Membres en action

Notre collègue, chargée de cours à l’École des arts visuels et médiatiques, Bénédicte Ramade, a reçu le prestigieux Prix d’excellence en recherche et en recherche-création pour les chargé.es de cours de la Faculté des arts; en attendant la remise de son prix d’excellence prévu le 8 mai, elle est commissaire du 16e colloque international Max et Iris Stern, qui aura lieu les 12 et 13 avril prochains.

C’est sur le thème Plus-qu’humain, plus-que nature : au-delà du vivant que le colloque se tiendra au Musée d’art contemporain de Montréal. On peut en lire davantage sur le parcours de notre collègue en consultant cet article paru dans Actualités UQAM le 27 mars dernier.

Un intéressant et très fouillé article d’Actualités UQAM, signé Pierre-Étienne Caza, est paru lors de l’édition du 27 mars dernier sur Pierre Duchesne, maintenant chargé de cours à la Faculté de science politique et de droit, ancien journaliste à Radio-Canada, puis ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie de septembre 2012 à avril 2014; c’est vraiment à lire!

Meta n’aime pas le politique ni les enjeux sociaux, ce n’est pas assez divertissant; à ce sujet, on peut écouter les propos de notre collègue Laurence Grondin-Robillard en entrevue à la chaîne télé LCN, une entrevue faite le 24 mars dernier, qui dure environ 5 minutes, et où on apprend que le contenu sociopolitique n’est « plus proposé automatiquement aux utilisateurs des réseaux sociaux » de Meta, et de ses rejetons Facebook, Instagram, Threads, etc.

Meta a pris cette décision sans en avertir ses usagers qui doivent eux-mêmes aller désactiver ce paramètre dans les réglages de l’application s’ils veulent se faire recommander du contenu politique.

Chargé de cours au Département d’études urbaines et touristiques à l’UQAM, le chercheur Jean-François Lefebvre, sur la base d’une étude à laquelle il a participé, est d’avis qu’un tramway dans l’est de Montréal, en plus d’être beaucoup moins coûteux et plus confortable, serait beaucoup plus avantageux de matière de temps et de déplacement. C’est ce que l’on peut lire dans un article du Devoir, paru dans l’édition des 16 et 17 mars, signé Jeanne Corriveau.

Actualité Uqam nous apprend, sous une plume anonyme, que l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF) et le Service des bibliothèques de l’UQAM « ont lancé, le 6 mars, la revue électronique PréfiX, une plateforme de recherches interdisciplinaires en études féministes; sous la direction d’Ariane Gibeau (photo) et de Rosemarie Fournier-Guillemette, chargées de cours en études féministes, ce numéro rend disponibles des textes théoriques en provenance des études féministes, queers et décoloniales ». On accède à l’article par ce lien.

Active dans le domaine de l’histoire de l’art depuis plusieurs années et enseignant à l’UQAM dans un département où, lors des trois dernières années, les charges de cours données par nos collègues ont diminué de presque 50 % (oh, catastrophe), Dominique Sirois-Rouleau vient d’être nommée directrice générale de Momenta Biennale de l’image, un événement international voué à l’art contemporain depuis 35 ans; au sujet de cette nomination, on peut lire le communiqué de Momenta juste ici.

Bravo, madame Sirois-Rouleau!

Illustre chargée de cours en linguistique de l’UQAM et militante du Syndicat, Julie Rinfret travaille maintenant chez Druide, le créateur d’Antidote, tout en se gardant une charge de cours occasionnelle à l’UQAM, car elle est passionnée de l’enseignement; selon le Robert, dico en ligne, les deux sens du mot antidote sont « Substance destinée à neutraliser les effets d’un poison, d’un venin, d’un virus et, au figuré, Remède contre un mal moral » cela illustre très bien une des nombreuses qualités de notre collègue linguiste.

Julie Rinfret est un antidote à l’injustice, au laissez-faire, à l’inaction, à la mollesse, au désintérêt, à la fourberie.

Chargé de cours et professeur associé au Département des sciences de l’activité physique, François Lalonde a travaillé à la mise sur pied d’un nouveau programme qui vise « à uniformiser les connaissances, les compétences et les pratiques ostéopathiques »; c’est ce que l’on apprend en lisant un autre article de Jean-François Ducharme paru dans Actualités UQAM et qui nous informe ainsi que « deux nouveaux programmes de deuxième cycle en ostéopathie seront offerts à compter de l’automne 2024. »

La thèse de doctorat de notre collègue enseignante en sociologie, Maude Lecompte, intitulée « Utilisation de Tinder : une étude exploratoire » est toujours d’actualité, d’autant plus que nous sortons tout juste de l’effervescence valentinesque; on accède à la thèse de madame Lecompte par ce lien et on peut lire un article d’Actualités UQAM, signé Pierre-Étienne Caza, paru le 14 février dernier, juste ici.

