposition sur la stabilisation de l’emploi • Proposition sur la campagne de communication • Proposition sur la requête en vertu de l’article 39 du Code du travail pour changer le nom du Syndicat.

 
 
Grèves étudiantes pour la rémunération des stages : consignes aux personnes chargées de cours

L'ADEESE et l’AFESH seront en grève le mardi 20 mars (journée prévue pour le CA de l'UQAM). L’ADEESE et l’AFEA seront en grève le jeudi 22 mars (journée en solidarité avec les étudiantes sages-femmes). L'ADEESE a également voté une résolution pour être en grève à chacune des prochaines journées de rencontre du CA de l'UQAM et ce jusqu'à ce que le CA prenne position pour la rémunération des stages. Ces autres journées potentielles sont les 24 avril, 29 mai et le 19 juin 2018. La résolution vise aussi à bloquer la tenue des rencontres du CA et invite les autres associations étudiantes à être en grève ces mêmes journées.

Il est donc possible qu’il y ait des levées de cours lors de ces journées. Nous voulons vous rappeler que les personnes chargées de cours sous contrat doivent se présenter à leurs activités de travail, peu importe le lieu et la nature de cette activité et être prêtes à donner leurs activités d’enseignement. Vous devez donner ces activités d’enseignement pourvu que les conditions normales de travail et d’enseignement soient réunies.

Si vous désirez rapporter un incident ou si vous êtes confronté à une situation délicate, vous pourrez appeler le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM au numéro suivant : 514 987-3495. Nous vous assurons que nous allons suivre tous les développements et nous vous aviserons si nécessaire.

 
 
Dates et procédures pour une demande de perfectionnement long ou court

L'article 16 de la convention collective SCCUQ-UQAM prévoit que 54 charges de cours, à raison de 3 charges par session pour un maximum de 6 charges sont attribuées comme bourses de perfectionnement de longue durée dans le cadre de projets institutionnels et/ou fin de scolarité en 2018-2019. Si vous désirez vous prévaloir de ce programme pour l'année 2018-2019 et pour de plus amples informations, veuillez consulter le document explicatif intitulé : Perfectionnement de longue durée et/ou appeler une agente ou un agent du CAART. Votre demande, en version papier, doit parvenir au plus tard le 4 mai au Service du personnel enseignant à l'attention de l'assistante de direction, madame Brigitte Perron.

La date limite pour déposer une demande de perfectionnement court est le 8 juin 2018. Le perfectionnement court comprend 2 volets, le volet A (perfectionnement court) et le volet B (Recherche et création). Vous devez remplir le formulaire à cet effet qui se trouve sur ACCENT et joindre les pièces justificatives nécessaires. Votre demande doit être adressée au Service des ressources humaines (SPE). Pour toute demande d’information complémentaire, veuillez prendre contact avec une agente ou un agent du CAART.

 
 
Babillard des membres
 
 
À l’agenda des membres du SCCUQ
 
 
Des chargés de cours présentent l'exposition Fabulam à la Maison de la culture Frontenac

La Maison de la culture Frontenac accueille, du 14 mars au 15 avril, l’exposition Fabulam, qui rassemble des œuvres du collectif Artistes Têtes Chercheuses autour de l'allégorie de la caverne de Platon. Dix chargés de cours de l'École des arts visuels et médiatiques – Sophie Castonguay, Denis Farley, Patricia Gauvin, Marie-France Giraudon, Jean Marois, Josée Pellerin, Katherine Rochon, Dominique Sarrazin, Anne-C. Thibault et Suzan Vachon – s'approprient les symboles du mythe platonicien en les inscrivant dans une perspective kaléidoscopique. La caverne incarne les conditions de la connaissance et de sa transmission, et conduit les artistes à mener une recherche sur les fonctions de la création et de l’apprentissage, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Sandrine Ricci participe au 1er Devoir de débattre : Violences à caractère sexuel sur les campus : la loi 151 va-t-elle assez loin?
SandrineRicci

Le Devoir vous invite à son premier Devoir de débattre de l'année 2018, le 22 mars, à 18h, à la Salle Marie Gérin-Lajoie: Violences à caractère sexuel sur les campus: la loi 151 va-t-elle assez loin? Que pensent les diverses parties concernées de cette loi? Les mesures prévues sont-elles adéquates? Permettront-elles d’assurer aux victimes le soutien et le suivi nécessaires? Participantes: • Rachel Chagnon, professeure au département des sciences juridiques de l’UQAM, et directrice de l'Institut de recherches et d’études féministes • Hélène David, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Condition féminine • Mélanie Lemay, cofondatrice de Québec contre les violences sexuelles • Jessica Nadeau, journaliste au Devoir • Sandrine Ricci, chargée de cours, sociologue, membre de l'équipe ESSIMU (UQAM) et coordonnatrice du réseau québécois en études féministes. Tarif régulier: 12$. Procurez-vous votre billet à la porte le soir de l'événement. Admission générale.

