Priorité aux créanciers


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On ne peut reprocher sa constance au gouvernement. Depuis la dernière élection, les choses ont été mises au clair: les dépenses sociales de l’État doivent être sévèrement amputées afin de «reconquérir notre marge de manoeuvre». La logique est simple, si Québec veut pouvoir dépenser à l’avenir, il faut couper aujourd’hui. Cependant, ce n’est pas toutes les dépenses qui ont droit à cette austérité. D’un côté il y a les dépenses de programmes qui ne peuvent compter que sur de maigres augmentations qui, ces dernières années, ne couvraient même pas l’inflation et la croissance démographique. De l’autre, il y a le Fonds des générations dont les versements sont généreusement revus à la hausse.

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