Infolettre du SCCUQ - 10 mai 2018 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
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L’infolettre du SCCUQ est publiée tous les jeudis. Vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.

 
 
Entre vous et moi : l’appel de la FNEEQ et de la Politique 16 contre les violences et le sexisme

Je vous annonce mon intention de présenter ma candidature au poste de vice-président de la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ) pour le regroupement université, dans le cadre du congrès de la FNEEQ qui se déroulera du 22 au 25 mai. Ma décision s’est formalisée après que Sylvain Marois, actuel vice-président, ait annoncé son intention de ne pas se représenter. Advenant mon élection à la FNEEQ, mon poste au comité exécutif du SCCUQ fera l’objet d’une élection lors de l’assemblée générale du 14 juin. En attendant, un autre rendez-vous nous attend le mardi 15 mai pour discuter de la Politique 16 contre les violences et le sexisme et d’un remplacement au CAART. Bienvenue à toutes les personnes chargées de cours.

Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ

 
 
SCCUQ
 
 
À l'agenda du SCCUQ

Activités reliées au SCCUQ :

11 mai : Date limite pour les demandes d’EQE pour les cours modifiés ou nouveaux cours
14 mai : Assemblée d’unité facultaire – École des sciences de la gestion
15 mai : Assemblée générale sur la Politique 16 contre les violences et le sexisme
16 mai : Assemblée d’unité facultaire – Faculté des sciences
17 mai : Assemblée d’unité facultaire – Faculté de science politique et de droit
18 mai : Assemblée d’unité facultaire – Faculté des sciences humaines
30 mai : Conseil syndical sur les EQE et l’intégration
14 juin : BBQ et Assemblée générale sur le changement de nom
Jusqu’au 8 juin : Demande de perfectionnement court

Messages et documents du SCCUQ :

Capsules d’information sur des modifications à la convention collective :
Vous souhaitez prendre votre retraite ?
Le congé à traitement différé.
Fin accélérée de la période de probation.
Appels à témoins :
Concernant les congés de maladie.
Concernant la conception de cours hybrides.

Politique de prévention et d’intervention en matière de harcèlement psychologique au SCCUQ

 
 
Demande d’EQE pour des nouveaux cours ou cours modifiés: date limite le vendredi 11 mai

Si vous voulez demander des EQE pour de nouveaux cours ou des cours modifiés, vous devez le faire d’ici demain, le vendredi 11 mai. Ces cours seront peut-être offerts au trimestre d'automne 2018. Cette demande doit être faite via l'application Accent. Vous devez par la suite imprimer votre demande et y joindre toutes les pièces justificatives (CV, plan de cours, diplôme, etc…). Il est important que votre dossier contienne les pièces justificatives sinon votre demande ne sera pas évaluée et sera, par le fait même, refusée. Les descriptifs de cours sont disponibles ici. Voici l'échéancier des opérations: • Demande d'EQE: jusqu’au 11 mai • Décision du département: 14 mai au 24 mai • Demande de révision: 26 mai au 30 mai 2018.

 
 
Assemblées générales et conseil syndical : trois dates à retenir les 15 et 30 mai ainsi que le 14 juin

Le SCCUQ convoque les chargées et chargés de cours à une assemblée générale le mardi 15 mai, à 12h30 à la salle A-2885, pour les consulter sur le projet de Politique 16 contre les violences et le sexisme de l’UQAM qui sera adoptée à l’automne, et procéder à un remplacement au Comité des agentes et agents de relations de travail.

Un conseil syndical se tiendra le mercredi 30 mai, à 12h30, au local A-2860. Les comités de réflexion mis en place par le SCCUQ cet hiver sur les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) et l’intégration des chargées et chargés de cours feront rapport de leurs travaux et une discussion avec les membres suivra. Nous vous rappelons que ces comités servent à alimenter notre futur comité de préparation à la négociation de la convention collective qui traduira le résultat de notre réflexion en positions concrètes.

Le BBQ annuel du SCCUQ se tiendra dans la cour intérieure du pavillon Hubert-Aquin et sera suivi d’une assemblée générale qui se tiendra le jeudi 14 juin à midi, au local A-2885. Nous reviendrons alors sur le débat portant sur le changement de nom de notre syndicat ou de notre titre d’emploi, débat qui devrait se finaliser à l’automne.

 
 
Dates et procédures pour une demande de perfectionnement court

La date limite pour déposer une demande de perfectionnement court est le 8 juin 2018. Les prochaines dates seront le 14 septembre pour l’automne 2018 et le 11 janvier pour l’hiver 2019. Le perfectionnement court comprend 2 volets, le volet A (perfectionnement court) et le volet B (Recherche et création). Vous devez remplir le formulaire à cet effet qui se trouve sur ACCENT et joindre les pièces justificatives nécessaires. Votre demande doit être adressée au Service des ressources humaines (SPE). Pour toute demande d’information complémentaire, veuillez prendre contact avec une conseillère ou un conseiller du CMI.