 
 
Le mouvement #MoiAussi : Il y avait des signes avant-coureurs depuis des décennies, selon Sandrine Ricci

«Enfin.» Le mot est prononcé — soupiré, presque — par Léa Clermont-Dion, l’une des instigatrices de la déclaration #EtMaintenant en soutien aux victimes de violences sexuelles. Il résume bien son sentiment cinq mois après l’affaire Weinstein, qui a déclenché une vague de dénonciations publiques d’agressions de toutes sortes rassemblées sous le mouvement #MoiAussi (#MeToo). Sandrine Ricci voit néanmoins un «build-up», quelque chose de très ancré dans l’histoire dans ce mouvement qu’elle qualifie aussi de révolte. «On ne part pas de zéro, assure cette chargée de cours en sociologie. Il y avait des signes avant-coureurs, il y en a depuis des décennies, et il ne faut pas oublier l’histoire dans laquelle le mouvement s’inscrit», commente-t-elle pour Le Devoir.

 
 
Brigitte Alepin exposent les conséquences de la guerre fiscale dans Winning the tax wars

Les paradis fiscaux et la bataille que se livrent les pays pour offrir une fiscalité toujours plus avantageuse aux multinationales privent chaque année les États de milliards de dollars en revenus. Comment inverser la tendance? Les conseillers ont, à leur échelle, un rôle à jouer. Dans le livre Winning the tax wars, la chargée de cours et fiscaliste Brigitte Alepin et ses coauteurs, exposent les conséquences énormes de cette guerre, particulièrement pour les pays en développement. Selon la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement, ceux-ci perdraient 100 G$ US par année en raison de l’évitement fiscal, peut-on lire sur le site conseiller.ca.

 
 
Projet de loi 141 : «On autorise le renard à dire qui aura accès au poulailler», estime Jacques St-Amant

En entrevue à Protégez-Vous, Jacques St-Amant, chargé de cours au département des sciences juridiques, décrypte les dangers du projet de loi 141 du ministre Leitão. Selon l’article premier du projet, la nouvelle loi viserait «principalement une meilleure protection du consommateur». Une affirmation qui fait bondir Jacques St-Amant. «Non seulement le projet de loi 141 (PL 141) n’améliore pas la protection du consommateur de services financiers, soutient-il, mais même, dans certains cas, il la détériore.»

 
 
Deux Uqamiens remportent des prix du concours d'affiches de la SDGQ créé par Marc H. Choko
MarcHChoko

La Société des designers graphiques du Québec (SDGQ) dévoilait, le 7 mars dernier, le nom des lauréats de la quatrième édition de son concours d'affiches, créé par le chargé de cours et professeur émérite de l'École de design Marc H. Choko. Organisé cette année en collaboration avec l'organisme Relais-Femmes, le concours avait pour thème Femmes et pouvoir d’agir. Deux des trois lauréats de ce concours, qui s’adresse aux étudiants inscrits à un programme de formation en design graphique de niveau collégial ou universitaire au Québec, sont des étudiants de l'École de design, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Beau Zuercher commente la création de la majeure en anglais et culture anglophone

Deux nouveaux programmes seront offerts à l’École de langues à compter de l’automne 2018. La majeure en anglais et culture anglophone vise à développer des interlocuteurs parfaitement à l’aise dans la langue de Shakespeare. Un sondage réalisé auprès des étudiants de l’École de langues a démontré que plusieurs d’entre eux souhaitent devenir parfaitement bilingues. «Plusieurs étudiants ayant complété le certificat en anglais continuent à s’inscrire à des cours en tant qu’étudiants libres, même si ça ne leur apporte aucun diplôme», mentionne le chargé de cours Beau Zuercher, sur Actualités UQAM.

 
 
André Lamoureux analyse les effets de la crise au Bloc québécois

La chef du Bloc québécois, Martine Ouellet, n'a toujours pas l'intention de se présenter comme candidate lors de l'élection partielle dans Chicoutimi-Le Fjord, une avenue qui aurait pu lui permettre d'asseoir sa légitimité et de faire taire les critiques. La présidente de l'association du Bloc québécois dans cette circonscription, Élise Gauthier, estime que le parti avait de bonnes chances de l'emporter dans Chicoutimi-Le Fjord avant l'éclatement de la crise. Le chargé de cours et politologue André Lamoureux croit lui aussi que le Bloc québécois aurait pu faire élire un député dans Chicoutimi-Le Fjord et ensuite dans plusieurs circonscriptions du Québec lors de l'élection générale. «Tout ça s'écroule à cause de cette crise-là, a-t-il ajouté. C'est catastrophique. C'est dévastateur pour le Bloc québécois», a-t-il dit à La Presse canadienne. Il commente par ailleurs la décision récente du Directeur général des élections du Québec (DGEQ) de changer les exigences d’authentification pour la photo de mise en candidature aux fins d’une élection, dans une lettre publiée par Le Devoir.

