Un quatuor de militantes

Reconnaissez-vous ces quatre militantes du Département de linguistique qui ont participé avec enthousiasme à la Soirée reconnaissance noëllesque 2022 du SPPEUQAM? Nous ne le nommerons pas afin de ne ternir leur réputation de chercheuse enseignante dans le milieu universitaire… Quoiqu’il en soit, ce sont les gagnantes de la photo la plus créative au photomaton lors de la soirée qui a débuté avec un coquetel et un concours photomaton. Vive nos créatives de linguistique!!

Un trio efficace et dévoué

Lorraine Doucet, Simon Leclerc et Cathy Beausoleil, de gauche à droite sur la photo, ont assumé avec efficacité et ingéniosité la conception et l’animation de notre party du temps des fêtes qui a eu lieu le 13 décembre dernier, sous l’appellation Soirée reconnaissance noëllesque 2022 du SPPEUQAM. 136 membres du syndicat ont pu alors profiter de cette magnifique soirée organisée par le Comité mobilisation-intégration qui nous convie déjà à célébrer le 45e anniversaire du SPPEUQAM le 9 février prochain. On peut déjà s’inscrire à cette célébration de notre 45e par ici.

Émilie Marcil

Chargée de cours à l’UQAM où elle enseigne la gestion du tourisme, Émilie Marcil est également professionnelle de recherche à l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec. Elle vient de publier un essai intitulé « Femmes et tourisme de l’entre-soi » chez PUQ. Selon l’éditeur, « cet ouvrage original sur les vacances entre femmes apporte un éclairage nouveau sur le tourisme de l’entre-soi comme lieu de renforcement des relations interpersonnelles, possiblement affranchi des rôles sociaux. Il peut aider à élargir les acquis au sein des études féministes et touristiques, mais aussi à enrichir les connaissances des membres de l’industrie touristique qui exploitent cette forme de tourisme. 

Laurence Grondin Robillard

Les médias ont souvent cité Laurence Grondin Robillard, chargée de cours à l’École des médias, ces derniers jours. Un article de Karim Benessaieh, publié dans La Presse et un second sur le site Internet de Radio-Canada, Toronto, avec les informations d’Isabelle Ménard, nous la présente comme une observatrice critique de ce qui se passe avec Twitter, alors qu’un article du Journal de Montréal, signé Louis-Philippe Messier, précise que « Laurence Grondin-Robillard a invité la blogueuse, Josiane Stratis, en phase de « désannulation » des médias sociaux à faire part de son expérience aux étudiants d’un cours d’écriture en contexte numérique ». 

François Jarry

La vice-présidente aux affaires universitaires du SPPEUQAM, Nathalie Blanchet, a fait une belle et fructueuse rencontre récemment en la personne de François Jarry, un des plus réputés marathoniens au pays. Voici, sous forme d’article, ce que lui a inspiré cette rencontre.

François Jarry : Coureur d’élite et nouveau chargé de cours 

J’ai rencontré François « aux champignons ». Pas encore tout à fait réveillée, dans un autobus bondé, aux petites heures un beau dimanche matin, j’entends cette phrase quelques bancs derrière moi : « Je me prépare pour un marathon ». Ding,

Mikael St-Pierre

Mikael St-Pierre, coordonnateur au Centre d’écologie urbaine de Montréal et chargé de cours au Département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM soulignait récemment l’apport de Blanche Lemco van Ginkel dans la société québécoise à titre d’urbaniste. Elle a, affirme-t-il, permis de « penser la ville autrement », de privilégier la « sauvegarde des quartiers » et de stimuler « la qualité de vie » particulièrement, à Montréal.

Madame Lemco van Ginkel, décédée le 20 octobre dernier, « a su laisser sa trace dans la métropole québécoise, notamment en contribuant à sauver le Vieux-Montréal, menacé par un projet dans les années 1960 qui proposait une autoroute qui devait traverser le quartier patrimonial.