 
 
Babillard des membres
 
 
À l’agenda des membres du SCCUQ
 
 
Michael Hennessy Picard obtient un Prix d'excellence de l'Association des professeurs de droit du Québec

Chargé de cours au Département des sciences juridiques et chercheur au Centre d'études sur le droit international et la mondialisation (CÉDIM), Michael Hennessy Picard est le lauréat 2017-2018 du Prix d’excellence pour les thèses de doctorat décerné par l’Association des professeurs de droit du Québec. Dirigée par le professeur du Département des sciences juridiques Georges A. Lebel, la thèse de Michael Hennessy Picard a pour titre Le constitutionnalisme d’occupation en Iraq. Soulevant la question de l'existence d'un constitutionnalisme d'occupation en droit international, le chargé de cours soutient que «les pratiques d’administration internationale des territoires occupés constitutionnalisent des normes économiques et financières dans l’ordonnancement juridique des États postcoloniaux». Dans le cas de l'Iraq, il montre que le constitutionnalisme d'occupation révèle un processus exceptionnel de destruction créatrice de droit, peut-on lire sur Actualités UQAM.

 
 
Jean-François Payette est honoré par l’Université de Lyon

L'Université de Lyon a attribué son Prix doctorant étranger 2018 à Jean-François Payette, chargé de cours au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale de l’UQAM. Sa thèse avait été codirigée par Bernard Landry, professeur au même département.

 
 
Simon Brousseau vient de publier Les fins heureuses
SimonBrousseau

Le chargé de cours en au Département d'études littéraires Simon Brousseau vient de publier le recueil de nouvelles Les fins heureuses aux éditions Le Cheval d’août. C’est un site web recueillant des confessions anonymes. Une veuve qui trouve l’amour. Des adolescents happés par l’univers occulte de leur jeu de rôles. Un ingénieur démissionnaire, seul à savoir la fin du monde imminente. Quand peut-on dire d’une histoire qu’elle tournera bien? Les personnages des Fins heureuses, entre grandeur et bêtise, naviguent à vue dans les eaux troubles des événements, propices ou malheureux, qui scelleront leur sort. Jouant des points de vue et des formes de la littérature populaire, les nouvelles de ce recueil tournent autour d’une idée aussi tragique que banale: malgré nos efforts, nous ne contrôlons pas le déroulement de nos existences puisque nous sommes toujours, de diverses façons, l’objet de forces qui nous dépassent. Dans le constat d’humanité fragile qui étaye Les fins heureuses se côtoient l’intelligence, la candeur, le cynisme, le hasard et l’abandon, peut-on lire sur le site de l’UQAM.

 
 
Intérêt croissant pour les études féministes, même chez les hommes : la grève de 2012 y est pour quelque chose, selon Sandrine Ricci

Est-ce la conséquence des mouvements #AgressionsNonDenoncees et #MoiAussi? Est-ce dû au retentissement mondial de l’affaire Weinstein? Ou peut-être le fait de la grève étudiante de 2012? Quoi qu’il en soit, les études féministes sont plus populaires que jamais, et même auprès des hommes. Selon une compilation du Devoir, les demandes d’admission et les inscriptions dans la plupart des programmes d’études féministes des diverses universités sont à la hausse depuis plusieurs années et promettent de croître encore cette année. Parfois, elles passent même du simple au double. C’est le cas à l’UQAM, où il y avait 58 inscrits au certificat en études féministes à l’hiver 2013 et 121 à l’hiver 2018, soit cinq ans plus tard. «Je crois qu’une piste d’explication de cette croissance à envisager est que la grève de 2012 a suscité un intérêt pour la perspective féministe notamment parce que plusieurs étudiantes militant sous la bannière de la CLASSE mettaient en avant une vision de la lutte du point de vue des rapports sociaux de sexe et de patriarcat», soutient la chargée de cours Sandrine Ricci dans un texte du Devoir.

 
 
Herpes simplex de type 2 : «Au cœur de la réflexion, il y a la question du droit à l’information», répond Nathalie Côté

Dans la rubrique Derrière la porte du samedi, un certain Robert a confié avoir contracté le virus Herpes simplex de type 2. Le texte a fait réagir plusieurs lecteurs. C’est que depuis, monsieur a l’impression que sa vie sentimentale est finie. Pour cause: après s’être bien informé sur le sujet, il a décidé de toujours révéler sa maladie à ses éventuelles partenaires. Et ce, dès le début. Tout au début. «Au cœur de la réflexion, il y a la question du droit à l’information», répond d’emblée Nathalie Côté, sexologue clinicienne, chargée de cours à l’UQAM et auteure de deux romans philosophiques. Car au-delà de la maladie de monsieur, il s’agit en fait ici d’une question de base de consentement. Ou de non-consentement. Pour qu’une éventuelle partenaire puisse avoir un «consentement éclairé», encore faut-il qu’elle ait la «bonne information», résume-t-elle pour La Presse+. Malheureusement, on a longtemps cru que l’Herpes simplex de type 2 ne se transmettait qu’en cas de crise. Or les recherches récentes démontrent que ce n’est pas le cas. «On peut le transmettre n’importe quand, par contact peau à peau [des organes génitaux], même en étant asymptomatique», signale la sexologue.