 
 
La précarité dissimulée dans le milieu de la mode, commentée par Madeleine Goubau

«Se faire payer par des robes, ça ne paye pas le loyer.» La chargée de cours et chroniqueuse mode Madeleine Goubau se base sur son expérience dans le milieu de la haute couture pour mieux le critiquer. Elle parle, à l’antenne de Radio-Canada, du livre Le plus beau métier du monde, de Giulia Mensitieri, qui révèle la réalité parfois sévère des travailleurs de cette industrie aux apparences glamour.

 
 
Yann Breault commente la victoire assurée de Vladimir Poutine

Les Russes iront aux urnes le 18 mars prochain afin de réélire Vladimir Poutine. «Ils pourraient manifester leur désaccord envers le pouvoir en place, mais ils ne le feront pas. D'une part, parce que l'opinion publique est manipulée par les médias, contrôlés par l'État. D'autre part, parce que dans le contexte de grande instabilité du système international, le choix de la stabilité s'impose», affirme le politologue Yann Breault, chargé de cours au Département de science politique et co-directeur de l'Observatoire de l'Eurasie, peut-on lire sur Actualités UQAM. M. Breault estime aussi, pour le compte de La Presse+, que le président de Russie n’a pas besoin de l’attaque contre Sergueï Skripal et sa fille pour consolider sa position politique avant l’élection, pratiquement jouée d’avance.

 
 
Monde syndical
 
 
À l’agenda syndical et social

16 mars : Compétence parentale, garde des enfants, violence conjugale : comment évaluer le meilleur intérêt de l’enfant?
21 mars : Dîner causerie : Ma sœur, mon amie, ma collègue est victime de violence conjugale, que faire?
21 mars : Rencontre Montréal: Arabie saoudite, quel avenir?
21 mars : Table ronde Racisme systémique : l’action civique en réponse à l’inaction publique
22 mars : Foire de l'emploi pour les Montréalaises
22 mars : Lancement de la marche dans le Sud-Ouest De Villes en Villages pour le droit au logement
22 mars : Débat Violences sexuelles sur les campus: la loi va-t-elle assez loin?
22 marsAtelier d’Au bas de l’échelle sur Vos droits au travail
22 mars : Ciné-club Les dames des vues avec Paule Baillargeon
24 mars : Découvrir la diversité musulmane montréalaise : dépasser les préjugés et partager la citoyenneté
24 mars : Colloque sur l'intolérance, des préjugés à la violence organisée
3 et 4 avril : Les pirates, une pièce de théâtre sur les paradis fiscaux
4 avril : Journée d'action contre les violences sexuelles vécues par les femmes dans le logement
7 avril : Une action citoyenne contre les paradis fiscaux
26 avril : Forum L’aliénation parentale : une menace pour les femmes et les féministes
2 mai : Journée de réflexion sur les conditions de travail dans le milieu communautaire
3 au 5 mai : États généraux de l’enseignement supérieur
16 et 17 mai : Colloque sur l’enseignement des sciences et du génie à l’université
17 au 20 mai : Conférences La Grande transition: préparer la société après le capitalisme
20 au 25 mai : L’Université féministe d’été : Quelle égalité dans un contexte de diversité?
2 au 29 septembre : Grande marche : de villes en villages pour le droit au logement

 
 
À la Fondation de l’UQAM, le 8 mars ne rime pas avec équité salariale
FondationUQAM

Les 20 personnes employées de la Fondation de l’UQAM, majoritairement des femmes, sont sans contrat de travail depuis leur accréditation en 2015. La partie syndicale demande la parité avec les fondations des universités comparables. Malgré de nombreuses rencontres de négociation et de la présence d’un conciliateur dans le dossier depuis juillet 2017, la partie syndicale se bute toujours à l’intransigeance de la direction qui refuse catégoriquement l’évaluation des emplois et la mise en place d’échelles salariales connues et diffusées, fondement même de l’équité entre employés. «En cette Journée internationale des femmes, nous constatons que la direction de la Fondation de l’UQAM est fermée à accorder des salaires justes à ses employés, majoritairement des femmes. Nous allons dénoncer cette injustice sur toutes les tribunes dans les prochaines semaines», de déclarer la présidente du SCFP 5262, Thérèse Lavoie.