On y lit ainsi que « Sans surprise, il est attendu sur Tinder, dans un contexte hétérosexuel cisgenre, que ce soit les hommes qui fassent les premiers pas et qui amorcent la discussion, note Maude Lecompte.

Au sujet des récentes suppressions de postes dans les médias chez Bell Canada, on peut écouter les propos éclairants de Rolland-Yves Carignan, professeur enseignant à l’École des médias de l’UQAM, aux programmes Médias numériques et Journalisme, membre du Groupe de recherche sur l’information et la surveillance au quotidien (GRISQ), ex-directeur de l’information du journal le Devoir et ancien rédacteur en chef visuel chez Libération. L’entrevue est menée par l’animateur Pierre-Alexandre Bolduc de l’émission Première heure de Ici Radio-Canada, Québec, et a été diffusée le 8 février dernier.

Chargé de cours à l’École des arts visuels et médiatiques, Étienne Tremblay-Tardif est, comme la plupart de ses collègues, artiste praticien en arts visuels; il présente actuellement une exposition qui offre « l’aboutissement d’une décennie de collecte et d’idéation afin d’offrir un corpus aux dimensions décoratives, mais aussi informatives du côté de la galerie d’art universitaire R3 située sur le campus de l’Université du Québec à Trois-Rivières », comme le mentionne Le Nouvelliste, dans un article de Geneviève Beaulieu-Veilleux, paru le 25 janvier dernier.

Si vous ne pouvez pas vous déplacer à Trois-Rivières et goûter à cette exposition, vous pouvez aller faire un tour sur la page Instagram de monsieur Tremblay-Tardif.

Il y a quelques jours, nous avons perdu un autre de nos collègues militants, monsieur François St-Germain, qui était très actif dans son Département d’études urbaines et touristiques, à l’Ordre des urbanistes et fort apprécié des groupes à qui il enseignait; l’Ordre en parle ainsi : « François St-Germain a marqué le domaine de l’urbanisme par sa vision, sa compréhension des enjeux urbains, ainsi que ses capacités d’analyse et de vulgarisation.

« Beaucoup d’urbanistes se souviendront avant tout de son engagement auprès de la relève et de son investissement dans la réussite de la jeune génération en urbanisme. Depuis 2008, il a parrainé plus de 50 candidats et candidates à la profession; plusieurs le considèrent comme leur mentor.

Peut-être avez-vous déjà fait une soutenance de thèse, ou peut-être aussi avez-vous déjà assisté à une soutenance; quoiqu’il en soit, notre collègue Joëlle Dussault présentera son travail de recherche doctorale lors de la soutenance de sa thèse intitulée « Lutter au sein des institutions: action collective et travail en santé et services sociaux au Québec », le 9 février, à 14 h au local DS-1950.

Dans le cadre de l’émission télé Jazz@vue, produite par MAtv, le talentueux humoriste Pierre Verville prend le rôle de l’animateur pour une dynamique entrevue avec le pianiste et compositeur Yves Léveillé, chargé de cours au Département de musique de l’UQAM. On peut ainsi assister à une entrevue avec notre collègue artiste entrecoupée de prestations musicales jouées avec son ensemble pour quintette à cordes et piano. Par cet entretien, notre collègue musicien trace une partie de son riche parcours comme créateur, pédagogue et gestionnaire des Productions Yves Léveillé.

L’équipe syndicale a tout récemment appris le décès de notre collègue retraitée Francine St-Hilaire qui a quitté ce monde le 27 août dernier. Madame St-Hilaire était une militante assidue de notre Syndicat particulièrement dans les années 90 et 2000. Elle a ainsi occupé plusieurs postes de représentation pour défendre les intérêts de ses collègues du Département de mathématiques et de la Faculté des sciences. Très impliquée dans toutes les actions du Syndicat, on la remarquait par sa présence constante dans les instances syndicales. Elle a en outre été secrétaire générale au Comité exécutif en 1999-2000. Merci pour votre généreuse implication, madame St-Hilaire!

La designer textile et chercheuse Vanessa Mardirossian, également chargée de cours à l’École de design de l’UQAM, vient de participer au symposium international « Le textile au-delà de l’artisanat », qui s’est tenu au Centre du design du pavillon de Design, les 30 novembre et 1er décembre derniers; le Pavillon de Design où travaillent plusieurs chargées, chargés de cours de renom abritent d’ailleurs souvent des expositions, fort intéressantes : son Centre du design est vraiment un endroit à fréquenter pour accéder gratuitement à des expositions qui sortent de l’ordinaire, d’autant plus que c’est au Campus central de l’UQAM, rue Sanguinet.