 
 
Protection du consommateur : le projet de loi 141 est un «monstre», dénonce Jacques St-Amant

Des groupes de défense des consommateurs exigent le retrait du projet de loi 141, une pièce législative «monstre», disent-ils, qui réduirait la protection du public face aux grandes institutions financières. «On envisage certaines modifications législatives à la pièce, sans vision d’ensemble, avec un calendrier qui devient impossible et qui va faire en sorte que des décisions risquent d’être prises très, très hâtivement sur des enjeux qui ont des impacts majeurs sur les consommateurs et sur l’économie», a déclaré le chargé de cours et analyste pour la Coalition des associations de consommateurs du Québec, Jacques St-Amant à La Presse canadienne.

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Bataille entre deux monstres pour représenter le peuple vénézuélien, analyse Ricardo Peñafiel

Le président vénézuélien, Nicolás Maduro, est certainement un monstre. Cumulant tous les pouvoirs (exécutif, judiciaire, électoral, militaire, constitutionnel, communal), il empêche le Parlement — détenu aux deux tiers par l’opposition — de légiférer, emprisonne ou force à l’exil les figures de l’opposition, réprime de manière sanglante les manifestations. Pourtant, cette monstruosité ne devrait pas servir à masquer celle d’une opposition putschiste qui conspire pour renverser pratiquement tous les gouvernements élus depuis celui de Chávez en 1998 et qui est en grande partie responsable de la crise économique actuelle, du fait, notamment, de la fuite colossale de capitaux, évaluée à plus de 20 milliards de dollars américains par an, soutient le chargé de cours au Département de science politique Ricardo Peñafiel dans un texte publié par Le Devoir.

 
 
Monde syndical
 
 
À l’agenda syndical et social
 
 
États généraux de l’enseignement supérieur : pour que l’éducation devienne un enjeu électoral

À la conclusion des travaux du Deuxième rendez-vous des États généraux de l’enseignement supérieur, les vingt-cinq organisations syndicales, professionnelles, étudiantes et communautaires sortent satisfaites des orientations définies par les participantes et les participants. Les discussions ont permis de cibler des pistes des solutions prometteuses afin de réorienter les réseaux collégial et universitaire au service de l’intérêt commun en insistant sur les précarités, le financement et la gouvernance. Ce n’était pas anodin d’inviter, à la veille des élections provinciales, les représentant-es des principaux partis politiques et les acteurs de l’enseignement supérieur pour discuter du développement et de leur vision des réseaux. La précarité sous toutes ses formes des divers corps d’emplois doit faire l’objet d’une sérieuse remise en question. Les conditions de travail du personnel se sont terriblement dégradées au fil des années et le taux de précarité du personnel est effarant. Le stress lié aux études, à la charge de travail, à l’isolement et l’incertitude financière engendrent une détresse psychologique parfois importante tant au sein de la population étudiante que chez les différents personnels.

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Lock-out des professeurs de l’UQTR : la FQPPU dénonce l’affront de la direction

La Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) condamne le coup de force de la direction de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et exprime sa solidarité envers les membres du corps professoral de l’UQTR visés par un lock-out. «Les professeures et professeurs de l’UQTR ont déjà fait leur part dans les efforts visant l’assainissement des finances de l’institution. Lors des dernières négociations, ils ont fait de nombreux compromis, notamment en ce qui a trait aux salaires et aux conditions d’enseignement et de recherche. Dans la négociation en cours sur le renouvellement de la convention collective, la direction leur demande d’écoper davantage pour compenser sa mauvaise gestion et un financement inadéquat, notamment en exigeant une charge d’enseignement supplémentaire, qui rompt avec la tâche professorale convenue dans le réseau universitaire québécois. C’est inacceptable!» affirme Jean-Marie Lafortune, président de la FQPPU.

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Lock-out à l’UQTR : Entrée sur le marché du travail retardée pour 24 nouvelles sages-femmes : le RSFQ sonne l’alarme.
Lock-out à ABI et à l’UQTR : Les délégués de la CSQ manifestent leur solidarité.
Le RSU-CSQ manifeste sa solidarité envers le corps professoral
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La ministre David somme le recteur de l’UQTR de venir s’expliquer.
Blitz de négociations entre direction et professeurs.
Inquiétudes et colère chez les étudiants.