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Sous-traitance de l'enseignement à l'Université TÉLUQ : la ministre Hélène David doit intervenir

Des manifestantes et manifestants réunis jeudi midi devant les bureaux de la rue Fullum du ministère de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche demandent à la ministre Hélène David d’intervenir auprès de l’Université TÉLUQ pour contrer la restructuration entreprise par la direction de l’établissement. Les manifestant-es s’opposent au transfert de l’encadrement d’une portion importante des étudiantes et des étudiants à une entreprise privée, l’Institut MATCI, et à des professeur-es sous contrat et à statut précaire. Dans les prochains mois, de l’aveu même des représentants de l’établissement d’enseignement, c’est presque la totalité des étudiantes et des étudiants qui n’auront plus accès à l’expertise des tuteurs et des tutrices actuellement à l’emploi.

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Les profs de l’UQO acceptent l’entente de principe à 93 %

Les membres du Syndicat des professeures et professeurs de l’Université du Québec en Outaouais–CSN (SPUQO) ont accepté, lundi, à 93% par voie de scrutin secret l’entente de principe intervenue vendredi dernier entre le syndicat et l’administration de l’UQO. «Après plus de deux ans et demi de négociations, nous avons réussi à préserver nos acquis, tout en allant chercher des gains appréciables. Entre autres, nous avons obtenu un fonds professionnel de 2000$ renouvelé à chaque deux ans afin de soutenir les activités de recherche des profs, de souligner Louise Briand, présidente du SPUQO. Nous avons également obtenu l’amélioration des droits parentaux, des dégagements supplémentaires pour activités syndicales et des augmentations salariales respectables, en rupture avec le gel salarial proposé par l’employeur dans sa dernière offre.» Les augmentations salariales obtenues chaque 1er mai sont de 2% en 2015, 1,5% en 2016, 1,75% en 2017, 2% en 2018 et 1,5% pour chacune des trois années suivantes.

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Références à Gilligan : l'UdeM s'entend avec le syndicat des employés salariés

L'Université de Montréal a accepté vendredi matin de retirer sa demande d'injonction qui visait à empêcher un syndicat de comparer les membres de la direction aux personnages de la série comique Les Joyeux Naufragés. Une entente à l'amiable est survenue entre l'université et le syndicat des employés salariés. Elle prévoit la fin de toutes les procédures judiciaires dans cette affaire, selon un communiqué du syndicat. La Presse révélait cette semaine comment les avocats de l'université se démenaient depuis presque deux ans pour protéger l'image du recteur et des autres membres de la direction de certaines comparaisons jugées peu flatteuses.

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Responsables de service de garde en milieu familial : Pétition contre les frais de guichet unique

Les responsables de service de garde (RSG) en milieu familial, membres de la CSN, luttent actuellement pour contrer l’ajout de frais liés à l’adhésion à un guichet unique pour faciliter la recherche de places vacantes par les parents. Ces frais imposés par le ministère de la Famille représentent une «taxe déguisée» d’une centaine de dollars chaque année pour chaque RSG, dont le revenu moyen brut est d’à peine 27 000 $ par année. Or, les médecins, tenus d’adhérer à un tel guichet unique similaire pour la recherche d’un médecin de famille, n’ont rien à payer, ni d’ailleurs les travailleuses en CPE dont les coûts du guichet sont assumés par l’établissement. Pourquoi les RSG devraient-elle payer ? Appuyez les RSG en signant la pétition contre les frais de guichet sur le site de l’Assemblée nationale.

Grève d’un jour dans 20 CPE du Cœur du Québec.

 
 
Lancement de la pétition en ligne : la fin du gaspillage, je signe pour la consigne du verre
VerreFinGaspillage

La campagne Verre : la fin du gaspillage, je signe pour la consigne amorcée récemment prend un autre tournant avec le lancement de la pétition en ligne. Initiée conjointement par la Confédération des syndicats nationaux (CSN), le Syndicat des Métallos (FTQ) et le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP-Québec/FTQ), la pétition pour réclamer une consigne sur les bouteilles de vin et spiritueux peut être signée sur le site web de l’Assemblée nationale.  Déjà en décembre, des militants des trois organisations syndicales ont amassé quelque 10 000 signatures, principalement en approchant des clients de la SAQ à l’entrée d’une vingtaine de succursales à travers le Québec. «Ce qu’on propose, c’est que la SAQ organise la collecte des bouteilles à travers son vaste réseau grâce à une consigne. Les citoyens auraient droit à un crédit sur leur carte de fidélité de la SAQ (Inspire) pour chaque bouteille rapportée», explique l’adjoint au directeur québécois des Métallos, Dominic Lemieux.

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Visionner la vidéo.