Sandrine Ricci

Ces derniers jours, on a pu lire, dans plusieurs médias, l’analyse et les commentaires judicieux de notre collègue, Sandrine Ricci, sur le mouvement #MoiAussi (#MeToo), qui a pris forme en Occident, et au Québec, il y a cinq ans. Madame Ricci est chercheuse doctorale en sociologie et études féministes et affiliée à la Chaire de recherche sur les violences sexistes et sexuelles en milieu d’enseignement supérieur à l’UQAM. Elle est aussi chargée de cours.

Comme le souligne Marie Fradette, dans un article du Devoir du 15 octobre qui présente le livre d’Améli Pineda intitulé Que reste-t-il de #MoiAussi?,

Jean-François Lefebvre

Jeanne Corriveau, journaliste au Devoir, cite abondamment les propos de Jean-François Lefebvre chargé de cours au Département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM, dans un article publié le 18 octobre dernier. M. Lefebvre présentait alors un mémoire lors des audiences de l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) qui tient actuellement des audiences pour la présentation de mémoires sur le futur Plan d’urbanisme et de mobilité de la Ville de Montréal. La journaliste relate que notre collègue s’est « présenté vendredi devant les commissaires avec un projet de réseau de tramway de 130 kilomètres élaboré avec une équipe d’étudiants de plusieurs universités.

Benoit Coutu

Notre camarade Benoit Coutu, nouvellement en poste au SPPEUQAM à titre d’agent de relations de travail, est l’organisateur du colloque Critiques du monde contemporain : une question de point de vue, du GT29 Théories/Sociologies critiques de l’Association internationale des sociologues de langue française. Ce colloque se tiendra les 26, 27, 28 octobre 2022 à l’UQAM. L’entrée est libre. Pour davantage d’informations, on peut consulter le programme par un simple clic. On peut également rejoindre notre collègue Benoit, qui est chercheur, sociologue et enseignant au Département de sociologie à cette adresse : coutu.benoit@uqam.ca

Nathalie Blanchet à fond dans la course

Notre vice-présidente aux affaires universitaires, également enseignante au Département de danse, vient de courir les 42,2 km du Marathon du P’tit Train du Nord en 4 h 8 min. Bien qu’elle coure depuis huit ans, c’était son premier marathon. Voici une petite entrevue avec elle à ce sujet.

J- Pourquoi tu cours?N- J’ai rien à gérer, je pense à rien. C’est un des seuls moments où je peux décrocher. Je me reconnecte. Je laisse venir du positif, ça me nettoie.J- Comment tu te sentais pendant la course?N- Je souriais tout le temps, j’étais vraiment heureuse.

Philippe Denis et le paraître en politique

Un intéressant article, signé Stéphane Baillargeon, est paru dans Le Devoir, un peu avant les récentes élections québécoises sur l’image et le paraître dans le monde politique d’ici. On y cite les observations de Philippe Denis qui est, entre autres, historien de la mode et qui enseigne à l’École supérieure de mode. Au sujet de la barbe, notre collègue affirme que « On ne s’en cache pas, nous sommes maintenant dans une société velue. La barbe a prédominance, mais pas celle du bon père de famille.

Julien Tourreille et les USA

À l’émission radio Le 15-18, à Ici Première, on a pu entendre une entrevue avec notre collègue Julien Tourreille, enseignant en science politique, qui fait alors une brève analyse de ce qui se passe dans le dossier de l’immigration et de l’avortement aux États-Unis. L’entrevue, d’une durée de neuf minutes et réalisée le 16 septembre dernier, est menée par Annie Desrochers.

Vincent Gosselin Boucher et la douance

Notre collègue du Département des sciences de l’activité physique, Vincent Gosselin Boucher (B.Sc. psychologie, 2015; M.Sc. kinanthropologie, 2016), s’intéresse à la douance. Les personnes douées sont-elles malheureuses? Est-ce qu’une douance intellectuelle vient nécessairement avec des difficultés relationnelles? Ces questions touchent plusieurs mythes et préjugés qu’une équipe interuniversitaire, dont fait partie Vincent Gosselin Boucher, souhaite briser en lançant la plateforme interactive. Pour plus d’informations à ce sujet : Vérité ou Quoi? – Douance intellectuelle.