 
 
Plan d’effectifs 2018-2019 : la CSDM fait le choix de maintenir la surcharge de travail

Dans le cadre du dépôt du plan d’effectifs 2018-2019 de la Commission scolaire de Montréal, les cinq syndicats formant l’Intersyndicale CSDM joignent leurs voix afin de dénoncer la surcharge toujours imposée par leur employeur. «Malgré des ajouts de près de 32,64 postes d’ouvriers d’entretien au total, nous sommes loin d’un retour à la normale sur le terrain, de souligner Rémi Desrosiers, président du Syndicat national des employées et employés de la Commission scolaire de Montréal (CSN). L’ajout de seulement cinq postes chez les ouvriers spécialisés nous indique clairement que la CSDM entend bien favoriser davantage de recours à la sous-traitance puisqu’au même moment, la direction embauche plusieurs cadres responsables des budgets d’entretien des bâtiments, sans avoir la main-d’œuvre en interne pour réaliser les travaux. Après des coupes d’environ 15% des postes des ouvriers spécialisés tout au long de l’application des politiques d’austérité, ces cinq nouveaux affichages ne règleront pas la surcharge vécue au jour le jour.»

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La CSDM créera 200 postes pour la prochaine année scolaire.

 
 
La CSQ revendique l’annulation des compressions en éducation

«Le gouvernement doit retourner aux commissions scolaires la totalité des centaines de millions de dollars de compressions qu’elles ont subies entre 2010 et 2016, afin que celles-ci puissent rétablir un niveau de services éducatifs de qualité et des ressources suffisantes dans l’ensemble de nos écoles et de nos centres. Ces compressions n’ont pas été annulées et sont donc toujours appliquées sur les allocations de base qui déterminent les services aux élèves.» Telle est l’une des principales recommandations livrées dans l’avis conjoint de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ), de la Fédération du personnel de soutien scolaire (FPSS-CSQ), de la Fédération des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec (FPPE-CSQ) et de l’Association provinciale des enseignantes et des enseignants du Québec (APEQ) dans le cadre des consultations sur le projet de règles budgétaires 2018-2019 en éducation.

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Décrochage scolaire : Un enjeu qui mérite plus que des solutions miracles.

 
 
La CSQ dévoile une vaste étude sur le numérique en éducation

La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) dévoile aujourd’hui une importante étude sur l’impact de l’utilisation des outils numériques dans le secteur de l’éducation. «À la lumière de cette enquête, il est nécessaire d’avoir une double lecture sur l’impact de l’utilisation des outils numériques dans le secteur de l’éducation. Les transformations vécues améliorent le travail (collaboration, communication, motivation et apprentissage des élèves). Toutefois, des impacts négatifs ont été notés dans les conditions d’exercice des différentes catégories professionnelles», souligne Louise Chabot, présidente de la CSQ. Les principaux faits saillants de l’étude démontrent que 76,5% des personnes répondantes mentionnent que l’utilisation des outils numériques a amélioré ou fortement amélioré la communication à tous les niveaux, que ce soit avec les collègues, les parents, le public, les collaboratrices et collaborateurs externes et même avec les élèves, étudiantes et étudiants.

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La CSN et la CSQ réagissent au jugement de la Cour suprême concernant la Loi sur l’équité salariale

La Confédération des syndicats nationaux (CSN) et la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) déplorent que la Cour suprême ait décidé aujourd’hui qu’il n’y aura pas de correctifs salariaux rétroactifs pour les milieux de travail exclusivement féminins, et ce, malgré le fait que la majorité des juges de la Cour suprême déclarent que l’article 38 de la Loi sur l’équité salariale est discriminatoire. Rappelons que la CSN et la CSQ contestaient la validité constitutionnelle de l’article 38 de la Loi sur l’équité salariale, lequel fait en sorte que les employeurs des entreprises n’ayant pas de comparateurs masculins, comme c’est le cas pour les centres de la petite enfance, pouvaient appliquer les correctifs résultant de l’exercice d’équité salariale en date du 5 mai 2007 plutôt que rétroactivement au 21 novembre 2001. Les entreprises qui comptent des comparateurs masculins avaient pour leur part l’obligation de corriger la discrimination salariale au 21 novembre 2001 de manière rétroactive si leur exercice n’était pas complété à cette date. C’est en raison de l’adoption tardive du règlement visant les milieux sans comparateurs masculins que les travailleuses de ces milieux ont été privées de rétroactivité alors que tous les autres employeurs assujettis ont eu l’obligation de rétroagir au 21 novembre 2001.

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La Cour suprême invalide la loi québécoise sur l’équité salariale : texte de La Presse canadienne.

 
 
Centres de la petite enfance du Cœur-du-Québec : nouvelle grève des 350 travailleuses les 8 et 9 mai

Devant la lenteur extrême des négociations et de nombreux reculs souhaités par l’Association patronale nationale des CPE (APNCPE) en Mauricie et Centre-du-Québec et les directions de 13 CPE dans le Cœur-du-Québec, 350 travailleuses ont déclenché une nouvelle grève de deux jours, les 8 et 9 mai. Pour marquer leur impatience, elles manifesteront devant chaque installation pour réclamer une réelle accélération des pourparlers dans le but de conclure leurs conventions collectives, échues depuis plus de trois ans. La grève générale illimitée n’est pas exclue, un mandat ayant été voté à 90,2% le 8 avril dernier.