 
 
La preuve du manque à gagner dans le réseau de la santé et des services sociaux est faite : c’est le temps de réinvestir

La Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) a dévoilé jeudi les résultats de son analyse des budgets des établissements de la santé et des services sociaux. La FSSS-CSN y dévoile l’ampleur du manque à gagner qu’ont dû absorber les établissements du réseau au cours des 4 dernières années, en raison de l’austérité imposée par le gouvernement Couillard. Pour la FSSS, le budget qui doit être déposé le 27 mars prochain doit mener à un réinvestissement massif pour appuyer le personnel épuisé du réseau. Trois grands constats ressortent de l’analyse de la FSSS-CSN : • les prévisions budgétaires des établissements prévoient des coupes dans les services, cette année encore, alors pourtant que le gouvernement Couillard prétend que l’austérité est derrière nous ; • le manque à gagner pour financer les établissements du réseau s’évalue actuellement entre 5 et 7 milliards de dollars pour la seule période de 2013-14 à 2017-18 ; • tant et aussi longtemps que les investissements en santé et services sociaux serviront essentiellement à accroître la rémunération des médecins, la situation ne pourra qu’aller en s’aggravant.

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Recours à des agences de personnel en soutien à domicile : la FSSS–CSN dépose des contestations

À la suite de l’octroi d’un contrat à une agence de personnel pour assurer 1,3 millions d’heures de soutien à domicile actuellement offert dans le secteur public par des établissements de la région de Montréal, les syndicats affiliés à la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS–CSN), représentant notamment les auxiliaires en santé et services sociaux (ASSS), ont déposé des griefs exigeant la suspension immédiate des contrats. La FSSS–CSN s’oppose fermement à toute privatisation des services en santé et services sociaux. Lors des dernières négociations, la FSSS–CSN a notamment obtenu le renforcement des dispositions des conventions collectives contre la sous-traitance, la privatisation et les recours aux agences de main-d’œuvre. En vertu des conventions, les employeurs auraient dû d’abord offrir aux syndicats et aux salarié-es l’occasion de présenter une alternative publique au projet de privatisation.

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La commercialisation des services de soutien à domicile ne rime pas avec des services de qualité.
Rencontre avec le ministre Barrette : l'urgence de mettre en place des solutions à la détresse du personnel.
Vidéo : Ne nous faisons pas passer un sapin en santé et services sociaux.

 
 
Entente de principe acceptée chez Transco Montréal, une exemption inquiétante et une plainte contre Air Canada

Les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Transco–CSN (STTT–CSN) ont accepté mercredi l’entente de principe intervenue le 6 mars dernier. Présentée aux membres, celle-ci fut adoptée à 81 %, par voie de scrutin secret. «Ce soir, nous avons accepté un nouveau contrat de travail de cinq ans assorti des augmentations de salaire suivantes : 1,4 % rétroactif au 1er juillet 2017, 1,6 % au 1er juillet 2018, 2 % au 1er juillet 2019 et 3 % pour chacune des deux dernières années du contrat de travail, soit celles débutant le 1er juillet 2020 et le 1er juillet 2021. Nous avons également réussi à maintenir une seule catégorie d’emploi, tout en empêchant les reculs que l’employeur voulait nous imposer. C’est grâce à la détermination des membres que nous avons obtenu satisfaction à nos demandes», de préciser Carole Laplante, présidente du STTT–CSN, qui compte près de 330 membres responsables d’environ 300 parcours de transport scolaire.

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Exemption du Canada de la taxe sur l'acier et l'aluminium : une annonce inquiétante aux allures de bonne nouvelle.
Le SCFP porte plainte contre Air Canada pour discrimination et harcèlement systémiques de ses agents de bord.
Signature de deux conventions collectives à l’Office national du film.
Les cols bleus de Dollard-des-Ormeaux signent leur nouvelle convention.
Les travailleurs municipaux de Saint-Anicet se sont impliqués politiquement pour régler leurs négociations.

 
 
Série de vidéos des 60 ans de la FTQ : La lutte des femmes

Dans le cadre de sa série sur les 60 ans de la FTQ, la centrale a produit une vidéo retraçant les grands moments de la lutte des femmes.

 
 
Mémoire de la FTQ sur le plan d’action concertée en formation professionnelle présenté au MELSQ

La FTQ a participé à la rencontre Bâtir ensemble la formation professionnelle du XXIe siècle, organisée par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES), qui s’est tenue les 5 et 6 février dernier. Face aux transformations du marché du travail et aux besoins de la main-d’œuvre qui évoluent dans les différents secteurs et régions, la FTQ croit nécessaire d’introduire plus de souplesse dans les processus de révision des programmes et dans l’offre de formation sur l’ensemble du territoire pour que ceux-ci puissent mieux répondre aux besoins spécifiques. À cette fin, la centrale est d’avis qu’il est important de reconnaître et de valoriser l’expertise des partenaires du marché du travail, notamment par une meilleure concertation avec le réseau scolaire à tous les paliers. Par ailleurs, la FTQ considère qu’un réel engagement des employeurs s’impose. La formation professionnelle est la responsabilité de tous. La centrale attend un discours ferme et des mesures concrètes qui feront de la main-d’œuvre une priorité pour les entreprises.

