SPPEUQAM

Il était une fois, une discussion avec la plus grande de mes filles…

MAMAN- Tu te rappelles de Caroline, la présidente de la FNEEQ? Tu trouvais son discours inspirant lors du Congrès fédéral qui s’était tenu cette année sur Zoom.

GRANDE FILLE- Ah oui, je me souviens d’elle!

M- Eh bien, elle t’a dédicacé ce livre que j’ai reçu lors du souper de Noël du syndicat.

GF- « 50 ans À faire l’école par nos luttes »… Merci beaucoup!

M- Tu te souviens de ce qu’est un syndicat n’est-ce pas?

GF- Oui, on a vu ça en Univers social à l’école.

La fin de session est une période intense avec les examens à finaliser, à surveiller et bien sûr… à corriger. Mais c’est aussi le sentiment du devoir accompli, de voir toutes ses étudiantes et tous ses étudiants à qui nous avons transmis notre savoir et notre expertise durant les derniers mois. Évidemment, les prochains jours, pour celles et ceux d’entre nous qui enseignent, feront place à la correction, mais je nous souhaite de trouver le temps pour essayer de décrocher, de s’occuper de nos proches et nous ressourcer. N’oublions pas que certains de nos collègues, les plus précaires d’entre-nous, n’auront pas ce luxe et que joindre les deux bouts est parfois difficile.

Empathie et tolérance sur le campus

« Les normes sociales sexuées et genrées sont des modèles qui définissent ce qui devrait être associé au masculin ou au féminin. Elles sont souvent apprises très tôt dans la vie, sans même s’en rendre compte on les intègre et ça nous influence dans notre définition de nous-même, dans nos interactions avec les autres et dans notre vision du monde. Et évidemment, elles contribuent à définir ce qui est acceptable ou non concernant un phénomène social, comme celui des violences à caractère sexuel. »

Ceci est extrait d’une capsule-vidéo élaborée par le Bureau d’intervention et de prévention en matière de harcèlement de mon université.

À la recherche d’une oreille attentive

Comme annoncé par communiqué à ses membres le 2 novembre dernier, le Syndicat a demandé la nomination d’une personne conciliatrice, le 1er novembre. Cette initiative fait suite à 20 séances de négociation qui piétinent en raison des refus systématiques de l’employeur de considérer nos demandes, d’autant plus qu’une 21e séance a été annulée par ce dernier. En amont, le Comité de négociation avait échangé avec le Comité exécutif et présenté une analyse de la situation appelant une demande de conciliation à déposer par le SPPEUQAM; cela afin d’inciter le comité patronal à aborder la négociation avec davantage de sérieux.

Un 5 à 7 en présence aura lieu, pour les membres du SPPEUQAM, lors de notre Journée nationale, dans les locaux du syndicat, au local A-R540. Ce 5 à 7 sera également dédié au vernissage de l’exposition « Rencontre virale » de notre collègue professeure enseignante en arts visuels, Patricia Gauvin. Comme nous serons en présence et qu’apéritifs et bouchées seront servis lors de ce cocktail dînatoire, il importe de réserver sa place auprès de Laurence Castonguay Emery, conseillère à la mobilisation-intégration.

Pour les nouvelles et nouveaux membres du SPPEUQAM, un atelier retraite en présence aura lieu avec par Marie Bouvier, chargée de cours (professeure enseignante) en comptabilité et ex-trésorière du SPPEUQAM, le 23 novembre, dès 12 h 30, au bureau du Syndicat. Les collègues qui n’ont pas vraiment planifié leur retraite sont également bienvenue. Afin de s’assurer qu’il y a encore de la place de disponible, veuillez réserver en écrivant à Cathy Beausoleil, conseillère à la mobilisation-intégration.

Les membres du SPPEUQAM qui siègent à un comité ou à une instance de l’UQAM sont invité-e-s à participer, en présence, à une formation sur le rôle et le mandat dévolus à ces représentations. La formation aura lieu le 30 novembre, dès 12 h 30. On doit réserver son siège à Raphaël Crevier, conseiller à la mobilisation-intégration.