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CPE de Lanaudière : Suspension des grèves.

 
 
CIUSSS de la Capitale-Nationale : plus de 1000 travailleuses et travailleurs se rassemblent pour faire avancer la négociation
CIUSS

Au terme d’une tournée d’assemblée générale dans plusieurs établissements, le syndicat des travailleuses et des travailleurs du CIUSSS de la Capitale-Nationale–CSN se dote d’un mandat de pression pour faire avancer la négociation locale actuellement en cours. C’est plus de 1000 travailleuses et travailleurs qui se sont rassemblés pour passer à l’action afin d’améliorer leurs conditions de travail difficiles. La FSSS–CSN mène actuellement la campagne Assez! Personnel surchargé qui propose plusieurs solutions durables pour mettre fin à la détresse du personnel du réseau. Les négociations locales stagnent dans un contexte où la surcharge de travail et l’épuisement professionnel atteignent des sommets. L’employeur tente d’augmenter la flexibilité, notamment en voulant déplacer le personnel sur le territoire du CIUSSS.

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Les employés du CIUSSS de l’Estrie se mobilisent pour l’ajout de ressources et une véritable écoute.
Soins à domicile : Des ASSS rencontrent le ministre Barrette.

 
 
Révision de la Loi fédérale sur le droit d’auteur : la FNC-CSN propose des solutions innovantes et respectueuses des journalistes et des éditeurs

Témoignant dans le cadre de l’examen législatif de la Loi sur le droit d’auteur mené par le comité permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie, la présidente de la FNC-CSN, Pascale St-Onge, a proposé des pistes de solutions innovantes et permettant de générer des fonds qui permettront de soutenir financièrement les journalistes et éditeurs. La FNC-CSN constate que les plateformes numériques captent une part de plus en plus importante des revenus publicitaires grâce aux contenus produits par le travail journalistique. «Les éditeurs ou les journalistes se font doublement vampiriser, sans égard à leurs droits d’auteur, d’une part par le partage de leur contenu sans compensation sur les plateformes numériques alors qu’elles en tirent des revenus, et puis par les revenus publicitaires qui migrent vers ces plateformes, explique Pascale St-Onge. Il faut que ça cesse.» L’organisation syndicale indique qu’il est impensable que la solution passe par les tribunaux, «dans l’état actuel, il revient à chaque éditeur ou à chaque journaliste d’entreprendre des recours extrêmement coûteux afin de faire valoir ses droits d’auteur et ses droits moraux contre des compagnies plusieurs fois milliardaires, ce qu’aucun n’a entrepris au Canada», poursuit Pascale St-Onge.

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La Coalition pour la culture et les médias : pour une loi sur le droit d’auteur juste et équitable envers les créateurs.

 
 
Modification de la structure de propriété de La Presse : un pas dans la bonne direction, mais des questions demeurent

Les syndicats de La Presse affiliés à la Confédération des syndicats nationaux (CSN) accueillent favorablement la nouvelle structure organisationnelle proposée par La Presse et Power Corporation dans la mesure où celle-ci assurera l’indépendance de l’information et le maintien des emplois. Cette nouvelle structure soulève toutefois de nombreuses questions et devra assurer une plus grande transparence des finances, surtout dans la mesure où d’autres sources de financement viendront s’ajouter aux revenus de l’entreprise. «Une fiducie d’utilité sociale devrait compter une pratique de transparence économique et de gestion collaborative, sinon participative. Par conséquent, les employé-es veulent aussi avoir une place au nouveau conseil d’administration», souligne Charles Côté, président du Syndicat des travailleurs de l’information de La Presse et porte-parole de l’intersyndicale CSN de La Presse.

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Les chauffeurs de la STM votent en faveur du déclenchement d’une grève

Réunis en assemblée générale, les membres du Syndicat des chauffeurs d’autobus, opérateurs de métro et employés des services connexes (SCFP 1983) ont voté à 99% en faveur de moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève générale illimitée. Les discussions achoppent sur plusieurs points, mais principalement sur le temps que la STM alloue aux chauffeurs pour compléter un trajet d’autobus. «La direction de la STM manque de respect pour les 4500 salariés qui assurent des millions de déplacements pour les Montréalais. Dans de trop nombreux cas,  les circuits sont complètement irréalistes. Ces déplacements mal planifiés stressent les passagers qui passent leurs frustrations sur les chauffeurs et ils paient le prix pour la mauvaise planification créant de sérieux problèmes de santé et sécurité au travail», a expliqué Renato Carlone, président du SCFP 1983.

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Négociations coordonnées : Grève imminente en sylviculture.
Lock-out de Viterra : la rencontre avec le PDG de Glencore pourrait conduire à la fin du conflit de travail.
Mandat de grève fort pour les cols blancs de Saint-Jean-sur-Richelieu.
Le Comité exécutif d’Industriall appelle à une plus grande solidarité.
Les lockoutés d’ABI manifestent à Pittsburgh.