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Commission de la condition de la femme de l'ONU : La CSN s'implique activement

Du 12 au 23 mars se tient à New York la 62e session de la Commission de la condition de la femme de l’ONU (CCF), qui a pour thème l’autonomisation des femmes et des filles en milieu rural. Entre autres sujets abordés lors de cette commission annuelle les inégalités entre les sexes en zones rurales, leurs impacts sur les conditions de vie des femmes et des filles, le droit à un niveau de vie décent, la sécurité alimentaire, les diverses formes de violence patriarcale, le droit à l’éducation et à la santé ainsi que la justice reproductive. La CSN fait partie de la délégation Global Unions, une coalition qui rassemble six organisations syndicales internationales, notamment la Confédération syndicale internationale, dont la CSN est membre.

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Le Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies se penche sur les violations des droits de l’enfant en Syrie

Face à la situation désespérée des enfants syriens, l’Internationale de l’éducation (IE) a instamment demandé au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies d’intensifier les pressions exercées sur les belligérants. Dans un courrier adressé au Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Zeid Ra’ad Al-Hussein, le secrétaire général émérite de l’IE Fred van Leeuwen a condamné les graves violations des droits de la personne observées dans le cadre du conflit syrien, et plus particulièrement les violations scandaleuses des droits de l’enfant. Au nom de l’IE, ce dernier a exprimé ses plus vives inquiétudes face à la violence aveugle et délibérée dirigée contre les établissements scolaires, les étudiant(e)s, les enseignant(e)s, les universitaires et l’ensemble du personnel du secteur de l’éducation.

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Un enseignant syndicaliste arrêté en Iran.
Irak : engagements d’améliorer l’éducation pris par le gouvernement envers le Kurdistan Teachers Union dans le cadre du dialogue social.
Centrafrique : le conflit, un obstacle parmi d’autres pour les enseignantes et enseignants.

 
 
Monde de l’éducation
 
 
Stagiaires en enseignement tout le temps

Au cours des dernières semaines, on a pu voir se multiplier les demandes des étudiantes et des étudiants en enseignement pour que leur stage final soit rémunéré. En tant que fière détentrice d’un brevet d’enseignement et jeune enseignante au secondaire, je me souviens encore très bien de mes quatre stages, effectués entre 2011 et 2015. Je comprends et j’appuie la demande de la communauté étudiante en enseignement. J’ai été quatre fois stagiaire et j’ai expérimenté la précarité financière que dénoncent les regroupements étudiants qui réclament une compensation financière. J’ai dû, trois fois, quitter mon emploi pour me concentrer sur l’essentiel : mes stages, qui me demandaient d’être présente à l’école de 8 h 30 à 16 h environ, du lundi au vendredi, pour un nombre de semaines variable.

Lire la suite du texte d’opinion publié par Le Devoir.

 
 
L'Université Laval plus internationale d'ici 2022

Plus internationale et plus attrayante, ce sont deux des lignes directrices de la planification stratégique de l’Université Laval pour 2022. Et la rectrice Sophie D’Amours estime que son établissement est déjà sur la bonne voie pour atteindre ces objectifs. «Nous avons 13% d’étudiants internationaux au 1er cycle et aux cycles supérieurs et on veut continuer à accroître cela, lance d’entrée de jeu Mme D’Amours en entrevue avec Le Soleil. Et on calcule qu’au total, 17% de nos étudiants vivent une expérience internationale, c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur du pays ou alors ils vont recevoir une partie de leur formation à l’extérieur du pays. C’est aussi quelque chose que nous voulons voir augmenter.»

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Pas de chaire Brian Mulroney à l'Université Laval.
Manifestants bénévoles sollicités à l'UL : la SQ reconnaît son erreur.

 
 
Calcul Québec : des superordinateurs indispensables à la recherche

Lorsqu'un appareil de la C Series de Bombardier se pose sur une piste de Riga ou de Genève, le bruit qu'il émet - ou n'émet pas - repose sur des milliards de calculs effectués par des superordinateurs logés dans les entrailles de quatre universités québécoises. Regroupés dans un réseau appelé Calcul Québec, ces quatre superordinateurs, appartenant aux universités Laval, de Sherbrooke, de Montréal et Polytechnique, sont sollicités 24 heures sur 24 par près de 2000 chercheurs de la province, dont les travaux ont mené autant à la modélisation des ondes gravitationnelles théorisées par Albert Einstein qu'à une meilleure compréhension des marchés financiers.

Lire la suite du texte de La Presse.