Jean-Michel Berthiaume-Sigouin et le mème

Connaissez-vous le phénomène « mème »? Doctorant en sémiologie, animateur pédagogique et chargé de cours à l’École des médias de l’UQAM, Jean-Michel Berthiaume-Sigouin mentionne dans un article paru dans Le Devoir du 7 septembre que « le mème politique est utilisé pour parler aux jeunes électeurs là où ils se trouvent, sur le Web. »

Selon Stéphane Baillargeon, auteur de l’article, mème « sert le plus souvent maintenant à désigner des productions intertextuelles diffusées en ligne, soit sur Facebook, Instagram ou TikTok. On parle alors de mème Internet ».

Doublement Camille Robert

« Quand les mères se lèvent – Le temps de la colère est vraiment arrivé » est le titre de la chronique de Rita Elkouri sur les femmes qui se battent pour un avenir meilleur. C’est paru dans La Presse + du 28 août dernier et on y cite, entre autres les propos de notre collègue historienne, chargée de cours et agente de relations de travail au SPPEUQAM, Camille Robert. Au sujet de la création de places en garderie en 2021 qui était un enjeu invisible, notre collègue précise que « le gouvernement n’a pas eu le choix d’écouter ce qu’elles avaient à dire.

Danny Legault et la décolonisation

Notre collègue Danny Legault, qui enseigne en histoire et en didactique à l’UQAM, a monté un projet qui permet le rapprochement entre allochtones et autochtone avec la mise en place d’une école d’été sur les perspectives autochtones en enseignement. Ce projet a, entre autres, été financé par le Comité de liaison institutionnel dans le cadre d’un projet d’intégration en janvier 2022. On peut lire un compte-rendu de ce projet fort pertinent qui est paru dans Le Devoir du 22 août dernier.

Une publication de Sylvain Audet

Vient de paraître, aux Éditions JFD, un ouvrage signé Sylvain Audet, qui semble très pertinent. Le livre « présente pas à pas une démarche complète pour réaliser un plan de marketing et de communication en tourisme, en hôtellerie et en restauration. Pour plus d’informations, on visite cette page de l’éditeur.

Notre collègue, qui enseigne au Département d’études urbaines et touristiques, a développé une vaste expertise en développement d’entreprises et de produits, en analyse comparative financière, ainsi qu’en étude marketing et plan d’affaires dans nombreux secteurs récréotouristiques.

Jean-Philippe Laperrière

Directeur de l’OBNL Concertation en sécurité alimentaire de Saint-Léonard, notre collègue Jean-Philippe Laperrière, chargé de cours au Département d’études urbaines et touristiques, constate dans cet article du Journal de Québec, du 4 juin dernier, signé Julien McEvoy, « que ce n’est pas vrai qu’avec 10 $ par jour, on arrive à se nourrir de façon valorisante, c’est vraiment le minimum de survie ».

Notre collègue détient un doctorat en sociologie et l’organisme qu’il dirige fait partie d’un regroupement de 60 organismes qui a demandé au gouvernement Legault de réguler le prix de certains aliments de base pour réduire l’ampleur de la crise actuelle.

Marie-Elaine Benoit

L’étudiant Nicolas Chamberland, qui a suivi le cours Design graphique : système d’identité visuelle, donné par la chargée de cours Marie-Elaine Benoit à l’École de design, vient de se mériter un prestigieux prix, soit l’Or pour son projet de Ferme urbaine Enoki, réalisé dans le cadre du concours Idéa 2022. Ce concours, qui réunit les professionnels de la communication créative au Québec, est organisé par l’Association des agences de communication créative (A2C) en collaboration avec la Société des designers graphiques du Québec. Marie-Elaine Benoit est directrice de création en design à l’agence Sid Lee.