 
 
La FTQ salue l’entente signée par quatre formations politiques qui s’engagent à réformer le mode de scrutin

La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) salue le geste, sous l’initiative du Mouvement démocratie nouvelle, des chefs de tous les partis d’opposition et du Parti vert qui ont signé ce mercredi un protocole d’entente s’engageant à réformer le mode de scrutin au Québec pour le remplacer par un système proportionnel mixte compensatoire avec listes régionales. L’accord signé entre le Parti québécois, la Coalition Avenir Québec, Québec solidaire et le Parti vert du Québec prévoit qu’un projet de loi serait déposé au plus tard le 1er octobre 2019, advenant l’élection d’un gouvernement issu de l’une de ces formations.

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CSQ : Un pas de plus vers une réforme du mode de scrutin.

 
 
Projet de loi 173 sur le revenu de base : le ministre Blais doit abolir le purgatoire

Alors que débute l’étude détaillée du projet de loi 173, le Collectif pour un Québec sans pauvreté et sept organisations syndicales pressent le ministre François Blais de bonifier son projet de revenu de base, notamment en s’engageant à abolir le délai de carence de 66 mois qui est tout simplement arbitraire et inutile. «Nous continuons de croire que le projet de loi 173 peut représenter une avancée pour les quelque 84 000 personnes avec des contraintes sévères à l’emploi qui disposeront enfin, dans plusieurs années, d’assez d’argent pour couvrir leurs besoins de base, rappelle Serge Petitclerc, porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté. Toutefois, le ministre devrait commencer à corriger tout de suite ses nombreuses lacunes, et nous lui avons soumis six recommandations pour ce faire.»

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La FTQ salue la contribution d’Amir Khadir au mouvement progressiste québécois

La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) tient à saluer la contribution au mouvement progressiste québécois du député Amir Khadir qui a annoncé qu’il ne solliciterait pas de renouvellement de mandat aux prochaines élections. La FTQ rappelle qu’il a été le premier élu de la formation Québec solidaire à l’Assemblée nationale. «Par ses interventions progressistes, Amir a su donner une voix à ceux et celles qui ont toujours prôné une société plus juste et plus égalitaire pour le Québec. Nous ne pouvons passer sous silence sa contribution à la vie démocratique du Québec», déclare le président de la FTQ, Daniel Boyer.

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Monde de l’éducation
 
 
Prix Killam : des chercheurs québécois honorés
PrixKillam

Le Québec a connu une bonne année aux prestigieux prix Killam. L'un des cinq prix honorifiques a été remis à un chercheur de l'Université de Montréal et trois des six bourses à des chercheurs de l'Université de Montréal et de McGill. L'an dernier, seule une des six bourses avait été remise à un chercheur québécois, et aucun prix. Le prix de 100 000$ récompense la carrière d'un chercheur bien établi, et les bourses, de 140 000$ sur deux ans, permettent à des chercheurs de ne pas donner de cours et de se consacrer à leurs recherches.

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Français neutre : la ministre David salue l’initiative de l’Université Laval

La ministre responsable de l’Enseignement supérieur a salué jeudi l’initiative de l’Université Laval, qui utilise désormais le français neutre pour favoriser l’intégration des personnes transsexuelles. Hélène David a encensé le travail de la rectrice, Sophie D’Amours, élue l’an dernier. «Je pense que l’Université Laval a fait de gros efforts pour être très inclusive, comme elle dit. On a une nouvelle rectrice qui est formidable, qui est très dynamique, qui change l’image de l’Université Laval, dit la ministre. On est très content de ça.» Toutefois, le français neutre mis de l’avant par l’Université Laval est beaucoup moins radical que la suggestion d’un groupe de militants de l’UQAM, qui proposait l’intégration de mots comme «ceuzes» et «heureuxes», souligne la ministre David. «Ça, c’était encore plus poussé», dit-elle.

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À 11-12 ans, un jeune Montréalais sur deux est victime de violence ou de cyberintimidation

Près d'un jeune Montréalais sur deux âgé de 11 à 12 ans dit avoir été victime de violence ou de cyberintimidation au cours de la dernière année scolaire. Tel est l'un des éléments mis de l'avant dans un portrait global des élèves de 6e année de la métropole, réalisé par la Direction de la santé publique (DSP). Au total, 46% des jeunes interrogés ont rapporté avoir subi au moins une forme de violence dans les locaux scolaires, sur le chemin de l’école ou derrière leur écran, au cours de la dernière année scolaire, selon le rapport rendu public jeudi. La cyberintimidation représente 6% des cas dénoncés.