Actualités UQAM nous apprenait récemment, par un texte de Jean-François Ducharme, que notre collègue Zurcher Mardy, chargé de cours en géographie depuis un an, allait être scientifique en résidence à la ville de Laval grâce à une bourse postdoctorale des Fonds de recherche du Québec; « Le chercheur alimentera les travaux et les réflexions de la Ville en lien avec le développement et la mise en œuvre d’un plan de résilience municipale, notamment vis-à-vis des changements climatiques ».

Sur la page LinkedIn de monsieur Mardy, on peut lire ceci : « Zurcher Mardy, docteur en sciences de l’environnement, chargé de cours au département de géographie de l’UQAM dans le domaine de l’évaluation environnementale stratégique et de la géomatique.

Chargée de cours en travail social, Joëlle Dussault a rédigé une lettre d’opinion intitulée « Grève : le néolibéralisme est antiféministe » qui a récemment été publiée dans Pivot et où on y lit que « Dans le but de faire des économies, le gouvernement se repose entre autres sur le travail du care fourni par de nombreuses femmes dans la société pour se désinvestir de tout ce qui touche au soin, à l’éducation et à l’accompagnement .

« C’est en ce sens que les politiques néolibérales sont antiféministes : pour qu’elles réussissent, ces politiques sociales doivent compter sur le travail gratuit, sur le surmenage et sur la disponibilité constante des professionnel·les du care. »

Nos collègues Bachir Sirois-Moumni enseignant en communication sociale et publique et Myriam Lavoie-Moore de l’École des médias, qui sont deux spécialistes de la sociologie du sport, sont cités dans la chronique d’Yves Boisvert d’aujourd’hui, 30 novembre, intitulée « Une usine à jambon de boxe »; cette excellente chronique indique, entre autres, que monsieur « Sirois-Moumni est « solidaire avec les boxeurs, mais voir comment sont organisés les combats, ça me fait craindre pour leur sécurité. Ils sont placés dans un régime d’inégalité. »

Le chroniqueur de La Presse s’inquiète du fait que « Depuis 2013, seulement 9 % de tous les boxeurs invités de différents pays ont remporté leur combat au Québec.

Michèle Magema, chargée de cours en arts visuels et médiatiques, participe à une exposition intitulée « Mémoire Végétale », du 15 novembre au 14 janvier 2024 (vernissage le 23 novembre, à 17 h 30, entrée libre), dans le cadre de la Biennale Af-flux à la Maison de la culture Claude Léveillé, située tout près du métro Jean-Talon; notre collègue y présente deux nouvelles réalisations, soit « Les gardiens des Nti » qui convoque par le dessin le déplacement des plantes des jardins botaniques durant la période coloniale.

L’autre œuvre de madame Magema, intitulée « Dessein arbitraire : Bercer la ligne », estune installation composée de plaques de céramique, qui revient sur le partage des frontières du continent africain durant la conférence de Berlin en 1884. À

Chargée de cours en linguistique depuis 2013, Marie-Josée Daviau a récemment participé à la 2e émission de la série « Accent grave » avec plusieurs spécialistes de l’enseignement de la langue française, en traitant particulièrement de la rectification de l’orthographe; cette 2e émission, qui s’intitule « Une langue enseignée », peut être consultée en cliquant sur ce lien.

La série « Accent grave » comporte six émissions de 27 minutes réalisées et scénarisées par Jean Roy et est animée par Rebecca Déraspe. Le sujet de l’émission, où participe notre collègue Marie-Josée Daviau étant « la langue enseignée », intéressera vivement plusieurs enseignantes et enseignants de quelques niveaux d’enseignement que ce soit, de même que les parents de jeunes qui fréquentent l’école et aussi, pourquoi pas, ces mêmes jeunes.

Chargée de cours à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM, Patricia Gauvin a, comme plusieurs de ses collègues, une pratique florissante sur le terrain. Du 1er octobre jusqu’au 11 février 2024, elle présente son exposition «  La pensée in vitro de l’imaginaire – Le fourmillement des idées » au Musée Marius Barbeau de St-Joseph-de-Beauce. Madame Gauvin présente ainsi son exposition : « La pensée in vitro de l’imaginaire lance une discussion autour de cette émotion vécue par chaque créateur lorsque l’idée monte à l’esprit dans un moment de clairvoyance. L’émergence d’une idée m’intrigue; ce court moment d’allégresse où tout semble possible.