 
 
Trois ingénieurs sur 20 sont des femmes

Les femmes représentent maintenant 14,3% des membres de l’Ordre des ingénieurs du Québec. S’il est évident qu’il reste un rattrapage à faire pour tendre vers un meilleur équilibre, force est de constater que cette proportion a augmenté sans faille depuis 1989-1990. Elle a même plus que triplé depuis les 4,3% de l’époque. La croissance est appelé à se poursuivre, mais son rythme demeure inconnu. «On voit une certaine croissance. Les femmes représentent 20% de la clientèle de 21600 candidats aux études de premier cycle en génie dans les universités au Québec. Le grand enjeu, c’est d’atteindre le seuil de 30% en 2030, fixé par Ingénieurs Canada (qui regroupe les ordres d’ingénieurs de tout le pays). On a du travail à faire», explique Kathy Baig.

Lire la suite du texte du Soleil.

 
 
Le manque de sommeil touche de plus en plus de gens et les scientifiques y cherchent des solutions

Il y a 20 ans, les cliniques du sommeil étaient rares. Le manque de sommeil étant maintenant chose courante, elles sont devenues nécessaires. La Fondation nationale du sommeil des États-Unis estime que 80 millions de Nord-Américains souffrent actuellement d’un trouble du sommeil. Au Canada, les chercheurs de l’Université Laval ont découvert que, bon an mal an, 30 à 40 pour cent des adultes souffrent à divers degrés d’un manque de sommeil.

Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.

 
 
Histoire de l’éducation des adultes : l’ICÉA raconte son histoire

Une présentation de l’histoire de l’ICÉA a été ajoutée sur le site web de l’histoire de l’éducation des adultes. Cette présentation fut faite par Daniel Baril, directeur général de l’ICÉA, lors de la soirée de célébration du 70e anniversaire de fondation de l’Institut, événement qui s’est tenu le 24 mai 2017. La captation vidéo de cette présentation est maintenant disponible.

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Forum L’aliénation parentale : une menace pour les femmes et les féministes, le 26 avril

Le Collectif de recherche FemAnVi, le Réseau québécois en études féministes (RéQEF) et l’Institut de recherches et d’études féministes de l’UQAM vous invitent au forum intitulé L’aliénation parentale : une menace pour les femmes et les féministes qui aura lieu le 26 avril prochain à l’UQAM. Les conférencières et conférenciers y feront le point sur le concept d’aliénation parentale et ses manifestations en Europe et au Québec, tout en établissant des liens avec l’antiféminisme. Ce forum réunira des chercheur-es de la France, de la Belgique et du Québec, ainsi que des intervenantes en maison d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale. Inscription gratuite et obligatoire : info@femanvi.org

 
 
Monde social
 
 
Paradis fiscaux : Les pirates, une pièce de théâtre, les 3 et 4 avril, et une action citoyenne le 7 avril
LesPirates

Pour la semaine d’action contre les paradis fiscaux, ATTAC, de concert avec le Collectif Échec aux paradis fiscaux, organisent deux représentations d’une pièce de théâtre comique et engagée portant sur les paradis fiscaux, Les pirates, les 3 et 4 avril, à 20h, à La Comédie de Montréal, 1113, boul. de Maisonneuve Est. La comédie est de Dominique de Pascale et interprétée par Le théâtre à Bâbord. Chaque représentation sera d’ailleurs suivie d’une discussion. Vous pouvez réserver vos billets en précisant la date par le biais de notre courriel ou par message téléphonique ou encore directement à la salle de spectacle. Achat et réservation: www.lacomedie.ca, 514 303 2535 (de 12 h à 20 h) ou quebec@attac.org, 514 982-6606 poste 2258. De même, vous êtes invité à participer à l’action citoyenne symbolique contre les paradis fiscaux qui aura lieu le 7 avril à compter de 15 h. Pour cette action, le départ se fera à 15 heures au Square Philips. Le scénario retenu vous sera présenté à ce moment.

 
 
Impact du financement des fondations privées sur l'action communautaire : le cas de la Fondation Chagnon

Au cours des trois dernières décennies, la philanthropie a connu d’importants développements. Elle s’est notamment transformée sous l’effet de fondations privées qui, sous l’influence de modèles étasuniens, expérimentent une nouvelle approche de la lutte à la pauvreté en partenariat avec des acteurs publics et communautaires. Au Québec, le fer de lance de ces nouvelles approches est la Fondation Lucie et André Chagnon (FLAC). C’est en 2007 que cette fondation suscite la controverse alors qu’elle signait ses premières ententes de partenariats encadrés par des projets de loi du gouvernement québécois. Depuis, le rôle de la FLAC et de la philanthropie se retrouve au cœur d’une multitude de débats soulevant des enjeux de  fiscalité, de démocratie et d’autonomie de l’action communautaire. Quel portrait pouvons-nous dresser de la Fondation Lucie et André Chagnon ? Quelle place occupe cette fondation dans ce secteur en émergence qu’est celui de la philanthropie au Québec? Participe-t-elle ou contribue-t-elle au retrait de l’État des affaires sociales? Et quel est l’impact de son soutien sur l’action communautaire? C’est à ces questions que cette note socioéconomique de l’IRIS entend répondre.