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Taux de diplomation : Je protège mon école publique est très inquiet du retard qui persiste au Québec

Le manque d’investissement et de valorisation de l’éducation est au cœur du problème de faible taux de diplomation en 5 ans au secondaire, selon le mouvement citoyen de parents Je protège mon école publique, qui réagit aux conclusions de l’étude ​intitulée Les jeunes Québécois décrochent plus qu’ailleurs au Canada malgré les efforts de financement des chercheurs Mia Homsy et Simon Savard, de l’Institut du Québec. «Il est très préoccupant de constater le retard de la diplomation au Québec comparativement aux autres provinces canadiennes, spécialement l’Ontario, et particulièrement chez les garçons, a commenté Pascale Grignon, porte-parole du mouvement. Maintenant, nous doutons fortement que le manque de financement en éducation n’ait aucun lien avec cette sous-performance.» En effet, selon le rapport 2017 de l’Institut Fraser qui couvre les années 2014-2015, le Québec est toujours la province qui investit le moins par élève inscrit à l’école publique, avec 11 049$ contre 12 642$ pour la moyenne canadienne. L’Ontario investit pour sa part 13 276$ par élève, soit 20% de plus que le Québec.

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Frais : les commissions scolaires vont rembourser 153 millions aux parents

Les commissions scolaires vont rembourser 153 millions de dollars aux parents pour des frais qu'ils n'auraient jamais dû payer. On parle d'environ 200$ par élève. Les commissions scolaires ont conclu, hier, une entente à l'amiable avec les demandeurs de l'action collective sur les frais imposés aux parents. Cette entente reprend, à quelques nuances près, celle que les commissions scolaires avaient rejetée précédemment et dont La Presse avait donné les détails. Ce rejet avait provoqué une controverse à l'interne et indisposé le gouvernement. Ainsi, l'entente prévoit le versement d'environ 25$ par élève - le chiffre de 27,83$ circule - pour chaque année prévue à l'entente qui couvre la période 2009-2016, donc huit ans.

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Les jeunes sont mal préparés pour le marché de l’emploi, plaide le PDG de la Banque RBC

Les jeunes Canadiens sont mal préparés pour composer avec les perturbations technologiques qui vont secouer le marché du travail. Les entreprises et les gouvernements doivent se mobiliser pour aider les membres de la nouvelle génération à développer leur potentiel, a plaidé David McKay, PDG de la Banque RBC, lors d’une allocution devant le Cercle canadien de Montréal. «Les jeunes Canadiens ont l’ambition et le talent qu’il faut pour nous donner un avantage concurrentiel dans l’économie de l’avenir fondée sur les aptitudes, a dit le banquier. Mais en ce moment, nous ne les préparons pas bien à la réussite.» Dans dix ans, «au moins» 50% des emplois exigeront des aptitudes différentes d’aujourd’hui, poursuit M. McKay, qui cite une étude sur le sujet, publiée par la Royale en mars.

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Monde social
 
 
Le 12 mai, un rassemblement pour dire non aux électrochocs

À l’occasion de la fête des Mères, un rassemblement est organisé le samedi 12 mai, à 11h, à la Place Émilie-Gamelin (métro Berri-UQAM) pour dire non aux électrochocs. Deux électrochocs sur trois sont administrés à des femmes. Les femmes de plus de 50 ans reçoivent le plus d’électrochocs. Animation: TERRATO. Prises de parole: Association des groupes d’intervention en défense des droits en santé mentale du Québec (AGIDD-SMQ), Regroupement des ressources alternatives en santé mentale du Québec (RRASMQ), Table des groupes de femmes de Montréal, Réseau d’action des femmes en santé et services sociaux (RAFSSS), Collectif des Laurentides en santé mentale, Comité Pare-Chocs et Mark Eccle, militant.

 
 
Évolution des statistiques sur les retraites

La retraite est un enjeu qui concerne l'ensemble de la population. Pour les retraité·e·s, l'évolution des programmes entourant ce sujet a un effet direct sur leur niveau de vie. Quant à ceux et celles qui ne sont pas encore en âge de toucher leurs prestations de retraite ou de vieillesse, la transformation des régimes de retraite a un impact sur leurs stratégies d'épargne. À l'heure où les baby-boomers partent massivement à la retraite et alors que le Québec vient d'adopter une réforme de son régime public, il faut se demander quelles sont les conditions actuelles et futures de la retraite. Les programmes en place permettent-ils d'avoir des revenus suffisants? C'est ce que cette note socioéconomique de l’IRIS se propose d'analyser. Pour comprendre ces réalités, nous devons d'abord préciser comment fonctionne le système de retraite actuel au Québec, comment s'imbriquent les programmes universels, publics, privés et individuels, et comment ceux-ci ont évolué dans les dernières années. Ensuite, nous pourrons jeter un regard sur la nouvelle réalité d'une retraite comprenant une part importante de travail rémunéré et bénévole. La question centrale demeure cependant celle des revenus: donne-t-on les moyens d'avoir une vie confortable et digne aux personnes quittant le marché du travail? Comme nous le verrons, c'est loin d'être garanti.

