Faut-il financer nos universités sur le dos des étudiants ?


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À l’article dans lequel Johanne Jean, présidente de l’Université du Québec, déplore la difficulté pour certaines universités de recruter à l’étranger, Sylvain Marois, chargé de cours et doctorant en relations industrielles, a offert une réponse.

En voici un extrait :

L’article résume bien la déréglementation des droits de scolarité des étudiants internationaux, une déréglementation qui, selon Mme Johanne Jean, présidente de l’Université du Québec, serait discriminatoire envers les universités en région. Elle a sans doute raison! Une étude récente démontre d’ailleurs les conséquences d’une telle politique gouvernementale. Si nous partageons ces inquiétudes, ce qui étonne, c’est l’absence de questionnement sur le financement public des universités, de toutes les universités. Car la véritable menace, le cheval de Troie, c’est le remplacement d’un financement public par une source externe, les étudiants internationaux.

Pour lire le reste de la réplique de M. Marois dans Le Soleil, cliquez ici.