 
 
Le harcèlement et les violences sexuelles vécus par les femmes locataires dans leur logement doivent cesser
HarcelementFemmesLocataires

Mélanie a été agressée sexuellement par son propriétaire, chez elle, après que celui-ci l’ait droguée; Rigorta, par son concierge, à la suite de menaces et de gestes violents; Nathalie, par son propriétaire, après des mois de harcèlement, de commentaires sexistes, de regards et de gestes déplacés. Ces agressions étant commises dans la sphère privée, les femmes qui en sont victimes restent souvent invisibles, tant la loi du silence et la pauvreté les contraignent à se taire, de peur, entre autres, de perdre leur logement. Bien que le harcèlement et les violences sexuelles faits aux femmes locataires dans leur logement soient peu connus et difficilement quantifiables, Mélanie, Rigorta et Nathalie ne sont pas des cas isolés. En effet, le Centre d’éducation et d’action des femmes (CÉAF) a accueilli, ces 4 dernières années, les témoignages de plus de 200 femmes locataires et chambreuses dénonçant des entrées par effraction, des tentatives d’extorsion ou du chantage pour obtenir des rapports sexuels, de la part d’hommes exerçant un pouvoir sur leur droit au logement.

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Journée d'action contre les violences sexuelles vécues par les femmes locataires.

 
 
8 mars : une attention médiatique profitable aux groupes de défense des femmes

Il faut le souligner: cela faisait bien longtemps que les médias n'avaient pas autant couvert les raisons d'être du 8 mars. Cette couverture est due, de manière flagrante, aux campagnes contre le harcèlement et les violences faites aux femmes soulevées un peu partout dans le monde dans le sillage du mouvement #MoiAussi. Bien sûr l'attention médiatique tient en grande partie à l'aspect «glamour» des dénonciatrices initiales et des agresseurs, mais cela a donné une vitrine, un micro (et parfois même un peu d'argent!), aux femmes et aux groupes qui dénoncent depuis des années et partout dans le monde, cet état de fait. Tant mieux si l'actualité nous donne enfin la visibilité que nous méritons et oblige les gouvernements et autres institutions patriarcales à se questionner sur les politiques sexistes et les abus qu'ils initient ou laissent perdurer.

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Au-delà du refuge pour itinérants alcooliques

Le 7 mars, Valérie Plante dévoilait le Plan d’action montréalais en itinérance 2018-2020. La volonté de la Ville de soutenir la mise en place d’un refuge qui permette la consommation d’alcool est largement ressortie dans les médias. Pourtant, ce projet, effectivement pertinent, est loin d’en être la mesure phare, d’autres enjeux importants faisant l’objet de l’une ou l’autre des 40 mesures prévues par ce plan. Ainsi, le matin même de la sortie du plan de la ville, un autre incendie entraînait la fermeture d’une maison de chambres, au 3629 de la rue Sainte-Catherine Est, dans Hochelaga. Une trentaine de personnes y perdaient leur habitat, illustrant toute l’ampleur des défis qui se posent pour contrer l’itinérance.

Lire la suite du texte du RAPSIM publié par Le Devoir.

Compter les sans-abris : exercice périlleux et inutile.
Plus d’efforts pour cibler l’itinérance cachée.
Combien y a-t-il d’itinérants au Québec?

 
 
Luttes aux changements climatiques, transition et droits économiques, sociaux et culturels : bilan de la journée de réflexion de la LDL

La Ligue des droits et libertés a publié un bilan de la journée de réflexion organisée le 24 novembre 2017 sur le thème Luttes aux changements climatiques, transition et droits économiques, sociaux et culturels. Par cette journée de réflexion, la LDL souhaitait créer une occasion de réfléchir collectivement aux liens entre la lutte aux changements climatiques, la transition et les droits économiques, sociaux et culturels, ainsi qu’aux alliances possibles sur ces questions. La journée a permis de nous réunir entre personnes engagées dans différents milieux et de nous approprier ces liens importants et trop peu souvent abordés dans la société. Elle a aussi permis de faire ressortir plusieurs pistes pour développer des alliances et des pratiques de convergence qui s’avèrent nécessaires.

 
 
Environnement : deux publications et une capsule

Publication sur le net du Bulletin d’Ambioterra 2018. Au menu: • À la rescousse des chauves-souris • Feuillets de sensibilisation sur les espèces aquatiques en péril et la conservation volontaire dans la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent • Plusieurs oiseaux champêtres désignés en péril en 2017 par la Loi sur les espèces en péril • Nouvelles du Regroupement Québec Oiseaux • Nous recrutons de nouveaux propriétaires volontaires pour protéger la faune et la flore présente sur leur terrain.

Solidared : Bulletin d’actualités du .
Capsule abordant les impacts sur les femmes des projets extractifs.