Véronique Leblanc

Notre collègue Véronique Leblanc (à gauche sur la photo), artiste et chargée de cours en histoire de l’art, est commissaire, avec Elise Anne LaPlante, d’Orange, d’un événement en art actuel qui débutera le 12 juin, à Saint-Hyacinthe. Il s’agit de la 7e édition d’Orange, intitulée Cultiver l’humilité | M8jagen piwihozw8gan. Vous trouverez ci-dessous une série d’informations sur l’événement qui tisse des liens concrets avec la Nation abénakise.

Il y aura une navette qui fera l’aller-retour de Montréal pour la journée d’ouverture, le 12 juin. Voici le lien vers le programme complet de l’événement.

Madeleine Chagnon

Vous avez peut-être remarqué l’abondance du pissenlit sur les terrains en ce moment. Madeleine Chagnon, chercheuse et chargée de cours en sciences biologiques, nous renseigne sur les bienfaits du pissenlit pour la survie des abeilles dans cet article de Jean-François Cliche paru dans Le Soleil du 27 mai. Et on peut accéder à une entrevue de Madame Chagnon, diffusée le 20 mai 2021 sur TVA Nouvelles, le 20 mai étant la Journée mondiale des abeilles.

Pour en lire davantage sur l’envahisseur jaune qui colore nos sols, on peut aussi accéder à ce reportage paru sur le site Internet de Radio-Canada effectué par la journaliste Andrée Langlois sur les vertus alimentaires et médicinales du pissenlit.

Denis Flipo

Le chargé de cours et agent de recherche et de planification en sciences biologiques, Denis Flipo, était à l’honneur lors de la remise des Prix d’excellence de la Faculté des sciences de l’UQAM, ce 18 mai. M. Flipo s’est alors mérité le prix le plus prestigieux de la soirée, le Prix Bâtisseur Catégorie Employé de soutien 2022. Toutes nos félicitations à notre collègue Denis Flipo pour ce prix qui souligne sa remarquable contribution à l’avancée de la science!

Eveline Le Calvez

Un article rédigé par Fanny Tan, le 11 mai, dans le média numérique Pivot, cite notre collègue enseignante chercheure, de l’École des médias, Eveline Le Calvez, sur le sujet de violences sexuelles dans le monde virtuel. On y lit, entre autres, que dans « la réalité virtuelle, c’est tout le corps qui fait office d’interface. Au niveau subconscient, le cerveau ne fait pas la différence entre le monde réel et la réalité virtuelle. »

Au sujet de Pivot, il se définit comme « un média dynamique, qui allie journalisme rigoureux et analyses uniques, à travers des sujets originaux traités sur plusieurs médiums.

Josiane Poirier

Josiane Poirier, chargée de cours en arts visuels et médiatiques, est autrice de livre « Montréal fantasmagorique, ou la part d’ombre des animations lumineuses urbaines » qui vient de paraître chez Lux Éditeur. Dans cet ouvrage, notre collègue « considère le côté sombre des animations lumineuses urbaines, les visées de rayonnement international qui les légitiment et les récits collectifs pasteurisés qu’elles véhiculent. Entre illumination et aveuglement, visibilité et effacement, promesse et leurre, les scénarisations nocturnes étudiées ici constituent le point de départ d’une réflexion critique sur la marchandisation de la ville et ses effets délétères sur le vivre-ensemble. »

Denise Proulx

Un article rédigé par Roxane Léouzon, paru dans l’édition du 2 mai du Devoir et intitulé « Mal être à l’abattoir » trace un portrait des conditions de travail des personnes qui travaillent dans les abattoirs au Québec. L’expertise de notre collègue Denise Proulx, autrice du livre Porcheries! La porciculture intempestive au Québec, et qui enseigne en sciences de l’environnement, y est mise de l’avant.

Dans cet article, madame Proulx mentionne, entre autres, que « C’est du travail à la chaîne qu’on applique à du vivant. L’animal devient un objet.