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Je me souviens du plein emploi

En Amérique du Nord, la fête du Travail (en septembre) est fériée, mais celle des Travailleuses et des Travailleurs (le 1ermai) ne l’est pas. Nous nous retrouvons devant une bataille idéologique, où un camp cherche à combattre des injustices et l’autre cherche à faire comme si elles n’existaient pas. Mais cette année, alors que l’économie semble tourner à plein régime, profitons-en pour nous rappeler comment le «plein emploi» n’a pas toujours été accidentel comme aujourd’hui et qu’il a déjà constitué un objectif central. Jadis, la mission principale confiée à la Banque centrale – vous savez cette banque pas comme les autres qui nous annonce de temps à autre si on va monter ou descendre les taux d’intérêt – c’était le plein emploi. On lui demandait de manier les leviers économiques qu’elle détient de façon à nous débarrasser du chômage et faire en sorte que tout le monde puisse avoir un travail. À la fin des années 70, l’inflation atteignait 10% par année (contrairement environ 2% de nos jours). Pour mettre un frein à cette augmentation et stabiliser les prix, les gouvernements décident d’appliquer des mesures extrêmes.

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Les Nouveaux Cahiers du socialisme sortent un dossier intitulé Syndicalisme : institution ou mouvement?
LesNCS

De tous les mouvements sociaux des temps modernes, le syndicalisme est celui qui a favorisé l’organisation du plus grand nombre de personnes et, ne serait-ce que pour cette raison, il figure parmi les mouvements sociaux les plus puissants de notre époque. Pourtant, aucun dossier des Nouveaux Cahiers du socialisme (NCS) ne lui avait encore été consacré, bien que le syndicalisme et les luttes ouvrières – d’ici et d’ailleurs – aient fait l’objet de plusieurs textes dans nos pages, à chaque numéro ou presque. Le plus récent dossier des Nouveaux Cahiers du socialisme a pour titre Syndicalisme: institution ou mouvement?

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Investissement fédéral en itinérance : Le RAPSIM demande une approche globale

Qu’ont en commun L’itinéraire, CACTUS, Diners St-Louis, le Sac à dos et Dopamine ? D’avoir pu acquérir et aménager les immeubles qui abritent leurs services grâce à une contribution majeure, allant de 500 000 $ à plus de 1 million $, de la Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI). Les fonds de 2 milliards $ annoncés par le gouvernement fédéral pour la lutte à l’itinérance doivent être engagés rapidement, avec le soutien à une diversité d’actions et des budgets adéquats pour Montréal. C’est le message pressant qu’a exprimé le RAPSIM en tenant un rassemblement devant le Complexe Guy-Favreau jeudi où plus de 200 personnes étaient présentes. En mars 2017, Ottawa a annoncé une somme de 2 milliards $ sur 10 ans dans sa Stratégie de partenariats de lutte contre l’itinérance (SPLI). Un an plus tard, le gouvernement n’a toujours pas précisé quelles orientations guideront l’affectation de cet investissement majeur. Celui-ci devrait représenter plus de 10 millions $ par an, soit plus de 100 millions $ pour Montréal, des sommes plus que nécessaires et attendues dès l’hiver prochain.

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La monnaie, une institution méconnue

La monnaie est au cœur de nos vies et de notre économie et pourtant, son rôle et sa nature sont bien souvent incompris. Depuis quelques années, les partisans de la théorie de l’argent-dette diffusent par exemple des thèses sur la monnaie qui témoignent de cette mécompréhension. Il en sera question plus loin. Dans ce billet, qui s’appuie principalement sur l’ouvrage La monnaie ─ Un enjeu politique, je présenterai ainsi les principales caractéristiques de la monnaie dans le but d’en démystifier les rouages. On définit généralement la monnaie à partir de ses trois fonctions: il s’agit d’un mode de paiement (instrument d’échange), d’une unité de compte (instrument de mesure de la richesse et du revenu) et d’une réserve de valeur (moyen de stocker de la richesse). Son principal avantage, et ce qui la rend désirable, est son caractère liquide: elle peut être échangée n’importe quand, et sa valeur nominale n’est pas affectée par les fluctuations du marché, à l’intérieur d’un pays du moins.

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Documentaire IntersectionnELLES : huit femmes inspirantes de la diversité culturelle et religieuse

Le Y des femmes de Montréal a mis en ligne un documentaire, réalisé par les participantes du programme Force des filles, Force du monde, qui met en lumière huit femmes inspirantes de la diversité culturelle et religieuse. Chacune s’est exprimée sur son parcours de vie, ses accomplissements, ses réflexions face à la discrimination et son message d’espoir. Ce sont Cathy Wong, présidente du conseil municipal de Montréal, Mindy Pollak, conseillère d’arrondissement d'Outremont, Natasha Kanapé Fontaine, artiste multidisciplinaire, Garihanna Jean-Louis, humoriste, Dang Thitruc Mai, policière, Douaa Hassan, ingénieure chimiste et chargé de cours à Polytechnique, Elsy Fneiche, psychoéducatrice et féministe musulmane, et Kharoll-Ann Souffrant, candidate à la maîtrise en travail social et conférencière.